Speaker #0Entreprendre hors des normes est le podcast dédié aux femmes entrepreneurs qui désirent faire la différence par leur différence. Je suis Anne-Valérie Rocourt. Depuis 2010, j'accompagne les femmes originales et ambitieuses qui veulent se créer une vie riche et libre par la voie de l'entrepreneuriat. Si tu désires casser les codes, créer ta propre recette du succès et développer un business florissant au service de ta vie et de la vie, tu es ici chez toi. Dans le podcast Entreprendre hors des normes, je te dévoile, avec authenticité, profondeur et humour, des stratégies audacieuses, des approches mindset décalées, et parfois même une vision perchée, pour que ton business soit ton espace d'expansion. Ici, on célèbre ensemble la puissance des femmes qui osent assumer leur singularité, exprimer leur plein potentiel et laisser leur empreinte. Bienvenue dans ce nouvel épisode du podcast Entreprendre hors des normes. Aujourd'hui, je vais te parler d'un sujet qui, j'en suis certaine, te concerne. En tout cas, si tu as choisi d'écouter cet épisode en ayant vu le titre, évidemment tu es concerné. Et tu connais ma philosophie, mon approche, mon côté décalé. On ne va pas aborder ce thème. autour de comment gérer ton emploi du temps, comment être plus efficient, plus productif de manière traditionnelle. Je veux vraiment aller bouleverser ta manière de voir ton temps, ton énergie et ta capacité à créer tes résultats. On est d'accord ? On rêve toutes de faire plus en moins de temps. C'est l'équation magique qu'on a envie toutes de résoudre. Chez moi, franchement, ça se traduit par ce que je dis parfois, où je rêverais d'avoir un clone, voire deux ou trois clones, des Anne-Valérie qui travailleraient à mes côtés. Parce qu'évidemment, quand tu es entrepreneur, tu as beaucoup à faire. Quand tu as beaucoup à faire, tu sais ce que ça exige fondamentalement de toi. D'être une nouvelle version de toi. Je vais t'emmener par un chemin et tu vas voir. On va en arriver là. Et on va prendre plusieurs étapes ensemble. On est bien d'accord, on ne va pas parler de productivité de manière traditionnelle. Ce n'est pas mon truc, ce n'est pas mon dada. Je ne vais pas t'expliquer comment organiser ton agenda, créer des blocs de temps, optimiser tes journées, séquencer tout ça, non. Je veux vraiment t'inviter à faire plutôt un saut de conscience. On va partir ensemble à un autre niveau. Je vais te montrer comment, oui, tu vas pouvoir faire plus en moins de temps, en développant certaines capacités. On va parler de tes capacités. Ta capacité à produire plus, à accueillir plus, à ressentir plus, à créer plus. Avec moins de résistance. Ça va demander de toi que tu sois prête, là pour cet épisode, à remettre en question certaines choses. Ce que tu crois sur le temps, sur ton énergie, sur ta fatigue, sur ton épuisement, sur ta capacité à tomber en burn-out peut-être. Ce que tu es capable de faire, d'apprendre, de créer, de produire. C'est tout ce qu'on va voir ensemble dans cet épisode. Quand on parle du temps, ou plus précisément de ton rapport au temps, très souvent ça va se cristalliser autour d'une phrase. Qu'est-ce que ça veut vraiment dire cette phrase ? Derrière cette phrase, il y a très souvent un sous-entendu. Ça ne parle pas vraiment du temps. Ça parle de ton énergie. Je n'ai pas assez d'énergie dans le temps dont je dispose. Je suis déjà au max, au taquet. Le sous-entendu, encore derrière le sous-entendu, c'est une peur. J'ai peur de me brûler, j'ai peur de me cramer, j'ai peur de m'épuiser, de m'exténuer, j'ai peur de ne pas y arriver. Tu vois que ce n'est pas vraiment une question de temps. C'est une question de rapport au temps et de ta capacité perçue à créer, à produire, à faire, à amener des résultats. Dans ce temps donné, ça parle de tes capacités, de ce que tu crois être. capable de faire dans un certain temps donné. Je vais te parler beaucoup dans cet épisode de capacité. Capacité c'est proche de compétence, c'est proche de potentiel. Si on parle de compétence, de quoi est-ce qu'on parle ? On parle de la capacité à faire une chose, à faire avec un certain niveau de qualité, de maîtrise. Maintenant quand on parle de capacité, de quoi il s'agit ? Il s'agit de la quantité que tu peux produire ou que tu peux