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EP 3 - Lancer une expression cover
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Dessinercestcarole Le Podcast

EP 3 - Lancer une expression

EP 3 - Lancer une expression

09min |27/08/2025
Play
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Description

Aujourd’hui, on analyse les dessins de @dessinercestcarole ci-dessous:


  • Lancer une expression

  • Arrêt de bus

  • La rentrée

  • POSCA

  • Être dans un état proche de l’Ohio


Musique du générique : Saddle Up & Dance - Ryan Stasik, Kanika Moore


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    dessiner c'est carole le podcast le podcast dit pourquoi j'ai dessiné ses dessins sur dessiner c'est carole ça fait beaucoup de fois dessiné c'était carole Salut, bienvenue sur le podcast de Dessiner ses caroles ou Dessiner ses caroles le podcast, le podcast où on plonge dans certains dessins du profil Instagram Dessiner ses caroles, qui est le mien, pour comprendre d'où vient le dessin, pourquoi le dessin a été fait, en espérant que ce soit un peu rigolo. Eh bien, on plonge tout de suite sur l'Instagram, je vais sur l'Insta, je scrolle, je scrolle, je scrolle et je mets mon doigt sur mon Insta. Allez, alors ça rejoint ce que je fais souvent, c'est-à-dire que souvent je dessine une expression française, parce que moi, quand on me parle et qu'on me dit une expression française, je vois visuellement l'expression. Et donc là, j'ai dessiné « lancer une expression » . Et donc on voit le mot « expression » être lancé en l'air. Voilà. Est-ce que vous aussi, vous trouvez que vous êtes à l'origine de certaines expressions ? Moi, oui. Égo surdimensionné ou... Créativité aboutie ? Je ne sais pas, mais en tout cas, oui, il y a certaines expressions, j'ai l'impression de les avoir lancées. Par exemple, aujourd'hui, beaucoup diminuent les mots. Moi, très vite, dans mon couple, en tout cas, j'ai dit, ouais, je vais faire pips. Tu vois, pour dire, je vais faire pipi. Et j'ai beaucoup, je ne sais pas, c'est dans la cuise, pour c'est dans la cuisine. Et là, depuis quelques années, tout le monde réduit les mots. Et sinon, il y avait un truc il y a très longtemps. Je me vois le dire pour la première fois, mais peut-être qu'évidemment, on croit tous qu'on a l'origine. Enfin, absolument pas, en fait. Mais en tout cas, je me vois le dire pour la première fois. Et me dire, putain, c'est drôle. C'était une situation où on était dans un groupe et il y a quelqu'un qui, soudainement, répondait plus ou était moins intéressé par ce qu'on disait ou qui ne savait plus trop de quoi on parlait. Et j'ai dit, par exemple, Clotilde. Et j'ai dit, oula, on perd Clotilde. Un peu sur le ton de, si on est en opération d'urgence à l'hôpital, on est en train de perdre monsieur machin. Et donc, j'avais dit, oula, on l'a perdu, on le perd. Et moi, j'avais vraiment l'image du cabinet d'urgence et tout. Et je ne sais pas. Depuis, c'est normal de dire ça. Mais moi, la première fois que je l'ai dit, je me suis même dit, putain, c'est génial de dire ça. Enfin, c'est drôle. Enfin, ça colle vachement. Et voilà. et ce coup je l'avais déjà entendu peut-être, mais je me souviens que j'avais justement pas entendu, donc j'avais fait vraiment un éclat de rire à ce moment-là pour tout le monde, et après c'était normal cette expression. Voilà, comme quoi je crois que je suis à l'origine de certaines expressions et que j'ai lancé l'expression. Je scrolle. Hop là là. Ça s'appelle Arrête bus, et à gauche on a Avant, et à droite Maintenant. Avant, il y a des jeunes qui discutent, et il y a une bulle qui fait ouais, nananana, et à droite il y a écrit Maintenant. Et il y a trois jeunes qui sont sur leur portable et il n'y a plus de bulles, il n'y a plus de discussion, il n'y a plus d'interaction. C'est vraiment un truc que j'ai vu à un arrêt de bus aujourd'hui, c'est-à-dire de nos jours. C'est clair qu'aujourd'hui, moi, je me souviens avoir attendu des heures et des heures des bus au collège. Et c'était vraiment un lieu de sociabilisation, l'arrêt de bus. C'est-à-dire qu'il y avait des machines qui arrivent, il y a un machin qui flirte avec, du coup, il est là, il ne se place pas au même endroit sur le banc du bus. Il y avait tout un jeu sur ça, ou juste de la fatigue