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Gérer la Communication d'un Théâtre | Marine Sônmez, Théâtre du Parc | Ep 126 cover
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Décodeur de la Communication

Gérer la Communication d'un Théâtre | Marine Sônmez, Théâtre du Parc | Ep 126

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54min |18/12/2024
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54min |18/12/2024
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Description

Aujourd'hui, Marine Sönmez, chargée de communication au Théâtre du Parc, vous explique comment elle gère la communication de ce théâtre municipal, non loin de Saint-Etienne. Elle détaille les grandes étapes pour assurer le succès d’une programmation culturelle et comme c'est Noël, Marine vous partage 3 titres pour terminer l'année en beauté. Croyez-moi, ses goûts musicaux sont éclectiques.


La plaquette : un incontournable

Pour Marine, tout commence par la plaquette, document imprimé qui retrace la programmation de l'année. C'est le premier outil de visibilité d’un théâtre. Elle doit être à la fois esthétique et fonctionnelle, avec des photos attrayantes et des informations claires. Diffusée dans des lieux publics, comme les médiathèques ou la mairie, elle agit comme un ambassadeur silencieux, attirant l’œil des potentiels spectateurs.


Les réseaux sociaux

« Le public de notre théâtre est majoritairement âgé de 45 à 60 ans, mais il est très connecté », souligne Marine. Facebook reste le canal privilégié pour ce public, permettant de diffuser des informations, des teasers vidéo et des rappels de dernière minute. Des plateformes comme Illiwap, qui envoient des notifications ciblées, renforcent cette stratégie numérique.


Les reels, stories et vidéos jouent un rôle clé dans l’engagement. Marine, bien que non formée en montage vidéo, s’est adaptée en créant elle-même des contenus qui mettent en valeur les spectacles et les coulisses. Elle explique : « Ces formats courts permettent de toucher une audience différente et d’inciter à la découverte. »


Adopter une stratégie responsable et ciblée

Pour les affiches, Marine privilégie une impression raisonnée, en ciblant uniquement les lieux où le public potentiel est présent. En cas de besoin urgent, comme une salle qui peine à se remplir, des posts sponsorisés ou l’appui du service communication de la ville sont activés.


Mesurer et adapter

Marine insiste sur la nécessité d’être à l’écoute du public. Les commentaires, qu’ils soient positifs ou critiques, permettent d’ajuster la programmation et la communication. « Chaque spectacle est une opportunité d’apprendre et de mieux répondre aux attentes. »


Le parcours de Marine : entre mots et culture

Femme de lettres, Marine débute sa carrière en tant que journaliste où elle écrivait dans un journal d'annonces légales. Elle continue, de manière sporadique, à écrire pour une autre revue économique.


Musique

Femme de lettres et aussi fan de musique Marine vous partage 3 titres. Commençons par la Perfecta et "La divinité" (16:00). Ce titre lui file une pêche d'enfer. Quant à moi, il me rappelle mes origines martiniquaises et ma mère, qui veille sur moi depuis le 18 décembre 2016 depuis là-haut, et qui a travaillé dans un label de musique antillaise.

On enchaîne avec MPL et "Bonhomme" (29:44), groupe que je ne connaissais pas et qui permet à Marine d'expliquer à son fils qu'on peut être un homme sans être un gros dur.

Enfin, l'épisode se termine sur "Petit garçon" de Graeme Allwright, chanson de Noël qui lui rappelle son enfance (52:42).


Avec cet épisode, vous avez découvert la communication dans le secteur culturel. D'autres épisodes sur ce secteur sont en préparation.


Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1 


Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com !


Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Aujourd'hui, Marine Sönmez, chargée de communication au Théâtre du Parc, vous explique comment elle gère la communication de ce théâtre municipal, non loin de Saint-Etienne. Elle détaille les grandes étapes pour assurer le succès d’une programmation culturelle et comme c'est Noël, Marine vous partage 3 titres pour terminer l'année en beauté. Croyez-moi, ses goûts musicaux sont éclectiques.


La plaquette : un incontournable

Pour Marine, tout commence par la plaquette, document imprimé qui retrace la programmation de l'année. C'est le premier outil de visibilité d’un théâtre. Elle doit être à la fois esthétique et fonctionnelle, avec des photos attrayantes et des informations claires. Diffusée dans des lieux publics, comme les médiathèques ou la mairie, elle agit comme un ambassadeur silencieux, attirant l’œil des potentiels spectateurs.


Les réseaux sociaux

« Le public de notre théâtre est majoritairement âgé de 45 à 60 ans, mais il est très connecté », souligne Marine. Facebook reste le canal privilégié pour ce public, permettant de diffuser des informations, des teasers vidéo et des rappels de dernière minute. Des plateformes comme Illiwap, qui envoient des notifications ciblées, renforcent cette stratégie numérique.


Les reels, stories et vidéos jouent un rôle clé dans l’engagement. Marine, bien que non formée en montage vidéo, s’est adaptée en créant elle-même des contenus qui mettent en valeur les spectacles et les coulisses. Elle explique : « Ces formats courts permettent de toucher une audience différente et d’inciter à la découverte. »


Adopter une stratégie responsable et ciblée

Pour les affiches, Marine privilégie une impression raisonnée, en ciblant uniquement les lieux où le public potentiel est présent. En cas de besoin urgent, comme une salle qui peine à se remplir, des posts sponsorisés ou l’appui du service communication de la ville sont activés.


