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GrandiOse - Bien-être holistique, développement personnel, confiance en soi, constellations familiales

Arrêter de s’excuser d’exister (et reprendre enfin sa place)

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10min |30/11/2025
Play
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Description

Tu t’excuses trop souvent ? Pour un bruit, un mot, un pas de travers ?


Cet épisode t’aide à comprendre pourquoi… et surtout comment t’en libérer.


Dans ce nouvel épisode du podcast GRANDIOSE, on explore un mécanisme que vivent énormément de femmes : le réflexe de s’excuser pour tout.


S’excuser d’exister. S’excuser de déranger. S’excuser d’être là.


Un automatisme qui vient souvent de l’éducation, du transgénérationnel, de la peur du conflit et de la suradaptation émotionnelle.


On parle de :


• pourquoi tant de femmes ont peur de déranger,
• comment l’enfance et le système familial ont programmé ce réflexe,
• pourquoi on minimise nos besoins pour préserver les autres,
• comment arrêter de s’effacer,
• comment s’affirmer sans agressivité, juste avec douceur et présence,
• pourquoi on ne prend plus naturellement notre place,
• comment retrouver une posture intérieure alignée et solide.


Parce que beaucoup d’entre nous ont appris à être “petites”, discrètes, sages, adaptées.
Mais cette version de toi n’est plus celle qui va t’emmener là où tu veux aller.


Si tu veux arrêter de t’excuser d’être toi… cet épisode va te faire du bien.
Si tu veux retrouver ta vraie place sans culpabilité… écoute-le.


Are you ready ? Mets-toi dans ta bulle et c'est parti ! 🎧 


__________________________________________



❤️ Si cet épisode t'a plu et que tu sens qu'il pourrait aider d'autres femmes de ton entourage, je t'invite à le partager autour de toi et à le noter avec la note de ton choix car si le podcast évolue, c'est surtout grâce à TOI ! MERCI ❤️ 



↓ Ressources gratuites, mes réseaux sociaux, mes offres ↓


Quizz offert : Découvre le masque inconscient qui sabote ta relation au corps

⊹ Le programme RENAISSANCE : https://www.biendanstoncorps.fr/programmerenaissance

Réserver une séance de constellations familiales / coaching de vie

⊹ Commande ton jeu de cartes ''Ressources Intérieures'' : https://www.biendanstoncorps.fr/oracle

⊹ Encore plus de ressources : www.biendanstoncorps.fr


💌 Pour me contacter : info@biendanstoncorps.ch

📲 Instagram : www.instagram.com/biendanstoncorps


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Coucou, bienvenue sur le podcast grandiose, le podcast qui t'aide à grandir et oser prendre ta place. Je suis Vanessa, une femme en quête de croissance personnelle, explorant la puissance et la profondeur de l'amour de soi. En tant que coach holistique, j'accompagne les femmes qui manquent de confiance et d'estime à se reconnecter à elles-mêmes en se réconciliant avec leur corps, leur mental et leurs émotions. Si toi aussi tu désires éveiller ta conscience, augmenter ton estime de toi et surtout vivre une vie plus sereine, tu es au bon endroit. Sur ce podcast, je te partage mes prises de conscience et mes expériences avec authenticité. Mon but est que tu aies des outils concrets pour booster ta confiance en toi, t'accepter tel que tu es pour redevenir ta propre meilleure amie et la chef de ta vie. Je me réjouis de partager ce nouvel épisode avec toi.

