Speaker #0Bienvenue dans du 5 km à l'Ultra Trail, le podcast qui t'aide à progresser en trail avec méthode, plaisir et confiance. Et cela quel que soit ton niveau. Attention 3, 2, 1, c'est parti ! Allez c'est parti les amis, bienvenue dans ce nouvel épisode du 5 km à l'Ultra Trail. Bon il n'était pas spécialement prévu, je t'avouerais que je n'avais pas spécialement prévu de sortir cet épisode aujourd'hui, mais je me dis que tiens pourquoi pas, pour moi c'est la rentrée après la Swiss Peak, et que remettre un petit peu le pied à l'étrier d'un épisode par jour, pourquoi pas, pour redonner un petit peu de rythme. Et voilà, alors de quoi je vais te parler ? Bon, bah écoute... J'ai envie de te parler de quoi ? Je suis en train de restructurer un petit peu mon offre et ma page de renseignement qui va être bientôt disponible et cette page va te permettre de regarder un petit peu les courses, les formats de courses que tous mes coachés ont fait. Ça va du 15 km au globalement jusqu'à 120 km. Donc ça te pourra donner des idées peut-être de courses à faire et sur lesquelles je peux aussi t'accompagner même si je raffole à vrai dire de nouvelles courses, de nouveaux formats parce que Je ne connais pas toutes les courses, notamment du Nord. Il y a pas mal de courses là-haut, il y a des super formats. Donc voilà, je suis en train de faire ça et une fois que ce sera finalisé, je mettrai tout ça sur cette page de renseignements. Bon, bref, sinon, de quoi je voulais te parler ? Alors, j'aimerais te parler en fait de ce changement. Alors, je ne sais pas comment tu penses. qu'il faut s'entraîner sur un ultra, pour un ultra. Est-ce que tu penses qu'il faut doubler, tripler ton volume d'entraînement ? Est-ce que tu penses qu'il faut t'entraîner 5, 6, 7 fois dans la semaine ? Qu'est-ce que tu penses, à vrai dire ? Moi, je sais qu'il y en a beaucoup qui pensent qu'il faut doubler toutes les séances pour avoir un volume d'au moins 100 km pour préparer un ultra de 160 km. où j'ai envie de te dire oui et non. Oui et non par rapport à ce que tu prépares. Clairement, si tu as réussi, alors si tu te projettes sur un 160 km, c'est que normalement, tu as, je pense, déjà réussi un 100 km. Ça me paraît pas mal quand même de valider l'étape du 100 km avant de passer de 70 peut-être à 170. Il y en a même qui font de 20 à 160. Après, c'est eux qui voient, comme qui diraient, J'ai mon opinion, je l'ai déjà suffisamment dit, je ne vais pas le redire. Mais du coup, tu as validé un 100. Donc, tu as quand même un volume d'entraînement qui a été en conséquence par rapport à ton objectif, c'est certain, mais surtout par rapport à ta vie. Parce qu'on peut se donner un objectif de j'aimerais bien faire, je ne sais pas, le premier tiers du classement, mais si tu n'as pas le temps de t'entraîner, ça va être quand même relativement compliqué d'aller chercher du volume, d'aller chercher des séances intensives. sans te blesser avec une progressivité et d'arriver en forme sur ta course. Tout simplement. Donc oui, ça dépend de ton objectif, mais ça dépend surtout du temps que tu as à y consacrer. Donc, ton premier 100 km, ou pas forcément ton premier d'ailleurs, mais ton 100 km, tu l'as validé avec un certain volume, une certaine quantité d'intensité et de volume tout court. Donc, pour un 160, est-ce que ça change ? énormément de passer de 100 à 160. À qui j'ai dit ça ? Je pense que j'ai dit ça à une personne aujourd'hui, justement. Je lui ai dit, écoute, si tu es capable de courir un 100 km, un 160, normalement, ne te posera pas énormément de problèmes, si ce n'est, dans les entraînements, si ce n'est qu'un 160 km par rapport à un 100, qu'est-ce qui diffère ? Il diffère, en fait, le temps de course. Normal, tu ne vas pas courir 2 fois plus vite à 160 par rapport