Speaker #0Quand ton identité change, ta pratique se transforme aussi. Cet épisode ouvre le bal des épisodes solo. Quand je dis solo, c'est que je vais parler de moi en tant que personne, en tant qu'entrepreneur, et je vais vous raconter les coulisses de ce qui se passe pour moi dans mon entreprise. Donc ça fait depuis le mois de mai, je crois, que je chemine avec ce projet. Et aujourd'hui, enregistrement 11 septembre 2025, je vais entrer par un angle, voilà, parce que dans mes biais à moi et dans mes tendances à moi, j'aime avoir la vue d'ensemble et de raconter l'ensemble, c'est ce qui fait que je peux parler longtemps et tout mon apprentissage de ces dernières années, notamment par le biais de la communication, ça a été de choisir des angles. de séquencer, de séparer, de dire un peu mais pas trop, de faire du teasing, etc. Et c'est vrai que c'est intéressant d'apprendre à compter de cette manière, à raconter de cette manière. Et je vais le faire ici, dans le podcast aussi, justement, par une autre voie que l'écriture. Et surtout, vraiment, cette notion de podcast solo. puisque mon défi de ces dernières années, ça a été vraiment d'accompagner un changement d'identité. Je peux le dire comme ça aujourd'hui, mais ce n'est pas du tout ce que j'avais ressenti, perçu, quand j'étais dedans, quand j'étais dans le feu, on va dire, de l'action et de ce mouvement-là. Et pourquoi j'intitule cet épisode « Quand ton identité change, ta pratique se transforme aussi » ? Parce que c'est ce qui se passe pour moi. et c'est ce que je vois aussi chez les personnes que j'accompagne. Et je vais te raconter, voilà, sous un angle et sur l'angle de la numérologie, puisque je suis numérologue depuis 2019, je vais te raconter un peu qu'est-ce qui se passe à cet endroit-là et pas dans tous les autres endroits, puisqu'il y a plein d'autres endroits à aller voir, mais je choisis cet angle-là. Donc, depuis 2023, disons, je sens... que quelque chose est en train de basculer, de se transformer. Et précisément, j'ai vraiment ce souvenir de lire un livre sur les traumas. Je te raconterai ça peut-être dans un autre épisode. Et je sens que ma colonne, en lisant ce témoignage, je sens que ma colonne vertébrale est en train de s'effondrer. Mais vraiment au sens énergétique, je sens ça. Et je n'ai jamais senti ça. Je sens en même temps que cet effondrement, derrière il y a une pensée, je vais rebâtir, je vais pouvoir rebâtir comme je veux. Et ça c'est important, le comme je veux, pas malgré, malgré les événements traumatiques, puisque si tu connais un peu ce sujet des traumas, les traumas forment des couches sur ton identité et font que tu fonctionnes d'une certaine manière qui n'est pas finalement la tienne, ta nature profonde. et donc... C'est tout ça qui fait des liens aussi avec la numérologie, parce que la numérologie est un art de la connaissance de soi, qui est très ancien, qui précède même l'astrologie, et donc qui ramène, avec les thèmes personnels, on appelle ça comme ça aujourd'hui, qui ramène à notre fonctionnement, avoir une grille de lecture particulière avec les nombres, la symbolique des nombres, à savoir qui l'on est, comment on fonctionne, comment on bouge. Moi j'aime bien dire ça, comment on bouge, parce que c'est pas statique, il y a vraiment quelque chose qui... Une fois qu'on sait quelles sont nos énergies, ce qui nous habite, en fait on peut se mettre en mouvement, et c'est ça qui m'intéresse, dans la numérologie, et dans tout, en fait, de manière générale. Donc, tu vas savoir, enfin tu le sais déjà si tu écoutes le podcast avec la numérologie, tous les mois tu as cet épisode de guidance de la numérologie, je fais des boucles et je reviens en général, en général je reviens dans mon propos. Donc j'avais envie de... Voilà, 2023, tu sauras que j'aime aussi les dates, c'est très important pour moi les dates. Je retiens les dates, je retiens les années, je retiens les événements parce que comme il y a des ressentis, je ressens quoi et ça ancre en fait quelque chose. Donc 2023, colonne vertébrale, je sens qu'elle s'effondre, je sens en même temps que je vais pouvoir la rebâtir à partir de ce que je veux, sans savoir ce que je veux en fait à cette époque-là. Et aujourd'hui je te parle, je ne sais pas encore toujours, je ne sais toujours pas, qu'est-ce qui va se passer, qu'est-ce que je veux vraiment, etc. Je laisse faire, et à mon avis, quand je dis ça, je pense avec beaucoup de résistance, beaucoup de résistance et beaucoup d'attachement à l'ancien, au connu, notamment ma casquette d'accompagnante. Voilà, qui m'habite depuis que je suis jeune, enfin depuis que j'ai, je sais plus, 23 ans. Voilà, la fin de mes études. Je rentre dans une association, je travaille dans l'insertion, je suis formée sur les pratiques autour de l'accompagnement, l'insertion sociale et professionnelle, et je commence à accompagner des personnes. Et en fait, je n'ai jamais quitté cette... Je n'ai jamais quitté ce métier. Il a beaucoup changé, c'est certain, et moi j'ai beaucoup changé avec. Ce métier m'a accompagnée, j'ai accompagné ce métier. Mais je suis restée dans le connu de ce métier alors que ce n'était pas un choix. Moi, ce que j'avais choisi, c'était de travailler autour des projets, des projets collectifs. Ça a toujours été là. Et il se trouve qu'à l'époque, quand on cherchait du boulot, il y avait beaucoup plus d'appels, d'offres sur... la partie accompagnement que sur la partie accompagnement des projets. Mais bon, ça a pu se faire et ça s'est fait comme ça. Et petit à petit, évidemment, j'ai pu faire ce que je voulais, mais il y avait toujours cette partie accompagnement. Et donc, moi, j'ai