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Ep 481: Comment réussir ton premier 60 km sans te cramer! cover
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Du 5km à l'ultratrail!

Ep 481: Comment réussir ton premier 60 km sans te cramer!

Ep 481: Comment réussir ton premier 60 km sans te cramer!

17min |26/08/2025|

336

Play
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Description

Mes liens pour toi:


Infos coaching


Passer de 40 km à 60 km en trail, ça peut paraître simple… mais la réalité est tout autre. Dans cet épisode, je t’explique pourquoi 60 km n’est pas juste “20 de plus” et comment adapter ta préparation pour ne pas exploser le jour J.


Au programme :

  • Les 5 erreurs les plus fréquentes qui ruinent un 60 km

  • Comment gérer ton allure pour finir lucide

  • Les bases d’une stratégie nutrition simple et efficace

  • La bonne approche pour travailler le D+ sans te cramer

  • Le mental à adopter pour passer les moments difficiles


Que tu prépares ton premier trail longue distance ou que tu veuilles améliorer ta gestion de course, cet épisode te donnera les clés pour finir fort, sans te blesser et avec le sourire.

🎧 Écoute l’épisode complet dès maintenant et prépare-toi à réussir ton prochain 60 km !



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans du 5 km à l'Ultra Trail, le podcast qui t'aide à progresser en trail avec méthode, plaisir et confiance. Et cela quel que soit ton niveau. Attention 3, 2, 1, c'est parti ! Et bonjour les amis, bienvenue dans ce nouvel épisode du 5 km à l'Ultra Trail. J'espère que vous avez la forme, que tu as la forme. Cet épisode sort en plein milieu de la semaine, donc peut-être que, bon voilà, t'attends la fin de semaine avec impatience. peut-être que tu suis l'UTMB parce que cet épisode sort La semaine de l'UTMB, je dis ça pour tous ceux qui vont écouter cet épisode en différé, plus tard, plus loin, quand la chaîne va décoller à des millions d'écoutes, les gens vont se ruer sur tous mes épisodes. Bon, là je suis parti un petit peu loin, mais voilà, c'est la semaine de l'UTMB avec les 18 000 courses qu'il y a, donc c'est bien, vous êtes tous devant votre télé, ça fait rêver, ça fait rêver. Pour moi je préfère... faire ma course que rêver celle des autres ça c'est dit il ya aucune méchanceté vraiment il faut des gens qui fassent rêver qui inspire voilà et il ya aucune critique là dessus après l'utmb reste l'utmb moi je serai en suisse à partir de dimanche jusqu'à vendredi toute une semaine de trail et ça moi ça me fait rêver est ce que j'ai peur est ce que j'ai de l'appréhension pas vraiment Et c'est ça qui me fait le plus peur, c'est que j'ai pas vraiment d'appréhension. L'année dernière, j'ai eu un peu peur, mais finalement, je pense que c'est la première fois que je fais deux courses, enfin la même course, deux fois d'affilée, parce que c'est la première course que je n'ai pas finie, finalement, l'année dernière. Donc je sais à peu près à quoi m'attendre, même si je ne te cache pas que je réécoute en ce moment mon épisode de la suspic de l'année dernière. Alors l'épisode, je me souviens plus, mais c'est l'épisode de septembre 2024. c'est « Vie ma course, la suisse pique » . Et pour me souvenir un petit peu de comment et qu'est-ce qui se passait sur cette course, parce que pour en toute honnêteté, en toute franchise, je me souviens d'une nuit, je me souviens de quelques passages, mais je ne me souviens pas des quatre jours, enfin dimanche, lundi, mardi, mercredi, jeudi, des cinq jours même, et c'est assez étrange, donc voilà, j'aimerais bien me souvenir un petit peu mieux, et du coup, dans mon épisode de l'année dernière où je me suis enregistré, Et ce que je vais faire cette année encore, je me suis enregistré pas toutes les heures, loin s'en faut, mais très régulièrement, ça me permet de voir à quelle heure je suis sorti du ravito, comment j'étais au bout de 10 heures, 12 heures, 2 jours, ce genre de choses. Donc ça me met bien vraiment les pieds dans les godasses et pas à côté. Donc ça c'est bien, je suis... extrêmement content d'avoir ces épisodes pour pouvoir me souvenir de ce qui s'est passé. Donc là, je me prépare. Ouais, je me prépare, je me prépare. Mais en attendant de me préparer, c'est vrai qu'aujourd'hui, donc là, j'enregistre, je prends un petit peu d'avance, je te cache pas. C'est la suspic qui fait ça. J'ai enregistré l'épisode qui va sortir lundi prochain. Donc le lundi, c'est quoi ? C'est le lundi 1er septembre. Voilà, avec Marie. Marie, c'est une de mes coachées. qui a fait un été de fou, qui a fini une course en relais là. Bref, pas mal de choses. Et du coup, je l'ai interviewé dans le podcast et normalement, lundi, l'épisode sortira en automatique. Je te conseille d'aller l'écouter parce que c'est chouette. Tout le monde a une expérience différente, mais je pense que celle-là, ça va te parler si tu te blesses, si... Ce genre de choses, si tu fais un petit peu du too much, un petit peu comme elle faisait ou qu'elle fait. Mais voilà, on a bien géré cette histoire. depuis le mois de mars qu'elle est avec moi. Donc je suis très très content et elle est très contente aussi de son évolution. Donc je te laisse, je tease un petit peu mais voilà, c'est l'épisode de lundi prochain. On en a quasiment pour 1h45 donc prépare-toi en sortie longue tout ça ou dans le train, je ne sais pas. Moi j'ai trouvé ça hyper intéressant et puis c'était très très sympa. Bon, ceci étant dit, moi de quoi je veux te parler ? Eh bien justement, j'aimerais... Excuse-moi, j'ai le OK comme d'habitude. J'aimerais rebondir un petit peu sur ce qu'on a dit à un moment, sur ce qu'elle a dit à un moment en disant un 100 km, ce n'est pas un 40 km, ce n'est pas la même course. Et c'est vrai, c'est vrai, j'aimerais te faire prendre conscience que, OK, moi, j'ai couru à 380, je pourrais très bien courir à 160, ce serait quasiment pareil. hormis le sommeil et peut-être l'alimentation au fur et à mesure ça peut te paraître énorme et c'est énorme mais après dans la gestion, c'est vraiment une gestion du sommeil une gestion d'alimentation, évidemment il y a l'entraînement qui est là, mais sincèrement si tu arrives à faire 160, 200 bornes depuis un an, deux ans, trois ans, bon il n'y a pas de raison si tu te prépares bien, si tu n'es pas blessé, si tu enchaînes les blessures évidemment c'est qu'il y a un problème. Hormis ça il n'y a pas de raison qu'une PTL ou un 300, 250 ou plus, ce ne soit pas accessible. Mais il faut bien penser... que courir un 100 km, courir un 80, même courir un 60 n'est pas la même chose qu'un 30 ou 40. Il faut faire la différence. En fait, un 60, ce n'est pas un 40 plus 20, très clairement. Et c'est ça qui peut faire peur et c'est ça qui fout un peu la merde, en fait, si je peux m'exprimer comme ça. C'est ça qui angoisse parce qu'on se dit, OK, j'ai fait un 30 km, 40. Mais 60, 70, comment je fais pour dépasser ce stade ? Est-ce que je peux courir à la même allure ? Comment je fais pour courir plus longtemps alors que là, je suis au bout du rouleau, au bout de 40 km ? Eh bien oui, effectivement. Déjà, comment tu as couru ton 40 km ou ton 30 km déjà ? Est-ce que tu étais au bout du rouleau ? Donc, si tu es au bout du rouleau, sur une course, quelle qu'elle soit, alors que... t'as pas joué ta vie, tu sais que t'as été plus tôt à l'économie, c'est que tu as simplement, entre guillemets, entre parenthèses, besoin de plus de temps pour ton entraînement. Ne pas vouloir accélérer trop, enfin ne pas vouloir passer à la distance supérieure qui n'est pas forcément d'ailleurs un objectif qu'il faut obtenir tous les ans, loin s'en faut. Mais si tu as déjà du mal, que tu ne termines pas ta course on va dire en bon état à peu près, N'envisage pas de passer au-dessus, parce que forcément, tu vas galérer, c'est évident. Je ne connais pas le futur, mais si tu as galéré sur un 30 km en étant plutôt à l'économie, tu t'engages sur un 50 ou un 60, tu vas pleurer des larmes. Je ne te cache pas. Donc, le but du jeu, enfin, pas le but du jeu, mais je trouve, je pense, je vais y arriver, que... Pour savoir si tu es prêt pour passer à la distance supérieure, par exemple à 60, alors que tu as fait un 30-40, c'est comment tu as terminé ta course. Est-ce que tu étais plutôt en bon état ou tu étais très très fatigué ? Est-ce qu'il y a des raisons que tu sois fatigué ? Après ça c'est une introspection, c'est ok j'ai mal dormi, je sais que je ne me suis pas entraîné suffisamment, j'ai eu un trou dans l'entraînement parce que j'ai été malade, ce genre de choses où il a fait très chaud, donc la météo ça a aussi un gros impact sur ta capacité respiratoire quand tu es en montagne, en pleine montée, sur du 20%, 30%, là c'est sûr quand on respire de l'air chaud, là aussi tu as envie de pleurer. Hormis ça, si tu es en bon état à la fin