de fin de journée, mais il y avait toujours de l'échange. Et aujourd'hui, de ce que je vois, moi, dans la rue, quand je passe un arrêt de bus après un collège, il n'y a pas du tout de jeu d'interaction, de jeu de groupe, en tout cas je le vois moins. Et voilà, et donc ce dessin dénonce cette fracture sociale qu'on est tous en train de vivre, et que j'alimente via la création d'un podcast. puisque du coup, vous écoutez plutôt que de communiquer autour de vous. Bon, on n'est pas toujours obligé de communiquer non plus. On peut aussi faire ça vaisselle tranquillou. Je change. Allez hop, je scrolle. Ça, c'est quoi ? La rentrée jour 1, la rentrée jour 2. Donc, il y a écrit la rentrée en haut et à gauche, c'est jour 1 sur le même mécanisme et jour 2 à droite. Le jour 1, on a deux enfants. Je voulais dire tout protagoniste réel et fortuit, là, je sais pas quoi, les trucs qu'il y a au début des films. On voit deux enfants très heureux, un petit garçon et une plus grande fille, très heureux d'aller à l'école. Et ça représente le nombre de photos que je reçois à chaque rentrée de tous mes amis, familles, qui ont des enfants qui vont à l'école primaire, notamment. Et vraiment, le jour 1, vraiment, ils sont pimpés, bonne ambiance, le sourire, le sac à dos, voilà. Et le jour 2, j'ai fait une image où t'as plus deux gamins, t'en as plus qu'un. Et puis celui qu'on voit, il est complètement blasé et décoiffé. Et c'est un peu à l'image de beaucoup de premiers jours. Le premier jour, on est on fire, on se souvient tous des rentrées. Je ne sais pas si vous vous souvenez, moi, je préparais mes habits pour la rentrée de façon méthodique. Moi, il fallait que je sois un peu neutre. Un jean, un sweat Reebok, c'était mes classiques. Et des baskets. Et c'est vrai que c'était étudié, quoi. La tenue vestimentaire du premier jour. Et puis après, je pense que ça partait en sucette. Enfin, ça partait pas en sucette, mais voilà. Et voilà, tout comme d'ailleurs les photos qu'on avait au collège de classe. Grosse réflexion sur la coiffure, grosse réflexion sur la tenue. Pour une raison que j'ignore, je me faisais des tresses. Voilà. Et pareil, toujours ce suite Reebok. Je devais être non-binaire avant l'heure. Un dernier dessin de dessiner ses caroles. J'ai écrit Posca. J'ai refait le logo des feutres Posca. Le logo qui est avec le P en rouge, le O en bleu, le S en vert, le C en jaune, le A en rouge, sur un fond noir. Vraiment comme les feutres, ça me rappelle les tags. Les tags que mon frère faisait sur le RERB. La famille de l'ASCAR. Et puis, ouais, tous ces feutres indélébiles qui servent à signer. Je n'ai pas trop d'anecdotes dessus, si ce n'est que... Mon frère m'a souvent parlé de la sensation de liberté, pas de liberté, d'adrénaline qu'il y a à faire un tag, à dessiner des tags. C'est une forme d'adrénaline en fait. Je ne savais pas qu'il y avait ça derrière tous les graffeurs. Il y a une forme d'adrénaline de je ne devrais pas être là, mais je le fais quand même. Et du coup, qu'on peut retrouver adrénaline dans des situations plus légales, que je vous invite à retrouver. comme le saut en parachute ou un bon match de foot, je ne sais pas. Mais en tout cas, il y en a des très beaux, des fois des graphes. Il y en a vraiment des superbes. C'est de l'art, vraiment. Il y en a des super moches. La plupart sont super moches. Et puis plein ensemble de super moches, des fois ça commence à devenir stylé. Et puis ça devient Marseille. Je rigole. Je ne sais pas pourquoi, mais je pense que j'ai dû voir des endroits à Marseille pas mal tagués. notamment la Cour Saint-Julien. Je crois que c'est ça. Et bien, full of tag, mais du coup, ça donne un vrai cachet à l'endroit et un vrai style. Donc voilà, les Posca et l'écriture dans la rue. En dernier, parce qu'on s'amuse, on rigole bien. Là, j'ai écrit être dans un état proche de l'Ohio et j'ai dessiné le lac. du Michigan, j'en sais rien, avec les trois états Illinois, Indiana, Ohio. Parce qu'un jour, j'étais à Chicago. Et donc, j'étais dans un état proche de l'Ohio. Et donc, c'est quand même rare, ça. D'être dans un état proche de l'Ohio. Et puis, c'est une expression française. Ah, mais il est dans un état proche de l'Ohio. I was there. OK. Bye bye, guys. Salut et merci d'avoir écouté Dessiner, c'est Carole, le podcast.

