Speaker #0Salut à tous et à toutes, je suis William Chalmandrier, kinésithérapeute et ostéopathe. Curieux de nature, passionné par une foule de sujets, je suis toujours en quête de découvertes nouvelles, riches et variées. Avec Hands On, on part ensemble à la rencontre de celles et ceux qui bougent, qui soignent, explorent et qui inspirent. Entre épisodes solos ou interviews, les minutes passées ensemble tourneront autour de la santé, du sport, du bien-être, ou plutôt même du mieux-être. Ici on ouvre grand les oreilles pour enrichir nos connaissances autour d'histoires hors du commun. Je te souhaite une très bonne écoute. Et bienvenue dans ce nouvel épisode du podcast Hands-On. Aujourd'hui on va parler des thérapies manuelles. C'était évoqué dans les titres et dans les descriptions. Ça va être... Un objet d'étude assez important dans les futurs épisodes et les futurs vocaux interviews qu'il va pouvoir y avoir. Donc on va poser un peu les bases sur les thérapies manuelles, parce qu'il en existe énormément. Je vais souvent parler forcément des deux que je connais le mieux, la kinésithérapie et l'ostéopathie, mais suite aux lectures et suite aux différentes publications que j'ai pu découvrir pendant mes études, Et puis des patients qui en parlent régulièrement, qu'on entend de plus en plus, on découvre qu'il en existe une multitude. Donc l'épisode d'aujourd'hui, l'idée c'est de comprendre un peu mieux le paysage qu'on peut retrouver en France à ce jour, et de saisir quelle peut être l'offre de soins, et qu'est-ce qui peut attirer les patients vers l'un ou l'autre, et les thérapeutes. Donc tout d'abord, bienvenue dans cet épisode. Aujourd'hui, on plonge ensemble dans l'univers un peu mystérieux, parfois scientifique, parfois alternatif, mais qui reste toujours fascinant. Il va y avoir plusieurs parties. Dans une première partie, on va définir les termes de thérapie manuelle. Ensuite, on fera un tour d'horizon des différentes thérapies manuelles dont je parlais. On va avoir une partie historique, sur le contexte historique de celle-ci. On ira un petit peu plus sur les recommandations actuelles, et notamment via une publication d'un article qui date un petit peu maintenant de 2010 de Pierre Trudel, mais qui évoque bien l'évolution chronologique des différentes thérapies manuelles. En avant-dernier lieu, on ira sur les dérives thérapeutiques. et via notamment le guide de pratique des dérives thérapeutiques qui a été rédigé en 2016 par le Conseil National de l'Ordre des Masseurs Kinésithérapeutes. Et enfin, on conclura sur la note un peu plus personnelle, pourquoi moi j'ai choisi de m'engager dans ce secteur des thérapies manuelles, dans le soin, et donc pourquoi en premier lieu la kinésithérapie, et puis dernièrement, qu'est-ce qui fait que... Je suis allé vers l'ostéopathie. La première partie, les définitions. Thérapie, ça vient du grec therapia, qui signifie soin et traitement. Donc l'idée c'est une démarche organisée pour soulager, soigner, accompagner un patient. Manuel, qui vient du latin manus, la main, donc ici désigne l'usage du toucher comme principal outil d'intervention. On peut donc dire qu'une thérapie manuelle est littéralement une approche de soins qui utilise les mains pour diagnostiquer, soulager ou améliorer la santé du patient ou de la patiente. D'ailleurs cette définition, qui est assez simple en somme, il y a une grande diversité de pratiques qui peut aller donc, comme je le disais, de la kinésithérapie, qui est considérée à ce jour la plus conventionnelle, vers l'ostéopathie et la chiropraxie, en passant par des approches beaucoup plus alternatives que l'on verra. juste après. La deuxième partie, le panorama des thérapies manuelles. Il m'a été bien présenté et je l'ai vraiment découvert il y a trois ans en lisant le livre Tout ce que vous n'avez jamais voulu savoir sur les thérapies manuelles, de