Mesurer et adapter

Marine insiste sur la nécessité d’être à l’écoute du public. Les commentaires, qu’ils soient positifs ou critiques, permettent d’ajuster la programmation et la communication. « Chaque spectacle est une opportunité d’apprendre et de mieux répondre aux attentes. »


Le parcours de Marine : entre mots et culture

Femme de lettres, Marine débute sa carrière en tant que journaliste où elle écrivait dans un journal d'annonces légales. Elle continue, de manière sporadique, à écrire pour une autre revue économique.


Musique

Femme de lettres et aussi fan de musique Marine vous partage 3 titres. Commençons par la Perfecta et "La divinité" (16:00). Ce titre lui file une pêche d'enfer. Quant à moi, il me rappelle mes origines martiniquaises et ma mère, qui veille sur moi depuis le 18 décembre 2016 depuis là-haut, et qui a travaillé dans un label de musique antillaise.

On enchaîne avec MPL et "Bonhomme" (29:44), groupe que je ne connaissais pas et qui permet à Marine d'expliquer à son fils qu'on peut être un homme sans être un gros dur.

Enfin, l'épisode se termine sur "Petit garçon" de Graeme Allwright, chanson de Noël qui lui rappelle son enfance (52:42).


Avec cet épisode, vous avez découvert la communication dans le secteur culturel. D'autres épisodes sur ce secteur sont en préparation.


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La plaquette : un incontournable

Pour Marine, tout commence par la plaquette, document imprimé qui retrace la programmation de l'année. C'est le premier outil de visibilité d’un théâtre. Elle doit être à la fois esthétique et fonctionnelle, avec des photos attrayantes et des informations claires. Diffusée dans des lieux publics, comme les médiathèques ou la mairie, elle agit comme un ambassadeur silencieux, attirant l’œil des potentiels spectateurs.


Les réseaux sociaux

« Le public de notre théâtre est majoritairement âgé de 45 à 60 ans, mais il est très connecté », souligne Marine. Facebook reste le canal privilégié pour ce public, permettant de diffuser des informations, des teasers vidéo et des rappels de dernière minute. Des plateformes comme Illiwap, qui envoient des notifications ciblées, renforcent cette stratégie numérique.


Les reels, stories et vidéos jouent un rôle clé dans l’engagement. Marine, bien que non formée en montage vidéo, s’est adaptée en créant elle-même des contenus qui mettent en valeur les spectacles et les coulisses. Elle explique : « Ces formats courts permettent de toucher une audience différente et d’inciter à la découverte. »


Adopter une stratégie responsable et ciblée

Pour les affiches, Marine privilégie une impression raisonnée, en ciblant uniquement les lieux où le public potentiel est présent. En cas de besoin urgent, comme une salle qui peine à se remplir, des posts sponsorisés ou l’appui du service communication de la ville sont activés.


Mesurer et adapter

Marine insiste sur la nécessité d’être à l’écoute du public. Les commentaires, qu’ils soient positifs ou critiques, permettent d’ajuster la programmation et la communication. « Chaque spectacle est une opportunité d’apprendre et de mieux répondre aux attentes. »


Le parcours de Marine : entre mots et culture

Femme de lettres, Marine débute sa carrière en tant que journaliste où elle écrivait dans un journal d'annonces légales. Elle continue, de manière sporadique, à écrire pour une autre revue économique.


Musique

Femme de lettres et aussi fan de musique Marine vous partage 3 titres. Commençons par la Perfecta et "La divinité" (16:00). Ce titre lui file une pêche d'enfer. Quant à moi, il me rappelle mes origines martiniquaises et ma mère, qui veille sur moi depuis le 18 décembre 2016 depuis là-haut, et qui a travaillé dans un label de musique antillaise.

On enchaîne avec MPL et "Bonhomme" (29:44), groupe que je ne connaissais pas et qui permet à Marine d'expliquer à son fils qu'on peut être un homme sans être un gros dur.

Enfin, l'épisode se termine sur "Petit garçon" de Graeme Allwright, chanson de Noël qui lui rappelle son enfance (52:42).


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Pour Marine, tout commence par la plaquette, document imprimé qui retrace la programmation de l'année. C'est le premier outil de visibilité d’un théâtre. Elle doit être à la fois esthétique et fonctionnelle, avec des photos attrayantes et des informations claires. Diffusée dans des lieux publics, comme les médiathèques ou la mairie, elle agit comme un ambassadeur silencieux, attirant l’œil des potentiels spectateurs.


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On enchaîne avec MPL et "Bonhomme" (29:44), groupe que je ne connaissais pas et qui permet à Marine d'expliquer à son fils qu'on peut être un homme sans être un gros dur.

Enfin, l'épisode se termine sur "Petit garçon" de Graeme Allwright, chanson de Noël qui lui rappelle son enfance (52:42).


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