  • Speaker #1

    ciao ciao hi thank you for listening dessinez-se carole the podcast even though it's not in english good luck with that hola muchas gracias para haber escuchado dessinez-se carole el podcast el podcast no es en español entonces buena

  • Speaker #0

    suerte me nous fait chier avec son générique l'abus d'alcool est dangereux pour la santé à consommer avec modération pour votre santé mangez bougez parlez

Description

Aujourd’hui, on analyse les dessins de @dessinercestcarole ci-dessous:


  • Lancer une expression

  • Arrêt de bus

  • La rentrée

  • POSCA

  • Être dans un état proche de l’Ohio


Musique du générique : Saddle Up & Dance - Ryan Stasik, Kanika Moore


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    dessiner c'est carole le podcast le podcast dit pourquoi j'ai dessiné ses dessins sur dessiner c'est carole ça fait beaucoup de fois dessiné c'était carole Salut, bienvenue sur le podcast de Dessiner ses caroles ou Dessiner ses caroles le podcast, le podcast où on plonge dans certains dessins du profil Instagram Dessiner ses caroles, qui est le mien, pour comprendre d'où vient le dessin, pourquoi le dessin a été fait, en espérant que ce soit un peu rigolo. Eh bien, on plonge tout de suite sur l'Instagram, je vais sur l'Insta, je scrolle, je scrolle, je scrolle et je mets mon doigt sur mon Insta. Allez, alors ça rejoint ce que je fais souvent, c'est-à-dire que souvent je dessine une expression française, parce que moi, quand on me parle et qu'on me dit une expression française, je vois visuellement l'expression. Et donc là, j'ai dessiné « lancer une expression » . Et donc on voit le mot « expression » être lancé en l'air. Voilà. Est-ce que vous aussi, vous trouvez que vous êtes à l'origine de certaines expressions ? Moi, oui. Égo surdimensionné ou... Créativité aboutie ? Je ne sais pas, mais en tout cas, oui, il y a certaines expressions, j'ai l'impression de les avoir lancées. Par exemple, aujourd'hui, beaucoup diminuent les mots. Moi, très vite, dans mon couple, en tout cas, j'ai dit, ouais, je vais faire pips. Tu vois, pour dire, je vais faire pipi. Et j'ai beaucoup, je ne sais pas, c'est dans la cuise, pour c'est dans la cuisine. Et là, depuis quelques années, tout le monde réduit les mots. Et sinon, il y avait un truc il y a très longtemps. Je me vois le dire pour la première fois, mais peut-être qu'évidemment, on croit tous qu'on a l'origine. Enfin, absolument pas, en fait. Mais en tout cas, je me vois le dire pour la première fois. Et me dire, putain, c'est drôle. C'était une situation où on était dans un groupe et il y a quelqu'un qui, soudainement, répondait plus ou était moins intéressé par ce qu'on disait ou qui ne savait plus trop de quoi on parlait. Et j'ai dit, par exemple, Clotilde. Et j'ai dit, oula, on perd Clotilde. Un peu sur le ton de, si on est en opération d'urgence à l'hôpital, on est en train de perdre monsieur machin. Et donc, j'avais dit, oula, on l'a perdu, on le perd. Et moi, j'avais vraiment l'image du cabinet d'urgence et tout. Et je ne sais pas. Depuis, c'est normal de dire ça. Mais moi, la première fois que je l'ai dit, je me suis même dit, putain, c'est génial de dire ça. Enfin, c'est drôle. Enfin, ça colle vachement. Et voilà. et ce coup je l'avais déjà entendu peut-être, mais je me souviens que j'avais justement pas entendu, donc j'avais fait vraiment un éclat de rire à ce moment-là pour tout le monde, et après c'était normal cette expression. Voilà, comme quoi je crois que je suis à l'origine de certaines expressions et que j'ai lancé l'expression. Je scrolle. Hop là là. Ça s'appelle Arrête bus, et à gauche on a Avant, et à droite Maintenant. Avant, il y a des jeunes qui discutent, et il y a une bulle qui fait ouais, nananana, et à droite il y a écrit Maintenant. Et il y a trois jeunes qui sont sur leur portable et il n'y a plus de bulles, il n'y a plus de discussion, il n'y a plus d'interaction. C'est vraiment un truc que j'ai vu à un arrêt de bus aujourd'hui, c'est-à-dire de nos jours. C'est clair qu'aujourd'hui, moi, je me souviens avoir attendu des heures et des heures des bus au collège. Et c'était vraiment un lieu de sociabilisation, l'arrêt de bus. C'est-à-dire qu'il y avait des machines qui arrivent, il y a un machin qui flirte avec, du coup, il est là, il ne se place pas au même endroit sur le banc