contenir. Ça parle d'un contenant, une capacité. On parle de la capacité d'une bouteille, la capacité d'un réservoir. Ça parle de ce contenant. C'est intéressant. J'insiste beaucoup. Je suis très visuelle, tu es peut-être visuelle comme moi. Tu peux visualiser ce contenant. Maintenant, le potentiel, ça parle d'une capacité future que tu peux développer si tu décides de le faire. Donc, suis-moi si tu veux créer davantage de résultats sans augmenter le temps investi. On est bien d'accord, c'est notre postulat de départ. Tu as à questionner non seulement ce que tu sais faire aujourd'hui, mais surtout ce que tu crois. Et le verbe croire est vraiment important. Ce que tu crois être capable d'apprendre, de gérer, de ressentir, de porter, de créer, de produire, etc. Dans un temps donné. Donc tu vois, quand tu dis j'ai pas le temps, j'ai pas assez de temps, je manque de temps. Très souvent, ce que tu dis en réalité, c'est « j'ai pas la capacité mentale, j'ai pas l'énergie, j'ai pas la capacité à ressentir toutes les émotions qui vont avec cela, j'ai peur de m'épuiser, j'ai peur d'aller au bout du bout du bout et de ne plus avoir de ressources. » Tu ne parles pas de temps, tu parles d'énergie. d'émotion, de capacité mentale. Imagine que tu sois face à une montagne que tu désires gravir. Si on pense au temps qui va être nécessaire pour gravir cette montagne, quand on part de ta condition physique, actuelle, donnée, le temps ne va pas changer vraiment. Mais qu'est-ce qui va tout changer dans ton expérience et ta capacité réelle à gravir la montagne, à y aller, à tenir, à persévérer, à aller jusqu'au bout ? Ce qui va faire la différence, c'est ta condition mentale et émotionnelle. Le temps, c'est quasiment une variable inchangée. Ta condition physique, elle est telle qu'elle est. Et assurément, si tu pars avec une condition mentale, émotionnelle solide, La montagne va te sembler moins haute. L'expérience, elle va peut-être être dure par moments. Et en même temps, elle va être tellement plaisante, nourrissante, enthousiasmante. Quand je repense à mon année 2024, je me suis choisi des défis. Un bon nombre de défis, dont certains qui ont été très visibles, comme l'écriture et la publication de mon livre. Obtenir un TEDx et monter sur cette scène et beaucoup d'autres défis que j'ai intentionnellement choisi. Je croyais au début en me lançant ça, début 2024, que mon grand défi ce serait le temps. Comment j'allais trouver le temps en plus de tout le reste pour ça ? Mais le vrai défi derrière le défi, c'était ma relation au temps, ma relation à mon énergie. Et finalement, ma capacité à choisir des pensées et des émotions qui m'ont soutenue tout au long du parcours. Ça a été un grand champ d'exploration et de travail pour moi. Et c'est intéressant quand je le vois maintenant rétrospectivement. Parce que j'ai choisi ces défis en 2024 qui m'ont amené à amplement élargir mes capacités mentales et émotionnelles. Et depuis début 2025, c'est la vie qui m'a amené des défis. Alors je pourrais dire que je ne les ai pas choisis, en tout cas c'est ma perception. Peut-être que je les ai choisis à un autre niveau, mais pas intentionnellement, assurément pas. Je n'aurais jamais choisi cela, tout ce que je vis depuis le début de cette année. Et je perçois là... à quel point les défis que j'ai choisis en 2024 et toutes les capacités qu'ils m'ont amenées à travailler, à élargir, à agrandir, m'ont préparé en fait à pouvoir vivre en restant une femme debout, les défis que j'ai sur mon plateau de la vie depuis le début de cette année 2025. Quand je te parle de capacités, à développer, à déployer, à élargir, à agrandir. Je te parle en fait de plusieurs champs de capacité. On a bien sûr à la base notre capacité physique. Et la capacité physique, elle est souvent mal interprétée. On commence déjà à se trouver des limitations physiques. Certaines sont réelles, assurément. Mais beaucoup, et je crois la majorité de nos limitations physiques, Ce sont des limitations perçues. On le voit tellement, par exemple, avec les athlètes paralympiques. C'est extraordinaire ce qu'ils font. Et que la plupart d'entre nous ne le feraient même pas. Ils ont dépassé et transcendé leurs capacités physiques perçues. En termes de limitations, peut-être au début, ça