construit mon identité professionnelle à travers ce métier. Et puis après, en tant qu'entrepreneur... De la même manière, je suis restée accompagnante. Je n'ai pas changé de métier. Quand je suis arrivée en entrepreneur, j'avais déjà une longue expertise dans l'accompagnement. Je ne venais pas de faire une reconversion depuis un an. Il y a quelque chose aussi qui m'amenait une forme de sécurité. Quand on crée une entreprise, c'est déjà hyper challengeant. Si en plus on change de métier, c'est doublement challengeant. Il y a plein de personnes qui font ça, mais moi, ce n'était pas mon choix. Je suis arrivée avec cette identité-là et d'ailleurs j'en étais très fière, j'en suis toujours super fière d'ailleurs, parce que j'aime avoir eu cette expérience de terrain, cette expérience collective de l'accompagnement aussi, ce qui n'est pas le cas pour plein de personnes qui sont entrepreneurs aujourd'hui, peut-être toi qui m'écoutes, et qui accompagnent en solo mais pas forcément en équipe, donc c'est vraiment une démarche quand même très différente. Donc 2023, je sens ça. Je sens cet effondrement de ma colonne vertébrale et puis ça fait longtemps que je dis, à qui veut bien l'entendre, que je vais arrêter l'accompagnement individuel. Puisqu'en devenant entrepreneur, j'ai continué à accompagner de manière individuelle les personnes à travers des accompagnements plus ou moins longs, du one-shot, mais aussi des programmes d'accompagnement entre 3 et 6 mois. et puis j'ai commencé évidemment à développer toute la partie accompagnement de groupe, et ça, ça demandait à ce que ça prenne plus d'ampleur. Sauf que je laissais toujours ça à la marge, en fait, toujours sur les côtés, exactement comme le podcast. Voilà, tout ce qui pouvait, moi, m'enrichir, je laissais ça sur les côtés. Au milieu, il y avait l'accompagnement individuel des personnes et de leurs projets. Et c'est important, c'est leurs projets et leurs visions. J'ai accompagné la vision de ces entrepreneurs, la transformation de leur identité professionnelle. Beaucoup de personnes sont passées par chez moi pour pouvoir bouger de posture, pour passer d'une posture de thérapeute à entrepreneur. Beaucoup de personnes me disaient justement, je me rends compte qu'au bout de 20 ans, 15 ans, 10 ans, je suis aussi entrepreneur et pas que thérapeute, et pas qu'accompagnante, et pas que formatrice, etc. Il y a aussi cette casquette-là. Voilà, c'est ça qui a été accompagné, la vision aussi, évidemment, qu'est-ce qu'on veut voir dans le monde grandir, qu'est-ce qu'on veut vivre comme monde, avec qui, une vision du monde, une vision personnelle, une vision de son entreprise, comment cette entreprise sert le monde, etc. Et donc comment derrière, dans nos offres, dans notre modèle économique, tout ça, ça vient s'articuler, ça vient se concrétiser, se matérialiser. Quel prix on va mettre à nos offres si on veut tel modèle de vie, par exemple. Si on veut travailler avec tel type de clientèle, comment on peut positionner aussi son message ? Donc, toutes ces questions de la vision, de l'identité, de la vision, de la stratégie et de la mise en place de ces offres, ça, ça a été toute la partie de ce cycle de 9 ans et qui est en train de se terminer. Donc... Je vous parle de 2023 et je suis obligée de remonter à 2016 parce que 2016, c'est l'année 1 que j'ai vécu, mon année 1 personnelle. Et à ce moment-là, je décide, je suis en période de chômage, j'ai fini un contrat long dans un organisme, à l'époque ça s'appelait les OPCA, dans le milieu de la formation. et j'avais fini ce contrat en octobre 2015. On est... un an plus tard, en 2016, je suis dans cette année 1 challengeante. Bonjour à toutes les personnes qui sont en année 1 personnelle. Et il se trouve que pendant toute l'année 1, alors là, j'avais pas fait de numérologie, j'étais en inconscience totale, je passe des entretiens pour retourner dans le passé. Ce qu'il faut surtout pas faire en année 1, quoi. Donc, je passe des entretiens pour faire des jobs. On me dit, en plus, mais ça c'est du passé pour vous. C'est... C'est du connu, c'est du passé, vous allez vous ennuyer. Cette fameuse phrase, vous allez vous ennuyer qu'on vous sort en entretien. Et il se trouve que j'avais repéré une super formation au CNAM de Paris. Et une formation longue pour une forme de reprise d'études. Un master, je dis exprès avec cet accent là, master, parce que ça s'écrit avec un accent grave R-E. Voilà, master spécialisé accompagnement des entrepreneurs. Et je m'étais dit, waouh, moi j'ai envie d'aller faire cette formation, je vais à l'info collective. Et en fait, le chef de projet de cette formation, je ne sais pas, responsable pédagogique de cette formation, est vraiment charismatique. Et toute cette dimension recherche, moi c'est ça qui me manquait en fait, toutes ces dernières années de pratique. Et donc, j'assiste à l'info col, j'ai trop envie de me former, mais j'arrive en fin de droit de Pôle emploi. Je vois le prix de la formation qui est à 7 500 euros. À cette époque, j'ai du cash sur mes livrets. Et je me dis, je vais pour la première fois de ma vie investir de l'argent sur moi. Et ça, je le dis vraiment volontairement parce que je viens du milieu associatif. Je connais toutes, à l'époque, aujourd'hui je ne les connais plus, mais à l'époque, je connaissais toutes les combines pour faire valoir ses droits, pour monter des dossiers, pour demander des fonds, etc. Donc... sortir de l'argent comme ça, et surtout ce genre de somme, c'était énorme dans ma tête et dans mon switch intérieur. Il se trouve que je me dis, elle n'est pas finançable, je vais quand même monter un dossier pour le Pôle