du bus. Il y avait tout un jeu sur ça, ou juste de la fatigue de fin de journée, mais il y avait toujours de l'échange. Et aujourd'hui, de ce que je vois, moi, dans la rue, quand je passe un arrêt de bus après un collège, il n'y a pas du tout de jeu d'interaction, de jeu de groupe, en tout cas je le vois moins. Et voilà, et donc ce dessin dénonce cette fracture sociale qu'on est tous en train de vivre, et que j'alimente via la création d'un podcast. puisque du coup, vous écoutez plutôt que de communiquer autour de vous. Bon, on n'est pas toujours obligé de communiquer non plus. On peut aussi faire ça vaisselle tranquillou. Je change. Allez hop, je scrolle. Ça, c'est quoi ? La rentrée jour 1, la rentrée jour 2. Donc, il y a écrit la rentrée en haut et à gauche, c'est jour 1 sur le même mécanisme et jour 2 à droite. Le jour 1, on a deux enfants. Je voulais dire tout protagoniste réel et fortuit, là, je sais pas quoi, les trucs qu'il y a au début des films. On voit deux enfants très heureux, un petit garçon et une plus grande fille, très heureux d'aller à l'école. Et ça représente le nombre de photos que je reçois à chaque rentrée de tous mes amis, familles, qui ont des enfants qui vont à l'école primaire, notamment. Et vraiment, le jour 1, vraiment, ils sont pimpés, bonne ambiance, le sourire, le sac à dos, voilà. Et le jour 2, j'ai fait une image où t'as plus deux gamins, t'en as plus qu'un. Et puis celui qu'on voit, il est complètement blasé et décoiffé. Et c'est un peu à l'image de beaucoup de premiers jours. Le premier jour, on est on fire, on se souvient tous des rentrées. Je ne sais pas si vous vous souvenez, moi, je préparais mes habits pour la rentrée de façon méthodique. Moi, il fallait que je sois un peu neutre. Un jean, un sweat Reebok, c'était mes classiques. Et des baskets. Et c'est vrai que c'était étudié, quoi. La tenue vestimentaire du premier jour. Et puis après, je pense que ça partait en sucette. Enfin, ça partait pas en sucette, mais voilà. Et voilà, tout comme d'ailleurs les photos qu'on avait au collège de classe. Grosse réflexion sur la coiffure, grosse réflexion sur la tenue. Pour une raison que j'ignore, je me faisais des tresses. Voilà. Et pareil, toujours ce suite Reebok. Je devais être non-binaire avant l'heure. Un dernier dessin de dessiner ses caroles. J'ai écrit Posca. J'ai refait le logo des feutres Posca. Le logo qui est avec le P en rouge, le O en bleu, le S en vert, le C en jaune, le A en rouge, sur un fond noir. Vraiment comme les feutres, ça me rappelle les tags. Les tags que mon frère faisait sur le RERB. La famille de l'ASCAR. Et puis, ouais, tous ces feutres indélébiles qui servent à signer. Je n'ai pas trop d'anecdotes dessus, si ce n'est que... Mon frère m'a souvent parlé de la sensation de liberté, pas de liberté, d'adrénaline qu'il y a à faire un tag, à dessiner des tags. C'est une forme d'adrénaline en fait. Je ne savais pas qu'il y avait ça derrière tous les graffeurs. Il y a une forme d'adrénaline de je ne devrais pas être là, mais je le fais quand même. Et du coup, qu'on peut retrouver adrénaline dans des situations plus légales, que je vous invite à retrouver. comme le saut en parachute ou un bon match de foot, je ne sais pas. Mais en tout cas, il y en a des très beaux, des fois des graphes. Il y en a vraiment des superbes. C'est de l'art, vraiment. Il y en a des super moches. La plupart sont super moches. Et puis plein ensemble de super moches, des fois ça commence à devenir stylé. Et puis ça devient Marseille. Je rigole. Je ne sais pas pourquoi, mais je pense que j'ai dû voir des endroits à Marseille pas mal tagués. notamment la Cour Saint-Julien. Je crois que c'est ça. Et bien, full of tag, mais du coup, ça donne un vrai cachet à l'endroit et un vrai style. Donc voilà, les Posca et l'écriture dans la rue. En dernier, parce qu'on s'amuse, on rigole bien. Là, j'ai écrit être dans un état proche de l'Ohio et j'ai dessiné le lac. du Michigan, j'en sais rien, avec les trois états Illinois, Indiana, Ohio. Parce qu'un jour, j'étais à Chicago. Et donc, j'étais dans un état proche de l'Ohio. Et donc, c'est quand même rare, ça. D'être dans un état proche de l'Ohio. Et puis, c'est une expression française. Ah, mais il est dans un état proche de l'Ohio. I was there. OK. Bye bye, guys. Salut et merci d'avoir écouté Dessiner, c'est Carole, le podcast.

