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Du 5km à l'ultratrail!

Ep 478: 3 sorties par semaine, je régresse!

Ep 478: 3 sorties par semaine, je régresse!

17min |19/08/2025|

313

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Description

Mes liens pour toi:


  • Infos coaching

  • Une question?



    As-tu déjà ressenti cette frustration de stagner dans ta progression en course à pied, malgré des entraînements réguliers?


    Dans cet épisode de Du 5km à l'ultratrail! , je partage avec toi des conseils pratiques et des stratégies essentielles pour surmonter ces obstacles. La course à pied est une aventure passionnante, mais elle peut parfois sembler décourageante, surtout lorsque l'on ne voit pas les résultats escomptés. Je vais t'expliquer pourquoi il est crucial d'avoir une structure solide dans ton entraînement, car courir trois fois par semaine sans planification adéquate peut mener à la fatigue et à une stagnation de tes performances.



    Au fil de cet épisode, je mets l'accent sur l'importance d'une approche progressive, tant en termes de volume que d'intensité. Je te parlerai de la gestion de l'intensité de tes séances d'entraînement, d'une bonne récupération, et de la manière de te fixer des objectifs clairs qui te permettront de garder ta motivation intacte. Que tu te prépares pour un 5km, un marathon, ou même un ultra trail, ces conseils te seront précieux pour optimiser ton expérience de coureur.



    Je t'encourage également à ne pas perdre de vue le plaisir de courir. La course à pied ne doit pas devenir une corvée, mais plutôt une source de joie et d'épanouissement. En développant une routine d'entraînement qui te motive, tu pourras éviter les blessures et progresser de manière durable. Se concentrer sur le premier kilomètre et sur chaque étape de ta préparation mentale est essentiel pour atteindre tes objectifs, qu'il s'agisse de courir un trail long ou d'améliorer ton endurance.



    En conclusion, je te rappelle que la clé de la réussite réside dans l'envie et la passion pour la course. Réfléchis à ta propre approche de l'entraînement et n'hésite pas à écouter cet épisode pour découvrir comment transformer tes défis en opportunités. Prêt à franchir la ligne d'arrivée avec succès?


  • Écoute maintenant Du 5km à l'ultratrail! et fais le premier pas vers une nouvelle aventure en course à pied!




Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans du 5 km à l'Ultra Trail, le podcast qui t'aide à progresser en trail avec méthode, plaisir et confiance. Et cela quel que soit ton niveau. Attention 3, 2, 1, c'est parti ! Et salut les amis, bienvenue dans ce nouvel épisode du 5 km à l'Ultra Trail. J'espère que vous allez bien en cette période de vacances ou pas. ça se trouve tu bosses, parce que la France ne s'arrête pas de tourner quand même, même si les administrations et compagnie il faut pas faire de prêts bancaires, il faut pas même pas s'il faut se marier au mois d'août il y a pas mal de choses qui sont fermées mais il y a quand même des gens qui bossent et notamment je pense à Anne qui vient de prendre le coaching, le début du coaching et ça me fait dire que je devrais en parler un petit peu plus souvent, c'est vrai que moi j'ai grand plaisir à accompagner de nouvelles personnes ... parce qu'il y a des nouvelles histoires, il y a des nouveaux objectifs. Ça me renouvelle dans mon coaching aussi parce que chacun est différent et il faut apporter des solutions un petit peu différentes, des mots différents. Même si la progression, la façon de s'entraîner, ma méthode d'entraînement est la même, n'empêche, il faut que ce soit adapté à la majorité, à tout le monde en fait. C'est ça l'avantage du coaching. Donc voilà, bienvenue à... Anne, elle se reconnaîtra très certainement. Allez, de quoi j'ai envie de te parler ? Bah écoute, déjà, j'ai un petit sujet qui me vient parce que, en fait, sur Instagram, on m'a posé une question. Il me dit, ou elle d'ailleurs, je crois que c'était une fille, qui me disait, je comprends pas, je sors trois fois par semaine et je stagne, je progresse pas en fait. voire pire, je régresse. Alors quand on dit régresser, ça veut dire qu'on commence à fatiguer, ça veut dire qu'on commence à tirer un peu la langue, à perdre un petit peu de motivation, à mettre plus de temps finalement sur son trajet qu'on connaît tous. Chacun a, je pense, à côté de chez soi, quand on sort, a son trajet qui fait X temps ou X kilomètres. Et c'est vrai que... On a vite fait de se comparer en fait, en disant, tiens, d'habitude je le fais en 45 minutes, là je l'ai fait en 48 minutes, oh là là, compliqué, je sais pas pourquoi ça va pas, j'ai pas l'impression de courir vite, je comprends pas, je suis régulier ou régulière. Bah écoute, oui, tu peux courir trois fois par semaine, tu peux même courir plus. Mais tu te demandes très certainement... Qu'est-ce que tu fais de mal en courant trois fois par semaine ? Alors, ce n'est pas une question d'effort, c'est une question de structure. Il suffit de courir souvent pour progresser ? Oui et non. Déjà, ça dépend comment tu cours. Et là, tu as l'erreur classique de l'intensité, j'ai envie de dire, aléatoire. L'intensité aléatoire. c'est l'intensité que tu mets dans tes sorties sans que tu n'y aies réfléchi avant, tu n'y aies pensé avant. C'est-à-dire que tu vas courir sans stratégie plus que ça. Tu cours. Tu ne te demandes pas si tu vas courir vite ou pas. Tu cours à l'envie. Mais tu cours à l'envie tout le temps. Donc, quand tu es fatigué, tu ne cours pas vite. Quand tu n'es pas fatigué, tu cours un peu plus vite, voire trop vite. Et du coup, c'est ce que j'appelle l'intensité aléatoire. Et clairement, ce n'est pas réfléchi. si t'as pas d'objectif que que chacun est un peu différent mais limite si tu n'es pas dans l'intensité la vitesse parce que c'est pas ton truc toi t'es plutôt en version footing cool détente ok limite ça peut passer, tu peux progresser comme ça parce que finalement de nature par nature tu cours lentement et c'est très bien mais on est pas tous comme ça clairement parfois on y va un petit peu trop fort sans idée de manoeuvre j'ai envie de dire on court pas en endurance fondamentale on court en version footing un petit peu plus plus donc il faut toujours, souvent, le plus possible, on fait de notre mieux, surtout quand on court tout seul, et ça c'est mon job aussi d'inculquer cette logique-là à mes coachés, il faut introduire une logique de progressivité. Progressivité dans le volume, dans l'intensité, dans la récupération, le mot récupération j'espère qu'il te fait pas mal aux oreilles, mais parce que le repos fait partie de l'entraînement. Et quand je dis repos, c'est pas forcément la récupération, c'est pas forcément du repos pur et dur. Il y a d'autres types, il y a différents types de récupération. Mais du coup, courir trois fois dans la semaine quand c'est pas structuré, et ben c'est la merde. C'est la merde. C'est la merde. Bon, je suis impoli, mais tu vois ce que je veux dire. Tu vas progresser au début, mais très rapidement, tu vas te fatiguer, tu vas stagner. Voilà, comme le... commentaire que j'ai eu, elle ne comprend pas. Ben oui, mais ça me fait penser à un qui me disait, je ne comprends pas, je sors trois fois par semaine, je suis en endurance fondamentale, j'ai commencé la course il y a quatre semaines, mais là, je n'y arrive pas, je ne comprends pas, je ne progresse plus. Et qu'est-ce qui se passe ? Et du coup, il m'a envoyé son profil Strava. je suis un gars sympa quand même, je lui dis, bon, vas-y, montre-moi ton profil, et puis je te dirai ce que j'en pense. J'ai regardé son profil Strava, alors je fais pas ça à tout le monde, sinon je m'en fais, j'ai une vie aussi, tu vois, ce serait un problème, et du coup, je regarde quand même son compte Strava, et là, je lui dis, wow, ah oui, tu cours depuis un mois, donc... 4 semaines à peu près. Et oui, effectivement, il est peut-être en endurance fondamentale, comme je l'avais dit à l'époque. Je vous dis, mais en fait, c'est pas bon de courir 1h30 à chaque fois. Même en endurance fondamentale, là, ça se transforme en sortie longue. Et les sorties longues, par définition, elles sont intensives de par leur longueur. Même si tu cours en endurance fondamentale. Alors, je te cache pas que si moi, je fais 1h30 à chaque sortie en endurance fondamentale, je pense que j'ai beaucoup plus de chance de ne pas me blesser et que finalement peut-être que ça va me servir qu'un débutant qui commence depuis 4 semaines forcément ça l'a amené à l'épuisement c'est rapide 4 semaines mais en même temps 3 fois 1h30 dans la semaine il faut les faire donc voilà 3 fois j'ai envie de dire c'est la base pour commencer à progresser, on va dire, un peu sérieusement. Pour commencer à formater un petit peu le cerveau, de devoir faire trois fois dans la semaine, mettre la paire de chaussures, se conditionner, aller courir, enlever, faire du renfort, de l'assouplissement derrière. Plus tu répètes, plus le cerveau se formate et moins ça te... En fait, tu te conditionnes simplement de par la répétition des actions à ne plus penser à savoir comment tu prends les choses. C'est-à-dire que quand tu as la flemme, c'est incrusté dans ton cerveau que dans tous les cas, tu vas aller courir parce que tu dois aller courir parce que tu as quand même un objectif derrière, quel qu'il soit. Si tu cours, ce n'est pas forcément pour préparer une course, mais ça peut être pour bien te sentir, pour peut-être perdre du poids, même si c'est pas tout à fait... la meilleure des méthodes pour perdre du poids. N'empêche, ça fait du bien de faire du sport. Chacun a ses motivations. Mais du coup, le fait de répéter comme ça le plus souvent possible, tu peux même sortir 5 fois, 6 fois dans la semaine si tu adaptes tes sorties. Tu sors 25 minutes, 30 minutes. Si tu fais ça 6 fois dans la semaine, c'est vachement mieux que 3 fois une heure. tout du moins au début. Après, c'est certain que si tu prépares un 30 km ou même un 20 km, bon, 6 fois 30 minutes, ça risque d'être léger. Il y a un moment où tu devras te cogner quand même une sortie longue pour développer ton endurance. Mais très clairement, je pense qu'on peut même faire 6 fois 30 minutes et après mixer avec des sorties longues. Ça, ça peut très bien te préparer à déjà des belles sorties, de belles courses de 20, de 30 km. Après, tu ne seras pas forcément... hyper bien préparé parce qu'il va te manquer de l'intensité dans les côtes, un petit peu de spécificité par rapport à la course que tu prépares. Je veux dire, tu vas échapper à la majorité des blessures, tu seras progressif, tu vas choper de l'endurance avec les bonnes sorties longues quand même d'une manière progressive. Tu ne vas pas faire deux heures de sorties longues à chaque fois, mais ça aussi, il faut que ce soit évolutif dans le temps et progressif dans le temps. Mais trois sorties par semaine en règle générale, c'est la base pour commencer à bien progresser. Après, 4 sorties, on développe un petit peu plus l'endurance, on augmente gentiment son volume hebdomadaire. 5, c'est parfois difficile de le tenir. Moi, je suis entre 4 et 5 pour tout dire, parce que j'ai une méthode à moi, à moi que je dispense aussi, même si je ne l'explique pas forcément à mes coachés, parce que ça ne les intéresse pas forcément, mais j'ai une méthode qui fait que 5 sorties dans la semaine, je ne suis pas obligé d'empiler, et c'est bien ma façon de voir les choses, je ne suis pas obligé d'empiler, je ne sais pas moi, 100 km par semaine pour préparer un ultra. Non, je n'empile pas 100 km par semaine. D'ailleurs, mes stats le montrent. Je ne suis pas du tout à 100 km. Je pense que je suis à 80 km dans ma ou mes semaines les plus chargées. C'est pour te dire. Et pourtant, je ne cours pas des 20 km. Bon, la vérité, chacun a sa vérité. Néanmoins, au bout d'une centaine de coachés, je pense que ma vérité convient à beaucoup d'entre vous, à une très grosse majorité, au vu des résultats que vous avez tous. Donc, moi, ça me conforte et puis moi aussi, ça me permet de courir tout le temps. Voilà, tout le temps, tout le temps, sans être... quasiment blessé sauf quand je fais des conneries que je me prends les pieds dans un caillou une racine une connerie comme ça mais bon ça voilà c'est du trail c'est pas de la route donc donc voilà on peut courir trois fois quatre fois c'est mieux cinq fois c'est c'est mieux mais si tu le tiens pas c'est comme le renforcement musculaire bah ça ça sert à rien donc une base de 3 fois, puis 4 fois en période un petit peu plus intense c'est la base, et puis quand t'es ça me fait penser, alors je pars un petit peu ailleurs, mais quand t'es entre 2 objectifs, tu maintiens tes 3 fois, mais par contre t'es pas obligé de maintenir non plus une séance de co-hôte t'es pas obligé de maintenir des séances qui te demandaient vraiment de de l'impact psychologique, vraiment mentalement, ça te demande des efforts, entre deux objectifs, il faut se régénérer, il faut retrouver de l'envie, il faut retrouver du plaisir, et le plaisir passe par des séances qu'on a envie de faire, sans forcément mettre de l'intensité. Une fois que... à cette période dépassée que tu vas commencer un plan d'entraînement réellement pour te préparer à ton objectif, la course qui arrive dans quelques semaines voire quelques mois, là, ok, tu vas remettre des séances intensives correctement, placées au bon endroit, à la bonne dose, du coup, tu vas faire des séances qui ne vont pas forcément te faire hyper plaisir, mais par contre, tu seras en forme pour les faire, parce que tu n'auras pas... couper pendant deux mois, à rien faire, même si c'est bien. Je pense à la trêve hivernale, c'est bien aussi de couper. Ça permet de retrouver de l'envie en fait. Je pense que l'élément commun le plus important, l'élément le plus important dans la réussite d'un projet, quel qu'il soit, c'est l'envie. Et notamment en trail, pour avoir envie de se lever à 4h du matin, parfois de se lever pour faire tous les dimanches une sortie longue, d'être loin de sa famille. Il faut être motivé et avoir l'envie. Moi, j'ai l'envie de faire la Swiss Peak. maintenant mon... Mon entraînement est fini, j'ai vraiment envie de démarrer, là je me vois bien, je me projette, je me visualise, je me prépare psychologiquement plus que physiquement. Physiquement c'est fait, j'ai envie de dire c'est torché, le truc il est fait, c'est plus à faire, maintenant la seule chose que je peux faire peut-être c'est une connerie dans mon entraînement. C'est-à-dire... Arriver fatigué le jour J, et fatigué, ça ne veut pas forcément dire avoir fait une bêtise dans les sorties, avoir fait une sortie de 3 heures une semaine avant, je sais que ça, ce serait une bêtise, mais plutôt peut-être mal gérer le sommeil. le sommeil, l'hydratation, la préparation des pieds, la préparation aussi de l'alimentation, ça fait partie des conneries qu'on peut faire et de la préparation. Mais l'entraînement pur et dur... il est fait quoi et là j'ai vraiment envie d'en découdre et pour préparer des objectifs comme ça que ce soit un 30, un 100, enfin bref une course qui te challenge il faut avoir cette envie là mêlée de peur et d'excitation c'est un petit peu les deux mais surtout l'envie de réussir et de progresser pour être bien sur ta course l'objectif c'est de profiter quand même de la course il ne faut pas que ce soit des moments de stress d'angoisse il y en a où ils ont du mal à se défaire de cette angoisse de la course généralement ça disparaît une fois que ça démarre, c'est comme tout une fois que ça démarre ça disparaît mais ça bout beaucoup d'énergie sans s'en rendre compte et ça a un gros impact quand même sur ta course Donc le but du jeu et le but moi de pourquoi je fais ce podcast et pourquoi j'accompagne des gens dans mon coaching, c'est de vous amener à prendre du plaisir mais le plus longtemps possible sur vos courses parce que oui on ne prend pas du plaisir tout le temps, tu le sais, je veux dire si tu as déjà fait des courses, tu sais qu'il y a un moment où tu commences à pêcher dedans. Parfois, ça devient compliqué parce qu'on a des soucis. Oui, mais mon job à moi, c'est de te préparer physiquement, mentalement pour t'amener le plus loin possible avec un état de fraîcheur le mieux possible, en évitant le plus de problèmes possibles aussi. On dirait une équation. Il faudrait que je la pose par écrit, cette équation. Mais bon, tu as compris l'idée. Pour revenir, pourquoi tu stagnes peut-être toi aussi alors que tu fais trois sorties par semaine ? Parce que la progressivité demande de varier, demande une certaine intensité dans les courses, demande une certaine intensité dans la récupération et une certaine méthode. Tout simplement, courir, ce n'est pas compliqué. mais c'est pas parce que c'est pas compliqué que ça en devient facile non, il faut quand même se renseigner poser des questions, parfois se faire accompagner et avec plaisir je le ferai avec toi d'ailleurs je mets le lien dans tous les épisodes de podcast donc si tu veux cliquer sur le lien tu verras la page qui va te renseigner par rapport à mon coaching et puis c'est comme ça que tu vas progresser en fait en commençant à réfléchir un petit peu comment tu courais, pas juste tiens je vais m'acheter une jolie montre, une paire de baskets oui si ça marche au début mais si tu veux vraiment progresser pour te préparer un 10, un 20 et puis plus c'est un virus la course à pied que ce soit sur route ou en trail, c'est un virus et une fois qu'on commence à le choper c'est là où on commence à faire des conneries parce qu'on sort un petit peu trop parce qu'on se sent bien donc voilà il faut essayer de lever un petit peu prendre du recul et se dire ok ok là je suis pas blessé, je suis cool qu'est-ce qu'il faut que je fasse qu'est ce qu'il faut que je mette en place pour continuer à progresser continue à courir Le plus souvent possible parce que c'est ça en fait, je pense que chacun, enfin tout le monde est pareil, on a envie de courir quand on se sent bien, donc quasiment tous les jours, si on s'écoutait, voilà, mais pour ça il faut pas être blessé quoi, tout simplement, et on a vite fait d'être blessé dans la première année de running et même après, mais bon à force d'expérience et de frustration on commence à s'écouter et moi si je peux t'éviter ce genre de frustration à travers mes plans d'entraînement, mes séances d'entraînement, bah écoute, c'est... toujours ça de pris et c'est pour ça que je fais ces podcasts aussi et que je donne énormément de conseils. Bref, bon, j'espère que cet épisode a, j'en suis quoi, 15 minutes, 16 minutes, oh là là, un monologue. C'est fou ça, je pense que je pourrais parler pendant deux heures, mais je vais m'arrêter là. Bon. allez merci en tout cas à tous ceux qui m'ont envoyé des petits messages pour me dire qu'ils m'écoutaient sur la route dans la cuisine en se baladant, en sortie longue donc ça c'est chouette, moi ça me motive je continue, n'oubliez pas de poster de mettre 5 étoiles sur 5 ou 6 étoiles sur 5 même quand sur Spotify je crois que c'est possible, sur Deezer aussi enfin bref et puis si vous avez des questions n'hésitez pas non plus et puis si vous voulez que je vous accompagne dans votre prochain défi bah écoute ce sera avec plaisir, le lien de renseignement est dans la description de cet épisode, comme dans tous les épisodes. Allez, sur ce, j'arrête là. Je te souhaite une très belle journée et on se dit à plus tard. Allez, ciao, ciao.