Nicolas Pinceau et Richard Monvoisin, de kinésithérapeute et professeur à l'école de Grenoble. Ils ont publié ce livre en 2014 et il y a un chapitre entier sur les nombreuses thérapies manuelles que l'on peut retrouver en France à ce jour. Je vais évoquer ici une rapide chronologie de celles qui sont présentées. On démarre en 1835 par l'hydrothérapie, en 1847 la kinésithérapie, en 1874 l'ostéo. En 1895, la chiropraxie. Et en 1899, l'éthiopathie. On a ici quand même une bonne partie des pratiques les plus connues du grand public actuellement. Et ensuite, on va aller sur des pratiques un petit peu moins connues par la suite, mais quand même des noms que vous avez sûrement déjà entendus. En 1913, la réflexologie plantaire. 1922, le Reiki. 1929, l'ostéopathie crânio-sacrée. 1934 la méthode Pilate, 1936 le drainage lymphatique manuel, 1947 la méthode Mézières, en 1949 la méthode Feldenkrais, 64 kinésiologie appliquée, 71 le Rolfing, 1980 il y en a 3 différentes, il y a eu la faciathérapie, MDB, l'aptonomie et la microkinésithérapie, et la dernière de toutes celles-ci en 1983, la bio-kinergie. On découvre donc un champ extrêmement varié, avec des méthodes qui proviennent du secteur médical, pas mal qui proviennent des Etats-Unis, et d'autres avec des traditions un peu spirituelles et corporelles, psychocorporelles. Dans la troisième partie, l'éclairage historique. Donc via l'article de Pierre Trudel, je le disais. qui s'intitule « La thérapie manuelle devrait être le combat des kinésithérapeutes dans le concert des manipulations » . Il a publié ça en 2010 dans Kinésithérapie la revue, je mettrai le lien dans la description. Il rappelle donc que les thérapies manuelles remontent à l'Antiquité. On pense même que Hippocrate décrivait déjà des manipulations articulaires. Au Moyen-Âge, il y avait même des barbiers chirurgiens ou des guérisseurs populaires qui pratiquaient des gestes manuels. Comme expliqué précédemment, au XIXe siècle, on voit émerger les grandes figures modèles, donc l'ostéopathie et la chiropraxie, qui ont été inventées, qui ont été même créées pour l'ostéopathie Andrew Taylor Steele en 1874 à Kirksville aux Etats-Unis, et en 1895 par Daniel David Palmer, les deux ayant évoqué une... Une pratique un peu mystérieuse et magique qui a initié le début de la définition de la pratique. Elle s'est après répandue, elle se sent après répandue pas mal au niveau des Etats-Unis, et puis par certains étudiants sont venus ensuite en Europe. Au XXe siècle, la kinésithérapie prend son essor en Europe et... Elle se développe d'abord par de la gym médicale et des massages. Et puis, suite à la seconde guerre mondiale, la demande en soins est très importante. Et donc, elle se développe énormément à ce moment-là. Et devient petit à petit la kinésithérapie qu'on connaît actuellement, même si elle est en pleine évolution actuellement via les publications scientifiques. et la remise en question de beaucoup de pratiques de la boîte à outils qui a été utilisée jusqu'à ce jour par les kinés. Aujourd'hui, du coup, on est dans une période de coexistence, de pas mal d'approches, pour beaucoup très connues avec une réputation déjà bien faite, et d'autres, comme dit précédemment, qui ont une légitimité à débattre, voire à réfuter. Dans la quatrième partie... On va parler des recommandations scientifiques, et notamment via l'article que j'ai découvert dans une vidéo de Pierre-Elie Bernard, un ostéopathe et créateur de contenu sur la chaîne Les Chroniques de la Douleur. Si un jour il écoute cet audio, je le remercie grandement parce qu'il fait partie de ceux qui m'ont inspiré à faire ce que vous écoutez actuellement. Et il a du contenu très très très qualitatif, que ce soit dans les vidéos, dans les podcasts qu'il a pu faire. et dans la formation qu'il donne, il paraît vraiment que c'est quelque chose de très quali et super intéressant. Donc