à 100. Au contraire, le temps de course, tu passes plus de temps sur ta course, mais est-ce que tu es plus fatigué à 100 km qu'à 150 ? Joker, ça dépend. Moi, à mon niveau maintenant, non. Je suis aussi autant fatigué ou autant en forme, ça dépend si on voit le verre à moitié vide ou à moitié plat, autant en forme, j'ai envie de dire, à 100 km. qu'à 150 km, mais parce que, j'ai envie de dire la force de l'habitude, oui, les premiers 100 km, ça pique, les premiers 160 km, ça pique, on met du temps à récupérer, voilà, mais maintenant, moi, ça va beaucoup mieux, voilà, mais... Du coup, 100 km ou 160, moi j'ai envie de dire, c'est presque pareil. Presque pareil. Qu'est-ce qui change réellement ? Alors j'exagère peut-être, tu es en train peut-être de penser « Wow, 160 km, ce n'est pas un 100 km quoi » . Oui, d'accord. Mais ce qui change foncièrement, c'est un, ton mindset, ton état d'esprit, ta façon d'aborder les choses et de se dire « Ok, je ne pars pas sur un 100 km » . Tu vois, c'est un petit peu comme... Quand tu pars sur un 15 km, bon ben voilà, quand t'arrives à 12-13 km, t'en as plein les pattes, et là tu dis, oh là là, encore 2 km, là j'en ai plein le dos, là j'avance pas, j'en ai ras la casquette. Mais ça c'est psychologique, parce que si tu pars sur un 30 km, ben en fait t'as 12-13 km, t'es à peine à la moitié, donc tu sais qu'il te reste du temps derrière, de la distance. Donc en fait, psychologiquement, bon ben voilà, tu sais que t'as encore à courir, donc tu râles pas, et puis Voilà, t'as la même énergie, c'est juste que mentalement, t'as switché un petit peu. Là, en fait, c'est pareil. T'arrives à 100 km, quand t'arrives sur la fin, au 80, par là, tu dis, allez, plus que 20 bornes et yalla. Là, sur un 160, on se dit pas plus de 20 bornes. On se dit plus que... En fait, on se dit pas. Si tu commences à compter au 80e kilomètre, allez, plus que 80 km, j'en suis à la moitié. Ça dépend comment tu prends la chose. parce que moi en fait, moi j'aime bien fonctionner par ravito voilà donc si je me dis au 80ème je suis à la moitié et que je suis cramé je suis dans un moment de down compliqué de se dire il faut que je refasse la même distance une fois de plus ça a clairement un impact négatif donc moi je t'encourage à pas penser comme ça, à pas avoir la montagne en face de toi T'imagines moi sur ma Swiss Peak, si j'étais parti en me disant « Waouh, j'ai quasiment 400 bornes à faire, je ne sais pas comment je vais les faire. » Bon, je ne les ai pas faits, certes, mais j'ai quand même été jusqu'au 260ème, c'est déjà ça. Mais voilà, je t'encourage à couper, à découper tes efforts en fait, ta façon de te projeter, de visualiser. Ne visualise pas la montagne, visualise simplement step après step. en disant ok, la base vie elle est au centième ou au cent cinquième allez on va jusqu'à la base vie, ouais tu vas être crevé à la base vie mais c'est pas grave parce que tu vois là tu te refais un petit peu tu peux même prendre une douche normalement, tu peux te changer et te faire masser suivant un peu la course et repartir ok, tu peux même mettre une heure c'est pas un souci, tu recharges les batteries et tu repars donc tu vas passer plus de temps sur ta course c'est un fait mais surtout mentalement Merci. mentalement quand t'es à la moitié tu sais que au centième kilomètre déjà voir apparaître ces trois chiffres là c'est quand même super cool sur sa montre à chaque fois parce que c'est une distance qui est pas anodine de voir 1 0 0 sur sa montre moi ça me fait toujours cool en fait ça me fait c'est con mais ça me fait ça me fait prendre un petit peu faire partie d'un groupe euh hum Il n'y en a pas beaucoup qui courent des 100 km finalement, tu vois. Et à chaque fois que je franchis cette distance, parce qu'on n'est pas