Chapters

  • Introduction au podcast et à l'entraînement

    00:13

  • Les problèmes de stagnation en course

    01:34

  • L'importance de la progressivité dans l'entraînement

    03:43

  • Structurer ses séances pour éviter la fatigue

    05:10

  • Conclusion et conseils pour progresser en trail

    14:31

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  • Une question?



    As-tu déjà ressenti cette frustration de stagner dans ta progression en course à pied, malgré des entraînements réguliers?


    Dans cet épisode de Du 5km à l'ultratrail! , je partage avec toi des conseils pratiques et des stratégies essentielles pour surmonter ces obstacles. La course à pied est une aventure passionnante, mais elle peut parfois sembler décourageante, surtout lorsque l'on ne voit pas les résultats escomptés. Je vais t'expliquer pourquoi il est crucial d'avoir une structure solide dans ton entraînement, car courir trois fois par semaine sans planification adéquate peut mener à la fatigue et à une stagnation de tes performances.



    Au fil de cet épisode, je mets l'accent sur l'importance d'une approche progressive, tant en termes de volume que d'intensité. Je te parlerai de la gestion de l'intensité de tes séances d'entraînement, d'une bonne récupération, et de la manière de te fixer des objectifs clairs qui te permettront de garder ta motivation intacte. Que tu te prépares pour un 5km, un marathon, ou même un ultra trail, ces conseils te seront précieux pour optimiser ton expérience de coureur.



    Je t'encourage également à ne pas perdre de vue le plaisir de courir. La course à pied ne doit pas devenir une corvée, mais plutôt une source de joie et d'épanouissement. En développant une routine d'entraînement qui te motive, tu pourras éviter les blessures et progresser de manière durable. Se concentrer sur le premier kilomètre et sur chaque étape de ta préparation mentale est essentiel pour atteindre tes objectifs, qu'il s'agisse de courir un trail long ou d'améliorer ton endurance.



    En conclusion, je te rappelle que la clé de la réussite réside dans l'envie et la passion pour la course. Réfléchis à ta propre approche de l'entraînement et n'hésite pas à écouter cet épisode pour découvrir comment transformer tes défis en opportunités. Prêt à franchir la ligne d'arrivée avec succès?


  • Écoute maintenant Du 5km à l'ultratrail! et fais le premier pas vers une nouvelle aventure en course à pied!




Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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  • Speaker #0

