Speaker #0Alors effectivement, avant tout, je suis ravi d'être avec vous aujourd'hui pour ce nouvel épisode. Et effectivement, les défis des entrepreneurs dans notre contexte, là où je vous parle, au mois d'octobre 2024, particulièrement en hausse en fait, les défis sont en train de s'amplifier. Pour un petit rappel, depuis 4 ans, 5 ans maintenant, les entrepreneurs sont soumis à rude épreuve comme beaucoup. beaucoup de monde, mais les entrepreneurs particulièrement, parce qu'il s'agit de piloter des entreprises dans un contexte à la fois changeant, houleux, et l'agilité aujourd'hui est une compétence qu'il est nécessaire d'acquérir. Alors, qu'est-ce qui se passe aujourd'hui et pourquoi les défis des entrepreneurs sont importants avec toutes les équations qu'il faut résoudre ? C'est que plus que jamais, quand on pilote une entreprise, on doit tenir compte de son environnement. Et l'environnement, si on retrace rapidement, je ne vais pas tout détailler parce que vous connaissez l'historique des quatre ans, mais rappelons quand même qu'on a eu le Covid, de l'inflation, des guerres en Ukraine et aujourd'hui au Proche et Moyen-Orient. Ensuite, de l'inflation, baisse du pouvoir d'achat, des tensions géopolitiques. Tout concourt à complexifier les choses parce que tout a un impact dans ce monde. totalement globalisée dans cette mondialisation dans laquelle nous sommes bien loin et le temps où chaque pays gérait dans son petit coin ses finances et finalement sa population. Tout est interconnecté. Et donc tout ce qui se passe dans le monde nous affecte et donc affecte nos économies. Et par rapport à tout ça, en fait, on va voir qu'en France, on a une situation quand même qui est particulière, même si en Europe, on a un certain tassement de la croissance et un essoufflement. à part quelques pays, mais en fait, en France, nous avons une conjoncture, un contexte très particulier qui fait que les entrepreneurs n'y voient pas clair par rapport aux règles du jeu. Les règles du jeu sont énoncées par les pouvoirs publics qui disent les règlements, les lois, mais aussi la fiscalité. Le contexte avec cette situation financière de la France qui inquiète beaucoup de monde, beaucoup d'entrepreneurs, beaucoup de personnes, il n'y a pas que les entrepreneurs. qui se disent Waouh, mais si on gérait nos entreprises comme ça, qu'est-ce qui se passerait ? On irait tous au dépôt de bilan. Et c'est vrai qu'inconsciemment, depuis quasiment un an, et avec une accélération croissante depuis maintenant 4 mois, 4-5 mois, avec la dissolution de l'Assemblée nationale, et les découvertes qu'on trouve sur les finances de la France et sur la situation de la France, inquiètent beaucoup. Et du coup, quand les gens sont inquiets, sachez que l'entrepreneur, vous le savez bien, il aime avoir... plus de certitude possible. Et là, en fait, nous sommes en pleine incertitude par rapport à ce qui va advenir dans le futur. Et pourtant, nos entreprises, il faut les piloter. On peut dire qu'on est passé d'un monde Vika, vous avez peut-être entendu ce mot, volatile, un certain complexe ambigu, à un monde qu'on appelle Fanny, qui est fragile, qui est anxiogène, qui est non linéaire et qui est incompréhensible par... Beaucoup.
