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Le Paradis, c'est les Autres | Florence Delorme, Dircom Badass de la ville de Gif-sur-Yvette | Badass 06 cover
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Décodeur de la Communication

Le Paradis, c'est les Autres | Florence Delorme, Dircom Badass de la ville de Gif-sur-Yvette | Badass 06

Le Paradis, c'est les Autres | Florence Delorme, Dircom Badass de la ville de Gif-sur-Yvette | Badass 06

47min |21/09/2024
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Description

« Le paradis, c'est les autres » : cette phrase résume parfaitement le 6e épisode de la série Badass avec Florence Delorme, directrice communication de la ville de Gif-sur-Yvette.


Florence débute dans l'humanitaire chez Caritas - le Secours Catholique - en tant que JRI. Elle se rend à Haïti ou au Bangladesh. « J'ai rencontré des gens extraordinaires dans des conditions extrêmes. Chaque interaction humaine était riche de sens. »


Ces expériences ont influencé sa manière de concevoir la communication : un échange avec les gens, et non une simple transmission de messages.


Après 10 ans dans l'humanitaire, Florence ressent le besoin de se poser, notamment pour raisons familiales. La transition n'est pas évidente, surtout au début, lorsqu'elle intègre le secteur public à Dourdan (91). Habituée au rythme effréné des voyages à travers le monde, elle confie avoir été plus fatiguée au bout d'un mois à Dourdan que durant toutes ses années Caritas !


À Dourdan, Florence découvre l'univers des collectivités territoriales. Elle réalise que la richesse de ce métier réside dans la rencontre avec les citoyens. Ce sont les interactions humaines qui donnent du sens à son travail. « Ce n'est pas un hasard si ceux qui travaillent dans la communication publique parlent souvent de l'humain. La communication publique, c'est être au service des citoyens. »


Florence évoque les défis de son métier, notamment les feedbacks des citoyens. « Dans la com' publique, on entend beaucoup les gens qui râlent, rarement ceux qui sont satisfaits. Mais, au fond de nous, on sait que l'on travaille pour eux. »


Aujourd'hui dircom à Gif-sur-Yvette, dans l'Essonne, Florence joue un rôle crucial dans le développement de la ville. Son quotidien est rythmé : événements, crises, ou encore valorisation du patrimoine local. Mais ce qui lui tient à cœur, c'est de rendre la communication accessible et transparente.


Elle explique que son approche consiste à être « vraie » avec les citoyens : « Il faut expliquer les choses simplement, sans détour. Oui, on va les embêter pendant un mois avec des travaux, mais c'est pour améliorer leur cadre de vie à long terme. »


Ce discours de vérité est au cœur de sa pratique, y compris avec les élus. Florence insiste sur l'importance du dialogue avec le maire et l'élu en charge de la communication. Ces discussions informelles permettent de faire avancer les projets plus rapidement.


En plus de son rôle de dircom, Florence est aussi une manager. Travailler dans la communication est un métier où la charge de travail est intense, notamment en période d'événements. Florence le sait, et c'est pourquoi elle attache une grande importance à créer un environnement de travail positif et solidaire.


Son équipe est soudée : « On rit beaucoup, on s'entraide, et on se fait confiance. J'aime l'idée que nous travaillons dans la bonne humeur, même quand la charge de travail est énorme. »


Loin des clichés d'un métier figé dans des procédures administratives, Florence voit la communication publique comme un levier d'innovation et de créativité. Elle n'hésite pas à proposer des idées décalées, même si elles ne sont pas toujours retenues. « Il faut oser, tenter des choses nouvelles. Parfois, cela ne passe pas, mais au moins, on essaie. » Badass, tout simplement !


Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1 


Très bonne écoute, abonnez-vous au Décodeur et très bonne rentrée à tous !


Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

« Le paradis, c'est les autres » : cette phrase résume parfaitement le 6e épisode de la série Badass avec Florence Delorme, directrice communication de la ville de Gif-sur-Yvette.


Florence débute dans l'humanitaire chez Caritas - le Secours Catholique - en tant que JRI. Elle se rend à Haïti ou au Bangladesh. « J'ai rencontré des gens extraordinaires dans des conditions extrêmes. Chaque interaction humaine était riche de sens. »


Ces expériences ont influencé sa manière de concevoir la communication : un échange avec les gens, et non une simple transmission de messages.