de ta course, pourquoi ne pas envisager plus si tu as envie de courir plus ? Moi j'ai procédé comme ça, mais j'ai fait 2,70 km. Ils se sont bien passés, je dis ok, je valide ces 70 km. Bon ok, j'étais fatigué, il n'y a pas de problème, je n'étais pas non plus. Voilà, c'est validé, je suis passé à l'ultra-riège 100 km. l'ultra-riège, 100 km, 6000 m de dénivelé cailloux pas de souvenirs super il faudra peut-être que je le refasse donc très mal aux jambes mais j'ai fini à 2h du matin en pleine bourre j'ai bien fini et du coup j'ai fini mon 100 km crevé c'est sûr, c'est certain mais j'étais pas au bout de ma vie et là je me suis dit ok, 100 km validé je sens avec un entraînement adapté évidemment avec un petit peu de temps que je peux courir 120, 130, 150. Bon, je me suis engagé sur le 160 du Grand-Retre des Pyrénées juste après, l'année suivante. Et c'est OK, ça l'a fait. Mais du coup, je n'ai pas franchi un 50 km à un 160 direct. Après, vous faites ce que vous voulez. Si vous voulez vous mettre ce challenge, et d'ailleurs, j'avais cette conversation avec ma femme, si vous voulez vous mettre ce challenge de passer... d'un 40 km à un 160 km, mais faites-vous plaisir, sincèrement, mais faites-vous plaisir. J'en ai parlé il n'y a pas très très longtemps dans les touristes en ultra, que je ne regrette pas d'ailleurs, il n'y a pas de soucis, ça a servi à motiver certains, donc c'est parfait. moi c'est pas mon kiff, c'est pas comme ça du tout que j'envisage le trail c'est pas dans une notion de dépassement de soi quitte à mettre sa santé en danger moi je veux courir longtemps, souvent et kiffer ma course le plus longtemps possible donc si t'as envie de te mettre la race à passer de 40 à 160 km avec du dénivelé C'est ton problème. C'est ta vie, c'est toi qui vis ça, il n'y a pas de problème. Mais moi, pour l'avoir, moi je préfère vraiment... Franchir des steps, des paliers. Et pour savoir si tu es prêt à franchir des paliers pour bien vivre tes courses, ce n'est pas juste enfiler 100 km en disant « Ouh, chouette, j'ai fait un 100 km, mais derrière, tu es tellement dégoûté, tu as eu tellement mal ou tu t'es peut-être même blessé que c'est fini pour toi, ça t'a vacciné, c'est dommage, c'est hyper dommage. » Donc moi, je t'encourage vraiment à fonctionner par palier, à terminer une course peut-être de 40 km en te disant « Ok, 40 km, c'est validé, je peux faire un 60. » Mais attention, un 60, ce n'est pas un 40. plus 20, ça se court pas tout à fait pareil, autant un 40, allez, t'es pas obligé de manger dans les ravitaux, peut-être je pense que tu peux prendre suffisamment sur toi pour faire le 40 km quasiment en autonomie. Après oui, tu recharges en eau, il n'y a pas de problème. Mais un 60, ça commence à tabasser un petit peu. Donc là, il y a une petite gestion à faire, la gestion aussi du glycogène, parce que du coup, tu vas courir plus longtemps. Et plus tu vas courir longtemps, plus l'importance de bien s'alimenter sera primordiale pour avoir de l'énergie. Et ça entraîne un problème, c'est que ça peut... t'amener des problèmes de digestion que t'as pas sur un 40 km mais tu peux avoir sur un 60, sur un 80, plus tu passes de temps sur une course, plus t'es susceptible, un moment ton tube digestif il te dit, bah en fait là tu m'as mis trop de solide y'a plus rien qui passe, c'est mort, tu m'as mis trop de sucre c'est mort, tu sais ce genre de choses donc ça c'est vraiment un aspect quand on dépasse comme ça des 40, 40-50 quand on commence à taper les 60, 80 et plus bah y'a cette gestion là énergétique, de contraintes énergétiques à l'alimentation qui rentrent en jeu. Et puis évidemment, tu as la gestion musculaire, tout simplement. 60 km, tu ne vas pas courir à 60 comme un 40. forcément au début, là je te parle de, ok c'est ton premier 60 je parle pas de coureurs qui ont l'habitude de courir des 60, maintenant ils ont pas besoin de moi peut-être, pour savoir comment ils courent un 60 mais si c'est ton premier 40 que t'as fini, t'es super content, que tu veux passer à un 60, et c'est bien bah dis-toi que oui, faudra quand même te renforcer renfaux musculaires, évidemment parce que c'est comme l'alimentation plus tu passes de temps sur ta course plus ta fatigue musculaire sera là, sera prononcée et plus tu vas galérer ... à terminer ta course. Entre passer une heure sur un 40 km peut-être en galère parce que la fin est dure et passer 3-4 heures dans la galère parce que ton 60 km, il faut bien le terminer, ce n'est pas la même chose. Donc il faut aider son corps et des contraintes musculaires, notamment en descente, mais en montée aussi. Mais tout ce qui est excentrique, ça tue, ça détruit les quadris. Donc il faut travailler ça. en plus d'un 40. Si tu veux vraiment passer à une distance supérieure, il faut aider le corps à être du mieux possible, le plus longtemps possible. Et là aussi, ça peut être une contrainte. Un aspect à prendre en compte, c'est que la marche active, parce qu'on n'est pas à glander sur les trails, on n'est pas là à se balader, on n'est pas en rando, mais la marche active sera forcément plus prépondérante sur un 60 km que sur un 40, même si sur un 40, de toute façon, tu ne cours pas dans les montées. Mais peut-être que suivant ton niveau, tu envoies un petit peu, tu te challenges. Là, sur un 60-80, termine déjà. là je parle pour un premier 60, pour un premier 80 termine correctement ta course et après challenge-toi à te dire ok, cette course, cette distance j'aimerais bien la faire peut-être en version un petit peu plus plus toi, tu vois te challenger un petit peu, regarde moi sur la Suspic j'ai envie de passer moins de temps dans les ravitaux pour gagner du temps justement bon, on va voir ce que ça donne je vais pas m'amuser à courir plus vite vraiment, là sur 380 km je passe mon tour fin. pas tout de suite, on verra comment ça ça fait, mais voilà, j'aimerais te faire prendre conscience que 1,60 c'est pas un 40 plus 20 couvri pareil, c'est vraiment une contrainte énergétique supérieure, une contrainte musculaire supérieure, une contrainte stratégique dans ta façon de courir supérieure. Et puis de 60, après tu passes à 100. Mais après, on reste globalement dans les mêmes problématiques. Et là, il y a la notion de temps, de progressivité qui a toute son importance. Mais ça, j'en parlerai un petit peu plus tard. Là, ça fait déjà un petit moment. Ouais, ça fait 13 minutes, 14 minutes que je parle. j'espère que cet épisode, cette capsule t'as plu, voilà pour ceux qui ne me connaissent pas, on ne sait jamais moi je suis coach sportif runner spécialisé dans le trail running je peux évidemment entraîner pour des marathons, des semi-marathons ce que tu veux mais je suis spécialisé je me spécialise parce qu'il faut choisir des choses qui me font kiffer, pour le coup moi c'est le trail running, donc si tu as des courses à préparer qui te font peur tu n'es pas assez structuré, tu sens que de passer de 40 à 60, 80 ou 100 voire plus ... Tu as une angoisse et tu as besoin de structuration, de bonnes méthodes que tu vas après l'entraînement, après l'accompagnement pouvoir dupliquer parce que moi je te conseille d'écouter l'épisode avec Marie qui va sortir le lundi 1er septembre parce que oui j'ai demandé qu'est-ce que tu en penses de l'accompagnement et qu'est-ce qui t'a amené les bénéfices tout ça. donc je t'encourage à écouter un petit peu ce que ça lui a apporté l'accompagnement parce que ce que ça lui a apporté Elle était boulimique du sport, j'ai dit. Sans le côté négatif, mais c'est vrai qu'elle a fait de très beaux formats. Finalement, tu verras un petit peu mon univers d'accompagnement, même si tu dois, je pense, la façon dont je communique, savoir un petit peu comment j'encadre mes coachés. Donc je mettrai le lien qui va te renseigner sur mon coaching. Ne tarde pas, parce que c'est vrai qu'il y a pas mal de monde et je ne peux pas me dupliquer. je ne peux pas me dupliquer, ce n'est pas possible, ça me demande énormément de temps de répondre, j'accorde énormément d'importance à la communication dans mon coaching, donc voilà, c'est à double tranchant, c'est-à-dire que je ne peux pas prendre non plus 5 ans de coaché, heureusement d'ailleurs, parce que sinon je n'ai plus de vie, mais si tu as une deadline, un objectif de course qui arrive, parle-moi-en, bloque ton créneau, voilà, je mettrai le lien de la page de renseignement de mon coaching dans chaque épisode de toute manière. Et puis, je vais arrêter là. Merci à tous en tout cas qui notent ce podcast, qui m'encouragent, qui mettaient des commentaires positifs, évidemment, sur ce podcast. Moi, je vous dis à plus tard, à dans deux jours. Je planifie tout ça comme ça, vous n'aurez pas de trous dans les épisodes de ce podcast. Voilà, les amis. Allez, passez une très belle journée. Moi, je vous dis à dans deux jours. Ciao, ciao.

