Speaker #0Coucou, bienvenue sur le podcast grandiose, le podcast qui t'aide à grandir et oser prendre ta place. Je suis Vanessa, une femme en quête de croissance personnelle, explorant la puissance et la profondeur de l'amour de soi. En tant que coach holistique, j'accompagne les femmes qui manquent de confiance et d'estime. à se reconnecter à elles-mêmes en se réconciliant avec leur corps, leur mental et leurs émotions. Si toi aussi tu désires éveiller ta conscience, augmenter ton estime de toi et surtout vivre une vie plus sereine, tu es au bon endroit. Sur ce podcast, je te partage mes prises de conscience et mes expériences avec authenticité. Mon but est que tu aies des outils concrets pour booster ta confiance en toi, t'accepter tel que tu es pour redevenir ta propre meilleure amie et la chef de ta vie. Je me réjouis de partager ce nouvel épisode avec toi. Are you ready Mets-toi dans ta bulle et c'est parti Coucou et bienvenue dans le 129e épisode du podcast Grandiose. Aujourd'hui, j'aimerais juste en profiter pour te remercier du fond du cœur d'être là, de prendre le temps d'écouter Grandiose, le podcast qui t'aide à grandir et oser prendre ta place. Pour moi, c'est toujours un énorme plaisir de créer ce genre de contenu et je suis tellement, mais tellement reconnaissante de voir cette... communauté d'auditeurs s'agrandir jour après jour. Si tu veux contribuer encore un peu plus à l'expansion de ce podcast et aider d'autres personnes à avancer, n'hésite pas à partager tes épisodes préférés autour de toi et à laisser une note ou même un petit commentaire sur ta plateforme d'écoute. En tout cas, merci, merci, merci parce que si tu ne serais pas là à m'écouter, je pense que je n'aurais pas eu cette force de persévérer à enregistrer chaque semaine un épisode et ce, maintenant, depuis déjà 129 semaines. Enfin bref, tu l'auras compris, pour moi c'est juste incroyable et tout ça c'est grâce à toi, donc encore une fois un grand merci. Maintenant, passons au sujet du jour, la peur. Et oui, encore et encore, je sais que j'en parle beaucoup dans ces derniers épisodes, mais je me rends compte à quel point en fait cette peur nous dirige, elle nous contrôle totalement. C'est un sujet complètement inépuisable, un sujet qui revient encore et encore autour de moi, que ce soit la peur de l'échec, la peur d'être jugée, la peur de ne pas être aimée, la peur... peur de l'inconnu, bref encore et toujours la peur. La peur qui nous empêche finalement d'oser vivre pleinement notre vie. Alors dans l'épisode du jour on va aller encore plus loin ou plutôt on va aller explorer la peur sous un nouvel angle et découvrir comment elle peut devenir un véritable guide plutôt qu'un frein. Tu le sais peut-être déjà ou pas mais pendant très très très longtemps j'ai vécu dans ce que j'appelle une cage de peur. C'était comme une prison que je m'étais créée moi-même et dont j'étais la seule détentrice des clés. Et pendant très très longtemps, je pense que j'en avais pas vraiment conscience, ou plutôt, je pense que j'avais pas envie d'en avoir conscience parce qu'il y avait ce confort, cette pseudo-sécurité qui me faisait rester à l'intérieur de cette cage. En vrai, je pense qu'inconsciemment, on pense tous que si on prend aucun risque, on ne risque rien. Sauf qu'à force de refuser de sortir de ce qu'on connaît, eh bien on refuse aussi toute nouvelle aventure. toute nouvelle opportunité de grandir et de s'épanouir. Quoi qu'il en soit, à une époque, j'étais cette peureuse de service. Du moins, c'est comme ça que je me définissais, c'est aussi comme ça qu'on me définissait. Et clairement, il y a dix ans, il ne fallait absolument pas me parler de parapente, de parachute, de voyage en solo, de démission ou toute autre chose qui me paraissait extrême ou pas, parce que, comme je dis, le moindre petit truc... Ça me faisait flipper, même un parc d'attractions, c'était inimaginable. Je préférais clairement rester dans ma petite zone de confort, dans cette fameuse cage, mais où je pouvais tout contrôler comme je voulais, ou du moins c'est ce que je pensais. Une chose est sûre, c'est que sur certains points, ça m'a bien préservée, je ne me suis jamais trop mise dans des situations hardcore. J'ai toujours eu le rôle de cette gentille fissage. Mais à côté de