emploi, et on verra bien ce qui se passe. Je monte un dossier, vraiment béton, et en fait, la directrice du Pôle emploi d'Evry, donc du 91, où j'habitais avant, me téléphone et me dit, vous voulez combien ? C'est vraiment textuellement ce qu'elle me dit, vous voulez combien ? Et à cette époque, moi j'avais jamais réussi à négocier aucun salaire, dans le milieu associatif tu ne négocies pas de salaire, t'es souvent dans des contrats quand même précaires et mal payés, faut le dire, ça n'a pas changé en 2025, sauf pour les grosses assos et les postes de cadre, mais et encore. Donc, année 1, j'ai un choix à faire. On est en septembre 2016. La formation commence en octobre, j'ai un choix à faire et je lui dis 50%. Je n'ai pas osé dire 80, etc. J'ai dit 50%, elle m'a dit c'est ok. Et j'ai eu le virement de la moitié des 7500 euros pour payer ma formation. Je crois que je suis rentrée pile poil à la dernière date limite d'inscription au CNAM. Et c'était parti pour 18 mois avec une formation qui était à temps partiel, bien sûr. Et moi, dans mon idée, c'était de vivre ce temps de formation parce que j'avais envie de mettre mon expérience d'accompagnante en lien avec tout ce qui était lié à la recherche sur l'accompagnement et de me former à l'accompagnement des entrepreneurs. Parce que moi, j'avais cette expertise sur l'accompagnement des personnes en recherche d'emploi, des jeunes en recherche d'emploi, mais aussi des personnes en reconversion. J'avais un panel et je faisais du bénévolat aussi. J'ai fait du bénévolat à l'ADI, j'ai fait du bénévolat dans une autre association, Mosaïque RH, dans d'autres assos. Pendant que j'étais au chômage, je continuais à accompagner. J'ai jamais arrêté d'accompagner, je n'ai jamais arrêté. Et là, je me disais, moi, je veux travailler avec un autre public et pourquoi pas celui des entrepreneurs. Et donc, pourquoi pas passer par le CNAM ? Il y a toutes les têtes des réseaux, des associations qui vont passer par le CNAM et qui vont peut-être faciliter. un retour à l'emploi via ce passage-là, via ce passage en formation. Et donc déjà, j'obtiens 50%. En plus, je ne savais pas, j'obtiens aussi un prolongement de mes droits. Alors à l'époque, c'était 450 euros, mais de droits qui se prolongent. Donc passer de zéro, j'ai plus de droits, à 450 euros, c'est quand même important. et je sens que c'est un signe, moi, de l'univers, où je sens mon élan d'aller en formation. Enfin, vraiment, il y a vraiment une joie profonde à aller en formation, à aller en formation à Paris. Pourquoi je dis ça ? Parce que je vivais en banlieue, j'ai toujours vécu en banlieue parisienne, j'étais en formation, à la fac, à Paris 13, à Viltaneuse, puis à Bobigny, dans les préfabriqués. Donc, aller dans un lieu prestigieux, dans des vieux bâtiments à Paris, au plein cœur de Paris, pour moi, c'était un kiff exceptionnel. Voilà. Alors, je raconte pas l'intérieur de la formation parce que j'ai vu se rejouer tellement de trucs étranges de l'époque de l'école, enfin quand on est petit, quoi. C'était quelque chose, mais apparemment j'avais quelque chose à travailler aussi à cet endroit. Mais cette formation a été le début de mon entraînement à prendre des décisions pour moi, à partir de moi, en dehors des il faut, en dehors de toute... Comment on pourrait dire ? De toute... Donc injonction, injonction intériorisée, je parle vraiment de mes injonctions à moi et peut-être de ce qu'il y a autour de moi, mais de prendre ce risque en fait, parce que c'était un risque et je ne savais pas où j'allais avec ça, je m'étais dit juste ok on y va, on verra. Donc toutes les personnes qui sont en année 1 et qui sont en septembre 2025, c'est un mois 1 pour vous, je vous le dis, je vous le rappelle. Et puis ça veut dire que c'est un moment de décision, c'est un moment important de décision et c'est aussi pour ça que je fais cette... Cet audio, ce podcast, et que je commence, voilà, enfin à délivrer les épisodes que j'ai envie de raconter pour honorer tout ce chemin parcouru. Je vais pas vous faire les 9 et les 10 années, vous inquiétez pas, je vais pas faire ça, mais c'est juste pour vous remettre du contexte. Et derrière, qu'est-ce qui se passe ? 2017, j'arrive en janvier 2017. Je vois passer les têtes de réseau. C'est le moment où les têtes de réseau, BGE et compagnie, commencent à passer au CNAM pour se présenter à nous. Donc on a des responsables qui passent. Et là, il y a tout mon bagage et mon expérience de vie associative en tant que salarié, où chaque année, j'étais en CDI, mais chaque année, mon CDI, on ne savait pas s'il était reconduit. Donc c'est quand même un stress énorme. Il y avait cette pression-là. Et là, j'entends, en fait, dans le discours des personnes qui viennent se présenter, que les sujets financiers et les sujets politiques, parce que la politique interne ou le fait de subir les politiques étatiques par rapport à ce que les assos ont à faire et ont envie de faire, waouh, ça m'a mis un stop direct. En fait, ça m'a mis un stop. Je me suis dit, bah non, bah non, en fait, Estelle, tu vas pas. Je ne vais pas. Tu ne vas pas. Tu ne vas pas. Comment dire ? Tu ne vas pas retourner dans ces endroits-là parce que ça va être la même chose, les mêmes problèmes, la même pression. Et donc, en janvier 2017, je décide de créer mon approche, tout de suite, de créer mon approche d'accompagnement et de créer mon activité. Et je suis soutenue par la personne responsable pédagogique du CNAM de cette formation, de ce master. Je suis soutenue dans ma démarche et donc je rentre d'ailleurs dans une démarche de recherche par rapport à mon approche. Qu'est-ce que je veux amener comme