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Description

Tu veux des clients.

Mais il faut vendre. Et tu t’en passerais bien.

Tu ne veux pas insister. Encore moins harceler.

On pourrait te prendre pour une profiteuse. Voire une arnaqueuse.

 

Alors tu fais des pirouettes. Et tu récoltes… des clopinettes !

Tu espères que les gens vont deviner ton offre et sa si grande valeur.

Mais ils ne sont pas devins. Alors ils ne deviennent pas clients.

 

Dans cet épisode pour t'aider à entreprendre hors des normes, je t’emmène dans les profondeurs de cette peur si fréquente chez les femmes entrepreneures, et qui tue les ventes.

 

Tu vas découvrir :
→ Ce qui se cache vraiment derrière la peur de vendre, ou de « trop » vendre.

→ Comment te libérer du poids des critiques et jugements.

→ Comment j’ai vécu les premiers commentaires agressifs que j’ai reçus à mes débuts (non, je n’étais pas du tout zen !
→ Ce que j’ai compris en observant la méchanceté gratuite - et qu’il est indispensable d’intégrer pour croître.

→ Quelle est vraiment cette liberté que nous désirons toutes.

 

Je te propose une autre vision de la vente : fluide, alignée, joyeuse, libérée. LIBRE.


🎧 Écoute cet épisode si toi aussi tu veux vendre avec légèreté.


Et partage-le à toutes les entrepreneuses qui ont besoin d’un petit électrochoc d’amour et de vérité.

Chacun de tes partages, commentaires, étoiles sur le podcast m’aide à le diffuser. Cela compte beaucoup pour moi.

MERCI💜


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Le site: https://www.horsdesnormes.com/

Le livre « Femmes Hors des Normes »: https://www.amazon.fr/Femmes-Hors-Normes-dentreprendre-autrement/dp/2959542606

Mon TEDx sur la neurodivergence : https://youtu.be/SyqAz9K8Kyg?si=ZEtQaqzHveY9Ksie


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Formation Comment avoir des clients : https://www.horsdesnormes.fr/formation-offerte-clients

Ebook comment trouver sa niche : https://www.horsdesnormes.fr/ebook-offert-choisir-sa-niche

Quizz dédié aux entrepreneures : https://www.horsdesnormes.com/le-test-entrepreneure


