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132. 96 % des managers sont malheureuses à cause de ça (et sans doute toi aussi)

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14min |03/06/2025
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📅 Rejoins-moi du 16 au 19 juin pour l’Immersion Manager 360, un événement gratuit qui va transformer ton quotidien et révolutionner ta façon de manager.
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Dans cet épisode, je te parle d’un piège invisible qui touche 96 % des managers.
Tu vois, ce réflexe de dire oui à tout, de répondre aux mails à 20h, de vouloir tout faire pour montrer que tu mérites ton poste ?
Moi aussi, je suis tombée dans ce piège.
C’est ce qu’on appelle le syndrome du bon élève : l’envie constante de faire ses preuves… quitte à s’épuiser.
Dans cet épisode, je t’aide à sortir de ce schéma. 💡


🔎 Je t’explique :

  • Pourquoi tu confonds effort et légitimité

  • Comment ces comportements sabotent ta crédibilité

  • Et surtout : 5 déclics puissants pour changer ça dès aujourd’hui


Tu découvriras aussi des actions concrètes à mettre en place, pour poser tes limites, déléguer, et reprendre le pouvoir sur ton temps et ton énergie.



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🦋 Je suis Elodie, coach et formatrice en management et leadership : j'aide les managers débordées à devenir des leaders inspirantes et organisées avec mes conseils issus de 16 ans de management et ma bonne humeur


