Speaker #0Bienvenue sur Feedback, le podcast autour du management et du leadership. Je suis Élodie, manager depuis 14 ans, et ma mission, c'est d'aider les salariés et entrepreneurs à prendre confiance en elles pour manager sereinement leur équipe. Alors si toi aussi tu es convaincu qu'on peut avoir un management bienveillant et un leadership affirmé sans écraser les autres, abonne-toi ! Tu trouveras ici tous mes conseils et retours d'expérience pour t'aider à devenir une des leaders de demain. Je te souhaite une agréable écoute ! Ouais ! Je sais ce que tu te dis en lisant le titre de l'épisode. Tu dois te dire, non mais Hélo, elle est tombée sur la tête ou quoi ? Elle se met en mode philosophe. De quoi elle va nous parler aujourd'hui ? Franchement, je suis sûre que ça va vraiment t'aider. On va parler stoïcisme, qui est une philosophie qui date de la Grèce antique. Et je me suis un peu intéressée à ce sujet et je vois plein de parallèles à faire avec le management. Et je suis sûre que ça peut t'aider dans ton quotidien, notamment si tu te retrouves à ruminer pendant des heures sur une situation que tu as eue au boulot. Une décision sur laquelle tu n'es pas d'accord, une remarque maladroite, un conflit, tout ça, si tu vis ça dans ton quotidien, et je sais que tu vis ça dans ton quotidien manager, le stoïcisme va t'aider à traverser ce genre de situation. En réalité, même si c'est une philosophie vraiment ancienne, c'est pour moi des principes hyper utiles et qu'on peut encore appliquer en entreprise en 2025-2026. Voir même, je pense, ce sont des principes intemporels. Pourquoi ? Parce que le management, ce n'est pas gérer des process, c'est avant tout gérer des humains, gérer des relations, et gérer ton état intérieur quand tu gères ces humains. C'est là où le stoïcisme intervient. Parce que cette philosophie, elle répond à une question qui est essentielle, c'est comment rester stable dans ses émotions, dans sa posture, dans son quotidien. Quand on est dans un monde en plein changement, dans un monde instable. En fait, tu peux et tu as le droit, en tant que manager, de ressentir tout ce qui se passe en toi, mais tu n'es pas obligé de laisser ça diriger ta journée. On ne va pas voir exactement comment gérer ses émotions, on va voir en fait comment prendre du recul, comment prendre une nouvelle posture pour arrêter de subir tes journées et ne pas être dans de l'impulsivité. La première leçon du stoïcisme que j'ai envie de te partager, c'est d'arrêter de tout porter. Il y a un de ces philosophes qui fait partie de cette tendance-là, qui disait que les humains sont de base égocentrique et qu'ils ont tendance à prendre la responsabilité de choses pour lesquelles ils n'en ont aucune. Et je sais que c'est ce que vivent beaucoup de managers, notamment des managers intromertis. On se retrouve à s'épuiser parce qu'on porte mentalement des choses qui ne nous appartiennent pas. Si la personne n'est pas motivée, c'est ma faute. Si mon équipe ne comprend pas la direction, c'est ma faute. Si cette personne ne respecte pas les règles de la réunion, c'est ma faute. Et en fait, cette philosophie va proposer un outil qui est hyper simple, hyper puissant. Et j'adore cette question et je me la pose en continu. D'ailleurs, que ce soit dans des situations de management ou dans des situations personnelles, c'est, est-ce que cet événement se produirait ? si je n'étais pas là ? Je t'invite vraiment à te poser cette question. Quand tu es face à la réaction d'un collaborateur, quand tu es face à un certain événement en réunion, quand tu es face à certaines décisions de ta direction, est-ce que cet événement pourrait se produire si je n'étais pas là ? Si la réponse est oui, alors ça veut dire que cet événement ne dépend pas de toi, que tu ne peux pas le contrôler, et que donc, tu n'as