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre hors des normes est le podcast dédié aux femmes entrepreneurs qui désirent faire la différence par leur différence. Je suis Anne-Valérie Rocourt. Depuis 2010, j'accompagne les femmes originales et ambitieuses qui veulent se créer une vie riche et libre par la voie de l'entrepreneuriat. Si tu désires casser les codes, créer ta propre recette du succès et développer un business florissant au service de ta vie et de la vie, tu es ici chez toi. Dans le podcast Entreprendre hors des normes, je te dévoile, avec authenticité, profondeur et humour, des stratégies audacieuses, des approches mindset décalées, et parfois même une vision perchée, pour que ton business soit ton espace d'expansion. Ici, on célèbre ensemble la puissance des femmes qui osent assumer leur singularité, exprimer leur plein potentiel et laisser leur empreinte. Bienvenue pour ce nouvel épisode, un épisode muy caliente, muy caliente parce que je l'enregistre en pleine canicule. Si tu me suis, tu sais que j'habite en Provence, il fait très très très chaud et même si j'habite une très vieille maison avec des gros murs en pierre, la maison commence à peiner, à nous protéger, à garder un peu de fraîcheur. Muy caliente aussi parce que j'enregistre cet épisode au lendemain de la grande masterclass qui a été absolument fabuleuse, phénoménale, folle. Une énergie incroyable était là et je suis encore complètement emplie, habitée par cette énergie. Je pense que tu vas le sentir dans cet épisode que je t'offre. Et puis muy caliente, chaud, hot parce qu'on va parler de la vente. Ce sujet... Tellement chaud, brûlant, bouillant pour beaucoup d'entrepreneurs. J'ai envie de te mener sur un chemin de vente plus légère. Pourquoi j'ai envie de t'en parler ? Parce que, évidemment, semaine après semaine, dans Sacré-Bise, dans le cercle hors des normes, sous plein de formes, le sujet de la vente revient. Et il y a une question qui revient régulièrement en coaching sous différentes formes, plutôt dans Sacré-Bise d'ailleurs. C'est cette question autour de je ne veux pas trop vendre. Si je vends trop, si je leur envoie trop de postes, trop de mails, si je fais trop d'offres, je vais les harceler. Si je vends trop, on va penser que je suis intéressée par l'argent, qu'il n'y a que l'argent qui me motive, que je fais ça pour l'argent. Ça va se présenter aussi de manière plus subtile parfois. par des entrepreneurs que je vois qui arrivent dans Sacré-Bise. Et quand on parle d'objectifs, quand on parle d'agrandir leurs objectifs, elles vont évoquer leurs objectifs en termes de clients. Bon, je voudrais tant de clients. C'est un court circuit, un contournement pour ne pas poser leurs objectifs en termes d'argent. Comme si fixer un objectif en termes de nombre de clients, c'était beaucoup plus honorable. que d'avoir un objectif financier. Et puis il y a encore celles qui carrément vont dire que, dans un monde idéal, elles voudraient tout donner gratuitement. Elles voudraient être dans ce monde imaginaire où l'argent n'existe pas, et on vit avec du troc peut-être, et elles sont là pour la mission, c'est leur vocation, elles sont dans la dévotion, et donc il faudrait que l'argent ne soit pas en jeu. Mais pourquoi ? Je suis follement animée par ma mission. C'est une dévotion. Et je ne vois pas de contradiction avec l'argent. Tu vois que toutes ces formes, elles cachent une peur de trop vendre. Et quand on a peur de trop vendre, évidemment la vente est lourde. Aux antipodes de cette légèreté que tu voudrais tellement ressentir. C'est lourd quand tu as peur de passer pour une opportuniste. Quand tu ne veux surtout pas qu'on dise que tu es intéressé par l'argent. Là, je pense à une de mes clientes de sacrée bise, une femme talenteuse, audacieuse, bourrée de qualité de talent, qui organisait récemment un magnifique événement qu'elle a rempli en quelques jours. Un événement où elle prenait la parole et où elle avait invité des experts talenteux pour aussi... Montez sur scène un événement sur toute une journée. En coaching... Je l'ai évidemment questionné sur ce qu'elle allait vendre et comment elle allait le vendre. Et la contraction. Toutes les peurs sont arrivées. Les gens ne viennent pas pour ça. Ils viennent pour les autres experts. Et que vont penser les autres experts ? Et que vont penser les gens si je leur vends ? Ce n'est pas un endroit pour vendre. Alors peut-être comme j'ai une table avec mes livres, à la fin je pourrais éventuellement mettre des petits flyers dessus. On veut escamoter la vente. On ne veut pas passer pour une vendeuse. Il y a toujours cette peur, mais qu'est-ce que les gens vont en penser ? Cette peur-là, elle va souvent être amplifiée si en plus tu as reçu à un moment ou à un autre des commentaires, des critiques, des