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue sur Feedback, le podcast autour du management et du leadership. Je suis Élodie, manager depuis 14 ans, et ma mission, c'est d'aider les salariés et entrepreneurs à prendre confiance en elles pour manager sereinement leur équipe. Alors si toi aussi tu es convaincu qu'on peut avoir un management bienveillant et un leadership affirmé sans écraser les autres, abonne-toi ! Tu trouveras ici tous mes conseils et retours d'expérience pour t'aider à devenir une des leaders de demain. Je te souhaite une agréable écoute ! 96% des managers sont malheureux au travail et c'est sûrement à cause de la raison que je vais t'expliquer aujourd'hui. Je suis sûre que tu vis certainement une de ces situations parce que je l'ai moi-même vécu pendant des années. Je pense que tu te retrouves des fois à finir un mail ou à finir ton travail à 19h30 alors que t'es censé déjà rentrer chez toi à 5h30. Parce que vite, vite, vite, il faut que t'envoies ce mail absolument avant ce soir. sinon Tu auras l'impression que les gens vont croire que tu ne travailles pas ou que tu es parti trop tôt et que tu n'as pas envie de donner cette image-là. Tu te retrouves à dire oui à toutes les sollicitations, que ce soit de ta direction, de ton équipe. Tu as du mal à dire non. Tu dis oui au tout venant, dès qu'on te fait signe pour trouver une solution à un problème, pour se plaindre de Julie qui fait la gueule à Julia. Eh bien, on vient toujours te voir et tu as du mal à dire oui, tu as du mal à poser tes limites et à faire respecter ton temps de travail. ta concentration et tes moments de focus. Ou alors, tu te retrouves encore à vérifier pour la 32ème fois cette présentation PowerPoint qui est hyper importante pour toi, que tu vas présenter en réunion à tout le monde, et donc tu vas vérifier la taille de police, la couleur, le petit émoji que tu mets à tel endroit, mais en fait, on le sait, tu vas être la seule à regarder ce genre de détails et à apporter une telle attention. Personne d'autre va le remarquer et tu vas finir en sortant de la réunion en étant hyper déçu par ce personne de te féliciter sur la qualité de ta présentation. Résultat, qu'est-ce qui se passe ? Tu finis tes journées complètement épuisées, tu as l'impression d'avoir couru de partout, de ne pas avoir avancé sur tes tâches, et surtout, sans ce sentiment de reconnaissance, de validation des autres que tu attends tout au long de cette journée, et tu te retrouves à chaque fois, tous les jours, à ne pas la recevoir, à ne pas l'entendre de la part de ta direction, de tes managers, voire même de ton équipe. Alors pourquoi est-ce qu'on se retrouve à tomber dans ce genre de comportement ? Tout simplement parce que, si tu m'écoutes, tu as certainement comme moi le syndrome de la bonne élève, le syndrome du travail bien fait, où on a été habitué à recevoir des 16, 17, 18, 20 sur 20, et on se retrouve à appliquer le même schéma dans le cadre de notre travail en entreprise, avec notre direction, avec nos managers et avec nos équipes. Et au fond de toi, tu as l'impression que la qualité de ton travail dépend de la quantité que tu vas fournir. Un petit peu comme le disait Sarko au moment des présidentielles, travailler plus pour gagner plus. ce fameux slogan, mais en fait, tu te retrouves à l'appliquer sans même t'en rendre compte, de façon inconsciente, à ton quotidien de travail. Tu te dis que plus tu vas travailler, plus tu vas mériter ta place, plus tu vas mériter ta crédibilité, ta légitimité en tant que manager. Du coup, tu te retrouves à avoir peur de dire non à ton équipe ou à ta direction parce que tu as peur de passer pour une feignante, pour quelqu'un qui ne veut pas travailler, pour quelqu'un qui n'est pas motivé, pour quelqu'un qui n'est pas engagé. Et ça, quand on a le syndrome de la bonne élève, on ne veut surtout pas donner cette image-là. C'est vraiment quelque chose qu'on a en horreur. Tu ne veux absolument pas passer pour quelqu'un qui n'aime pas travailler. Tu veux montrer que t'es motivé, que t'es engagé, que t'es prêt à te dépasser pour ce job. Ensuite, tu vas te retrouver à tout gérer, à tout prendre sur tes épaules parce que pour toi, c'est la seule façon d'avancer et c'est la seule façon, selon ton idée, selon ton esprit, pour être respecté, selon tes standards, selon ce qu'on nous a appris à l'école. Tu te dis aussi que chaque effort supplémentaire Merci. Chaque temps, chaque minute que tu vas passer en plus dans ton travail, chaque heure supplémentaire va être remarquée par ton N plus 1 et que tu vas recevoir des félicitations pour ça, voire même que tu vas être en tête de liste pour la prochaine promotion qui va sortir l'année prochaine ou pour une prime ou une augmentation. Tu penses vraiment que ton N plus 1 est derrière son bureau et note exactement les heures passées assises derrière ton bureau. Sauf qu'en réalité, ça ne se passe jamais comme ça. On le sait. Toi et moi, on le sait, on l'a déjà vécu. On sait la frustration qu'on a de ne jamais avoir de félicitations de sa direction. Et encore, le mieux qu'on pourrait avoir, c'est une petite tape sur l'épaule en disant « Bien joué pour ta présentation ! » et ça s'arrête là. Et encore, des fois, même ça, on ne l'obtient pas. Le vrai problème derrière ça, c'est que le fait d'augmenter ta quantité de travail n'est pas lié, ne va pas engendrer forcément une augmentation de ta crédibilité en tant que manager. Il faut vraiment que tu t'enlèves ça de ta tête. Pourtant, on a été... matrixer avec ça, biberonner avec ça pendant toute notre école, il faut travailler dur, il faut faire des efforts pour avoir des bonnes notes à l'école, eh bien tu te retrouves à l'appliquer exactement aussi dans ton cadre de travail, mais non, ta légitimité n'est pas égale au nombre d'heures que tu passes derrière ton bureau. Voire même pire, ça diminue ta crédibilité et je vais t'expliquer pourquoi. Tes collègues ou ta direction vont te considérer comme acquise. Ils vont considérer que ta disponibilité est naturelle et qu'ils peuvent venir te voir, venir t'embêter, te déranger autant de fois qu'ils veulent. Et ça, du coup, ça te fait perdre en autorité naturelle. Deuxièmement, à force de dire oui à tout, tu perds ton focus sur tes tâches stratégiques de manager, tes tâches qui comptent, les tâches sur lesquelles t'attendent ta direction, ton N plus 1. Parce que tu te retrouves à gérer que des urgences, que des problèmes opérationnels, tu débordes. d'opérationnel et en fait, tu n'attribues pas de temps suffisant à tes tâches stratégiques de manager, travailler sur ton équipe, travailler aux objectifs, travailler à la montée en compétences et du coup, tu perds du focus et donc tu perds en efficacité et donc en légitimité. Et surtout, le pire, le troisième problème avec ça, c'est que ton équipe, elle voit que tu es débordée, elle voit que tu es à bout de souffle, elle voit qu'en fait, tu ne t'en sors pas. Donc, comment veux-tu qu'ils te considèrent comme une manager légitime, comme une manager crédible ? S'il te voit à ce point débordé, et même des fois à se dire « mais non, mais je veux pas venir te déranger, je vois que déjà t'en peux plus et que t'en as par-dessus la tête, et je sais que tu as déjà entendu ça » , et ça, ça doit être un signal d'alarme pour te dire qu'il faut que tu changes les choses maintenant. Au final, il se passe quoi ? Tu travailles plus parce que tu te dis que c'est comme ça que tu vas être beaucoup plus reconnu dans ton rôle de manager, mais au contraire, ça fait baisser ta crédibilité, ça fait baisser ta légitimité. et c'est ça qui fait que 96% des managers sont malheureuses au travail, c'est parce qu'elles se retrouvent à travailler beaucoup trop. Et c'est pas parce que tu vas rester jusqu'à 20h au bureau que tu vas être plus légitime ou plus reconnue dans ton poste. La légion d'honneur des heures supplémentaires, ça n'existe pas. Ou alors il faudrait l'inventer, mais c'est à l'encontre de tout ce que je te dis aujourd'hui. Ça n'existe pas, je suis désolée de te l'apprendre. Toutes les heures que tu fais, tu ne les fais pour rien. Ta valeur, en fait, elle se mesure pas au nombre d'heures travaillées, d'heures supplémentaires que tu fais. Ton impact aucun lien avec ton présentéisme, bien au contraire, c'est ce qu'on a vu tout à l'heure, et c'est le meilleur moyen de se cramer, et je peux te dire que je sais de quoi je parle, puisque tout ça, tous ces comportements m'ont amené à un burn-out en 2017, et vraiment j'ai eu beaucoup de mal à m'en remettre, et je ne souhaite vraiment pas que tu tombes là-dedans, donc si je te dis tout ça, c'est vraiment pour t'éviter ça. Maintenant, je vais te détailler 5 déclics mindset que tu dois avoir dès maintenant pour arrêter de travailler trop, et vraiment pour arrêter de saboter ta légitimité en allant chercher à chaque fois 16 heures supplémentaires, ce travail pendant les week-ends, ce travail pendant tes vacances. Le premier déclic que j'ai envie que tu aies, c'est ce que je t'ai dit tout à l'heure, ta crédibilité ne dépend pas du nombre d'heures travaillées que tu fais. Ton efficacité, tes résultats, ta posture de manager compte beaucoup plus que ton temps effectif passé au travail. Deuxième déclic que j'ai envie que tu aies aujourd'hui, dire non à quelqu'un Dire non à une demande formulée par quelqu'un de ton équipe ou ton manager, ce n'est pas un acte égoïste. Dire non, c'est apprendre à protéger tes limites, à protéger ton énergie et à te rendre beaucoup plus crédible, à valoriser du coup les moments où tu vas dire oui. Le Declining Mindset numéro 3 que j'ai envie que tu aies, c'est que tu n'es pas obligé de porter toute la misère du monde, tous les problèmes de ton service, tout n'est pas obligé de reposer sur tes épaules. Tes responsabilités en tant que manager, elles ont un périmètre clair et ça ne sert à rien de vouloir aller au-delà. Ce n'est pas grâce à ça que tu auras beaucoup plus de crédibilité aux yeux de ton équipe ou de ta direction. Le déclic numéro 4 que j'ai envie que tu aies, c'est que ton énergie et ton temps sont précieux. Donc essaye de les affecter à l'endroit où ça a un impact énorme pour ton service, pour ton équipe ou pour toi en tant que manager. Essaye d'apprendre à prioriser ce qui est important, ce qui est stratégique. et pas uniquement ce qui est urgent. Et enfin, le déclic numéro 5, ta valeur professionnelle n'est pas liée à ton épuisement. Être une bonne manager, c'est aussi savoir préserver son énergie, son équilibre de vie. Tu as besoin d'être requinquée, d'être en pleine forme pour pouvoir donner de cette énergie à ton équipe, pouvoir les accompagner au mieux et pouvoir les aider à développer leurs compétences. Donc, concrètement, ça veut dire quoi pour toi ? Tu sais combien j'adore donner quand même des actions concrètes et des tips concrets pour t'aider à implémenter ce qu'on voit en podcast directement dans ton quotidien de manager. Donc, comment est-ce que tu peux faire pour appliquer ces principes-là ? Parce que, oui, ce sont des belles paroles en l'air, mais j'ai envie que tu avances, que tu arrives à changer petit à petit cet état d'esprit et que tu arrêtes de te dire que c'est en travaillant plus que tu vas être plus crédible aux yeux de ton équipe ou de ton manager. Déjà, essaye de poser des limites claires avec bienveillance. Si quelqu'un vient te voir pour te demander de t'occuper de telle tâche, apprends à lui dire non en respectant sa demande. Tu peux tout simplement dire « je comprends ta demande Julien, mais je ne peux pas la traiter maintenant » . Tu peux décaler le moment où vous allez le voir ensemble. Ce sont des phrases qui ne vont pas froisser la personne. Et tu as le droit de poser tes limites, ça ne fera pas de toi une mauvaise personne ou une mauvaise manager. Deuxième étape, réduis volontairement ton temps de travail. Quand je dis ça... En fait, fais juste le temps de travail qui est indiqué dans ton contrat. Si t'es payé 35 heures, fais 35 heures. Si t'es payé 39 heures, fais 39 heures. Mais ça sert à rien de vouloir bosser 45 heures ou 50 heures ou tes week-ends et de bousiller tes soirées et de ne pas les passer avec la personne avec qui tu partages ta vie ou avec tes enfants. Ça ne sert strictement à rien. Donc, comment est-ce que tu fais ça ? Eh bien, tu te mets des petits défis au quotidien. Eh bien, ce soir, je ne réponds plus à mes mails après 16 heures, par exemple. Ce soir, j'ai envie de partir à 17h30, l'heure normale prévue, et j'essaye de m'y tenir. Essaye de trouver peut-être une raison pour le faire ou une gratification pour y arriver, mais fixe-toi un petit peu ces petites challenges au quotidien pour te fixer des limites et t'obliger en fait à partir tôt ou ne pas checker tes mails à chaque fois avant de partir. Parce qu'on sait comment ça fait. Tu regardes un mail, vite vite, je regarde ma boîte mail avant de partir, et paf, t'as une demande qui rentre et ça te fait en fait partir une demi-heure trop tard. Troisième action que tu peux faire. c'est de commencer à déléguer des aujourd'hui. C'est le premier levier pour gagner un max de temps. Donc, essaye d'identifier les tâches que tu peux transmettre à ton équipe. Essaye de voir les tâches sur lesquelles tu passes le plus de temps, les tâches où au final, ce n'est pas vraiment à toi de le faire. Eh bien, prends la décision à partir de maintenant de commencer à les lister et de commencer à les transmettre à des personnes de confiance dans ton équipe. Et enfin, la petite action, ou en tout cas que je fais chaque matin, essaye de déterminer la principale action qui va faire que ta journée sera... réussi ? Quelle est la mission ? Quelle est la tâche que tu dois faire, que tu dois avoir accomplie d'ici la fin de la journée et qui te feront dire « Ouais, ok, aujourd'hui, j'ai vraiment avancé, je suis vraiment contente de ce que j'ai fourni » et justement qui va t'amener ce sentiment de fierté et de réussite dans ton quotidien et en plus tous les jours si tu te fixes cette habitude au quotidien. En conclusion, si tu continues à avoir ce comportement de bon élève, de ce qu'on appelle « people pleasure » , c'est-à-dire de vouloir toujours faire plaisir aux autres. Tu vas finir par t'épuiser et à rentrer dans une spirale infernale de fatigue, de manque d'énergie et d'épuisement. Le changement, il peut avoir lieu dès maintenant, dès l'écoute de ce podcast, et ça passe par les petites actions simples que je t'ai données tout à l'heure. Peut-être qu'en les écoutant, tu te dis « Ouais, mais je vois pas comment ça va changer mon quotidien » . Je peux t'assurer que c'est par des petits pas comme ça que ça permet de faire de grandes avancées dans ton management. Et pour y arriver, je te propose qu'on le fasse ensemble. Si cet épisode t'a... parlé, si tu t'es reconnu dans ce que j'ai dit au début, si tu te retrouves toi aussi dans cette spirale d'épuisement, je t'invite à t'inscrire à l'immersion 360 que j'organise du 16 au 19 juin. On va passer 4 jours ensemble où justement on va déconstruire un petit peu tout ce qui se passe dans ta tête de manager, on va déconstruire tes croyances et on va mettre en place des nouvelles habitudes pour que tu puisses manager beaucoup plus sereinement et efficacement. Tout ça pour reprendre le lead sur ton temps et ton équipe. Car oui, Je sais que tu peux devenir une manager sereine, je sais que tu peux devenir une manager à impact, je sais que tu peux développer ton leadership et je peux t'accompagner à le faire pendant ces 4 jours gratuits du 16 au 19 juin. Donc si ça t'intéresse, tu peux trouver le lien de l'inscription à cette immersion 360 directement dans la description de ce podcast ou dans la description de la vidéo YouTube suivant où est-ce que tu me regardes. C'est vraiment 4 jours entourés d'autres managers qui ont les mêmes problèmes que toi, c'est 4 jours de folie où je vais être dédiée à toi à 100%. Je vais te donner des petits challenges à réaliser, des petites vidéos explicatives. Si t'aimes les podcasts et si t'aimes les vidéos, franchement, inscris-toi. Tu n'as aucune raison de louper ça. Je le fais très peu de fois dans l'année et c'est le moment où jamais de passer à l'action. Donc, inscris-toi dans la description et tu vas voir ces quatre jours qui vont réévolutionner ta façon de manager. Je te remercie d'avoir écouté cet épisode jusqu'au bout. Si tu l'as apprécié, je t'invite à t'abonner sur ta plateforme préférée et à me laisser un commentaire 5 étoiles. On se retrouve au prochain épisode pour parler management et leadership.