obligé de la franchir, je peux me tendre la cheville au 80, je peux me tendre la cheville au 40ème, je peux être malade, je peux avoir des problèmes d'alimentation, enfin, c'est pas acquis non plus de toujours franchir cette barre des 100 km, même quand je pars sur un 160, sur un 200 ou un 300, cette barre-là des 100 km, elle est quand même ultra importante. Pourquoi elle est ultra importante ? En fait... Moi, je pars du principe qu'une fois que j'arrive à atteindre les 100 km, ça veut dire que globalement, tous les pépins sont derrière. Les chaussures, l'alimentation, ce genre de choses. Bon, on a fait déjà un échauffement de 100 bornes, ce qui ne doit pas marcher. Normalement, ça a été mis un petit peu en exergue, tu vois. Et au bout de 100 bornes, ok, on peut commencer à courir. Bon, j'exagère. Mais s'il y a un pépin pendant ces 100 bornes, je l'aurais vu. Après oui, il peut y en avoir d'autres derrière, la preuve. Je me suis fait une périostite 150 bornes plus loin. Mais bon, ça c'est un petit peu hors norme. Donc moi c'est vrai qu'une fois que je valide les 100 kilomètres, je me dis ok, finalement mes chaussures ça va, mes pieds ça va, mon alimentation, j'arrive à manger, ce genre de choses. Mais dans ton état d'esprit, quand tu pars sur un 160 à la place d'un 100, évidemment c'est un un petit peu comme un 30 à la place d'un 15. Psychologiquement, tu sais qu'à 13, il tresse encore de la route. Là, c'est pareil. Psychologiquement, à 100 bornes, tu sais que tu es à peu près à la moitié et qu'il tresse encore du chemin. Et là, il faut accepter de ne pas être bien. Forcément, il faut accepter. Il faut comprendre que si tu te reposes un petit peu, si tu te masses les pieds, si tu laisses l'orage un petit peu passer, oui, ton corps va se remettre en fonction. C'est un petit peu comme les week-end chocs. Les week-end chocs, deux journées d'affilée à s'envoyer peut-être 30, 40 kilomètres pendant 4, 5, 6 heures. Moi, je sais que certains coachés, ils hésitent. Ils se disent, comment je vais faire le deuxième jour ? Je vais être cramé en fait. Et ils s'aperçoivent, mais quasiment tous, vraiment, pour pas dire tous, que la deuxième journée, ils sont bien, voire mieux. Vraiment, c'est un truc de dingue quand même, comme le corps arrive à encaisser de courir 4 heures, par exemple le samedi, avec du dénivelé évidemment, par rapport au format qu'il prépare, et de remettre le couvert 24 heures plus tard. C'est quelque chose qui est hyper surprenant, mais c'est hyper bénéfique dans ta course. Et donc, il faut accepter que oui, c'est pas parce qu'à un moment t'es pas bien que tu seras pas bien pendant 100 bornes. C'est certain que si tu te projettes comme ça, tu vas te tirer des balles. Et c'est là où, oui, l'entraînement, la préparation physique a un impact énorme sur ta capacité à endurer, à endurer la douleur. ou à repousser la douleur. Il ne faut pas non plus croire qu'un ultra, c'est horrible pendant 160 km, sauf quand on part de zéro. Mais oui, un bon entraînement progressif avec du renfaux musculaire, avec les bonnes séances, te fera aller très loin sur ton ultra en n'étant pas trop mal. Ce n'est pas pour dire en étant bien. C'est compliqué d'être bien. Il y a des hauts, il y a des bas. il y a des fois où Tu vas courir comme une gazelle et tu vas dire c'est trop facile et puis 10 bornes plus loin, tu vas traîner ta peine en disant j'ai peut-être fait le con et il y a 10 bornes en descendant cette descente un peu trop haut, je me suis enflammé et puis là j'ai plus de jambes. ça arrive ça arrive ça arrive donc donc voilà le mental les entraînements c'est quelque chose qui est hyper important un un Qu'est-ce qui est aussi important ? Alors le sommeil, oui, suivant combien de temps dure ton ultra. S'il dure 35-40 heures, il