ça, probablement pendant de nombreuses années, je me suis aussi privée de certaines expériences. Alors heureusement... avec le temps, je me suis rattrapée parce qu'il y a une autre peur que j'ai, c'est celle de mourir en ayant plein de regrets. Un jour, je suis tombée sur cette phrase qui m'a vraiment frappée, qui disait J'ai commencé à être libre le jour où j'ai réalisé que ma cage était faite de pensées Et je crois bien que cette phrase a agi sur moi un peu comme un électrochoc. Les citations, ça a toujours été quelque chose qui m'a driveée. Je trouve que les mots, en tout cas sur moi, ont un pouvoir énorme. Et je sais que... que j'ai vraiment eu une prise de conscience et je me suis dit, mais putain, mais en fait, ces peurs, elles ne sont pas réelles. Elles sont juste dans ma tête. Et à partir de là, en fait, je crois que j'ai décidé de sortir. Un petit orteil de cette cage pour pouvoir voir ce qui se passait à l'extérieur et simplement tester de nouvelles choses. Et je pense que ça a été le début de ma renaissance. Parce que crois-moi, quand on sort de cette cage et qu'on commence à expérimenter de nouvelles choses et qu'on réalise qu'en fait, ce n'est pas la fin du monde. Au contraire, qu'on apprend plein de choses, qu'on découvre plein de choses. En fait, on continue à sortir de plus en plus loin, à dépasser cette zone de confort encore et encore. et tout simplement à se rendre compte que c'est ça la vraie vie. Donc depuis, j'ai fait beaucoup de choses que je m'étais pourtant jurée de ne jamais faire. Alors la grande question c'est, est-ce que j'ai réussi à faire disparaître cette peur et comment j'ai fait Pour répondre à cette question, je n'ai absolument pas réussi à faire disparaître cette peur. J'ai simplement appris à la dompter avec le temps et à m'en servir comme une boussole. Et j'ai même envie de te dire que l'apprentissage continue encore et encore. parce que c'est vrai que la peur est une émotion qui est vraiment très très forte et elle a ce pouvoir de bien se cacher et de bien nous manipuler d'une certaine manière. Pour imager tout ça, je vais te raconter une expérience qui illustre parfaitement la puissance de la peur, mais aussi à quel point ça peut être un guide. Alors je te laisse imaginer la scène. Petite musique latino en mode vacances, soleil brillant, décor paradisiaque. On est au... Mexique. 16 janvier 2022, mon chéri m'offre un baptême de plongée pour mon anniversaire. Alors comme ça, sur papier, ça vend du rêve, une nouvelle expérience au Mexique, l'eau turquoise, parfaitement tempérée, des petits poissons colorés, mais dans ma tête, à ce moment-là, malgré l'excitation, je flippe grave. Alors, on choisit un centre de plongée où les instructeurs parlent français, parce que ça me rassure. J'enfile mon équipement pour pas très rassurée et quand on commence à faire les premiers exercices dans l'eau, j'ai déjà mon mental qui commence à faire des siennes et j'ai ces phrases là qui résonnent dans ma tête en boucle. T'es pas capable, c'est impossible, tu vas jamais y arriver. Bien sûr, je répète toutes ces phrases à voix haute et je dis à l'instructrice franchement je suis nulle, je vais jamais y arriver, c'est impossible, j'abandonne. Heureusement Les instructeurs sont très forts pour nous rassurer parce que je pense qu'ils doivent avoir l'habitude de ce genre de scénario tous les jours. Donc finalement vient le moment où on doit monter dans un bateau pour aller plonger en plein milieu des Caraïbes. Et là évidemment c'est de nouveau la panique, mer agitée, mal de mer, bref, panique à bord. Quand vient le moment de sauter du bateau, je me retrouve très rapidement à l'eau et là, encore une fois... panique mais fois dix mille je vois manger mon chéri et tous les autres s'éloigner parce que comme j'étais la seule qui faisait un baptême de plongée j'avais un instructeur que pour moi qui finalement ne parlait pas français mais espagnol et comme ça faisait qu'un mois que j'étais au mexique ben l'espagnol c'était pas encore tout à fait ça enfin bref il a très très vite compris que ça allait pas être du gâteau cette expérience avec moi donc il me propose d'essayer de descendre gentiment Mais à peine ma tête immergée sous l'eau, je commence à hyperventiler. Je me persuade que je vais mourir en fait. Mon