dans sa vidéo, il a parlé d'un article de l'INEAL qui a été publié en 2020 et qui a donné lieu à une infographie que je mettrai aussi dans la description avec 11 points communs pour l'ensemble des thérapeutes manuels et pour le coup, cette fois-ci, de manière internationale. Les 11 points sont Centrer le soin sur le patient Dépister les signaux d'alerte grave, prendre en compte le contexte biopsychosocial, limiter l'imagerie, réaliser un examen clinique complet, assurer un suivi, éduquer le patient. Encourager l'activité physique, utiliser la thérapie manuelle seulement comme un adjuvant, privilégier les options non chirurgicales et favoriser la reprise du travail. Autrement dit, la thérapie manuelle a clairement sa place, mais elle ne doit pas être isolée ni être déconnectée du reste de la pratique. Dans la cinquième partie, intitulée un parcours et des chiffres. On va très rapidement donner quelques chiffres importants sur les thérapies dont on vient de parler. En France, à ce jour, il y a environ 109 000 masseurs kinésithérapeutes, le dernier recensement de 2024. Il y a un chiffre beaucoup plus difficile à obtenir, malgré des recherches importantes, que ce soit pour mémoire ou pendant les études et puis dans les discussions suivantes. qui est celui du nombre d'ostéopathes, étant donné qu'il y a les ostéopathes exclusifs, qu'il y a les ostéopathes pro de santé, donc kinés, ergos, infirmiers, infirmières, sages-femmes, manipradios, pédicure-podologues ou médecins. Et donc le nombre avancé à ce jour se rapproche, pour l'ensemble des ostéos, se rapproche de 40 000 thérapeutes, avec normalement, donc ça c'est grâce à... à Osteopod.pro et au rapport de l'IGAS de 2021 et probablement avec un nombre de 2000 nouveaux diplômés chaque année. C'est un nombre qui, du coup, croît très rapidement. On retrouve 1900 chiropracteurs. Ce nombre a été récupéré via le répertoire RPPS d'octobre 2024, étant donné que le numéro Adélie a switché sur le répertoire RPPS en octobre. Il se peut que ce nombre et ces nombres soient à moduler dans le temps, étant donné qu'il y a pu avoir du doublon, qu'il y a eu quelques couacs sur le passage de l'Adélie au RPPS. Mais à ce jour, on va retenir quasi 2000 kilos en France, avec une école et deux sites, un à Ivry-sur-Seine et un dans Toulouse. qui du coup donne quelque chose de beaucoup plus ciblé, beaucoup plus homogène que pour les ostéos, et où il y a plus d'une trentaine d'écoles, et notamment avec certaines qui ont, il y a quelques années, fermé, parce que l'apprentissage était trop différent des unes vers les autres. Donc là-dessus, il y a quand même une vraie différence sur les deux pratiques, même si l'offre de soins et le système de santé, l'ostéo et la chiro ont été intégrés. au même moment et font partie de la même case, si on peut dire ça de cette façon. Et dans ces thérapies manuelles connues, il y a aussi l'éthiopathie, qui est un petit peu parvenue suite à l'émergence de l'ostéopathie et de la chiropraxie en Europe. Et on retrouve en France un nombre de 600 éthiopathes à peu près. À côté de ça, la faciothérapie et la microkinésithérapie. Ce sont par exemple deux thérapies, deux soins proposés, connus, on en entend quand même souvent parler, mais restent marginales et trouver des chiffres a été difficile. Dans la sixième partie, les dérives et les vigilances, comme décrit dans l'introduction, on va utiliser le guide. d'information et de prévention contre les dérives thérapeutiques qu'a publié le Conseil National de l'Ordre des Master Kinésithérapeutes en 2016 et dans ce guide, on peut retrouver quelque chose du style avec l'engouement pour les techniques alternatives on assiste à un phénomène préoccupant la multiplication des pratiques non conventionnelles à visée thérapeutique la MIVILUD estime que 4 français sur 10 y ont recours qu'il en existe plus de 400 des pratiques recensées, et