  • Speaker #1

    Are you ready ? Mets-toi dans ta bulle et c'est parti ! Coucou, bienvenue dans ce tout nouvel épisode du podcast Grandiose. Dans cet épisode, je voulais te parler d'un truc qu'on fait absolument toutes sans même s'en rendre compte. C'est un truc qui est tellement ancré, tellement automatique qu'on le prononce parfois sans même le penser. C'est ce truc de s'excuser constamment, pour tout, pour rien, pour exister. Tous ces fameux « oh pardon, désolé, excuse-moi » qu'on prononce à tout voix alors qu'en fait, on n'a absolument rien fait de mal. J'ai vraiment l'impression que c'est devenu un peu comme des formules de politesse. Sauf qu'en vrai, j'ai vraiment constaté que ça vient toucher d'autres choses bien plus profondes. Parce qu'en soi, on peut très bien être poli en disant simplement « tu peux me passer le sel s'il te plaît ? » sans qu'il y ait le « excuse-moi, est-ce que tu peux me passer le sel s'il te plaît ? » Ou alors remplacer le désolé pour mon retard par merci pour ta patience, merci de m'avoir attendu. Mais il y a toujours besoin de s'excuser pour tout. Et dans l'énergie, il faut savoir que ça change absolument tout parce que justement, nos excuse-moi, pardon, désolé, c'est en réalité bien plus qu'une formule de politesse. Dans mon cas par exemple, j'ai vraiment remarqué que je m'excuse souvent quand je fais du bruit ou quand j'ai l'impression de prendre trop de place. Et clairement, je constate que ça vient éveiller chez moi cette peur de déranger. de prendre trop de place justement. Donc d'une certaine façon, inconsciemment, je m'excuse d'exister. Et je sais qu'on est nombreux à agir de cette façon, c'est vraiment, comme je dis, devenu un automatisme de s'excuser pour tout et pour rien. Même, on s'excuse parfois de tousser, d'éternuer, de demander quelque chose, on s'excuse d'avoir une émotion, on s'excuse quand on pleure. Et quand c'est nous qui nous excusons, ça paraît normal, mais je trouve que quand on reçoit les excuses de la personne en face, Moi, souvent, mes clientes, quand elles viennent chez moi et qu'effectivement, il y a des émotions qui sortent, elles sont toujours là. Ah, désolé, excuse-moi. Mais en fait, moi, ça me choque. Je me dis, mais en fait, t'as pas à t'excuser. C'est genre juste, autorise-toi à exister, à vivre. Donc, vraiment, j'aimerais que tu prennes conscience que derrière ces désolés, il n'y a pas juste un mot. Derrière ces désolés, il y a toute une histoire. Clairement, notre éducation joue un rôle là-dedans. On a grandi, justement, avec des soit gentils, soit sages, dérange pas trop, fais pas trop de bruit. et D'une certaine manière, on nous a valorisé quand on était sage, quand on était discrète, quand on était « parfaite » . Alors on a appris que prendre de la place, c'est égal à déranger. Après, il y a aussi cette suradaptation émotionnelle. Il y a certaines personnes, et peut-être que t'en fais partie comme moi, qui ont grandi dans des environnements où il fallait très vite sentir, anticiper l'humeur des autres. Où le moindre changement de ton devenait une sorte de signal d'alerte et où on apprenait du coup... instinctivement à marcher sur la pointe des pieds pour éviter les tensions, les disputes. Et donc, on a développé une sorte de radar émotionnel ultra sensible. Un radar, en gros, qui demande constamment, est-ce que tout va bien ? Est-ce que j'ai fait quelque chose de mal ? Est-ce que je dois me faire plus petite pour ne pas déranger, pour ne pas empirer la situation ? Et c'est là, justement, que le désolé est devenu une stratégie, une manière d'anticiper, de... calmer le jeu un peu, avant même qu'il y ait un jeu à calmer en fait, avant même qu'il y ait quoi que ce soit. C'est une façon qu'on a mis en place inconsciemment pour maintenir la paix dans un environnement où on n'avait pas vraiment le droit d'être pleinement soi, où on avait peur en fait de prendre pleinement sa place pour que les choses s'empirent. Pas parce qu'on voulait s'excuser, mais parce qu'on voulait surtout éviter que quelque chose explose, empire, parce que peut-être qu'on voyait ça régulièrement. Et ce genre de mécanisme, c'est une suradaptation, justement, c'est une sorte de... d'adaptation, de protection à un moment donné de notre vie qu'on a mis en place mais qui, une fois adulte, continue de fonctionner alors qu'il n'y a plus réellement de danger. Mais ils se réactivent par habitude, par loyauté, par réflexe. Et ça donne du coup des désolés lâchés à tout va, non pas parce qu'on a fait quelque chose de mal, mais parce que pendant longtemps, s'excuser a été une manière de survivre émotionnellement. Et mis à part tout ça, il y a aussi le Merci. transgénérationnelles qui jouent un rôle. Tout ce qu'on a hérité également. Des femmes, peut-être, qu'on jugeait trop hystériques, trop dérangeantes. Des mères, des grands-mères qui se sont excusées toute leur vie pour avoir des envies, des besoins, des émotions. Et ça, faut pas oublier, il y a beaucoup de femmes de nos lignées qui ont dû se faire petites pour survivre, pour éviter les problèmes, pour être acceptées, pour pas faire de vagues. Alors peut-être que toi, aujourd'hui, bah... Par amour, par loyauté, tu portes inconsciemment tous ces réflexes qu'elles ont eus. Tu t'excuses pour ne pas attirer les regards, tu t'excuses pour être aimée, pour rester en sécurité. En plus de tout ça, soyons honnêtes, on a grandi dans un monde où une femme qui s'affirme, c'était vue comme agressive d'une certaine manière. Une femme qui dit non, c'est une capricieuse, une égoïste. Une femme qui a des besoins, c'est une femme compliquée. Alors par sécurité, on a appris à s'adoucir, à adoucir notre présence. Avec des désolés, des j'espère que ça ne te dérange pas, c'est juste mon avis. Tout ça, je ne sais pas si tout ça te parle, mais c'est quelque chose que je constate vraiment et que j'observe très souvent chez moi et que j'essaie de transformer. Parce que tu l'auras compris, mais le problème c'est que s'excuser tout le temps, c'est vraiment envoyer un message au monde, à l'univers, un message très clair qui est ma présence n'est pas légitime, je n'ai pas de valeur, je dois diminuer ma lumière pour être acceptée. Et tout ça, tu vois, finalement ça te coupe de ton vrai pouvoir. de ton énergie, de ta spontanéité, de ta joie. Ça t'empêche de demander clairement, ça t'empêche de prendre la parole, ça t'empêche de poser tes limites, d'être toi en fait, tout simplement, sans avoir toujours besoin de t'excuser pour exister. Et c'est pas une question d'être dur ou d'être moins gentil, c'est vraiment une question de te réhabituer à être là, simplement là, à être présente avec ton corps, ta voix, tes besoins, tes émotions, sans t'excuser. d'être toi, sont excusés d'être humaines. Et tu peux commencer par remplacer les désolé, excuse-moi, qu'on exprime assez automatiquement, par merci pour ta patience, s'il te plaît, je préfère ça, je vais réfléchir. Non, ça ne me convient pas. Et tu verras qu'au début, ça fait quand même bizarre, mais au bout d'un moment, ça devient libérateur. Et petit à petit, ça va devenir naturel. Parce qu'en réalité, tu n'as rien à te faire. pardonner. Tu existes, point. Et je t'invite vraiment à t'observer ces prochains jours, prendre conscience déjà le nombre de fois où tu t'excuses. C'est assez rigolo à observer et effectivement, ça peut valoir la peine d'aller voir d'où ça vient aussi. Parce que la plupart d'entre nous, on a dû se suradapter, on porte des loyautés invisibles, des chocs émotionnels anciens, des peurs d'être rejetées, qui parfois même ne nous appartiennent pas. Et d'ailleurs, avec les constellations familiales, on peut vraiment observer Oui. la scène sous un nouvel angle totalement différent. Et très souvent, on réalise qu'il y a beaucoup de choses qu'on porte de génération en génération. On réalise que finalement, ce n'est pas nous qui avons appris à s'excuser, mais on le répète inconsciemment parce qu'il y a plusieurs générations de femmes avant nous qui n'ont jamais eu le droit d'exister pleinement. Et de voir ça, franchement, ça permet de ressentir cette immense compassion parce qu'on comprend et on ressent enfin la raison. pour laquelle on fonctionne comme ça, et ça nous permet de transformer ça sans forcer, sans violence, sans dureté, juste en s'autorisant à vivre autrement. Quoi qu'il en soit, j'aimerais que tu te rappelles aujourd'hui que tu n'es pas trop, tu n'es pas un problème, tu n'es pas un dérangement, et t'as pas à t'excuser de vivre, de ressentir, de vouloir exister. T'as le droit de prendre... pleinement ta place, le droit d'être visible, le droit de dire non, d'être là, profondément, entièrement. Et tu vas voir que plus tu vas arrêter de t'excuser, plus tu vas te sentir vivante. Moi, je te dis à la semaine prochaine pour un tout nouvel épisode du podcast grandiose et je te fais plein de gros bisous. Merci d'avoir écouté cet épisode.