mental, il ne capte pas. Il dit mais en fait, si tout d'un coup, il y a un problème et que je dois remonter rapidement, trop vite à la surface, je vais clamser. C'est une évidence. Donc, ce qui se passe, c'est que je commence à descendre et immédiatement, je ressors la tête de l'eau. J'enlève le masque, le détendeur. Je fais ça à plusieurs reprises parce qu'on recommence plusieurs fois. Et je dis à l'instructeur, c'est pas possible, j'ai beaucoup trop peur, je ne peux pas faire ça, je vais crever. Et vraiment, je n'ai jamais vu mon mental paniquer de cette manière, je me suis jamais vue comme ça, vraiment. Comme j'ai toujours été quelqu'un qui était dans le contrôle, là en fait je n'avais aucun contrôle s'il arrivait quelque chose. Enfin bref, l'instructeur essaie de me calmer tant bien que mal, il me fait allonger sur le dos et respirer. Donc grâce à la combinaison, je flotte et ça me permet de me calmer. Donc je me calme, mon mental se calme et en fait je sens au fond de moi que j'ai envie d'y arriver. J'ai envie de le faire et il y a un petit quelque chose au fond de moi qui veut persévérer. Je ne veux pas lâcher l'affaire, c'est mon cadeau d'anniversaire. J'ai dit oui et j'ai envie de vivre cette expérience et je vais le faire. Donc finalement, en quelque sorte, en ayant toutes ces pensées, c'est comme si je me reconnecte. à mon pourquoi. Et au bout de 15 bonnes minutes, je dirais, on finit par descendre. Très lentement, je regarde l'instructeur. Je suis complètement concentrée sur ma respiration, uniquement ma respiration. Et petit à petit, je sens que cette respiration me calme et me permet d'apaiser encore plus mon rythme cardiaque. Franchement, sur le moment, ça fait du bien d'être juste connectée à sa respiration, à son souffle. Et plus je descends, plus je me sens apaisée, loin de la panique que je venais de vivre juste 15 minutes auparavant. Je suis presque dans... dans l'émerveillement de ce que je suis en train de vivre, dans la gratitude de me dire Waouh, c'est incroyable ce changement comme ça Et ce calme en fait, ce calme qui m'envahit alors qu'il y a 15 minutes, c'était loin d'être calme à l'intérieur de moi. Et vraiment sur le moment, j'ose à peine croire que je suis en train de plonger. J'y pense même pas en fait, j'y pense pas. Je suis tellement concentrée sur ma respiration que je pense même plus à ce que je suis en train de faire. Donc... Pour cette première plongée, je t'avoue que je n'ai pas vu grand-chose. Je pense que ce n'était pas du tout la priorité de l'instructeur de me faire découvrir les fonds marins. Au vu de mon état, je pense que son objectif, c'était plutôt de me maintenir dans cet état de calme et de me montrer que tout était OK. Donc au bout de, je ne sais pas, 20-30 minutes, je pense, quand on finit par remonter à la surface, j'ai vraiment immédiatement cette sensation de fierté indescriptible. Ce truc où, waouh, putain, je l'ai fait. J'ai dépassé ma peur et j'ai décidé de prendre, entre guillemets, ce risque de vivre cette expérience malgré tout ce brouhaha mental. Et vraiment, je me suis dit, putain, j'ai prouvé à ma peur qu'elle avait tort, que j'étais capable de le faire et que j'ai survécu. Alors qu'en fait, elle m'avait complètement convaincue que si je le faisais, j'allais crever. Bref, je suis repartie avec cette fierté et je t'avoue que le soir même, mon mental a de nouveau essayé de me faire peur en mode, non mais t'es complètement folle. C'était beaucoup trop dangereux ce que t'as fait là, t'aurais pu y rester, ne recommence plus jamais. Mais cette fois-ci, j'ai vraiment compris que cette voix, elle était vraiment là pour me protéger. Elle faisait juste son rôle en fait. Son rôle, c'est de me maintenir en vie et de s'assurer que je ne fais pas de conneries. Et c'est évident que pour un être humain, ce n'est pas normal de respirer par la bouche dans un détendeur. C'est évident qu'on ne vit pas sous l'eau. Donc le mental était complètement en panique. D'autant plus que c'était quelque chose de... totalement nouveau pour lui et qu'il ne savait pas du tout à quoi s'attendre. Je ne savais pas du tout à quoi m'attendre. Donc finalement, j'ai d'une certaine manière accueilli cette peur en me disant c'est complètement ok, c'est complètement normal. Je peux même la remercier