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Description

Est-ce que la vente ressemble plus à une galère qu’à une agréable navigation de plaisance ? Tu donnes, tu publies, tu communiques, et malgré tout… le silence.

Ou parfois le silence est brisé pour te dire que tu es tellement inspirante. Mais être inspirante ça ne met pas du beurre dans les coquillettes.

Alors tu commences à partir en vrille : s’ils voulaient acheter, ils auraient déjà acheté. Alors, à quoi bon ?....

Et tout ça pour ça ! Tu vois ?

C’est – heureusement – plus subtil que cela. Je veux t’aider à voir que vendre ce n’est pas nécessairement une galère. Cela peut même être plaisant – et fructueux.


C’est dans cet épisode (147) « Tu galères à vendre ». Tu vas découvrir :

  • Pourquoi ton expertise (aussi brillante soit-elle) ne suffit pas à vendre… et ce qu’il te manque vraiment

  • La pensée toute bête (mais ultra toxique) qui sabote tes ventes sans que tu t’en rendes compte

  • Le grand fossé entre ta réalité et celle de tes futurs clients, et comment le combler efficacement

  • La vérité sur ton audience et pourquoi tu n’es pas en train d’échouer quand cela prend du temps.

  • Un pilier stratégique souvent sous-estimé, qui permet de croître sur la durée.

  • Ce que tu peux faire dès aujourd’hui pour vendre sans t’épuiser… même avec une petite audience.


Vendre n’est pas une option quand tu es entrepreneure. Alors faisons en sorte que ce ne soit pas une punition !
Pour toi qui veux maintenant accélérer tes ventes, je t’invite à ma toute nouvelle Masterclass gratuite : « Comment vendre sans vous épuiser »

Inscris-toi en cliquant ici et viens en live mardi 13 mai à 10h.


🎧 Veille à t’abonner, liker et partager !


Le site: https://www.horsdesnormes.com/

Le livre « Femmes Hors des Normes »: https://www.amazon.fr/Femmes-Hors-Normes-dentreprendre-autrement/dp/2959542606

Mon TEDx sur la neurodivergence : https://youtu.be/SyqAz9K8Kyg?si=ZEtQaqzHveY9Ksie


Instagram : https://www.instagram.com/annevalerie_joyissime

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☀️Ressources offertes

Formation Comment avoir des clients : https://www.horsdesnormes.fr/formation-offerte-clients

Ebook comment trouver sa niche : https://www.horsdesnormes.fr/ebook-offert-choisir-sa-niche

Quizz dédié aux entrepreneures : https://www.horsdesnormes.com/le-test-entrepreneure