Chapters

  • Introduction et contexte de l'épisode

    00:13

  • Préparation pour l'UTMB et réflexions personnelles

    01:06

  • Différences entre les distances de course

    04:10

  • Importance de l'état physique après une course

    06:26

  • Conclusion et invitation à écouter le prochain épisode

    14:28

Description

Mes liens pour toi:


Infos coaching


Passer de 40 km à 60 km en trail, ça peut paraître simple… mais la réalité est tout autre. Dans cet épisode, je t’explique pourquoi 60 km n’est pas juste “20 de plus” et comment adapter ta préparation pour ne pas exploser le jour J.


Au programme :

  • Les 5 erreurs les plus fréquentes qui ruinent un 60 km

  • Comment gérer ton allure pour finir lucide

  • Les bases d’une stratégie nutrition simple et efficace

  • La bonne approche pour travailler le D+ sans te cramer

  • Le mental à adopter pour passer les moments difficiles


Que tu prépares ton premier trail longue distance ou que tu veuilles améliorer ta gestion de course, cet épisode te donnera les clés pour finir fort, sans te blesser et avec le sourire.

🎧 Écoute l’épisode complet dès maintenant et prépare-toi à réussir ton prochain 60 km !



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans du 5 km à l'Ultra Trail, le podcast qui t'aide à progresser en trail avec méthode, plaisir et confiance. Et cela quel que soit ton niveau. Attention 3, 2, 1, c'est parti ! Et bonjour les amis, bienvenue dans ce nouvel épisode du 5 km à l'Ultra Trail. J'espère que vous avez la forme, que tu as la forme. Cet épisode sort en plein milieu de la semaine, donc peut-être que, bon voilà, t'attends la fin de semaine avec impatience. peut-être que tu suis l'UTMB parce que cet épisode sort La semaine de l'UTMB, je dis ça pour tous ceux qui vont écouter cet épisode en différé, plus tard, plus loin, quand la chaîne va décoller à des millions d'écoutes, les gens vont se ruer sur tous mes épisodes. Bon, là je suis parti un petit peu loin, mais voilà, c'est la semaine de l'UTMB avec les 18 000 courses qu'il y a, donc c'est bien, vous êtes tous devant votre télé, ça fait rêver, ça fait rêver. Pour moi je préfère... faire ma course que rêver celle des autres ça c'est dit il ya aucune méchanceté vraiment il faut des gens qui fassent rêver qui inspire voilà et il ya aucune critique là dessus après l'utmb reste l'utmb moi je serai en suisse à partir de dimanche jusqu'à vendredi toute une semaine de trail et ça moi ça me fait rêver est ce que j'ai peur est ce que j'ai de l'appréhension pas vraiment Et c'est ça qui me fait le plus peur, c'est que j'ai pas vraiment d'appréhension. L'année dernière, j'ai eu un peu peur, mais finalement, je pense que c'est la première fois que je fais deux courses, enfin la même course, deux fois d'affilée, parce que c'est la première course que je n'ai pas finie, finalement, l'année dernière. Donc je sais à peu près à quoi m'attendre, même si je ne te cache pas que je réécoute en ce moment mon épisode de la suspic de l'année dernière. Alors l'épisode, je me souviens plus, mais c'est l'épisode de septembre 2024. c'est « Vie ma course, la suisse pique » . Et pour me souvenir un petit peu de comment et qu'est-ce qui se passait sur cette course, parce que pour en toute honnêteté, en toute franchise, je me souviens d'une nuit, je me souviens de quelques passages, mais je ne me souviens pas des quatre jours, enfin dimanche, lundi, mardi, mercredi, jeudi, des cinq jours même, et c'est assez étrange, donc voilà, j'aimerais bien me souvenir un petit peu mieux, et du coup, dans mon épisode de l'année dernière où je me suis enregistré, Et ce que je vais faire cette année encore, je me suis enregistré pas toutes les heures, loin s'en faut, mais très régulièrement, ça me permet de voir à quelle heure je suis sorti du ravito, comment j'étais au bout de 10 heures, 12 heures, 2 jours, ce genre de choses. Donc ça me met bien vraiment les pieds dans les godasses et pas à côté. Donc ça c'est bien, je suis... extrêmement content d'avoir ces épisodes pour pouvoir me souvenir de ce qui s'est passé. Donc là, je me prépare. Ouais, je me prépare, je me prépare. Mais en attendant de me préparer, c'est vrai qu'aujourd'hui, donc là, j'enregistre, je prends un petit peu d'avance, je te cache pas. C'est la suspic qui fait ça. J'ai enregistré l'épisode qui va sortir lundi prochain. Donc le lundi, c'est quoi ? C'est le lundi 1er septembre. Voilà, avec Marie. Marie, c'est une de mes coachées. qui a fait un été de fou, qui a fini une course en relais là. Bref, pas mal de choses. Et du coup, je l'ai interviewé dans le podcast et normalement, lundi, l'épisode sortira en automatique. Je te conseille d'aller l'écouter parce que c'est chouette. Tout le monde a une expérience différente, mais je pense que celle-là, ça va te parler si tu te blesses, si... Ce genre de choses, si tu fais un petit peu du too much, un petit peu comme elle faisait ou qu'elle fait. Mais voilà, on a bien géré cette histoire. depuis le mois de mars qu'elle est avec moi. Donc je suis très très content et elle est très contente aussi de son évolution. Donc je te laisse, je tease un petit peu mais voilà, c'est l'épisode de lundi prochain. On en a quasiment pour 1h45 donc prépare-toi en sortie longue tout ça ou dans le train, je ne sais pas. Moi j'ai trouvé ça hyper intéressant et puis c'était très très sympa. Bon, ceci étant dit, moi de quoi je veux te parler ? Eh bien justement, j'aimerais... Excuse-moi, j'ai le OK comme d'habitude. J'aimerais rebondir un petit peu sur ce qu'on a dit à un moment, sur ce qu'elle a dit à un moment en disant un 100 km, ce n'est pas un 40 km, ce n'est pas la même course. Et c'est vrai, c'est vrai, j'aimerais te faire prendre conscience que, OK, moi, j'ai couru à 380, je pourrais très bien courir à 160, ce serait quasiment pareil. hormis le sommeil et peut-être l'alimentation au fur et à mesure ça peut te paraître énorme et c'est énorme mais après dans la gestion, c'est vraiment une gestion du sommeil une gestion d'alimentation, évidemment il y a l'entraînement qui est là, mais sincèrement si tu arrives à faire 160, 200 bornes depuis un an, deux ans, trois ans, bon il n'y a pas de raison si tu te prépares bien, si tu n'es pas blessé, si tu enchaînes les blessures évidemment c'est qu'il y a un problème. Hormis ça il n'y a pas de raison qu'une PTL ou un 300, 250 ou plus, ce ne soit pas accessible. Mais il faut bien penser... que courir un 100 km, courir un 80, même courir un 60 n'est pas la même chose qu'un 30 ou 40. Il faut faire la différence. En fait, un 60, ce n'est pas un 40 plus 20, très clairement. Et c'est ça qui peut faire peur et c'est ça qui fout un peu la merde, en fait, si je peux m'exprimer comme ça. C'est ça qui angoisse parce qu'on se dit, OK, j'ai fait un 30 km, 40. Mais 60, 70, comment je fais pour dépasser ce stade ? Est-ce que je peux courir à la même allure ? Comment je fais pour courir plus longtemps alors que là, je suis au bout du rouleau, au bout de 40 km ? Eh bien oui, effectivement. Déjà, comment tu as couru ton 40 km ou ton 30 km déjà ? Est-ce que tu étais au bout du rouleau ? Donc, si tu es au bout du rouleau, sur une course, quelle qu'elle soit, alors que... t'as pas joué ta vie, tu sais que t'as été plus tôt à l'économie, c'est que tu as simplement, entre guillemets, entre parenthèses, besoin de plus de temps pour ton entraînement. Ne pas vouloir accélérer trop, enfin ne pas vouloir passer à la distance supérieure qui n'est pas forcément d'ailleurs un objectif qu'il faut obtenir tous les ans, loin s'en faut. Mais si tu as déjà du mal, que tu ne termines pas ta course on va dire en bon état à peu près, N'envisage pas de passer au-dessus, parce que forcément, tu vas galérer, c'est évident. Je ne connais pas le futur, mais si tu as galéré sur un 30 km en étant plutôt à l'économie, tu t'engages sur un 50 ou un 60, tu vas pleurer des larmes. Je ne te cache pas. Donc, le but du jeu, enfin, pas le but du jeu, mais je trouve, je pense, je vais y arriver, que... Pour savoir si tu es prêt pour passer à la distance supérieure, par exemple à 60, alors que tu as fait un 30-40, c'est comment tu as terminé ta course. Est-ce que tu étais plutôt en bon état ou tu étais très très fatigué ? Est-ce qu'il y a des raisons que tu sois fatigué ? Après ça c'est une introspection, c'est ok j'ai mal dormi, je sais que je ne me suis pas entraîné suffisamment, j'ai eu un trou dans l'entraînement parce que j'ai été malade, ce genre de choses où il a fait très chaud, donc la météo ça a aussi un gros impact sur ta capacité respiratoire quand tu es en montagne, en pleine montée, sur du 20%, 30%, là c'est sûr quand on respire de l'air chaud, là aussi tu as envie de pleurer. Hormis ça, si tu es en bon état à la fin de ta course, pourquoi ne pas envisager