aucune raison soit de le désirer, soit de craindre cet événement. Par exemple, Si les gens râlent en continu sur le boulot, la perte de sens, etc., ils continueraient à râler même si tu n'étais pas là. Donc, ce n'est pas de ta faute, ce n'est pas de ta responsabilité. Pareil, si la direction change de projet, ou d'ailleurs, si le projet change d'équipe ou de direction, pareil, ça se produirait si tu n'étais pas là. Ton équipe trouve qu'il y a un climat stressant, pesant, global, un environnement qui... dans le monde politique dans lequel on est, même le monde global, économique, social, politique. Mais en fait, ce climat, il existe, que tu sois là ou pas. Donc en fait, tous ces événements, tu peux agir dessus, mais tu ne les contrôles pas. Donc ça ne sert à rien de culpabiliser. À l'inverse, si la réponse à la question « cet événement pourrait-il se produire si je n'étais pas là ? » Si la réponse est non, alors là, tu peux poser une deuxième question. Est-ce qu'il y a quelque chose que je peux faire pour changer le résultat ? Et là, si la réponse est oui, C'est ton terrain de jeu, c'est là où tu peux agir, c'est là où tu vas mettre l'énergie, c'est là où tu vas reprendre ton pouvoir et ton leadership. Si ce n'est pas le cas, tu n'arrêtes d'y penser. Et en fait, je te partage ça parce que ça montre bien dans le stoïcisme, à travers ce prisme que tu ne peux pas tout porter sur tes épaules. En fait, ça montre bien que ce qui te fatigue, ce n'est pas le travail en soi, c'est de lutter contre des choses que tu ne contrôles pas. J'ai fait énormément d'épisodes dans ce podcast sur le lâcher prise. prendre du recul, tout ça, tout ça, ça rejoint ces éléments-là. Mais je trouve ça important de le redire et de continuer à en parler parce que je sais combien ça fait partie de la charge mentale des managers. Donc maintenant, je vais te proposer un mini-challenge pour le mettre en pratique, notamment en réunion. Enfin, j'y ai en réunion d'ailleurs, ça pourrait être number two. La prochaine fois que tu stresses pour quelque chose lié au travail, demande-toi, est-ce que ça pourrait se produire sans moi ? Et est-ce que je peux faire quelque chose ? Si la réponse est non aux deux questions, tu te retires mentalement et tu mets ton énergie ailleurs. Et ça, ça va t'aider à arrêter de porter le monde sur tes épaules. Le deuxième principe du stoïcisme que j'ai envie de te communiquer, et celui-là, je l'adore. D'ailleurs, je pense que j'aurais même dû commencer par celui-là. C'est que les personnes difficiles ne sont pas méchantes, elles sont en souffrance. En fait, dans cette philosophie, on ne parle pas de personnes méchantes. On ne parle pas de personnes toxiques. C'est le grand mot à la mode en ce moment. On va parler de souffrance ou d'ignorance. Socrate disait « Nul n'est méchant volontairement. Si quelqu'un agit mal, c'est par ignorance ou par souffrance. » Et en fait, comment tu vas le traduire ça dans ton quotidien de manager ? C'est que la personne qui te parle mal en réunion, qui va t'agresser, qui va saboter tous tes projets, qui te met en difficulté, qui va critiquer tout ce que tu dis, la plupart du temps, elle ne le fait pas parce qu'elle a un problème avec toi. Elle le fait parce qu'à ce moment précis, ta décision, ta posture, ton rôle de manager, ta phrase, va renvoyer certaines choses chez elle. Ça veut dire qu'elle a peur, qu'elle se sent en insécurité, qu'elle n'a peut-être pas les compétences émotionnelles pour faire face à ça, ou qu'elle est débordée intérieurement. Moi, ça, je l'ai vécu... Alors, je n'avais pas vu ça forcément dans le stoïcisme, mais je l'avais vu ça un peu dans des bouquins de def' perso et tout. Quand quelqu'un a été méchant, que cette personne agissait mal, il ne fallait pas le prendre pour soi. Les accords Toltec aussi en parlent. Et