que 1800 structures de formation sont considérées entre guillemets à risque. Une dérive thérapeutique, c'est quand une pratique n'est pas fondée sur des preuves scientifiques, mais sur des concepts invérifiables, des anecdotes ou des pseudosciences. Elle devient sectaire quand elle enferme le patient ou la patiente dans une croyance et l'isole de ses proches et du système de santé. Donc l'ordre des MK a pris position à plusieurs reprises. Et il a eu des avis officiels très clairs sur 5 pratiques. La faciathérapie, qu'il a jugée de dérive thérapeutique. La micro-kiné, absence de preuves. La kinésiologie, qui est interdite et assimilée à du charlatanisme. La bio-kinergie, avec des concepts inventés et pas de validation. L'ostéopathie crânienne, avec un avis très réservé, faute de preuves solides. Et elle donne un rappel général, en 2016, d'une grande vigilance face aux dérives. Ces prises de position rappellent qu'au-delà de l'enthousiasme, il faut garder un esprit critique et protéger les patients. En conclusion, mon parcours personnel. Pour terminer, je voulais recentrer le propos sur mon propre parcours. Il se trouve que mes idées de base étaient de faire trois possibilités, soit agriculteur, soit journaliste, soit kiné. Kiné parce que j'avais découvert ça via la vie de sportif, des blessures que j'ai pu avoir et des collègues et des potes qui se sont blessés. Agriculteur parce que dans mon environnement perso... J'ai pu passer pas mal de temps dans une, voire des fermes, et j'ai trouvé ça extra. Et journaliste parce que ça retournait un petit peu sur le parcours du sport, de la vie où ça bouge. Et donc j'ai pu faire les stages d'observation en agri et dans les trois, pour le coup. Et il se trouve que j'ai adoré les trois, mais agriculteur, n'ayant pas de terre, je trouvais ça compliqué de se lancer. Et puis journaliste. C'était un peu ce style-là aussi, mais par contre, il y avait surtout le fait qu'on ne fermait jamais la porte, et qu'en kiné, il y avait cette particularité de « je peux faire des grosses journées, mais le moment où je ferme la porte, normalement, ça y est, c'est fini pour la journée, et on en reparle demain » . C'était l'idée que j'avais à ce moment-là, il se trouve que c'est un peu différent dans les faits, mais voilà. Donc je suis parti vers la kiné, parce qu'en plus j'ai continué le sport pendant longtemps, et donc j'ai côtoyé la kiné pendant longtemps, et je la côtoie toujours actuellement, plus en tant que... sportif de hand, mais je suis entouré de la kiné à fond, j'adore toujours ce métier, c'est pour ça que j'apprécie de pouvoir en parler et le partager. Et voilà, il se trouve que par la suite, je me suis orienté vers l'ostéopathie, ça m'a questionné il y a 4 ans maintenant, étant donné que je trouvais que dans la kiné, j'avais quand même dans la kiné que je pratiquais, donc en cabinet libéral. Après avoir fait d'abord du libéral, puis après trois ans dans un centre de rééducation en tant que salarié, et re de nouveau du libéral, toutes ces parties-là feront l'objet d'épisodes futurs sur justement la particularité d'être kiné en structure libérale, kiné en salariat, et ou les deux en maison de retraite, pour avoir une idée de différentes possibilités. Pour vous donner, pour le coup, seulement mon avis personnel, mais ça peut sûrement parler à plein d'autres, si en plus ça peut aider des gens qui hésitent, des jeunes qui hésitent à se lancer là-dedans, ça peut leur donner des pistes et des envies, ce sera avec plaisir. Voilà, donc kiné titulaire, kiné remplaçant, actuellement c'est mon cas donc je peux largement en parler. Et voilà, ce qui fait que dans ma pratique de kiné libérale, je trouvais des limites. Les gens en faisaient pas mal de séances. Ça a évolué plutôt bien, mais il y avait quand même quelque chose qui restait. Ils allaient voir un ostéo, une ostéo, ou un autre thérapeute