plus si tu as envie de courir plus ? Moi j'ai procédé comme ça, mais j'ai fait 2,70 km. Ils se sont bien passés, je dis ok, je valide ces 70 km. Bon ok, j'étais fatigué, il n'y a pas de problème, je n'étais pas non plus. Voilà, c'est validé, je suis passé à l'ultra-riège 100 km. l'ultra-riège, 100 km, 6000 m de dénivelé cailloux pas de souvenirs super il faudra peut-être que je le refasse donc très mal aux jambes mais j'ai fini à 2h du matin en pleine bourre j'ai bien fini et du coup j'ai fini mon 100 km crevé c'est sûr, c'est certain mais j'étais pas au bout de ma vie et là je me suis dit ok, 100 km validé je sens avec un entraînement adapté évidemment avec un petit peu de temps que je peux courir 120, 130, 150. Bon, je me suis engagé sur le 160 du Grand-Retre des Pyrénées juste après, l'année suivante. Et c'est OK, ça l'a fait. Mais du coup, je n'ai pas franchi un 50 km à un 160 direct. Après, vous faites ce que vous voulez. Si vous voulez vous mettre ce challenge, et d'ailleurs, j'avais cette conversation avec ma femme, si vous voulez vous mettre ce challenge de passer... d'un 40 km à un 160 km, mais faites-vous plaisir, sincèrement, mais faites-vous plaisir. J'en ai parlé il n'y a pas très très longtemps dans les touristes en ultra, que je ne regrette pas d'ailleurs, il n'y a pas de soucis, ça a servi à motiver certains, donc c'est parfait. moi c'est pas mon kiff, c'est pas comme ça du tout que j'envisage le trail c'est pas dans une notion de dépassement de soi quitte à mettre sa santé en danger moi je veux courir longtemps, souvent et kiffer ma course le plus longtemps possible donc si t'as envie de te mettre la race à passer de 40 à 160 km avec du dénivelé C'est ton problème. C'est ta vie, c'est toi qui vis ça, il n'y a pas de problème. Mais moi, pour l'avoir, moi je préfère vraiment... Franchir des steps, des paliers. Et pour savoir si tu es prêt à franchir des paliers pour bien vivre tes courses, ce n'est pas juste enfiler 100 km en disant « Ouh, chouette, j'ai fait un 100 km, mais derrière, tu es tellement dégoûté, tu as eu tellement mal ou tu t'es peut-être même blessé que c'est fini pour toi, ça t'a vacciné, c'est dommage, c'est hyper dommage. » Donc moi, je t'encourage vraiment à fonctionner par palier, à terminer une course peut-être de 40 km en te disant « Ok, 40 km, c'est validé, je peux faire un 60. » Mais attention, un 60, ce n'est pas un 40. plus 20, ça se court pas tout à fait pareil, autant un 40, allez, t'es pas obligé de manger dans les ravitaux, peut-être je pense que tu peux prendre suffisamment sur toi pour faire le 40 km quasiment en autonomie. Après oui, tu recharges en eau, il n'y a pas de problème. Mais un 60, ça commence à tabasser un petit peu. Donc là, il y a une petite gestion à faire, la gestion aussi du glycogène, parce que du coup, tu vas courir plus longtemps. Et plus tu vas courir longtemps, plus l'importance de bien s'alimenter sera primordiale pour avoir de l'énergie. Et ça entraîne un problème, c'est que ça peut... t'amener des problèmes de digestion que t'as pas sur un 40 km mais tu peux avoir sur un 60, sur un 80, plus tu passes de temps sur une course, plus t'es susceptible, un moment ton tube digestif il te dit, bah en fait là tu m'as mis trop de solide y'a plus rien qui passe, c'est mort, tu m'as mis trop de sucre c'est mort, tu sais ce genre de choses donc ça c'est vraiment un aspect quand on dépasse comme ça des 40, 40-50 quand on commence à taper les 60, 80 et plus bah y'a cette gestion là énergétique, de contraintes énergétiques à l'alimentation qui rentrent en jeu. Et puis évidemment, tu as la gestion musculaire, tout simplement. 60 km, tu ne vas pas courir à 60 comme un 40. forcément au début, là je te parle de, ok c'est ton premier 60 je parle pas de coureurs qui ont l'habitude de courir des 60, maintenant ils ont pas besoin de moi peut-être, pour savoir comment ils courent un 60 mais si c'est ton premier 40 que t'as fini, t'es super content, que tu veux passer à un 60, et c'est bien bah dis-toi que oui, faudra quand même te renforcer renfaux musculaires, évidemment parce que c'est comme l'alimentation plus tu passes de temps sur ta course plus ta fatigue musculaire sera là, sera prononcée et plus tu vas galérer ... à terminer ta course. Entre passer une heure sur un 40 km peut-être en galère parce que la fin est dure et passer 3-4 heures dans la galère parce que ton 60 km, il faut bien le terminer, ce n'est pas la même chose. Donc il faut aider son corps et des contraintes musculaires, notamment en descente, mais en montée aussi. Mais tout ce qui est excentrique, ça tue, ça détruit les quadris. Donc il faut travailler ça. en plus d'un 40. Si tu veux vraiment passer à une distance supérieure, il faut aider le corps à être du mieux possible, le plus longtemps possible. Et là aussi, ça peut être une contrainte. Un aspect à prendre en compte, c'est que la marche active, parce qu'on n'est pas à glander sur les trails, on n'est pas là à se balader, on n'est pas en rando, mais la marche active sera forcément plus prépondérante sur un 60 km que sur un 40, même si sur un 40, de toute façon, tu ne cours pas dans les montées. Mais peut-être que suivant ton niveau, tu envoies un petit peu, tu te challenges. Là, sur un 60-80, termine déjà. là je parle pour un premier 60, pour un premier 80 termine correctement ta course et après challenge-toi à te dire ok, cette course, cette distance j'aimerais bien la faire peut-être en version un petit peu plus plus toi, tu vois te challenger un petit peu, regarde moi sur la Suspic j'ai envie de passer moins de temps dans les ravitaux pour gagner du temps justement bon, on va voir ce que ça donne je vais pas m'amuser à courir plus vite vraiment, là sur 380 km je passe mon tour fin. pas tout de suite, on verra comment ça ça fait, mais voilà, j'aimerais te faire prendre conscience que 1,60 c'est pas un 40 plus 20 couvri pareil, c'est vraiment une contrainte énergétique supérieure, une contrainte musculaire supérieure, une contrainte stratégique dans ta façon de courir supérieure. Et puis de 60, après tu passes à 100. Mais après, on reste globalement dans les mêmes problématiques. Et là, il y a la notion de temps, de progressivité qui a toute son importance. Mais ça, j'en parlerai un petit peu plus tard. Là, ça fait déjà un petit moment. Ouais, ça fait 13 minutes, 14 minutes que je parle. j'espère que cet épisode, cette capsule t'as plu, voilà pour ceux qui ne me connaissent pas, on ne sait jamais moi je suis coach sportif runner spécialisé dans le trail running je peux évidemment entraîner pour des marathons, des semi-marathons ce que tu veux mais je suis spécialisé je me spécialise parce qu'il faut choisir des choses qui me font kiffer, pour le coup moi c'est le trail running, donc si tu as des courses à préparer qui te font peur tu n'es pas assez structuré, tu sens que de passer de 40 à 60, 80 ou 100 voire plus ... Tu as une angoisse et tu as besoin de structuration, de bonnes méthodes que tu vas après l'entraînement, après l'accompagnement pouvoir dupliquer parce que moi je te conseille d'écouter l'épisode avec Marie qui va sortir le lundi 1er septembre parce que oui j'ai demandé qu'est-ce que tu en penses de l'accompagnement et qu'est-ce qui t'a amené les bénéfices tout ça. donc je t'encourage à écouter un petit peu ce que ça lui a apporté l'accompagnement parce que ce que ça lui a apporté Elle était boulimique du sport, j'ai dit. Sans le côté négatif, mais c'est vrai qu'elle a fait de très beaux formats. Finalement, tu verras un petit peu mon univers d'accompagnement, même si tu dois, je pense, la façon dont je communique, savoir un petit peu comment j'encadre mes coachés. Donc je mettrai le lien qui va te renseigner sur mon coaching. Ne tarde pas, parce que c'est vrai qu'il y a pas mal de monde et je ne peux pas me dupliquer. je ne peux pas me dupliquer, ce n'est pas possible, ça me demande énormément de temps de répondre, j'accorde énormément d'importance à la communication dans mon coaching, donc voilà, c'est à double tranchant, c'est-à-dire que je ne peux pas prendre non plus 5 ans de coaché, heureusement d'ailleurs, parce que sinon je n'ai plus de vie, mais si tu as une deadline, un objectif de course qui arrive, parle-moi-en, bloque ton créneau, voilà, je mettrai le lien de la page de renseignement de mon coaching dans chaque épisode de toute manière. Et puis, je vais arrêter là. Merci à tous en tout cas qui notent ce podcast, qui m'encouragent, qui mettaient des commentaires positifs, évidemment, sur ce podcast. Moi, je vous dis à plus tard, à dans deux jours. Je planifie tout ça comme ça, vous n'aurez pas de trous dans les épisodes de ce podcast. Voilà, les amis. Allez, passez une très belle journée. Moi, je vous dis à dans deux jours. Ciao, ciao.