me fait penser évidemment à Luc Montigaud, que j'avais la joie de côtoyer lors de la préparation de mon TEDx, d'inviter au sommet Entreprendre hors des normes. qui porte un lourd handicap et qui est l'exemple vivant incarné de cette capacité à transcender les limitations physiques. Hier en coaching sacré bise, une cliente venait avec une question. sur son business model et son plan de développement. Et elle me parlait de son projet de lancer une nouvelle offre en septembre, puis une autre ensuite en janvier 2026. Je l'ai questionnée sur le pourquoi de ces dates. On est début avril, là, au moment où j'enregistre ce podcast. Le pourquoi de ces dates tellement lointaines. Pourquoi septembre ? Pourquoi janvier dans neuf mois ? Et sa réponse était, mais moi je suis lente. Moi je suis lente, j'ai toujours été lente parce que je me fatigue vite, parce que je n'ai pas beaucoup d'énergie, parce que c'est mon fonctionnement, parce que ça me va bien comme ça. Et je l'ai questionné sur ses objectifs, sur ses ambitions, sur sa relation avec cette lenteur, sur le pourquoi de cette lenteur. Et elle a réalisé que finalement, c'était juste une identité qu'elle avait choisie à un moment dans son passé, parce que ça avait été perçu comme nécessaire. Et qu'elle s'était convaincue... que c'était elle et qu'elle ne pouvait pas fonctionner autrement. Et donc toute sa vie, toutes ses décisions s'articulaient autour de nourrir et confirmer et continuer à valider cette identité de « je suis lente parce que je n'ai pas beaucoup d'énergie » . Et on est allé décortiquer, démanteler tout ça. Elle a choisi de ne plus croire, de ne plus être loyale à cette vieille identité. et d'aller mettre un turbo dans son escargot. C'est l'image qu'on a utilisée ensemble en coaching hier. Tes capacités physiques sont les premières à être questionnées et challengées. Il y a très souvent cette identité autour de « je suis fatiguée, je suis épuisée » . Je la connais bien cette identité-là. Et qui peut en plus facilement être auto-justifiée. Parce que je suis atypique, parce que je porte telle spécificité. Ou parce que je suis en pré-ménopause, ou parce que j'ai tel âge, ou parce que j'ai subi telle chose dans ma vie. Est-ce que c'est vrai ? Est-ce que c'est ce que tu as envie de vivre ? Est-ce que tu as envie de vivre avec un corps qui est fatigué ? Ou est-ce qu'il n'y a pas une possibilité de choisir une autre perception, une autre expérience et un autre espace de création ? Après, la capacité physique, il y a bien sûr tout ce qui est le champ de tes capacités mentales. Là, on est dans le champ de ce que tu crois que tu peux apprendre, même si c'est complexe. Les défis que tu peux embrasser. Est-ce que tu veux te challenger à évoluer, à grandir, traverser des moments difficiles ? même si c'est dans le champ de ce que tu crois être tes aversions, j'entends très souvent « moi je déteste la technique, je suis nulle en technique, je ne suis pas faite pour la vente, je n'aime pas le marketing, je suis nulle dans ceci ou cela » . C'est juste des histoires que ton cerveau te raconte pour te protéger de certains inconforts, de certaines difficultés. Ce n'est pas une réalité ferme, solide. inaltérable. En coaching, que ce soit dans sa crébise, surtout, moins dans le cercle ordinaire, j'entends très souvent des résistances autour du marketing et de la vente. Des résistances qui deviennent des conceptions identitaires. Je suis nulle en vente. Je déteste le marketing. C'est juste des frictions mentales, des résistances qui ont été érigées à un moment et qui n'ont rien d'une identité tangible. Il s'agit vraiment de voir cela comme des histoires. Des histoires qui sont à désapprendre pour réapprendre. Désapprendre un champ de compétences pour réapprendre un autre champ de compétences en quelque sorte. Et agrandir, fortifier, solidifier les capacités mentales. Parce que les capacités mentales sont le socle des capacités qui viennent après. Les capacités émotionnelles. Et si tu veux créer des plus grands résultats, Il y a une chose essentielle à laquelle tu ne peux pas échapper. Ressentir plus. Tu as à choisir de ressentir plus. Plus de doute, plus de peur, plus de honte, plus de toutes les émotions auxquelles tu veux à tout prix échapper. Ton système