mots méprisants, agressifs sur le fait que oui, tu vends. Oui, tu es là pour proposer ton offre. Quand tu fais des publicités sur Facebook ou Insta, alors ça va être très rare d'être épargné. Ça va même être très fréquent de recevoir un déferlement de critique, voire de haine. C'est quasiment toujours le cas quand je fais des campagnes publicitaires. Je peux te dire qu'à mes débuts, j'étais mortifiée. Ça me blessait à tel point que je... Je ne voulais même plus aller voir les commentaires. Pourtant, c'est important d'aller voir éventuellement, de les supprimer, de les bloquer pour ne pas se trouver face à un déferlement de haine. J'ai beaucoup cheminé. Maintenant, ça glisse comme sur les plumes d'un canard. Et maintenant, quand je vois, et c'est toujours le cas, et c'était le cas encore il y a quelques jours, parce que j'étais en campagne publicitaire pour ma masterclass pour inviter plus de femmes, j'ai encore eu... des commentaires, mais ça me met face en fait à maintenant une grande perplexité. Comment est-ce qu'il peut y avoir des êtres humains dont l'occupation réjouissante est de consacrer de leur précieux temps de vie à critiquer les autres, à critiquer celles qui osent, celles qui créent, celles qui offrent, celles qui se montrent, celles qui prennent leur place ? Alors oui, bien sûr, j'ai des réponses. Mais ça n'enlève rien à ma perplexité. Quand tu fais des efforts, quand tu te dépasses, quand tu t'exposes, il y a une part de vulnérabilité. Et tu vas presque toujours être la proie de critiques, de personnes, pour qu'il y ait une forme de jouissance à tenter de créer de la souffrance chez les autres. Et oui, ça peut être douloureux. Ces commentaires virulents, j'en ai encore eu beaucoup tout récemment. Et maintenant, en fait, je m'y attends. Ça ne me surprend même pas. Ce qui me surprend, c'est quand il n'y en a pas en fait. Et je déploie une énergie, une qualité qui je trouvais très aidante, c'est la curiosité. la curiosité de voir l'inventivité de ces personnes pour aller trouver des angles d'attaque que je n'aurais même pas imaginé. Encore ce matin, je voyais sous un réel que j'ai fait à partir de mon TEDx Une critique d'une femme qui disait, en gros, c'est nul, c'est naze, quel mot la sonne. J'ai zappé au bout de deux secondes. Alors déjà, elle n'a pas assez zappé. J'aurais bien aimé qu'elle zappe vraiment plutôt que de prendre le temps d'écrire ça. Là, je me dis, waouh, mais que de frustration chez cette femme pour aller... consacrer quelques minutes de sa précieuse vie à écrire des mots pareils à une autre femme qui a le courage de monter sur une scène, de faire ce travail, de s'exposer, de se mettre sous les feux des projecteurs, ça m'interpelle en fait. Ça m'interpelle sur la nature humaine. Et ces critiques, oui, on a à forger. notre force pour ne plus se laisser heurter et ça va nous heurter aussi longtemps qu'il y a une forme de faille quand on te dit par exemple que tu es intéressé par l'argent que tu es une arnaqueuse une profiteuse que tu es dangereuse Ça va te blesser aussi longtemps que tu n'es pas totalement en paix avec ces parts de toi. Ces parts de toi qui sont peut-être d'infimes parts de toi. Tu as à faire la paix avec ces parts de toi. Et c'est vraiment essentiel quand tu es une entrepreneur. Parce que quand ces critiques te heurtent, quand elles vont t'éloigner de ton cap, Quand tu avais prévu d'offrir ton offre et puis tu vas décider de ne plus l'offrir ou de baisser ton prix ou de le faire tout timidement, tu vas te contracter, te rétracter. Tu ne peux plus être une entrepreneur. Tu ne peux plus développer ton business. Tu ne peux plus vivre ton expansion. Et le pire du pire, c'est que parfois, il n'y a même pas eu de critique exprimée. Tu es juste dans l'imagination, la supposition que peut-être les gens pourraient avoir ces idées-là. S'ils pensaient que tu vends trop, ils pourraient penser des choses affreuses sur toi. Il faut surtout prévenir cette possibilité de penser qu'ils pourraient avoir. Et alors ? Et alors si vraiment ils pensaient que tu vends trop ? Est-ce vraiment un problème ? Et c'est là qu'intervient cette question essentielle à te poser. Qu'est-ce que tu veux vraiment en devenant entrepreneur ? Tu es devenu entrepreneur, au moins un petit peu, pour la liberté. C'est quoi cette liberté ? Est-ce que c'est travailler d'où tu veux, gérer ton temps, de ne plus avoir à demander à personne la permission pour partir en vacances ou t'offrir une après-midi au spa ? Oui, c'est tout ça. Mais aussi, mais surtout, mais essentiellement, c'est être libre du regard des autres. Être libre des pensées sur ce que pourraient penser les autres. Dès que tu t'exposes, tu as à te libérer. Et c'est ça, expérimenter vraiment ta liberté. Quand tu es salarié, tu peux encore t'accommoder quelque part