Chapters

  • Introduction et contexte de l'épisode

    00:13

  • Préparation pour l'UTMB et réflexions personnelles

    01:06

  • Différences entre les distances de course

    04:10

  • Importance de l'état physique après une course

    06:26

  • Conclusion et invitation à écouter le prochain épisode

    14:28

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Description

Mes liens pour toi:


Infos coaching


Passer de 40 km à 60 km en trail, ça peut paraître simple… mais la réalité est tout autre. Dans cet épisode, je t’explique pourquoi 60 km n’est pas juste “20 de plus” et comment adapter ta préparation pour ne pas exploser le jour J.


Au programme :

  • Les 5 erreurs les plus fréquentes qui ruinent un 60 km

  • Comment gérer ton allure pour finir lucide

  • Les bases d’une stratégie nutrition simple et efficace

  • La bonne approche pour travailler le D+ sans te cramer

  • Le mental à adopter pour passer les moments difficiles


Que tu prépares ton premier trail longue distance ou que tu veuilles améliorer ta gestion de course, cet épisode te donnera les clés pour finir fort, sans te blesser et avec le sourire.

🎧 Écoute l’épisode complet dès maintenant et prépare-toi à réussir ton prochain 60 km !



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans du 5 km à l'Ultra Trail, le podcast qui t'aide à progresser en trail avec méthode, plaisir et confiance. Et cela quel que soit ton niveau. Attention 3, 2, 1, c'est parti ! Et bonjour les amis, bienvenue dans ce nouvel épisode du 5 km à l'Ultra Trail. J'espère que vous avez la forme, que tu as la forme. Cet épisode sort en plein milieu de la semaine, donc peut-être que, bon voilà, t'attends la fin de semaine avec impatience. peut-être que tu suis l'UTMB parce que cet épisode sort La semaine de l'UTMB, je dis ça pour tous ceux qui vont écouter cet épisode en différé, plus tard, plus loin, quand la chaîne va décoller à des millions d'écoutes, les gens vont se ruer sur tous mes épisodes. Bon, là je suis parti un petit peu loin, mais voilà, c'est la semaine de l'UTMB avec les 18 000 courses qu'il y a, donc c'est bien, vous êtes tous devant votre télé, ça fait rêver, ça fait rêver. Pour moi je préfère... faire ma course que rêver celle des autres ça c'est dit il ya aucune méchanceté vraiment il faut des gens qui fassent rêver qui inspire voilà et il ya aucune critique là dessus après l'utmb reste l'utmb moi je serai en suisse à partir de dimanche jusqu'à vendredi toute une semaine de trail et ça moi ça me fait rêver est ce que j'ai peur est ce que j'ai de l'appréhension pas vraiment Et c'est ça qui me fait le plus peur, c'est que j'ai pas vraiment d'appréhension. L'année dernière, j'ai eu un peu peur, mais finalement, je pense que c'est la première fois que je fais deux courses, enfin la même course, deux fois d'affilée, parce que c'est la première course que je n'ai pas finie, finalement, l'année dernière. Donc je sais à peu près à quoi m'attendre, même si je ne te cache pas que je réécoute en ce moment mon épisode de la suspic de l'année dernière. Alors l'épisode, je me souviens plus, mais c'est l'épisode de septembre 2024. c'est « Vie ma course, la suisse pique » . Et pour me souvenir un petit peu de comment et qu'est-ce qui se passait sur cette course, parce que pour en toute honnêteté, en toute franchise, je me souviens d'une nuit, je me souviens de quelques passages, mais je ne me souviens pas des quatre jours, enfin dimanche, lundi, mardi, mercredi, jeudi, des cinq jours même, et c'est assez étrange, donc voilà, j'aimerais bien me souvenir un petit peu mieux, et du coup, dans mon épisode de l'année dernière où je me suis enregistré, Et ce que je vais faire cette année encore, je me suis enregistré pas toutes les heures, loin s'en faut, mais très régulièrement, ça me permet de voir à quelle heure je suis sorti du ravito, comment j'étais au bout de 10 heures, 12 heures, 2 jours, ce genre de choses. Donc ça me met bien vraiment les pieds dans les godasses et pas à côté. Donc ça c'est bien, je suis... extrêmement content d'avoir ces épisodes pour pouvoir me souvenir de ce qui s'est passé. Donc là, je me prépare. Ouais, je me prépare, je me prépare. Mais en attendant de me préparer, c'est vrai qu'aujourd'hui, donc là, j'enregistre, je prends un petit peu d'avance, je te cache pas. C'est la suspic qui fait ça. J'ai enregistré l'épisode qui va sortir lundi prochain. Donc le lundi, c'est quoi ? C'est le lundi 1er septembre. Voilà, avec Marie. Marie, c'est une de mes coachées. qui a fait un été de fou, qui a fini une course en relais là. Bref, pas mal de choses. Et du coup, je l'ai interviewé dans le podcast et normalement, lundi, l'épisode sortira en automatique. Je te conseille d'aller l'écouter parce que c'est chouette. Tout le monde a une expérience différente, mais je pense que celle-là, ça va te parler si tu te blesses, si... Ce genre de choses, si tu fais un petit peu du too much, un petit peu comme elle faisait ou qu'elle fait. Mais voilà, on a bien géré cette histoire. depuis le mois de mars qu'elle est avec moi. Donc je suis très très content et elle est très contente aussi de son évolution. Donc je te laisse, je tease un petit peu mais voilà, c'est l'épisode de lundi prochain. On en a quasiment pour 1h45 donc prépare-toi en sortie longue tout ça ou dans le train, je ne sais pas. Moi j'ai trouvé ça hyper intéressant et puis c'était très très sympa. Bon, ceci étant dit, moi de quoi je veux te parler ? Eh bien justement, j'aimerais... Excuse-moi, j'ai le OK comme d'habitude. J'aimerais rebondir un petit peu sur ce qu'on a dit à un moment, sur ce qu'elle a dit à un moment en disant un 100 km, ce n'est pas un 40 km, ce n'est pas la même course. Et c'est vrai, c'est vrai, j'aimerais te faire prendre conscience que, OK, moi, j'ai couru à 380, je pourrais très bien courir à 160, ce serait quasiment pareil. hormis le sommeil et peut-être l'alimentation au fur et à mesure ça peut te paraître énorme et c'est énorme mais après dans la gestion, c'est vraiment une gestion du sommeil une gestion d'alimentation, évidemment il y a l'entraînement qui est là, mais sincèrement si tu arrives à faire 160, 200 bornes depuis un an, deux ans, trois ans, bon il n'y a pas de raison si tu te prépares bien, si tu n'es pas blessé, si tu enchaînes les blessures évidemment c'est qu'il y a un problème. Hormis ça il n'y a pas de raison qu'une PTL ou un 300, 250 ou plus, ce ne soit pas accessible. Mais il faut bien penser... que courir un 100 km, courir un 80, même courir un 60 n'est pas la même chose qu'un 30 ou 40. Il faut faire la différence. En fait, un 60, ce n'est pas un 40 plus 20, très clairement. Et c'est ça qui peut faire peur et c'est ça qui fout un peu la merde, en fait, si je peux m'exprimer comme ça. C'est ça qui angoisse parce qu'on se dit, OK, j'ai fait un 30 km, 40. Mais 60, 70, comment je fais pour dépasser ce stade ? Est-ce que je peux courir à la même allure ? Comment je fais pour courir plus longtemps alors que là, je suis au bout du rouleau, au bout de 40 km ? Eh bien oui, effectivement. Déjà, comment tu as couru ton 40 km ou ton 30 km déjà ? Est-ce que tu étais au bout du rouleau ? Donc, si tu es au bout du rouleau, sur une course, quelle qu'elle soit, alors que... t'as pas joué ta vie, tu sais que t'as été plus tôt à l'économie, c'est que tu as simplement, entre guillemets, entre parenthèses, besoin de plus de temps pour ton entraînement. Ne pas vouloir accélérer trop, enfin ne pas vouloir passer à la distance supérieure qui n'est pas forcément d'ailleurs un objectif qu'il faut obtenir tous les ans, loin s'en faut. Mais si tu as déjà du mal, que tu ne termines pas ta course on va dire en bon état à peu près, N'envisage pas de passer au-dessus, parce que forcément, tu vas galérer, c'est évident. Je ne connais pas le futur, mais si tu as galéré sur un 30 km en étant plutôt à l'économie, tu t'engages sur un 50 ou un 60, tu vas pleurer des larmes. Je ne te cache pas. Donc, le but du jeu, enfin, pas le but du jeu, mais je trouve, je pense, je vais y arriver, que... Pour savoir si tu es prêt pour passer à la distance supérieure, par exemple à 60, alors que tu as fait un 30-40, c'est comment tu as terminé ta course. Est-ce que tu étais plutôt en bon état ou tu étais très très fatigué ? Est-ce qu'il y a des raisons que tu sois fatigué ? Après ça c'est une introspection, c'est ok j'ai mal dormi, je sais que je ne me suis pas entraîné suffisamment, j'ai eu un trou dans l'entraînement parce que j'ai été malade, ce genre de choses où il a fait très chaud, donc la météo ça a aussi un gros impact sur ta capacité respiratoire quand tu es en montagne, en pleine montée, sur du 20%, 30%, là c'est sûr quand on respire de l'air chaud, là aussi tu as envie de pleurer. Hormis ça, si tu es en bon état à la fin de ta