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre hors des normes est le podcast dédié aux femmes entrepreneurs qui désirent faire la différence par leur différence. Je suis Anne-Valérie Rocourt. Depuis 2010, j'accompagne les femmes originales et ambitieuses qui veulent se créer une vie riche et libre par la voie de l'entrepreneuriat. Si tu désires casser les codes, créer ta propre recette du succès et développer un business florissant au service de ta vie et de la vie, tu es ici chez toi. Dans le podcast Entreprendre hors des normes, je te dévoile, avec authenticité, profondeur et humour, des stratégies audacieuses, des approches mindset décalées, et parfois même une vision perchée, pour que ton business soit ton espace d'expansion. Ici, on célèbre ensemble la puissance des femmes qui osent assumer leur singularité, exprimer leur plein potentiel et laisser leur empreinte. Bienvenue dans ce nouvel épisode du podcast Entreprendre hors des normes et aujourd'hui j'ai choisi d'aborder un sujet, un verbe qui hérisse bien des poils, qui provoque bien des boutons. Allons-y, je le nomme le verbe « vendre » . Quand tu es salarié, et je crois que la plupart d'entre vous ont été salarié à un moment ou à un autre, quand tu es salarié, tu peux, dans la majorité des fonctions bien sûr, sauf si tu es dans une fonction commerciale, échapper à la vôtre. Quand tu deviens entrepreneur, c'est une différente affaire. Ça fait partie de ton métier d'entrepreneur. Et c'est là qu'il y a très souvent une désillusion première pour celles qui s'engagent dans l'entrepreneuriat. C'est ce moment où elles réalisent que l'expertise ne suffit pas. Même si tu le savais mentalement, c'est vraiment quand tu es confrontée à cette expérience que tu te dis « Ah ! Mon expertise, mes talents, mes compétences, mon expérience, tout mon background, ça ne suffit pas pour que les clients se bousculent au portillon. » Et je vois tellement d'entrepreneurs qui font tout, qui se contorsionnent, qui tentent tout ce qu'elles peuvent pour échapper à ce qu'elles perçoivent comme épreuve, qui est la vente. Et si j'en parle, avec tellement de compréhension et aussi de compassion, c'est parce que j'ai été de celles-là. Quand j'ai commencé en 2010 et pendant plusieurs années après, j'ai tout tenté. pour échapper à la vente. Et je t'en reparlerai. Seulement, tu vas réaliser, au fil de ce chemin-là, rapidement, en général, deux choses. La première chose, c'est que ça ne marche pas. Les clients ne viennent pas. L'argent ne rentre pas. La deuxième chose, elle est plus subtile, c'est que finalement, c'est plus douloureux de persister à résister à la vente que de plonger vraiment dedans. C'est plus dur de ne pas avoir de clients que d'avoir des clients en faisant ce qu'il est nécessaire de faire parce que tu sais qu'il y a des choses à faire pour accueillir tes clients. A fortiori, si tu as de l'ambition, a fortiori, si tu veux vraiment endosser ta posture de leader, d'entrepreneur, de CEO, appelle-la comme tu veux, si tu veux générer de la croissance, si tu veux avoir des merveilleux revenus, À la démesure de tes ambitions, il n'y a pas à tortiller, tu as à embrasser la vente. Dans cet épisode, je vais aborder la vente sous un angle particulier. J'en suis certaine, ça va résonner avec ton expérience, tes expériences, d'une manière ou d'une autre. Et je veux vraiment t'aider à enclencher cette évolution, qui est peut-être une révolution pour toi, qui va être d'entamer ce mouvement de « je galère à vendre » vers « j'apprends joyeusement à vendre » et au-delà. Maintenant, on est dans le format, là, d'un épisode de podcast avec des contraintes de temps. Cette contrainte, si c'en est une, que nous ne sommes pas en live ensemble. Et j'ai envie d'aller plus loin, beaucoup plus loin, pour t'aider à vendre plus, mieux, joyeusement, fluidement, librement. et avec des résultats phénoménaux. Donc j'ai une invitation pour toi. J'offre une toute nouvelle masterclass, une masterclass inédite, où je veux vraiment t'enseigner comment vendre sans t'épuiser. Dans cette masterclass, je vais te partager des nouveaux enseignements, notamment cet ennemi caché qui t'éloigne de tes clients, qui te donne le sentiment de ramer à contre-courant. On va le faire sortir du bois cet ennemi-là. Je veux t'aider à transformer la galère de trouver tes clients en un plaisir quotidien, parce que oui, c'est jour après jour que ça se passe. Et il y a quelque chose qui va être vraiment au cœur de cette masterclass. je vais te montrer, te démontrer, décortiquer c'est quoi le levier inconscient qui attire massivement tes clients. Et ce qui est ultra puissant, c'est que ça ne va pas te demander plus de temps par rapport à tout ce que tu fais déjà. Cette masterclass, elle est gratuite. Elle se déroule en live, mardi 13 mai à 10h. Tu as simplement à réserver ta place offerte. Tu trouveras le lien dans les notes du podcast, sur mon site web, sur mes réseaux sociaux. Tu peux me le demander en message privé aussi. Maintenant, entrons dans le cœur de cet épisode. J'ai choisi comme socle de cet épisode de dézinguer une phrase. qui t'éloigne énormément des ventes que tu veux réaliser, qui t'éloigne de tes clients, qui t'éloigne de l'argent. Je suis sûre qu'elle va te parler. Je suis sûre qu'elle va raisonner avec toi si tu essayes de vendre, si tu as tenté plein de choses qu'on te dit qu'il est bien, qu'il faut que tu fasses et que pour autant, tu n'as pas tous les clients que tu voudrais. Cette phrase-là, elle prend différentes formes, différentes formulations. Je vais t'en donner quelques-unes. Ça va se cristalliser autour de s'il voulait acheter, il l'aurait déjà fait. Si vraiment il voulait acheter mon offre, il se serait déjà décidé. Et il y a des déclinaisons de cette idée centrale. Les déclinaisons ça va être Je suis sûre que tu te reconnais dans une ou plusieurs de ces phrases et tu auras aussi tes phrases à toi. Ces phrases, ce sont des pensées, on est bien d'accord. Pour commencer, je t'invite à observer ce mouvement tout ou rien qui se niche ici. Soit ils auraient dû acheter, soit ils n'achèteront jamais. Soit j'ai la bonne audience, soit j'ai une mauvaise audience. Soit j'ai des personnes qui sont prêtes à acheter, soit j'ai des touristes. Tu vois le tout ou rien, la forme qui prend ? Et tu le sais très bien, cette pensée polarisée, elle t'éloigne de ta voie du milieu, cette voie par laquelle tu vas créer tes résultats. Maintenant, je vais t'emmener contempler encore une autre perspective. Quand tu nourris ces pensées-là, toutes ces phrases que je viens de citer, en arrière-plan, il y a très souvent une idée. Cette idée, c'est qu'ils auraient déjà dû voir. Ils devraient déjà savoir. Ils devraient avoir compris. Ils devraient connaître mon offre. Ils devraient. Ça, ça part d'un très gros biais de perception et je le vois souvent. Voilà ce biais de perception. Tu es au centre de ton monde. Mais tu n'es pas au centre de leur monde. Toi, tu vis jour et nuit. Oui, parfois la nuit aussi. Avec ton offre. Avec tout ce qui gravite autour de ton offre. Avec toutes tes réflexions sur ton offre. Avec ton prix, les modalités, ta promesse, etc. Mais pas eux, pas ton audience, pas ta communauté, pas ta liste, pas tes futurs clients. Toi, tu penses qu'à ça. Toi, tu es en surexposition permanente avec ton offre. La grande différence, c'est que tes futurs clients, ils sont en surexposition permanente avec des centaines d'offres. Le bien va être d'autant plus fort. Si tu as la même offre depuis plusieurs mois ou plusieurs années, tu vas même peut-être avoir l'impression de radoter, d'avoir déjà tout dit, de ne plus avoir la possibilité de trouver un autre angle, de saouler les gens, de les harceler, que forcément ils devraient déjà tous être au courant. Et franchement, je pourrais avoir ce sentiment avec sacrée bise. Ça fait deux ans et demi. que je vends cet accompagnement. J'en parle partout. J'en parle dans le podcast, ici. J'en parle sur mes réseaux sociaux, sur mon site web, dans mes lives, dans mes masterclass, dans mes emails. C'est dans toutes mes signatures, c'est partout. Et pour autant, j'ai encore régulièrement des entrepreneurs qui me contactent en me demandant comment j'accompagne. Est-ce que j'ai un programme ? Comment ça se passe ? totalement vierge de toute connaissance. À chaque fois, ça m'étonne. Ça m'étonne quelques secondes et je me souviens exactement ce que je suis en train de te dire là. C'est qu'il y a un fossé gigantesque entre ce qui se passe en toi et ce qui se passe dans la tête de tes futurs clients. La surexposition, elle ne porte pas du tout sur la même chose. Toi, c'est ton offre, ton offre, ton offre. Et eux, c'est des centaines d'offres, de postes, d'invitations, de sollicitations. Ça peut t'aider peut-être d'observer ton propre comportement. Est-ce que tu ouvres tous les emails ? Est-ce que tu cliques sur tous les liens ? Est-ce que tu lis attentivement tous les posts ? Est-ce que tu réponds à tous les appels à l'action ? Est-ce que tu réponds à toutes les questions qu'on te pose ? Est-ce que tu prends même la peine, ne serait-ce que de mettre un like ? Même si tu apprécies la personne, même si tu apprécies ce qu'elle transmet. Souvent, on ne prend pas le temps. On est pressé. On est occupé, on est préoccupé. Et quand tu te dis que s'ils voulaient acheter, ils auraient déjà acheté, ils l'auraient déjà fait, ils seraient déjà passés à l'action, tu présupposes une chose, tu présupposes qu'ils ont vu, qu'ils ont entendu, qu'ils ont compris, qu'ils ont ressenti, qu'ils sont décidés. Tu vois l'erreur dans cette présupposition ? Encore tout récemment, et ça revient tellement souvent au coaching Sacré-Bise, j'ai aidé une de mes clientes à préparer son prochain lancement. Donc on était en train de calibrer son plan de lancement, le nombre de postes, de mails, sa stratégie, son positionnement, etc. Très vite a émergé chez elle la fameuse peur de harceler, d'être lourdingue, d'être trop insistante, d'agacer les gens. Ça part de la supposition que les gens voient tout, qu'ils lisent tout. C'est faux, c'est archi faux. Alors oui, je sais, c'est contrariant, c'est affligeant. Tu n'es pas le centre de leur monde. Tu vois là, il y a un très joli paradoxe. Parce que d'un côté, tu ne veux pas les harceler, tu ne veux pas être trop lourde. tu veux pas envahir leur monde et en même temps tu veux vraiment que tes clients aient l'opportunité de se décider de s'engager auprès de toi et tu as à tenir en même temps les deux parties de ce paradoxe. Maintenant si on va dans un champ rationnel mathématique il est très peu, infiniment peu probable que tous tes futurs clients aient été exposés à ton offre. Ou, si on se met à un autre niveau, qu'ils aient été suffisamment exposés à ton offre. Imagine que tes futurs clients sont chacun sur un bateau en mer. Il y a des vagues, du brouillard, de la tempête, de la pluie. Ils cherchent à s'abriter dans un port, à se poser. Seulement, il y a des phares qui clignotent partout, qui indiquent plein de ports. Ils cherchent leur port, leur point d'accostage. Ta mission, ce n'est pas de les harceler à la radio, de hurler dans la radio. C'est de garder ton phare allumé. à ta place, sur ton positionnement, près de ton port, avec constance, avec puissance dans cette lumière, jusqu'à ce qu'il soit prêt à rentrer au port. Maintenant, j'entends souvent cette objection. Oui, mais moi... vont dire des entrepreneurs, « Mon audience, elle est trop petite. Je n'ai pas assez de monde. » Avec une autre déclinaison qui vient souvent avec, c'est « Il n'y a pas mes clients dans ma liste. » ou sur mon compte Insta, ou sur mon LinkedIn, ce ne sont pas mes clients, ce ne sont que des concurrents, ce ne sont que des collègues, mais ce ne sont pas mes futurs clients. Honnêtement. Et parfois, on fait ce petit exercice tout simple en coaching. Si tu additionnes le nombre de personnes qui sont sur chacun de tes comptes de réseaux sociaux, il suffit d'un seul. Ta liste d'emails, si tu en as une. Et toutes les personnes que tu connais dans la vraie vie, tous tes autres réseaux. Est-ce que tu es certaine que tes prochains clients ne sont pas là, dans ce nombre-là ? Je te parle bien de tes prochains clients. Et on se préoccupe juste là de tes prochains clients. Un client à la fois. Maintenant, c'est vrai, on est dans un contexte qui est celui de 2025. J'ai lu plusieurs études sur le nombre de points de contact qui sont nécessaires avant qu'une personne se décide à acheter. Je n'ai pas de source là à te donner. Il y a des chiffres très variés. qui sortent. Donc je ne veux pas mettre en avant une étude plutôt qu'une autre. Une chose est certaine, c'est que ce nombre de points de contact nécessaire a énormément augmenté au cours des dernières années. J'ai le souvenir d'une étude qui mentionnait le fait qu'on a besoin de 40 points de contact avec une personne avant d'acheter auprès d'elle. On a besoin de voir l'offre au moins 11 fois. et de consommer bon nombre d'heures de « contenu » auprès de cette personne. Je ne sais pas quelle est la véracité de ces chiffres, là je les sors de ma mémoire. En revanche, ce qui est certain, et ce que ça reflète, c'est qu'aujourd'hui, on ne dispose que d'une fraction de l'attention des gens. Tu as peut-être l'impression de faire quelque chose déjà de phénoménal en t'exposant. Et c'est super. Mais ça ne suffit pas. Notre mission, c'est de capter plus qu'une fraction de la tension. Et ça se fait par la répétition. Là, tu as une décision à prendre. Il y en a certaines qui vont se désoler, se plaindre, râler. C'est terrible que ça soit comme ça. Et là, tu vas commencer à moins t'engager, voire te désengager. Là, tu réponds à ton cerveau qui dit, oh là là, économisons de l'énergie. Ça va être trop d'efforts, même pas la peine d'y aller. Et il y en a d'autres, c'est nous, qu'allons voir l'opportunité. L'opportunité d'exercer notre pouvoir au bon endroit. Quand tu décides que ça ne sert à rien, d'aller ressasser que l'algo a changé, que tes impressions diminuent, que l'engagement baisse, etc. Là, tu reprends ton pouvoir. Là, tu décides d'agir là où est ton pouvoir. Il est où ton pouvoir ? Proposer ton offre en étant inventive, créative, ingénieuse. Et te questionner. Te questionner sur cet écart, et cet écart il est fondamental, tout se joue là, cet écart entre ce que tu as dit et ce qu'ils ont besoin d'entendre. La conversion, elle se niche dans cet écart. Te questionner, c'est pas compliqué. C'est de la créativité et de l'expérimentation. Dans la masterclass du 13 mai, je vais t'emmener plus en profondeur sur ces idées. Je vais les aborder encore par d'autres angles. On va aller dans des... à la fois de la profondeur et des exemples concrets. En particulier, on va aller voir c'est quoi ce levier inconscient qui joue à cet endroit-là. Maintenant, revenons à ton cerveau. Ton cerveau, il veut en même temps deux choses antagonistes. Et cette tension, je suis sûre que tu la ressens. Il veut d'une part recevoir en abondance des clients, de l'argent, des revenus, avoir de l'impact, etc. Et en même temps, oui en même temps, il te demande d'être économe de ton énergie, de ton temps, de ta créativité. Faudrait pas trop donner ? C'est ce que j'appelle le fonctionnement en mode transactionnel. Je donne X pour recevoir Y. Et si je constate que X ne me permet pas de recevoir Y, J'arrête de donner X. Ça, c'est ce que te demande ton cerveau primitif qui veut te protéger de trop d'efforts. Seulement, au moment où tu arrêtes de donner X, c'est exactement le moment où tu aurais besoin d'amplifier X. Et c'est là que tu décroches et que tu commences à nourrir ce sentiment que tu galères à vendre. Parce que, parfois, tu vas être franchement inventif. Ça peut être essayer une nouvelle stratégie, changer ton message, ton angle, changer des formats. Et parfois, c'est des toutes petites choses, une accroche, un objet de mail, une tagline, la couleur d'un bouton sur une page d'inscription. Ça peut créer des points de bascule. Donc tu vois, il ne s'agit pas de monter le volume et de crier plus fort. Il s'agit parfois juste de changer de chaîne, de fréquence. Quand ton audience n'achète pas, ce n'est pas qu'elle ne veut pas. C'est qu'elle ne reçoit pas ton message. Et c'est à toi d'ajuster, d'expérimenter, pour aller chercher la bonne fréquence où elle va capter ton message. Maintenant, tu vois, il y a vraiment une grande différence entre ces deux situations. Deux situations qui se jouent à la fois dans ta tête, dans ton corps. Suis-moi. Première situation, tu te dis, personne n'achète, personne ne veut acheter, sinon ils auraient déjà acheté, et d'ailleurs mon audience n'est pas la bonne, etc. Ça génère quoi ? Du découragement, de l'abattement. La solution que tu vas percevoir alors, ça va être la course aux chiffres. Trouver encore 1000 personnes. Aller frénétiquement sur un autre réseau social. Créer un lit de magnètes pour vite, vite, vite, avoir plein de nouvelles personnes dans ta liste de mails. Parce que là, miraculeusement, ça serait enfin les bonnes personnes. Plus les bonnes personnes que celles que tu as déjà dans ton orbite. Étrange, non ? Seconde situation, tu te dis, j'ai pas encore réussi à les toucher. J'ai pas encore trouvé le juste langage de mon offre. J'ai pas encore affiné et raffiné les mots. J'ai pas encore exprimé ce qu'ils ont vraiment besoin d'entendre. Ils se sont pas encore assez sentis entendus. Ou... Peut-être qu'ils n'ont pas eu encore assez de points de contact avec moi. Là, tu n'es pas découragé, tu es inspiré. Inspiré pour aller toucher ces 5, 10, 50, 100 ou plus personnes que tu désires accueillir comme client et qui sont déjà là parmi les personnes de ton audience. Que tu aies une audience de 200, 500, 1000, 10 000 personnes ou plus. Ça joue pareil. Parce que n'oublions pas que si ta vie est très occupée, très riche, très intense, très remplie, celle de ta communauté c'est pareil. Franchement, je rencontre rarement des personnes qui me disent « Ma vie est vide, je m'ennuie, je n'ai rien à faire, j'ai l'esprit vierge. » Et ça c'est important d'avoir ce contexte à l'esprit. C'est pour ça que tu as à être présente quand ils se promènent, quand ils se baladent sur les réseaux sociaux, d'être là avec ta vitrine allumée, attractive, avec des belles choses dedans. Parce que tu veux qu'ils soient rassurés sur le fait que tu es là, tu es présente, tu es engagée, tu es généreuse, tu es lumineuse. On a envie d'aller chez toi. Je vais te donner encore un autre élément de contexte. Et c'est vraiment important. Chaque décision d'achat se fait dans un contexte particulier. Chaque décision d'achat se fait quand le désir est élevé. Tu entends bien, je ne te parle pas de besoin, je te parle de désir. Et je pense qu'on ira voir ça aussi dans la masterclass pour décortiquer tout ça. C'est la raison pour laquelle tu as à semer des graines avec constance, avec persévérance, pour que quand le désir va monter, ce soit à toi qu'on pense, pas aux cent autres phares qu'on a vu clignoter. Et c'est important de voir que tu ne maîtrises pas le thermomètre de leur désir. Oui, tu peux souffler sur les braises, tu peux latider, tu peux contribuer à le faire monter, mais ça se passe en « e » in fine. Donc tu as ces deux éléments de contexte à prendre en compte. Et ça, ça nous ramène à un facteur fondamental que souvent on ne veut pas considérer, c'est le temps. Le facteur temps est essentiel à deux niveaux. Tu ne sais pas quand va être ce moment du point culminant du désir intense. Et tu ne sais pas une autre chose, c'est quel est le rapport de ton client au timing dans ses décisions. Certaines personnes décident vite, d'autres sont des décideurs plus longs. Et ça aussi c'est à prendre en compte. Pour certaines personnes, l'achat va se faire en un jour. Pour d'autres, ça va peut-être être en 7 ans. Et si je dis 7 ans, ce n'est pas tout à fait par hasard, parce que lors de mon dernier lancement de Sacrébise, il y a une entrepreneur qui a rejoint Sacrébise, qui est dans ma liste de contacts depuis 2018. Ça fait 7 ans. Et toi, tu es là à offrir de la valeur pour toutes ces personnes, qu'elles soient sur l'échelle d'un jour ou sur l'échelle de 7 ans. Et tu as à lâcher... le contrôle sur ce quand, sur ce timing. C'est là que si tu penses qu'ils devraient acheter, ils auraient déjà dû acheter, tu piétines complètement cette notion du processus du timing et de la durée. Et évidemment, tu te décourages. Alors que si tu penses vraiment juste à cette personne, celle qui est sur le point de se décider, avec la certitude qu'elle existe, là, tu t'encourages. Est-ce que tu peux te lever chaque jour en te disant « C'est aujourd'hui le jour de la décision » pour au moins une personne, ou pour dix si tu en veux dix, ou plus encore ? Parce que là tu vas être prête à aller créer cette rencontre, ce point de décision, jour après jour. Et le plus dur, ouais je sais, c'est sans l'attachement à sa concrétisation là tout de suite maintenant. On peut voir, la vente, absolument pas comme ni un sprint ni un marathon, c'est pas une course, c'est plus une danse comme un tango. tu guides et tu ressens le rythme de l'autre. Et parfois tu vas faire trois pas en avant et ton futur client il fait un seul pas en avant. Et là c'est subtil, tu as à la fois à t'adapter, pas créer de séparation et partir danser tout seul, et en même temps continuer à guider, à l'idée, à être connecté. Le fait que tes clients n'aient pas acheté, ça signifie une seule chose. Ils n'ont pas encore acheté. Pourquoi ? Parce qu'ils n'ont pas entendu ce qu'ils ont besoin d'entendre. Dans les éléments de contexte dont je viens de te parler. Parce que tu ne leur as pas encore dit ce qu'ils ont besoin d'entendre. Pas encore. Ce n'est pas à ton client d'être créatif pour te trouver, pour trouver ton offre. C'est à toi d'être créatif pour qu'il te trouve et qu'il la trouve. Et pour ça, tu as un mouvement essentiel à faire. Te décentrer de ton petit nombril et aller te positionner en leur nombril. Est-ce que tu as déjà pris le temps d'imaginer c'est quoi le voyage de ton client idéal depuis ce moment où il ne te connaît pas jusqu'au moment où il devient client ? J'ai parlé ici de client idéal et j'ai envie de te faire un petit clin d'œil. Même si ton client idéal est une personne déterminée, engagée, dynamique, qui prend ses décisions rapidement, qui a de l'argent, Oui, on a tous le rêve de ce genre de client idéal, on est bien d'accord. Ça reste un être humain, qui va peut-être avoir, au moment de la décision, des doutes, des résistances, des hésitations. N'oublions pas ça. Alors, pendant que ton client fait son voyage vers toi, Toi, tu as à créer les étapes de son voyage pour lui. Et toi, tu as aussi un autre voyage à faire. C'est ce voyage vers toi. C'est de croire que les gens ne veulent pas acheter, qu'ils n'achèteront pas, ou que tu ne sais pas vendre, que tu es une mauvaise vendeuse. Et tout ça, je vais t'en reparler dans la masterclass du 13 mai. Pour que aussi, tu arrives à aller changer ces éléments d'identité. Je veux revenir quelques instants sur cette notion de patience. Je ne suis pas en train de te dire qu'il va falloir attendre 7 ans pour avoir ton client. Non, j'ai aussi des femmes qui s'engagent dans Sacrébise, qui n'étaient pas dans mon univers 3 jours avant. Elles participent à la masterclass, elles sont embarquées, engagées. Elles disent oui, un oui ferme venu du cœur des tripes. Et ça donne des résultats magnifiques. Et en même temps, nous avons absolument à cultiver la patience. Et pas la patience comme une vertu de sagesse. Une patience stratégique. La patience fait partie de ta stratégie. Aujourd'hui, tu sèmes. Dans ton marketing, tu sèmes. Plein de graines. Mais est-ce que tu as prévu ta stratégie pour récolter dans 3 mois, dans 6 mois, dans 1 an, 5 ans, 7 ans ? Même si ta future cliente, elle est silencieuse. C'est là que la patience devient stratégique. Pas une patience immobile, figée, une patience en mouvement. Alors, peut-être qu'aujourd'hui tu as le sentiment de galérer à vendre. En tout cas, tu as collé l'étiquette « je galère » sur ton expérience de maintenant. Cette expérience où parfois il y a du découragement, un sentiment d'impuissance. Et oui, c'est frustrant quand tu as le sentiment de donner beaucoup et de recevoir vraiment pas beaucoup. C'est frustrant et c'est épuisant. Ce n'est pas la fin de l'histoire, ce n'est pas la fin de ton histoire, celle de ton business. Et si c'était juste un passage ? Un passage que la plupart des entrepreneurs traversent et je veux aussi normaliser ça. C'est ce moment charnière où tu peux reprendre ton pouvoir et te souvenir de tout ce que je t'ai transmis là, toutes ces richesses que je t'ai partagées dans cet épisode du podcast. Ce n'est pas à ton client d'être créatif pour te trouver, c'est à toi d'être créatif pour qu'il te trouve. Ce n'est pas parce qu'il n'a pas encore acheté qu'il ne va pas acheter, ni qu'il ne veut pas acheter. Il ne t'a pas encore entendu, au moment juste, avec les mots justes. Il ne s'est pas encore assez senti entendu. C'est ton pouvoir, là, maintenant, de créer ces transformations. Et la vente, ce n'est pas un lieu de contrainte, ce n'est pas une punition que tu dois porter comme un fardeau tout au long de ton parcours d'entrepreneur. C'est une rencontre. Pour que la rencontre ait lieu, tu as à te montrer. Et souviens-toi que chaque jour a ce potentiel d'être le jour de décision pour une personne, dix personnes, cent personnes, qui sait ? Et toi, tu vas être là, la porte ouverte. Et moi, je t'ouvre une porte. Je te rappelle mon invitation. Une invitation à faire un pas de danse. ensemble dans la masterclass qui se nomme Vendre sans vous épuiser. Je veux vraiment t'aider encore et encore à transformer ce qui est peut-être une galère pour toi en une belle danse joyeuse. Cette masterclass, elle est pour toi si peut-être tu rêves carrément de ne pas avoir à vendre. Ça serait tellement bien que les clients tombent du ciel. Tu sais que ça ne marche pas comme ça ? Ah, on va le faire marcher autrement ensemble. Si peut-être tu t'épuises à communiquer et que tu trouves que les résultats sont vraiment ridicules, je vais t'aider à créer des conversions tout en reprenant ton énergie. Et peut-être que oui, tu as des clients, mais c'est laborieux, c'est irrégulier. Tu as l'impression d'avoir un plafond de verre au-dessus de toi. On va aller le percer ensemble. On va faire tout ça dans la Masterclass du mardi 13 mai à 10h. Tu as simplement à t'inscrire, réserver ta place gratuite, offerte, grâce aux liens que tu sais absolument où trouver. Et d'ici là, je te confie une mission. Continue d'allumer ton phare. Tu ne sais jamais quand ta lumière va toucher quelqu'un. Et je peux te le dire avec certitude, elle le fera. Elle touchera ce quelqu'un, cette quelqu'une, ces quelques-uns, ces quelques-unes, assurément. Et c'est peut-être là, juste, maintenant. Je souhaite une magnifique fin de semaine. Et je te rappelle, une dernière fois, notre rendez-vous, mardi 13 mai à 10h en live pour cette masterclass inédite et phénoménale. Ma mission, c'est d'aider les femmes comme toi à se lâcher la bride pour lâcher les fauves. Si tu aimes ce podcast, tu vas adorer la formation que je t'offre. C'est le condensé de mon approche anticonformiste du business pour t'aider à accueillir tes prochains clients joyeusement. Reçois cette formation gratuitement en cliquant sur le lien dans les notes du podcast. Je jubile déjà en pensant à tout ce que tu vas réaliser.