    Bienvenue dans du 5 km à l'Ultra Trail, le podcast qui t'aide à progresser en trail avec méthode, plaisir et confiance. Et cela quel que soit ton niveau. Attention 3, 2, 1, c'est parti ! Et salut les amis, bienvenue dans ce nouvel épisode du 5 km à l'Ultra Trail. J'espère que vous allez bien en cette période de vacances ou pas. ça se trouve tu bosses, parce que la France ne s'arrête pas de tourner quand même, même si les administrations et compagnie il faut pas faire de prêts bancaires, il faut pas même pas s'il faut se marier au mois d'août il y a pas mal de choses qui sont fermées mais il y a quand même des gens qui bossent et notamment je pense à Anne qui vient de prendre le coaching, le début du coaching et ça me fait dire que je devrais en parler un petit peu plus souvent, c'est vrai que moi j'ai grand plaisir à accompagner de nouvelles personnes ... parce qu'il y a des nouvelles histoires, il y a des nouveaux objectifs. Ça me renouvelle dans mon coaching aussi parce que chacun est différent et il faut apporter des solutions un petit peu différentes, des mots différents. Même si la progression, la façon de s'entraîner, ma méthode d'entraînement est la même, n'empêche, il faut que ce soit adapté à la majorité, à tout le monde en fait. C'est ça l'avantage du coaching. Donc voilà, bienvenue à... Anne, elle se reconnaîtra très certainement. Allez, de quoi j'ai envie de te parler ? Bah écoute, déjà, j'ai un petit sujet qui me vient parce que, en fait, sur Instagram, on m'a posé une question. Il me dit, ou elle d'ailleurs, je crois que c'était une fille, qui me disait, je comprends pas, je sors trois fois par semaine et je stagne, je progresse pas en fait. voire pire, je régresse. Alors quand on dit régresser, ça veut dire qu'on commence à fatiguer, ça veut dire qu'on commence à tirer un peu la langue, à perdre un petit peu de motivation, à mettre plus de temps finalement sur son trajet qu'on connaît tous. Chacun a, je pense, à côté de chez soi, quand on sort, a son trajet qui fait X temps ou X kilomètres. Et c'est vrai que... On a vite fait de se comparer en fait, en disant, tiens, d'habitude je le fais en 45 minutes, là je l'ai fait en 48 minutes, oh là là, compliqué, je sais pas pourquoi ça va pas, j'ai pas l'impression de courir vite, je comprends pas, je suis régulier ou régulière. Bah écoute, oui, tu peux courir trois fois par semaine, tu peux même courir plus. Mais tu te demandes très certainement... Qu'est-ce que tu fais de mal en courant trois fois par semaine ? Alors, ce n'est pas une question d'effort, c'est une question de structure. Il suffit de courir souvent pour progresser ? Oui et non. Déjà, ça dépend comment tu cours. Et là, tu as l'erreur classique de l'intensité, j'ai envie de dire, aléatoire. L'intensité aléatoire. c'est l'intensité que tu mets dans tes sorties sans que tu n'y aies réfléchi avant, tu n'y aies pensé avant. C'est-à-dire que tu vas courir sans stratégie plus que ça. Tu cours. Tu ne te demandes pas si tu vas courir vite ou pas. Tu cours à l'envie. Mais tu cours à l'envie tout le temps. Donc, quand tu es fatigué, tu ne cours pas vite. Quand tu n'es pas fatigué, tu cours un peu plus vite, voire trop vite. Et du coup, c'est ce que j'appelle l'intensité aléatoire. Et clairement, ce n'est pas réfléchi. si t'as pas d'objectif que que chacun est un peu différent mais limite si tu n'es pas dans l'intensité la vitesse parce que c'est pas ton truc toi t'es plutôt en version footing cool détente ok limite ça peut passer, tu peux progresser comme ça parce que finalement de nature par nature tu cours lentement et c'est très bien mais on est pas tous comme ça clairement parfois on y va un petit peu trop fort sans idée de manoeuvre j'ai envie de dire on court pas en endurance fondamentale on court en version footing un petit peu plus plus donc il faut toujours, souvent, le plus possible, on fait de notre mieux, surtout quand on court tout seul, et ça c'est mon job aussi d'inculquer cette logique-là à mes coachés, il faut introduire une logique de progressivité. Progressivité dans le volume, dans l'intensité, dans la récupération, le mot récupération j'espère qu'il te fait pas mal aux oreilles, mais parce que le repos fait partie de l'entraînement. Et quand je dis repos, c'est pas forcément la récupération, c'est pas forcément du repos pur et dur. Il y a d'autres types, il y a différents types de récupération. Mais du coup, courir trois fois dans la semaine quand c'est pas structuré, et ben c'est la merde. C'est la merde. C'est la merde. Bon, je suis impoli, mais tu vois ce que je veux dire. Tu vas progresser au début, mais très rapidement, tu vas te fatiguer, tu vas stagner. Voilà, comme le... commentaire que j'ai eu, elle ne comprend pas. Ben oui, mais ça me fait penser à un qui me disait, je ne comprends pas, je sors trois fois par semaine, je suis en endurance fondamentale, j'ai commencé la course il y a quatre semaines, mais là, je n'y arrive pas, je ne comprends pas, je ne progresse plus. Et qu'est-ce qui se passe ? Et du coup, il m'a envoyé son profil Strava. je suis un gars sympa quand même, je lui dis, bon, vas-y, montre-moi ton profil, et puis je te dirai ce que j'en pense. J'ai regardé son profil Strava, alors je fais pas ça à tout le monde, sinon je m'en fais, j'ai une vie aussi, tu vois, ce serait un problème, et du coup, je regarde quand même son compte Strava, et là, je lui dis, wow, ah oui, tu cours depuis un mois, donc... 4 semaines à peu près. Et oui, effectivement, il est peut-être en endurance fondamentale, comme je l'avais dit à l'époque. Je vous dis, mais en fait, c'est pas bon de courir 1h30 à chaque fois. Même en endurance fondamentale, là, ça se transforme en sortie longue. Et les sorties longues, par définition, elles sont intensives de par leur longueur. Même si tu cours en endurance fondamentale. Alors, je te cache pas que si moi, je fais 1h30 à chaque sortie en endurance fondamentale, je pense que j'ai beaucoup plus de chance de ne pas me blesser et que finalement peut-être que ça va me servir qu'un débutant qui commence depuis 4 semaines forcément ça l'a amené à l'épuisement c'est rapide 4 semaines mais en même temps 3 fois 1h30 dans la semaine il faut les faire donc voilà 3 fois j'ai envie de dire c'est la base pour commencer à progresser, on va dire, un peu sérieusement. Pour commencer à formater un petit peu le cerveau, de devoir faire trois fois dans la semaine, mettre la paire de chaussures, se conditionner, aller courir, enlever, faire du renfort, de l'assouplissement derrière. Plus tu répètes, plus le cerveau se formate et moins ça te... En fait, tu te conditionnes simplement de par la répétition des actions à ne plus penser à savoir comment tu prends les choses. C'est-à-dire que quand tu as la flemme, c'est incrusté dans ton cerveau que dans tous les cas, tu vas aller courir parce que tu dois aller courir parce que tu as quand même un objectif derrière, quel qu'il soit. Si tu cours, ce n'est pas forcément pour préparer une course, mais ça peut être pour bien te sentir, pour peut-être perdre du poids, même si c'est pas tout à fait... la meilleure des méthodes pour perdre du poids. N'empêche, ça fait du bien de faire du sport. Chacun a ses motivations. Mais du coup, le fait de répéter comme ça le plus souvent possible, tu peux même sortir 5 fois, 6 fois dans la semaine si tu adaptes tes sorties. Tu sors 25 minutes, 30 minutes. Si tu fais ça 6 fois dans la semaine, c'est vachement mieux que 3 fois une heure. tout du moins au début. Après, c'est certain que si tu prépares un 30 km ou même un 20 km, bon, 6 fois 30 minutes, ça risque d'être léger. Il y a un moment où tu devras te cogner quand même une sortie longue pour développer ton endurance. Mais très clairement, je pense qu'on peut même faire 6 fois 30 minutes et après mixer avec des sorties longues. Ça, ça peut très bien te préparer à déjà des belles sorties, de belles courses de 20, de 30 km. Après, tu ne seras pas forcément... hyper bien préparé parce qu'il va te manquer de l'intensité dans les côtes, un petit peu de spécificité par rapport à la course que tu prépares. Je veux dire, tu vas échapper à la majorité des blessures, tu seras progressif, tu vas choper de l'endurance avec les bonnes sorties longues quand même d'une manière progressive. Tu ne vas pas faire deux heures de sorties longues à chaque fois, mais ça aussi, il faut que ce soit évolutif dans le temps et progressif dans le temps. Mais trois sorties par semaine en règle générale, c'est la base pour commencer à bien progresser. Après, 4 sorties, on développe un petit peu plus l'endurance, on augmente gentiment son volume hebdomadaire. 5, c'est parfois difficile de le tenir. Moi, je suis entre 4 et 5 pour tout dire, parce que j'ai une méthode à moi, à moi que je dispense aussi, même si je ne l'explique pas forcément à mes coachés, parce que ça ne les intéresse pas forcément, mais j'ai une méthode qui fait que 5 sorties dans la semaine, je ne suis pas obligé d'empiler, et c'est bien ma façon de voir les choses, je ne suis pas obligé d'empiler, je ne sais pas moi, 100 km par semaine pour préparer un ultra. Non, je n'empile pas 100 km par semaine. D'ailleurs, mes stats le montrent. Je ne suis pas du tout à 100 km. Je pense que je suis à 80 km dans ma ou mes semaines les plus chargées. C'est pour te dire. Et pourtant, je ne cours pas des 20 km. Bon, la vérité, chacun a sa vérité. Néanmoins, au bout d'une centaine de coachés, je pense que ma vérité convient à beaucoup d'entre vous, à une très grosse majorité, au vu des résultats que vous avez tous. Donc, moi, ça me conforte et puis moi aussi, ça me permet de courir tout le temps. Voilà, tout le temps, tout le temps, sans être... quasiment blessé sauf quand je fais des conneries que je me prends les pieds dans un caillou une racine une connerie comme ça mais bon ça voilà c'est du trail c'est pas de la route donc donc voilà on peut courir trois fois quatre fois c'est mieux cinq fois c'est c'est mieux mais si tu le tiens pas c'est comme le renforcement musculaire bah ça ça sert à rien donc une base de 3 fois, puis 4 fois en période un petit peu plus intense c'est la base, et puis quand t'es ça me fait penser, alors je pars un petit peu ailleurs, mais quand t'es entre 2 objectifs, tu maintiens tes 3 fois, mais par contre t'es pas obligé de maintenir non plus une séance de co-hôte t'es pas obligé de maintenir des séances qui te demandaient vraiment de de l'impact psychologique, vraiment mentalement, ça te demande des efforts, entre deux objectifs, il faut se régénérer, il faut retrouver de l'envie, il faut retrouver du plaisir, et le plaisir passe par des séances qu'on a envie de faire, sans forcément mettre de l'intensité. Une fois que... à cette période dépassée que tu vas commencer un plan d'entraînement réellement pour te préparer à ton objectif, la course qui arrive dans quelques semaines voire quelques mois, là, ok, tu vas remettre des séances intensives correctement, placées au bon endroit, à la bonne dose, du coup, tu vas faire des séances qui ne vont pas forcément te faire hyper plaisir, mais par contre, tu seras en forme pour les faire, parce que tu n'auras pas... couper pendant deux mois, à rien faire, même si c'est bien. Je pense à la trêve hivernale, c'est bien aussi de couper. Ça permet de retrouver de l'envie en fait. Je pense que l'élément commun le plus important, l'élément le plus important dans la réussite d'un projet, quel qu'il soit, c'est l'envie. Et notamment en trail, pour avoir envie de se lever à 4h du matin, parfois de se lever pour faire tous les dimanches une sortie longue, d'être loin de sa famille. Il faut être motivé et avoir l'envie. Moi, j'ai l'envie de faire la Swiss Peak. maintenant mon... Mon entraînement est fini, j'ai vraiment envie de démarrer, là je me vois bien, je me projette, je me visualise, je me prépare psychologiquement plus que physiquement. Physiquement c'est fait, j'ai envie de dire c'est torché, le truc il est fait, c'est plus à faire, maintenant la seule chose que je peux faire peut-être c'est une connerie dans mon entraînement. C'est-à-dire... Arriver fatigué le jour J, et fatigué, ça ne veut pas forcément dire avoir fait une bêtise dans les sorties, avoir fait une sortie de 3 heures une semaine avant, je sais que ça, ce serait une bêtise, mais plutôt peut-être mal gérer le sommeil. le sommeil, l'hydratation, la préparation des pieds, la préparation aussi de l'alimentation, ça fait partie des conneries qu'on peut faire et de la préparation. Mais l'entraînement pur et dur... il est fait quoi et là j'ai vraiment envie d'en découdre et pour préparer des objectifs comme ça que ce soit un 30, un 100, enfin bref une course qui te challenge il faut avoir cette envie là mêlée de peur et d'excitation c'est un petit peu les deux mais surtout l'envie de réussir et de progresser pour être bien sur ta course l'objectif c'est de profiter quand même de la course il ne faut pas que ce soit des moments de stress d'angoisse il y en a où ils ont du mal à se défaire de cette angoisse de la course généralement ça disparaît une fois que ça démarre, c'est comme tout une fois que ça démarre ça disparaît mais ça bout beaucoup d'énergie sans s'en rendre compte et ça a un gros impact quand même sur ta course Donc le but du jeu et le but moi de pourquoi je fais ce podcast et pourquoi j'accompagne des gens dans mon coaching, c'est de vous amener à prendre du plaisir mais le plus longtemps possible sur vos courses parce que oui on ne prend pas du plaisir tout le temps, tu le sais, je veux dire si tu as déjà fait des courses, tu sais qu'il y a un moment où tu commences à pêcher dedans. Parfois, ça devient compliqué parce qu'on a des soucis. Oui, mais mon job à moi, c'est de te préparer physiquement, mentalement pour t'amener le plus loin possible avec un état de fraîcheur le mieux possible, en évitant le plus de problèmes possibles aussi. On dirait une équation. Il faudrait que je la pose par écrit, cette équation. Mais bon, tu as compris l'idée. Pour revenir, pourquoi tu stagnes peut-être toi aussi alors que tu fais trois sorties par semaine ? Parce que la progressivité demande de varier, demande une certaine intensité dans les courses, demande une certaine intensité dans la récupération et une certaine méthode. Tout simplement, courir, ce n'est pas compliqué. mais c'est pas parce que c'est pas compliqué que ça en devient facile non, il faut quand même se renseigner poser des questions, parfois se faire accompagner et avec plaisir je le ferai avec toi d'ailleurs je mets le lien dans tous les épisodes de podcast donc si tu veux cliquer sur le lien tu verras la page qui va te renseigner par rapport à mon coaching et puis c'est comme ça que tu vas progresser en fait en commençant à réfléchir un petit peu comment tu courais, pas juste tiens je vais m'acheter une jolie montre, une paire de baskets oui si ça marche au début mais si tu veux vraiment progresser pour te préparer un 10, un 20 et puis plus c'est un virus la course à pied que ce soit sur route ou en trail, c'est un virus et une fois qu'on commence à le choper c'est là où on commence à faire des conneries parce qu'on sort un petit peu trop parce qu'on se sent bien donc voilà il faut essayer de lever un petit peu prendre du recul et se dire ok ok là je suis pas blessé, je suis cool qu'est-ce qu'il faut que je fasse qu'est ce qu'il faut que je mette en place pour continuer à progresser continue à courir Le plus souvent possible parce que c'est ça en fait, je pense que chacun, enfin tout le monde est pareil, on a envie de courir quand on se sent bien, donc quasiment tous les jours, si on s'écoutait, voilà, mais pour ça il faut pas être blessé quoi, tout simplement, et on a vite fait d'être blessé dans la première année de running et même après, mais bon à force d'expérience et de frustration on commence à s'écouter et moi si je peux t'éviter ce genre de frustration à travers mes plans d'entraînement, mes séances d'entraînement, bah écoute, c'est... toujours ça de pris et c'est pour ça que je fais ces podcasts aussi et que je donne énormément de conseils. Bref, bon, j'espère que cet épisode a, j'en suis quoi, 15 minutes, 16 minutes, oh là là, un monologue. C'est fou ça, je pense que je pourrais parler pendant deux heures, mais je vais m'arrêter là. Bon. allez merci en tout cas à tous ceux qui m'ont envoyé des petits messages pour me dire qu'ils m'écoutaient sur la route dans la cuisine en se baladant, en sortie longue donc ça c'est chouette, moi ça me motive je continue, n'oubliez pas de poster de mettre 5 étoiles sur 5 ou 6 étoiles sur 5 même quand sur Spotify je crois que c'est possible, sur Deezer aussi enfin bref et puis si vous avez des questions n'hésitez pas non plus et puis si vous voulez que je vous accompagne dans votre prochain défi bah écoute ce sera avec plaisir, le lien de renseignement est dans la description de cet épisode, comme dans tous les épisodes. Allez, sur ce, j'arrête là. Je te souhaite une très belle journée et on se dit à plus tard. Allez, ciao, ciao.