Chapters

  • Pourquoi 96% des managers sont malheureux

    00:41

  • Le piège du syndrome de la bonne élève

    02:05

  • L’absence de reconnaissance et ses conséquences

    04:26

  • Le mythe des heures supplémentaires

    06:36

  • Les 5 déclics mindset à adopter

    08:02

  • 4 actions concrètes à mettre en place dès aujourd’hui

    10:00

  • Conclusion

    14:14

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Dans cet épisode, je te parle d’un piège invisible qui touche 96 % des managers.
Tu vois, ce réflexe de dire oui à tout, de répondre aux mails à 20h, de vouloir tout faire pour montrer que tu mérites ton poste ?
Moi aussi, je suis tombée dans ce piège.
C’est ce qu’on appelle le syndrome du bon élève : l’envie constante de faire ses preuves… quitte à s’épuiser.
Dans cet épisode, je t’aide à sortir de ce schéma. 💡


🔎 Je t’explique :

  • Pourquoi tu confonds effort et légitimité

  • Comment ces comportements sabotent ta crédibilité

  • Et surtout : 5 déclics puissants pour changer ça dès aujourd’hui


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Parce que vite, vite, vite, il faut que t'envoies ce mail absolument avant ce soir. sinon Tu auras l'impression que les gens vont croire que tu ne travailles pas ou que tu es parti trop tôt et que tu n'as pas envie de donner cette image-là. Tu te retrouves à dire oui à toutes les sollicitations, que ce soit de ta direction, de ton équipe. Tu as du mal à dire non. Tu dis oui au tout venant, dès qu'on te fait signe pour trouver une solution à un problème, pour se plaindre de Julie qui fait la gueule à Julia. Eh bien, on vient toujours te voir et tu as du mal à dire oui, tu as du mal à poser tes limites et à faire respecter ton temps de travail. ta concentration et tes moments de focus. Ou alors, tu te retrouves encore à vérifier pour la 32ème fois cette présentation PowerPoint qui est hyper importante pour toi, que tu vas présenter en réunion à tout le monde, et donc tu vas vérifier la taille de police, la couleur, le petit émoji que tu mets à tel endroit, mais en fait, on le sait, tu vas être la seule à regarder ce genre de détails et à apporter une telle attention. Personne d'autre va le remarquer et tu vas finir en sortant de la réunion en étant hyper déçu par ce personne de te féliciter sur la qualité de ta présentation. Résultat, qu'est-ce qui se passe ? Tu finis tes journées complètement épuisées, tu as l'impression d'avoir couru de partout, de ne pas avoir avancé sur tes tâches, et surtout, sans ce sentiment de reconnaissance, de validation des autres que tu attends tout au long de cette journée, et tu te retrouves à chaque fois, tous les jours, à ne pas la recevoir, à ne pas l'entendre de la part de ta direction, de tes managers, voire même de ton équipe. Alors pourquoi est-ce qu'on se retrouve à tomber dans ce genre de comportement ? Tout simplement parce que, si tu m'écoutes, tu as certainement comme moi le syndrome de la bonne élève, le syndrome du travail bien fait, où on a été habitué à recevoir des 16, 17, 18, 20 sur 20, et on se retrouve à appliquer le même schéma dans le cadre de notre travail en entreprise, avec notre direction, avec nos managers et avec nos équipes. Et au fond de toi, tu as l'impression que la qualité de ton travail dépend de la quantité que tu vas fournir. Un petit peu comme le disait Sarko au moment des présidentielles, travailler plus pour gagner plus. ce fameux slogan, mais en fait, tu te retrouves à l'appliquer sans même t'en rendre compte, de façon inconsciente, à ton quotidien de travail. Tu te dis que plus tu vas travailler, plus tu vas mériter ta place, plus tu vas mériter ta crédibilité, ta légitimité en tant que manager. Du coup, tu te retrouves à avoir peur de dire non à ton équipe ou à ta direction parce que tu as peur de passer pour une feignante, pour quelqu'un qui ne veut pas travailler, pour quelqu'un qui n'est pas motivé, pour quelqu'un qui n'est pas engagé. Et ça, quand on a le syndrome de la bonne élève, on ne veut surtout pas donner cette image-là. C'est vraiment quelque chose qu'on a en horreur. Tu ne veux absolument pas passer pour quelqu'un qui n'aime pas travailler. Tu veux montrer que t'es motivé, que t'es engagé, que t'es prêt à te dépasser pour ce job. Ensuite, tu vas te retrouver à tout gérer, à tout prendre sur tes épaules parce que pour toi, c'est la seule façon d'avancer et c'est la seule façon, selon ton idée, selon ton esprit, pour être respecté, selon tes standards, selon ce qu'on nous a appris à l'école. Tu te dis aussi que chaque effort supplémentaire Merci. Chaque temps, chaque minute que tu vas passer en plus dans ton travail, chaque heure supplémentaire va être remarquée par ton N plus 1 et que tu vas recevoir des félicitations pour ça, voire même que tu vas être en tête de liste pour la prochaine promotion qui va sortir l'année prochaine ou pour une prime ou une augmentation. Tu penses vraiment que ton N plus 1 est derrière son bureau et note exactement les heures passées assises derrière ton bureau. Sauf qu'en réalité, ça ne se passe jamais comme ça. On le sait. Toi et moi, on le sait, on l'a déjà vécu. On sait la frustration qu'on a de ne jamais avoir de félicitations de sa direction. Et encore, le mieux qu'on pourrait avoir, c'est une petite tape sur l'épaule en disant « Bien joué pour ta présentation ! » et ça s'arrête là. Et encore, des fois, même ça, on ne l'obtient pas. Le vrai problème derrière ça, c'est que le fait d'augmenter ta quantité de travail n'est pas lié, ne va pas engendrer forcément une augmentation de ta crédibilité en tant que manager. Il faut vraiment que tu t'enlèves ça de ta tête. Pourtant, on a été... matrixer avec ça, biberonner avec ça pendant toute notre école, il faut travailler dur, il faut faire des efforts pour avoir des bonnes notes à l'école, eh bien tu te retrouves à l'appliquer exactement aussi dans ton cadre de travail, mais non, ta légitimité n'est pas égale au nombre d'heures que tu passes derrière ton bureau. Voire même pire, ça diminue ta crédibilité et je vais t'expliquer pourquoi. Tes collègues ou ta direction vont te considérer comme acquise. Ils vont considérer que ta disponibilité est naturelle et qu'ils peuvent venir te voir, venir t'embêter, te déranger autant de fois qu'ils veulent. Et ça, du coup, ça te fait perdre en autorité naturelle. Deuxièmement, à force de dire oui à tout, tu perds ton focus sur tes tâches stratégiques de manager, tes tâches qui comptent, les tâches sur lesquelles t'attendent ta direction, ton N plus 1. Parce que tu te retrouves à gérer que des urgences, que des problèmes opérationnels, tu débordes. d'opérationnel et en fait, tu n'attribues pas de temps suffisant à tes tâches stratégiques de manager, travailler sur ton équipe, travailler aux objectifs, travailler à la montée en compétences et du coup, tu perds du focus et donc tu perds en efficacité et donc en légitimité. Et surtout, le pire, le troisième problème avec ça, c'est que ton équipe, elle voit que tu es débordée, elle voit que tu es à bout de souffle, elle voit qu'en fait, tu ne t'en sors pas. Donc, comment veux-tu qu'ils te considèrent comme une manager légitime, comme une manager crédible ? S'il te voit à ce point débordé, et même des fois à se dire « mais non, mais je veux pas venir te déranger, je vois que déjà t'en peux plus et que t'en as par-dessus la tête, et je sais que tu as déjà entendu ça » , et ça, ça doit être un signal d'alarme pour te dire qu'il faut que tu changes les choses maintenant. Au final, il se passe quoi ? Tu travailles plus parce que tu te dis que c'est comme ça que tu vas être beaucoup plus reconnu dans ton rôle de manager, mais au contraire, ça fait baisser ta crédibilité, ça fait baisser ta légitimité. et c'est ça qui fait que 96% des managers sont malheureuses au travail, c'est parce qu'elles se retrouvent à travailler beaucoup trop. Et c'est pas parce que tu vas rester jusqu'à 20h au bureau que tu vas être plus légitime ou plus reconnue dans ton poste. La légion d'honneur des heures supplémentaires, ça n'existe pas. Ou alors il faudrait l'inventer, mais c'est à l'encontre de tout ce que je te dis aujourd'hui. Ça n'existe pas, je suis désolée de te l'apprendre. Toutes les heures que tu fais, tu ne les fais pour rien. Ta valeur, en fait, elle se mesure pas au nombre d'heures travaillées, d'heures