Description

Est-ce que la vente ressemble plus à une galère qu’à une agréable navigation de plaisance ? Tu donnes, tu publies, tu communiques, et malgré tout… le silence.

Ou parfois le silence est brisé pour te dire que tu es tellement inspirante. Mais être inspirante ça ne met pas du beurre dans les coquillettes.

Alors tu commences à partir en vrille : s’ils voulaient acheter, ils auraient déjà acheté. Alors, à quoi bon ?....

Et tout ça pour ça ! Tu vois ?

C’est – heureusement – plus subtil que cela. Je veux t’aider à voir que vendre ce n’est pas nécessairement une galère. Cela peut même être plaisant – et fructueux.


C’est dans cet épisode (147) « Tu galères à vendre ». Tu vas découvrir :

  • Pourquoi ton expertise (aussi brillante soit-elle) ne suffit pas à vendre… et ce qu’il te manque vraiment

  • La pensée toute bête (mais ultra toxique) qui sabote tes ventes sans que tu t’en rendes compte

  • Le grand fossé entre ta réalité et celle de tes futurs clients, et comment le combler efficacement

  • La vérité sur ton audience et pourquoi tu n’es pas en train d’échouer quand cela prend du temps.

  • Un pilier stratégique souvent sous-estimé, qui permet de croître sur la durée.

  • Ce que tu peux faire dès aujourd’hui pour vendre sans t’épuiser… même avec une petite audience.


Vendre n’est pas une option quand tu es entrepreneure. Alors faisons en sorte que ce ne soit pas une punition !
Pour toi qui veux maintenant accélérer tes ventes, je t’invite à ma toute nouvelle Masterclass gratuite : « Comment vendre sans vous épuiser »

Inscris-toi en cliquant ici et viens en live mardi 13 mai à 10h.


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Le livre « Femmes Hors des Normes »: https://www.amazon.fr/Femmes-Hors-Normes-dentreprendre-autrement/dp/2959542606