  • Speaker #1

    ciao ciao hi thank you for listening dessinez-se carole the podcast even though it's not in english good luck with that hola muchas gracias para haber escuchado dessinez-se carole el podcast el podcast no es en español entonces buena

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Aujourd’hui, on analyse les dessins de @dessinercestcarole ci-dessous:


  • Lancer une expression

  • Arrêt de bus

  • La rentrée

  • POSCA

  • Être dans un état proche de l’Ohio


Musique du générique : Saddle Up & Dance - Ryan Stasik, Kanika Moore


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    dessiner c'est carole le podcast le podcast dit pourquoi j'ai dessiné ses dessins sur dessiner c'est carole ça fait beaucoup de fois dessiné c'était carole Salut, bienvenue sur le podcast de Dessiner ses caroles ou Dessiner ses caroles le podcast, le podcast où on plonge dans certains dessins du profil Instagram Dessiner ses caroles, qui est le mien, pour comprendre d'où vient le dessin, pourquoi le dessin a été fait, en espérant que ce soit un peu rigolo. Eh bien, on plonge tout de suite sur l'Instagram, je vais sur l'Insta, je scrolle, je scrolle, je scrolle et je mets mon doigt sur mon Insta. Allez, alors ça rejoint ce que je fais souvent, c'est-à-dire que souvent je dessine une expression française, parce que moi, quand on me parle et qu'on me dit une expression française, je vois visuellement l'expression. Et donc là, j'ai dessiné « lancer une expression » . Et donc on voit le mot « expression » être lancé en l'air. Voilà. Est-ce que vous aussi, vous trouvez que vous êtes à l'origine de certaines expressions ? Moi, oui. Égo surdimensionné ou... Créativité aboutie ? Je ne sais pas, mais en tout cas, oui, il y a certaines expressions, j'ai l'impression de les avoir lancées. Par exemple, aujourd'hui, beaucoup diminuent les mots. Moi, très vite, dans mon couple, en tout cas, j'ai dit, ouais, je vais faire pips. Tu vois, pour dire, je vais faire pipi. Et j'ai beaucoup, je ne sais pas, c'est dans la cuise, pour c'est dans la cuisine. Et là, depuis quelques années, tout le monde réduit les mots. Et sinon, il y avait un truc il y a très longtemps. Je me vois le dire pour la première fois, mais peut-être qu'évidemment, on croit tous qu'on a l'origine. Enfin, absolument pas, en fait. Mais en tout cas, je me vois le dire pour la première fois. Et me dire, putain, c'est drôle. C'était une situation où on était dans un groupe et il y a quelqu'un qui, soudainement, répondait plus ou était moins intéressé par ce qu'on disait ou qui ne savait plus trop de quoi on parlait. Et j'ai dit, par exemple, Clotilde. Et j'ai dit, oula, on perd Clotilde. Un peu sur le ton de, si on est en opération d'urgence à l'hôpital, on est en train de perdre monsieur machin. Et donc, j'avais dit, oula, on l'a perdu, on le perd. Et moi, j'avais vraiment l'image du cabinet d'urgence et tout. Et je ne sais pas. Depuis, c'est normal de dire ça. Mais moi, la première fois que je l'ai dit, je me suis même dit, putain, c'est génial de dire ça. Enfin, c'est drôle. Enfin, ça colle vachement. Et voilà. et ce coup je l'avais déjà entendu peut-être, mais je me souviens que j'avais justement pas entendu, donc j'avais fait vraiment un éclat de rire à ce moment-là pour tout le monde, et après c'était normal cette expression. Voilà, comme quoi je crois que je suis à l'origine de certaines expressions et que j'ai lancé l'expression. Je scrolle. Hop là là. Ça s'appelle Arrête bus, et à gauche on a Avant, et à droite Maintenant. Avant, il y a des jeunes qui discutent, et il y a une bulle qui fait ouais, nananana, et à droite il y a écrit Maintenant. Et il y a trois jeunes qui sont sur leur portable et il n'y a plus de bulles, il n'y a plus de discussion, il n'y a plus d'interaction. C'est vraiment un truc que j'ai vu à un arrêt de bus aujourd'hui, c'est-à-dire de nos jours. C'est clair qu'aujourd'hui, moi, je me souviens avoir attendu des heures et des heures des bus au collège. Et c'était vraiment un lieu de sociabilisation, l'arrêt de bus. C'est-à-dire qu'il y avait des machines qui arrivent, il y a un machin qui flirte avec, du coup, il est là, il ne se place pas au même endroit sur le banc du bus. Il y avait tout un jeu sur ça, ou juste de la fatigue de fin