Description

Comment se construit l’identité ?
C’est un thème crucial sur lequel Isabelle Auroux, consultante, fondatrice du cabinet de conseil international, Dolightup, se penche dans chacune de ses chroniques.

Êtes-vous prêt à découvrir une version amplifiée de vous-même à travers l'expatriation ? Vivre à l'étranger ne se limite pas à un simple changement de décor, mais représente une véritable opportunité de transformation personnelle. Isabelle nous rappelle les mots d'Hermann von Kaiserling : « Le chemin vers soi-même passe par le monde », une citation qui résonne profondément dans le parcours de nombreux expatriés.

Plongez dans les défis initiaux de l'expatriation, tels que la nostalgie et les difficultés d'adaptation. Mais ne vous y trompez pas, ces obstacles sont souvent les premiers pas vers une ouverture à la nouveauté. Isabelle partage des expériences inédites qui montrent comment notre identité est non seulement bousculée, mais aussi enrichie par les rencontres et les cultures que nous découvrons. Elle évoque comment l'expatriation favorise une meilleure connaissance de soi, un thème soutenu par des recherches contemporaines.

Pour aller plus loin, contactez Isabelle Auroux
https://dolightup.com/en/

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(novembre 2025)

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Transcription

• Speaker #0

  français-dans-le-monde.fr présente 60 secondes pratiques

• Speaker #1

  Être soi à l'étranger, présenté par Isabelle Auroreau de Light Up Vivre à l'étranger, l'opportunité d'une identité amplifiée

• Speaker #2

  Vivre à l'étranger, ce n'est pas seulement changer de décor, c'est souvent se découvrir en plus grand. Notre identité se retrouve bousculée, élargie, enrichie par des expériences inédites. Dès 1919, le philosophe Hermann von Kaiserling écrivait « Le plus court chemin vers soi-même mène autour du monde » . Un siècle plus tard, des chercheurs de grandes universités américaines confirment que vivre à l'étranger aide à mieux se connaître. Les débuts sont parfois emprunts de nostalgie. On recrée ses repères, on s'entoure de produits et de visages familiers. Puis vient le moment d'oser la nouveauté. Et là, quelque chose change. On développe l'aptitude à connecter. La langue, les gestes, l'énergie, tout devient passerelle vers l'autre. La curiosité et l'ouverture remplacent le jugement et notre identité se nourrit de cette rencontre avec l'altérité. On gagne aussi en flexibilité. L'expatriation accélère le changement, oblige à s'adapter, à réinventer ses routines. Cette capacité à rebondir, on la garde pour la vie. Et on découvre une meilleure conscience de soi. Vivre ailleurs pousse à revisiter ses valeurs, à choisir ce que l'on garde, ce que l'on transforme. Ces choix plus alignés influencent autant nos décisions personnelles que notre carrière. Pour certains, c'est une libération. La distance permet de se réinventer, de révéler des facettes longtemps contenues. Changer de métier, entreprendre, adopter un rythme plus en phase avec soi, c'est parfois une renaissance. Et puis... Il y a la nouveauté. Elle devient un moteur, un besoin presque vital. Le cerveau adore explorer, et chaque découverte façonne un peu plus cette identité amplifiée. Finalement, réussir son intégration, c'est composer entre ce que l'on porte en soi, nos racines, nos valeurs, et ce que nous offre le pays d'accueil. C'est choisir. Consciemment,

• Speaker #0

  l'identité que l'on veut incarner.