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Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre hors des normes est le podcast dédié aux femmes entrepreneurs qui désirent faire la différence par leur différence. Je suis Anne-Valérie Rocourt. Depuis 2010, j'accompagne les femmes originales et ambitieuses qui veulent se créer une vie riche et libre par la voie de l'entrepreneuriat. Si tu désires casser les codes, créer ta propre recette du succès et développer un business florissant au service de ta vie et de la vie, tu es ici chez toi. Dans le podcast Entreprendre hors des normes, je te dévoile, avec authenticité, profondeur et humour, des stratégies audacieuses, des approches mindset décalées, et parfois même une vision perchée, pour que ton business soit ton espace d'expansion. Ici, on célèbre ensemble la puissance des femmes qui osent assumer leur singularité, exprimer leur plein potentiel et laisser leur empreinte. Bienvenue dans ce nouvel épisode du podcast Entreprendre hors des normes et aujourd'hui j'ai choisi d'aborder un sujet, un verbe qui hérisse bien des poils, qui provoque bien des boutons. Allons-y, je le nomme le verbe « vendre » . Quand tu es salarié, et je crois que la plupart d'entre vous ont été salarié à un moment ou à un autre, quand tu es salarié, tu peux, dans la majorité des fonctions bien sûr, sauf si tu es dans une fonction commerciale, échapper à la vôtre. Quand tu deviens entrepreneur, c'est une différente affaire. Ça fait partie de ton métier d'entrepreneur. Et c'est là qu'il y a très souvent une désillusion première pour celles qui s'engagent dans l'entrepreneuriat. C'est ce moment où elles réalisent que l'expertise ne suffit pas. Même si tu le savais mentalement, c'est vraiment quand tu es confrontée à cette expérience que tu te dis « Ah ! Mon expertise, mes talents, mes compétences, mon expérience, tout mon background, ça ne suffit pas pour que les clients se bousculent au portillon. » Et je vois tellement d'entrepreneurs qui font tout, qui se contorsionnent, qui tentent tout ce qu'elles peuvent pour échapper à ce qu'elles perçoivent comme épreuve, qui est la vente. Et si j'en parle, avec tellement de compréhension et aussi de compassion, c'est parce que j'ai été de celles-là. Quand j'ai commencé en 2010 et pendant plusieurs années après, j'ai tout tenté. pour échapper à la vente. Et je t'en reparlerai. Seulement, tu vas réaliser, au fil de ce chemin-là, rapidement, en général, deux choses. La première chose, c'est que ça ne marche pas. Les clients ne viennent pas. L'argent ne rentre pas. La deuxième chose, elle est plus subtile, c'est que finalement, c'est plus douloureux de persister à résister à la vente que de plonger vraiment dedans. C'est plus dur de ne pas avoir de clients que d'avoir des clients en faisant ce qu'il est nécessaire de faire parce que tu sais qu'il y a des choses à faire pour accueillir tes clients. A fortiori, si tu as de l'ambition, a fortiori, si tu veux vraiment endosser ta posture de leader, d'entrepreneur, de CEO, appelle-la comme tu veux, si tu veux générer de la croissance, si tu veux avoir des merveilleux revenus, À la démesure de tes ambitions, il n'y a pas à tortiller, tu as à embrasser la vente. Dans cet épisode, je vais aborder la vente sous un angle particulier. J'en suis certaine, ça va résonner avec ton expérience, tes expériences, d'une manière ou d'une autre. Et je veux vraiment t'aider à enclencher cette évolution, qui est peut-être une révolution pour toi, qui va être d'entamer ce mouvement de « je galère à vendre » vers « j'apprends joyeusement à vendre » et au-delà. Maintenant, on est dans le format, là, d'un épisode de podcast avec des contraintes de temps. Cette contrainte, si c'en est une, que nous ne sommes pas en live ensemble. Et j'ai envie d'aller plus loin, beaucoup plus loin, pour t'aider à vendre plus, mieux, joyeusement, fluidement, librement. et avec des résultats phénoménaux. Donc j'ai une invitation pour toi. J'offre une toute nouvelle masterclass, une masterclass inédite, où je veux vraiment t'enseigner comment vendre sans t'épuiser. Dans cette masterclass, je vais te partager des nouveaux enseignements, notamment cet ennemi caché qui t'éloigne de tes clients, qui te donne le sentiment de ramer à contre-courant. On va le faire sortir du bois cet ennemi-là. Je veux t'aider à transformer la galère de trouver tes clients en un plaisir quotidien, parce que oui, c'est jour après jour que ça se passe. Et il y a quelque chose qui va être vraiment au cœur de cette masterclass. je vais te montrer, te démontrer, décortiquer c'est quoi le levier inconscient qui attire massivement tes clients. Et ce qui est ultra puissant, c'est que ça ne va pas te demander plus de temps par rapport à tout ce que tu fais déjà. Cette masterclass, elle est gratuite. Elle se déroule en live, mardi 13 mai à 10h. Tu as simplement à réserver ta place offerte. Tu trouveras le lien dans les notes du podcast, sur mon site web, sur mes réseaux sociaux. Tu peux me le demander en message privé aussi. Maintenant, entrons dans le cœur de cet épisode. J'ai choisi comme socle de cet épisode de dézinguer une phrase. qui t'éloigne énormément des ventes que tu veux réaliser, qui t'éloigne de tes clients, qui t'éloigne de l'argent. Je suis sûre qu'elle va te parler. Je suis sûre qu'elle va raisonner avec toi si tu essayes de vendre, si tu as tenté plein de choses qu'on te dit qu'il est bien, qu'il faut que tu fasses et que pour autant, tu n'as pas tous les clients que tu voudrais. Cette phrase-là, elle prend différentes formes, différentes formulations. Je vais t'en donner quelques-unes. Ça va se cristalliser autour de s'il voulait acheter, il l'aurait déjà fait. Si vraiment il voulait acheter mon offre, il se serait déjà décidé. Et il y a des déclinaisons de cette idée centrale. Les déclinaisons ça va être Je suis sûre que tu te reconnais dans une ou plusieurs de ces phrases et tu auras aussi tes phrases à toi. Ces phrases, ce sont des pensées, on est bien d'accord. Pour commencer, je t'invite à observer ce mouvement tout ou rien qui se niche ici. Soit ils auraient dû acheter, soit ils n'achèteront jamais. Soit j'ai la bonne audience, soit j'ai une mauvaise audience. Soit j'ai des personnes qui sont prêtes à acheter, soit j'ai des touristes. Tu vois le tout ou rien, la forme qui prend ? Et tu le sais très bien, cette pensée polarisée, elle t'éloigne de ta voie du milieu, cette voie par laquelle tu vas créer tes résultats. Maintenant, je vais t'emmener contempler encore une autre perspective. Quand tu nourris ces pensées-là, toutes ces phrases que je viens de citer, en arrière-plan, il y a très souvent une idée. Cette idée, c'est qu'ils auraient déjà dû voir. Ils devraient déjà savoir. Ils devraient avoir compris. Ils devraient connaître mon offre. Ils devraient. Ça, ça part d'un très gros biais de perception et je le vois souvent. Voilà ce biais de perception. Tu es au centre de ton monde. Mais tu n'es pas au centre de leur monde. Toi, tu vis jour et nuit. Oui, parfois la nuit aussi. Avec ton offre. Avec tout ce qui gravite autour de ton offre. Avec toutes tes réflexions sur ton offre. Avec ton prix, les modalités, ta promesse, etc. Mais pas eux, pas ton audience, pas ta communauté, pas ta liste, pas tes futurs clients. Toi, tu penses qu'à ça. Toi, tu es en surexposition permanente avec ton offre. La grande différence, c'est que tes futurs clients, ils sont en surexposition permanente avec des centaines d'offres. Le bien va être d'autant plus fort. Si tu as la même offre depuis plusieurs mois ou plusieurs années, tu vas même peut-être avoir l'impression de radoter, d'avoir déjà tout dit, de ne plus avoir la possibilité de trouver un autre angle, de saouler les gens, de les harceler, que forcément ils devraient déjà tous être au courant. Et franchement, je pourrais avoir ce sentiment avec sacrée bise. Ça fait deux ans et demi. que je vends cet accompagnement. J'en parle partout. J'en parle dans le podcast, ici. J'en parle sur mes réseaux sociaux, sur mon site web, dans mes lives, dans mes masterclass, dans mes emails. C'est dans toutes mes signatures, c'est partout. Et pour autant, j'ai encore régulièrement des entrepreneurs qui me contactent en me demandant comment j'accompagne. Est-ce que j'ai un programme ? Comment ça se passe ? totalement vierge de toute connaissance. À chaque fois, ça m'étonne. Ça m'étonne quelques secondes et je me souviens exactement ce que je suis en train de te dire là. C'est qu'il y a un fossé gigantesque entre ce qui se passe en toi et ce qui se passe dans la tête de tes futurs clients. La surexposition, elle ne porte pas du tout sur la même chose. Toi, c'est ton offre, ton offre, ton offre. Et eux, c'est des centaines d'offres, de postes, d'invitations, de sollicitations. Ça peut t'aider peut-être d'observer ton propre comportement. Est-ce que tu ouvres tous les emails ? Est-ce que tu cliques sur tous les liens ? Est-ce que tu lis attentivement tous les posts ? Est-ce que tu réponds à tous les appels à l'action ? Est-ce que tu réponds à toutes les questions qu'on te pose ? Est-ce que tu prends même la peine, ne serait-ce que de mettre un like ? Même si tu apprécies la personne, même si tu apprécies ce qu'elle transmet. Souvent, on ne prend pas le temps. On est pressé. On est occupé, on est préoccupé. Et quand tu te dis que s'ils voulaient acheter, ils auraient déjà acheté, ils l'auraient déjà fait, ils seraient déjà passés à l'action, tu présupposes une chose, tu présupposes qu'ils ont vu, qu'ils ont entendu, qu'ils ont compris, qu'ils ont ressenti, qu'ils sont décidés. Tu vois l'erreur dans cette présupposition ? Encore tout récemment, et ça revient tellement souvent au coaching Sacré-Bise, j'ai aidé une de mes clientes à préparer son prochain lancement. Donc on était en train de calibrer son plan de lancement, le nombre de postes, de mails, sa stratégie, son positionnement, etc. Très vite a émergé chez elle la fameuse peur de harceler, d'être lourdingue, d'être trop insistante, d'agacer les gens. Ça part de la supposition que les gens voient tout, qu'ils lisent tout. C'est faux, c'est archi faux. Alors oui, je sais, c'est contrariant, c'est affligeant. Tu n'es pas le centre de leur monde. Tu vois là, il y a un très joli paradoxe. Parce que d'un côté, tu ne veux pas les harceler, tu ne veux pas être trop lourde. tu veux pas envahir leur monde et en même temps tu veux vraiment que tes clients aient l'opportunité de se décider de s'engager auprès de toi et tu as à tenir en même temps les deux parties de ce paradoxe. Maintenant si on va dans un champ rationnel mathématique il est très peu, infiniment peu probable que tous tes futurs clients aient été exposés à ton offre. Ou, si on se met à un autre niveau, qu'ils aient été suffisamment exposés à ton offre. Imagine que tes futurs clients sont chacun sur un bateau en mer. Il y a des vagues, du brouillard, de la tempête, de la pluie. Ils cherchent à s'abriter dans un port, à se poser. Seulement, il y a des phares qui clignotent partout, qui indiquent plein de ports. Ils cherchent leur port, leur point d'accostage. Ta mission, ce n'est pas de les harceler à la radio, de hurler dans la radio. C'est de garder ton phare allumé. à ta place, sur ton positionnement, près de ton port, avec constance, avec puissance dans cette lumière, jusqu'à ce qu'il soit prêt à rentrer au port. Maintenant, j'entends souvent cette objection. Oui, mais moi... vont dire des entrepreneurs, « Mon audience, elle est trop petite. Je n'ai pas assez de monde. » Avec une autre déclinaison qui vient souvent avec, c'est « Il n'y a pas mes clients dans ma liste. » ou sur mon compte Insta, ou sur mon LinkedIn, ce ne sont pas mes clients, ce ne sont que des concurrents, ce ne sont que des collègues, mais ce ne sont pas mes futurs clients. Honnêtement. Et parfois, on fait ce petit exercice tout simple en coaching. Si tu additionnes le nombre de personnes qui sont sur chacun de tes comptes de réseaux sociaux, il suffit d'un seul. Ta liste d'emails, si tu en as une. Et toutes les personnes que tu connais dans la vraie vie, tous tes autres réseaux. Est-ce que tu es certaine que tes prochains clients ne sont pas là, dans ce nombre-là ? Je te parle bien de tes prochains clients. Et on se préoccupe juste là de tes prochains clients. Un client à la fois. Maintenant, c'est vrai, on est dans un contexte qui est celui de 2025. J'ai lu plusieurs études sur le nombre de points de contact qui sont nécessaires avant qu'une personne se décide à acheter. Je n'ai pas de source là à te donner. Il y a des chiffres très variés. qui sortent. Donc je ne veux pas mettre en avant une étude plutôt qu'une autre. Une chose est certaine, c'est que ce nombre de points de contact nécessaire a énormément augmenté au cours des dernières années. J'ai le souvenir d'une étude qui mentionnait le fait qu'on a besoin de 40 points de contact avec une personne avant d'acheter auprès d'elle. On a besoin de voir l'offre au moins 11 fois. et de consommer bon nombre d'heures de « contenu » auprès de cette personne. Je ne sais pas quelle est la véracité de ces chiffres, là je les sors de ma mémoire. En revanche, ce qui est certain, et ce que ça reflète, c'est qu'aujourd'hui, on ne dispose que d'une fraction de l'attention des gens. Tu as peut-être l'impression de faire quelque chose déjà de phénoménal en t'exposant. Et c'est super. Mais ça ne suffit pas. Notre mission, c'est de capter plus qu'une fraction de la tension. Et ça se fait par la répétition. Là, tu as une décision à prendre. Il y en a certaines qui vont se désoler, se plaindre, râler. C'est terrible que ça soit comme ça. Et là, tu vas commencer à moins t'engager, voire te désengager. Là, tu réponds à ton cerveau qui dit, oh là là, économisons de l'énergie. Ça va être trop d'efforts, même pas la peine d'y aller. Et il y en a d'autres, c'est nous, qu'allons voir l'opportunité. L'opportunité d'exercer notre pouvoir au bon endroit. Quand tu décides que ça ne sert à rien, d'aller ressasser que l'algo a changé, que tes impressions diminuent, que l'engagement baisse, etc. Là, tu reprends ton pouvoir. Là, tu décides d'agir là où est ton pouvoir. Il est où ton pouvoir ? Proposer ton offre en étant inventive, créative, ingénieuse. Et te questionner. Te questionner sur cet écart, et cet écart il est fondamental, tout se joue là, cet écart entre ce que tu as dit et ce qu'ils ont besoin d'entendre. La conversion, elle se niche dans cet écart. Te questionner, c'est pas compliqué. C'est de la créativité et de l'expérimentation. Dans la masterclass du 13 mai, je vais t'emmener plus en profondeur sur ces idées. Je vais les aborder encore par d'autres angles. On va aller dans des... à la fois de la profondeur et des exemples concrets. En particulier, on va aller voir c'est quoi ce levier inconscient qui joue à cet endroit-là. Maintenant, revenons à ton cerveau. Ton cerveau, il veut en même temps deux choses antagonistes. Et cette tension, je suis sûre que tu la ressens. Il veut d'une part recevoir en abondance des clients, de l'argent, des revenus, avoir de l'impact, etc. Et en même temps, oui en même temps, il te demande d'être économe de ton énergie, de ton temps, de ta créativité. Faudrait pas trop donner ? C'est ce que j'appelle le fonctionnement en mode transactionnel. Je donne X pour recevoir Y. Et si je constate que X ne me permet pas de recevoir Y, J'arrête de donner X. Ça, c'est ce que te demande ton cerveau primitif qui veut te protéger de trop d'efforts. Seulement, au moment où tu arrêtes de donner X, c'est exactement le moment où tu aurais besoin d'amplifier X. Et c'est là que tu décroches et que tu commences à nourrir ce sentiment que tu galères à vendre. Parce que, parfois, tu vas être franchement inventif. Ça peut être essayer une nouvelle stratégie, changer ton message, ton angle, changer des formats. Et parfois, c'est des toutes petites choses, une accroche, un objet de mail, une tagline, la couleur d'un bouton sur une page d'inscription. Ça peut créer des points de bascule. Donc tu vois, il ne s'agit pas de monter le volume et de crier plus fort. Il s'agit parfois juste de changer de chaîne, de fréquence. Quand ton audience n'achète pas, ce n'est pas qu'elle ne veut pas. C'est qu'elle ne reçoit pas ton message. Et c'est à toi d'ajuster, d'expérimenter, pour aller chercher la bonne fréquence où elle va capter ton message. Maintenant, tu vois, il y a vraiment une grande différence entre ces deux situations. Deux situations qui se jouent à la fois dans ta tête, dans ton corps. Suis-moi. Première situation, tu te dis, personne n'achète, personne ne veut acheter, sinon ils auraient déjà acheté, et d'ailleurs mon audience n'est pas la bonne, etc. Ça génère quoi ? Du découragement, de l'abattement. La solution que tu vas percevoir alors, ça va être la course aux chiffres. Trouver encore 1000 personnes. Aller frénétiquement sur un autre réseau social. Créer un lit de magnètes pour vite, vite, vite, avoir plein de nouvelles personnes dans ta liste de mails. Parce que là, miraculeusement, ça serait enfin les bonnes personnes. Plus les bonnes personnes que celles que tu as déjà dans ton orbite. Étrange, non ? Seconde situation, tu te dis, j'ai pas encore réussi à les toucher. J'ai pas encore trouvé le juste langage de mon offre. J'ai pas encore affiné et raffiné les mots. J'ai pas encore exprimé ce qu'ils ont vraiment besoin d'entendre. Ils se sont pas encore assez sentis entendus. Ou... Peut-être qu'ils n'ont pas eu encore assez de points de contact avec moi. Là, tu n'es pas découragé, tu es inspiré. Inspiré pour aller toucher ces 5, 10, 50, 100 ou plus personnes que tu désires accueillir comme client et qui sont déjà là parmi les personnes de ton audience. Que tu aies une audience de 200, 500, 1000, 10 000 personnes ou plus. Ça joue pareil. Parce que n'oublions pas que si ta vie est très occupée, très riche, très intense, très remplie, celle de ta communauté c'est pareil. Franchement, je rencontre rarement des personnes qui me disent « Ma vie est vide, je m'ennuie, je n'ai rien à faire, j'ai l'esprit vierge. » Et ça c'est important d'avoir ce contexte à l'esprit. C'est pour ça que tu as à être présente quand ils se promènent, quand ils se baladent sur les réseaux sociaux, d'être là avec ta vitrine allumée, attractive, avec des belles choses dedans. Parce que tu veux qu'ils soient rassurés sur le fait que tu es là, tu es présente, tu es engagée, tu es généreuse, tu es lumineuse. On a envie d'aller chez toi. Je vais te donner encore un autre élément de contexte. Et c'est vraiment important. Chaque décision d'achat se fait dans un contexte particulier. Chaque décision d'achat se fait quand le désir est élevé. Tu entends bien, je ne te parle pas de besoin, je te parle de désir. Et je pense qu'on ira voir ça aussi dans la masterclass pour décortiquer tout ça. C'est la raison pour laquelle tu as à semer des graines avec constance, avec persévérance, pour que quand le désir va monter, ce soit à toi qu'on pense, pas aux cent autres phares qu'on a vu clignoter. Et c'est important de voir que tu ne maîtrises pas le thermomètre de leur désir. Oui, tu peux souffler sur les braises, tu peux latider, tu peux contribuer à le faire monter, mais ça se passe en « e » in fine. Donc tu as ces deux éléments de contexte à prendre en compte. Et ça, ça nous ramène à un facteur fondamental que souvent on ne veut pas considérer, c'est le temps. Le facteur temps est essentiel à deux niveaux. Tu ne sais pas quand va être ce moment du point culminant du désir intense. Et tu ne sais pas une autre chose, c'est quel est le rapport de ton client au timing dans ses décisions. Certaines personnes décident vite, d'autres sont des décideurs plus longs. Et ça aussi c'est à prendre en compte. Pour certaines personnes, l'achat va se faire en un jour. Pour d'autres, ça va peut-être être en 7 ans. Et si je dis 7 ans, ce n'est pas tout à fait par hasard, parce que lors de mon dernier lancement de Sacrébise, il y a une entrepreneur qui a rejoint Sacrébise, qui est dans ma liste de contacts depuis 2018. Ça fait 7 ans. Et toi, tu es là à offrir de la valeur pour toutes ces personnes, qu'elles soient sur l'échelle d'un jour ou sur l'échelle de 7 ans. Et tu as à lâcher... le contrôle sur ce quand, sur ce timing. C'est là que si tu penses qu'ils devraient acheter, ils auraient déjà dû acheter, tu piétines complètement cette notion du processus du timing et de la durée. Et évidemment, tu te décourages. Alors que si tu penses vraiment juste à cette personne, celle qui est sur le point de se décider, avec la certitude qu'elle existe, là, tu t'encourages. Est-ce que tu peux te lever chaque jour en te disant « C'est aujourd'hui le jour de la décision » pour au moins une personne, ou pour dix si tu en veux dix, ou plus encore ? Parce que là tu vas être prête à aller créer cette rencontre, ce point de décision, jour après jour. Et le plus dur, ouais je sais, c'est sans l'attachement à sa concrétisation là tout de suite maintenant. On peut voir, la vente, absolument pas comme ni un sprint ni un marathon, c'est pas une course, c'est plus une danse comme un tango. tu guides et tu ressens le rythme de l'autre. Et parfois tu vas faire trois pas en avant et ton futur client il fait un seul pas en avant. Et là c'est subtil, tu as à la fois à t'adapter, pas créer de séparation et partir danser tout seul, et en même temps continuer à guider, à l'idée, à être connecté. Le fait que tes clients n'aient pas acheté, ça signifie une seule chose. Ils n'ont pas encore acheté. Pourquoi ? Parce qu'ils n'ont pas entendu ce qu'ils ont besoin d'entendre. Dans les éléments de contexte dont je viens de te parler. Parce que tu ne leur as pas encore dit ce qu'ils ont besoin d'entendre. Pas encore. Ce n'est pas à ton client d'être créatif pour te trouver, pour trouver ton offre. C'est à toi d'être créatif pour qu'il te trouve et qu'il la trouve. Et pour ça, tu as un mouvement essentiel à faire. Te décentrer de ton petit nombril et aller te positionner en leur nombril. Est-ce que tu as déjà pris le temps d'imaginer c'est quoi le voyage de ton client idéal depuis ce moment où il ne te connaît pas jusqu'au moment où il devient client ? J'ai parlé ici de client idéal et j'ai envie de te faire un petit clin d'œil. Même si ton client idéal est une personne déterminée, engagée, dynamique, qui prend ses décisions rapidement, qui a de l'argent, Oui, on a tous le rêve de ce genre de client idéal, on est bien d'accord. Ça reste un être humain, qui va peut-être avoir, au moment de la décision, des doutes, des résistances, des hésitations. N'oublions pas ça. Alors, pendant que ton client fait son voyage vers toi, Toi, tu as à créer les étapes de son voyage pour lui. Et toi, tu as aussi un autre voyage à faire. C'est ce voyage vers toi. C'est de croire que les gens ne veulent pas acheter, qu'ils n'achèteront pas, ou que tu ne sais pas vendre, que tu es une mauvaise vendeuse. Et tout ça, je vais t'en reparler dans la masterclass du 13 mai. Pour que aussi, tu arrives à aller changer ces éléments d'identité. Je veux revenir quelques instants sur cette notion de patience. Je ne suis pas en train de te dire qu'il va falloir attendre 7 ans pour avoir ton client. Non, j'ai aussi des femmes qui s'engagent dans Sacrébise, qui n'étaient pas dans mon univers 3 jours avant. Elles participent à la masterclass, elles sont embarquées, engagées. Elles disent oui, un oui ferme venu du cœur des tripes. Et ça donne des résultats magnifiques. Et en même temps, nous avons absolument à cultiver la patience. Et pas la patience comme une vertu de sagesse. Une patience stratégique. La patience fait partie de ta stratégie. Aujourd'hui, tu sèmes. Dans ton marketing, tu sèmes. Plein de graines. Mais est-ce que tu as prévu ta stratégie pour récolter dans 3 mois, dans 6 mois, dans 1 an, 5 ans, 7 ans ? Même si ta future cliente, elle est silencieuse. C'est là que la patience devient stratégique. Pas une patience immobile, figée, une patience en mouvement. Alors, peut-être qu'aujourd'hui tu as le sentiment de galérer à vendre. En tout cas, tu as collé l'étiquette « je galère » sur ton expérience de maintenant. Cette expérience où parfois il y a du découragement, un sentiment d'impuissance. Et oui, c'est frustrant quand tu as le sentiment de donner beaucoup et de recevoir vraiment pas beaucoup. C'est frustrant et c'est épuisant. Ce n'est pas la fin de l'histoire, ce n'est pas la fin de ton histoire, celle de ton business. Et si c'était juste un passage ? Un passage que la plupart des entrepreneurs traversent et je veux aussi normaliser ça. C'est ce moment charnière où tu peux reprendre ton pouvoir et te souvenir de tout ce que je t'ai transmis là, toutes ces richesses que je t'ai partagées dans cet épisode du podcast. Ce n'est pas à ton client d'être créatif pour te trouver, c'est à toi d'être créatif pour qu'il te trouve. Ce n'est pas parce qu'il n'a pas encore acheté qu'il ne va pas acheter, ni qu'il ne veut pas acheter. Il ne t'a pas encore entendu, au moment juste, avec les mots justes. Il ne s'est pas encore assez senti entendu. C'est ton pouvoir, là, maintenant, de créer ces transformations. Et la vente, ce n'est pas un lieu de contrainte, ce n'est pas une punition que tu dois porter comme un fardeau tout au long de ton parcours d'entrepreneur. C'est une rencontre. Pour que la rencontre ait lieu, tu as à te montrer. Et souviens-toi que chaque jour a ce potentiel d'être le jour de décision pour une personne, dix personnes, cent personnes, qui sait ? Et toi, tu vas être là, la porte ouverte. Et moi, je t'ouvre une porte. Je te rappelle mon invitation. Une invitation à faire un pas de danse. ensemble dans la masterclass qui se nomme Vendre sans vous épuiser. Je veux vraiment t'aider encore et encore à transformer ce qui est peut-être une galère pour toi en une belle danse joyeuse. Cette masterclass, elle est pour toi si peut-être tu rêves carrément de ne pas avoir à vendre. Ça serait tellement bien que les clients tombent du ciel. Tu sais que ça ne marche pas comme ça ? Ah, on va le faire marcher autrement ensemble. Si peut-être tu t'épuises à communiquer et que tu trouves que les résultats sont vraiment ridicules, je vais t'aider à créer des conversions tout en reprenant ton énergie. Et peut-être que oui, tu as des clients, mais c'est laborieux, c'est irrégulier. Tu as l'impression d'avoir un plafond de verre au-dessus de toi. On va aller le percer ensemble. On va faire tout ça dans la Masterclass du mardi 13 mai à 10h. Tu as simplement à t'inscrire, réserver ta place gratuite, offerte, grâce aux liens que tu sais absolument où trouver. Et d'ici là, je te confie une mission. Continue d'allumer ton phare. Tu ne sais jamais quand ta lumière va toucher quelqu'un. Et je peux te le dire avec certitude, elle le fera. Elle touchera ce quelqu'un, cette quelqu'une, ces quelques-uns, ces quelques-unes, assurément. Et c'est peut-être là, juste, maintenant. Je souhaite une magnifique fin de semaine. Et je te rappelle, une dernière fois, notre rendez-vous, mardi 13 mai à 10h en live pour cette masterclass inédite et phénoménale. Ma mission, c'est d'aider les femmes comme toi à se lâcher la bride pour lâcher les fauves. Si tu aimes ce podcast, tu vas adorer la formation que je t'offre. C'est le condensé de mon approche anticonformiste du business pour t'aider à accueillir tes prochains clients joyeusement. Reçois cette formation gratuitement en cliquant sur le lien dans les notes du podcast. Je jubile déjà en pensant à tout ce que tu vas réaliser.