Chapters

  • Introduction au podcast et à l'entraînement

    00:13

  • Les problèmes de stagnation en course

    01:34

  • L'importance de la progressivité dans l'entraînement

    03:43

  • Structurer ses séances pour éviter la fatigue

    05:10

  • Conclusion et conseils pour progresser en trail

    14:31

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Mes liens pour toi:


  • Infos coaching

  • Une question?



    As-tu déjà ressenti cette frustration de stagner dans ta progression en course à pied, malgré des entraînements réguliers?


    Dans cet épisode de Du 5km à l'ultratrail! , je partage avec toi des conseils pratiques et des stratégies essentielles pour surmonter ces obstacles. La course à pied est une aventure passionnante, mais elle peut parfois sembler décourageante, surtout lorsque l'on ne voit pas les résultats escomptés. Je vais t'expliquer pourquoi il est crucial d'avoir une structure solide dans ton entraînement, car courir trois fois par semaine sans planification adéquate peut mener à la fatigue et à une stagnation de tes performances.



    Au fil de cet épisode, je mets l'accent sur l'importance d'une approche progressive, tant en termes de volume que d'intensité. Je te parlerai de la gestion de l'intensité de tes séances d'entraînement, d'une bonne récupération, et de la manière de te fixer des objectifs clairs qui te permettront de garder ta motivation intacte. Que tu te prépares pour un 5km, un marathon, ou même un ultra trail, ces conseils te seront précieux pour optimiser ton expérience de coureur.



    Je t'encourage également à ne pas perdre de vue le plaisir de courir. La course à pied ne doit pas devenir une corvée, mais plutôt une source de joie et d'épanouissement. En développant une routine d'entraînement qui te motive, tu pourras éviter les blessures et progresser de manière durable. Se concentrer sur le premier kilomètre et sur chaque étape de ta préparation mentale est essentiel pour atteindre tes objectifs, qu'il s'agisse de courir un trail long ou d'améliorer ton endurance.



    En conclusion, je te rappelle que la clé de la réussite réside dans l'envie et la passion pour la course. Réfléchis à ta propre approche de l'entraînement et n'hésite pas à écouter cet épisode pour découvrir comment transformer tes défis en opportunités. Prêt à franchir la ligne d'arrivée avec succès?


  • Écoute maintenant Du 5km à l'ultratrail! et fais le premier pas vers une nouvelle aventure en course à pied!




Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans du 5 km à l'Ultra Trail, le podcast qui t'aide à progresser en trail avec méthode, plaisir et confiance. Et cela quel que soit ton niveau. Attention 3, 2, 1, c'est parti ! Et salut les amis, bienvenue dans ce nouvel épisode du 5 km à l'Ultra Trail. J'espère que vous allez bien en cette période de vacances ou pas. ça se trouve tu bosses, parce que la France ne s'arrête pas de tourner quand même, même si les administrations et compagnie il faut pas faire de prêts bancaires, il faut pas même pas s'il faut se marier au mois d'août il y a pas mal de choses qui sont fermées mais il y a quand même des gens qui bossent et notamment je pense à Anne qui vient de prendre le coaching, le début du coaching et ça me fait dire que je devrais en parler un petit peu plus souvent, c'est vrai que moi j'ai grand plaisir à accompagner de nouvelles personnes ... parce qu'il y a des nouvelles histoires, il y a des nouveaux objectifs. Ça me renouvelle dans mon coaching aussi parce que chacun est différent et il faut apporter des solutions un petit peu différentes, des mots différents. Même si la progression, la façon de s'entraîner, ma méthode d'entraînement est la même, n'empêche, il faut que ce soit adapté à la majorité, à tout le monde en fait. C'est ça l'avantage du coaching. Donc voilà, bienvenue à... Anne, elle se reconnaîtra très certainement. Allez, de quoi j'ai envie de te parler ? Bah écoute, déjà, j'ai un petit sujet qui me vient parce que, en fait, sur Instagram, on m'a posé une question. Il me dit, ou elle d'ailleurs, je crois que c'était une fille, qui me disait, je comprends pas, je sors trois fois par semaine et je stagne, je progresse pas en fait. voire pire, je régresse. Alors quand on dit régresser, ça veut dire qu'on commence à fatiguer, ça veut dire qu'on commence à tirer un peu la langue, à perdre un petit peu de motivation, à mettre plus de temps finalement sur son trajet qu'on connaît tous. Chacun a, je pense, à côté de chez soi, quand on sort, a son trajet qui fait X temps ou X kilomètres. Et c'est vrai que... On a vite fait de se comparer en fait, en disant, tiens, d'habitude je le fais en 45 minutes, là je l'ai fait en 48 minutes, oh là là, compliqué, je sais pas pourquoi ça va pas, j'ai pas l'impression de courir vite, je comprends pas, je suis régulier ou régulière. Bah écoute, oui, tu peux courir trois fois par semaine, tu peux même courir plus. Mais tu te demandes très certainement... Qu'est-ce que tu fais de mal en courant trois fois par semaine ? Alors, ce n'est pas une question d'effort, c'est une question de structure. Il suffit de courir souvent pour progresser ? Oui et non. Déjà, ça dépend comment tu cours. Et là, tu as l'erreur classique de l'intensité, j'ai envie de dire, aléatoire. L'intensité aléatoire. c'est l'intensité que tu mets dans tes sorties sans que tu n'y aies réfléchi avant, tu n'y aies pensé avant. C'est-à-dire que tu vas courir sans stratégie plus que ça. Tu cours. Tu ne te demandes pas si tu vas courir vite ou pas. Tu cours à l'envie. Mais tu cours à l'envie tout le temps. Donc, quand tu es fatigué, tu ne cours pas vite. Quand tu n'es pas fatigué, tu cours un peu plus vite, voire trop vite. Et du coup, c'est ce que j'appelle l'intensité aléatoire. Et clairement, ce n'est pas réfléchi. si t'as pas d'objectif que que chacun est un peu différent mais limite si tu n'es pas dans l'intensité la vitesse parce que c'est pas ton truc toi t'es plutôt en version footing cool détente ok limite ça peut passer, tu peux progresser comme ça parce que finalement de nature par nature tu cours lentement et c'est très bien mais on est pas tous comme ça clairement parfois on y va un petit peu trop fort sans idée de manoeuvre j'ai envie de dire on court pas en endurance fondamentale on court en version footing un petit peu plus plus donc il faut toujours, souvent, le plus possible, on fait de notre mieux, surtout quand on court tout seul, et ça c'est mon job aussi d'inculquer cette logique-là à mes coachés, il faut introduire une logique de progressivité. Progressivité dans le volume, dans l'intensité, dans la récupération, le mot récupération j'espère qu'il te fait pas mal aux oreilles, mais parce que le repos fait partie de l'entraînement. Et quand je dis repos, c'est pas forcément la récupération, c'est pas forcément du repos pur et dur. Il y a d'autres types, il y a différents types de récupération. Mais du coup, courir trois fois dans la semaine quand c'est pas structuré, et ben c'est la merde. C'est la merde. C'est la merde. Bon, je suis impoli, mais tu vois ce que je veux dire. Tu vas progresser au début, mais très rapidement, tu vas te fatiguer, tu vas stagner. Voilà, comme le... commentaire que j'ai eu, elle ne comprend pas. Ben oui, mais ça me fait penser à un qui me disait, je ne comprends pas, je sors trois fois par semaine, je suis en endurance fondamentale, j'ai commencé la course il y a quatre semaines, mais là, je n'y arrive pas, je ne comprends pas, je ne progresse plus. Et qu'est-ce qui se passe ? Et du coup, il m'a envoyé son profil Strava. je suis un gars sympa quand même, je lui dis, bon, vas-y, montre-moi ton profil, et puis je te dirai ce que j'en pense. J'ai regardé son profil Strava, alors je fais pas ça à tout le monde, sinon je m'en fais, j'ai une vie aussi, tu vois, ce serait un problème, et du coup, je regarde quand même son compte Strava, et là, je lui dis, wow, ah oui, tu cours depuis un mois, donc... 4 semaines à peu près. Et oui, effectivement, il est peut-être en endurance fondamentale, comme je l'avais dit à l'époque. Je vous dis, mais en fait, c'est pas bon de courir 1h30 à chaque fois. Même en endurance fondamentale, là, ça se transforme en sortie longue. Et les sorties longues, par définition, elles sont intensives de par leur longueur. Même si tu cours en endurance fondamentale. Alors, je te cache pas que si moi, je fais 1h30 à chaque sortie en endurance fondamentale, je pense que j'ai beaucoup plus de chance de ne pas me blesser et que finalement peut-être que ça va me servir qu'un débutant qui commence depuis 4 semaines forcément ça l'a amené à l'épuisement c'est rapide 4 semaines mais en même temps 3 fois 1h30 dans la semaine il faut les faire donc voilà 3 fois j'ai envie de dire c'est la base pour commencer à progresser, on va dire, un peu sérieusement. Pour commencer à formater un petit peu le cerveau, de devoir faire trois fois dans la semaine, mettre la paire de chaussures, se conditionner, aller courir, enlever, faire du renfort, de l'assouplissement derrière. Plus tu répètes, plus le cerveau se formate et moins ça te... En fait, tu te conditionnes simplement de par la répétition des actions à ne plus penser à savoir comment tu prends les choses. C'est-à-dire que quand tu as la flemme, c'est incrusté dans ton cerveau que dans tous les cas, tu vas aller courir parce que tu dois aller courir parce que tu as quand même un objectif derrière, quel qu'il soit. Si tu cours, ce n'est pas forcément pour préparer une course, mais ça peut être pour bien te sentir, pour peut-être perdre du poids, même si c'est pas tout à fait... la meilleure des méthodes pour perdre du poids. N'empêche, ça fait du bien de faire du sport. Chacun a ses motivations. Mais du coup, le fait de répéter comme ça le plus souvent possible, tu peux même sortir 5 fois, 6 fois dans la semaine si tu adaptes tes sorties. Tu sors 25 minutes, 30 minutes. Si tu fais ça 6 fois dans la semaine, c'est vachement mieux que 3 fois une heure. tout du moins au début. Après, c'est certain que si tu prépares un 30 km ou même un 20 km, bon, 6 fois 30 minutes, ça risque d'être léger. Il y a un moment où tu devras te cogner quand même une sortie longue pour développer ton endurance. Mais très clairement, je pense qu'on peut même faire 6 fois 30 minutes et après mixer avec des sorties longues. Ça, ça peut très bien te préparer à déjà des belles sorties, de belles courses de 20, de 30 km. Après, tu ne seras pas forcément... hyper bien préparé parce qu'il va te manquer de l'intensité dans les côtes, un petit peu de spécificité par rapport à la course que tu prépares. Je veux dire, tu vas échapper à la majorité des blessures, tu seras progressif, tu vas choper de l'endurance avec les bonnes sorties longues quand même d'une manière progressive. Tu ne vas pas faire deux heures de sorties longues à chaque fois, mais ça aussi, il faut que ce soit évolutif dans le temps et progressif dans le temps. Mais trois sorties par semaine en règle générale, c'est la base pour commencer à bien progresser. Après, 4 sorties, on développe un petit peu plus l'endurance, on augmente gentiment son volume hebdomadaire. 5, c'est parfois difficile de le tenir. Moi, je suis entre 4 et 5 pour tout dire, parce que j'ai une méthode à moi, à moi que je dispense aussi, même si je ne l'explique pas forcément à mes coachés, parce que ça ne les intéresse pas forcément, mais j'ai une méthode qui fait que 5 sorties dans la semaine, je ne suis pas obligé d'empiler, et c'est bien ma façon de voir les choses, je ne suis pas obligé d'empiler, je ne sais pas moi, 100 km par semaine pour préparer un ultra. Non, je n'empile pas 100 km par semaine. D'ailleurs, mes stats le montrent. Je ne suis pas du tout à 100 km. Je pense que je suis à 80 km dans ma ou mes semaines les plus chargées. C'est pour te dire. Et pourtant, je ne cours pas des 20 km. Bon, la vérité, chacun a sa vérité. Néanmoins, au bout d'une centaine de coachés, je pense que ma vérité convient à beaucoup d'entre vous, à une très grosse majorité, au vu des résultats que vous avez tous. Donc, moi, ça me conforte et puis moi aussi, ça me permet de courir tout le temps. Voilà, tout le temps, tout le temps, sans être... quasiment blessé sauf quand je fais des conneries que je me prends les pieds dans un caillou une racine une connerie comme ça mais bon ça voilà c'est du trail c'est pas de la route donc donc voilà on peut courir trois fois quatre fois c'est mieux cinq fois c'est c'est mieux mais si tu le tiens pas c'est comme le renforcement musculaire bah ça ça sert à rien donc une base de 3 fois, puis 4 fois en période un petit peu plus intense c'est la base, et puis quand t'es ça me fait penser, alors je pars un petit peu ailleurs, mais quand t'es entre 2 objectifs, tu maintiens tes 3 fois, mais par contre t'es pas obligé de maintenir non plus une séance de co-hôte t'es pas obligé de maintenir des séances qui te demandaient vraiment de de l'impact psychologique, vraiment mentalement, ça te demande des efforts, entre deux objectifs, il faut se régénérer, il faut retrouver de l'envie, il faut retrouver du plaisir, et le plaisir passe par des séances qu'on a envie de faire, sans forcément mettre de l'intensité. Une fois que... à cette période dépassée que tu vas commencer un plan d'entraînement réellement pour te préparer à ton objectif, la course qui arrive dans quelques semaines voire quelques mois, là, ok, tu vas remettre des séances intensives correctement, placées au bon endroit, à la bonne dose, du coup, tu vas faire des séances qui ne vont pas forcément te faire hyper plaisir, mais par contre, tu seras en forme pour les faire, parce que tu n'auras pas... couper pendant deux mois, à rien faire, même si c'est bien. Je pense à la trêve hivernale, c'est bien aussi de couper. Ça permet de retrouver de l'envie en fait. Je pense que l'élément commun le plus important, l'élément le plus important dans la réussite d'un projet, quel qu'il soit, c'est l'envie. Et notamment en trail, pour avoir envie de se lever à 4h du matin, parfois de se lever pour faire tous les dimanches une sortie longue, d'être loin de sa famille. Il faut être motivé et avoir l'envie. Moi, j'ai l'envie de faire la Swiss Peak. maintenant mon... Mon entraînement est fini, j'ai vraiment envie de démarrer, là je me vois bien, je me projette, je me visualise, je me prépare psychologiquement plus que physiquement. Physiquement c'est fait, j'ai envie de dire c'est torché, le truc il est fait, c'est plus à faire, maintenant la seule chose que je peux faire peut-être c'est une connerie dans mon entraînement. C'est-à-dire... Arriver fatigué le jour J, et fatigué, ça ne veut pas forcément dire avoir fait une bêtise dans les sorties, avoir fait une sortie de 3 heures une semaine avant, je sais que ça, ce serait une bêtise, mais plutôt peut-être mal gérer le sommeil. le sommeil, l'hydratation, la préparation des pieds, la préparation aussi de l'alimentation, ça fait partie des conneries qu'on peut faire et de la préparation. Mais l'entraînement pur et dur... il est fait quoi et là j'ai vraiment envie d'en découdre et pour préparer des objectifs comme ça que ce soit un 30, un 100, enfin bref une course qui te challenge il faut avoir cette envie là mêlée de peur et d'excitation c'est un petit peu les deux mais surtout l'envie de réussir et de progresser pour être bien sur ta course l'objectif c'est de profiter quand même de la course il ne faut pas que ce soit des moments de stress d'angoisse il y en a où ils ont du mal à se défaire de cette angoisse de la course généralement ça disparaît une fois que ça démarre, c'est comme tout une fois que ça démarre ça disparaît mais ça bout beaucoup d'énergie sans s'en rendre compte et ça a un gros impact quand même sur ta course Donc le but du jeu et le but moi de pourquoi je fais ce podcast et pourquoi j'accompagne des gens dans mon coaching, c'est de vous amener à prendre du plaisir mais le plus longtemps possible sur vos courses parce que oui on ne prend pas du plaisir tout le temps, tu le sais, je veux dire si tu as déjà fait des courses, tu sais qu'il y a un moment où tu commences à pêcher dedans. Parfois, ça devient compliqué parce qu'on a des soucis. Oui, mais mon job à moi, c'est de te préparer physiquement, mentalement pour t'amener le plus loin possible avec un état de fraîcheur le mieux possible, en évitant le plus de problèmes possibles aussi. On dirait une équation. Il faudrait que je la pose par écrit, cette équation. Mais bon, tu as compris l'idée. Pour revenir, pourquoi tu stagnes peut-être toi aussi alors que tu fais trois sorties par semaine ? Parce que la progressivité demande de varier, demande une certaine intensité dans les courses, demande une certaine intensité dans la récupération et une certaine méthode. Tout simplement, courir, ce n'est pas compliqué. mais c'est pas parce que c'est pas compliqué que ça en devient facile non, il faut quand même se renseigner poser des questions, parfois se faire accompagner et avec plaisir je le ferai avec toi d'ailleurs je mets le lien dans tous les épisodes de podcast donc si tu veux cliquer sur le lien tu verras la page qui va te renseigner par rapport à mon coaching et puis c'est comme ça que tu vas progresser en fait en commençant à réfléchir un petit peu comment tu courais, pas juste tiens je vais m'acheter une jolie montre, une paire de baskets oui si ça marche au début mais si tu veux vraiment progresser pour te préparer un 10, un 20 et puis plus c'est un virus la course à pied que ce soit sur route ou en trail, c'est un virus et une fois qu'on commence à le choper c'est là où on commence à faire des conneries parce qu'on sort un petit peu trop parce qu'on se sent bien donc voilà il faut essayer de lever un petit peu prendre du recul et se dire ok ok là je suis pas blessé, je suis cool qu'est-ce qu'il faut que je fasse qu'est ce qu'il faut que je mette en place pour continuer à progresser continue à courir Le plus souvent possible parce que c'est ça en fait, je pense que chacun, enfin tout le monde est pareil, on a envie de courir quand on se sent bien, donc quasiment tous les jours, si on s'écoutait, voilà, mais pour ça il faut pas être blessé quoi, tout simplement, et on a vite fait d'être blessé dans la première année de running et même après, mais bon à force d'expérience et de frustration on commence à s'écouter et moi si je peux t'éviter ce genre de frustration à travers mes plans d'entraînement, mes séances d'entraînement, bah écoute, c'est... toujours ça de pris et c'est pour ça que je fais ces podcasts aussi et que je donne énormément de conseils. Bref, bon, j'espère que cet épisode a, j'en suis quoi, 15 minutes, 16 minutes, oh là là, un monologue. C'est fou ça, je pense que je pourrais parler pendant deux heures, mais je vais m'arrêter là. Bon. allez merci en tout cas à tous ceux qui m'ont envoyé des petits messages pour me dire qu'ils m'écoutaient sur la route dans la cuisine en se baladant, en sortie longue donc ça c'est chouette, moi ça me motive je continue, n'oubliez pas de poster de mettre 5 étoiles sur 5 ou 6 étoiles sur 5 même quand sur Spotify je crois que c'est possible, sur Deezer aussi enfin bref et puis si vous avez des questions n'hésitez pas non plus et puis si vous voulez que je vous accompagne dans votre prochain défi bah écoute ce sera avec plaisir, le lien de renseignement est dans la description de cet épisode, comme dans tous les épisodes. Allez, sur ce, j'arrête là. Je te souhaite une très belle journée et on se dit à plus tard. Allez, ciao, ciao.

Chapters

  • Introduction au podcast et à l'entraînement

    00:13

  • Les problèmes de stagnation en course

    01:34

  • L'importance de la progressivité dans l'entraînement

    03:43

  • Structurer ses séances pour éviter la fatigue

    05:10

  • Conclusion et conseils pour progresser en trail

    14:31

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    As-tu déjà ressenti cette frustration de stagner dans ta progression en course à pied, malgré des entraînements réguliers?