manuel, mais c'était quand même la majorité du temps ostéo ou chiro. Et quand ils revenaient, il y avait cette sensation que quelque chose avait vraiment été débloqué. Alors débloqué, à moduler, on n'est pas sur le blocage, le bassin décalé. Quelque chose avait vraiment avancé, il y avait eu un vrai gap de passé. Donc je me suis dit au début que c'était bizarre, parce qu'à l'école on ne m'avait pas du tout appris ça, on m'avait quand même plutôt même sous une cloche le métier d'ostéo, dans le sens où c'était presque associé, si j'exagère le trait, de la sorcellerie. Et donc voilà, hors de question d'aller vers cette magie-là. et voilà il m'a fallu du coup 6 ans pour me dire 6 ans de pratique avec différentes avec pratiques vachement différentes pour me dire que bon bah au bout d'un moment ça m'intéresse vraiment d'aller découvrir qu'est-ce qui se passe dans les soins dont les gens bénéficient parce qu'il y a forcément quelque chose d'important et de fort qui se passe pour que ils reviennent avec un bénéfice tel voilà pourquoi je me suis orienté vers l'ostéopathie il y a un peu plus de 3 ans maintenant Et je pensais juste apprendre quelques techniques et qui allaient vraiment améliorer ma pratique. Et en fait, j'ai découvert totalement un nouveau monde, quelque chose de très complémentaire avec la kiné, mais qui fait vraiment voir les choses autrement et qui permet... qui permet d'ouvrir des horizons que je n'envisageais même pas à ce jour. J'avoue avoir rencontré pendant les études, pour mon mémoire, de nombreuses personnes inspirantes, notamment des kinés-ostéopathes, pour certains qui à ce jour ne pratiquent plus que l'ostéo, pour certains et certaines qui à ce jour ne pratiquent plus que l'ostéo, et je trouve qu'ils ont un chemin de vie qui... personnellement m'inspire et donc j'ai envie de m'intéresser à ça et d'aller voir qu'est-ce qu'il peut y avoir de si bénéfique dans ça pour complètement aller switcher de l'un vers l'autre. En résumé, la kinésithérapie m'a fait rentrer dans le monde du soin, dans un milieu médical. Je dois avouer même que mes stages ont été passionnants, pouvoir mettre un pied à l'hôpital, en centre de rééducation. bénéficier de dissections humaines pendant les études. C'est des choses que malheureusement il n'y a pas en école d'ostéopathie, ou peu, très peu. C'est bien dommageable et ce serait top que ça puisse évoluer dans le temps. Donc voilà, la kiné m'a amené dans ce monde-là, m'a permis d'être proche justement du monde du sport aussi, et l'ostéopathie m'a ouvert à une pratique complémentaire et beaucoup plus libre. Beaucoup plus globale, c'est la chose qu'on entend souvent, mais pour le coup, je dois avouer que c'est quand même un peu réel, même si la kiné évolue largement positivement dans ce sens actuellement. Et a pour le coup aussi la possibilité d'avoir une liberté dans le temps de séance réalisé et dans la tarification vis-à-vis des patients et des patientes. En tout cas, il faut garder un esprit critique, il faut se méfier des dérives malgré tout. Et l'idée est quand même de rester centré sur l'essentiel, le, la, les, passion. Et on va conclure sur une citation de Emmanuel Jaffelin. La gentillesse est à la morale, ce que la kinésithérapie est à la médecine. Un massage de l'âme est donc une manière de faire le bien par la douceur. Bravo, tu es arrivé au bout de cet épisode. Merci pour ton écoute, j'espère qu'il t'a appris quelque chose, éveillé une nouvelle curiosité, ou simplement donné envie d'explorer plus loin. Si le projet te plaît, fais-le voyager. Parles-en autour de toi à une, deux, trois personnes ou plus si le cœur t'en dit. Et si tu veux vraiment m'aider, un commentaire, 5 étoiles sur ta plateforme de podcast préférée, Apple Podcasts, Spotify ou autre, ça fait vraiment la différence. Je t'en remercie par avance, à très vite pour de nouvelles aventures, à bientôt, ciao !