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Description

Est-ce que la vente ressemble plus à une galère qu’à une agréable navigation de plaisance ? Tu donnes, tu publies, tu communiques, et malgré tout… le silence.

Ou parfois le silence est brisé pour te dire que tu es tellement inspirante. Mais être inspirante ça ne met pas du beurre dans les coquillettes.

Alors tu commences à partir en vrille : s’ils voulaient acheter, ils auraient déjà acheté. Alors, à quoi bon ?....

Et tout ça pour ça ! Tu vois ?

C’est – heureusement – plus subtil que cela. Je veux t’aider à voir que vendre ce n’est pas nécessairement une galère. Cela peut même être plaisant – et fructueux.


C’est dans cet épisode (147) « Tu galères à vendre ». Tu vas découvrir :

  • Pourquoi ton expertise (aussi brillante soit-elle) ne suffit pas à vendre… et ce qu’il te manque vraiment

  • La pensée toute bête (mais ultra toxique) qui sabote tes ventes sans que tu t’en rendes compte

  • Le grand fossé entre ta réalité et celle de tes futurs clients, et comment le combler efficacement

  • La vérité sur ton audience et pourquoi tu n’es pas en train d’échouer quand cela prend du temps.

  • Un pilier stratégique souvent sous-estimé, qui permet de croître sur la durée.

  • Ce que tu peux faire dès aujourd’hui pour vendre sans t’épuiser… même avec une petite audience.