approche, moi, dans mon accompagnement ? Je me sers de la formation que je suis en train de faire, non pas pour avoir des compétences pour pouvoir retrouver un emploi, être réemployable, mais pour pouvoir rechercher, en profiter de toute cette lecture, de toute cette littérature, de tous les ponts qu'on rencontrait aussi. dans cette formation des ponts de la recherche sur l'entrepreneuriat, et qui étaient eux-mêmes entrepreneurs, des professeurs qui étaient eux-mêmes entrepreneurs. Donc ça change tout aussi quand même. Et en fait, je profite de ça pour construire mon approche, et c'est comme ça qu'en janvier 2017, je me dis, ok, j'y vais, je vais dans cette direction. Et là, j'étais abonnée, voilà, à deux infolettres d'entrepreneurs, je ne sais pas comment, je ne m'en rappelle plus, deux femmes entrepreneurs. Et c'est là que je trouve une formation. Pourquoi je trouve cette formation ? Parce qu'auparavant, je vais à la CCI d'Evry et je demande à rencontrer quelqu'un. Je connais toutes les structures qui peuvent m'accompagner. Donc moi, il était hors de question que je fasse ce chemin sans être accompagnée. C'est évident. mais en fait je vais au CCI alors je sais qu'ils accompagnent pas forcément les solos mais quand même je me dis bah c'est une porte d'entrée je faisais du coworking dans la CCI enfin bref Je participais à des événements, etc. Et je rencontre un conseiller qui ne me reçoit pas dans son bureau, mais dehors. Et je lui explique. Et il me dit, mais qu'est-ce que vous voulez faire ? Vous voulez prendre notre place ? Je venais juste de lui dire que je voulais créer une activité pour accompagner les entrepreneurs solos. Et en particulier, les accompagnants et les accompagnantes. Et il me répond ça. Vous voulez prendre notre place ? Et pas en rigolant, pas en faisant une blague. Et il ne me reçoit pas, je n'ai pas de rendez-vous en fait. Et donc je pars de là et je me dis, waouh, la CCI c'est quand même un endroit où, enfin je veux dire, c'est ultra financé et ça accompagne plutôt des PME, plutôt de l'industrie, de la tech en fonction des territoires. Donc non, je ne suis pas une concurrente, voilà. Donc bref, tout ça fait que j'arrive parmi mes newsletters sur une formation. d'entrepreneurs solos, spécifiquement solo, d'accompagnante. Ça coûtait 450 euros. C'était en ligne. C'était la première fois que je voyais ça. Et c'était une femme qui a été formée au bilan de compétences. Donc moi, ça me parlait, les bilans de compétences. Qui a eu plusieurs métiers, qui se reconvertit, qui a créé son activité. Donc pour moi, il y avait tout. C'est-à-dire qu'elle incarnait ce qu'elle disait. Donc ça, c'était important pour moi. Et évidemment, elle avait déjà... Enfin, elle avait à l'époque cette appétence pour... le tarot et la symbolique du tarot. Et donc moi, qu'elle gardait peut-être un peu cachée à cette époque-là, mais moi, évidemment, ça me parlait tout de suite. Et donc, je me rappelle encore du soir où j'ai appuyé sur payer. Le stress que j'ai eu, j'ai envoyé je ne sais pas combien d'emails pour m'assurer que mon paiement était passé, que je n'avais pas fait une erreur, etc. Parce qu'en 2017, ce n'était pas aussi courant que ça que d'acheter des choses en ligne. Et je n'ai jamais regretté. J'ai jamais regretté, le chemin avait commencé. Voilà, je voulais vous raconter ce passage-là de 2016 et vraiment où tout se joue, quand on est en année 1, tout se joue, j'ai envie de dire tout se joue, entre septembre et janvier. Il y a quelque chose, je vous parle tout le temps du sas de l'automne, mais c'est ça le sas de l'automne et c'est pour tout le monde. Je dis que pour l'année 1, mais parce que... Parce que c'est spécifique une année une, parce qu'elle suit l'année neuve de clôture, de clôture, et on passe encore neuf mois dans l'année une à clôturer, on sent les graines qui arrivent, mais voilà, c'est pas totalement là. Et donc, 2025, je suis en année une encore. Et je me rappelle de tout ça seulement en septembre, voyez-vous. Donc c'est pas tout le temps dans la conscience, on vit les choses, on vit sa vie, on n'est pas tout le temps collé aux grilles de lecture auxquelles on est formé, mais... Là, c'est l'occasion de vous en parler. Donc le chemin commence, 2017, avec toutes les rencontres décisives de cette année 2017, qui sont toujours là dans le champ, et ça c'est ultra précieux. Voilà, je voulais vous parler de cet élan qu'on ressent de manière vitale et viscérale, et parfois on n'est pas dans les bonnes conditions, on n'a pas les bons moments, on n'a pas toutes les conditions réunies. Mais c'est parce qu'on fait le choix que derrière, il y a quelque chose qui se présente en fait. Et je n'ai jamais regretté d'être entrepreneur. Je n'ai jamais voulu retourner dans ma vie de salarié. Et c'est ça dont j'ai envie de vous parler aussi, parce que je me suis rendu compte que 2025 était une année anniversaire. Une année anniversaire. de ça fait dix ans que je ne suis pas salariée, que je ne suis plus salariée. Et je me suis rendue compte aussi toutes ces années que, en fait, jusqu'ici, jusqu'ici, jusqu'en 2025, jusqu'en septembre 2025, j'avais toujours un pied dans ma vie de salariée. J'étais toujours reliée à cette identité. C'est là que j'en viens. Vous avez vu ma longue boucle ? Quand ton identité change, ta pratique se transforme aussi. Mais c'est ça, en fait, dont j'ai envie de vous parler, parce que... En fait, j'étais tout le temps dans cette vie salariée, très reliée aux manifestations sociales, parce que militantisme, etc., depuis que je suis jeune. Et en fait, j'étais tout le temps reliée à ça. En tant qu'entrepreneur, je suis plus au courant de ce qui