de veiller sur moi d'une certaine façon. Mais ce n'est pas pour autant que je dois la laisser prendre le dessus. D'ailleurs, depuis cette première expérience de plongée, j'ai réitéré l'expérience trois fois. Une fois en Jordanie et deux fois à Bali. Et d'ailleurs, quand j'y pense, je suis vraiment hyper reconnaissante d'être... tombé sur un instructeur si patient et à l'écoute au Mexique parce que sinon je pense que j'aurais clairement pu être dégoûtée à vie de cette expérience et ne jamais recommencer. C'est vraiment super important d'être bien entouré quand on fait des choses comme ça qui nous font peur, quand on se dépasse, quand on se challenge parce que si on a quelqu'un qui n'est pas du tout à l'écoute, qui ne respecte pas nos besoins et notre rythme, ça peut être très compliqué. Donc quand j'ai plongé une deuxième, une troisième, une... quatrième fois. Je t'avoue que le mental se souvenait très très bien de la première expérience. Donc il ne s'est pas gêné pour me refaire son petit scénario habituel de crise de panique. Mais cette fois c'était différent parce que ça a duré beaucoup moins longtemps. Je pense que ça a duré environ cinq minutes top chrono. Et au lieu d'être complètement enfermé dans cette peur, comme je l'avais déjà expérimenté, j'avais déjà tâté le terrain, je savais à quoi m'attendre. Et j'ai pu très vite en fait l'apaiser et même me dissocier de cette peur pour l'observer. Et même là à Bali au mois de novembre l'année passée, la dernière expérience que j'ai eue, c'était très rigolo parce que j'ai dû refaire les exercices en mode refresh dans une piscine. Et à peine je mettais la tête sous l'eau, je remontais, je renlevais tout alors que j'étais dans une piscine. Donc vraiment zéro risque on va dire. Et je me marrais parce que... En même temps, je sortais de l'eau et je disais à l'instructrice, non mais j'abandonne, c'est pas pour moi, j'y arriverai jamais. Mais en fait, je me marrais en disant ça et l'instructrice me disait, non mais arrête tes conneries là, t'es en train de rigoler, t'es mort de rire. Il n'y avait vraiment aucun sens, mais c'était vraiment, moi j'observais ces deux parts de moi bien distinctes. Donc la peur qui était bien présente, qui essayait de saboter l'expérience et qui le verbalisait. Et la part de moi qui rigolait, qui avait complètement confiance. qui savait en fait que tout allait très bien se passer. Et effectivement, c'était génial, même si j'avoue que ça reste quand même méga inconfortable pour moi. Je ne suis pas du tout dans ma zone de confort, parce que ce n'est pas quelque chose que je fais régulièrement. Et évidemment, quand... On fait une action une fois de temps en temps, c'est comme si on reprend un petit peu à zéro d'une certaine façon. Par contre, je suis persuadée que si je vais me faire une semaine de plongée, au bout d'un moment, ces crises de panique vont s'estomper. Enfin voilà pour la petite histoire plongée. Quoi qu'il en soit, le fait d'agir malgré la peur, ça m'a clairement fait prendre conscience que je suis capable de bien plus que ce que je ne le crois. Ça permet vraiment de briser instantanément des croyances limitantes. Ça fait clairement gagner en confiance en soi et en plus, en bonus, on vit des expériences juste incroyables et inoubliables. Alors si je t'ai raconté cette histoire de plongée, c'est parce qu'en fait dans la vie de tous les jours, il y a constamment cette lutte entre la part de nous qui flippe grave et la part de nous qui sait que tout va très bien se passer. Et je le dis toujours et je le répète encore, mais la peur c'est complètement légitime, c'est normal, c'est un mécanisme naturel qui est destiné à nous protéger. Elle survient face à un danger réel. Et dans mon cas, il y avait quand même une part de danger réel, mais il y avait aussi une part de danger anticipé. Et la plupart du temps, c'est plus un danger anticipé que réel. Le cerveau, il est hyper fort pour imaginer le pire des scénarios, mais il ne faut pas oublier que finalement, ce ne sont que des suppositions. Tu vois le genre de pensée du style, si je démissionne, je ne retrouverai plus jamais de job, je vais finir ruinée, je vais finir... par être jugé, rejeté par tout le monde. Enfin, tu vois, ça, c'est vraiment le pire des scénarios du monde. Et du