de journée, mais il y avait toujours de l'échange. Et aujourd'hui, de ce que je vois, moi, dans la rue, quand je passe un arrêt de bus après un collège, il n'y a pas du tout de jeu d'interaction, de jeu de groupe, en tout cas je le vois moins. Et voilà, et donc ce dessin dénonce cette fracture sociale qu'on est tous en train de vivre, et que j'alimente via la création d'un podcast. puisque du coup, vous écoutez plutôt que de communiquer autour de vous. Bon, on n'est pas toujours obligé de communiquer non plus. On peut aussi faire ça vaisselle tranquillou. Je change. Allez hop, je scrolle. Ça, c'est quoi ? La rentrée jour 1, la rentrée jour 2. Donc, il y a écrit la rentrée en haut et à gauche, c'est jour 1 sur le même mécanisme et jour 2 à droite. Le jour 1, on a deux enfants. Je voulais dire tout protagoniste réel et fortuit, là, je sais pas quoi, les trucs qu'il y a au début des films. On voit deux enfants très heureux, un petit garçon et une plus grande fille, très heureux d'aller à l'école. Et ça représente le nombre de photos que je reçois à chaque rentrée de tous mes amis, familles, qui ont des enfants qui vont à l'école primaire, notamment. Et vraiment, le jour 1, vraiment, ils sont pimpés, bonne ambiance, le sourire, le sac à dos, voilà. Et le jour 2, j'ai fait une image où t'as plus deux gamins, t'en as plus qu'un. Et puis celui qu'on voit, il est complètement blasé et décoiffé. Et c'est un peu à l'image de beaucoup de premiers jours. Le premier jour, on est on fire, on se souvient tous des rentrées. Je ne sais pas si vous vous souvenez, moi, je préparais mes habits pour la rentrée de façon méthodique. Moi, il fallait que je sois un peu neutre. Un jean, un sweat Reebok, c'était mes classiques. Et des baskets. Et c'est vrai que c'était étudié, quoi. La tenue vestimentaire du premier jour. Et puis après, je pense que ça partait en sucette. Enfin, ça partait pas en sucette, mais voilà. Et voilà, tout comme d'ailleurs les photos qu'on avait au collège de classe. Grosse réflexion sur la coiffure, grosse réflexion sur la tenue. Pour une raison que j'ignore, je me faisais des tresses. Voilà. Et pareil, toujours ce suite Reebok. Je devais être non-binaire avant l'heure. Un dernier dessin de dessiner ses caroles. J'ai écrit Posca. J'ai refait le logo des feutres Posca. Le logo qui est avec le P en rouge, le O en bleu, le S en vert, le C en jaune, le A en rouge, sur un fond noir. Vraiment comme les feutres, ça me rappelle les tags. Les tags que mon frère faisait sur le RERB. La famille de l'ASCAR. Et puis, ouais, tous ces feutres indélébiles qui servent à signer. Je n'ai pas trop d'anecdotes dessus, si ce n'est que... Mon frère m'a souvent parlé de la sensation de liberté, pas de liberté, d'adrénaline qu'il y a à faire un tag, à dessiner des tags. C'est une forme d'adrénaline en fait. Je ne savais pas qu'il y avait ça derrière tous les graffeurs. Il y a une forme d'adrénaline de je ne devrais pas être là, mais je le fais quand même. Et du coup, qu'on peut retrouver adrénaline dans des situations plus légales, que je vous invite à retrouver. comme le saut en parachute ou un bon match de foot, je ne sais pas. Mais en tout cas, il y en a des très beaux, des fois des graphes. Il y en a vraiment des superbes. C'est de l'art, vraiment. Il y en a des super moches. La plupart sont super moches. Et puis plein ensemble de super moches, des fois ça commence à devenir stylé. Et puis ça devient Marseille. Je rigole. Je ne sais pas pourquoi, mais je pense que j'ai dû voir des endroits à Marseille pas mal tagués. notamment la Cour Saint-Julien. Je crois que c'est ça. Et bien, full of tag, mais du coup, ça donne un vrai cachet à l'endroit et un vrai style. Donc voilà, les Posca et l'écriture dans la rue. En dernier, parce qu'on s'amuse, on rigole bien. Là, j'ai écrit être dans un état proche de l'Ohio et j'ai dessiné le lac. du Michigan, j'en sais rien, avec les trois états Illinois, Indiana, Ohio. Parce qu'un jour, j'étais à Chicago. Et donc, j'étais dans un état proche de l'Ohio. Et donc, c'est quand même rare, ça. D'être dans un état proche de l'Ohio. Et puis, c'est une expression française. Ah, mais il est dans un état proche de l'Ohio. I was there. OK. Bye bye, guys. Salut et merci d'avoir écouté Dessiner, c'est Carole, le podcast.