    Dans cet épisode de Du 5km à l'ultratrail! , je partage avec toi des conseils pratiques et des stratégies essentielles pour surmonter ces obstacles. La course à pied est une aventure passionnante, mais elle peut parfois sembler décourageante, surtout lorsque l'on ne voit pas les résultats escomptés. Je vais t'expliquer pourquoi il est crucial d'avoir une structure solide dans ton entraînement, car courir trois fois par semaine sans planification adéquate peut mener à la fatigue et à une stagnation de tes performances.



    Au fil de cet épisode, je mets l'accent sur l'importance d'une approche progressive, tant en termes de volume que d'intensité. Je te parlerai de la gestion de l'intensité de tes séances d'entraînement, d'une bonne récupération, et de la manière de te fixer des objectifs clairs qui te permettront de garder ta motivation intacte. Que tu te prépares pour un 5km, un marathon, ou même un ultra trail, ces conseils te seront précieux pour optimiser ton expérience de coureur.



    Je t'encourage également à ne pas perdre de vue le plaisir de courir. La course à pied ne doit pas devenir une corvée, mais plutôt une source de joie et d'épanouissement. En développant une routine d'entraînement qui te motive, tu pourras éviter les blessures et progresser de manière durable. Se concentrer sur le premier kilomètre et sur chaque étape de ta préparation mentale est essentiel pour atteindre tes objectifs, qu'il s'agisse de courir un trail long ou d'améliorer ton endurance.



    En conclusion, je te rappelle que la clé de la réussite réside dans l'envie et la passion pour la course. Réfléchis à ta propre approche de l'entraînement et n'hésite pas à écouter cet épisode pour découvrir comment transformer tes défis en opportunités. Prêt à franchir la ligne d'arrivée avec succès?


  • Écoute maintenant Du 5km à l'ultratrail! et fais le premier pas vers une nouvelle aventure en course à pied!