coup, qu'est-ce qui se passe Le résultat, c'est qu'on croit à ce bullshit mental. Donc, on n'ose pas, on reste dans ce qu'on connaît, mais on reste aussi dans ce qui ne nous épanouit plus. Et on oublie qu'en restant là, finalement, on s'expose à d'autres risques bien plus réels qui sont de s'épuiser, de se sentir malheureux, finir en dépression et passer surtout à... à côté de ce qui pourrait vraiment nous épanouir. Tu vois, aujourd'hui, pour moi, la peur, c'est devenu une boussole. Parce qu'en fait, très souvent, derrière la peur, il y a un désir fort. Je répète, derrière la peur, il y a un désir fort. Et d'ailleurs, je vais te partager une autre phrase super puissante qui dit Tout ce que tu as toujours voulu se trouve de l'autre côté de la peur. Tu l'as peut-être déjà entendue, cette phrase, mais vraiment, retiens-la parce qu'elle est vraiment très très forte. Par contre, l'objectif, ce n'est pas et ça n'a jamais été de tuer ou de... combattre la peur, mais plutôt d'apprendre à l'apprivoiser, à lui parler et à la dépasser, à être plus forte qu'elle, à ne pas lui donner toute l'énergie, tout le pouvoir sur toi et à reprendre toi, ton propre pouvoir, ton pouvoir décisionnel. Et plus tu passeras à l'action, plus tu t'apercevras que la peur est en réalité bien moins puissante que ce que tu ne penses, bien moins puissante que toi. Un exercice super fort que je fais avec mes clientes en coaching, c'est de mettre en lumière. cette peur, de la rendre consciente parce que souvent, elle agit en mode incognito, cachée derrière les excuses, derrière l'autosabotage, derrière la procrastination, derrière des mauvais comportements et des mauvaises habitudes. Alors, cette histoire de plongée, c'était très intéressant pour moi parce que la peur, là, elle pouvait se cacher derrière rien du tout. Là, je l'ai clairement mis en lumière fois mille, mais dans notre quotidien, elle sait très bien se camoufler. Et d'ailleurs, j'aime bien expliquer à mes clientes que... Finalement, la peur, c'est comme un vampire. Quand elle est dans le noir, elle est hyper puissante, elle a le contrôle. Mais par contre, dès qu'on la met à la lumière, là, pouf, soudainement, elle perd de sa puissance. Comme un vampire. Donc, plus tu peux observer et mettre des mots sur tes peurs, plus tu reprends le pouvoir. Ensuite, c'est important de venir calmer et apaiser cette peur. On l'a vu, encore une fois, dans cette histoire de plongée. C'est ce que j'ai réussi à faire à travers la respiration. Se focaliser sur l'instant présent et changer d'angle de vue, ça permet de tout changer, de changer cette perception qu'on a. Ensuite, ce qui est essentiel, c'est de pouvoir dépasser les peurs, mais étape par étape. Plutôt que de tout vouloir faire d'un coup, faire des trucs de malade où là, ça va être plus difficile que d'y aller un pas après l'autre. Comme dans la plongée, j'ai dû descendre palier après palier. Par exemple, si tu veux créer ton entreprise, tu n'es pas obligé de penser direct que tu dois démissionner du jour au lendemain. Commence déjà par te renseigner, contacte des personnes qui ont passé par là, prépare le terrain pour ensuite pouvoir faire des petits pas qui t'amènent vers cette reconversion, vers cette indépendance, etc. Cultive ta confiance en toi en te souvenant que tu es capable. Et les preuves, ce sont tout simplement toutes ces petites victoires accumulées qui te démontrent ton esprit. tout simplement que tu peux réaliser bien plus de choses que tu ne l'imagines parce que tu les as réalisées. Donc cultive cette fierté pour tout ce que tu as déjà accompli et crois-moi, ça va te donner des ailes pour la suite. Sinon, je ne le répéterai jamais assez, mais on a tous besoin d'un regard extérieur, d'un mentor, d'un coach, d'une méthode pour pouvoir changer notre état d'esprit, déconstruire ce qu'on a intégré depuis très longtemps. Parfois, on est tellement enfermé là-dedans qu'on a de la peine à voir où est le frein. Tu l'auras compris, mais la peur, c'est clairement le blocage numéro un de l'être humain. Mais ça peut aussi être une boussole pour ceux qui sont prêts à changer de perception. Aujourd'hui, si j'étais resté enfermé dans ma cage... et que j'aurais laissé mes peurs dicter ma vie, en fait, je n'aurais jamais osé faire tout ce que j'ai fait. Et