  • Speaker #0

    Pour encore plus de contenu ou pour interagir avec moi, rejoins-moi sur les réseaux sociaux. Au fond de la description de cet épisode, tu trouveras un arbre à lien qui te redirigera vers mes réseaux sociaux, des ressources gratuites ainsi que mes accompagnements si tu désires travailler avec moi. Et comme d'habitude, si tu as apprécié cet épisode et que tu sens qu'il pourrait aider d'autres personnes de ton entourage, je t'invite à le partager autour de toi et à lui donner la note qu'il mérite sur Spotify ou sur Apple Podcast. Car je te rappelle que si le podcast évolue, c'est surtout grâce à toi. Je te remercie infiniment si tu prends quelques secondes pour le faire. Ta contribution a énormément de valeur pour moi. Je te souhaite une merveilleuse journée, soirée, nuit, où que tu sois et quelle que soit l'heure à laquelle tu m'écoutes. Bisous bisous !

Description

Tu t’excuses trop souvent ? Pour un bruit, un mot, un pas de travers ?


Cet épisode t’aide à comprendre pourquoi… et surtout comment t’en libérer.


Dans ce nouvel épisode du podcast GRANDIOSE, on explore un mécanisme que vivent énormément de femmes : le réflexe de s’excuser pour tout.


S’excuser d’exister. S’excuser de déranger. S’excuser d’être là.


Un automatisme qui vient souvent de l’éducation, du transgénérationnel, de la peur du conflit et de la suradaptation émotionnelle.


On parle de :


• pourquoi tant de femmes ont peur de déranger,
• comment l’enfance et le système familial ont programmé ce réflexe,
• pourquoi on minimise nos besoins pour préserver les autres,
• comment arrêter de s’effacer,
• comment s’affirmer sans agressivité, juste avec douceur et présence,
• pourquoi on ne prend plus naturellement notre place,
• comment retrouver une posture intérieure alignée et solide.


Parce que beaucoup d’entre nous ont appris à être “petites”, discrètes, sages, adaptées.
Mais cette version de toi n’est plus celle qui va t’emmener là où tu veux aller.


Si tu veux arrêter de t’excuser d’être toi… cet épisode va te faire du bien.
Si tu veux retrouver ta vraie place sans culpabilité… écoute-le.


Are you ready ? Mets-toi dans ta bulle et c'est parti ! 🎧 


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❤️ Si cet épisode t'a plu et que tu sens qu'il pourrait aider d'autres femmes de ton entourage, je t'invite à le partager autour de toi et à le noter avec la note de ton choix car si le podcast évolue, c'est surtout grâce à TOI ! MERCI ❤️ 



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⊹ Le programme RENAISSANCE : https://www.biendanstoncorps.fr/programmerenaissance

Réserver une séance de constellations familiales / coaching de vie

⊹ Commande ton jeu de cartes ''Ressources Intérieures'' : https://www.biendanstoncorps.fr/oracle

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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  • Speaker #0

    Coucou, bienvenue sur le podcast grandiose, le podcast qui t'aide à grandir et oser prendre ta place. Je suis Vanessa, une femme en quête de croissance personnelle, explorant la puissance et la profondeur de l'amour de soi. En tant que coach holistique, j'accompagne les femmes qui manquent de confiance et d'estime à se reconnecter à elles-mêmes en se réconciliant avec leur corps, leur mental et leurs émotions. Si toi aussi tu désires éveiller ta conscience, augmenter ton estime de toi et surtout vivre une vie plus sereine, tu es au bon endroit. Sur ce podcast, je te partage mes prises de conscience et mes expériences avec authenticité. Mon but est que tu aies des outils concrets pour booster ta confiance en toi, t'accepter tel que tu es pour redevenir ta propre meilleure amie et la chef de ta vie. Je me réjouis de partager ce nouvel épisode avec toi.