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Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans du 5 km à l'Ultra Trail, le podcast qui t'aide à progresser en trail avec méthode, plaisir et confiance. Et cela quel que soit ton niveau. Attention 3, 2, 1, c'est parti ! Et salut les amis, bienvenue dans ce nouvel épisode du 5 km à l'Ultra Trail. J'espère que vous allez bien en cette période de vacances ou pas. ça se trouve tu bosses, parce que la France ne s'arrête pas de tourner quand même, même si les administrations et compagnie il faut pas faire de prêts bancaires, il faut pas même pas s'il faut se marier au mois d'août il y a pas mal de choses qui sont fermées mais il y a quand même des gens qui bossent et notamment je pense à Anne qui vient de prendre le coaching, le début du coaching et ça me fait dire que je devrais en parler un petit peu plus souvent, c'est vrai que moi j'ai grand plaisir à accompagner de nouvelles personnes ... parce qu'il y a des nouvelles histoires, il y a des nouveaux objectifs. Ça me renouvelle dans mon coaching aussi parce que chacun est différent et il faut apporter des solutions un petit peu différentes, des mots différents. Même si la progression, la façon de s'entraîner, ma méthode d'entraînement est la même, n'empêche, il faut que ce soit adapté à la majorité, à tout le monde en fait. C'est ça l'avantage du coaching. Donc voilà, bienvenue à... Anne, elle se reconnaîtra très certainement. Allez, de quoi j'ai envie de te parler ? Bah écoute, déjà, j'ai un petit sujet qui me vient parce que, en fait, sur Instagram, on m'a posé une question. Il me dit, ou elle d'ailleurs, je crois que c'était une fille, qui me disait, je comprends pas, je sors trois fois par semaine et je stagne, je progresse pas en fait. voire pire, je régresse. Alors quand on dit régresser, ça veut dire qu'on commence à fatiguer, ça veut dire qu'on commence à tirer un peu la langue, à perdre un petit peu de motivation, à mettre plus de temps finalement sur son trajet qu'on connaît tous. Chacun a, je pense, à côté de chez soi, quand on sort, a son trajet qui fait X temps ou X kilomètres. Et c'est vrai que... On a vite fait de se comparer en fait, en disant, tiens, d'habitude je le fais en 45 minutes, là je l'ai fait en 48 minutes, oh là là, compliqué, je sais pas pourquoi ça va pas, j'ai pas l'impression de courir vite, je comprends pas, je suis régulier ou régulière. Bah écoute, oui, tu peux courir trois fois par semaine, tu peux même courir plus. Mais tu te demandes très certainement... Qu'est-ce que tu fais de mal en courant trois fois par semaine ? Alors, ce n'est pas une question d'effort, c'est une question de structure. Il suffit de courir souvent pour progresser ? Oui et non. Déjà, ça dépend comment tu cours. Et là, tu as l'erreur classique de l'intensité, j'ai envie de dire, aléatoire. L'intensité aléatoire. c'est l'intensité que tu mets dans tes sorties sans que tu n'y aies réfléchi avant, tu n'y aies pensé avant. C'est-à-dire que tu vas courir sans stratégie plus que ça. Tu cours. Tu ne te demandes pas si tu vas courir vite ou pas. Tu cours à l'envie. Mais tu cours à l'envie tout le temps. Donc, quand tu es fatigué, tu ne cours pas vite. Quand tu n'es pas fatigué, tu cours un peu plus vite, voire trop vite. Et du coup, c'est ce que j'appelle l'intensité aléatoire. Et clairement, ce n'est pas réfléchi. si t'as pas d'objectif que que chacun est un peu différent mais limite si tu n'es pas dans l'intensité la vitesse parce que c'est pas ton truc toi t'es plutôt en version footing cool détente ok limite ça peut passer, tu peux progresser comme ça parce que finalement de nature par nature tu cours lentement et c'est très bien mais on est pas tous comme ça clairement parfois on y va un petit peu trop fort sans idée de manoeuvre j'ai envie de dire on court pas en endurance fondamentale on court en version footing un petit peu plus plus donc il faut toujours, souvent, le plus possible, on fait de notre mieux, surtout quand on court tout seul, et ça c'est mon job aussi d'inculquer cette logique-là à mes coachés, il faut introduire une logique de progressivité. Progressivité dans le volume, dans l'intensité, dans la récupération, le mot récupération j'espère qu'il te fait pas mal aux oreilles, mais parce que le repos fait partie de l'entraînement. Et quand je dis repos, c'est pas forcément la récupération, c'est pas forcément du repos pur et dur. Il y a d'autres types, il y a différents types de récupération. Mais du coup, courir trois fois dans la semaine quand c'est pas structuré, et ben c'est la merde. C'est la merde. C'est la merde. Bon, je suis impoli, mais tu vois ce que je veux dire. Tu vas progresser au début, mais très rapidement, tu vas te fatiguer, tu vas stagner. Voilà, comme le... commentaire que j'ai eu, elle ne comprend pas. Ben oui, mais ça me fait penser à un qui me disait, je ne comprends pas, je sors trois fois par semaine, je suis en endurance fondamentale, j'ai commencé la course il y a quatre semaines, mais là, je n'y arrive pas, je ne comprends pas, je ne progresse plus. Et qu'est-ce qui se passe ? Et du coup, il m'a envoyé son profil Strava. je suis un gars sympa quand même, je lui dis, bon, vas-y, montre-moi ton profil, et puis je te dirai ce que j'en pense. J'ai regardé son profil Strava, alors je fais pas ça à tout le monde, sinon je m'en fais, j'ai une vie aussi, tu vois, ce serait un problème, et du coup, je regarde quand même son compte Strava, et là, je lui dis, wow, ah oui, tu cours depuis un mois, donc... 4 semaines à peu près. Et oui, effectivement, il est peut-être en endurance fondamentale, comme je l'avais dit à l'époque. Je vous dis, mais en fait, c'est pas bon de courir 1h30 à chaque fois. Même en endurance fondamentale, là, ça se transforme en sortie longue. Et les sorties longues, par définition, elles sont intensives de par leur longueur. Même si tu cours en endurance fondamentale. Alors, je te cache pas que si moi, je fais 1h30 à chaque sortie en endurance fondamentale, je pense que j'ai beaucoup plus de chance de ne pas me blesser et que finalement peut-être que ça va me servir qu'un débutant qui commence depuis 4 semaines forcément ça l'a amené à l'épuisement c'est rapide 4 semaines mais en même temps 3 fois 1h30 dans la semaine il faut les faire donc voilà 3 fois j'ai envie de dire c'est la base pour commencer à progresser, on va dire, un peu sérieusement. Pour commencer à formater un petit peu le cerveau, de devoir faire trois fois dans la semaine, mettre la paire de chaussures, se conditionner, aller courir, enlever, faire du renfort, de l'assouplissement derrière. Plus tu répètes, plus le cerveau se formate et moins ça te... En fait, tu te conditionnes simplement de par la répétition des actions à ne plus penser à savoir comment tu prends les choses. C'est-à-dire que quand tu as la flemme, c'est incrusté dans ton cerveau que dans tous les cas, tu vas aller courir parce que tu dois aller courir parce que tu as quand même un objectif derrière, quel qu'il soit. Si tu cours, ce n'est pas forcément pour préparer une course, mais ça peut être pour bien te sentir, pour peut-être perdre du poids, même si c'est pas tout à fait... la meilleure des méthodes pour perdre du poids. N'empêche, ça fait du bien de faire du sport. Chacun a ses motivations. Mais du coup, le fait de répéter comme ça le plus souvent possible, tu peux même sortir 5 fois, 6 fois dans la semaine si tu adaptes tes sorties. Tu sors 25 minutes, 30 minutes. Si tu fais ça 6 fois dans la semaine, c'est vachement mieux que 3 fois une heure. tout du moins au début. Après, c'est certain que si tu prépares un 30 km ou même un 20 km, bon, 6 fois 30 minutes, ça risque d'être léger. Il y a un moment où tu devras te cogner quand même une sortie longue pour développer ton endurance. Mais très clairement, je pense qu'on peut même faire 6 fois 30 minutes et après mixer avec des sorties longues. Ça, ça peut très bien te préparer à déjà des belles sorties, de belles courses de 20, de 30 km. Après, tu ne seras pas forcément... hyper bien préparé parce qu'il va te manquer de l'intensité dans les côtes, un petit peu de spécificité par rapport à la course que tu prépares. Je veux dire, tu vas échapper à la majorité des blessures, tu seras progressif, tu vas choper de l'endurance avec les bonnes sorties longues quand même d'une manière progressive. Tu ne vas pas faire deux heures de sorties longues à chaque fois, mais ça aussi, il faut que ce soit évolutif dans le temps et progressif dans le temps. Mais trois sorties par semaine en règle générale, c'est la base pour commencer à bien progresser. Après, 4 sorties, on développe un petit peu plus l'endurance, on augmente gentiment son volume hebdomadaire. 5, c'est parfois difficile de le tenir. Moi, je suis entre 4 et 5 pour tout dire, parce que j'ai une méthode à moi, à moi que je dispense aussi, même si je ne l'explique pas forcément à mes coachés, parce que ça ne les intéresse pas forcément, mais j'ai une méthode qui fait que 5 sorties dans la semaine, je ne suis pas obligé d'empiler, et c'est bien ma façon de voir les choses, je ne suis pas obligé d'empiler, je ne sais pas moi, 100 km par semaine pour préparer un ultra. Non, je n'empile pas 100 km par semaine. D'ailleurs, mes stats le montrent. Je ne suis pas du tout à 100 km. Je pense que je suis à 80 km dans ma ou mes semaines les plus chargées. C'est pour te dire. Et pourtant, je ne cours pas des 20 km. Bon, la vérité, chacun a sa vérité. Néanmoins, au bout d'une centaine de coachés, je pense que ma vérité convient à beaucoup d'entre vous, à une très grosse majorité, au vu des résultats que vous avez tous. Donc, moi, ça me conforte et puis moi aussi, ça me permet de courir tout le temps. Voilà, tout le temps, tout le temps, sans être... quasiment blessé sauf quand je fais des conneries que je me prends les pieds dans un caillou une racine une connerie comme ça mais bon ça voilà c'est du trail c'est pas de la route donc donc voilà on peut courir trois fois quatre fois c'est mieux cinq fois c'est c'est mieux mais si tu le tiens pas c'est comme le renforcement musculaire bah ça ça sert à rien donc une base de 3 fois, puis 4 fois en période un petit peu plus intense c'est la base, et puis quand t'es ça me fait penser, alors je pars un petit peu ailleurs, mais quand t'es entre 2 objectifs, tu maintiens tes 3 fois, mais par contre t'es pas obligé de maintenir non plus une séance de co-hôte t'es pas obligé de maintenir des séances qui te demandaient vraiment de de l'impact psychologique, vraiment mentalement, ça te demande des efforts, entre deux objectifs, il faut se régénérer, il faut retrouver de l'envie, il faut retrouver du plaisir, et le plaisir passe par des séances qu'on a envie de faire, sans forcément mettre de l'intensité. Une fois que... à cette période dépassée que tu vas commencer un plan d'entraînement réellement pour te préparer à ton objectif, la course qui arrive dans quelques semaines voire quelques mois, là, ok, tu vas remettre des séances intensives correctement, placées au bon endroit, à la bonne dose, du coup, tu vas faire des séances qui ne vont pas forcément te faire hyper plaisir, mais par contre, tu seras en forme pour les faire, parce que tu n'auras pas... couper pendant deux mois, à rien faire, même si c'est bien. Je pense à la trêve hivernale, c'est bien aussi de couper. Ça permet de retrouver de l'envie en fait. Je pense que l'élément commun le plus important, l'élément le plus important dans la réussite d'un projet, quel qu'il soit, c'est l'envie. Et notamment en trail, pour avoir envie de se lever à 4h du matin, parfois de se lever pour faire tous les dimanches une sortie longue, d'être loin de sa famille. Il faut être motivé et avoir l'envie. Moi, j'ai l'envie de faire la Swiss Peak. maintenant mon... Mon entraînement est fini, j'ai vraiment envie de démarrer, là je me vois bien, je me projette, je me visualise, je me prépare psychologiquement plus que physiquement. Physiquement c'est fait, j'ai envie de dire c'est torché, le truc il est fait, c'est plus à faire, maintenant la seule chose que je peux faire peut-être c'est une connerie dans mon entraînement. C'est-à-dire... Arriver fatigué le jour J, et fatigué, ça ne veut pas forcément dire avoir fait une bêtise dans les sorties, avoir fait une sortie de 3 heures une semaine avant, je sais que ça, ce serait une bêtise, mais plutôt peut-être mal gérer le sommeil. le sommeil, l'hydratation, la préparation des pieds, la préparation aussi de l'alimentation, ça fait partie des conneries qu'on peut faire et de la préparation. Mais l'entraînement pur et dur... il est fait quoi et là j'ai vraiment envie d'en découdre et pour préparer des objectifs comme ça que ce soit un 30, un 100, enfin bref une course qui te challenge il faut avoir cette envie là mêlée de peur et d'excitation c'est un petit peu les deux mais surtout l'envie de réussir et de progresser pour être bien sur ta course l'objectif c'est de profiter quand même de la course il ne faut pas que ce soit des moments de stress d'angoisse il y en a où ils ont du mal à se défaire de cette angoisse de la course généralement ça disparaît une fois que ça démarre, c'est comme tout une fois que ça démarre ça disparaît mais ça bout beaucoup d'énergie sans s'en rendre compte et ça a un gros impact quand même sur ta course Donc le but du jeu et le but moi de pourquoi je fais ce podcast et pourquoi j'accompagne des gens dans mon coaching, c'est de vous amener à prendre du plaisir mais le plus longtemps possible sur vos courses parce que oui on ne prend pas du plaisir tout le temps, tu le sais, je veux dire si tu as déjà fait des courses, tu sais qu'il y a un moment où tu commences à pêcher dedans. Parfois, ça devient compliqué parce qu'on a des soucis. Oui, mais mon job à moi, c'est de te préparer physiquement, mentalement pour t'amener le plus loin possible avec un état de fraîcheur le mieux possible, en évitant le plus de problèmes possibles aussi. On dirait une équation. Il faudrait que je la pose par écrit, cette équation. Mais bon, tu as compris l'idée. Pour revenir, pourquoi tu stagnes peut-être toi aussi alors que tu fais trois sorties par semaine ? Parce que la progressivité demande de varier, demande une certaine intensité dans les courses, demande une certaine intensité dans la récupération et une certaine méthode. Tout simplement, courir, ce n'est pas compliqué. mais c'est pas parce que c'est pas compliqué que ça en devient facile non, il faut quand même se renseigner poser des questions, parfois se faire accompagner et avec plaisir je le ferai avec toi d'ailleurs je mets le lien dans tous les épisodes de podcast donc si tu veux cliquer sur le lien tu verras la page qui va te renseigner par rapport à mon coaching et puis c'est comme ça que tu vas progresser en fait en commençant à réfléchir un petit peu comment tu courais, pas juste tiens je vais m'acheter une jolie montre, une paire de baskets oui si ça marche au début mais si tu veux vraiment progresser pour te préparer un 10, un 20 et puis plus c'est un virus la course à pied que ce soit sur route ou en trail, c'est un virus et une fois qu'on commence à le choper c'est là où on commence à faire des conneries parce qu'on sort un petit peu trop parce qu'on se sent bien donc voilà il faut essayer de lever un petit peu prendre du recul et se dire ok ok là je suis pas blessé, je suis cool qu'est-ce qu'il faut que je fasse qu'est ce qu'il faut que je mette en place pour continuer à progresser continue à courir Le plus souvent possible parce que c'est ça en fait, je pense que chacun, enfin tout le monde est pareil, on a envie de courir quand on se sent bien, donc quasiment tous les jours, si on s'écoutait, voilà, mais pour ça il faut pas être blessé quoi, tout simplement, et on a vite fait d'être blessé dans la première année de running et même après, mais bon à force d'expérience et de frustration on commence à s'écouter et moi si je peux t'éviter ce genre de frustration à travers mes plans d'entraînement, mes séances d'entraînement, bah écoute, c'est... toujours ça de pris et c'est pour ça que je fais ces podcasts aussi et que je donne énormément de conseils. Bref, bon, j'espère que cet épisode a, j'en suis quoi, 15 minutes, 16 minutes, oh là là, un monologue. C'est fou ça, je pense que je pourrais parler pendant deux heures, mais je vais m'arrêter là. Bon. allez merci en tout cas à tous ceux qui m'ont envoyé des petits messages pour me dire qu'ils m'écoutaient sur la route dans la cuisine en se baladant, en sortie longue donc ça c'est chouette, moi ça me motive je continue, n'oubliez pas de poster de mettre 5 étoiles sur 5 ou 6 étoiles sur 5 même quand sur Spotify je crois que c'est possible, sur Deezer aussi enfin bref et puis si vous avez des questions n'hésitez pas non plus et puis si vous voulez que je vous accompagne dans votre prochain défi bah écoute ce sera avec plaisir, le lien de renseignement est dans la description de cet épisode, comme dans tous les épisodes. Allez, sur ce, j'arrête là. Je te souhaite une très belle journée et on se dit à plus tard. Allez, ciao, ciao.

Chapters

  • Introduction au podcast et à l'entraînement

    00:13

  • Les problèmes de stagnation en course

    01:34

  • L'importance de la progressivité dans l'entraînement

    03:43

  • Structurer ses séances pour éviter la fatigue

    05:10

  • Conclusion et conseils pour progresser en trail

    14:31

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