Transcription

• Speaker #0

  Vous écoutez Fake Air With Me, le podcast qui vous parle d'alopécie, mais aussi et surtout des merveilleuses solutions qui sont à notre disposition pour y faire face. Le but ici ne sera pas de s'apitoyer sur nos pauvres crânes clairsemés, mais plutôt d'apprendre à vivre avec cette pathologie et peut-être même à en rire. Et si vous aimez les contenus légers et informatifs sur l'alopécie, N'hésitez pas à rejoindre la communauté Comme un Diadème sur Youtube, Facebook et Instagram.

• Speaker #1

  Bonjour, j'ai une alopécie depuis 5 ans, bientôt 6. J'ai 55 ans. Cette alopécie se traduit plutôt comme une pelade, avec des endroits bien spécifiques sur le crâne qui ont perdu tous les cheveux. Suite notamment à une grosse rupture et suivie d'un accident de la route. J'ai commencé par un traitement à la cortisone sur trois jours, au CHU, un truc assez lourd, que je n'ai pas du tout supporté. Et puis finalement, j'ai tout arrêté. J'ai eu la chance que ça ne se voit pas trop. j'arrive un peu à le camoufler avec mes cheveux. Donc je suis régulièrement comme un diadème parce que je trouve ça bien d'en parler, que ça soit plus naturel pour tout le monde, que je sois plus libre de pouvoir en parler. Mais pour l'instant je n'ai pas encore mis de perruque, je n'ai pas sauté le pas, même si je me dis qu'un jour il faudra sûrement que je le fasse. Quotidiennement, ça peut être un peu handicapant, surtout sur les sports d'eau. Quand je fais du sport, si j'ai la tête en bas, j'essaye d'attacher un peu mes cheveux, puisque mes cheveux sont partis essentiellement sur la couronne proche du cou, entre les oreilles. C'est vrai que je n'ai pas fait d'autres traitements, parce que parallèlement, j'ai eu d'autres soucis de santé. assez important donc voilà tout s'est cumulé opération etc donc j'ai essayé d'accepter cette allopécie du mieux que j'arrivais en l'acceptant c'est aussi un peu plus facile à vivre au quotidien même s'il ya des moments où ça reste ça reste compliqué on est un peu triste de voir ses cheveux qu'on a plus surtout que j'avais énormément de de cheveux, friser une grosse chevelure, on me faisait toujours des compliments sur mes cheveux, c'était mon identité, ma féminité. Donc ça peut être parfois difficile, mais j'essaye de faire avec au quotidien. Je souhaite bon courage à toutes celles et tous ceux qui sont touchés par cette maladie. Je souhaite bon courage et puis d'arriver à trouver un équilibre. à accepter et à trouver des petits subterfuges comme les perruques. Voilà, il y a une belle suite à tous.

• Speaker #2

  Sous-