se passe pour les salariés, pour les retraités, sachant que moi-même, je ne sais même pas si je vais avoir droit à une retraite. Si vous faites partie de cette génération, on vous a toujours dit, enfin moi en tout cas à partir de 15 ans on m'a dit ah au lycée qu'il n'y a pas de retraite pour ma génération. Mais je ne sais pas, j'étais plus au courant, plus informée que par rapport à mon statut d'entrepreneur, par exemple, et tout ce qui peut se passer comme changement, loi et compagnie. Eh bien, ça, je me suis rendue compte là, dix ans après, que, ah, waouh, en octobre, ça fait dix ans que je ne serai plus salariée, que je ne suis plus, c'est bizarre, parce que je n'arrive même pas à exprimer cette phrase. En octobre 2025, ça fera dix ans que je ne suis plus salariée et je n'ai jamais voulu retourner dans le salariat et pas parce que je déteste, pas du tout. J'adore, j'ai adoré ma vie de salariée. Vraiment, et je crois que c'est pour ça que c'est parce que je l'ai adoré que par rapport à tout ce que j'ai appris, même s'il y avait beaucoup de difficultés, notamment relationnelles, quand je changeais de boulot, etc. C'est très compliqué pour moi. Mais j'ai adoré tout ce que ça m'a appris, comment ça m'a fait grandir, etc. Voilà. Et donc, je pense que je suis restée aussi attachée à cette image-là, etc. Et je pense que j'ai gardé comme un pied dedans, comme une identité rassurante à laquelle je tenais, à laquelle je tiens encore. Mais je sens que 2025, il y a comme... Et ça, je ne pouvais pas le deviner avant de le vivre. Il y a un appel à quitter cette identité. Quitter cette identité du passé, lui dire au revoir, la regarder, l'honorer, mais vraiment en conscience du coup, et pas rester attaché, être entre deux. Moi aujourd'hui, cette année 1 2025, elle m'a permis de dire, j'ai pas de plan B. L'entrepreneuriat c'est mon plan A, si je parle que de professionnel. C'est mon plan A. Non, il n'y a pas de plan B, de retour au salariat, de je ne sais pas quoi. Et ça, en fait, je pense que je l'ai gardé comme ça, mais vraiment de manière très inconsciente. Parce que j'accompagne des personnes qui ont eu besoin de retourner dans le salariat. Et comme je connais le salariat, je suis capable d'aller expliquer comment chercher un job, comment vivre un entretien, comment le passer, comment lider un entretien d'embauche, etc. Donc ça, je l'ai fait aussi longtemps en tant qu'entrepreneur. j'ai accompagné au tout début des gens dans les 3-4 premières années, des personnes en reconversion, et donc qui étaient encore salariés, ou des entrepreneurs qui avaient envie d'avoir un pied dans l'entrepreneuriat et un pied dans le salariat, parce que c'est comme ça qu'ils vivaient leur aventure professionnelle. Donc moi, c'est quelque chose que je kiffe, le côté hybride. Mais en ce qui me concerne, l'hybridité ne se situe pas là. Elle ne se situe pas dans les statuts. Pour moi, le plan A, c'est l'entreprise. l'entrepreneuriat et je pense qu'en ayant un pied encore dans le salariat, je me mettais un caillou dans la chaussure, mais quelque chose qui n'était pas totalement décidé, qui n'était pas totalement dans le plein parce que j'étais reliée à une identité du passé et certainement aussi en accompagnant mes clientes sur ces sujets, peut-être que ça me ravivait en plus cette identité-là. Donc ça, c'est quelque chose que je... Voilà, qui est décidé aujourd'hui où je sens que, ok, j'ai une porte à fermer. On est en année 9 2025, on ferme des portes. On ferme des portes et on les ferme vraiment. On ritualise limite la fermeture de ces portes parce qu'il y a besoin d'honorer quelque chose en fait à cet endroit-là. Donc oui, une identité, ça colle à la peau plus longtemps qu'on ne le croit et en plus, ça influence nos choix, nos stratégies, même quand on pense l'avoir quitté. Donc euh... Pourquoi je vous parle de 10 ans ? C'est parce que moi, je pensais que j'avais quitté cette vie de salarié. Enfin, dans les faits, je l'ai quitté. Je ne vis plus cette vie de salarié, avec tous ces rituels d'ailleurs. Il y a beaucoup de rituels dans la vie de salarié. Et en fait, je sens que ça a influencé ma vie d'entreprise, ma vie d'entrepreneur, toutes ces années, depuis 2017. Donc oui, une identité, ça colle à la peau. En fait, ça nous habite, c'est pas que ça colle à la peau, ça nous habite, et ça peut influencer nos choix et nos stratégies, et sans qu'on en ait conscience, alors qu'on pense que c'est terminé dans les faits. Et c'est ça qui est monté à ma conscience, là, en 2025. C'est une année, justement, de bilan, donc les choses anciennes, les deuils qui n'ont pas été faits, en fait, ça remonte, ça remonte à notre conscience. Alors là, je vous parle de professionnel, mais évidemment que ça peut parler d'autre chose. Je ne vais pas partir sur une guidance parce que je n'étais pas là pour ça, mais je peux glisser sur la guidance. Donc, qu'est-ce que je voulais vous raconter d'autre ? Cette notion de numérologie, c'est pourquoi je vous parle de date, d'année 1, etc. C'est pour vous parler de la numérologie. Je me suis aussi rendu compte que le soutien que j'ai eu cette année pour changer, pour oser changer, pour m'accompagner dans mes changements. Il n'y a pas que ça, évidemment. Je vous ai dit, je prends un angle là pour éviter de faire des podcasts qui durent 5 heures et je vais faire un autre angle, je vais traiter un autre angle, celui de la thérapie, la démarche thérapeutique, dans un autre épisode. Mais là, je voulais traiter la numérologie et j'étais obligée de vous raconter un peu ma vie. Et donc, la numérologie est venue m'aider, moi, avec toutes ces 5 ou 6... C'est six années de pratique