émotionnel, c'est comme un barrage. Si tu refuses que l'eau monte, tu vas être submergé. Mais si tu augmentes la capacité du barrage, tu vas pouvoir contenir plus sans déborder. Et partant de là, tu vas pouvoir générer une énergie phénoménale comme les barrages hydroélectriques qui produisent notre électricité en régulant le flux de l'eau, en ayant élargi la capacité du barrage. Cette capacité-là, la capacité émotionnelle qui génère ton énergie, c'est vraiment ce qui va faire la différence entre une entrepreneur qui va réussir et durer et une autre qui va échouer et s'arrêter. C'est la différence entre celle qui va lancer une offre une fois, pas tout de suite récolter les résultats attendus, être frustrée, déçue, repartir dans sa grotte pendant des semaines. hésiter, relancer mollement, refaire une autre offre et une autre offre, tergiverser, procrastiner, s'auto-saboter et finalement arrêter. Cette capacité-là, elle est tellement sous-estimée. Et c'est là que réside ta puissance. Et de là, de ces trois capacités-là, va découler ta capacité de création et de production. Et je ne te parle pas là de faire plus en quantité dans un temps plus grand. On parle ici de créer, produire plus de valeurs, de valeurs de haute qualité, plus rapidement et plus facilement. Pour ça, tu as à élever tes standards, à ne plus tolérer une forme de médiocrité. à te créer des contraintes. Par exemple, il y a quelques années, faire un live, par exemple, un live sur un réseau social, ça allait me demander des heures de préparation. Tu as entendu, j'ai dit me demander. Parce que je laissais le temps filer. Je ne contraigne pas le temps. Aujourd'hui, je vais peut-être prendre 20 minutes pour noter mes idées, arriver en live, accepter l'imperfection, et je suis bien certaine que ce live sera 10 fois plus important que celui que je pouvais faire il y a quelques années. Qu'est-ce qui s'est passé entre temps ? J'ai augmenté toutes les capacités dont je viens de te parler. Comment je l'ai fait ? Pas en réfléchissant, en introspectant, en méditant, mais en expérimentant, en agissant, en allant créer les pensées de résistance, les émotions difficiles. qui naissent vraiment dans le mouvement, sur le terrain de Dieu, quand tu es en pratique, tu vas me dire, oui, si je médite, que je contemple, je ressens les émotions, j'ai les pensées, oui. Mais pas du tout avec la même intensité que quand tu es vraiment dans le bain de la vie, de l'expérience. Du live où tu ressens la honte de bafouiller, du webinaire où tu te sens tellement humilié qu'il n'y a personne. C'est là que tu es dans le ressenti de l'expérience, des émotions pour lesquelles tu élargis tes capacités. Pas juste dans l'anticipation de la peur que peut-être ça pourrait arriver. C'est tellement différent. Et c'est là que ce que tu mets peut-être aujourd'hui une semaine à produire, Demain, tu le feras en une journée, sans t'épuiser, avec cette solidité, cette fermeté. Donc tu vois, en réalité, cette conception « j'ai pas assez de temps » , ça peut avoir avec ton agenda. Bien sûr, il peut y avoir des questions d'organisation, de régularité, bien sûr. Mais tu peux résoudre tout ça, ça sera un château de sable, si tu ne vas pas d'abord voir les histoires que ton cerveau te raconte. Toutes ces histoires ritournelles, autour de « je n'ai pas l'énergie, ce n'est pas pour moi, moi je ne peux pas, je ne suis pas capable, je suis trop fatigué, etc. » Toutes ces histoires, toutes ces pensées, elles ont l'air tellement vraies. Tu as l'impression que c'est un rapport fidèle de ta réalité. Mais ton cerveau est rarement un reporter fidèle et loyal. Il te sert des scripts mentaux archi obsolètes. Parce qu'il veut juste te protéger du changement. Il veut juste te protéger du fait que, éventuellement, tu vas ressentir dans le futur des émotions désagréables. Quelle quantité de notre fatigue vient réellement d'une fatigue physique ? Et quelle quantité vient des résistances que l'on crée ? Des résistances face aux événements, des résistances face à nos émotions. La résistance, c'est ce qui consomme le plus d'énergie. Plus tu résistes, alors tu sais que plus ça persiste, mais en même temps, sur ce chemin-là, plus tu t'épuises. Quand en 2017, j'ai décidé de changer complètement de business model, j'étais