Speaker #0Oui, alors c'est vrai que depuis, en danse, juste avant le Covid, 2019 et vraiment 2020, 2021, 2022, etc., ça a été nion. quasiment le million d'entreprises créées par an, ce qui est assez incroyable. Alors, c'est vrai que dans l'accélération des défaillances d'entreprises, on va trouver des entreprises jeunes, mais on va aussi quand même trouver dans les défaillances d'entreprises qui va être un record en 2024, des ETI, des PME, etc. Qu'est-ce qu'on peut conseiller par rapport à ça ? L'entrepreneuriat a le vent en poupe parce que les gens veulent trouver du sens en se réalisant en créant des entreprises. Mais aujourd'hui, pour ceux qui créent et ceux qui pilotent, Définir un projet clair, une préparation claire, permet de pouvoir augmenter ses chances de réussite. Et si je devais donner dix points clés sur ce podcast, c'est un peu l'enjeu. Comment être en mesure de résoudre toutes les équations que l'entrepreneur doit solutionner. En fait, pour rappel, c'est comment... piloter son entreprise de manière pérenne, comment générer du cash, de la rentabilité et surtout du plaisir. Aujourd'hui, je vois trop d'entrepreneurs sous stress, d'entrepreneurs inquiets, d'entrepreneurs proches du burn-out. Donc cette notion de plaisir est vraiment importante. Alors, les 10 points que je vais vous énumérer, c'est non exhaustif, mais c'est vraiment 10 points centraux qui me paraissent vraiment fondamentaux dans la conduite de son affaire. Le premier point. Moi, je me base, j'aime bien cette phrase de Sénèque, il n'y a pas de vent favorable pour celui qui ne sait pas où il va. Qu'est-ce que ça veut dire ? Ça veut dire que si je n'ai pas une vision claire de ce que je veux, de ce que je veux pour rendre de mon entreprise, de mon équipe, je vais avoir des difficultés à définir un cap. Et si je n'ai pas de cap, c'est un peu l'idée du titre de ce podcast, gardons le cap, c'est vraiment ce leitmotiv. Si je n'ai pas de cap, j'arrive nulle part. et je suis en errance. Et un entrepreneur en errance n'a plus de sens, n'a plus de motivation et il ne peut pas fédérer une équipe. Donc, premier point, définir une vision claire qui va permettre de définir un cap, qui va permettre de définir des objectifs, des sous-objectifs et ensuite, nous pourrons amener une stratégie pour arriver à ce cap et puis ce cap, bien entendu, il peut être modulé en fonction du contexte changeant. Deuxième point, c'est en fait comprendre le contexte. dans lequel nous sommes. Il évolue très vite. Et je vais vous le dire souvent, être accompagné par des experts permet aussi de mieux décrypter ce contexte, de manière à pouvoir avoir le geste juste, l'action juste et la révision de son cap ou de sa stratégie. Rien n'est figé, les amis. Rien n'est figé. Puis surtout, les règles du jeu. Alors, les règles du jeu de l'entrepreneuriat, c'est quoi ? Comment nage-t-on dans ce bassin entrepreneurial pour garder le cap ? En fait, c'est très simple. Il y a des règles écrites, législatives, le droit social, le droit des affaires, etc. Je ne vais pas tout détailler, bien sûr, les règles du jeu sur la fiscalité, mais aussi il y a des pratiques. Et celles-ci, nous les découvrons au fil de l'eau parce que les pratiques changent en fonction du contexte. Et pour cela, il faut avoir l'expérience et surtout pouvoir décrypter les manières de faire. Exemple aujourd'hui, nous sommes à nouveau dans un contexte où les impayés se redéveloppent, comme dans les années 2009-2014. Donc faisons attention à ce que nous nous faisons payer avec des délais, beaucoup plus de méfiance dans les affaires. Une autre règle à prendre en compte, c'est que les comportements des collaborateurs sont beaucoup plus changeants qu'avant. Il y a de l'instabilité, ça ne veut pas dire que les collaborateurs sont mauvais ou autre, mais il y a des aspirations différentes. Nous devons en tenir compte en tant que... qu'entrepreneur ou futur entrepreneur. Par rapport au contexte et aux règles du jeu aussi, c'est son marché, comment évolue-t-il ? Quelle va être l'évolution ? Quel va être le futur de notre marché ? Et anticiper des produits, des services qui vont pouvoir satisfaire les besoins futurs de nos clients. Il y a les besoins d'aujourd'hui et il y a les besoins futurs de nos clients. Ne faisons pas comme si rien ne changeait, comme je le vois chez certains. Et