  • Speaker #1

    Are you ready ? Mets-toi dans ta bulle et c'est parti ! Coucou, bienvenue dans ce tout nouvel épisode du podcast Grandiose. Dans cet épisode, je voulais te parler d'un truc qu'on fait absolument toutes sans même s'en rendre compte. C'est un truc qui est tellement ancré, tellement automatique qu'on le prononce parfois sans même le penser. C'est ce truc de s'excuser constamment, pour tout, pour rien, pour exister. Tous ces fameux « oh pardon, désolé, excuse-moi » qu'on prononce à tout voix alors qu'en fait, on n'a absolument rien fait de mal. J'ai vraiment l'impression que c'est devenu un peu comme des formules de politesse. Sauf qu'en vrai, j'ai vraiment constaté que ça vient toucher d'autres choses bien plus profondes. Parce qu'en soi, on peut très bien être poli en disant simplement « tu peux me passer le sel s'il te plaît ? » sans qu'il y ait le « excuse-moi, est-ce que tu peux me passer le sel s'il te plaît ? » Ou alors remplacer le désolé pour mon retard par merci pour ta patience, merci de m'avoir attendu. Mais il y a toujours besoin de s'excuser pour tout. Et dans l'énergie, il faut savoir que ça change absolument tout parce que justement, nos excuse-moi, pardon, désolé, c'est en réalité bien plus qu'une formule de politesse. Dans mon cas par exemple, j'ai vraiment remarqué que je m'excuse souvent quand je fais du bruit ou quand j'ai l'impression de prendre trop de place. Et clairement, je constate que ça vient éveiller chez moi cette peur de déranger. de prendre trop de place justement. Donc d'une certaine façon, inconsciemment, je m'excuse d'exister. Et je sais qu'on est nombreux à agir de cette façon, c'est vraiment, comme je dis, devenu un automatisme de s'excuser pour tout et pour rien. Même, on s'excuse parfois de tousser, d'éternuer, de demander quelque chose, on s'excuse d'avoir une émotion, on s'excuse quand on pleure. Et quand c'est nous qui nous excusons, ça paraît normal, mais je trouve que quand on reçoit les excuses de la personne en face, Moi, souvent, mes clientes, quand elles viennent chez moi et qu'effectivement, il y a des émotions qui sortent, elles sont toujours là. Ah, désolé, excuse-moi. Mais en fait, moi, ça me choque. Je me dis, mais en fait, t'as pas à t'excuser. C'est genre juste, autorise-toi à exister, à vivre. Donc, vraiment, j'aimerais que tu prennes conscience que derrière ces désolés, il n'y a pas juste un mot. Derrière ces désolés, il y a toute une histoire. Clairement, notre éducation joue un rôle là-dedans. On a grandi, justement, avec des soit gentils, soit sages, dérange pas trop, fais pas trop de bruit. et D'une certaine manière, on nous a valorisé quand on était sage, quand on était discrète, quand on était « parfaite » . Alors on a appris que prendre de la place, c'est égal à déranger. Après, il y a aussi cette suradaptation émotionnelle. Il y a certaines personnes, et peut-être que t'en fais partie comme moi, qui ont grandi dans des environnements où il fallait très vite sentir, anticiper l'humeur des autres. Où le moindre changement de ton devenait une sorte de signal d'alerte et où on apprenait du coup... instinctivement à marcher sur la pointe des pieds pour éviter les tensions, les disputes. Et donc, on a développé une sorte de radar émotionnel ultra sensible. Un radar, en gros, qui demande constamment, est-ce que tout va bien ? Est-ce que j'ai fait quelque chose de mal ? Est-ce que je dois me faire plus petite pour ne pas déranger, pour ne pas empirer la situation ? Et c'est là, justement, que le désolé est devenu une stratégie, une manière d'anticiper, de... calmer le jeu un peu, avant même qu'il y ait un jeu à calmer en fait, avant même qu'il y ait quoi que ce soit. C'est une façon qu'on a mis en place inconsciemment pour maintenir la paix dans un environnement où on n'avait pas vraiment le droit d'être pleinement soi, où on avait peur en fait de prendre pleinement sa place pour que les choses s'empirent. Pas parce qu'on voulait s'excuser, mais parce qu'on voulait surtout éviter que quelque chose explose, empire, parce que peut-être qu'on voyait ça régulièrement. Et ce genre de mécanisme, c'est une suradaptation, justement, c'est une sorte de... d'adaptation, de protection à un moment donné de notre vie qu'on a mis en place mais qui, une fois adulte, continue de fonctionner alors qu'il n'y a plus réellement de danger. Mais ils se réactivent par habitude, par loyauté, par réflexe. Et ça donne du coup des désolés lâchés à tout va, non pas parce qu'on a fait quelque chose de mal, mais parce que pendant longtemps, s'excuser a été une manière de survivre émotionnellement. Et mis à part tout ça, il y a aussi le Merci. transgénérationnelles qui jouent un rôle. Tout ce qu'on a hérité également. Des femmes, peut-être, qu'on jugeait trop hystériques, trop dérangeantes. Des mères, des grands-mères qui se sont excusées toute leur vie pour avoir des envies, des besoins, des émotions. Et ça, faut pas oublier, il y a beaucoup de femmes de nos lignées qui ont dû se faire petites pour survivre, pour éviter les problèmes, pour être acceptées, pour pas faire de vagues. Alors peut-être que toi, aujourd'hui, bah... Par amour, par loyauté, tu portes inconsciemment tous ces réflexes qu'elles ont eus. Tu t'excuses pour ne pas attirer les regards, tu t'excuses pour être aimée, pour rester en sécurité. En plus de tout ça, soyons honnêtes, on a grandi dans un monde où une femme qui s'affirme, c'était vue comme agressive d'une certaine manière. Une femme qui dit non, c'est une capricieuse, une égoïste. Une femme qui a des besoins, c'est une femme compliquée. Alors par sécurité, on a appris à s'adoucir, à adoucir notre présence. Avec des désolés, des j'espère que ça ne te dérange pas, c'est juste mon avis. Tout ça, je ne sais pas si tout ça te parle, mais c'est quelque chose que je constate vraiment et que j'observe très souvent chez moi et que j'essaie de transformer. Parce que tu l'auras compris, mais le problème c'est que s'excuser tout le temps, c'est vraiment envoyer un message au monde, à l'univers, un message très clair qui est ma présence n'est pas légitime, je n'ai pas de valeur, je dois diminuer ma lumière pour être acceptée. Et tout ça, tu vois, finalement ça te coupe de ton vrai pouvoir. de ton énergie, de ta spontanéité, de ta joie. Ça t'empêche de demander clairement, ça t'empêche de prendre la parole, ça t'empêche de poser tes limites, d'être toi en fait, tout simplement, sans avoir toujours besoin de t'excuser pour exister. Et c'est pas une question d'être dur ou d'être moins gentil, c'est vraiment une question de te réhabituer à être là, simplement là, à être présente avec ton corps, ta voix, tes besoins, tes émotions, sans t'excuser. d'être toi, sont excusés d'être humaines. Et tu peux commencer par remplacer les désolé, excuse-moi, qu'on exprime assez automatiquement, par merci pour ta patience, s'il te plaît, je préfère ça, je vais réfléchir. Non, ça ne me convient pas. Et tu verras qu'au début, ça fait quand même bizarre, mais au bout d'un moment, ça devient libérateur. Et petit à petit, ça va devenir naturel. Parce qu'en réalité, tu n'as rien à te faire. pardonner. Tu existes, point. Et je t'invite vraiment à t'observer ces prochains jours, prendre conscience déjà le nombre de fois où tu t'excuses. C'est assez rigolo à observer et effectivement, ça peut valoir la peine d'aller voir d'où ça vient aussi. Parce que la plupart d'entre nous, on a dû se suradapter, on porte des loyautés invisibles, des chocs émotionnels anciens, des peurs d'être rejetées, qui parfois même ne nous appartiennent pas. Et d'ailleurs, avec les constellations familiales, on peut vraiment observer Oui. la scène sous un nouvel angle totalement différent. Et très souvent, on réalise qu'il y a beaucoup de choses qu'on porte de génération en génération. On réalise que finalement, ce n'est pas nous qui avons appris à s'excuser, mais on le répète inconsciemment parce qu'il y a plusieurs générations de femmes avant nous qui n'ont jamais eu le droit d'exister pleinement. Et de voir ça, franchement, ça permet de ressentir cette immense compassion parce qu'on comprend et on ressent enfin la raison. pour laquelle on fonctionne comme ça, et ça nous permet de transformer ça sans forcer, sans violence, sans dureté, juste en s'autorisant à vivre autrement. Quoi qu'il en soit, j'aimerais que tu te rappelles aujourd'hui que tu n'es pas trop, tu n'es pas un problème, tu n'es pas un dérangement, et t'as pas à t'excuser de vivre, de ressentir, de vouloir exister. T'as le droit de prendre... pleinement ta place, le droit d'être visible, le droit de dire non, d'être là, profondément, entièrement. Et tu vas voir que plus tu vas arrêter de t'excuser, plus tu vas te sentir vivante. Moi, je te dis à la semaine prochaine pour un tout nouvel épisode du podcast grandiose et je te fais plein de gros bisous. Merci d'avoir écouté cet épisode.