à ce moment-là dans un business model totalement en présentiel, je faisais des coachings en présentiel, des formations, des conférences. des cursus, etc., tout en présentiel. Et j'ai décidé en 2017 de basculer online parce que je voulais voyager. Je voulais devenir beaucoup plus nomade. Je voulais être libre de tous mes mouvements. Je me suis heurtée à une énorme résistance parce que j'ai très vite compris que j'allais devoir plonger dans ce monde de la tech qui me révulsait. J'ai eu longtemps cette identité très très forte de « moi je suis nulle en tech, je déteste la tech, la tech c'est pas pour moi » . Seulement quand tu veux vraiment basculer en digital, il n'y a pas beaucoup de contournement. Et je suis de celles qui aiment apprendre, qui aiment comprendre, qui aiment maîtriser avant d'éventuellement déléguer. Parce que bien sûr, j'avais la possibilité de déléguer. Mais je crois vraiment... à la vertu de maîtriser les choses avant de les déléguer. Et pour plein de raisons, mais ça peut être le sujet d'un autre podcast. Donc, j'ai eu à décider que j'allais embrasser la tech. Et la tech en 2017-2018, c'était beaucoup plus complexe, beaucoup moins ergonomique que les plateformes et les outils qu'on peut avoir aujourd'hui. Ça a énormément évolué. Donc j'ai décidé que toutes les plateformes dont j'avais besoin pour mes tunnels, pour mes emails, pour mes formations, Et je n'ai pas choisi la simplicité à l'époque, j'ai choisi beaucoup de complexité en ayant beaucoup d'outils différents. J'ai choisi que j'allais apprendre, que je n'étais pas plus bête qu'une autre, que j'allais mettre la puissance de mon fabuleux cerveau au service de cet apprentissage. Parce que c'était important, parce que c'était les étapes nécessaires pour aller vers ce que je voulais vraiment créer. Et là, j'ai découvert que ce n'est pas la tech qui est dure, qui est épuisante. Ce sont les résistances face à elle qui m'épuisaient par avance, par anticipation. Et ça, je le vois très souvent chez les entrepreneurs que j'accompagne. Encore récemment, au coaching Sacrébise, il y a une cliente qui venait en plein cœur de son lancement, à l'avant-veille de son webinaire, et tout ce qu'elle amenait, c'était ses bugs techniques. Les emails qui ne sont pas partis, les séquences qui n'ont pas marché, le problème avec sa page de vente. a été focalisée là-dessus. Ça prenait toute sa bande mentale, toute son énergie. Alors qu'il lui restait deux jours pour amplifier le nombre d'inscrites à sa masterclass, pour préparer ce qu'elle allait transmettre, pour élever son énergie, pour vendre au top du top. Elle se préoccupait juste de ces bugs techniques pour lesquels il y avait toujours des plans B, des plans C. Il y a toujours des solutions techniques. Dans toutes ses résistances, elle s'épuisait alors qu'elle n'avait même pas encore fait son webinaire. Évidemment, on l'a recadré, ramené à l'essentiel et réélargé les capacités mentales et émotionnelles. Mais c'est ce qui se passe quand on laisse notre cerveau tourner tout seul, sans le dompter. Il a besoin plus que d'être apprivoisé par moment, il a à être littéralement dompté. Donc tu vois, quand tu veux créer vraiment des résultats différents, sans y allouer plus de temps, tu as à devenir une femme différente. Quand je dis devenir une femme différente, on s'entend bien. Je ne te parle pas d'être quelqu'un d'autre que qui tu es. Je te parle de devenir une version plus accomplie. Et quand tu résistes à cela, C'est comme si tu étais une rose qui déciderait de rester dans son format de bouton. Elle dirait non, moi je suis une rose qui ne veut pas éclore. Je ne veux pas libérer l'ouverture de mes pétales, je ne veux pas offrir ma beauté pleine au monde. Je veux rester en bouton. La nature est plus forte. La nature est plus forte que les résistances que la rose pourrait avoir. La nature va faire éclore la rose. Et nous, en tant qu'êtres humains, nous avons cette capacité à résister. Mais la résistance ne va pas sans souffrance. C'est pour ça que c'est tellement important de considérer ces questions d'identité. Pas comme un état statique qui serait prédéterminé à ta naissance et moi je suis comme ça et c'est comme ça et rien ne changera. Une identité c'est la somme de tout ce que tu crois