inévitablement, ça amène à des difficultés. Troisième point qui est vraiment important, c'est savoir tout. tout le temps où nous en sommes. Ça veut dire qu'on a du mal à aller quelque part si on ne sait pas d'où l'on part et si l'on ne connaît pas notre potentiel. Savoir où nous en sommes, ça veut dire mettre en place des tableaux de bord, ce qu'on appelle aujourd'hui des KPI, sur la situation financière, sur la situation commerciale, sur la qualité, sur tous les ingrédients qui font qu'on va pouvoir apprécier ce qu'est l'entreprise à un moment donné. Elle évolue tous les jours. et avoir des tableaux de bord qui permettent de donner une vision sur la santé de l'entreprise, c'est aujourd'hui fondamental. L'entrepreneur, c'est comme un sportif de haut niveau, il doit savoir où il en est tout le temps, de manière à pouvoir adapter son pilotage et à prendre des actions correctrices. Puis surtout, j'ai envie de dire, où en est notre trésorerie ? Ça, c'est le quatrième point, se mettre en situation de toujours avoir du cash. C'est-à-dire que dans notre pilotage et dans notre stratégie financière, se dire que... on n'autofinance pas nos investissements, nous les finançons par du credit buy, du credit classique, par l'entrée d'investisseurs, etc. En tout cas, en sorte de ne pas autofinancer nos investissements et notre développement. Et par contre, autofinançons notre exploitation, les charges courantes de l'entreprise et le besoin en fonds de roulement. J'aurai l'occasion d'y revenir dans d'autres podcasts. Sans trésorerie, on va... au redressement judiciaire, voire en liquidation. Et sachez aussi qu'il existe dans les règles du jeu des systèmes qui permettent pour les entreprises en difficulté de pouvoir prendre des mesures. Je vais lister le CCSF, le mandat ad hoc. Évidemment, vous pouvez m'interroger pour avoir plus de compléments sur ces aspects-là. Je ne vais pas les détailler aujourd'hui, c'est très technique. Le cinquième point, c'est qu'en fonction... de sa situation, effectivement, on peut freiner son développement, on peut faire l'achat sous charge inutile, mais on peut aussi être en mesure, si tout va bien, de ne pas rester dans le statu quo, mais de voir comment continuer à prendre de l'avantage, croître, pourquoi pas être en veille pour acheter des entreprises, pour faire des économies d'échelle, pourquoi pas se diversifier, pourquoi pas élargir son territoire géographique. En tout cas, à chaque situation, il y a une réaction à avoir par rapport à ce que l'on souhaite et par rapport à là où on en est précisément. Le sixième point, j'en ai parlé au tout début de notre podcast, il est important aujourd'hui d'introduire des compétences d'agilité dans son entreprise, donc agilité dans son pilotage, agilité dans son management et s'équiper de collaborateurs agiles. Pourquoi ? Parce que dans un environnement qui est houleux, qui est changeant, qui est la vérité d'aujourd'hui, n'est pas celle de demain. Et nous le voyons bien. Regardez, par exemple, il y a deux ans, c'était le démarrage de l'inflation, avec la hausse des matières premières, du coût de la vie, etc. Et après les années Covid, où nous étions enfermés, il y a eu un emballement de l'économie. Et puis deux ans après, là, on est en train de se rendre compte que l'inflation, ça y est, diminue finalement plus vite. À l'heure où je vous parle, ça peut changer dans quelques semaines. Et du coup, alors qu'il y a encore quelques mois, les taux d'intérêt étaient figés un peu à la hausse et les banques centrales disaient on ne va pas baisser les taux. Aujourd'hui, je viens de lire hier que les banques centrales vont, en tout cas la BCE, la Banque Centrale Européenne et la Banque Centrale Américaine. vont baisser les taux plus rapidement pour relancer l'économie. Il n'y a pas de