y a un moment où il faut faire des siestes. Des siestes de 20 minutes, c'est pas mal. Maintenant, ce qui change essentiellement aussi, c'est l'alimentation. L'alimentation, ce qui fonctionne à 30 bornes, 40 bornes, ne fonctionnera peut-être pas à 120 bornes. Clairement, même à 100 bornes. en fait si t'arrives à valider Et c'est pour ça que c'est important d'y aller avec progressivité et par étapes. Valide déjà ton alimentation pour un 100 km. Un 100 km, tu peux mettre 17, 20, 23 heures, ça dépend un petit peu, voire plus. Je ne veux pas non plus, ça dépend le format en fait, vraiment. Du coup, ton alimentation, tu l'auras testée dessus. Et si ça ne s'est pas bien passé ? Pour ce premier 100 km, par exemple, je t'encourage à ne pas passer au 160 km tout de suite, parce que ce qui ne passe pas sur un 100 ne passera encore moins sur un 160. Et ce serait vraiment dommage, et ça arrive tout le temps, tout le temps, tout le temps, de devoir abandonner à cause de son estomac, parce qu'on n'arrive plus à manger, on n'arrive plus à boire, et on manque d'énergie, on n'est pas bien, on vomit, enfin je te passe les détails, mais c'est pas... Pas très très beau à voir parfois et encore moins à ressentir. Donc l'alimentation, cette faculté qu'on doit avoir de continuer à manger, d'être capable de manger et puis plus tu vas allonger la distance, plus tu verras qu'il faudra que tu arrives à manger en dehors de ces saloperies qu'on mange, mais des gels, des barres, des machins. Il faudra commencer à manger réellement de la vraie nourriture. vraiment ça peut être des pâtes ça peut être, alors il y en a qui mangent de la tartiflette, bon moi de la tartiflette je ne l'ai pas mangé mais voilà ça peut être des pâtes, des pâtes c'est bien moi ce que j'aime bien c'est le riz le riz sur les courses je trouve ça vraiment cool, moi je le mange très bien et ça se passe très très bien vraiment, donc voilà plus tu vas allonger plus il faudra être capable à un moment ou à un autre de manger à peu près correctement mais avant que Tu sois là, c'est que tu as franchi la barre des 200 bornes, donc bon, tu es à 40, 50, 60 heures de course, on n'en est pas encore là je pense. Mais voilà, je voulais te parler de ça, de ce changement un petit peu de paradigme entre le 100... Et le 160 qui n'est pas si éloigné que ça finalement. Il y a un état d'esprit à changer, il y a une alimentation à confirmer, il y a peut-être un sommeil à checker suivant un petit peu combien de temps tu vas mettre. Clairement, envisager 2 fois 20 minutes de sommeil par exemple, c'est pas déconnant. C'est pas déconnant, vraiment. Et moi j'encourage les gens à être lucide le plus souvent possible sur des courses comme ça. clairement et tu vois c'est là où d'ailleurs je rebondis un petit peu sur la course de François Daen, l'Ultra Spirit et j'aime beaucoup il faut que je trouve deux collègues pour aller courir bon j'en ai un, j'ai Olivier normalement et un autre pour aller courir, alors c'est pas un Ultra, c'est sur 3 jours, je crois que c'est une vingtaine de bornes le premier jour, 40 ou 50 bornes le deuxième et une vingtaine de bornes le troisième jour et c'est plutôt cool parce que du coup c'est vraiment alors il n'y a même pas de d'ossard en fait, c'est il y a des espèces de fagnons, il y a des espèces d'épreuves, faut venir avec une seule voiture voir des transports en commun c'est assez cool et du coup il disait et moi je suis assez d'accord on n'est pas à 15 minutes près quoi, enfin vraiment, qu'est-ce que ça change d'être 15 minutes plus loin dans ton temps, à la place de faire sur... Je sais pas, moi, 22h, t'as fait 22h45. J'ai envie de dire, qu'est-ce que ça change, quoi ? Allô ? Allô ? Qu'est-ce que ça change ? Donc c'est vrai que, du coup, il faut relativiser un