que cette personne, ça voulait dire souvent qu'elle souffrait. Et je l'ai vu chez plein de collaborateurs avec qui j'étais en conflit. Parce que oui, dans mes 17 ans d'expérience en management, je peux t'assurer que j'ai eu des conflits à gérer. Il y a une personne qui m'a fait la gueule parce que j'ai eu une promotion par rapport à elle qui voulait cette promotion, qui voulait ma place. Mais en fait, ce n'était pas contre moi qu'elle en avait. Ça aurait été quelqu'un d'autre d'ailleurs, elle aurait été dans la même souffrance. C'est parce qu'en fait, ça remettait en cause, pour elle en tout cas, sa légitimité, son expertise. Ça lui renvoyait qu'elle n'avait pas fait un bon travail. Elle souffrait, en fait, de cette situation-là. Et c'est à cause de ça qu'elle s'est mise à être agressive envers moi et à mener des campagnes contre moi. Pareil, j'ai des personnes qui ont explosé des fois en réunion et qui parlaient mal aux autres ou qui descendaient le travail des autres, mais parce que pour eux, ils se donnaient à 100%. Ils avaient beaucoup de stress, beaucoup de charge mentale et qui n'avaient l'impression de ne pas être reconnus à leur juste valeur. Et pareil, ça n'avait rien à voir contre moi. Donc... Quand tu dis que quelqu'un de ton équipe est toxique, c'est bien, tu le dis. Mais ça ne fait pas avancer les choses, ça ne fait pas avancer le chimie bique. Quand tu dis ça, en fait, tu renonces à comprendre. Et ça veut dire que tu renonces à agir. Alors, je ne dis pas qu'en tant que manager, tu peux sauver tout le monde. Pas du tout. Ça veut dire que cette personne-là a peut-être des problèmes même personnels que tu ne peux pas résoudre. C'est peut-être des fois des problèmes psy, des problèmes plus anciens, plus profonds, etc. Mais tu ne dois pas... t'arrêter juste à la définition, cette personne est toxique, elle est toxique à vie. Non. C'est une situation, un contexte, une phrase qui la rend comme ça. Donc là, ce que je t'invite à faire, c'est de te poser des questions. Qu'est-ce qui fait que dans sa situation, ce feedback, cette décision, cette situation est insupportable ? Quelle est la souffrance que je touche en fait sans le vouloir ? Et ça en fait, ce genre de questions, cette prise de recul, ça va changer ta manière de gérer les tensions. Tu vas arrêter de tout prendre personnellement. Tu vas... arriver à être dans de l'empathie et de la compassion, et tu vas prendre de meilleures décisions. Parce que tu n'es plus uniquement dans cet aspect émotionnel. Ou toi, ça va te mettre certains filtres sur tes décisions ou certaines réactions que tu as. Donc rappelle-toi bien, si quelqu'un explose par le mal, réagit avec de la colère, c'est que cette personne est en souffrance. Ce n'est pas dirigé contre toi. Et je tiens quand même à clarifier quelque chose. Quand j'essaye de comprendre l'autre, de faire preuve d'empathie, etc., Ça ne veut pas dire que ça va excuser le comportement, qu'il faut tout accepter, que tu dois subir ce genre de comportement. Tu peux très bien comprendre quelqu'un et poser tes limites et mettre de la distance. En fait, je ne te demande pas d'être dans la passivité ou d'être dans de la tolérance extrême, c'est d'être dans de la lucidité et du discernement vis-à-vis de toi. Ça n'a rien à voir contre toi. Le troisième principe que j'avais envie de te partager au niveau du stoïcisme, c'est que l'obstacle est le chemin. Et je crois d'ailleurs que c'est même le nom d'un bouquin qui parle de cette philosophie-là. Marc Aurel disait, Marc Aurel, pareil, philosophe, il disait que ce qui bloque l'action, c'est ce qui fait avancer l'action. Waouh ! Alors, si je dois te le traduire d'un point de vue manager, les problèmes ne t'empêchent pas d'avancer dans ton travail. Ça fait partie, en fait, de ton travail. Je dis souvent que les conflits dans