supplémentaires que tu fais. Ton impact aucun lien avec ton présentéisme, bien au contraire, c'est ce qu'on a vu tout à l'heure, et c'est le meilleur moyen de se cramer, et je peux te dire que je sais de quoi je parle, puisque tout ça, tous ces comportements m'ont amené à un burn-out en 2017, et vraiment j'ai eu beaucoup de mal à m'en remettre, et je ne souhaite vraiment pas que tu tombes là-dedans, donc si je te dis tout ça, c'est vraiment pour t'éviter ça. Maintenant, je vais te détailler 5 déclics mindset que tu dois avoir dès maintenant pour arrêter de travailler trop, et vraiment pour arrêter de saboter ta légitimité en allant chercher à chaque fois 16 heures supplémentaires, ce travail pendant les week-ends, ce travail pendant tes vacances. Le premier déclic que j'ai envie que tu aies, c'est ce que je t'ai dit tout à l'heure, ta crédibilité ne dépend pas du nombre d'heures travaillées que tu fais. Ton efficacité, tes résultats, ta posture de manager compte beaucoup plus que ton temps effectif passé au travail. Deuxième déclic que j'ai envie que tu aies aujourd'hui, dire non à quelqu'un Dire non à une demande formulée par quelqu'un de ton équipe ou ton manager, ce n'est pas un acte égoïste. Dire non, c'est apprendre à protéger tes limites, à protéger ton énergie et à te rendre beaucoup plus crédible, à valoriser du coup les moments où tu vas dire oui. Le Declining Mindset numéro 3 que j'ai envie que tu aies, c'est que tu n'es pas obligé de porter toute la misère du monde, tous les problèmes de ton service, tout n'est pas obligé de reposer sur tes épaules. Tes responsabilités en tant que manager, elles ont un périmètre clair et ça ne sert à rien de vouloir aller au-delà. Ce n'est pas grâce à ça que tu auras beaucoup plus de crédibilité aux yeux de ton équipe ou de ta direction. Le déclic numéro 4 que j'ai envie que tu aies, c'est que ton énergie et ton temps sont précieux. Donc essaye de les affecter à l'endroit où ça a un impact énorme pour ton service, pour ton équipe ou pour toi en tant que manager. Essaye d'apprendre à prioriser ce qui est important, ce qui est stratégique. et pas uniquement ce qui est urgent. Et enfin, le déclic numéro 5, ta valeur professionnelle n'est pas liée à ton épuisement. Être une bonne manager, c'est aussi savoir préserver son énergie, son équilibre de vie. Tu as besoin d'être requinquée, d'être en pleine forme pour pouvoir donner de cette énergie à ton équipe, pouvoir les accompagner au mieux et pouvoir les aider à développer leurs compétences. Donc, concrètement, ça veut dire quoi pour toi ? Tu sais combien j'adore donner quand même des actions concrètes et des tips concrets pour t'aider à implémenter ce qu'on voit en podcast directement dans ton quotidien de manager. Donc, comment est-ce que tu peux faire pour appliquer ces principes-là ? Parce que, oui, ce sont des belles paroles en l'air, mais j'ai envie que tu avances, que tu arrives à changer petit à petit cet état d'esprit et que tu arrêtes de te dire que c'est en travaillant plus que tu vas être plus crédible aux yeux de ton équipe ou de ton manager. Déjà, essaye de poser des limites claires avec bienveillance. Si quelqu'un vient te voir pour te demander de t'occuper de telle tâche, apprends à lui dire non en respectant sa demande. Tu peux tout simplement dire « je comprends ta demande Julien, mais je ne peux pas la traiter maintenant » . Tu peux décaler le moment où vous allez le voir ensemble. Ce sont des phrases qui ne vont pas froisser la personne. Et tu as le droit de poser tes limites, ça ne fera pas de toi une mauvaise personne ou une mauvaise manager. Deuxième étape, réduis volontairement ton temps de travail. Quand je dis ça... En fait, fais juste le temps de travail qui est indiqué dans ton contrat. Si t'es payé 35 heures, fais 35 heures. Si t'es payé 39 heures, fais 39 heures. Mais ça sert à rien de vouloir bosser 45 heures ou 50 heures ou tes week-ends et de bousiller tes soirées et de ne pas les passer avec la personne avec qui tu partages ta vie ou avec tes enfants. Ça ne sert strictement à rien. Donc, comment est-ce que tu fais ça ? Eh bien, tu te mets des petits défis au quotidien. Eh bien, ce soir, je ne réponds plus à mes mails après 16 heures, par exemple. Ce soir, j'ai envie de partir à 17h30, l'heure normale prévue, et j'essaye de m'y tenir. Essaye de trouver peut-être une raison pour le faire ou une gratification pour y arriver, mais fixe-toi un petit peu ces petites challenges au quotidien pour te fixer des limites et t'obliger en fait à partir tôt ou ne pas checker tes mails à chaque fois avant de partir. Parce qu'on sait comment ça fait. Tu regardes un mail, vite vite, je regarde ma boîte mail avant de partir, et paf, t'as une demande qui rentre et ça te fait en fait partir une demi-heure trop tard. Troisième action que tu peux faire. c'est de commencer à déléguer des aujourd'hui. C'est le premier levier pour gagner un max de temps. Donc, essaye d'identifier les tâches que tu peux transmettre à ton équipe. Essaye de voir les tâches sur lesquelles tu passes le plus de temps, les tâches où au final, ce n'est pas vraiment à toi de le faire. Eh bien, prends la décision à partir de maintenant de commencer à les lister et de commencer à les transmettre à des personnes de confiance dans ton équipe. Et enfin, la petite action, ou en tout cas que je fais chaque matin, essaye de déterminer la principale action qui va faire que ta journée sera... réussi ? Quelle est la mission ? Quelle est la tâche que tu dois faire, que tu dois avoir accomplie d'ici la fin de la journée et qui te feront dire « Ouais, ok, aujourd'hui, j'ai vraiment avancé, je suis vraiment contente de ce que j'ai fourni » et justement qui va t'amener ce sentiment de fierté et de réussite dans ton quotidien et en plus tous les jours si tu te fixes cette habitude au quotidien. En conclusion, si tu continues à avoir ce comportement de bon élève, de ce qu'on appelle « people pleasure » , c'est-à-dire de vouloir toujours faire plaisir aux autres. Tu vas finir par t'épuiser et à rentrer dans une spirale infernale de fatigue, de manque d'énergie et d'épuisement. Le changement, il peut avoir lieu dès maintenant, dès l'écoute de ce podcast, et ça passe par les petites actions simples que je t'ai données tout à l'heure. Peut-être qu'en les écoutant, tu te dis « Ouais, mais je vois pas comment ça va changer mon quotidien » . Je peux t'assurer que c'est par des petits pas comme ça que ça permet de faire de grandes avancées dans ton management. Et pour y arriver, je te propose qu'on le fasse ensemble. Si cet épisode t'a... parlé, si tu t'es reconnu dans ce que j'ai dit au début, si tu te retrouves toi aussi dans cette spirale d'épuisement, je t'invite à t'inscrire à l'immersion 360 que j'organise du 16 au 19 juin. On va passer 4 jours ensemble où justement on va déconstruire un petit peu tout ce qui se passe dans ta tête de manager, on va déconstruire tes croyances et on va mettre en place des nouvelles habitudes pour que tu puisses manager beaucoup plus sereinement et efficacement. Tout ça pour reprendre le lead sur ton temps et ton équipe. Car oui, Je sais que tu peux devenir une manager sereine, je sais que tu peux devenir une manager à impact, je sais que tu peux développer ton leadership et je peux t'accompagner à le faire pendant ces 4 jours gratuits du 16 au 19 juin. Donc si ça t'intéresse, tu peux trouver le lien de l'inscription à cette immersion 360 directement dans la description de ce podcast ou dans la description de la vidéo YouTube suivant où est-ce que tu me regardes. C'est vraiment 4 jours entourés d'autres managers qui ont les mêmes problèmes que toi, c'est 4 jours de folie où je vais être dédiée à toi à 100%. Je vais te donner des petits challenges à réaliser, des petites vidéos explicatives. Si t'aimes les podcasts et si t'aimes les vidéos, franchement, inscris-toi. Tu n'as aucune raison de louper ça. Je le fais très peu de fois dans l'année et c'est le moment où jamais de passer à l'action. Donc, inscris-toi dans la description et tu vas voir ces quatre jours qui vont réévolutionner ta façon de manager. Je te remercie d'avoir écouté cet épisode jusqu'au bout. Si tu l'as apprécié, je t'invite à t'abonner sur ta plateforme préférée et à me laisser un commentaire 5 étoiles. On se retrouve au prochain épisode pour parler management et leadership.