vérité aujourd'hui à long terme, à moyen terme. C'est vraiment être au courant de tout pour pouvoir adopter des bonnes décisions. Rien n'est figé sauf le fait que nous devons être agiles et pour pouvoir s'adapter sans arrêt. Donc cette compétence d'agilité, je la recommande vivement aujourd'hui. Sans quoi, ça va devenir très compliqué. Agilité, ouverture d'esprit et être tourné vers l'extérieur pour prendre de l'info et de la veille. tout en faisant grandir son équipe. Donc ça, c'est le sixième point. Le septième point, en fait, nous avons des écosystèmes qui nous entourent. L'écosystème, c'est quoi ? C'est nos collaborateurs, c'est nos équipes qui sont externes, nos sous-traitants, nos freelancers, mais aussi nos fournisseurs et nos conseils. Une règle, les amis, vraiment une règle, ne travaillez qu'avec des gens qui croient en vous. Donc votre job, c'est de fédérer votre équipe, vos équipes, pour qu'ils croient en vous. Les personnes qui n'avancent pas, qui sont figées dans le passé, ne travaillent plus avec. Je suis cash, il faut se séparer de collaborations qui ne fonctionnent pas. Toujours dans la joie et la bonne humeur, bien sûr, parce que nous sommes entre humains, mais parfois vous pouvez avoir des collaborateurs, vous pouvez avoir des partenaires qui ne sont plus synchrones avec vous. Et dans ce cas-là, il y a des gens qui sont faits pour travailler avec d'autres personnes qu'avec vous et il n'y a pas de souci, c'est clair, etc. Et nous sommes amenés avec nos clients à avoir ces discussions. Et parfois, les gens sont libérés de ne plus travailler ensemble. Personne n'ose le dire. Et finalement, dire les choses, ça permet de dénouer des situations. En tout cas, dans le choix de vos partenaires et de vos collaborateurs, ayez la même fréquence. Avancez ensemble. Créez ensemble. Partagez. Vous devez être, en tant que dirigeant d'entreprise, celui qui amène cette notion de partage. Le fait que vous soyez le leader de cet écosystème pour que tout le monde ait envie de vous suivre. même vos conseils. Et vos conseils aussi, choisissez-les par rapport au fait qu'ils croient en vous et qu'ils ne soient pas dans le rôle du sachant. Et vous, celui qui ne sait pas, c'est un partage. En tout cas, c'est comme ça que nous faisons dans les accompagnements. Nous partageons nos connaissances pour donner plus de capacités aux entrepreneurs. Donc, cet écosystème, c'est vraiment puissant parce que c'est celui que vous allez alimenter et c'est lui qui va vous porter. Et c'est un système qui s'auto-alimente. Le huitième point, comme rien n'est figé, il faut de temps en temps réviser son modèle. Est-ce qu'il est toujours clair par rapport à ce que vous êtes, ce que vous faites, par rapport à votre équipe, par rapport au monde qui nous entoure ? De temps en temps, de revoir son business model, c'est de faire les réglages au fil de l'eau. On ne va pas réviser son business model tous les jours, mais faire un petit point au trimestre pour faire des réglages, c'est mieux que de tout casser pour tout recommencer tous les deux ans. Je conseille de le faire aussi en équipe. Moi, j'aime bien avec mon équipe. Par exemple, on a une réunion trimestrielle et puis chacun a sa valeur. Et c'est important, chacun a sa valeur. On est avec des humains, on n'est pas avec des robots. Donc chacun a sa valeur, chacun a son expérience. Tout le monde a la parole. Et puis éventuellement, on peut aussi le faire avec des gens qui vous accompagnent. Parce que ça permet peut-être aussi d'avoir une ligne directrice en occultant. qu'une partie de l'entreprise toujours avoir cette vision globale. Donc, quels sont les réglages à faire régulièrement ? Mais n'oubliez pas ce business model, il faut qu'il ait une vocation à vous ramener du cash. L'argent est raf, les prêteurs