Après 10 ans dans l'humanitaire, Florence ressent le besoin de se poser, notamment pour raisons familiales. La transition n'est pas évidente, surtout au début, lorsqu'elle intègre le secteur public à Dourdan (91). Habituée au rythme effréné des voyages à travers le monde, elle confie avoir été plus fatiguée au bout d'un mois à Dourdan que durant toutes ses années Caritas !


À Dourdan, Florence découvre l'univers des collectivités territoriales. Elle réalise que la richesse de ce métier réside dans la rencontre avec les citoyens. Ce sont les interactions humaines qui donnent du sens à son travail. « Ce n'est pas un hasard si ceux qui travaillent dans la communication publique parlent souvent de l'humain. La communication publique, c'est être au service des citoyens. »


Florence évoque les défis de son métier, notamment les feedbacks des citoyens. « Dans la com' publique, on entend beaucoup les gens qui râlent, rarement ceux qui sont satisfaits. Mais, au fond de nous, on sait que l'on travaille pour eux. »


Aujourd'hui dircom à Gif-sur-Yvette, dans l'Essonne, Florence joue un rôle crucial dans le développement de la ville. Son quotidien est rythmé : événements, crises, ou encore valorisation du patrimoine local. Mais ce qui lui tient à cœur, c'est de rendre la communication accessible et transparente.


Elle explique que son approche consiste à être « vraie » avec les citoyens : « Il faut expliquer les choses simplement, sans détour. Oui, on va les embêter pendant un mois avec des travaux, mais c'est pour améliorer leur cadre de vie à long terme. »


Ce discours de vérité est au cœur de sa pratique, y compris avec les élus. Florence insiste sur l'importance du dialogue avec le maire et l'élu en charge de la communication. Ces discussions informelles permettent de faire avancer les projets plus rapidement.


En plus de son rôle de dircom, Florence est aussi une manager. Travailler dans la communication est un métier où la charge de travail est intense, notamment en période d'événements. Florence le sait, et c'est pourquoi elle attache une grande importance à créer un environnement de travail positif et solidaire.


Son équipe est soudée : « On rit beaucoup, on s'entraide, et on se fait confiance. J'aime l'idée que nous travaillons dans la bonne humeur, même quand la charge de travail est énorme. »


Loin des clichés d'un métier figé dans des procédures administratives, Florence voit la communication publique comme un levier d'innovation et de créativité. Elle n'hésite pas à proposer des idées décalées, même si elles ne sont pas toujours retenues. « Il faut oser, tenter des choses nouvelles. Parfois, cela ne passe pas, mais au moins, on essaie. » Badass, tout simplement !


Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1 


Très bonne écoute, abonnez-vous au Décodeur et très bonne rentrée à tous !


Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com


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Florence débute dans l'humanitaire chez Caritas - le Secours Catholique - en tant que JRI. Elle se rend à Haïti ou au Bangladesh. « J'ai rencontré des gens extraordinaires dans des conditions extrêmes. Chaque interaction humaine était riche de sens. »


Ces expériences ont influencé sa manière de concevoir la communication : un échange avec les gens, et non une simple transmission de messages.


Après 10 ans dans l'humanitaire, Florence ressent le besoin de se poser, notamment pour raisons familiales. La transition n'est pas évidente, surtout au début, lorsqu'elle intègre le secteur public à Dourdan (91). Habituée au rythme effréné des voyages à travers le monde, elle confie avoir été plus fatiguée au bout d'un mois à Dourdan que durant toutes ses années Caritas !


À Dourdan, Florence découvre l'univers des collectivités territoriales. Elle réalise que la richesse de ce métier réside dans la rencontre avec les citoyens. Ce sont les interactions humaines qui donnent du sens à son travail. « Ce n'est pas un hasard si ceux qui travaillent dans la communication publique parlent souvent de l'humain. La communication publique, c'est être au service des citoyens. »


Florence évoque les défis de son métier, notamment les feedbacks des citoyens. « Dans la com' publique, on entend beaucoup les gens qui râlent, rarement ceux qui sont satisfaits. Mais, au fond de nous, on sait que l'on travaille pour eux. »


Aujourd'hui dircom à Gif-sur-Yvette, dans l'Essonne, Florence joue un rôle crucial dans le développement de la ville. Son quotidien est rythmé : événements, crises, ou encore valorisation du patrimoine local. Mais ce qui lui tient à cœur, c'est de rendre la communication accessible et transparente.