Chapters

  • Pourquoi 96% des managers sont malheureux

    00:41

  • Le piège du syndrome de la bonne élève

    02:05

  • L’absence de reconnaissance et ses conséquences

    04:26

  • Le mythe des heures supplémentaires

    06:36

  • Les 5 déclics mindset à adopter

    08:02

  • 4 actions concrètes à mettre en place dès aujourd’hui

    10:00

  • Conclusion

    14:14

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Dans cet épisode, je te parle d’un piège invisible qui touche 96 % des managers.
Tu vois, ce réflexe de dire oui à tout, de répondre aux mails à 20h, de vouloir tout faire pour montrer que tu mérites ton poste ?
Moi aussi, je suis tombée dans ce piège.
C’est ce qu’on appelle le syndrome du bon élève : l’envie constante de faire ses preuves… quitte à s’épuiser.
Dans cet épisode, je t’aide à sortir de ce schéma. 💡


🔎 Je t’explique :

  • Pourquoi tu confonds effort et légitimité

  • Comment ces comportements sabotent ta crédibilité

  • Et surtout : 5 déclics puissants pour changer ça dès aujourd’hui


Tu découvriras aussi des actions concrètes à mettre en place, pour poser tes limites, déléguer, et reprendre le pouvoir sur ton temps et ton énergie.