  • Speaker #1

    ciao ciao hi thank you for listening dessinez-se carole the podcast even though it's not in english good luck with that hola muchas gracias para haber escuchado dessinez-se carole el podcast el podcast no es en español entonces buena

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    suerte me nous fait chier avec son générique l'abus d'alcool est dangereux pour la santé à consommer avec modération pour votre santé mangez bougez parlez

Description

Aujourd’hui, on analyse les dessins de @dessinercestcarole ci-dessous:


  • Lancer une expression

  • Arrêt de bus

  • La rentrée

  • POSCA

  • Être dans un état proche de l’Ohio


Musique du générique : Saddle Up & Dance - Ryan Stasik, Kanika Moore


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    dessiner c'est carole le podcast le podcast dit pourquoi j'ai dessiné ses dessins sur dessiner c'est carole ça fait beaucoup de fois dessiné c'était carole Salut, bienvenue sur le podcast de Dessiner ses caroles ou Dessiner ses caroles le podcast, le podcast où on plonge dans certains dessins du profil Instagram Dessiner ses caroles, qui est le mien, pour comprendre d'où vient le dessin, pourquoi le dessin a été fait, en espérant que ce soit un peu rigolo. Eh bien, on plonge tout de suite sur l'Instagram, je vais sur l'Insta, je scrolle, je scrolle, je scrolle et je mets mon doigt sur mon Insta. Allez, alors ça rejoint ce que je fais souvent, c'est-à-dire que souvent je dessine une expression française, parce que moi, quand on me parle et qu'on me dit une expression française, je vois visuellement l'expression. Et donc là, j'ai dessiné « lancer une expression » . Et donc on voit le mot « expression » être lancé en l'air. Voilà. Est-ce que vous aussi, vous trouvez que vous êtes à l'origine de certaines expressions ? Moi, oui. Égo surdimensionné ou... Créativité aboutie ? Je ne sais pas, mais en tout cas, oui, il y a certaines expressions, j'ai l'impression de les avoir lancées. Par exemple, aujourd'hui, beaucoup diminuent les mots. Moi, très vite, dans mon couple, en tout cas, j'ai dit, ouais, je vais faire pips. Tu vois, pour dire, je vais faire pipi. Et j'ai beaucoup, je ne sais pas, c'est dans la cuise, pour c'est dans la cuisine. Et là, depuis quelques années, tout le monde réduit les mots. Et sinon, il y avait un truc il y a très longtemps. Je me vois le dire pour la première fois, mais peut-être qu'évidemment, on croit tous qu'on a l'origine. Enfin, absolument pas, en fait. Mais en tout cas, je me vois le dire pour la première fois. Et me dire, putain, c'est drôle. C'était une situation où on était dans un groupe et il y a quelqu'un qui, soudainement, répondait plus ou était moins intéressé par ce qu'on disait ou qui ne savait plus trop de quoi on parlait. Et j'ai dit, par exemple, Clotilde. Et j'ai dit, oula, on perd Clotilde. Un peu sur le ton de, si on est en opération d'urgence à l'hôpital, on est en train de perdre monsieur machin. Et donc, j'avais dit, oula, on l'a perdu, on le perd. Et moi, j'avais vraiment l'image du cabinet d'urgence et tout. Et je ne sais pas. Depuis, c'est normal de dire ça. Mais moi, la première fois que je l'ai dit, je me suis même dit, putain, c'est génial de dire ça. Enfin, c'est drôle. Enfin, ça colle vachement. Et voilà. et ce coup je l'avais déjà entendu peut-être, mais je me souviens que j'avais justement pas entendu, donc j'avais fait vraiment un éclat de rire à ce moment-là pour tout le monde, et après c'était normal cette expression. Voilà, comme quoi je crois que je suis à l'origine de certaines expressions et que j'ai lancé l'expression. Je scrolle. Hop là là. Ça s'appelle Arrête bus, et à gauche on a Avant, et à droite Maintenant. Avant, il y a des jeunes qui discutent, et il y a une bulle qui fait ouais, nananana, et à droite il y a écrit Maintenant. Et il y a trois jeunes qui sont sur leur portable et il n'y a plus de bulles, il n'y a plus de discussion, il n'y a plus d'interaction. C'est vraiment un truc que j'ai vu à un arrêt de bus aujourd'hui, c'est-à-dire de nos jours. C'est clair qu'aujourd'hui, moi, je me souviens avoir attendu des heures et des heures des bus au collège. Et c'était vraiment un lieu de sociabilisation, l'arrêt de bus. C'est-à-dire qu'il y avait des machines qui arrivent, il y a un machin qui flirte avec, du coup, il est là, il ne se place pas au même endroit sur le banc du bus. Il y avait tout un jeu sur ça, ou juste de la fatigue de fin de journée, mais il y avait toujours de l'échange. Et aujourd'hui, de ce que je vois, moi, dans la rue, quand je passe un arrêt de bus après un collège, il