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    Pour encore plus de contenu ou pour interagir avec moi, rejoins-moi sur les réseaux sociaux. Au fond de la description de cet épisode, tu trouveras un arbre à lien qui te redirigera vers mes réseaux sociaux, des ressources gratuites ainsi que mes accompagnements si tu désires travailler avec moi. Et comme d'habitude, si tu as apprécié cet épisode et que tu sens qu'il pourrait aider d'autres personnes de ton entourage, je t'invite à le partager autour de toi et à lui donner la note qu'il mérite sur Spotify ou sur Apple Podcast. Car je te rappelle que si le podcast évolue, c'est surtout grâce à toi. Je te remercie infiniment si tu prends quelques secondes pour le faire. Ta contribution a énormément de valeur pour moi. Je te souhaite une merveilleuse journée, soirée, nuit, où que tu sois et quelle que soit l'heure à laquelle tu m'écoutes. Bisous bisous !

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Tu t’excuses trop souvent ? Pour un bruit, un mot, un pas de travers ?


Cet épisode t’aide à comprendre pourquoi… et surtout comment t’en libérer.


Dans ce nouvel épisode du podcast GRANDIOSE, on explore un mécanisme que vivent énormément de femmes : le réflexe de s’excuser pour tout.


S’excuser d’exister. S’excuser de déranger. S’excuser d’être là.


Un automatisme qui vient souvent de l’éducation, du transgénérationnel, de la peur du conflit et de la suradaptation émotionnelle.


On parle de :


• pourquoi tant de femmes ont peur de déranger,
• comment l’enfance et le système familial ont programmé ce réflexe,
• pourquoi on minimise nos besoins pour préserver les autres,
• comment arrêter de s’effacer,
• comment s’affirmer sans agressivité, juste avec douceur et présence,
• pourquoi on ne prend plus naturellement notre place,
• comment retrouver une posture intérieure alignée et solide.


Parce que beaucoup d’entre nous ont appris à être “petites”, discrètes, sages, adaptées.
Mais cette version de toi n’est plus celle qui va t’emmener là où tu veux aller.


Si tu veux arrêter de t’excuser d’être toi… cet épisode va te faire du bien.
Si tu veux retrouver ta vraie place sans culpabilité… écoute-le.


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❤️ Si cet épisode t'a plu et que tu sens qu'il pourrait aider d'autres femmes de ton entourage, je t'invite à le partager autour de toi et à le noter avec la note de ton choix car si le podcast évolue, c'est surtout grâce à TOI ! MERCI ❤️ 



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  • Speaker #0

    Coucou, bienvenue sur le podcast grandiose, le podcast qui t'aide à grandir et oser prendre ta place. Je suis Vanessa, une femme en quête de croissance personnelle, explorant la puissance et la profondeur de l'amour de soi. En tant que coach holistique, j'accompagne les femmes qui manquent de confiance et d'estime à se reconnecter à elles-mêmes en se réconciliant avec leur corps, leur mental et leurs émotions. Si toi aussi tu désires éveiller ta conscience, augmenter ton estime de toi et surtout vivre une vie plus sereine, tu es au bon endroit. Sur ce podcast, je te partage mes prises de conscience et mes expériences avec authenticité. Mon but est que tu aies des outils concrets pour booster ta confiance en toi, t'accepter tel que tu es pour redevenir ta propre meilleure amie et la chef de ta vie. Je me réjouis de partager ce nouvel épisode avec toi.