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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue sur Feedback, le podcast autour du management et du leadership. Je suis Élodie, manager depuis 14 ans, et ma mission, c'est d'aider les salariés et entrepreneurs à prendre confiance en elles pour manager sereinement leur équipe. Alors si toi aussi tu es convaincu qu'on peut avoir un management bienveillant et un leadership affirmé sans écraser les autres, abonne-toi ! Tu trouveras ici tous mes conseils et retours d'expérience pour t'aider à devenir une des leaders de demain. Je te souhaite une agréable écoute ! 96% des managers sont malheureux au travail et c'est sûrement à cause de la raison que je vais t'expliquer aujourd'hui. Je suis sûre que tu vis certainement une de ces situations parce que je l'ai moi-même vécu pendant des années. Je pense que tu te retrouves des fois à finir un mail ou à finir ton travail à 19h30 alors que t'es censé déjà rentrer chez toi à 5h30. Parce que vite, vite, vite, il faut que t'envoies ce mail absolument avant ce soir. sinon Tu auras l'impression que les gens vont croire que tu ne travailles pas ou que tu es parti trop tôt et que tu n'as pas envie de donner cette image-là. Tu te retrouves à dire oui à toutes les sollicitations, que ce soit de ta direction, de ton équipe. Tu as du mal à dire non. Tu dis oui au tout venant, dès qu'on te fait signe pour trouver une solution à un problème, pour se plaindre de Julie qui fait la gueule à Julia. Eh bien, on vient toujours te voir et tu as du mal à dire oui, tu as du mal à poser tes limites et à faire respecter ton temps de travail. ta concentration et tes moments de focus. Ou alors, tu te retrouves encore à vérifier pour la 32ème fois cette présentation PowerPoint qui est hyper importante pour toi, que tu vas présenter en réunion à tout le monde, et donc tu vas vérifier la taille de police, la couleur, le petit émoji que tu mets à tel endroit, mais en fait, on le sait, tu vas être la seule à regarder ce genre de détails et à apporter une telle attention. Personne d'autre va le remarquer et tu vas finir en sortant de la réunion en étant hyper déçu par ce personne de te féliciter sur la qualité de ta présentation. Résultat, qu'est-ce qui se passe ? Tu finis tes journées complètement épuisées, tu as l'impression d'avoir couru de partout, de ne pas avoir avancé sur tes tâches, et surtout, sans ce sentiment de reconnaissance, de validation des autres que tu attends tout au long de cette journée, et tu te retrouves à chaque fois, tous les jours, à ne pas la recevoir, à ne pas l'entendre de la part de ta direction, de tes managers, voire même de ton équipe. Alors pourquoi est-ce qu'on se retrouve à tomber dans ce genre de comportement ? Tout simplement parce que, si tu m'écoutes, tu as certainement comme moi le syndrome de la bonne élève, le syndrome du travail bien fait, où on a été habitué à recevoir des 16, 17, 18, 20 sur 20, et on se retrouve à appliquer le même schéma dans le cadre de notre travail en entreprise, avec notre direction, avec nos managers et avec nos équipes. Et au fond de toi, tu as l'impression que la qualité de ton travail dépend de la quantité que tu vas fournir. Un petit peu comme le disait Sarko au moment des présidentielles, travailler plus pour gagner plus. ce fameux slogan, mais en fait, tu te retrouves à l'appliquer sans même t'en rendre compte, de façon inconsciente, à ton quotidien de travail. Tu te dis que plus tu vas travailler, plus tu vas mériter ta place, plus tu vas mériter ta crédibilité, ta légitimité en tant que manager. Du coup, tu te retrouves à avoir peur de dire non à ton équipe ou à ta direction parce que tu as peur de passer pour une feignante, pour quelqu'un qui ne veut pas travailler, pour quelqu'un qui n'est pas motivé, pour quelqu'un qui n'est pas engagé. Et ça, quand on a le syndrome de la bonne élève, on ne veut surtout pas donner cette image-là. C'est vraiment quelque chose qu'on a en horreur. Tu ne veux absolument pas passer pour quelqu'un qui n'aime pas travailler. Tu veux montrer que t'es motivé, que t'es engagé, que t'es prêt à te dépasser pour ce job. Ensuite, tu vas te retrouver à tout gérer, à tout prendre sur tes épaules parce que pour toi, c'est la seule façon d'avancer et c'est la seule façon, selon ton idée, selon ton esprit, pour être respecté, selon tes standards, selon ce qu'on nous a appris à l'école. Tu te dis aussi que chaque effort supplémentaire Merci. Chaque temps, chaque minute que tu vas passer en plus dans ton travail, chaque heure supplémentaire va être remarquée par ton N plus 1 et que tu vas recevoir des félicitations pour ça, voire même que tu vas être en tête de liste pour la prochaine promotion qui va sortir l'année prochaine ou pour une prime ou une augmentation. Tu penses vraiment que ton N plus 1 est derrière son bureau et note exactement les heures passées assises derrière ton bureau. Sauf qu'en réalité, ça ne se passe jamais comme ça. On le sait. Toi et moi, on le sait, on l'a déjà vécu. On sait la frustration qu'on a de ne jamais avoir de félicitations de sa direction. Et encore, le mieux qu'on pourrait avoir, c'est une petite tape sur l'épaule en disant « Bien joué pour ta présentation ! » et ça s'arrête là. Et encore, des fois, même ça, on ne l'obtient pas. Le vrai problème derrière ça, c'est que le fait d'augmenter ta quantité de travail n'est pas lié, ne va pas engendrer forcément une augmentation de ta crédibilité en tant que manager. Il faut vraiment que tu t'enlèves ça de ta tête. Pourtant, on a été... matrixer avec ça, biberonner avec ça pendant toute notre école, il faut travailler dur, il faut faire des efforts pour avoir des bonnes notes à l'école, eh bien tu te retrouves à l'appliquer exactement aussi dans ton cadre de travail, mais non, ta légitimité n'est pas égale au nombre d'heures que tu passes derrière ton bureau. Voire même pire, ça diminue ta crédibilité et je vais t'expliquer pourquoi. Tes collègues ou ta direction vont te considérer comme acquise. Ils vont considérer que ta disponibilité est naturelle et qu'ils peuvent venir te voir, venir t'embêter, te déranger autant de fois qu'ils veulent. Et ça, du coup, ça te fait perdre en autorité naturelle. Deuxièmement, à force de dire oui à tout, tu perds ton focus sur tes tâches stratégiques de manager, tes tâches qui comptent, les tâches sur lesquelles t'attendent ta direction, ton N plus 1. Parce que tu te retrouves à gérer que des urgences, que des problèmes opérationnels, tu débordes. d'opérationnel et en fait, tu n'attribues pas de temps suffisant à tes tâches stratégiques de manager, travailler sur ton équipe, travailler aux objectifs, travailler à la montée en compétences et du coup, tu perds du focus et donc tu perds en efficacité et donc en légitimité. Et surtout, le pire, le troisième problème avec ça, c'est que ton équipe, elle voit que tu es débordée, elle voit que tu es à bout de souffle, elle voit qu'en fait, tu ne t'en sors pas. Donc, comment veux-tu qu'ils te considèrent comme une manager légitime, comme une manager crédible ? S'il te voit à ce point débordé, et même des fois à se dire « mais non, mais je veux pas venir te déranger, je vois que déjà t'en peux plus et que t'en as par-dessus la tête, et je sais que tu as déjà entendu ça » , et ça, ça doit être un signal d'alarme pour te dire qu'il faut que tu changes les choses maintenant. Au final, il se passe quoi ? Tu travailles plus parce que tu te dis que c'est comme ça que tu vas être beaucoup plus reconnu dans ton rôle de manager, mais au contraire, ça fait baisser ta crédibilité, ça fait baisser ta légitimité. et c'est ça qui fait que 96% des managers sont malheureuses au travail, c'est parce qu'elles se retrouvent à travailler beaucoup trop. Et c'est pas parce que tu vas rester jusqu'à 20h au bureau que tu vas être plus légitime ou plus reconnue dans ton poste. La légion d'honneur des heures supplémentaires, ça n'existe pas. Ou alors il faudrait l'inventer, mais c'est à l'encontre de tout ce que je te dis aujourd'hui. Ça n'existe pas, je suis désolée de te l'apprendre. Toutes les heures que tu fais, tu ne les fais pour rien. Ta valeur, en fait, elle se mesure pas au nombre d'heures travaillées, d'heures supplémentaires que tu fais. Ton impact aucun lien avec ton présentéisme, bien au contraire, c'est ce qu'on a vu tout à l'heure, et c'est le meilleur moyen de se cramer, et je peux te dire que je sais de quoi je parle, puisque tout ça, tous ces comportements m'ont amené à un burn-out en 2017, et vraiment j'ai eu beaucoup de mal à m'en remettre, et je ne souhaite vraiment pas que tu tombes là-dedans, donc si je te dis tout ça, c'est vraiment pour t'éviter