être. Ce que tu crois être. Pas ce que tu es dans une espèce d'espace de vérité. Et c'est là que tu as à décider d'être celle qui ose vendre sans peur et sans reproche. Celle qui va se montrer, offrir ses dons, créer de la valeur, même quand elle est fatiguée. Même quand elle croit qu'elle n'a rien à dire. Même quand elle craint que ça l'épuise. Je ne suis pas en train de te parler d'aller au burn-out, entendons-nous bien. Et je crois que le burn-out, il parle beaucoup de manque de sens et de manque de gestion mentale. Justement, ce dont on parle là, c'est de revenir dans ton pouvoir dans ces champs-là. Cette version de toi qui agrandit ses capacités, elle ne dit pas je vais essayer, ça je l'entends parfois, bon je vais essayer. Non, non, non, elle fait point barre. Elle ne dit pas bon je vais voir, elle dit je décide, point barre. Elle n'est pas en train de négocier avec ses désirs, avec ses ambitions. Elle les écoute, les ressent, les respecte, les honore. Je t'invite vraiment à considérer que ce que tu crées, ce que tu produis aujourd'hui dans un laps de temps donné, que tu considères vraiment être comme ta limite, ton plafond, considère que c'est ton plancher de demain. Parce que tu vas faire évoluer tes capacités et tes standards. Quand tu vas devenir cette nouvelle version de toi, tu vas créer, faire produire plus, plus facilement, plus aisément, avec plus de fluidité. Parce que tu vas être moins en train de penser à tes limitations, à tes frictions, à tes résistances. Et tu vas penser plus... à tes potentialités, à ton expansion. C'est cela dont il s'agit. Donc tu vois, on arrive à la fin de cet épisode. Quand on parle de faire plus en moins de temps, ce n'est pas fondamentalement une affaire d'agenda. Alors oui, en coaching, on peut réguler des affaires d'agenda et j'aide les unes et les autres là-dessus. Mais ce dont il est question vraiment, C'est ce que tu crois être capable de faire. Comment tu régules ton énergie ? Comment tu te parles à toi-même ? Ta force mentale ? Et qui tu choisis de devenir ? Tu n'as pas besoin de plus de temps. Et c'est tant mieux. Parce qu'on a toutes un espace temps limité dans nos journées. Tu as besoin de développer ces capacités dont je t'ai parlé dans cet épisode. tes capacités physiques, mentales, émotionnelles. Développer ta relation avec elle et développer ce contenant. De là, tu vas devenir plus productive. Et ça, ça part d'une intention, d'une décision, d'une répétition et d'une évolution de ton identité. Alors, j'ai envie de te demander là, Quelle est la capacité que tu as envie de challenger, de mettre au défi ? En observant les résistances, en observant pourquoi tu choisis la résistance. Et là, j'ai quelques théories là-dessus. Je t'en parlerai peut-être dans un prochain épisode. Maintenant, si tu veux jouer à challenger ces capacités, dans un espace de croissance, de puissance, de joie, pour créer des nouveaux résultats, avec plus d'ambition, en lâchant tes vieilles histoires, pour aller créer ces revenus, ce chiffre d'affaires dont vraiment tu seras fier. Je t'invite à rejoindre la liste d'attente de Sacrébise. Aujourd'hui, les portes de Sacrébise sont fermées. Sacrébise, c'est l'espace où tu deviens celle qui peut tout créer. Tu deviens d'abord celle-ci et sur cette nouvelle identité, on construit ton business model, ta stratégie, ton marketing, ta manière singulière de vendre. Mais ça part de tes nouvelles capacités. Tu ne vas pas pouvoir créer des millions si tu restes avec l'identité de celle qui vivote avec 500 euros par mois. Ça ne fonctionne pas. Les portes de Sacré-B sont actuellement fermées. Quand tu es sur la liste d'attente, tu seras informé en avant-première de la prochaine ouverture et je serai ravie de t'accueillir. Je te souhaite une magnifique suite de semaine et on se retrouve dans le prochain épisode du podcast. Ma mission, c'est d'aider les femmes comme toi à se lâcher la bride pour lâcher les fauves. Si tu aimes ce podcast, tu vas adorer la formation que je t'offre. C'est le condensé de mon approche anticonformiste du business pour t'aider à accueillir tes prochains clients joyeusement. Reçois cette formation gratuitement en cliquant sur le lien dans les notes du podcast. Je jubile déjà en pensant à tout ce que tu vas réaliser.