course, pourquoi ne pas envisager plus si tu as envie de courir plus ? Moi j'ai procédé comme ça, mais j'ai fait 2,70 km. Ils se sont bien passés, je dis ok, je valide ces 70 km. Bon ok, j'étais fatigué, il n'y a pas de problème, je n'étais pas non plus. Voilà, c'est validé, je suis passé à l'ultra-riège 100 km. l'ultra-riège, 100 km, 6000 m de dénivelé cailloux pas de souvenirs super il faudra peut-être que je le refasse donc très mal aux jambes mais j'ai fini à 2h du matin en pleine bourre j'ai bien fini et du coup j'ai fini mon 100 km crevé c'est sûr, c'est certain mais j'étais pas au bout de ma vie et là je me suis dit ok, 100 km validé je sens avec un entraînement adapté évidemment avec un petit peu de temps que je peux courir 120, 130, 150. Bon, je me suis engagé sur le 160 du Grand-Retre des Pyrénées juste après, l'année suivante. Et c'est OK, ça l'a fait. Mais du coup, je n'ai pas franchi un 50 km à un 160 direct. Après, vous faites ce que vous voulez. Si vous voulez vous mettre ce challenge, et d'ailleurs, j'avais cette conversation avec ma femme, si vous voulez vous mettre ce challenge de passer... d'un 40 km à un 160 km, mais faites-vous plaisir, sincèrement, mais faites-vous plaisir. J'en ai parlé il n'y a pas très très longtemps dans les touristes en ultra, que je ne regrette pas d'ailleurs, il n'y a pas de soucis, ça a servi à motiver certains, donc c'est parfait. moi c'est pas mon kiff, c'est pas comme ça du tout que j'envisage le trail c'est pas dans une notion de dépassement de soi quitte à mettre sa santé en danger moi je veux courir longtemps, souvent et kiffer ma course le plus longtemps possible donc si t'as envie de te mettre la race à passer de 40 à 160 km avec du dénivelé C'est ton problème. C'est ta vie, c'est toi qui vis ça, il n'y a pas de problème. Mais moi, pour l'avoir, moi je préfère vraiment... Franchir des steps, des paliers. Et pour savoir si tu es prêt à franchir des paliers pour bien vivre tes courses, ce n'est pas juste enfiler 100 km en disant « Ouh, chouette, j'ai fait un 100 km, mais derrière, tu es tellement dégoûté, tu as eu tellement mal ou tu t'es peut-être même blessé que c'est fini pour toi, ça t'a vacciné, c'est dommage, c'est hyper dommage. » Donc moi, je t'encourage vraiment à fonctionner par palier, à terminer une course peut-être de 40 km en te disant « Ok, 40 km, c'est validé, je peux faire un 60. » Mais attention, un 60, ce n'est pas un 40. plus 20, ça se court pas tout à fait pareil, autant un 40, allez, t'es pas obligé de manger dans les ravitaux, peut-être je pense que tu peux prendre suffisamment sur toi pour faire le 40 km quasiment en autonomie. Après oui, tu recharges en eau, il n'y a pas de problème. Mais un 60, ça commence à tabasser un petit peu. Donc là, il y a une petite gestion à faire, la gestion aussi du glycogène, parce que du coup, tu vas courir plus longtemps. Et plus tu vas courir longtemps, plus l'importance de bien s'alimenter sera primordiale pour avoir de l'énergie. Et ça entraîne un problème, c'est que ça peut... t'amener des problèmes de digestion que t'as pas sur un 40 km mais tu peux avoir sur un 60, sur un 80, plus tu passes de temps sur une course, plus t'es susceptible, un moment ton tube digestif il te dit, bah en fait là tu m'as mis trop de solide y'a plus rien qui passe, c'est mort, tu m'as mis trop de sucre c'est mort, tu sais ce genre de choses donc ça c'est vraiment un aspect quand on dépasse comme ça des 40, 40-50 quand on commence à taper les 60, 80 et plus bah y'a cette gestion là énergétique, de contraintes énergétiques à l'alimentation qui rentrent en jeu. Et puis évidemment, tu as la gestion musculaire, tout simplement. 60 km, tu ne vas pas courir à 60 comme un 40. forcément au début, là je te parle de, ok c'est ton premier 60 je parle pas de coureurs qui ont l'habitude de courir des 60, maintenant ils ont pas besoin de moi peut-être, pour savoir comment ils courent un 60 mais si c'est ton premier 40 que t'as fini, t'es super content, que tu veux passer à un 60, et c'est bien bah dis-toi que oui, faudra quand même te renforcer renfaux musculaires, évidemment parce que c'est comme l'alimentation plus tu passes de temps sur ta course plus ta fatigue musculaire sera là, sera prononcée et plus tu vas galérer ... à terminer ta course. Entre passer une heure sur un 40 km peut-être en galère parce que la fin est dure et passer 3-4 heures dans la galère parce que ton 60 km, il faut bien le terminer, ce n'est pas la même chose. Donc il faut aider son corps et des contraintes musculaires, notamment en descente, mais en montée aussi. Mais tout ce qui est excentrique, ça tue, ça détruit les quadris. Donc il faut travailler ça. en plus d'un 40. Si tu veux vraiment passer à une distance supérieure, il faut aider le corps à être du mieux possible, le plus longtemps possible. Et là aussi, ça peut être une contrainte. Un aspect à prendre en compte, c'est que la marche active, parce qu'on n'est pas à glander sur les trails, on n'est pas là à se balader, on n'est pas en rando, mais la marche active sera forcément plus prépondérante sur un 60 km que sur un 40, même si sur un 40, de toute façon, tu ne cours pas dans les montées. Mais peut-être que suivant ton niveau, tu envoies un petit peu, tu te challenges. Là, sur un 60-80, termine déjà. là je parle pour un premier 60, pour un premier 80 termine correctement ta course et après challenge-toi à te dire ok, cette course, cette distance j'aimerais bien la faire peut-être en version un petit peu plus plus toi, tu vois te challenger un petit peu, regarde moi sur la Suspic j'ai envie de passer moins de temps dans les ravitaux pour gagner du temps justement bon, on va voir ce que ça donne je vais pas m'amuser à courir plus vite vraiment, là sur 380 km je passe mon tour fin. pas tout de suite, on verra comment ça ça fait, mais voilà, j'aimerais te faire prendre conscience que 1,60 c'est pas un 40 plus 20 couvri pareil, c'est vraiment une contrainte énergétique supérieure, une contrainte musculaire supérieure, une contrainte stratégique dans ta façon de courir supérieure. Et puis de 60, après tu passes à 100. Mais après, on reste globalement dans les mêmes problématiques. Et là, il y a la notion de temps, de progressivité qui a toute son importance. Mais ça, j'en parlerai un petit peu plus tard. Là, ça fait déjà un petit moment. Ouais, ça fait 13 minutes, 14 minutes que je parle. j'espère que cet épisode, cette capsule t'as plu, voilà pour ceux qui ne me connaissent pas, on ne sait jamais moi je suis coach sportif runner spécialisé dans le trail running je peux évidemment entraîner pour des marathons, des semi-marathons ce que tu veux mais je suis spécialisé je me spécialise parce qu'il faut choisir des choses qui me font kiffer, pour le coup moi c'est le trail running, donc si tu as des courses à préparer qui te font peur tu n'es pas assez structuré, tu sens que de passer de 40 à 60, 80 ou 100 voire plus ... Tu as une angoisse et tu as besoin de structuration, de bonnes méthodes que tu vas après l'entraînement, après l'accompagnement pouvoir dupliquer parce que moi je te conseille d'écouter l'épisode avec Marie qui va sortir le lundi 1er septembre parce que oui j'ai demandé qu'est-ce que tu en penses de l'accompagnement et qu'est-ce qui t'a amené les bénéfices tout ça. donc je t'encourage à écouter un petit peu ce que ça lui a apporté l'accompagnement parce que ce que ça lui a apporté Elle était boulimique du sport, j'ai dit. Sans le côté négatif, mais c'est vrai qu'elle a fait de très beaux formats. Finalement, tu verras un petit peu mon univers d'accompagnement, même si tu dois, je pense, la façon dont je communique, savoir un petit peu comment j'encadre mes coachés. Donc je mettrai le lien qui va te renseigner sur mon coaching. Ne tarde pas, parce que c'est vrai qu'il y a pas mal de monde et je ne peux pas me dupliquer. je ne peux pas me dupliquer, ce n'est pas possible, ça me demande énormément de temps de répondre, j'accorde énormément d'importance à la communication dans mon coaching, donc voilà, c'est à double tranchant, c'est-à-dire que je ne peux pas prendre non plus 5 ans de coaché, heureusement d'ailleurs, parce que sinon je n'ai plus de vie, mais si tu as une deadline, un objectif de course qui arrive, parle-moi-en, bloque ton créneau, voilà, je mettrai le lien de la page de renseignement de mon coaching dans chaque épisode de toute manière. Et puis, je vais arrêter là. Merci à tous en tout cas qui notent ce podcast, qui m'encouragent, qui mettaient des commentaires positifs, évidemment, sur ce podcast. Moi, je vous dis à plus tard, à dans deux jours. Je planifie tout ça comme ça, vous n'aurez pas de trous dans les épisodes de ce podcast. Voilà, les amis. Allez, passez une très belle journée. Moi, je vous dis à dans deux jours. Ciao, ciao.