n'y a pas du tout de jeu d'interaction, de jeu de groupe, en tout cas je le vois moins. Et voilà, et donc ce dessin dénonce cette fracture sociale qu'on est tous en train de vivre, et que j'alimente via la création d'un podcast. puisque du coup, vous écoutez plutôt que de communiquer autour de vous. Bon, on n'est pas toujours obligé de communiquer non plus. On peut aussi faire ça vaisselle tranquillou. Je change. Allez hop, je scrolle. Ça, c'est quoi ? La rentrée jour 1, la rentrée jour 2. Donc, il y a écrit la rentrée en haut et à gauche, c'est jour 1 sur le même mécanisme et jour 2 à droite. Le jour 1, on a deux enfants. Je voulais dire tout protagoniste réel et fortuit, là, je sais pas quoi, les trucs qu'il y a au début des films. On voit deux enfants très heureux, un petit garçon et une plus grande fille, très heureux d'aller à l'école. Et ça représente le nombre de photos que je reçois à chaque rentrée de tous mes amis, familles, qui ont des enfants qui vont à l'école primaire, notamment. Et vraiment, le jour 1, vraiment, ils sont pimpés, bonne ambiance, le sourire, le sac à dos, voilà. Et le jour 2, j'ai fait une image où t'as plus deux gamins, t'en as plus qu'un. Et puis celui qu'on voit, il est complètement blasé et décoiffé. Et c'est un peu à l'image de beaucoup de premiers jours. Le premier jour, on est on fire, on se souvient tous des rentrées. Je ne sais pas si vous vous souvenez, moi, je préparais mes habits pour la rentrée de façon méthodique. Moi, il fallait que je sois un peu neutre. Un jean, un sweat Reebok, c'était mes classiques. Et des baskets. Et c'est vrai que c'était étudié, quoi. La tenue vestimentaire du premier jour. Et puis après, je pense que ça partait en sucette. Enfin, ça partait pas en sucette, mais voilà. Et voilà, tout comme d'ailleurs les photos qu'on avait au collège de classe. Grosse réflexion sur la coiffure, grosse réflexion sur la tenue. Pour une raison que j'ignore, je me faisais des tresses. Voilà. Et pareil, toujours ce suite Reebok. Je devais être non-binaire avant l'heure. Un dernier dessin de dessiner ses caroles. J'ai écrit Posca. J'ai refait le logo des feutres Posca. Le logo qui est avec le P en rouge, le O en bleu, le S en vert, le C en jaune, le A en rouge, sur un fond noir. Vraiment comme les feutres, ça me rappelle les tags. Les tags que mon frère faisait sur le RERB. La famille de l'ASCAR. Et puis, ouais, tous ces feutres indélébiles qui servent à signer. Je n'ai pas trop d'anecdotes dessus, si ce n'est que... Mon frère m'a souvent parlé de la sensation de liberté, pas de liberté, d'adrénaline qu'il y a à faire un tag, à dessiner des tags. C'est une forme d'adrénaline en fait. Je ne savais pas qu'il y avait ça derrière tous les graffeurs. Il y a une forme d'adrénaline de je ne devrais pas être là, mais je le fais quand même. Et du coup, qu'on peut retrouver adrénaline dans des situations plus légales, que je vous invite à retrouver. comme le saut en parachute ou un bon match de foot, je ne sais pas. Mais en tout cas, il y en a des très beaux, des fois des graphes. Il y en a vraiment des superbes. C'est de l'art, vraiment. Il y en a des super moches. La plupart sont super moches. Et puis plein ensemble de super moches, des fois ça commence à devenir stylé. Et puis ça devient Marseille. Je rigole. Je ne sais pas pourquoi, mais je pense que j'ai dû voir des endroits à Marseille pas mal tagués. notamment la Cour Saint-Julien. Je crois que c'est ça. Et bien, full of tag, mais du coup, ça donne un vrai cachet à l'endroit et un vrai style. Donc voilà, les Posca et l'écriture dans la rue. En dernier, parce qu'on s'amuse, on rigole bien. Là, j'ai écrit être dans un état proche de l'Ohio et j'ai dessiné le lac. du Michigan, j'en sais rien, avec les trois états Illinois, Indiana, Ohio. Parce qu'un jour, j'étais à Chicago. Et donc, j'étais dans un état proche de l'Ohio. Et donc, c'est quand même rare, ça. D'être dans un état proche de l'Ohio. Et puis, c'est une expression française. Ah, mais il est dans un état proche de l'Ohio. I was there. OK. Bye bye, guys. Salut et merci d'avoir écouté Dessiner, c'est Carole, le podcast.

  • Speaker #1

    ciao ciao hi thank you for listening dessinez-se carole the podcast even though it's not in english good luck with that hola muchas gracias para haber escuchado dessinez-se carole el podcast el podcast no es en español entonces buena

  • Speaker #0

    suerte me nous fait chier avec son générique l'abus d'alcool est dangereux pour la santé à consommer avec modération pour votre santé mangez bougez parlez

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