une équipe sont nécessaires. Il ne faut pas chercher une équipe sans conflits. Ce n'est pas un bug dans la matrice. Ce n'est pas toi qui es une mauvaise manager, en fait. C'est quelque chose qui va permettre de tirer des leçons, qui est une source d'apprentissage pour toi et pour ton équipe. Pareil, une erreur sur un projet, ce n'est pas un drame. C'est une occasion, une opportunité de poser le cadre, approfondir le process, professionnaliser ce que vous faites. Un arrêt maladie, c'est aussi l'occasion peut-être de revoir vos process, la répartition des rôles, de revoir la dépendance qu'on pourrait avoir vis-à-vis de quelqu'un. Et si je dois te donner un exemple, pareil, tu sais que j'aime bien ramener des exemples concrets. tu as ton chef qui te demande quelque chose au dernier moment et on sait le nombre de fois où ça arrive, tu pourrais te dire c'est injuste, il abuse, nanani, nanana. Pose-toi cette question. Qu'est-ce que cette situation me donne comme leçon ? Qu'est-ce que cette situation m'invite à développer ? Est-ce que c'est moi qui dois mieux cadrer ma relation avec lui ? Est-ce que c'est moi qui dois mieux dire, mieux formuler mes noms, en fait ? Est-ce que c'est moi qui n'arrive pas à prioriser comme il faut ? En fait, ça va te... redonner du pouvoir sur ton quotidien et d'être dans cette situation d'amélioration constante. C'est pour ça que j'aime bien aussi cette phrase et cette idée que l'obstacle est le chemin. Manager, c'est avoir des problèmes en continu, tout le temps, tous les jours. Ton boulot, c'est de savoir comment est-ce que tu te sers de ces problèmes-là pour avancer. Et enfin, je voulais voir avec toi, te partager... Alors ça, je l'ai vu dans le livre Le Code de Sirius North. N'est-ce toi ici ? ont développé les quatre vertus cardinales à avoir dans sa vie. Et je trouve que c'est quatre compétences indispensables à avoir quand on est manager. Je vais te les détailler et je t'invite à les garder en tête dans ton quotidien pour prendre du recul et arrêter de subir ton quotidien. Ces quatre vertus, ce sont lesquelles ? C'est la prudence, la tempérance, la justice et le courage. Je vais développer rapidement chacune. La prudence, c'est que... Ça t'aide à savoir ce qu'il faut faire et ce qu'il faut éviter. C'est ce qui va t'aider à trier tes décisions. C'est ce qui va t'aider à avoir des décisions de qualité. La prudence va t'aider à ne pas t'épuiser dans des sujets qui n'ont aucun impact sur ton équipe, ton service, aucun résultat. Ça va t'aider à arrêter de répondre à toutes les urgences. Ça va arrêter de vouloir absorber toutes les émotions de ton équipe, etc. Donc, la prudence est une vertu à garder quand on est manager. Parce que c'est ça qui va t'aider à trier tes décisions et à faire question de qualité. La deuxième qualité, c'est la justice. Là, il va y avoir un peu de notion de courage managériale parce que la justice t'aide à faire quoi ? À faire ce qui est juste et pas ce qui est confortable pour toi. Et on sait que faire l'autruche, c'est hyper confortable. Mais ce n'est pas forcément faire ce qui est juste. Ce qui est juste, c'est poser un cadre clair. C'est distribuer les tâches équitablement entre les membres de ton équipe. C'est ne pas toujours favoriser... Les gentils, ceux qui ont du mal à refuser, c'est oser dire la vérité sans humilier, etc. C'est avoir une éthique professionnelle. C'est avoir une posture où tu es juste dans tes choix, où tu es juste dans tes feedbacks, où tu es juste dans ta manière de répartir les ressources. Et les équipes adorent les managers qui sont justes. Moi, c'est vraiment une vertu que j'ai essayé de développer au maximum en tant que manager. Et j'étais reconnue pour ça. Et en fait, ça te donne une posture complètement autre vis-à-vis des gens. parce que tu n'es pas là pour faire tes petits