ça. Maintenant, je vais te détailler 5 déclics mindset que tu dois avoir dès maintenant pour arrêter de travailler trop, et vraiment pour arrêter de saboter ta légitimité en allant chercher à chaque fois 16 heures supplémentaires, ce travail pendant les week-ends, ce travail pendant tes vacances. Le premier déclic que j'ai envie que tu aies, c'est ce que je t'ai dit tout à l'heure, ta crédibilité ne dépend pas du nombre d'heures travaillées que tu fais. Ton efficacité, tes résultats, ta posture de manager compte beaucoup plus que ton temps effectif passé au travail. Deuxième déclic que j'ai envie que tu aies aujourd'hui, dire non à quelqu'un Dire non à une demande formulée par quelqu'un de ton équipe ou ton manager, ce n'est pas un acte égoïste. Dire non, c'est apprendre à protéger tes limites, à protéger ton énergie et à te rendre beaucoup plus crédible, à valoriser du coup les moments où tu vas dire oui. Le Declining Mindset numéro 3 que j'ai envie que tu aies, c'est que tu n'es pas obligé de porter toute la misère du monde, tous les problèmes de ton service, tout n'est pas obligé de reposer sur tes épaules. Tes responsabilités en tant que manager, elles ont un périmètre clair et ça ne sert à rien de vouloir aller au-delà. Ce n'est pas grâce à ça que tu auras beaucoup plus de crédibilité aux yeux de ton équipe ou de ta direction. Le déclic numéro 4 que j'ai envie que tu aies, c'est que ton énergie et ton temps sont précieux. Donc essaye de les affecter à l'endroit où ça a un impact énorme pour ton service, pour ton équipe ou pour toi en tant que manager. Essaye d'apprendre à prioriser ce qui est important, ce qui est stratégique. et pas uniquement ce qui est urgent. Et enfin, le déclic numéro 5, ta valeur professionnelle n'est pas liée à ton épuisement. Être une bonne manager, c'est aussi savoir préserver son énergie, son équilibre de vie. Tu as besoin d'être requinquée, d'être en pleine forme pour pouvoir donner de cette énergie à ton équipe, pouvoir les accompagner au mieux et pouvoir les aider à développer leurs compétences. Donc, concrètement, ça veut dire quoi pour toi ? Tu sais combien j'adore donner quand même des actions concrètes et des tips concrets pour t'aider à implémenter ce qu'on voit en podcast directement dans ton quotidien de manager. Donc, comment est-ce que tu peux faire pour appliquer ces principes-là ? Parce que, oui, ce sont des belles paroles en l'air, mais j'ai envie que tu avances, que tu arrives à changer petit à petit cet état d'esprit et que tu arrêtes de te dire que c'est en travaillant plus que tu vas être plus crédible aux yeux de ton équipe ou de ton manager. Déjà, essaye de poser des limites claires avec bienveillance. Si quelqu'un vient te voir pour te demander de t'occuper de telle tâche, apprends à lui dire non en respectant sa demande. Tu peux tout simplement dire « je comprends ta demande Julien, mais je ne peux pas la traiter maintenant » . Tu peux décaler le moment où vous allez le voir ensemble. Ce sont des phrases qui ne vont pas froisser la personne. Et tu as le droit de poser tes limites, ça ne fera pas de toi une mauvaise personne ou une mauvaise manager. Deuxième étape, réduis volontairement ton temps de travail. Quand je dis ça... En fait, fais juste le temps de travail qui est indiqué dans ton contrat. Si t'es payé 35 heures, fais 35 heures. Si t'es payé 39 heures, fais 39 heures. Mais ça sert à rien de vouloir bosser 45 heures ou 50 heures ou tes week-ends et de bousiller tes soirées et de ne pas les passer avec la personne avec qui tu partages ta vie ou avec tes enfants. Ça ne sert strictement à rien. Donc, comment est-ce que tu fais ça ? Eh bien, tu te mets des petits défis au quotidien. Eh bien, ce soir, je ne réponds plus à mes mails après 16 heures, par exemple. Ce soir, j'ai envie de partir à 17h30, l'heure normale prévue, et j'essaye de m'y tenir. Essaye de trouver peut-être une raison pour le faire ou une gratification pour y arriver, mais fixe-toi un petit peu ces petites challenges au quotidien pour te fixer des limites et t'obliger en fait à partir tôt ou ne pas checker tes mails à chaque fois avant de partir. Parce qu'on sait comment ça fait. Tu regardes un mail, vite vite, je regarde ma boîte mail avant de partir, et paf, t'as une demande qui rentre et ça te fait en fait partir une demi-heure trop tard. Troisième action que tu peux faire. c'est de commencer à déléguer des aujourd'hui. C'est le premier levier pour gagner un max de temps. Donc, essaye d'identifier les tâches que tu peux transmettre à ton équipe. Essaye de voir les tâches sur lesquelles tu passes le plus de temps, les tâches où au final, ce n'est pas vraiment à toi de le faire. Eh bien, prends la décision à partir de maintenant de commencer à les lister et de commencer à les transmettre à des personnes de confiance dans ton équipe. Et enfin, la petite action, ou en tout cas que je fais chaque matin, essaye de déterminer la principale action qui va faire que ta journée sera... réussi ? Quelle est la mission ? Quelle est la tâche que tu dois faire, que tu dois avoir accomplie d'ici la fin de la journée et qui te feront dire « Ouais, ok, aujourd'hui, j'ai vraiment avancé, je suis vraiment contente de ce que j'ai fourni » et justement qui va t'amener ce sentiment de fierté et de réussite dans ton quotidien et en plus tous les jours si tu te fixes cette habitude au quotidien. En conclusion, si tu continues à avoir ce comportement de bon élève, de ce qu'on appelle « people pleasure » , c'est-à-dire de vouloir toujours faire plaisir aux autres. Tu vas finir par t'épuiser et à rentrer dans une spirale infernale de fatigue, de manque d'énergie et d'épuisement. Le changement, il peut avoir lieu dès maintenant, dès l'écoute de ce podcast, et ça passe par les petites actions simples que je t'ai données tout à l'heure. Peut-être qu'en les écoutant, tu te dis « Ouais, mais je vois pas comment ça va changer mon quotidien » . Je peux t'assurer que c'est par des petits pas comme ça que ça permet de faire de grandes avancées dans ton management. Et pour y arriver, je te propose qu'on le fasse ensemble. Si cet épisode t'a... parlé, si tu t'es reconnu dans ce que j'ai dit au début, si tu te retrouves toi aussi dans cette spirale d'épuisement, je t'invite à t'inscrire à l'immersion 360 que j'organise du 16 au 19 juin. On va passer 4 jours ensemble où justement on va déconstruire un petit peu tout ce qui se passe dans ta tête de manager, on va déconstruire tes croyances et on va mettre en place des nouvelles habitudes pour que tu puisses manager beaucoup plus sereinement et efficacement. Tout ça pour reprendre le lead sur ton temps et ton équipe. Car oui, Je sais que tu peux devenir une manager sereine, je sais que tu peux devenir une manager à impact, je sais que tu peux développer ton leadership et je peux t'accompagner à le faire pendant ces 4 jours gratuits du 16 au 19 juin. Donc si ça t'intéresse, tu peux trouver le lien de l'inscription à cette immersion 360 directement dans la description de ce podcast ou dans la description de la vidéo YouTube suivant où est-ce que tu me regardes. C'est vraiment 4 jours entourés d'autres managers qui ont les mêmes problèmes que toi, c'est 4 jours de folie où je vais être dédiée à toi à 100%. Je vais te donner des petits challenges à réaliser, des petites vidéos explicatives. Si t'aimes les podcasts et si t'aimes les vidéos, franchement, inscris-toi. Tu n'as aucune raison de louper ça. Je le fais très peu de fois dans l'année et c'est le moment où jamais de passer à l'action. 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Chapters

  • Pourquoi 96% des managers sont malheureux

    00:41

  • Le piège du syndrome de la bonne élève

    02:05

  • L’absence de reconnaissance et ses conséquences

    04:26

  • Le mythe des heures supplémentaires

    06:36

  • Les 5 déclics mindset à adopter

    08:02

  • 4 actions concrètes à mettre en place dès aujourd’hui

    10:00

  • Conclusion

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Tu vois, ce réflexe de dire oui à tout, de répondre aux mails à 20h, de vouloir tout faire pour montrer que tu mérites ton poste ?
Moi aussi, je suis tombée dans ce piège.
C’est ce qu’on appelle le syndrome du bon élève : l’envie constante de faire ses preuves… quitte à s’épuiser.
Dans cet épisode, je t’aide à sortir de ce schéma. 💡


🔎 Je t’explique :

  • Pourquoi tu confonds effort et légitimité

  • Comment ces comportements sabotent ta crédibilité

  • Et surtout : 5 déclics puissants pour changer ça dès aujourd’hui


Tu découvriras aussi des actions concrètes à mettre en place, pour poser tes limites, déléguer, et reprendre le pouvoir sur ton temps et ton énergie.