depuis 2019 de la numérologie. Je suis formée à la numérologie créative et... En fait, à force de faire des thèmes pour les autres, accompagner les autres dans leur vision grâce aussi à la numérologie, il y a une expertise qui se développe sur cet art-là. Et puis, vous le savez, quand on entre dans une formation, en plus, la personne qui m'a formée, on avait développé un lien de confiance. Je l'ai accompagnée même à une époque de son processus. Donc voilà, il y avait un lien quand même qui était là. et donc je... J'avais quand même une forme de loyauté par rapport à sa manière de pratiquer, mais aussi à sa manière de vendre les séances, etc. Et donc, j'ai très vite senti qu'il fallait que je sorte de ça, de cette loyauté qui était une fausse loyauté quelque part, parce que pour moi, ce qui était important, c'était de respecter les enseignements, le contenu des énergies, en même temps que de les sentir et de faire du lien. Donc toute cette pratique que j'ai eue auprès de vous, ça m'a permis en fait de mettre... beaucoup d'exemples derrière les nombres, de ne pas parler en théorie. J'ai horreur de parler en théorie, de parler de l'énergie des nombres, mais derrière, j'ai beaucoup d'exemples à chaque fois, quand je parle du 1, du 2, etc., des exemples très concrets de changements que les gens ont pu faire ou des défis qu'ils ont pu vivre. Et ça, c'est super important. Et à un moment donné, 2024 arrive et ça faisait longtemps que je disais, je reviens sur ce sujet, que je voulais arrêter l'accompagnement individuel parce que ça prenait trop de place. trop de mon temps, trop de mon espace mental, mais aussi par rapport au fait d'être assise, d'être assise, ayant une maladie chronique qui, on va dire, c'est pas que ça m'empêche de m'asseoir, mais être assise longtemps n'est pas bon pour moi, eh bien, j'avais envie de... Il y avait plusieurs facteurs qui font qu'il fallait que ça s'arrête. Et c'est intéressant parce que... Mon dernier accompagnement individuel, c'est une personne justement qui recherchait un boulot. C'est intéressant. La boucle pour moi, c'est bouclé là. Et ça a été le dernier accompagnement en décembre 2024 qui s'est arrêté où je n'ai plus proposé d'accompagnement individuel. Donc clairement, ça a été intéressant parce qu'il y a des personnes, des anciennes clientes, des clientes qui m'ont demandé, mais tu ne fais plus ça. Il y en a plusieurs qui sont, tu ne fais plus ça, etc. Et en fait... Ça a été le défi, c'était justement de ne pas tomber là-dedans, de ne pas moi-même revenir en arrière. Ce que j'avais fait en 2024, j'avais décidé d'arrêter, puis je revenais, je réacceptais, etc. Et il y a eu une dernière tentative, mais j'ai trouvé une combine. Ça, c'était début de l'année 2025. Donc la numérologie m'a accompagnée à ça, à faire ces changements. à identifier qu'il y a ça qui est en train de se passer, justement, à sortir de la théorie, à voir pour moi, et pas que pour les autres, qu'est-ce qui était en train de se passer. Et donc, ça m'a soutenue, ça a amené de la sécurité. En fait, c'est ça que ça fait. C'est une grille des lectures qui amène une forme de sécurité, une forme de soutien, surtout quand on est solo, quand on est solo entrepreneur. Et, en fait, ce que je n'avais pas vu, c'est qu'en arrêtant, les accompagnements individuels. J'ai aussi arrêté de faire des séances one-shot de numérologie. Ça, ce n'était pas prévu, mais j'ai arrêté. Et l'été 2025 m'a permis de changer de pratique. Donc, c'est pour ça, je reviens sur ce titre, quand ton identité change, ta pratique se transforme aussi. En fait, mon identité... d'accompagnante. Le fait d'avoir arrêté en décembre 2024, c'est pas du tout anodin. J'ai pas fini en fait de processer avec cet arrêt. Je n'ai pas tiré les leçons. Je n'ai... Voilà, la vie continue et je n'ai pas pris un temps d'arrêt encore. Et c'est aussi pour ça que je fais ces épisodes solo. C'est parce que je sais que moi, j'ai besoin de transmettre pour pouvoir faire les choses, pour moi. Voilà, c'est le fait de transmettre qui fait que ça agit pour moi. Donc c'est bidirectionnel, on pourrait dire. C'est quelque chose qui est important pour moi et que j'ai besoin d'honorer. Donc je l'honore avec vous. Et j'espère que tout le message de cet épisode est suffisamment clair. Parce que vous le savez, je fais les choses de manière structurée. Mais là, j'ai structuré et puis j'ai décroché. Je vous le dis. Donc quand ton identité change, ta pratique se transforme aussi. J'ai envie de le dire parce que c'est ce qui peut faire. peur quand on change d'identité professionnelle et personnelle, évidemment. On ne le sait pas. Déjà, on ne le sait pas. On ne sait pas que c'est ça qui est en train de se passer, je vais vous le dire. Moi, je découvre là. Je découvre là en septembre. Je découvre avec vous. Donc, on ne sait pas que c'est ça qui est en train de se passer. Et moi, j'avais plutôt repéré que ma pratique se transformait, vous voyez, parce que c'est extérieur à soi, donc c'est beaucoup plus facile de repérer que sa pratique était en train de se transformer, et surtout quand on a l'habitude qu'elle se transforme. Donc, dans ce chemin-là, ma pratique de numérologue, elle sait, elle est en train de se transformer, elle se transforme, et j'ai eu beaucoup de questionnements avant de dire, je vais proposer Echo, donc un podcast audio privé de numérologie. qui va remplacer les séances individuelles en face à face. Ça ne s'est pas fait comme ça, en manière hyper fluide. Il a fallu décider et balayer les syndromes d'imposteurs ou de je ne sais pas quoi, pour pouvoir passer ce cap-là. Les premiers retours ont validé la proposition et