papiers ou être en connivence avec certains. Essaye de garder cette vertu de justice. Ça va augmenter ta légitimité, ta respectabilité. La troisième vertu, c'est la tempérance. La tempérance, c'est quoi ? C'est la modération, l'équilibre, la maîtrise de soi. C'est une vertu plutôt rare chez beaucoup de managers, mais c'est le meilleur atout des introvertis. Et je sais que vous êtes beaucoup à m'écouter. Donc, c'est ne pas sur-réagir, ne pas en faire trop. Ne pas répondre à chaud à un mail agressif, ne pas faire passer ton stress sur l'équipe, revoir tes priorités aussi quand tu es fatigué. Voilà, ça c'est la modération, l'équilibre, la maîtrise de soi, c'est la tempérance. Et c'est essentiel dans ces moments instables où le monde, l'environnement, le monde des entreprises évolue vite, très vite et où il y a beaucoup de changements, de difficultés aussi. Et enfin, la quatrième vertu, c'est le courage. C'est faire ce qui est nécessaire même quand c'est inconfortable. Le courage de dire non, le courage de dire j'ai besoin d'aide, aussi, ça en fait partie. Le courage de poser un cadre clair. Le courage, c'est ce qui va faire qu'on te respecte. Avant de conclure cet épisode, je voulais juste te donner un petit exercice à faire pour pratiquer un petit peu le stoïcisme dans ton quotidien de façon très simple. C'est le matin de te dire... Qu'est-ce qui pourrait me mettre en tension aujourd'hui ? Et du coup, de mettre en place des actions par rapport à ça. Et deuxième question, comment est-ce que j'ai envie de me comporter ? Quelle est la vertu que j'ai envie de mettre en avant ? Quelle est la manager que j'ai envie d'être ? Ça prend 30 secondes, mais ça peut vraiment changer ta journée. Et d'ailleurs, c'est un exercice, le comment est-ce que j'ai envie de me comporter. Si tu veux vraiment savoir comment le faire, moi, je t'invite à télécharger mon kit de survie qui est dans la description de cet épisode. Parce qu'il y a la roue des postures managériales que je donne dedans. qui est un super outil justement pour répondre à cette question « Comment est-ce que j'ai envie de me comporter aujourd'hui ? Quelle est la manager que j'ai envie d'être aujourd'hui ? » Il y a quatre autres outils dans le kit de survie des managers, bien évidemment. Il y a des questions à poser à ton équipe. Tu vas retrouver aussi dans le kit de survie le décodeur de conflits, où du coup, tu ne vas plus du tout te retrouver démuni si tu as quelqu'un qui va te faire une pique en réunion. Il y a le rituel 1% des top managers Amazon et Google pour piloter ton temps et ton équipe. Il y a un mood tracker. plein plein d'outils, je t'en donne plein dans le kit de survie des managers, tu peux le télécharger directement dans le lien de cette description. Et du coup, je voulais te transmettre ces principes du stoïcisme, parce que je suis sûre qu'ils peuvent t'aider. Car oui, tu ne peux pas tout contrôler, mais tu peux arrêter de subir ton quotidien. Et parfois, la plus grande victoire, c'est pas d'avoir tout réglé, d'avoir fait toute ta to-do list, c'est juste d'avoir réussi à rester toi-même. Et je trouve que ces principes, ils y répondent très bien. J'espère en tout cas que cet épisode t'a plu Pense bien à télécharger ton kit de survie dans la description de cet épisode. Mets une note 5 étoiles si cet épisode t'a plu. Et on se retrouve la semaine prochaine, à nouveau, avec un nouvel épisode de Feedback qui, je sais, va énormément t'aider. Un épisode où on va voir ce que ça change vraiment d'être manager. Je te remercie pour ton écoute et je te dis à très vite. Je te remercie d'avoir écouté cet épisode jusqu'au bout. Si tu l'as apprécié, je t'invite à t'abonner sur ta plateforme préférée et à me laisser un commentaire 5 étoiles. On se retrouve au prochain épisode pour parler management et leadership.