petit peu la performance, et justement, une petite aparté encore sur cette course, c'est que pour faire relativiser un petit peu cette notion de performance, et de se rapprocher au plus proche de l'esprit trail, même si on peut avoir une notion de performance dans l'esprit trail, parce que ça reste quand même une course, Mais ce n'est pas vraiment une course, l'ultra-spirit de François Hélène. Et en fait, ce n'est pas rare, il le disait lui-même, ce n'est pas rare que dans des montées, par exemple, ils arrêtent les équipes qui se sont tirées la bourre pour arriver, pour gratter du temps. À trois, ça peut être sympa, tu vois. Même si ça rajoute un petit peu de difficulté, de friction d'être à trois. Et du coup, arrivé en haut, en fait, il leur faisait... faire des épreuves. Et une des épreuves, c'était quelle est la différence ? Enfin, c'est pas la différence, c'est lequel il leur faisait goûter deux fromages, du Beaufort d'été et du Beaufort d'hiver. Et la question, c'est lequel est l'hiver, tu vois, par exemple. Et s'ils se trompaient, en fait, ils perdaient 15 minutes. Et, bon, voilà, forcément... il racontait ça et il disait il y en a qui disaient putain on s'est fait chier à monter et finalement on perd du temps et ça se trouve on va perdre 15 minutes et à la fin du stage parce que je parle ça comme un stage mais on va dire à la fin de la course de l'aventure finalement ils s'en foutaient ils savaient même pas quel classement ils étaient et c'est ça qui est cool et c'est ça moi qui m'anime et qui m'attire de plus en plus c'est d'aller loin de tout ce brouhaha, ce bruit, cette foule, notamment de l'UTMB par exemple. C'est pour ça que mon projet peut-être de faire l'UTMB en oeuf, soit tout seul, soit en groupe peut-être, je sens qu'il y a des mains qui se lèvent, soit en groupe peut-être sur une journée ou plusieurs, une journée peut-être pas mais... En une seule fois ou en étapes, 3-4 étapes, ça me tente beaucoup plus. Voir la VVX, la Volvic, c'est en trace GPX, c'est beaucoup moins connu, mais il y a beaucoup moins de monde dessus. C'est assez hostile quand même, je ne te cache pas, les 230 bornes il y a un an, ils étaient hostiles à faire. Je préfère ce format à celui de l'UTMB. Alors oui, ils ont une grosse montagne au milieu qui font le tour, certes, mais bon, c'est pas mon truc de suivre des kilomètres de frontal qu'on pourra pas doubler, qu'on pourra pas... Ouais, là, pour le coup... Se retrouver soi-même sur cet ultra de l'UTMB, je ne me projette pas trop. Chacun ses rêves, l'UTMB pour moi ce n'est pas vraiment un rêve, mais je comprends que ce soit, il n'y a pas de soucis. Et si j'ai un de mes coachés qui veut préparer l'UTMB, ce sera avec mes vraiment grands plaisirs de l'accompagner, de lui donner des séances physiques, mentales, au niveau de l'alimentation, de la visualisation, bref. de la prépa de course pour vraiment arriver mais affûté comme jamais sur ce format qui est l'UTMB ou il y en a même d'autres, sincèrement il n'y a pas que l'UTMB, ils ont tellement de courses là-haut que voilà bon bref, je me suis un petit peu égaré bon je vais arrêter là, ça fait 20 minutes une petite capsule voilà, si tu as des questions t'hésites pas, si tu veux que je t'accompagne je vais te mettre la page de renseignement bon allez, c'est pas la dernière mais la Elle va arriver, elle va arriver dans la journée, ne t'inquiète pas, comme ça au moins tu pourras voir un petit peu ce qui a changé ou pas, tu verras. Et puis si tu n'as pas de questions et que tu aimes le podcast, n'hésite pas vraiment à envoyer, à en parler, à mettre des étoiles, bref, à le faire connaître. Allez sur ce les amis, moi je vous souhaite une très belle, pas soirée, mais une très belle journée et on se retrouve très vite. Allez, ciao, ciao.