Chapters

  • Introduction et contexte de l'épisode

    00:13

  • Préparation pour l'UTMB et réflexions personnelles

    01:06

  • Différences entre les distances de course

    04:10

  • Importance de l'état physique après une course

    06:26

  • Conclusion et invitation à écouter le prochain épisode

    14:28

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Passer de 40 km à 60 km en trail, ça peut paraître simple… mais la réalité est tout autre. Dans cet épisode, je t’explique pourquoi 60 km n’est pas juste “20 de plus” et comment adapter ta préparation pour ne pas exploser le jour J.


Au programme :

  • Les 5 erreurs les plus fréquentes qui ruinent un 60 km

  • Comment gérer ton allure pour finir lucide

  • Les bases d’une stratégie nutrition simple et efficace

  • La bonne approche pour travailler le D+ sans te cramer

  • Le mental à adopter pour passer les moments difficiles


Que tu prépares ton premier trail longue distance ou que tu veuilles améliorer ta gestion de course, cet épisode te donnera les clés pour finir fort, sans te blesser et avec le sourire.

🎧 Écoute l’épisode complet dès maintenant et prépare-toi à réussir ton prochain 60 km !



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  • Speaker #0

    Bienvenue dans du 5 km à l'Ultra Trail, le podcast qui t'aide à progresser en trail avec méthode, plaisir et confiance. Et cela quel que soit ton niveau. Attention 3, 2, 1, c'est parti ! Et bonjour les amis, bienvenue dans ce nouvel épisode du 5 km à l'Ultra Trail. J'espère que vous avez la forme, que tu as la forme. Cet épisode sort en plein milieu de la semaine, donc peut-être que, bon voilà, t'attends la fin de semaine avec impatience. peut-être que tu suis l'UTMB parce que cet épisode sort La semaine de l'UTMB, je dis ça pour tous ceux qui vont écouter cet épisode en différé, plus tard, plus loin, quand la chaîne va décoller à des millions d'écoutes, les gens vont se ruer sur tous mes épisodes. Bon, là je suis parti un petit peu loin, mais voilà, c'est la semaine de l'UTMB avec les 18 000 courses qu'il y a, donc c'est bien, vous êtes tous devant votre télé, ça fait rêver, ça fait rêver. Pour moi je préfère... faire ma course que rêver celle des autres ça c'est dit il ya aucune méchanceté vraiment il faut des gens qui fassent rêver qui inspire voilà et il ya aucune critique là dessus après l'utmb reste l'utmb moi je serai en suisse à partir de dimanche jusqu'à vendredi toute une semaine de trail et ça moi ça me fait rêver est ce que j'ai peur est ce que j'ai de l'appréhension pas vraiment Et c'est ça qui me fait le plus peur, c'est que j'ai pas vraiment d'appréhension. L'année dernière, j'ai eu un peu peur, mais finalement, je pense que c'est la première fois que je fais deux courses, enfin la même course, deux fois d'affilée, parce que c'est la première course que je n'ai pas finie, finalement, l'année dernière. Donc je sais à peu près à quoi m'attendre, même si je ne te cache pas que je réécoute en ce moment mon épisode de la suspic de l'année dernière. Alors l'épisode, je me souviens plus, mais c'est l'épisode de septembre 2024. c'est « Vie ma course, la suisse pique » . Et pour me souvenir un petit peu de comment et qu'est-ce qui se passait sur cette course, parce que pour en toute honnêteté, en toute franchise, je me souviens d'une nuit, je me souviens de quelques passages, mais je ne me souviens pas des quatre jours, enfin dimanche, lundi, mardi, mercredi, jeudi, des cinq jours même, et c'est assez étrange, donc voilà, j'aimerais bien me souvenir un petit peu mieux, et du coup, dans mon épisode de l'année dernière où je me suis enregistré, Et ce que je vais faire cette année encore, je me suis enregistré pas toutes les heures, loin s'en faut, mais très régulièrement, ça me permet de voir à quelle heure je suis sorti du ravito, comment j'étais au bout de 10 heures, 12 heures, 2 jours, ce genre de choses. Donc ça me met bien vraiment les pieds dans les godasses et pas à côté. Donc ça c'est bien, je suis... extrêmement content d'avoir ces épisodes pour pouvoir me souvenir de ce qui s'est passé. Donc là, je me prépare. Ouais, je me prépare, je me prépare. Mais en attendant de me préparer, c'est vrai qu'aujourd'hui, donc là, j'enregistre, je prends un petit peu d'avance, je te cache pas. C'est la suspic qui fait ça. J'ai enregistré l'épisode qui va sortir lundi prochain. Donc le lundi, c'est quoi ? C'est le lundi 1er septembre. Voilà, avec Marie. Marie, c'est une de mes coachées. qui a fait un été de fou, qui a fini une course en relais là. Bref, pas mal de choses. Et du coup, je l'ai interviewé dans le podcast et normalement, lundi, l'épisode sortira en automatique. Je te conseille d'aller l'écouter parce que c'est chouette. Tout le monde a une expérience différente, mais je pense que celle-là, ça va te parler si tu te blesses, si... Ce genre de choses, si tu fais un petit peu du too much, un petit peu comme elle faisait ou qu'elle fait. Mais voilà, on a bien géré cette histoire. depuis le mois de mars qu'elle est avec moi. Donc je suis très très content et elle est très contente aussi de son évolution. Donc je te laisse, je tease un petit peu mais voilà, c'est l'épisode de lundi prochain. On en a quasiment pour 1h45 donc prépare-toi en sortie longue tout ça ou dans le train, je ne sais pas. Moi j'ai trouvé ça hyper intéressant et puis c'était très très sympa. Bon, ceci étant dit, moi de quoi je veux te parler ? Eh bien justement, j'aimerais... Excuse-moi, j'ai le OK comme d'habitude. J'aimerais rebondir un petit peu sur ce qu'on a dit à un moment, sur ce qu'elle a dit à un moment en disant un 100 km, ce n'est pas un 40 km, ce n'est pas la même course. Et c'est vrai, c'est vrai, j'aimerais te faire prendre conscience que, OK, moi, j'ai couru à 380, je pourrais très bien courir à 160, ce serait quasiment pareil. hormis le sommeil et peut-être l'alimentation au fur et à mesure ça peut te paraître énorme et c'est énorme mais après dans la gestion, c'est vraiment une gestion du sommeil une gestion d'alimentation, évidemment il y a l'entraînement qui est là, mais sincèrement si tu arrives à faire 160, 200 bornes depuis un an, deux ans, trois ans, bon il n'y a pas de raison si tu te prépares bien, si tu n'es pas blessé, si tu enchaînes les blessures évidemment c'est qu'il y a un problème. Hormis ça il n'y a pas de raison qu'une PTL ou un 300, 250 ou plus, ce ne soit pas accessible. Mais il faut bien penser... que courir un 100 km, courir un 80, même courir un 60 n'est pas la même chose qu'un 30 ou 40. Il faut faire la différence. En fait, un 60, ce n'est pas un 40 plus 20, très clairement. Et c'est ça qui peut faire peur et c'est ça qui fout un peu la merde, en fait, si je peux m'exprimer comme ça. C'est ça qui angoisse parce qu'on se dit, OK, j'ai fait un 30 km, 40. Mais 60, 70, comment je fais pour dépasser ce stade ? Est-ce que je peux courir à la même allure ? Comment je fais pour courir plus longtemps alors que là, je suis au bout du rouleau, au bout de 40 km ? Eh bien oui, effectivement. Déjà, comment tu as couru ton 40 km ou ton 30 km déjà ? Est-ce que tu étais au bout du rouleau ? Donc, si tu es au bout du rouleau, sur une course, quelle qu'elle soit, alors que... t'as pas joué ta vie, tu sais que t'as été plus tôt à l'économie, c'est que tu as simplement, entre guillemets, entre parenthèses, besoin de plus de temps pour ton entraînement. Ne pas vouloir accélérer trop, enfin ne pas vouloir passer à la distance supérieure qui n'est pas forcément d'ailleurs un objectif qu'il faut obtenir tous les ans, loin s'en faut. Mais si tu as déjà du mal, que tu ne termines pas ta course on va dire en bon état à peu près, N'envisage pas de passer au-dessus, parce que forcément, tu vas galérer, c'est évident. Je ne connais pas le futur, mais si tu as galéré sur un 30 km en étant plutôt à l'économie, tu t'engages sur un 50 ou un 60, tu vas pleurer des larmes. Je ne te cache pas. Donc, le but du jeu, enfin, pas le but du jeu, mais je trouve, je pense, je vais y arriver, que... Pour savoir si tu es prêt pour passer à la distance supérieure, par exemple à 60, alors que tu as fait un 30-40, c'est comment tu as terminé ta course. Est-ce que tu étais plutôt en bon état ou tu étais très très fatigué ? Est-ce qu'il y a des raisons que tu sois fatigué ? Après ça c'est une introspection, c'est ok j'ai mal dormi, je sais que je ne me suis pas entraîné suffisamment, j'ai eu un trou dans l'entraînement parce que j'ai été malade, ce genre de choses où il a fait très chaud, donc la météo ça a aussi un gros impact sur ta capacité respiratoire quand tu es en montagne, en pleine montée, sur du 20%, 30%, là c'est sûr quand on respire de l'air chaud, là aussi tu as envie de pleurer. Hormis ça, si tu es en bon état à la fin de ta course, pourquoi ne pas envisager plus si tu as envie de courir plus ? Moi j'ai procédé comme ça, mais j'ai fait 2,70 km. Ils se sont bien passés, je dis ok, je valide ces 70 km. Bon ok, j'étais fatigué, il