  • Speaker #1

    Are you ready ? Mets-toi dans ta bulle et c'est parti ! Coucou, bienvenue dans ce tout nouvel épisode du podcast Grandiose. Dans cet épisode, je voulais te parler d'un truc qu'on fait absolument toutes sans même s'en rendre compte. C'est un truc qui est tellement ancré, tellement automatique qu'on le prononce parfois sans même le penser. C'est ce truc de s'excuser constamment, pour tout, pour rien, pour exister. Tous ces fameux « oh pardon, désolé, excuse-moi » qu'on prononce à tout voix alors qu'en fait, on n'a absolument rien fait de mal. J'ai vraiment l'impression que c'est devenu un peu comme des formules de politesse. Sauf qu'en vrai, j'ai vraiment constaté que ça vient toucher d'autres choses bien plus profondes. Parce qu'en soi, on peut très bien être poli en disant simplement « tu peux me passer le sel s'il te plaît ? » sans qu'il y ait le « excuse-moi, est-ce que tu peux me passer le sel s'il te plaît ? » Ou alors remplacer le désolé pour mon retard par merci pour ta patience, merci de m'avoir attendu. Mais il y a toujours besoin de s'excuser pour tout. Et dans l'énergie, il faut savoir que ça change absolument tout parce que justement, nos excuse-moi, pardon, désolé, c'est en réalité bien plus qu'une formule de politesse. Dans mon cas par exemple, j'ai vraiment remarqué que je m'excuse souvent quand je fais du bruit ou quand j'ai l'impression de prendre trop de place. Et clairement, je constate que ça vient éveiller chez moi cette peur de déranger. de prendre trop de place justement. Donc d'une certaine façon, inconsciemment, je m'excuse d'exister. Et je sais qu'on est nombreux à agir de cette façon, c'est vraiment, comme je dis, devenu un automatisme de s'excuser pour tout et pour rien. Même, on s'excuse parfois de tousser, d'éternuer, de demander quelque chose, on s'excuse d'avoir une émotion, on s'excuse quand on pleure. Et quand c'est nous qui nous excusons, ça paraît normal, mais je trouve que quand on reçoit les excuses de la personne en face, Moi, souvent, mes clientes, quand elles viennent chez moi et qu'effectivement, il y a des émotions qui sortent, elles sont toujours là. Ah, désolé, excuse-moi. Mais en fait, moi, ça me choque. Je me dis, mais en fait, t'as pas à t'excuser. C'est genre juste, autorise-toi à exister, à vivre. Donc, vraiment, j'aimerais que tu prennes conscience que derrière ces désolés, il n'y a pas juste un mot. Derrière ces désolés, il y a toute une histoire. Clairement, notre éducation joue un rôle là-dedans. On a grandi, justement, avec des soit gentils, soit sages, dérange pas trop, fais pas trop de bruit. et D'une certaine manière, on nous a valorisé quand on était sage, quand on était discrète, quand on était « parfaite » . Alors on a appris que prendre de la place, c'est égal à déranger. Après, il y a aussi cette suradaptation émotionnelle. Il y a certaines personnes, et peut-être que t'en fais partie comme moi, qui ont grandi dans des environnements où il fallait très vite sentir, anticiper l'humeur des autres. Où le moindre changement de ton devenait une sorte de signal d'alerte et où on apprenait du coup... instinctivement à marcher sur la pointe des pieds pour éviter les tensions, les disputes. Et donc, on a développé une sorte de radar émotionnel ultra sensible. Un radar, en gros, qui demande constamment, est-ce que tout va bien ? Est-ce que j'ai fait quelque chose de mal ? Est-ce que je dois me faire plus petite pour ne pas déranger, pour ne pas empirer la situation ? Et c'est là, justement, que le désolé est devenu une stratégie, une manière d'anticiper, de... calmer le jeu un peu, avant même qu'il y ait un jeu à calmer en fait, avant même qu'il y ait quoi que ce soit. C'est une façon qu'on a mis en place inconsciemment pour maintenir la paix dans un environnement où on n'avait pas vraiment le droit d'être pleinement soi, où on avait peur en fait de prendre pleinement sa place pour que les choses s'empirent. Pas parce qu'on voulait s'excuser, mais parce qu'on voulait surtout éviter que quelque chose explose, empire, parce que peut-être qu'on voyait ça régulièrement. Et ce genre de mécanisme, c'est une suradaptation, justement, c'est une sorte de... d'adaptation, de protection à un moment donné de notre vie qu'on a mis en place mais qui, une fois adulte, continue de fonctionner alors qu'il n'y a plus réellement de danger. Mais ils se réactivent par habitude, par loyauté, par réflexe. Et ça donne du coup des désolés lâchés à tout va, non pas parce qu'on a fait quelque chose de mal, mais parce que pendant longtemps, s'excuser a été une manière de survivre émotionnellement. Et mis à part tout ça, il y a aussi le Merci. transgénérationnelles qui jouent un rôle. Tout ce qu'on a hérité également. Des femmes, peut-être, qu'on jugeait trop hystériques, trop dérangeantes. Des mères, des grands-mères qui se sont excusées toute leur vie pour avoir des envies, des besoins, des émotions. Et ça, faut pas oublier, il y a beaucoup de femmes de nos lignées qui ont dû se faire petites pour survivre, pour éviter les problèmes, pour être acceptées, pour pas faire de vagues. Alors peut-être que toi, aujourd'hui, bah... Par amour, par loyauté, tu portes inconsciemment tous ces réflexes qu'elles ont eus. Tu t'excuses pour ne pas attirer les regards, tu t'excuses pour être aimée, pour rester en sécurité. En plus de tout ça, soyons honnêtes, on a grandi dans un monde où une femme qui s'affirme, c'était vue comme agressive d'une certaine manière. Une femme qui dit non, c'est une capricieuse, une égoïste. Une femme qui a des besoins, c'est une femme compliquée. Alors par sécurité, on a appris à s'adoucir, à adoucir notre présence. Avec des désolés, des j'espère que ça ne te dérange pas, c'est juste mon avis. Tout ça, je ne sais pas si tout ça te parle, mais c'est quelque chose que je constate vraiment et que j'observe très souvent chez moi et que j'essaie de transformer. Parce que tu l'auras compris, mais le problème c'est que s'excuser tout le temps, c'est vraiment envoyer un message au monde, à l'univers, un message très clair qui est ma présence n'est pas légitime, je n'ai pas de valeur, je dois diminuer ma lumière pour être acceptée. Et tout ça, tu vois, finalement ça te coupe de ton vrai pouvoir. de ton énergie, de ta spontanéité, de ta joie. Ça t'empêche de demander clairement, ça t'empêche de prendre la parole, ça t'empêche de poser tes limites, d'être toi en fait, tout simplement, sans avoir toujours besoin de t'excuser pour exister. Et c'est pas une question d'être dur ou d'être moins gentil, c'est vraiment une question de te réhabituer à être là, simplement là, à être présente avec ton corps, ta voix, tes besoins, tes émotions, sans t'excuser. d'être toi, sont excusés d'être humaines. Et tu peux commencer par remplacer les désolé, excuse-moi, qu'on exprime assez automatiquement, par merci pour ta patience, s'il te plaît, je préfère ça, je vais réfléchir. Non, ça ne me convient pas. Et tu verras qu'au début, ça fait quand même bizarre, mais au bout d'un moment, ça devient libérateur. Et petit à petit, ça va devenir naturel. Parce qu'en réalité, tu n'as rien à te faire. pardonner. Tu existes, point. Et je t'invite vraiment à t'observer ces prochains jours, prendre conscience déjà le nombre de fois où tu t'excuses. C'est assez rigolo à observer et effectivement, ça peut valoir la peine d'aller voir d'où ça vient aussi. Parce que la plupart d'entre nous, on a dû se suradapter, on porte des loyautés invisibles, des chocs émotionnels anciens, des peurs d'être rejetées, qui parfois même ne nous appartiennent pas. Et d'ailleurs, avec les constellations familiales, on peut vraiment observer Oui. la scène sous un nouvel angle totalement différent. Et très souvent, on réalise qu'il y a beaucoup de choses qu'on porte de génération en génération. On réalise que finalement, ce n'est pas nous qui avons appris à s'excuser, mais on le répète inconsciemment parce qu'il y a plusieurs générations de femmes avant nous qui n'ont jamais eu le droit d'exister pleinement. Et de voir ça, franchement, ça permet de ressentir cette immense compassion parce qu'on comprend et on ressent enfin la raison. pour laquelle on fonctionne comme ça, et ça nous permet de transformer ça sans forcer, sans violence, sans dureté, juste en s'autorisant à vivre autrement. Quoi qu'il en soit, j'aimerais que tu te rappelles aujourd'hui que tu n'es pas trop, tu n'es pas un problème, tu n'es pas un dérangement, et t'as pas à t'excuser de vivre, de ressentir, de vouloir exister. T'as le droit de prendre... pleinement ta place, le droit d'être visible, le droit de dire non, d'être là, profondément, entièrement. Et tu vas voir que plus tu vas arrêter de t'excuser, plus tu vas te sentir vivante. Moi, je te dis à la semaine prochaine pour un tout nouvel épisode du podcast grandiose et je te fais plein de gros bisous. Merci d'avoir écouté cet épisode.

  • Speaker #0

    Pour encore plus de contenu ou pour interagir avec moi, rejoins-moi sur les réseaux sociaux. Au fond de la description de cet épisode, tu trouveras un arbre à lien qui te redirigera vers mes réseaux sociaux, des ressources gratuites ainsi que mes accompagnements si tu désires travailler avec moi. Et comme d'habitude, si tu as apprécié cet épisode et que tu sens qu'il pourrait aider d'autres personnes de ton entourage, je t'invite à le partager autour de toi et à lui donner la note qu'il mérite sur Spotify ou sur Apple Podcast. Car je te rappelle que si le podcast évolue, c'est surtout grâce à toi. Je te remercie infiniment si tu prends quelques secondes pour le faire. Ta contribution a énormément de valeur pour moi. Je te souhaite une merveilleuse journée, soirée, nuit, où que tu sois et quelle que soit l'heure à laquelle tu m'écoutes. Bisous bisous !