l'offre, évidemment, et moi je suis en train déjà de penser à d'autres thèmes. de écho, parce qu'il n'y a pas que la cyclicité en numérologie, comme je vous le disais, il y a toute la notion autour de la nature profonde et de l'identité, et il y a aussi un autre plan qui est la démarche projet, comment dérouler un projet. Donc tout ça, j'ai envie de pouvoir le créer en format audio, et j'ai vu à quel point le format audio était privé, privatif, était très apprenant, transformateur, soutenant. pour les entrepreneurs qui l'ont commandé. Donc ça, c'est vraiment une information que j'ai eue. Et ça, c'est... Pourquoi je vous dis ça ? Parce que ta pratique se transforme, ton identité se change, ta pratique se transforme. Ouais, mais elle se transforme pas comme ça. Elle se transforme parce qu'on va sur le terrain, parce qu'on est entrepreneur, parce qu'on lance les choses, on lance, on ajuste, on réitère, on refait, on parle aux gens, on pose des questions. Et donc, c'est ça aussi, l'identité d'entrepreneur que j'ai envie d'habiter pleinement. c'est-à-dire que Il ne s'agit pas de supprimer l'identité d'accompagnante, je ne sais pas quelle identité est en train de se créer, professionnellement parlant, je ne peux pas vous dire. Est-ce que je suis en train de passer d'accompagnante à X ? Je ne sais pas en fait, qu'est-ce qu'il y a derrière le X ? En fait, c'est en train de se faire, je ne cherche pas d'ailleurs à savoir et à définir à tout prix, mais c'est en train de se faire. Et c'est en train de se faire parce que l'entrepreneuriat me permet en tant que véhicule de pouvoir mener ces changements. et utiliser cet espace comme un laboratoire d'expérience, tout simplement. Donc, ma pratique de numérologie, je ne savais pas qu'elle allait changer. Elle est en train de changer, et elle est en train de se transformer, et je pense qu'elle est aussi en train de monter en puissance. Parce que quand les gens reçoivent un audio condensé de ce que je raconte, pour eux, pour elles, en fait, il n'y a que eux et elles qui sont face à face en train d'écouter le son. Et c'est ultra puissant en fait comme moyen de transformation. Et ça, je ne l'avais pas mesuré. En fait, j'ai créé ce que moi aussi j'aurais voulu recevoir parce que parfois, on n'a pas besoin d'avoir une séance. On n'a pas besoin de parler, d'échanger, d'écouter l'autre. On n'a pas besoin de parler soi-même. On a besoin de recevoir et d'être très attentif à ce qu'on reçoit. Donc, c'est aussi une manière d'être concentré, de retrouver peut-être une forme de concentration, de ne pas diluer de ne pas se diluer ou diluer son attention, ou peut-être quand on n'a pas d'énergie aussi, dans la relation. Je suis une très grande fan du sujet de la relation, c'est ce que je travaille aussi depuis des années, quand on est accompagnant, de toute façon je ne vois pas ce qu'on travaille d'autre. Et à un moment donné, c'est comme si justement il y avait de la place pour autre chose. Et ce autre chose, c'est ce sujet de la voix, que je suis en train de mettre au centre, sans savoir où est-ce que ça m'emmènera. Mais c'est ça qui est en train de prendre place, donc ma voix VOIX et ma voix VOIE, c'est-à-dire derrière cette posture d'accompagnante, je pourrais même dire ce masque d'accompagnante, qui se cache là-bas ? Et donc, peut-être vous-même, vous avez des réponses. Nous sommes en pleine enquête. Donc, je suis en pleine enquête, en pleine enquête. Et je ne le prends pas comme une... Et c'est ça, la force aussi, quand vous êtes entrepreneur, c'est que tous ces changements... qui sont là et qui se présentent à nous sont des opportunités pour grandir, pour s'expandre en tant qu'être humain, pour prendre de la place dans l'espace public. C'est ça, en fait, qui se passe. C'est vraiment le jeu, en fait. Et donc, voilà, j'avais envie de vous parler de ce sujet, de cette pratique juste de la numérologie. Je suis vraiment... J'essaye d'être très dans l'angle. Vous voyez comme quoi j'arnaque aussi le truc parce que j'essaye d'être dans un angle, mais je... j'en profite pour faire des tas de boucles, parce que pour moi, s'il n'y a pas de contexte, et déjà j'ai l'impression de mettre très peu de contexte, euh... Je trouve ça compliqué à comprendre et à entendre. Donc, quand votre identité, quand ton identité change, même tu t'en rends pas compte, regarde comment ta pratique est en train de changer, parce que c'est elle peut-être qui te donne de l'information. Et c'est non seulement normal, mais c'est aussi nécessaire. Dans un monde en mouvement, dans un monde en chaos, on ne peut plus avoir 20 ans de pratiques identiques. Plein de gens font dans le milieu de l'accompagnement qui pratiquent la thérapie de la même manière, le coaching de la même manière, la PNL et que sais-je, et l'hypnose et que sais-je, de la même manière, la facilitation, la constellation, de la même manière. En fait, il y a des méthodes, il y a une essence derrière tous ces arts d'accompagnement, c'est certain, mais il y a besoin que des personnes qui exercent ces métiers-là aient une identité qui soit extrêmement affirmée, positionnée, qu'elle soit... claire aussi cette identité. Ça, c'est le mouvement qui est en train de se passer chez les accompagnantes et les accompagnants pour moi, à mon sens, qui vont rester dans le game, c'est les personnes qui ont une identité qui est affirmée et qui est claire, qui ne sont pas cachées derrière une approche, qui ne sont pas cachées derrière « je suis numérologue » , qui ne sont pas cachées derrière « je suis coach, je sais pas quoi » ou « je suis hypnothérapeute » et c'est tout. Non, non, non. Ça, c'est les besoins aussi de nos clientes