Elle explique que son approche consiste à être « vraie » avec les citoyens : « Il faut expliquer les choses simplement, sans détour. Oui, on va les embêter pendant un mois avec des travaux, mais c'est pour améliorer leur cadre de vie à long terme. »


Ce discours de vérité est au cœur de sa pratique, y compris avec les élus. Florence insiste sur l'importance du dialogue avec le maire et l'élu en charge de la communication. Ces discussions informelles permettent de faire avancer les projets plus rapidement.


En plus de son rôle de dircom, Florence est aussi une manager. Travailler dans la communication est un métier où la charge de travail est intense, notamment en période d'événements. Florence le sait, et c'est pourquoi elle attache une grande importance à créer un environnement de travail positif et solidaire.


Son équipe est soudée : « On rit beaucoup, on s'entraide, et on se fait confiance. J'aime l'idée que nous travaillons dans la bonne humeur, même quand la charge de travail est énorme. »


Loin des clichés d'un métier figé dans des procédures administratives, Florence voit la communication publique comme un levier d'innovation et de créativité. Elle n'hésite pas à proposer des idées décalées, même si elles ne sont pas toujours retenues. « Il faut oser, tenter des choses nouvelles. Parfois, cela ne passe pas, mais au moins, on essaie. » Badass, tout simplement !


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Florence débute dans l'humanitaire chez Caritas - le Secours Catholique - en tant que JRI. Elle se rend à Haïti ou au Bangladesh. « J'ai rencontré des gens extraordinaires dans des conditions extrêmes. Chaque interaction humaine était riche de sens. »


Ces expériences ont influencé sa manière de concevoir la communication : un échange avec les gens, et non une simple transmission de messages.


Après 10 ans dans l'humanitaire, Florence ressent le besoin de se poser, notamment pour raisons familiales. La transition n'est pas évidente, surtout au début, lorsqu'elle intègre le secteur public à Dourdan (91). Habituée au rythme effréné des voyages à travers le monde, elle confie avoir été plus fatiguée au bout d'un mois à Dourdan que durant toutes ses années Caritas !


À Dourdan, Florence découvre l'univers des collectivités territoriales. Elle réalise que la richesse de ce métier réside dans la rencontre avec les citoyens. Ce sont les interactions humaines qui donnent du sens à son travail. « Ce n'est pas un hasard si ceux qui travaillent dans la communication publique parlent souvent de l'humain. La communication publique, c'est être au service des citoyens. »


Florence évoque les défis de son métier, notamment les feedbacks des citoyens. « Dans la com' publique, on entend beaucoup les gens qui râlent, rarement ceux qui sont satisfaits. Mais, au fond de nous, on sait que l'on travaille pour eux. »


Aujourd'hui dircom à Gif-sur-Yvette, dans l'Essonne, Florence joue un rôle crucial dans le développement de la ville. Son quotidien est rythmé : événements, crises, ou encore valorisation du patrimoine local. Mais ce qui lui tient à cœur, c'est de rendre la communication accessible et transparente.


Elle explique que son approche consiste à être « vraie » avec les citoyens : « Il faut expliquer les choses simplement, sans détour. Oui, on va les embêter pendant un mois avec des travaux, mais c'est pour améliorer leur cadre de vie à long terme. »


Ce discours de vérité est au cœur de sa pratique, y compris avec les élus. Florence insiste sur l'importance du dialogue avec le maire et l'élu en charge de la communication. Ces discussions informelles permettent de faire avancer les projets plus rapidement.


En plus de son rôle de dircom, Florence est aussi une manager. Travailler dans la communication est un métier où la charge de travail est intense, notamment en période d'événements. Florence le sait, et c'est pourquoi elle attache une grande importance à créer un environnement de travail positif et solidaire.


Son équipe est soudée : « On rit beaucoup, on s'entraide, et on se fait confiance. J'aime l'idée que nous travaillons dans la bonne humeur, même quand la charge de travail est énorme. »


Loin des clichés d'un métier figé dans des procédures administratives, Florence voit la communication publique comme un levier d'innovation et de créativité. Elle n'hésite pas à proposer des idées décalées, même si elles ne sont pas toujours retenues. « Il faut oser, tenter des choses nouvelles. Parfois, cela ne passe pas, mais au moins, on essaie. » Badass, tout simplement !


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