Vendre n’est pas une option quand tu es entrepreneure. Alors faisons en sorte que ce ne soit pas une punition !
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Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre hors des normes est le podcast dédié aux femmes entrepreneurs qui désirent faire la différence par leur différence. Je suis Anne-Valérie Rocourt. Depuis 2010, j'accompagne les femmes originales et ambitieuses qui veulent se créer une vie riche et libre par la voie de l'entrepreneuriat. Si tu désires casser les codes, créer ta propre recette du succès et développer un business florissant au service de ta vie et de la vie, tu es ici chez toi. Dans le podcast Entreprendre hors des normes, je te dévoile, avec authenticité, profondeur et humour, des stratégies audacieuses, des approches mindset décalées, et parfois même une vision perchée, pour que ton business soit ton espace d'expansion. Ici, on célèbre ensemble la puissance des femmes qui osent assumer leur singularité, exprimer leur plein potentiel et laisser leur empreinte. Bienvenue dans ce nouvel épisode du podcast Entreprendre hors des normes et aujourd'hui j'ai choisi d'aborder un sujet, un verbe qui hérisse bien des poils, qui provoque bien des boutons. Allons-y, je le nomme le verbe « vendre » . Quand tu es salarié, et je crois que la plupart d'entre vous ont été salarié à un moment ou à un autre, quand tu es salarié, tu peux, dans la majorité des fonctions bien sûr, sauf si tu es dans une fonction commerciale, échapper à la vôtre. Quand tu deviens entrepreneur, c'est une différente affaire. Ça fait partie de ton métier d'entrepreneur. Et c'est là qu'il y a très souvent une désillusion première pour celles qui s'engagent dans l'entrepreneuriat. C'est ce moment où elles réalisent que l'expertise ne suffit pas. Même si tu le savais mentalement, c'est vraiment quand tu es confrontée à cette expérience que tu te dis « Ah ! Mon expertise, mes talents, mes compétences, mon expérience, tout mon background, ça ne suffit pas pour que les clients se bousculent au portillon. » Et je vois tellement d'entrepreneurs qui font tout, qui se contorsionnent, qui tentent tout ce qu'elles peuvent pour échapper à ce qu'elles perçoivent comme épreuve, qui est la vente. Et si j'en parle, avec tellement de compréhension et aussi de compassion, c'est parce que j'ai été de celles-là. Quand j'ai commencé en 2010 et pendant plusieurs années après, j'ai tout tenté. pour échapper à la vente. Et je t'en reparlerai. Seulement, tu vas réaliser, au fil de ce chemin-là, rapidement, en général, deux choses. La première chose, c'est que ça ne marche pas. Les clients ne viennent pas. L'argent ne rentre pas. La deuxième chose, elle est plus subtile, c'est que finalement, c'est plus douloureux de persister à résister à la vente que de plonger vraiment dedans. C'est plus dur de ne pas avoir de clients que d'avoir des clients en faisant ce qu'il est nécessaire de faire parce que tu sais qu'il y a des choses à faire pour accueillir tes clients. A fortiori, si tu as de l'ambition, a fortiori, si tu veux vraiment endosser ta posture de leader, d'entrepreneur, de CEO, appelle-la comme tu veux, si tu veux générer de la croissance, si tu veux avoir des merveilleux revenus, À la démesure de tes ambitions, il n'y a pas à tortiller, tu as à embrasser la vente. Dans cet épisode, je vais aborder la vente sous un angle particulier. J'en suis certaine, ça va résonner avec ton expérience, tes expériences, d'une manière ou d'une autre. Et je veux vraiment t'aider à enclencher cette évolution, qui est peut-être une révolution pour toi, qui va être d'entamer ce mouvement de « je galère à vendre » vers « j'apprends joyeusement à vendre » et au-delà. Maintenant, on est dans le format, là, d'un épisode de podcast avec des contraintes de temps. Cette contrainte, si c'en est une, que nous ne sommes pas en live ensemble. Et j'ai envie d'aller plus loin, beaucoup plus loin, pour t'aider à vendre plus, mieux, joyeusement, fluidement, librement. et avec des résultats phénoménaux. Donc j'ai une invitation pour toi. J'offre une toute nouvelle masterclass, une masterclass inédite, où je veux vraiment t'enseigner comment vendre sans t'épuiser. Dans cette masterclass, je vais te partager des nouveaux enseignements, notamment cet ennemi caché qui t'éloigne de tes clients, qui te donne le sentiment de ramer à contre-courant. On va le faire sortir du bois cet ennemi-là. Je veux t'aider à transformer la galère de trouver tes clients en un plaisir quotidien, parce que oui, c'est jour après jour que ça se passe. Et il y a quelque chose qui va être vraiment au cœur de cette masterclass. je vais te montrer, te démontrer, décortiquer c'est quoi le levier inconscient qui attire massivement tes clients. Et ce qui est ultra puissant, c'est que ça ne va pas te demander plus de temps par rapport à tout ce que tu fais déjà. Cette masterclass, elle est gratuite. Elle se déroule en live, mardi 13 mai à 10h. Tu as simplement à réserver ta place offerte. Tu trouveras le lien dans les notes du podcast, sur mon site web, sur mes réseaux sociaux. Tu peux me le demander en message privé aussi. Maintenant, entrons dans le cœur de cet épisode. J'ai choisi comme socle de cet épisode de dézinguer une phrase. qui t'éloigne énormément des ventes que tu veux réaliser, qui t'éloigne de tes clients, qui t'éloigne de l'argent. Je suis sûre qu'elle va te parler. Je suis sûre qu'elle va raisonner avec toi si tu essayes de vendre, si tu as tenté plein de choses qu'on te dit qu'il est bien, qu'il faut que tu fasses et que pour autant, tu n'as pas tous les clients que tu voudrais. Cette phrase-là, elle prend différentes formes, différentes formulations. Je vais t'en donner quelques-unes. Ça va se cristalliser autour de s'il voulait acheter, il l'aurait déjà fait. Si vraiment il voulait acheter mon offre, il se serait déjà décidé. Et il y a des déclinaisons de cette idée centrale. Les déclinaisons ça va être Je suis sûre que tu te reconnais dans une ou plusieurs de ces phrases et tu auras aussi tes phrases à toi. Ces phrases, ce sont des pensées, on est bien d'accord. Pour commencer, je t'invite à observer ce mouvement tout ou rien qui se niche ici. Soit ils auraient dû acheter, soit ils n'achèteront jamais. Soit j'ai la bonne audience, soit j'ai une mauvaise audience. Soit j'ai des personnes qui sont prêtes à acheter, soit j'ai des touristes. Tu vois le tout ou rien, la forme qui prend ? Et tu le sais très bien, cette pensée polarisée, elle t'éloigne de ta voie du milieu, cette voie par laquelle tu vas créer tes résultats. Maintenant, je vais t'emmener contempler encore une autre perspective. Quand tu nourris ces pensées-là, toutes ces phrases que je viens de citer, en arrière-plan, il y a très souvent une idée. Cette idée, c'est qu'ils auraient déjà dû voir. Ils devraient déjà savoir. Ils devraient avoir compris. Ils devraient connaître mon offre. Ils devraient. Ça, ça part d'un très gros biais de perception et je le vois souvent. Voilà ce biais de perception. Tu es au centre de ton monde. Mais tu n'es pas au centre de leur monde. Toi, tu vis jour et nuit. Oui, parfois la nuit aussi. Avec ton offre. Avec tout ce qui gravite autour de ton offre. Avec toutes tes réflexions sur ton offre. Avec ton prix, les modalités, ta promesse, etc. Mais pas eux, pas ton audience, pas ta communauté, pas ta liste, pas tes futurs clients. Toi, tu penses qu'à ça. Toi, tu es en surexposition permanente avec ton offre. La grande différence, c'est que tes futurs clients, ils sont en surexposition permanente avec des centaines d'offres. Le bien va être d'autant plus fort. Si tu as la même offre depuis plusieurs mois ou plusieurs années, tu vas même peut-être avoir l'impression de radoter, d'avoir déjà tout dit, de ne plus avoir la possibilité de trouver un autre angle, de saouler les gens, de les harceler, que forcément ils devraient déjà tous être au courant. Et franchement, je pourrais avoir ce sentiment avec sacrée bise. Ça fait deux ans et demi. que je vends cet accompagnement. J'en parle partout. J'en parle dans le podcast, ici. J'en parle sur mes réseaux sociaux, sur mon site web, dans mes lives, dans mes masterclass, dans mes emails. C'est dans toutes mes signatures, c'est partout. Et pour autant, j'ai encore régulièrement des entrepreneurs qui me contactent en me demandant comment j'accompagne. Est-ce que j'ai un programme ? Comment ça se passe ? totalement vierge de toute connaissance. À chaque fois, ça m'étonne. Ça m'étonne quelques secondes et je me souviens exactement ce que je suis en train de te dire là. C'est qu'il y a un fossé gigantesque entre ce qui se passe en toi et ce qui se passe dans la tête de tes futurs clients. La surexposition, elle ne porte pas du tout sur la même chose. Toi, c'est ton offre, ton offre, ton offre. Et eux, c'est des centaines d'offres, de postes, d'invitations, de sollicitations. Ça peut t'aider peut-être d'observer ton propre comportement. Est-ce que tu ouvres tous les emails ? Est-ce que tu cliques sur tous les liens ? Est-ce que tu lis attentivement tous les posts ? Est-ce que tu réponds à tous les appels à l'action ? Est-ce que tu réponds à toutes les questions qu'on te pose ? Est-ce que tu prends même la peine, ne serait-ce que de mettre un like ? Même si tu apprécies la personne, même si tu apprécies ce qu'elle transmet. Souvent, on ne prend pas le temps. On est pressé. On est occupé, on est préoccupé. Et quand tu te dis que s'ils voulaient acheter, ils auraient déjà acheté, ils l'auraient déjà fait, ils seraient déjà passés à l'action, tu présupposes une chose, tu présupposes qu'ils ont vu, qu'ils ont entendu, qu'ils ont compris, qu'ils ont ressenti, qu'ils sont décidés. Tu vois l'erreur dans cette présupposition ? Encore tout récemment, et ça revient tellement souvent au coaching Sacré-Bise, j'ai aidé une de mes clientes à préparer son prochain lancement. Donc on était en train de calibrer son plan de lancement, le nombre de postes, de mails, sa stratégie, son positionnement, etc. Très vite a émergé chez elle la fameuse peur de harceler, d'être lourdingue, d'être trop insistante, d'agacer les gens. Ça part de la supposition que les gens voient tout, qu'ils lisent tout. C'est faux, c'est archi faux. Alors oui, je sais, c'est contrariant, c'est affligeant. Tu n'es pas le centre de leur monde. Tu vois là, il y a un très joli paradoxe. Parce que d'un côté, tu ne veux pas les harceler, tu ne veux pas être trop lourde. tu veux pas envahir leur monde et en même temps tu veux vraiment que tes clients aient l'opportunité de se décider de s'engager auprès de toi et tu as à tenir en même temps les deux parties de ce paradoxe. Maintenant si on va dans un champ rationnel mathématique il est très peu, infiniment peu probable que tous tes futurs clients aient été exposés à ton offre. Ou, si on se met à un autre niveau, qu'ils aient été suffisamment exposés à ton offre. Imagine que tes futurs clients sont chacun sur un bateau en mer. Il y a des vagues, du brouillard, de la tempête, de la pluie. Ils cherchent à s'abriter dans un port, à se poser. Seulement, il y a des phares qui clignotent partout, qui indiquent plein de ports. Ils cherchent leur port, leur point d'accostage. Ta mission, ce n'est pas de les harceler à la radio, de hurler dans la radio. C'est de garder ton phare allumé. à ta place, sur ton positionnement, près de ton port, avec constance, avec puissance dans cette lumière, jusqu'à ce qu'il soit prêt à rentrer au port. Maintenant, j'entends souvent cette objection. Oui, mais moi... vont dire des entrepreneurs, « Mon audience, elle est trop petite. Je n'ai pas assez de monde. » Avec une autre déclinaison qui vient souvent avec, c'est « Il n'y a pas mes clients dans ma liste. » ou sur mon compte Insta, ou sur mon LinkedIn, ce ne sont pas mes clients, ce ne sont que des concurrents, ce ne sont que des collègues, mais ce ne sont pas mes futurs clients. Honnêtement. Et parfois, on fait ce petit exercice tout simple en coaching. Si tu additionnes le nombre de personnes qui sont sur chacun de tes comptes de réseaux sociaux, il suffit d'un seul. Ta liste d'emails, si tu en as une. Et toutes les personnes que tu connais dans la vraie vie, tous tes autres réseaux. Est-ce que tu es certaine que tes prochains clients ne sont pas là, dans ce nombre-là ? Je te parle bien de tes prochains clients. Et on se préoccupe juste là de tes prochains clients. Un client à la fois. Maintenant, c'est vrai, on est dans un contexte qui est celui de 2025. J'ai lu plusieurs études sur le nombre de points de contact qui sont nécessaires avant qu'une personne se décide à acheter. Je n'ai pas de source là à te donner. Il y a des chiffres très variés. qui sortent. Donc je ne veux pas mettre en avant une étude plutôt qu'une autre. Une chose est certaine, c'est que ce nombre de points de contact nécessaire a énormément augmenté au cours des dernières années. J'ai le souvenir d'une étude qui mentionnait le fait qu'on a besoin de 40 points de contact avec une personne avant d'acheter auprès d'elle. On a besoin de voir l'offre au moins 11 fois. et de consommer bon nombre d'heures de « contenu » auprès de cette personne. Je ne sais pas quelle est la véracité de ces chiffres, là je les sors de ma mémoire. En revanche, ce qui est certain, et ce que ça reflète, c'est qu'aujourd'hui, on ne dispose que d'une fraction de l'attention des gens. Tu as peut-être l'impression de faire quelque chose déjà de phénoménal en t'exposant. Et c'est super. Mais ça ne suffit pas. Notre mission, c'est de capter plus qu'une fraction de la tension. Et ça se fait par la répétition. Là, tu as une décision à prendre. Il y en a certaines qui vont se désoler, se plaindre, râler. C'est terrible que ça soit comme ça. Et là, tu vas commencer à moins t'engager, voire te désengager. Là, tu réponds à ton cerveau qui dit, oh là là, économisons de l'énergie. Ça va être trop d'efforts, même pas la peine d'y aller. Et il y en a d'autres, c'est nous, qu'allons voir l'opportunité. L'opportunité d'exercer notre pouvoir au bon endroit. Quand tu décides que ça ne sert à rien, d'aller ressasser que l'algo a changé, que tes impressions diminuent, que l'engagement baisse, etc. Là, tu reprends ton pouvoir. Là, tu décides d'agir là où est ton pouvoir. Il est où ton pouvoir ? Proposer ton offre en étant inventive, créative, ingénieuse. Et te questionner. Te questionner sur cet écart, et cet écart il est fondamental, tout se joue là, cet écart entre ce que tu as dit et ce qu'ils ont besoin d'entendre. La conversion, elle se niche dans cet écart. Te questionner, c'est pas compliqué. C'est de la créativité et de l'expérimentation. Dans la masterclass du 13 mai, je vais t'emmener plus en profondeur sur ces idées. Je vais les aborder encore par d'autres angles. On va aller dans des... à la fois de la profondeur et des exemples concrets. En particulier, on va aller voir c'est quoi ce levier inconscient qui joue à cet endroit-là. Maintenant, revenons à ton cerveau. Ton cerveau, il veut en même temps deux choses antagonistes. Et cette tension, je suis sûre que tu la ressens. Il veut d'une part recevoir en abondance des clients, de l'argent, des revenus, avoir de l'impact, etc. Et en même temps, oui en même temps, il te demande d'être économe de ton énergie, de ton temps, de ta créativité. Faudrait pas trop donner ? C'est ce que j'appelle le fonctionnement en mode transactionnel. Je donne X pour recevoir Y. Et si je constate que X ne me permet pas de recevoir Y, J'arrête de donner X. Ça, c'est ce que te demande ton cerveau primitif qui veut te protéger de trop d'efforts. Seulement, au moment où tu arrêtes de donner X, c'est exactement le moment où tu aurais besoin d'amplifier X. Et c'est là que tu décroches et que tu commences à nourrir ce sentiment que tu galères à vendre. Parce que, parfois, tu vas être franchement inventif. Ça peut être essayer une nouvelle stratégie, changer ton message, ton angle, changer des formats. Et parfois, c'est des toutes petites choses, une accroche, un objet de mail, une tagline, la couleur d'un bouton sur une page d'inscription. Ça peut créer des points de bascule. Donc tu vois, il ne s'agit pas de monter le volume et de crier plus fort. Il s'agit parfois juste de changer de chaîne, de fréquence. Quand ton audience n'achète pas, ce n'est pas qu'elle ne veut pas. C'est qu'elle ne reçoit pas ton message. Et c'est à toi d'ajuster, d'expérimenter, pour aller chercher la bonne fréquence où elle va capter ton message. Maintenant, tu vois, il y a vraiment une grande différence entre ces deux situations. Deux situations qui se jouent à la fois dans ta tête, dans ton corps. Suis-moi. Première situation, tu te dis, personne n'achète, personne ne veut acheter, sinon ils auraient déjà acheté, et d'ailleurs mon audience n'est pas la bonne, etc. Ça génère quoi ? Du découragement, de l'abattement. La solution que tu vas percevoir alors, ça va être la course aux chiffres. Trouver encore 1000 personnes. Aller frénétiquement sur un autre réseau social. Créer un lit de magnètes pour vite, vite, vite, avoir plein de nouvelles personnes dans ta liste de mails. Parce que là, miraculeusement, ça serait enfin les bonnes personnes. Plus les bonnes personnes que celles que tu as déjà dans ton orbite. Étrange, non ? Seconde situation, tu te dis, j'ai pas encore réussi à les toucher. J'ai pas encore trouvé le juste langage de mon offre. J'ai pas encore affiné et raffiné les mots. J'ai pas encore exprimé ce qu'ils ont vraiment besoin d'entendre. Ils se sont pas encore assez sentis entendus. Ou... Peut-être qu'ils n'ont pas eu encore assez de points de contact avec moi. Là, tu n'es pas découragé, tu es inspiré. Inspiré pour aller toucher ces 5, 10, 50, 100 ou plus personnes que tu désires accueillir comme client et qui sont déjà là parmi les personnes de ton audience. Que tu aies une audience de 200, 500, 1000, 10 000 personnes ou plus. Ça joue pareil. Parce que n'oublions pas que si ta vie est très occupée, très riche, très intense, très remplie, celle de ta communauté c'est pareil. Franchement, je rencontre rarement des personnes qui me disent « Ma vie est vide, je m'ennuie, je n'ai rien à faire, j'ai l'esprit vierge. » Et ça c'est important d'avoir ce contexte à l'esprit. C'est pour ça que tu as à être présente quand ils se promènent, quand ils se baladent sur les réseaux sociaux, d'être là avec ta vitrine allumée, attractive, avec des belles choses dedans. Parce que tu veux qu'ils soient rassurés sur le fait que tu es là, tu es présente, tu es engagée, tu es généreuse, tu es lumineuse. On a envie d'aller chez toi. Je vais te donner encore un autre élément de contexte. Et c'est vraiment important. Chaque décision d'achat se fait dans un contexte particulier. Chaque décision d'achat se fait quand le désir est élevé. Tu entends bien, je ne te parle pas de besoin, je te parle de désir. Et je pense qu'on ira voir ça aussi dans la masterclass pour décortiquer tout ça. C'est la raison pour laquelle tu as à semer des graines avec constance, avec persévérance, pour que quand le désir va monter, ce soit à toi qu'on pense, pas aux cent autres phares qu'on a vu clignoter. Et c'est important de voir que tu ne maîtrises pas le thermomètre de leur désir. Oui, tu peux souffler sur les braises, tu peux latider, tu peux contribuer à le faire monter, mais ça se passe en « e » in fine. Donc tu as ces deux éléments de contexte à prendre en compte. Et ça, ça nous ramène à un facteur fondamental que souvent on ne veut pas considérer, c'est le temps. Le facteur temps est essentiel à deux niveaux. Tu ne sais pas quand va être ce moment du point culminant du désir intense. Et tu ne sais pas une autre chose, c'est quel est le rapport de ton client au timing dans ses décisions. Certaines personnes décident vite, d'autres sont des décideurs plus longs. Et ça aussi c'est à prendre en compte. Pour certaines personnes, l'achat va se faire en un jour. Pour d'autres, ça va peut-être être en 7 ans. Et si je dis 7 ans, ce n'est pas tout à fait par hasard, parce que lors de mon dernier lancement de Sacrébise, il y a une entrepreneur qui a rejoint Sacrébise, qui est dans ma liste de contacts depuis 2018. Ça fait 7 ans. Et toi, tu es là à offrir de la valeur pour toutes ces personnes, qu'elles soient sur l'échelle d'un jour ou sur l'échelle de 7 ans. Et tu as à lâcher... le contrôle sur ce quand, sur ce timing. C'est là que si tu penses qu'ils devraient acheter, ils auraient déjà dû acheter, tu piétines complètement cette notion du processus du timing et de la durée. Et évidemment, tu te décourages. Alors que si tu penses vraiment juste à cette personne, celle qui est sur le point de se décider, avec la certitude qu'elle existe, là, tu t'encourages. Est-ce que tu peux te lever chaque jour en te disant « C'est aujourd'hui le jour de la décision » pour au moins une personne, ou pour dix si tu en veux dix, ou plus encore ? Parce que là tu vas être prête à aller créer cette rencontre, ce point de décision, jour après jour. Et le plus dur, ouais je sais, c'est sans l'attachement à sa concrétisation là tout de suite maintenant. On peut voir, la vente, absolument pas comme ni un sprint ni un marathon, c'est pas une course, c'est plus une danse comme un tango. tu guides et tu ressens le rythme de l'autre. Et parfois tu vas faire trois pas en avant et ton futur client il fait un seul pas en avant. Et là c'est subtil, tu as à la fois à t'adapter, pas créer de séparation et partir danser tout seul, et en même temps continuer à guider, à l'idée, à être connecté. Le fait que tes clients n'aient pas acheté, ça signifie une seule chose. Ils n'ont pas encore acheté. Pourquoi ? Parce qu'ils n'ont pas entendu ce qu'ils ont besoin d'entendre. Dans les éléments de contexte dont je viens de te parler. Parce que tu ne leur as pas encore dit ce qu'ils ont besoin d'entendre. Pas encore. Ce n'est pas à ton client d'être créatif pour te trouver, pour trouver ton offre. C'est à toi d'être créatif pour qu'il te trouve et qu'il la trouve. Et pour ça, tu as un mouvement essentiel à faire. Te décentrer de ton petit nombril et aller te positionner en leur nombril. Est-ce que tu as déjà pris le temps d'imaginer c'est quoi le voyage de ton client idéal depuis ce moment où il ne te connaît pas jusqu'au moment où il devient client ? J'ai parlé ici de client idéal et j'ai envie de te faire un petit clin d'œil. Même si ton client idéal est une personne déterminée, engagée, dynamique, qui prend ses décisions rapidement, qui a de l'argent, Oui, on a tous le rêve de ce genre de client idéal, on est bien d'accord. Ça reste un être humain, qui va peut-être avoir, au moment de la décision, des doutes, des résistances, des hésitations. N'oublions pas ça. Alors, pendant que ton client fait son voyage vers toi, Toi, tu as à créer les étapes de son voyage pour lui. Et toi, tu as aussi un autre voyage à faire. C'est ce voyage vers toi. C'est de croire que les gens ne veulent pas acheter, qu'ils n'achèteront pas, ou que tu ne sais pas vendre, que tu es une mauvaise vendeuse. Et tout ça, je vais t'en reparler dans la masterclass du 13 mai. Pour que aussi, tu arrives à aller changer ces éléments d'identité. Je veux revenir quelques instants sur cette notion de patience. Je ne suis pas en train de te dire qu'il va falloir attendre 7 ans pour avoir ton client. Non, j'ai aussi des femmes qui s'engagent dans Sacrébise, qui n'étaient pas dans mon univers 3 jours avant. Elles participent à la masterclass, elles sont embarquées, engagées. Elles disent oui, un oui ferme venu du cœur des tripes. Et ça donne des résultats magnifiques. Et en même temps, nous avons absolument à cultiver la patience. Et pas la patience comme une vertu de sagesse. Une patience stratégique. La patience fait partie de ta stratégie. Aujourd'hui, tu sèmes. Dans ton marketing, tu sèmes. Plein de graines. Mais est-ce que tu as prévu ta stratégie pour récolter dans 3 mois, dans 6 mois, dans 1 an, 5 ans, 7 ans ? Même si ta future cliente, elle est silencieuse. C'est là que la patience devient stratégique. Pas une patience immobile, figée, une patience en mouvement. Alors, peut-être qu'aujourd'hui tu as le sentiment de galérer à vendre. En tout cas, tu as collé l'étiquette « je galère » sur ton expérience de maintenant. Cette expérience où parfois il y a du découragement, un sentiment d'impuissance. Et oui, c'est frustrant quand tu as le sentiment de donner beaucoup et de recevoir vraiment pas beaucoup. C'est frustrant et c'est épuisant. Ce n'est pas la fin de l'histoire, ce n'est pas la fin de ton histoire, celle de ton business. Et si c'était juste un passage ? Un passage que la plupart des entrepreneurs traversent et je veux aussi normaliser ça. C'est ce moment charnière où tu peux reprendre ton pouvoir et te souvenir de tout ce que je t'ai transmis là, toutes ces richesses que je t'ai partagées dans cet épisode du podcast. Ce n'est pas à ton client d'être créatif pour te trouver, c'est à toi d'être créatif pour qu'il te trouve. Ce n'est pas parce qu'il n'a pas encore acheté qu'il ne va pas acheter, ni qu'il ne veut pas acheter. Il ne t'a pas encore entendu, au moment juste, avec les mots justes. Il ne s'est pas encore assez senti entendu. C'est ton pouvoir, là, maintenant, de créer ces transformations. Et la vente, ce n'est pas un lieu de contrainte, ce n'est pas une punition que tu dois porter comme un fardeau tout au long de ton parcours d'entrepreneur. C'est une rencontre. Pour que la rencontre ait lieu, tu as à te montrer. Et souviens-toi que chaque jour a ce potentiel d'être le jour de décision pour une personne, dix personnes, cent personnes, qui sait ? Et toi, tu vas être là, la porte ouverte. Et moi, je t'ouvre une porte. Je te rappelle mon invitation. Une invitation à faire un pas de danse. ensemble dans la masterclass qui se nomme Vendre sans vous épuiser. Je veux vraiment t'aider encore et encore à transformer ce qui est peut-être une galère pour toi en une belle danse joyeuse. Cette masterclass, elle est pour toi si peut-être tu rêves carrément de ne pas avoir à vendre. Ça serait tellement bien que les clients tombent du ciel. Tu sais que ça ne marche pas comme ça ? Ah, on va le faire marcher autrement ensemble. Si peut-être tu t'épuises à communiquer et que tu trouves que les résultats sont vraiment ridicules, je vais t'aider à créer des conversions tout en reprenant ton énergie. Et peut-être que oui, tu as des clients, mais c'est laborieux, c'est irrégulier. Tu as l'impression d'avoir un plafond de verre au-dessus de toi. On va aller le percer ensemble. On va faire tout ça dans la Masterclass du mardi 13 mai à 10h. Tu as simplement à t'inscrire, réserver ta place gratuite, offerte, grâce aux liens que tu sais absolument où trouver. Et d'ici là, je te confie une mission. Continue d'allumer ton phare. Tu ne sais jamais quand ta lumière va toucher quelqu'un. Et je peux te le dire avec certitude, elle le fera. Elle touchera ce quelqu'un, cette quelqu'une, ces quelques-uns, ces quelques-unes, assurément. Et c'est peut-être là, juste, maintenant. Je souhaite une magnifique fin de semaine. Et je te rappelle, une dernière fois, notre rendez-vous, mardi 13 mai à 10h en live pour cette masterclass inédite et phénoménale. Ma mission, c'est d'aider les femmes comme toi à se lâcher la bride pour lâcher les fauves. Si tu aimes ce podcast, tu vas adorer la formation que je t'offre. C'est le condensé de mon approche anticonformiste du business pour t'aider à accueillir tes prochains clients joyeusement. Reçois cette formation gratuitement en cliquant sur le lien dans les notes du podcast. Je jubile déjà en pensant à tout ce que tu vas réaliser.