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Parce que vite, vite, vite, il faut que t'envoies ce mail absolument avant ce soir. sinon Tu auras l'impression que les gens vont croire que tu ne travailles pas ou que tu es parti trop tôt et que tu n'as pas envie de donner cette image-là. Tu te retrouves à dire oui à toutes les sollicitations, que ce soit de ta direction, de ton équipe. Tu as du mal à dire non. Tu dis oui au tout venant, dès qu'on te fait signe pour trouver une solution à un problème, pour se plaindre de Julie qui fait la gueule à Julia. Eh bien, on vient toujours te voir et tu as du mal à dire oui, tu as du mal à poser tes limites et à faire respecter ton temps de travail. ta concentration et tes moments de focus. Ou alors, tu te retrouves encore à vérifier pour la 32ème fois cette présentation PowerPoint qui est hyper importante pour toi, que tu vas présenter en réunion à tout le monde, et donc tu vas vérifier la taille de police, la couleur, le petit émoji que tu mets à tel endroit, mais en fait, on le sait, tu vas être la seule à regarder ce genre de détails et à apporter une telle attention. Personne d'autre va le remarquer et tu vas finir en sortant de la réunion en étant hyper déçu par ce personne de te féliciter sur la qualité de ta présentation. Résultat, qu'est-ce qui se passe ? Tu finis tes journées complètement épuisées, tu as l'impression d'avoir couru de partout, de ne pas avoir avancé sur tes tâches, et surtout, sans ce sentiment de reconnaissance, de validation des autres que tu attends tout au long de cette journée, et tu te retrouves à chaque fois, tous les jours, à ne pas la recevoir, à ne pas l'entendre de la part de ta direction, de tes managers, voire même de ton équipe. Alors pourquoi est-ce qu'on se retrouve à tomber dans ce genre de comportement ? Tout simplement parce que, si tu m'écoutes, tu as certainement comme moi le syndrome de la bonne élève, le syndrome du travail bien fait, où on a été habitué à recevoir des 16, 17, 18, 20 sur 20, et on se retrouve à appliquer le même schéma dans le cadre de notre travail en entreprise, avec notre direction, avec nos managers et avec nos équipes. Et au fond de toi, tu as l'impression que la qualité de ton travail dépend de la quantité que tu vas fournir. Un petit peu comme le disait Sarko au moment des présidentielles, travailler plus pour gagner plus. ce fameux slogan, mais en fait, tu te retrouves à l'appliquer sans même t'en rendre compte, de façon inconsciente, à ton quotidien de travail. Tu te dis que plus tu vas travailler, plus tu vas mériter ta place, plus tu vas mériter ta crédibilité, ta légitimité en tant que manager. Du coup, tu te retrouves à avoir peur de dire non à ton équipe ou à ta direction parce que tu as peur de passer pour une feignante, pour quelqu'un qui ne veut pas travailler, pour quelqu'un qui n'est pas motivé, pour quelqu'un qui n'est pas engagé. Et ça, quand on a le syndrome de la bonne élève, on ne veut surtout pas donner cette image-là. C'est vraiment quelque chose qu'on a en horreur. Tu ne veux absolument pas passer pour quelqu'un qui n'aime pas travailler. Tu veux montrer que t'es motivé, que t'es engagé, que t'es prêt à te dépasser pour ce job. Ensuite, tu vas te retrouver à tout gérer, à tout prendre sur tes épaules parce que pour toi, c'est la seule façon d'avancer et c'est la seule façon, selon ton idée, selon ton esprit, pour être respecté, selon tes standards, selon ce qu'on nous a appris à l'école. Tu te dis aussi que chaque effort supplémentaire Merci. Chaque temps, chaque minute que tu vas passer en plus dans ton travail, chaque heure supplémentaire va être remarquée par ton N plus 1 et que tu vas recevoir des félicitations pour ça, voire même que tu vas être en tête de liste pour la prochaine promotion qui va sortir l'année prochaine ou pour une prime ou une augmentation. Tu penses vraiment que ton N plus 1 est derrière son bureau et note exactement les heures passées assises derrière ton bureau. Sauf qu'en réalité, ça ne se passe jamais comme ça. On le sait. Toi et moi, on le sait, on l'a déjà vécu. On sait la frustration qu'on a de ne jamais avoir de félicitations de sa direction. Et encore, le mieux qu'on pourrait avoir, c'est une petite tape sur l'épaule en disant « Bien joué pour ta présentation ! » et ça s'arrête là. Et encore, des fois, même ça, on ne l'obtient pas. Le vrai problème derrière ça, c'est que le fait d'augmenter ta quantité de travail n'est pas lié, ne va pas engendrer forcément une augmentation de ta crédibilité en tant que manager. Il faut vraiment que tu t'enlèves ça de ta tête. Pourtant, on a été... matrixer avec ça, biberonner avec ça pendant toute notre école, il faut travailler dur, il faut faire des efforts pour avoir des bonnes notes à l'école, eh bien tu te retrouves à l'appliquer exactement aussi dans ton cadre de travail, mais non, ta légitimité n'est pas égale au nombre d'heures que tu passes derrière ton bureau. Voire même pire, ça diminue ta crédibilité et je vais t'expliquer pourquoi. Tes collègues ou ta direction vont te considérer comme acquise. Ils vont considérer que ta disponibilité est naturelle et qu'ils peuvent venir te voir, venir t'embêter, te déranger autant de fois qu'ils veulent. Et ça, du coup, ça te fait perdre en autorité naturelle. Deuxièmement, à force de dire oui à tout, tu perds ton focus sur tes tâches stratégiques de manager, tes tâches qui comptent, les tâches sur lesquelles t'attendent ta direction, ton N plus 1. Parce que tu te retrouves à gérer que des urgences, que des problèmes opérationnels, tu débordes. d'opérationnel et en fait, tu n'attribues pas de temps suffisant à tes tâches stratégiques de manager, travailler sur ton équipe, travailler aux objectifs, travailler à la montée en compétences et du coup, tu perds du focus et donc tu perds en efficacité et donc en légitimité. Et surtout, le pire, le troisième problème avec ça, c'est que ton équipe, elle voit que tu es débordée, elle voit que tu es à bout de souffle, elle voit qu'en fait, tu ne t'en sors pas. Donc, comment veux-tu qu'ils te considèrent comme une manager légitime, comme une manager crédible ? S'il te voit à ce point débordé, et même des fois à se dire « mais non, mais je veux pas venir te déranger, je vois que déjà t'en peux plus et que t'en as par-dessus la tête, et je sais que tu as déjà entendu ça » , et ça, ça doit être un signal d'alarme pour te dire qu'il faut que tu changes les choses maintenant. Au final, il se passe quoi ? Tu travailles plus parce que tu te dis que c'est comme ça que tu vas être beaucoup plus reconnu dans ton rôle de manager, mais au contraire, ça fait baisser ta crédibilité, ça fait baisser ta légitimité. et c'est ça qui fait que 96% des managers sont malheureuses au travail, c'est parce qu'elles se retrouvent à travailler beaucoup trop. Et c'est pas parce que tu vas rester jusqu'à 20h au bureau que tu vas être plus légitime ou plus reconnue dans ton poste. La légion d'honneur des heures supplémentaires, ça n'existe pas. Ou alors il faudrait l'inventer, mais c'est à l'encontre de tout ce que je te dis aujourd'hui. Ça n'existe pas, je suis désolée de te l'apprendre. Toutes les heures que tu fais, tu ne les fais pour rien. Ta valeur, en fait, elle se mesure pas au nombre d'heures travaillées, d'heures supplémentaires que tu fais. Ton impact aucun lien avec ton présentéisme, bien au contraire, c'est ce qu'on a vu tout à l'heure, et c'est le meilleur moyen de se cramer, et je peux te dire que je sais de quoi je parle, puisque tout ça, tous ces comportements m'ont amené à un burn-out en 2017, et vraiment j'ai eu beaucoup de mal à m'en remettre, et je ne souhaite vraiment pas que tu tombes là-dedans, donc si je te dis tout ça, c'est vraiment pour t'éviter ça. Maintenant, je vais te détailler 5 déclics mindset que tu dois avoir dès maintenant pour arrêter de travailler trop, et vraiment pour arrêter de saboter ta légitimité en allant chercher à chaque fois 16 heures supplémentaires, ce travail pendant les week-ends, ce travail pendant tes vacances. Le premier déclic que j'ai envie que tu aies, c'est ce que je t'ai dit tout à l'heure, ta crédibilité ne dépend pas du nombre d'heures travaillées que tu fais. Ton efficacité, tes résultats, ta posture de manager compte beaucoup plus que ton temps effectif passé au travail. Deuxième déclic que j'ai envie que tu aies aujourd'hui, dire non à quelqu'un Dire non à une demande formulée par quelqu'un de ton équipe ou ton manager, ce n'est pas un acte égoïste. Dire non, c'est apprendre à protéger tes limites, à protéger ton énergie et à te rendre beaucoup plus crédible, à valoriser du coup les moments où tu vas dire oui. Le Declining Mindset numéro 3 que j'ai envie que tu aies, c'est que tu n'es pas obligé de porter toute la misère du monde, tous les problèmes de ton service, tout n'est pas obligé de reposer sur tes épaules. Tes responsabilités en tant que manager, elles ont un périmètre clair et ça ne sert à rien de vouloir aller au-delà. Ce n'est pas grâce à ça que tu auras beaucoup plus de crédibilité aux yeux de ton équipe ou de ta direction. Le déclic numéro 4 que j'ai envie que tu aies, c'est que ton énergie et ton temps sont précieux. Donc essaye de les affecter à l'endroit où ça a un impact énorme pour ton service, pour ton équipe ou pour toi en tant que manager. Essaye d'apprendre à prioriser ce qui est important, ce qui est stratégique. et pas uniquement ce qui est urgent. Et enfin, le déclic numéro 5, ta valeur professionnelle n'est pas liée à ton épuisement. Être une bonne manager, c'est aussi savoir préserver son énergie, son équilibre de vie. Tu as besoin d'être requinquée, d'être en pleine forme pour pouvoir donner de cette énergie à ton équipe, pouvoir les accompagner au mieux et pouvoir les aider à développer leurs compétences. Donc, concrètement, ça veut dire quoi pour toi ? Tu sais combien j'adore donner quand même des actions concrètes et des tips concrets pour t'aider à implémenter ce qu'on voit en podcast directement dans ton quotidien de manager. Donc, comment est-ce que tu peux faire pour appliquer ces principes-là ? Parce que, oui, ce sont des belles paroles en l'air, mais j'ai envie que tu avances, que tu arrives à changer petit à petit cet état d'esprit et que tu arrêtes de te dire que c'est en travaillant plus que tu vas être plus crédible aux yeux de ton équipe ou de ton manager. Déjà, essaye de poser des limites claires avec bienveillance. Si quelqu'un vient te voir pour te demander de t'occuper de telle tâche, apprends à lui dire non en respectant sa demande. Tu peux tout simplement dire « je comprends ta demande Julien, mais je ne peux pas la traiter maintenant » . Tu peux décaler le moment où vous allez le voir ensemble. Ce sont des phrases qui ne vont pas froisser la personne. Et tu as le droit de poser tes limites, ça ne fera pas de toi une mauvaise personne ou une mauvaise manager. Deuxième étape, réduis volontairement ton temps de travail. Quand je dis ça... En fait, fais juste le temps de travail qui est indiqué dans ton contrat. Si t'es payé 35 heures, fais 35 heures. Si t'es payé 39 heures, fais 39 heures. Mais ça sert à rien de vouloir bosser 45 heures ou 50 heures ou tes week-ends et de bousiller tes soirées et de ne pas les passer avec la personne avec qui tu partages ta vie ou avec tes enfants. Ça ne sert strictement à rien. Donc, comment est-ce que tu fais ça ? Eh bien, tu te mets des petits défis au quotidien. Eh bien, ce soir, je ne réponds plus à mes mails après 16 heures, par exemple. Ce soir, j'ai envie de partir à 17h30, l'heure normale prévue, et j'essaye de m'y tenir. Essaye de trouver peut-être une raison pour le faire ou une gratification pour y arriver, mais fixe-toi un petit peu ces petites challenges au quotidien pour te fixer des limites et t'obliger en fait à partir tôt ou ne pas checker tes mails à chaque fois avant de partir. Parce qu'on sait comment ça fait. Tu regardes un mail, vite vite, je regarde ma boîte mail avant de partir, et paf, t'as une demande qui rentre et ça te fait en fait partir une demi-heure trop tard. Troisième action que tu peux faire. c'est de commencer à déléguer des aujourd'hui. C'est le premier levier pour gagner un max de temps. Donc, essaye d'identifier les tâches que tu peux transmettre à ton équipe. Essaye de voir les tâches sur lesquelles tu passes le plus de temps, les tâches où au final, ce n'est pas vraiment à toi de le faire. Eh bien, prends la décision à partir de maintenant de commencer à les lister et de commencer à les transmettre à des personnes de confiance dans ton équipe. Et enfin, la petite action, ou en tout cas que je fais chaque matin, essaye de déterminer la principale action qui va faire que ta journée sera... réussi ? Quelle est la mission ? Quelle est la tâche que tu dois faire, que tu dois avoir accomplie d'ici la fin de la journée et qui te feront dire « Ouais, ok, aujourd'hui, j'ai vraiment avancé, je suis vraiment contente de ce que j'ai fourni » et justement qui va t'amener ce sentiment de fierté et de réussite dans ton quotidien et en plus tous les jours si tu te fixes cette habitude au quotidien. En conclusion, si tu continues à avoir ce comportement de bon élève, de ce qu'on appelle « people pleasure » , c'est-à-dire de vouloir toujours faire plaisir aux autres. Tu vas finir par t'épuiser et à rentrer dans une spirale infernale de fatigue, de manque d'énergie et d'épuisement. Le changement, il peut avoir lieu dès maintenant, dès l'écoute de ce podcast, et ça passe par les petites actions simples que je t'ai données tout à l'heure. Peut-être qu'en les écoutant, tu te dis « Ouais, mais je vois pas comment ça va changer mon quotidien » . Je peux t'assurer que c'est par des petits pas comme ça que ça permet de faire de grandes avancées dans ton management. Et pour y arriver, je te propose qu'on le fasse ensemble. Si cet épisode t'a... parlé, si tu t'es reconnu dans ce que j'ai dit au début, si tu te retrouves toi aussi dans cette spirale d'épuisement, je t'invite à t'inscrire à l'immersion 360 que j'organise du 16 au 19 juin. On va passer 4 jours ensemble où justement on va déconstruire un petit peu tout ce qui se passe dans ta tête de manager, on va déconstruire tes croyances et on va mettre en place des nouvelles habitudes pour que tu puisses manager beaucoup plus sereinement et efficacement. Tout ça pour reprendre le lead sur ton temps et ton équipe. Car oui, Je sais que tu peux devenir une manager sereine, je sais que tu peux devenir une manager à impact, je sais que tu peux développer ton leadership et je peux t'accompagner à le faire pendant ces 4 jours gratuits du 16 au 19 juin. Donc si ça t'intéresse, tu peux trouver le lien de l'inscription à cette immersion 360 directement dans la description de ce podcast ou dans la description de la vidéo YouTube suivant où est-ce que tu me regardes. C'est vraiment 4 jours entourés d'autres managers qui ont les mêmes problèmes que toi, c'est 4 jours de folie où je vais être dédiée à toi à 100%. Je vais te donner des petits challenges à réaliser, des petites vidéos explicatives. Si t'aimes les podcasts et si t'aimes les vidéos, franchement, inscris-toi. Tu n'as aucune raison de louper ça. Je le fais très peu de fois dans l'année et c'est le moment où jamais de passer à l'action. Donc, inscris-toi dans la description et tu vas voir ces quatre jours qui vont réévolutionner ta façon de manager. Je te remercie d'avoir écouté cet épisode jusqu'au bout. Si tu l'as apprécié, je t'invite à t'abonner sur ta plateforme préférée et à me laisser un commentaire 5 étoiles. On se retrouve au prochain épisode pour parler management et leadership.

Chapters

  • Pourquoi 96% des managers sont malheureux

    00:41

  • Le piège du syndrome de la bonne élève

    02:05

  • L’absence de reconnaissance et ses conséquences

    04:26

  • Le mythe des heures supplémentaires

    06:36

  • Les 5 déclics mindset à adopter

    08:02

  • 4 actions concrètes à mettre en place dès aujourd’hui

    10:00

  • Conclusion

    14:14

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