n'y a pas de problème, je n'étais pas non plus. Voilà, c'est validé, je suis passé à l'ultra-riège 100 km. l'ultra-riège, 100 km, 6000 m de dénivelé cailloux pas de souvenirs super il faudra peut-être que je le refasse donc très mal aux jambes mais j'ai fini à 2h du matin en pleine bourre j'ai bien fini et du coup j'ai fini mon 100 km crevé c'est sûr, c'est certain mais j'étais pas au bout de ma vie et là je me suis dit ok, 100 km validé je sens avec un entraînement adapté évidemment avec un petit peu de temps que je peux courir 120, 130, 150. Bon, je me suis engagé sur le 160 du Grand-Retre des Pyrénées juste après, l'année suivante. Et c'est OK, ça l'a fait. Mais du coup, je n'ai pas franchi un 50 km à un 160 direct. Après, vous faites ce que vous voulez. Si vous voulez vous mettre ce challenge, et d'ailleurs, j'avais cette conversation avec ma femme, si vous voulez vous mettre ce challenge de passer... d'un 40 km à un 160 km, mais faites-vous plaisir, sincèrement, mais faites-vous plaisir. J'en ai parlé il n'y a pas très très longtemps dans les touristes en ultra, que je ne regrette pas d'ailleurs, il n'y a pas de soucis, ça a servi à motiver certains, donc c'est parfait. moi c'est pas mon kiff, c'est pas comme ça du tout que j'envisage le trail c'est pas dans une notion de dépassement de soi quitte à mettre sa santé en danger moi je veux courir longtemps, souvent et kiffer ma course le plus longtemps possible donc si t'as envie de te mettre la race à passer de 40 à 160 km avec du dénivelé C'est ton problème. C'est ta vie, c'est toi qui vis ça, il n'y a pas de problème. Mais moi, pour l'avoir, moi je préfère vraiment... Franchir des steps, des paliers. Et pour savoir si tu es prêt à franchir des paliers pour bien vivre tes courses, ce n'est pas juste enfiler 100 km en disant « Ouh, chouette, j'ai fait un 100 km, mais derrière, tu es tellement dégoûté, tu as eu tellement mal ou tu t'es peut-être même blessé que c'est fini pour toi, ça t'a vacciné, c'est dommage, c'est hyper dommage. » Donc moi, je t'encourage vraiment à fonctionner par palier, à terminer une course peut-être de 40 km en te disant « Ok, 40 km, c'est validé, je peux faire un 60. » Mais attention, un 60, ce n'est pas un 40. plus 20, ça se court pas tout à fait pareil, autant un 40, allez, t'es pas obligé de manger dans les ravitaux, peut-être je pense que tu peux prendre suffisamment sur toi pour faire le 40 km quasiment en autonomie. Après oui, tu recharges en eau, il n'y a pas de problème. Mais un 60, ça commence à tabasser un petit peu. Donc là, il y a une petite gestion à faire, la gestion aussi du glycogène, parce que du coup, tu vas courir plus longtemps. Et plus tu vas courir longtemps, plus l'importance de bien s'alimenter sera primordiale pour avoir de l'énergie. Et ça entraîne un problème, c'est que ça peut... t'amener des problèmes de digestion que t'as pas sur un 40 km mais tu peux avoir sur un 60, sur un 80, plus tu passes de temps sur une course, plus t'es susceptible, un moment ton tube digestif il te dit, bah en fait là tu m'as mis trop de solide y'a plus rien qui passe, c'est mort, tu m'as mis trop de sucre c'est mort, tu sais ce genre de choses donc ça c'est vraiment un aspect quand on dépasse comme ça des 40, 40-50 quand on commence à taper les 60, 80 et plus bah y'a cette gestion là énergétique, de contraintes énergétiques à l'alimentation qui rentrent en jeu. Et puis évidemment, tu as la gestion musculaire, tout simplement. 60 km, tu ne vas pas courir à 60 comme un 40. forcément au début, là je te parle de, ok c'est ton premier 60 je parle pas de coureurs qui ont l'habitude de courir des 60, maintenant ils ont pas besoin de moi peut-être, pour savoir comment ils courent un 60 mais si c'est ton premier 40 que t'as fini, t'es super content, que tu veux passer à un 60, et c'est bien bah dis-toi que oui, faudra quand même te renforcer renfaux musculaires, évidemment parce que c'est comme l'alimentation plus tu passes de temps sur ta course plus ta fatigue musculaire sera là, sera prononcée et plus tu vas galérer ... à terminer ta course. Entre passer une heure sur un 40 km peut-être en galère parce que la fin est dure et passer 3-4 heures dans la galère parce que ton 60 km, il faut bien le terminer, ce n'est pas la même chose. Donc il faut aider son corps et des contraintes musculaires, notamment en descente, mais en montée aussi. Mais tout ce qui est excentrique, ça tue, ça détruit les quadris. Donc il faut travailler ça. en plus d'un 40. Si tu veux vraiment passer à une distance supérieure, il faut aider le corps à être du mieux possible, le plus longtemps possible. Et là aussi, ça peut être une contrainte. Un aspect à prendre en compte, c'est que la marche active, parce qu'on n'est pas à glander sur les trails, on n'est pas là à se balader, on n'est pas en rando, mais la marche active sera forcément plus prépondérante sur un 60 km que sur un 40, même si sur un 40, de toute façon, tu ne cours pas dans les montées. Mais peut-être que suivant ton niveau, tu envoies un petit peu, tu te challenges. Là, sur un 60-80, termine déjà. là je parle pour un premier 60, pour un premier 80 termine correctement ta course et après challenge-toi à te dire ok, cette course, cette distance j'aimerais bien la faire peut-être en version un petit peu plus plus toi, tu vois te challenger un petit peu, regarde moi sur la Suspic j'ai envie de passer moins de temps dans les ravitaux pour gagner du temps justement bon, on va voir ce que ça donne je vais pas m'amuser à courir plus vite vraiment, là sur 380 km je passe mon tour fin. pas tout de suite, on verra comment ça ça fait, mais voilà, j'aimerais te faire prendre conscience que 1,60 c'est pas un 40 plus 20 couvri pareil, c'est vraiment une contrainte énergétique supérieure, une contrainte musculaire supérieure, une contrainte stratégique dans ta façon de courir supérieure. Et puis de 60, après tu passes à 100. Mais après, on reste globalement dans les mêmes problématiques. Et là, il y a la notion de temps, de progressivité qui a toute son importance. Mais ça, j'en parlerai un petit peu plus tard. Là, ça fait déjà un petit moment. Ouais, ça fait 13 minutes, 14 minutes que je parle. j'espère que cet épisode, cette capsule t'as plu, voilà pour ceux qui ne me connaissent pas, on ne sait jamais moi je suis coach sportif runner spécialisé dans le trail running je peux évidemment entraîner pour des marathons, des semi-marathons ce que tu veux mais je suis spécialisé je me spécialise parce qu'il faut choisir des choses qui me font kiffer, pour le coup moi c'est le trail running, donc si tu as des courses à préparer qui te font peur tu n'es pas assez structuré, tu sens que de passer de 40 à 60, 80 ou 100 voire plus ... Tu as une angoisse et tu as besoin de structuration, de bonnes méthodes que tu vas après l'entraînement, après l'accompagnement pouvoir dupliquer parce que moi je te conseille d'écouter l'épisode avec Marie qui va sortir le lundi 1er septembre parce que oui j'ai demandé qu'est-ce que tu en penses de l'accompagnement et qu'est-ce qui t'a amené les bénéfices tout ça. donc je t'encourage à écouter un petit peu ce que ça lui a apporté l'accompagnement parce que ce que ça lui a apporté Elle était boulimique du sport, j'ai dit. Sans le côté négatif, mais c'est vrai qu'elle a fait de très beaux formats. Finalement, tu verras un petit peu mon univers d'accompagnement, même si tu dois, je pense, la façon dont je communique, savoir un petit peu comment j'encadre mes coachés. Donc je mettrai le lien qui va te renseigner sur mon coaching. Ne tarde pas, parce que c'est vrai qu'il y a pas mal de monde et je ne peux pas me dupliquer. je ne peux pas me dupliquer, ce n'est pas possible, ça me demande énormément de temps de répondre, j'accorde énormément d'importance à la communication dans mon coaching, donc voilà, c'est à double tranchant, c'est-à-dire que je ne peux pas prendre non plus 5 ans de coaché, heureusement d'ailleurs, parce que sinon je n'ai plus de vie, mais si tu as une deadline, un objectif de course qui arrive, parle-moi-en, bloque ton créneau, voilà, je mettrai le lien de la page de renseignement de mon coaching dans chaque épisode de toute manière. Et puis, je vais arrêter là. Merci à tous en tout cas qui notent ce podcast, qui m'encouragent, qui mettaient des commentaires positifs, évidemment, sur ce podcast. Moi, je vous dis à plus tard, à dans deux jours. Je planifie tout ça comme ça, vous n'aurez pas de trous dans les épisodes de ce podcast. Voilà, les amis. Allez, passez une très belle journée. Moi, je vous dis à dans deux jours. Ciao, ciao.

Chapters

  • Introduction et contexte de l'épisode

    00:13

  • Préparation pour l'UTMB et réflexions personnelles

    01:06

  • Différences entre les distances de course

    04:10

  • Importance de l'état physique après une course

    06:26

  • Conclusion et invitation à écouter le prochain épisode

    14:28

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