Description

Est-ce que la vente ressemble plus à une galère qu’à une agréable navigation de plaisance ? Tu donnes, tu publies, tu communiques, et malgré tout… le silence.

Ou parfois le silence est brisé pour te dire que tu es tellement inspirante. Mais être inspirante ça ne met pas du beurre dans les coquillettes.

Alors tu commences à partir en vrille : s’ils voulaient acheter, ils auraient déjà acheté. Alors, à quoi bon ?....

Et tout ça pour ça ! Tu vois ?

C’est – heureusement – plus subtil que cela. Je veux t’aider à voir que vendre ce n’est pas nécessairement une galère. Cela peut même être plaisant – et fructueux.


C’est dans cet épisode (147) « Tu galères à vendre ». Tu vas découvrir :

  • Pourquoi ton expertise (aussi brillante soit-elle) ne suffit pas à vendre… et ce qu’il te manque vraiment

  • La pensée toute bête (mais ultra toxique) qui sabote tes ventes sans que tu t’en rendes compte

  • Le grand fossé entre ta réalité et celle de tes futurs clients, et comment le combler efficacement

  • La vérité sur ton audience et pourquoi tu n’es pas en train d’échouer quand cela prend du temps.

  • Un pilier stratégique souvent sous-estimé, qui permet de croître sur la durée.

  • Ce que tu peux faire dès aujourd’hui pour vendre sans t’épuiser… même avec une petite audience.


Vendre n’est pas une option quand tu es entrepreneure. Alors faisons en sorte que ce ne soit pas une punition !
Pour toi qui veux maintenant accélérer tes ventes, je t’invite à ma toute nouvelle Masterclass gratuite : « Comment vendre sans vous épuiser »

Inscris-toi en cliquant ici et viens en live mardi 13 mai à 10h.