aujourd'hui sont quand même frileux, il faut le dire. À l'heure où je vous parle, encore une fois, on a de la rétention sur les dépenses, ça veut dire qu'on a une tendance à l'épargne, on va garder l'argent. Donc aujourd'hui, l'argent est raf. Prioriser les business models qui ramènent du cash, comme par exemple prendre des accomptes dans les relations clients, ne pas faire d'autofinancement, j'en ai parlé tout à l'heure. Et de là découle forcément le neuvième point qui est réviser ses offres. Quand vous êtes sur du haut de gamme, par exemple, regardez si vous n'avez pas des produits d'entrée, pas forcément de bas de gamme, mais des produits d'entrée qui permettent de faire découvrir votre univers. Que les gens rentrent dans votre univers, dans votre clientèle pour parler de vous et ensuite vous les faites progresser au fil de leur évolution, vos clients. Ça permet d'intégrer de nouveaux clients, de les fidéliser et ensuite ils vont parler de vous. Donc révision des offres en tenant compte. compte des marges que vous faites parce que évidemment, il est hors de question de vendre sans marge. Sinon, vous allez avoir le contraire, c'est-à-dire des pertes et des baisses de trésorerie. Alors à court terme, ça fait plaisir parce qu'on baisse les marges pour faire entrer des clients, mais à un moment donné, on voit qu'on pédale dans la semoule et ça ne marche pas. Et puis, le dixième point que j'ai envie de partager aujourd'hui, moi, je vois des entrepreneurs qui se sentent de plus en plus seuls. Parce que c'est compliqué, les journées sont rudes. On doit se battre avec son marché. On doit se battre parfois avec ses collaborateurs, faire passer des idées, convaincre le banquier d'avoir un financement et de faire le lien. Quand les taux se resserrent parfois, c'est le cas, il faut le dire. En fait, trouver des solutions pour échapper à des difficultés et voir parfois un effondrement de son business. Et même quand ça va bien, là aussi, quelles sont les équations à résoudre pour finalement se développer dans l'équilibre sans altérer le futur ? Sortir de l'isolement, c'est quoi ? Et l'isolement, d'ailleurs, l'entrepreneur le voit souvent le soir quand il se met au lit, où toutes les idées se remettent dans sa tête et ça génère de l'insomnie. Et vous savez de quoi je parle, c'est sûr. Celui qui a le plus d'insomnie, c'est l'entrepreneur. Donc pour ça, c'est quoi ? En fait, c'est partager, faire du réseau. Pas sortir, pas rester dans sa bulle. Faire du réseau. Se faire accompagner, c'est une clé forte pour avoir du recul, se faire accompagner par des gens qui ont de la connaissance et de l'expérience. Se former, se former pour avoir les clés, les clés du pilotage d'entreprise, les clés de la conduite d'entreprise avec une vision globale et une vision, j'ai envie de dire, à 360. Une vision vraiment qui permette de tout intégrer parce que tout est interconnecté. Il n'y a pas de finance si je n'ai pas de clients. Et si je n'ai pas de clients, c'est que je dois faire du marketing. Et si je ne fais pas de marketing, je ne vais pas produire de produits parce que je n'aurai pas de clients. Vous voyez, bref, tout est interconnecté. Et si je me développe, j'ai peut-être besoin de finances parce qu'il faut que j'alimente mon besoin de fonds de roulement. Et si je me développe, il faut que je recrute et avoir des compétences. Donc, vous voyez, nous ne pouvons pas prendre de décision si nous n'imaginons pas les conséquences futures de ces décisions. Donc, vous voyez, le défi des dirigeants d'entreprise s'élève chaque jour plus. Piloter sans vision n'est plus possible. Je viens de vous donner dix axes de réflexion pour améliorer votre futur, se protéger et vous développer comme nous le faisons nous avec les entrepreneurs que nous accompagnons. Wow,