Description

Tu t’excuses trop souvent ? Pour un bruit, un mot, un pas de travers ?


Cet épisode t’aide à comprendre pourquoi… et surtout comment t’en libérer.


Dans ce nouvel épisode du podcast GRANDIOSE, on explore un mécanisme que vivent énormément de femmes : le réflexe de s’excuser pour tout.


S’excuser d’exister. S’excuser de déranger. S’excuser d’être là.


Un automatisme qui vient souvent de l’éducation, du transgénérationnel, de la peur du conflit et de la suradaptation émotionnelle.


On parle de :


• pourquoi tant de femmes ont peur de déranger,
• comment l’enfance et le système familial ont programmé ce réflexe,
• pourquoi on minimise nos besoins pour préserver les autres,
• comment arrêter de s’effacer,
• comment s’affirmer sans agressivité, juste avec douceur et présence,
• pourquoi on ne prend plus naturellement notre place,
• comment retrouver une posture intérieure alignée et solide.


Parce que beaucoup d’entre nous ont appris à être “petites”, discrètes, sages, adaptées.
Mais cette version de toi n’est plus celle qui va t’emmener là où tu veux aller.


Si tu veux arrêter de t’excuser d’être toi… cet épisode va te faire du bien.
Si tu veux retrouver ta vraie place sans culpabilité… écoute-le.


Are you ready ? Mets-toi dans ta bulle et c'est parti ! 🎧 


__________________________________________



❤️ Si cet épisode t'a plu et que tu sens qu'il pourrait aider d'autres femmes de ton entourage, je t'invite à le partager autour de toi et à le noter avec la note de ton choix car si le podcast évolue, c'est surtout grâce à TOI ! MERCI ❤️ 



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Transcription

  • Speaker #0

    Coucou, bienvenue sur le podcast grandiose, le podcast qui t'aide à grandir et oser prendre ta place. Je suis Vanessa, une femme en quête de croissance personnelle, explorant la puissance et la profondeur de l'amour de soi. En tant que coach holistique, j'accompagne les femmes qui manquent de confiance et d'estime à se reconnecter à elles-mêmes en se réconciliant avec leur corps, leur mental et leurs émotions. Si toi aussi tu désires éveiller ta conscience, augmenter ton estime de toi et surtout vivre une vie plus sereine, tu es au bon endroit. Sur ce podcast, je te partage mes prises de conscience et mes expériences avec authenticité. Mon but est que tu aies des outils concrets pour booster ta confiance en toi, t'accepter tel que tu es pour redevenir ta propre meilleure amie et la chef de ta vie. Je me réjouis de partager ce nouvel épisode avec toi.