et de nos clients. des gens qu'on accompagne vont avoir besoin de savoir qui on est, autant que savoir que vous avez une expertise béton et qui évolue. Vous voyez, il y a besoin que tout ça avance en même temps, en fait. Et ça, ça va être important. Ça, c'est ma vision à moi. Et ça ne veut pas dire que ça va se passer demain. Évidemment, c'est les prochaines années, mais tout va très vite. Vous remarquez aussi que tout va bien plus vite parce qu'aussi, justement, on est dans cette... période où on a besoin d'avoir des personnes qui soient debout, qui soient présentes à elles et à eux et qui soient présentes au monde, tout simplement, pour pouvoir accompagner les changements du monde. On est là pour ça, quand on accompagne. On n'est pas là pour reproduire les systèmes. Donc, voilà, je voulais vous parler de tout ce qui s'est passé, voilà, dans cette... dans cette... comment dire... dans cette période. Je ferai d'autres épisodes certainement plus... court et plus structuré. Mais là, c'est un épisode d'intro pour annoncer les sujets de ce qu'il allait se passer sur ce podcast solo, sur cette saison qui sera dédiée, une partie de la saison qui sera dédiée à mes aventures d'entrepreneur, à tous mes changements en cours et à venir, et documenter, documenter, ritualiser avec vous, de manière distanciée, à l'audio, dans vos oreilles. Ce qui est en train de se passer. Je vous invite à faire la même chose, peut-être que ce sera plutôt par écrit pour vous, mais on a besoin aussi de documenter ce qu'on est en train de vivre, de ce qu'on est en train de faire, et de pouvoir honorer en fait ce chemin, parce qu'il n'est pas simple du tout, il n'est pas facile. Nous sommes des pionnières et des pionniers dans ce chemin-là, d'entrepreneuriat solo, d'accompagnants, d'accompagnantes, des activités en ligne et puis en présentiel. en collectif, en individuel, on invente nos métiers, on a des positionnements forts, des engagements forts, on a besoin d'avoir des rôles modèles, mais en fait on est soi-même le rôle modèle, on a besoin de s'entourer, on a besoin de soutien, c'est le mot soutien, ressources qui sont importants, quelles sont les ressources pour accompagner ton mouvement, c'est vraiment la question, t'es en train de vivre ce mouvement là, quelles sont tes ressources, de quoi t'as besoin pour être soutenu ? Et donc c'est là que je te balance ECHO bien sûr, séquence promo, donc tu peux acheter l'audio ECHO dans tous les liens, tu verras ECHO, donc c'est un podcast privé en ce moment là, sur cet automne, sur la cyclicité, le switch de l'automne, qu'est-ce qui est en train de se passer entre septembre, octobre et toute la période septembre, décembre, parce que c'est la fin de l'année 2025 et le début de l'année 2026 avec toutes les invitations qui arrivent pour toi de manière précise. et je réponds à tes questions. Je ne fais pas un audio dans le vent. Quand tu vas sur le lien Calendly, tu as des questions et tu es invité à poser tes réflexions de manière précise pour qu'il y ait un dialogue qui se crée et que je crée dans l'audio pour toi. C'est ça la touche. Ce n'est pas juste de mettre j'ai une question sur c'est quoi ma voie professionnelle. Non, c'est des choses beaucoup plus poussées et avancées. Je m'adresse ici à des entrepreneurs matures qui ont expérimenté, qui ont fait des changements dans leur vie et des changements dans leur entreprise. Donc ça, c'est éco. Et si tu veux venir à un rassemblement, évidemment, d'entrepreneurs pour te mettre dans l'ambiance et pour pouvoir aussi avoir un espace pour vivre aussi peut-être tes clôtures. Et oui, parce que ce n'est pas simple de vivre ses clôtures en solo. Et peut-être qu'autour de toi, personne ne te comprend pourquoi tu veux arrêter ça alors que ça fonctionne de fou. Donc ça, c'est aussi des messages que j'ai pu entendre. Il y a des choses qui ont fonctionné. Je vous parlerai aussi de ce que j'ai arrêté, qui est quand même très costaud. mais si t'as besoin de vivre Tu as besoin d'un espace pour vivre tes transformations, pour vivre tes clôtures, mais aussi du coup tes ouvertures et qu'on soit soutenant autour de toi. Viens dans Vortex Business, c'est le format qui en intimité en plus, il y a deux dates, deux créneaux, donc le 24 septembre à 14h30, le 25 septembre à 9h30. Il reste des places sur les deux créneaux, on est en groupe très intimiste, entre leaders, entre entrepreneurs matures. expérimentés qui avons besoin de vivre ces transformations et je vais accompagner ça en présentiel en ligne, en ligne, en ligne sur Zoom, pardon, et donc je ne sais pas quand est-ce qu'il y aura d'autres prochains rendez-vous, donc c'est le rendez-vous de la rentrée des entrepreneurs n'attends pas pour prendre ta place vas-y, et puis je t'attends de l'autre côté, on se retrouve pour un prochain épisode, n'hésitez pas à me dire Bien sûr, vous le savez, j'adore les feedbacks, les retours, donc j'ai pas prévenu que j'allais faire cet épisode, donc allez-y, dites-moi si ça vous a parlé, comment ça vous a parlé, qu'est-ce que vous-même vous êtes en train de vivre, est-ce qu'il y a des résonances que vous avez entendues ? La prochaine fois, l'épisode sera plus structuré, plus court, même si j'ai beaucoup de choses à raconter, parce que comme j'ai attendu, forcément, les amis, j'ai attendu, j'ai attendu, donc forcément, il y a de la matière, il y a beaucoup de matière, comme dirait... ma consoeur Cindy. Je vous prépare ça. J'espère que cet épisode vous a plu. N'hésitez pas à le partager aussi, mais à me faire des retours surtout, parce qu'à le partager si vous avez envie, et à me dire ce que vous en avez pensé. Je vous dis à très bientôt.