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    Entreprendre hors des normes est le podcast dédié aux femmes entrepreneurs qui désirent faire la différence par leur différence. Je suis Anne-Valérie Rocourt. Depuis 2010, j'accompagne les femmes originales et ambitieuses qui veulent se créer une vie riche et libre par la voie de l'entrepreneuriat. Si tu désires casser les codes, créer ta propre recette du succès et développer un business florissant au service de ta vie et de la vie, tu es ici chez toi. Dans le podcast Entreprendre hors des normes, je te dévoile, avec authenticité, profondeur et humour, des stratégies audacieuses, des approches mindset décalées, et parfois même une vision perchée, pour que ton business soit ton espace d'expansion. Ici, on célèbre ensemble la puissance des femmes qui osent assumer leur singularité, exprimer leur plein potentiel et laisser leur empreinte. Bienvenue dans ce nouvel épisode du podcast Entreprendre hors des normes et aujourd'hui j'ai choisi d'aborder un sujet, un verbe qui hérisse bien des poils, qui provoque bien des boutons. Allons-y, je le nomme le verbe « vendre » . Quand tu es salarié, et je crois que la plupart d'entre vous ont été salarié à un moment ou à un autre, quand tu es salarié, tu peux, dans la majorité des fonctions bien sûr, sauf si tu es dans une fonction commerciale, échapper à la vôtre. Quand tu deviens entrepreneur, c'est une différente affaire. Ça fait partie de ton métier d'entrepreneur. Et c'est là qu'il y a très souvent une désillusion première pour celles qui s'engagent dans l'entrepreneuriat. C'est ce moment où elles réalisent que l'expertise ne suffit pas. Même si tu le savais mentalement, c'est vraiment quand tu es confrontée à cette expérience que tu te dis « Ah ! Mon expertise, mes talents, mes compétences, mon expérience, tout mon background, ça ne suffit pas pour que les clients se bousculent au portillon. » Et je vois tellement d'entrepreneurs qui font tout, qui se contorsionnent, qui tentent tout ce qu'elles peuvent pour échapper à ce qu'elles perçoivent comme épreuve, qui est la vente. Et si j'en parle, avec tellement de compréhension et aussi de compassion, c'est parce que j'ai été de celles-là. Quand j'ai commencé en 2010 et pendant plusieurs années après, j'ai tout tenté. pour échapper à la vente. Et je t'en reparlerai. Seulement, tu vas réaliser, au fil de ce chemin-là, rapidement, en général, deux choses. La première chose, c'est que ça ne marche pas. Les clients ne viennent pas. L'argent ne rentre pas. La deuxième chose, elle est plus subtile, c'est que finalement, c'est plus douloureux de persister à résister à la vente que de plonger vraiment dedans. C'est plus dur de ne pas avoir de clients que d'avoir des clients en faisant ce qu'il est nécessaire de faire parce que tu sais qu'il y a des choses à faire pour accueillir tes clients. A fortiori, si tu as de l'ambition, a fortiori, si tu veux vraiment endosser ta posture de leader, d'entrepreneur, de CEO, appelle-la comme tu veux, si tu veux générer de la croissance, si tu veux avoir des merveilleux revenus, À la démesure de tes ambitions, il n'y a pas à tortiller, tu as à embrasser la vente. Dans cet épisode, je vais aborder la vente sous un angle particulier. J'en suis certaine, ça va résonner avec ton expérience, tes expériences, d'une manière ou d'une autre. Et je veux vraiment t'aider à enclencher cette évolution, qui est peut-être une révolution pour toi, qui va être d'entamer ce mouvement de « je galère à vendre » vers « j'apprends joyeusement à vendre » et au-delà. Maintenant, on est dans le format, là, d'un épisode de podcast avec des contraintes de temps. Cette contrainte, si c'en est une, que nous ne sommes pas en live ensemble. Et j'ai envie d'aller plus loin, beaucoup plus loin, pour t'aider à vendre plus, mieux, joyeusement, fluidement, librement. et avec des résultats phénoménaux. Donc j'ai une invitation pour toi. J'offre une toute nouvelle masterclass, une masterclass inédite, où je veux vraiment t'enseigner comment vendre sans t'épuiser. Dans cette masterclass, je vais te partager des nouveaux enseignements, notamment cet ennemi caché qui t'éloigne de tes clients, qui te donne le sentiment de ramer à contre-courant. On va le faire sortir du bois cet ennemi-là. Je veux t'aider à transformer la galère de trouver tes clients en un plaisir quotidien, parce que oui, c'est jour après jour que ça se passe. Et il y a quelque chose qui va être vraiment au cœur de cette masterclass. je vais te montrer, te démontrer, décortiquer c'est quoi le levier inconscient qui attire massivement tes clients. Et ce qui est ultra puissant, c'est que ça ne va pas te demander plus de temps par rapport à tout ce que tu fais déjà. Cette masterclass, elle est gratuite. Elle se déroule en live, mardi 13 mai à 10h. Tu as simplement à réserver ta place offerte. Tu trouveras le lien dans les notes du podcast, sur mon site web, sur mes réseaux sociaux. Tu peux me le demander en message privé aussi. Maintenant, entrons dans le cœur de cet épisode. J'ai choisi comme socle de cet épisode de dézinguer une phrase. qui t'éloigne énormément des ventes que tu veux réaliser, qui t'éloigne de tes clients, qui t'éloigne de l'argent. Je suis sûre qu'elle va te parler. Je suis sûre qu'elle va raisonner avec toi si tu essayes de vendre, si tu as tenté plein de choses qu'on te dit qu'il est bien, qu'il faut que tu fasses et que pour autant, tu n'as pas tous les clients que tu voudrais. Cette phrase-là, elle prend différentes formes, différentes formulations. Je vais t'en donner quelques-unes. Ça va se cristalliser autour de s'il voulait acheter, il l'aurait déjà fait. Si vraiment il voulait acheter mon offre, il se serait déjà décidé. Et il y a des déclinaisons de cette idée centrale. Les déclinaisons ça va être Je suis sûre que tu te reconnais dans une ou plusieurs de ces phrases et tu auras aussi tes phrases à toi. Ces phrases, ce sont des pensées, on est bien d'accord. Pour commencer, je t'invite à observer ce mouvement tout ou rien qui se niche ici. Soit ils auraient dû acheter, soit ils n'achèteront jamais. Soit j'ai la bonne audience, soit j'ai une mauvaise audience. Soit j'ai des personnes qui sont prêtes à acheter, soit j'ai des touristes. Tu vois le tout ou rien, la forme qui prend ? Et tu le sais très bien, cette pensée polarisée, elle t'éloigne de ta voie du milieu, cette voie par laquelle tu vas créer tes résultats. Maintenant, je vais t'emmener contempler encore une autre perspective. Quand tu nourris ces pensées-là, toutes ces phrases que je viens de citer, en arrière-plan, il y a très souvent une idée. Cette idée, c'est qu'ils auraient déjà dû voir. Ils devraient déjà savoir. Ils devraient avoir compris. Ils devraient connaître mon offre. Ils devraient. Ça, ça part d'un très gros biais de perception et je le vois souvent. Voilà ce biais de perception. Tu es au centre de ton monde. Mais tu n'es pas au centre de leur monde. Toi, tu vis jour et nuit. Oui, parfois la nuit aussi. Avec ton offre. Avec tout ce qui gravite autour de ton offre. Avec toutes tes réflexions sur ton offre. Avec ton prix, les modalités, ta promesse, etc. Mais pas eux, pas ton audience, pas ta communauté, pas ta liste, pas tes futurs clients. Toi, tu penses qu'à ça. Toi, tu es en surexposition permanente avec ton offre. La grande différence, c'est que tes futurs clients, ils sont en surexposition permanente avec des centaines d'offres. Le bien va être d'autant plus fort. Si tu as la même offre depuis plusieurs mois ou plusieurs années, tu vas même peut-être avoir l'impression de radoter, d'avoir déjà tout dit, de ne plus avoir la possibilité de trouver un autre angle, de saouler les gens, de les harceler, que forcément ils devraient déjà tous être au courant. Et franchement, je pourrais avoir ce sentiment avec sacrée bise. Ça fait deux ans et demi. que je vends cet accompagnement. J'en parle partout. J'en parle dans le podcast, ici. J'en parle sur mes réseaux sociaux, sur mon site web, dans mes lives, dans mes masterclass, dans mes emails. C'est dans toutes mes signatures, c'est partout. Et pour autant, j'ai encore régulièrement des entrepreneurs qui me contactent en me demandant comment j'accompagne. Est-ce que j'ai un programme ? Comment ça se passe ? totalement vierge de toute connaissance. À chaque fois, ça m'étonne. Ça m'étonne quelques secondes et je me souviens exactement ce que je suis en train de te dire là. C'est qu'il y a un fossé gigantesque entre ce qui se passe en toi et ce qui se passe dans la tête de tes futurs clients. La surexposition, elle ne porte pas du tout sur la même chose. Toi, c'est ton offre, ton offre, ton offre. Et eux, c'est des centaines d'offres, de postes, d'invitations, de sollicitations. Ça peut t'aider peut-être d'observer ton propre comportement. Est-ce que tu ouvres tous les emails ? Est-ce que tu cliques sur tous les liens ? Est-ce que tu lis attentivement tous les posts ? Est-ce que tu réponds à tous les appels à l'action ? Est-ce que tu réponds à toutes les questions qu'on te pose ? Est-ce que tu prends même la peine, ne serait-ce que de mettre un like ? Même si tu apprécies la personne, même si tu apprécies ce qu'elle transmet. Souvent, on ne prend pas le temps. On est pressé. On est occupé, on est préoccupé. Et quand tu te dis que s'ils voulaient acheter, ils auraient déjà acheté, ils l'auraient déjà fait, ils seraient déjà passés à l'action, tu présupposes une chose, tu présupposes qu'ils ont vu, qu'ils ont entendu, qu'ils ont compris, qu'ils ont ressenti, qu'ils sont décidés. Tu vois l'erreur dans cette présupposition ? Encore tout récemment, et ça revient tellement souvent au coaching Sacré-Bise, j'ai aidé une de mes clientes à préparer son prochain lancement. Donc on était en train de calibrer son plan de lancement, le nombre de postes, de mails, sa stratégie, son positionnement, etc. Très vite a émergé chez elle la fameuse peur de harceler, d'être lourdingue, d'être trop insistante, d'agacer les gens. Ça part de la supposition que les gens voient tout, qu'ils lisent tout. C'est faux, c'est archi faux. Alors oui, je sais, c'est contrariant, c'est affligeant. Tu n'es pas le centre de leur monde. Tu vois là, il y a un très joli paradoxe. Parce que d'un côté, tu ne veux pas les harceler, tu ne veux pas être trop lourde. tu veux pas envahir leur monde et en même temps tu veux vraiment que tes clients aient l'opportunité de se décider de s'engager auprès de toi et tu as à tenir en même temps les deux parties de ce paradoxe. Maintenant si on va dans un champ rationnel mathématique il est très peu, infiniment peu probable que tous tes futurs clients aient été exposés à ton offre. Ou, si on se met à un autre niveau, qu'ils aient été suffisamment exposés à ton offre. Imagine que tes futurs clients sont chacun sur un bateau en mer. Il y a des vagues, du brouillard, de la tempête, de la pluie. Ils cherchent à s'abriter dans un port, à se poser. Seulement, il y a des phares qui clignotent partout, qui indiquent plein de ports. Ils cherchent leur port, leur point d'accostage. Ta mission, ce n'est pas de les harceler à la radio, de hurler dans la radio. C'est de garder ton phare allumé. à ta place, sur ton positionnement, près de ton port, avec constance, avec puissance dans cette lumière, jusqu'à ce qu'il soit prêt à rentrer au port. Maintenant, j'entends souvent cette objection. Oui, mais moi... vont dire des entrepreneurs, « Mon audience, elle est trop petite. Je n'ai pas assez de monde. » Avec une autre déclinaison qui vient souvent avec, c'est « Il n'y a pas mes clients dans ma liste. » ou sur mon compte Insta, ou sur mon LinkedIn, ce ne sont pas mes clients, ce ne sont que des concurrents, ce ne sont que des collègues, mais ce ne sont pas mes futurs clients. Honnêtement. Et parfois, on fait ce petit exercice tout simple en coaching. Si tu additionnes le nombre de personnes qui sont sur chacun de tes comptes de réseaux sociaux, il suffit d'un seul. Ta liste d'emails, si tu en as une. Et toutes les personnes que tu connais dans la vraie vie, tous tes autres réseaux. Est-ce que tu es certaine que tes prochains clients ne sont pas là, dans ce nombre-là ? Je te parle bien de tes prochains clients. Et on se préoccupe juste là de tes prochains clients. Un client à la fois. Maintenant, c'est vrai, on est dans un contexte qui est celui de 2025. J'ai lu plusieurs études sur le nombre de points de contact qui sont nécessaires avant qu'une personne se décide à acheter. Je n'ai pas de source là à te donner. Il y a des chiffres très variés. qui sortent. Donc je ne veux pas mettre en avant une étude plutôt qu'une autre. Une chose est certaine, c'est que ce nombre de points de contact nécessaire a énormément augmenté au cours des dernières années. J'ai le souvenir d'une étude qui mentionnait le fait qu'on a besoin de 40 points de contact avec une personne avant d'acheter auprès d'elle. On a besoin de voir l'offre au moins 11 fois. et de consommer bon nombre d'heures de « contenu » auprès de cette personne. Je ne sais pas quelle est la véracité de ces chiffres, là je les sors de ma mémoire. En revanche, ce qui est certain, et ce que ça reflète, c'est qu'aujourd'hui, on ne dispose que d'une fraction de l'attention des gens. Tu as peut-être l'impression de faire quelque chose déjà de phénoménal en t'exposant. Et c'est super. Mais ça ne suffit pas. Notre mission, c'est de capter plus qu'une fraction de la tension. Et ça se fait par la répétition. Là, tu as une décision à prendre. Il y en a certaines qui vont se désoler, se plaindre, râler. C'est terrible que ça soit comme ça. Et là, tu vas commencer à moins t'engager, voire te désengager. Là, tu réponds à ton cerveau qui dit, oh là là, économisons de l'énergie. Ça va être trop d'efforts, même pas la peine d'y aller. Et il y en a d'autres, c'est nous, qu'allons voir l'opportunité. L'opportunité d'exercer notre pouvoir au bon endroit. Quand tu décides que ça ne sert à rien, d'aller ressasser que l'algo a changé, que tes impressions diminuent, que l'engagement baisse, etc. Là, tu reprends ton pouvoir. Là, tu décides d'agir là où est ton pouvoir. Il est où ton pouvoir ? Proposer ton offre en étant inventive, créative, ingénieuse. Et te questionner. Te questionner sur cet écart, et cet écart il est fondamental, tout se joue là, cet écart entre ce que tu as dit et ce qu'ils ont besoin d'entendre. La conversion, elle se niche dans cet écart. Te questionner, c'est pas compliqué. C'est de la créativité et de l'expérimentation. Dans la masterclass du 13 mai, je vais t'emmener plus en profondeur sur ces idées. Je vais les aborder encore par d'autres angles. On va aller dans des... à la fois de la profondeur et des exemples concrets. En particulier, on va aller voir c'est quoi ce levier inconscient qui joue à cet endroit-là. Maintenant, revenons à ton cerveau. Ton cerveau, il veut en même temps deux choses antagonistes. Et cette tension, je suis sûre que tu la ressens. Il veut d'une part recevoir en abondance des clients, de l'argent, des revenus, avoir de l'impact, etc. Et en même temps, oui en même temps, il te demande d'être économe de ton énergie, de ton temps, de ta créativité. Faudrait pas trop donner ? C'est ce que j'appelle le fonctionnement en mode transactionnel. Je donne X pour recevoir Y. Et si je constate que X ne me permet pas de recevoir Y, J'arrête de donner X. Ça, c'est ce que te demande ton cerveau primitif qui veut te protéger de trop d'efforts. Seulement, au moment où tu arrêtes de donner X, c'est exactement le moment où tu aurais besoin d'amplifier X. Et c'est là que tu décroches et que tu commences à nourrir ce sentiment que tu galères à vendre. Parce que, parfois, tu vas être franchement inventif. Ça peut être essayer une nouvelle stratégie, changer ton message, ton angle, changer des formats. Et parfois, c'est des toutes petites choses, une accroche, un objet de mail, une tagline, la couleur d'un bouton sur une page d'inscription. Ça peut créer des points de bascule. Donc tu vois, il ne s'agit pas de monter le volume et de crier plus fort. Il s'agit parfois juste de changer de chaîne, de fréquence. Quand ton audience n'achète pas, ce n'est pas qu'elle ne veut pas. C'est qu'elle ne reçoit pas ton message. Et c'est à toi d'ajuster, d'expérimenter, pour aller chercher la bonne fréquence où elle va capter ton message. Maintenant, tu vois, il y a vraiment une grande différence entre ces deux situations. Deux situations qui se jouent à la fois dans ta tête, dans ton corps. Suis-moi. Première situation, tu te dis, personne n'achète, personne ne veut acheter, sinon ils auraient déjà acheté, et d'ailleurs mon audience n'est pas la bonne, etc. Ça génère quoi ? Du découragement, de l'abattement. La solution que tu vas percevoir alors, ça va être la course aux chiffres. Trouver encore 1000 personnes. Aller frénétiquement sur un autre réseau social. Créer un lit de magnètes pour vite, vite, vite, avoir plein de nouvelles personnes dans ta liste de mails. Parce que là, miraculeusement, ça serait enfin les bonnes personnes. Plus les bonnes personnes que celles que tu as déjà dans ton orbite. Étrange, non ? Seconde situation, tu te dis, j'ai pas encore réussi à les toucher. J'ai pas encore trouvé le juste langage de mon offre. J'ai pas encore affiné et raffiné les mots. J'ai pas encore exprimé ce qu'ils ont vraiment besoin d'entendre. Ils se sont pas encore assez sentis entendus. Ou... Peut-être qu'ils n'ont pas eu encore assez de points de contact avec moi. Là, tu n'es pas découragé, tu es inspiré. Inspiré pour aller toucher ces 5, 10, 50, 100 ou plus personnes que tu désires accueillir comme client et qui sont déjà là parmi les personnes de ton audience. Que tu aies une audience de 200, 500, 1000, 10 000 personnes ou plus. Ça joue pareil. Parce que n'oublions pas que si ta vie est très occupée, très riche, très intense, très remplie, celle de ta communauté c'est pareil. Franchement, je rencontre rarement des personnes qui me disent « Ma vie est vide, je m'ennuie, je n'ai rien à faire, j'ai l'esprit vierge. » Et ça c'est important d'avoir ce contexte à l'esprit. C'est pour ça que tu as à être présente quand ils se promènent, quand ils se baladent sur les réseaux sociaux, d'être là avec ta vitrine allumée, attractive, avec des belles choses dedans. Parce que tu veux qu'ils soient rassurés sur le fait que tu es là, tu es présente, tu es engagée, tu es généreuse, tu es lumineuse. On a envie d'aller chez toi. Je vais te donner encore un autre élément de contexte. Et c'est vraiment important. Chaque décision d'achat se fait dans un contexte particulier. Chaque décision d'achat se fait quand le désir est élevé. Tu entends bien, je ne te parle pas de besoin, je te parle de désir. Et je pense qu'on ira voir ça aussi dans la masterclass pour décortiquer tout ça. C'est la raison pour laquelle tu as à semer des graines avec constance, avec persévérance, pour que quand le désir va monter, ce soit à toi qu'on pense, pas aux cent autres phares qu'on a vu clignoter. Et c'est important de voir que tu ne maîtrises pas le thermomètre de leur désir. Oui, tu peux souffler sur les braises, tu peux latider, tu peux contribuer à le faire monter, mais ça se passe en « e » in fine. Donc tu as ces deux éléments de contexte à prendre en compte. Et ça, ça nous ramène à un facteur fondamental que souvent on ne veut pas considérer, c'est le temps. Le facteur temps est essentiel à deux niveaux. Tu ne sais pas quand va être ce moment du point culminant du désir intense. Et tu ne sais pas une autre chose, c'est quel est le rapport de ton client au timing dans ses décisions. Certaines personnes décident vite, d'autres sont des décideurs plus longs. Et ça aussi c'est à prendre en compte. Pour certaines personnes, l'achat va se faire en un jour. Pour d'autres, ça va peut-être être en 7 ans. Et si je dis 7 ans, ce n'est pas tout à fait par hasard, parce que lors de mon dernier lancement de Sacrébise, il y a une entrepreneur qui a rejoint Sacrébise, qui est dans ma liste de contacts depuis 2018. Ça fait 7 ans. Et toi, tu es là à offrir de la valeur pour toutes ces personnes, qu'elles soient sur l'échelle d'un jour ou sur l'échelle de 7 ans. Et tu as à lâcher... le contrôle sur ce quand, sur ce timing. C'est là que si tu penses qu'ils devraient acheter, ils auraient déjà dû acheter, tu piétines complètement cette notion du processus du timing et de la durée. Et évidemment, tu te décourages. Alors que si tu penses vraiment juste à cette personne, celle qui est sur le point de se décider, avec la certitude qu'elle existe, là, tu t'encourages. Est-ce que tu peux te lever chaque jour en te disant « C'est aujourd'hui le jour de la décision » pour au moins une personne, ou pour dix si tu en veux dix, ou plus encore ? Parce que là tu vas être prête à aller créer cette rencontre, ce point de décision, jour après jour. Et le plus dur, ouais je sais, c'est sans l'attachement à sa concrétisation là tout de suite maintenant. On peut voir, la vente, absolument pas comme ni un sprint ni un marathon, c'est pas une course, c'est plus une danse comme un tango. tu guides et tu ressens le rythme de l'autre. Et parfois tu vas faire trois pas en avant et ton futur client il fait un seul pas en avant. Et là c'est subtil, tu as à la fois à t'adapter, pas créer de séparation et partir danser tout seul, et en même temps continuer à guider, à l'idée, à être connecté. Le fait que tes clients n'aient pas acheté, ça signifie une seule chose. Ils n'ont pas encore acheté. Pourquoi ? Parce qu'ils n'ont pas entendu ce qu'ils ont besoin d'entendre. Dans les éléments de contexte dont je viens de te parler. Parce que tu ne leur as pas encore dit ce qu'ils ont besoin d'entendre. Pas encore. Ce n'est pas à ton client d'être créatif pour te trouver, pour trouver ton offre. C'est à toi d'être créatif pour qu'il te trouve et qu'il la trouve. Et pour ça, tu as un mouvement essentiel à faire. Te décentrer de ton petit nombril et aller te positionner en leur nombril. Est-ce que tu as déjà pris le temps d'imaginer c'est quoi le voyage de ton client idéal depuis ce moment où il ne te connaît pas jusqu'au moment où il devient client ? J'ai parlé ici de client idéal et j'ai envie de te faire un petit clin d'œil. Même si ton client idéal est une personne déterminée, engagée, dynamique, qui prend ses décisions rapidement, qui a de l'argent, Oui, on a tous le rêve de ce genre de client idéal, on est bien d'accord. Ça reste un être humain, qui va peut-être avoir, au moment de la décision, des doutes, des résistances, des hésitations. N'oublions pas ça. Alors, pendant que ton client fait son voyage vers toi, Toi, tu as à créer les étapes de son voyage pour lui. Et toi, tu as aussi un autre voyage à faire. C'est ce voyage vers toi. C'est de croire que les gens ne veulent pas acheter, qu'ils n'achèteront pas, ou que tu ne sais pas vendre, que tu es une mauvaise vendeuse. Et tout ça, je vais t'en reparler dans la masterclass du 13 mai. Pour que aussi, tu arrives à aller changer ces éléments d'identité. Je veux revenir quelques instants sur cette notion de patience. Je ne suis pas en train de te dire qu'il va falloir attendre 7 ans pour avoir ton client. Non, j'ai aussi des femmes qui s'engagent dans Sacrébise, qui n'étaient pas dans mon univers 3 jours avant. Elles participent à la masterclass, elles sont embarquées, engagées. Elles disent oui, un oui ferme venu du cœur des tripes. Et ça donne des résultats magnifiques. Et en même temps, nous avons absolument à cultiver la patience. Et pas la patience comme une vertu de sagesse. Une patience stratégique. La patience fait partie de ta stratégie. Aujourd'hui, tu sèmes. Dans ton marketing, tu sèmes. Plein de graines. Mais est-ce que tu as prévu ta stratégie pour récolter dans 3 mois, dans 6 mois, dans 1 an, 5 ans, 7 ans ? Même si ta future cliente, elle est silencieuse. C'est là que la patience devient stratégique. Pas une patience immobile, figée, une patience en mouvement. Alors, peut-être qu'aujourd'hui tu as le sentiment de galérer à vendre. En tout cas, tu as collé l'étiquette « je galère » sur ton expérience de maintenant. Cette expérience où parfois il y a du découragement, un sentiment d'impuissance. Et oui, c'est frustrant quand tu as le sentiment de donner beaucoup et de recevoir vraiment pas beaucoup. C'est frustrant et c'est épuisant. Ce n'est pas la fin de l'histoire, ce n'est pas la fin de ton histoire, celle de ton business. Et si c'était juste un passage ? Un passage que la plupart des entrepreneurs traversent et je veux aussi normaliser ça. C'est ce moment charnière où tu peux reprendre ton pouvoir et te souvenir de tout ce que je t'ai transmis là, toutes ces richesses que je t'ai partagées dans cet épisode du podcast. Ce n'est pas à ton client d'être créatif pour te trouver, c'est à toi d'être créatif pour qu'il te trouve. Ce n'est pas parce qu'il n'a pas encore acheté qu'il ne va pas acheter, ni qu'il ne veut pas acheter. Il ne t'a pas encore entendu, au moment juste, avec les mots justes. Il ne s'est pas encore assez senti entendu. C'est ton pouvoir, là, maintenant, de créer ces transformations. Et la vente, ce n'est pas un lieu de contrainte, ce n'est pas une punition que tu dois porter comme un fardeau tout au long de ton parcours d'entrepreneur. C'est une rencontre. Pour que la rencontre ait lieu, tu as à te montrer. Et souviens-toi que chaque jour a ce potentiel d'être le jour de décision pour une personne, dix personnes, cent personnes, qui sait ? Et toi, tu vas être là, la porte ouverte. Et moi, je t'ouvre une porte. Je te rappelle mon invitation. Une invitation à faire un pas de danse. ensemble dans la masterclass qui se nomme Vendre sans vous épuiser. Je veux vraiment t'aider encore et encore à transformer ce qui est peut-être une galère pour toi en une belle danse joyeuse. Cette masterclass, elle est pour toi si peut-être tu rêves carrément de ne pas avoir à vendre. Ça serait tellement bien que les clients tombent du ciel. Tu sais que ça ne marche pas comme ça ? Ah, on va le faire marcher autrement ensemble. Si peut-être tu t'épuises à communiquer et que tu trouves que les résultats sont vraiment ridicules, je vais t'aider à créer des conversions tout en reprenant ton énergie. Et peut-être que oui, tu as des clients, mais c'est laborieux, c'est irrégulier. Tu as l'impression d'avoir un plafond de verre au-dessus de toi. On va aller le percer ensemble. On va faire tout ça dans la Masterclass du mardi 13 mai à 10h. Tu as simplement à t'inscrire, réserver ta place gratuite, offerte, grâce aux liens que tu sais absolument où trouver. Et d'ici là, je te confie une mission. Continue d'allumer ton phare. Tu ne sais jamais quand ta lumière va toucher quelqu'un. Et je peux te le dire avec certitude, elle le fera. Elle touchera ce quelqu'un, cette quelqu'une, ces quelques-uns, ces quelques-unes, assurément. Et c'est peut-être là, juste, maintenant. Je souhaite une magnifique fin de semaine. Et je te rappelle, une dernière fois, notre rendez-vous, mardi 13 mai à 10h en live pour cette masterclass inédite et phénoménale. Ma mission, c'est d'aider les femmes comme toi à se lâcher la bride pour lâcher les fauves. Si tu aimes ce podcast, tu vas adorer la formation que je t'offre. C'est le condensé de mon approche anticonformiste du business pour t'aider à accueillir tes prochains clients joyeusement. Reçois cette formation gratuitement en cliquant sur le lien dans les notes du podcast. Je jubile déjà en pensant à tout ce que tu vas réaliser.

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