  • Speaker #1

    Are you ready ? Mets-toi dans ta bulle et c'est parti ! Coucou, bienvenue dans ce tout nouvel épisode du podcast Grandiose. Dans cet épisode, je voulais te parler d'un truc qu'on fait absolument toutes sans même s'en rendre compte. C'est un truc qui est tellement ancré, tellement automatique qu'on le prononce parfois sans même le penser. C'est ce truc de s'excuser constamment, pour tout, pour rien, pour exister. Tous ces fameux « oh pardon, désolé, excuse-moi » qu'on prononce à tout voix alors qu'en fait, on n'a absolument rien fait de mal. J'ai vraiment l'impression que c'est devenu un peu comme des formules de politesse. Sauf qu'en vrai, j'ai vraiment constaté que ça vient toucher d'autres choses bien plus profondes. Parce qu'en soi, on peut très bien être poli en disant simplement « tu peux me passer le sel s'il te plaît ? » sans qu'il y ait le « excuse-moi, est-ce que tu peux me passer le sel s'il te plaît ? » Ou alors remplacer le désolé pour mon retard par merci pour ta patience, merci de m'avoir attendu. Mais il y a toujours besoin de s'excuser pour tout. Et dans l'énergie, il faut savoir que ça change absolument tout parce que justement, nos excuse-moi, pardon, désolé, c'est en réalité bien plus qu'une formule de politesse. Dans mon cas par exemple, j'ai vraiment remarqué que je m'excuse souvent quand je fais du bruit ou quand j'ai l'impression de prendre trop de place. Et clairement, je constate que ça vient éveiller chez moi cette peur de déranger. de prendre trop de place justement. Donc d'une certaine façon, inconsciemment, je m'excuse d'exister. Et je sais qu'on est nombreux à agir de cette façon, c'est vraiment, comme je dis, devenu un automatisme de s'excuser pour tout et pour rien. Même, on s'excuse parfois de tousser, d'éternuer, de demander quelque chose, on s'excuse d'avoir une émotion, on s'excuse quand on pleure. Et quand c'est nous qui nous excusons, ça paraît normal, mais je trouve que quand on reçoit les excuses de la personne en face, Moi, souvent, mes clientes, quand elles viennent chez moi et qu'effectivement, il y a des émotions qui sortent, elles sont toujours là. Ah, désolé, excuse-moi. Mais en fait, moi, ça me choque. Je me dis, mais en fait, t'as pas à t'excuser. C'est genre juste, autorise-toi à exister, à vivre. Donc, vraiment, j'aimerais que tu prennes conscience que derrière ces désolés, il n'y a pas juste un mot. Derrière ces désolés, il y a toute une histoire. Clairement, notre éducation joue un rôle là-dedans. On a grandi, justement, avec des soit gentils, soit sages, dérange pas trop, fais pas trop de bruit. et D'une certaine manière, on nous a valorisé quand on était sage, quand on était discrète, quand on était « parfaite » . Alors on a appris que prendre de la place, c'est égal à déranger. Après, il y a aussi cette suradaptation émotionnelle. Il y a certaines personnes, et peut-être que t'en fais partie comme moi, qui ont grandi dans des environnements où il fallait très vite sentir, anticiper l'humeur des autres. Où le moindre changement de ton devenait une sorte de signal d'alerte et où on apprenait du coup... instinctivement à marcher sur la pointe des pieds pour éviter les tensions, les disputes. Et donc, on a développé une sorte de radar émotionnel ultra sensible. Un radar, en gros, qui demande constamment, est-ce que tout va bien ? Est-ce que j'ai fait quelque chose de mal ? Est-ce que je dois me faire plus petite pour ne pas déranger, pour ne pas empirer la situation ? Et c'est là, justement, que le désolé est devenu une stratégie, une manière d'anticiper, de... calmer le jeu un peu, avant même qu'il y ait un jeu à calmer en fait, avant même qu'il y ait quoi que ce soit. C'est une façon qu'on a mis en place inconsciemment pour maintenir la paix dans un environnement où on n'avait pas vraiment le droit d'être pleinement soi, où on avait peur en fait de prendre pleinement sa place pour que les choses s'empirent. Pas parce qu'on voulait s'excuser, mais parce qu'on voulait surtout éviter que quelque chose explose, empire, parce que peut-être qu'on voyait ça régulièrement. Et ce genre de mécanisme, c'est une suradaptation, justement, c'est une sorte de... d'adaptation, de protection à un moment donné de notre vie qu'on a mis en place mais qui, une fois adulte, continue de fonctionner alors qu'il n'y a plus réellement de danger. Mais ils se réactivent par habitude, par loyauté, par réflexe. Et ça donne du coup des désolés lâchés à tout va, non pas parce qu'on a fait quelque chose de mal, mais parce que pendant longtemps, s'excuser a été une manière de survivre émotionnellement. Et mis à part tout ça, il y a aussi le Merci. transgénérationnelles qui jouent un rôle. Tout ce qu'on a hérité également. Des femmes, peut-être, qu'on jugeait trop hystériques, trop dérangeantes. Des mères, des grands-mères qui se sont excusées toute leur vie pour avoir des envies, des besoins, des émotions. Et ça, faut pas oublier, il y a beaucoup de femmes de nos lignées qui ont dû se faire petites pour survivre, pour éviter les problèmes, pour être acceptées, pour pas faire de vagues. Alors peut-être que toi, aujourd'hui, bah... Par amour, par loyauté, tu portes inconsciemment tous ces réflexes qu'elles ont eus. Tu t'excuses pour ne pas attirer les regards, tu t'excuses pour être aimée, pour rester en sécurité. En plus de tout ça, soyons honnêtes, on a grandi dans un monde où une femme qui s'affirme, c'était vue comme agressive d'une certaine manière. Une femme qui dit non, c'est une capricieuse, une égoïste. Une femme qui a des besoins, c'est une femme compliquée. Alors par sécurité, on a appris à s'adoucir, à adoucir notre présence. Avec des désolés, des j'espère que ça ne te dérange pas, c'est juste mon avis. Tout ça, je ne sais pas si tout ça te parle, mais c'est quelque chose que je constate vraiment et que j'observe très souvent chez moi et que j'essaie de transformer. Parce que tu l'auras compris, mais le problème c'est que s'excuser tout le temps, c'est vraiment envoyer un message au monde, à l'univers, un message très clair qui est ma présence n'est pas légitime, je n'ai pas de valeur, je dois diminuer ma lumière pour être acceptée. Et tout ça, tu vois, finalement ça te coupe de ton vrai pouvoir. de ton énergie, de ta spontanéité, de ta joie. Ça t'empêche de demander clairement, ça t'empêche de prendre la parole, ça t'empêche de poser tes limites, d'être toi en fait, tout simplement, sans avoir toujours besoin de t'excuser pour exister. Et c'est pas une question d'être dur ou d'être moins gentil, c'est vraiment une question de te réhabituer à être là, simplement là, à être présente avec ton corps, ta voix, tes besoins, tes émotions, sans t'excuser. d'être toi, sont excusés d'être humaines. Et tu peux commencer par remplacer les désolé, excuse-moi, qu'on exprime assez automatiquement, par merci pour ta patience, s'il te plaît, je préfère ça, je vais réfléchir. Non, ça ne me convient pas. Et tu verras qu'au début, ça fait quand même bizarre, mais au bout d'un moment, ça devient libérateur. Et petit à petit, ça va devenir naturel. Parce qu'en réalité, tu n'as rien à te faire. pardonner. Tu existes, point. Et je t'invite vraiment à t'observer ces prochains jours, prendre conscience déjà le nombre de fois où tu t'excuses. C'est assez rigolo à observer et effectivement, ça peut valoir la peine d'aller voir d'où ça vient aussi. Parce que la plupart d'entre nous, on a dû se suradapter, on porte des loyautés invisibles, des chocs émotionnels anciens, des peurs d'être rejetées, qui parfois même ne nous appartiennent pas. Et d'ailleurs, avec les constellations familiales, on peut vraiment observer Oui. la scène sous un nouvel angle totalement différent. Et très souvent, on réalise qu'il y a beaucoup de choses qu'on porte de génération en génération. On réalise que finalement, ce n'est pas nous qui avons appris à s'excuser, mais on le répète inconsciemment parce qu'il y a plusieurs générations de femmes avant nous qui n'ont jamais eu le droit d'exister pleinement. Et de voir ça, franchement, ça permet de ressentir cette immense compassion parce qu'on comprend et on ressent enfin la raison. pour laquelle on fonctionne comme ça, et ça nous permet de transformer ça sans forcer, sans violence, sans dureté, juste en s'autorisant à vivre autrement. Quoi qu'il en soit, j'aimerais que tu te rappelles aujourd'hui que tu n'es pas trop, tu n'es pas un problème, tu n'es pas un dérangement, et t'as pas à t'excuser de vivre, de ressentir, de vouloir exister. T'as le droit de prendre... pleinement ta place, le droit d'être visible, le droit de dire non, d'être là, profondément, entièrement. Et tu vas voir que plus tu vas arrêter de t'excuser, plus tu vas te sentir vivante. Moi, je te dis à la semaine prochaine pour un tout nouvel épisode du podcast grandiose et je te fais plein de gros bisous. Merci d'avoir écouté cet épisode.

  • Speaker #0

    Pour encore plus de contenu ou pour interagir avec moi, rejoins-moi sur les réseaux sociaux. Au fond de la description de cet épisode, tu trouveras un arbre à lien qui te redirigera vers mes réseaux sociaux, des ressources gratuites ainsi que mes accompagnements si tu désires travailler avec moi. Et comme d'habitude, si tu as apprécié cet épisode et que tu sens qu'il pourrait aider d'autres personnes de ton entourage, je t'invite à le partager autour de toi et à lui donner la note qu'il mérite sur Spotify ou sur Apple Podcast. Car je te rappelle que si le podcast évolue, c'est surtout grâce à toi. Je te remercie infiniment si tu prends quelques secondes pour le faire. Ta contribution a énormément de valeur pour moi. Je te souhaite une merveilleuse journée, soirée, nuit, où que tu sois et quelle que soit l'heure à laquelle tu m'écoutes. Bisous bisous !

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