pourtant, derrière tous mes accomplissements, il y avait de la peur. Que ce soit changer de métier, me lancer dans l'entrepreneuriat, faire un saut en parachute ou faire de la plongée sous-marine, voyager à l'autre bout du monde et j'en passe, la peur était toujours présente. Mais si je m'étais arrêtée au pied de la porte, où ma peur me barrait la route et que je n'avais pas osé négocier avec la peur, clairement, à ma vie, elle serait à des années-lumière de ce que je vis aujourd'hui. Alors, comprends bien que la peur, elle n'a pas disparu. Elle ne disparaîtra jamais. Elle est toujours là, sur le palier. Mais au lieu d'être une porte blindée, elle s'est transformée en une boussole. Et j'ai une question pour toi aujourd'hui à laquelle j'aimerais que tu réfléchisses. Imagine si tu mets une petite action en place aujourd'hui, une action qui te fait peur, mais qui te permet d'aller vers ce qui t'appelle et ce qui te fait tellement vibrer. Réfléchis tout simplement où est-ce que tu pourrais être dans six mois Où est-ce que tu seras dans un an Et n'oublie pas que la vie, c'est un enchaînement d'expériences. Alors autant jouer le jeu parce qu'après tout, on est là pour ça. Alors je ne sais pas où tu en es aujourd'hui et qu'est-ce que tu vas faire après avoir écouté cet épisode, mais j'aimerais juste te rappeler une chose cruciale. C'est que si tu ne fais rien, eh bien rien ne changera. Alors si aujourd'hui tu te sens complètement bloqué, si tu te dis... Ouais, c'est bien beau tout ça, Vanesse, mais moi, j'ai des peurs inconscientes, j'ai des peurs qui me paralysent et je ne sais pas comment sortir, je ne sais pas par où commencer. Sache que c'est totalement normal. Mais sache aussi qu'il y a des solutions. Et au lieu de rester enfermé dans ces peurs, tu peux changer encore une fois d'angle de vue et décider d'aller chercher des solutions. Parce que oui, parfois, on est tellement enfermé là-dedans, c'est tellement ancré, et parfois, on a besoin d'être guidé tout simplement pour pouvoir sortir de tout ça. Et c'est d'ailleurs aussi pour cette raison-là que j'ai créé le programme Renaissance, parce que c'était important pour moi d'avoir un espace où je pouvais transmettre des outils, des outils simples mais hyper concrets, mais qui ont changé ma vie, et qui peuvent aujourd'hui également aider les personnes qui se sentent démunies, les aider justement à identifier et guérir ces peurs, ces blocages, pour enfin oser aller de l'autre côté de la peur. J'ai accompagné tellement de femmes qui avaient ces peurs, que ce soit du regard des autres, peur d'être jugée, peur d'échouer, peur de ne pas être aimée. Et elles se cachaient derrière la nourriture, derrière leur corps, derrière les excuses. Et au final, tout ça, c'était que des symptômes de toutes ces peurs, toutes ces résistances qui les empêchaient d'avancer. Voilà pour cet épisode, un peu plus long que d'habitude. Mais si tu as apprécié, n'hésite pas à le partager à une personne à qui ça pourrait être utile. Et si tu as envie de venir m'écrire sur Instagram pour me raconter tes prises de conscience et me dire comment ça a résonné pour toi et en quoi ça t'a aidé. N'hésite pas, je me ferai un grand plaisir de te répondre. D'ici là, je te dis à la semaine prochaine pour un tout nouvel épisode du podcast grandiose. Et n'oublie pas, tout ce que tu veux vraiment se trouve de l'autre côté de la peur. Merci d'avoir écouté cet épisode. Pour encore plus de contenu ou pour interagir avec moi, rejoins-moi sur les réseaux sociaux. Au fond de la description de cet épisode, tu trouveras un arbre à lien qui te redirigera vers mes réseaux sociaux, des ressources gratuites ainsi que mes accompagnements si tu désires travailler avec moi. Et comme d'habitude, si tu as apprécié cet épisode et que tu sens qu'il pourrait aider d'autres personnes de ton entourage, je t'invite à le partager autour de toi et à lui donner la note qu'il mérite sur Spotify ou sur Apple Podcast. Car je te rappelle que si le podcast évolue, c'est surtout grâce à toi. Je te remercie infiniment si tu prends quelques secondes pour le faire. Ta contribution a énormément de valeur pour moi. Je te souhaite une merveilleuse journée, soirée, nuit. Où que tu sois et quelle que soit l'heure à laquelle tu m'écoutes. Bisous bisous