de cette peur du regard des autres. Il y a moins d'impact, moins de conséquences. Quand tu es entrepreneur, franchement, tu ne peux plus te le permettre. Les conséquences sont trop importantes. Tu te coupes de la vente, tu te coupes d'offrir ton offre, tu te coupes de la possibilité de créer tes clients et l'argent. Tu te retiens. Et tant que tu te retiens, tu passes tellement de temps à penser à ce que pourraient penser les gens. Et c'est autant de temps que tu ne passes pas dans le mouvement, dans l'action, dans la création, dans offrir ton offre. Tu veux vraiment être libre. J'ai la solution pour toi. Passe moins de temps à penser à ce que les autres pourraient penser et sors, sors créer les clientes, sors créer l'argent. Parce que tu sais quoi ? Les pensées des autres, elles ne mettent pas de l'argent sur ton compte en banque. Les pensées des autres, elles ne payent pas tes factures. Les pensées des autres, elles ne vont pas te permettre de matérialiser tes rêves. Les pensées des autres, elles ne te font pas avancer vers ta vision. Alors si on revient à l'argent, quand bien même l'argent serait ta motivation première, première, première, il est où le problème ? Pourquoi ça serait un problème ? Quand j'observe les entrepreneurs que j'accompagne, certains n'ont pas vraiment besoin d'argent. Mais elles désirent l'argent. Et il peut y avoir plein de raisons pour accéder à plus de luxe, à plus d'expérience. Ou simplement parce que c'est un symbole de leur évolution. Il y a aussi d'autres entrepreneurs que j'accompagne qui ont vraiment besoin d'argent. pour nourrir leurs enfants, pour assurer une base de sécurité à leur famille, pour s'offrir des vacances, pour payer la scolarité, pour plein de besoins de base. Est-ce que ce serait plus louable de gagner de l'argent pour nourrir ces besoins-là que de gagner de l'argent parce que tu as juste des désirs plus luxueux ? Est-ce qu'il y aura un bon et un mauvais argent ? Est-ce qu'il y aurait un argent justifié, un argent injustifié ? C'est des vraies questions. Parce que derrière, il y a l'idée que vouloir de l'argent pour vraiment combler des besoins de base, c'est bien, c'est louable, c'est honorable, mais au-delà, ce serait de l'abus. Mais pourquoi ? On a cette idée que par exemple, la maman solo qui se décarcasse pour faire rentrer de l'argent au foyer, Ça serait une sainte, elle donne tout pour sa famille, c'est merveilleux ce qu'elle fait, on va la glorifier. En revanche, celle qui va faire exactement les mêmes actions, qui va se décarcasser aussi, qui va mettre la même énergie, alors qu'elle a déjà beaucoup d'argent, ça serait beaucoup moins bien, ça serait critiquable, elle serait intéressée. Quand l'argent est vraiment pour sauver la famille, c'est bien. Et quand c'est pour soi, pour du surplus, ça ne serait pas bien. Tu vois, toutes ces dissonances, cette dualité. Pourquoi cette dualité ? On va rajouter une couche. Si en plus, cette femme qui désire de l'argent, pour des expériences de luxe, elle y prend du plaisir à gagner de l'argent, mais alors là, on est dans un autre monde. Quand tu es une femme, argent, plaisir, c'est une drôle d'alliance qui est souvent tellement mal perçue. Il y a tellement de choses qui se jouent là. Maintenant, on peut même sortir du champ de l'entrepreneuriat. Imagine une salariée, ça t'est peut-être déjà arrivé, qui va démissionner de sa boîte où elle est plutôt bien et va aller dans une autre entreprise parce qu'on lui propose un salaire qui est le double de celui qu'elle a. On va facilement lui dire qu'elle a l'appât du gain, qu'elle est arriviste, opportuniste, profiteuse. Mais si elle a une opportunité, oui, d'être mieux payée, où est le mal ? Tu vois, la dernière masterclass que j'ai offerte, que j'ai animée hier, j'ai très intentionnellement choisi de la nommer sacrément profitable. Cet adjectif profitable, je l'aime. J'ai envie qu'on soit là pour profiter, pour créer du profit, pour profiter de la vie, pour être soutenu par nos business, pour en profiter aussi. Derrière toutes ces perceptions, ces critiques, ce que je vois c'est vraiment des tentatives pour éveiller la culpabilité, pour agiter. Écoutez la honte. Et les vibrations de la culpabilité et de la honte, elles sont très basses. Évidemment qu'elles vont te retenir de ventre. Évidemment que tu vas perdre tout sentiment de légèreté dans la honte, dans la culpabilité. C'est des plombs. C'est absolument antinomique avec le sentiment de légèreté. Et quand tu n'es pas assez solide dans tes convictions, dans tes valeurs, dans ta vision, évidemment que tu vas vaciller. Évidemment que tu vas te rétracter. Parce que personne n'a envie d'être traité de profiteuse ou d'arnaqueuse. C'est des vraies insultes. C'est blessant. Et comme je te disais tout à l'heure, si tu n'es pas en paix avec ce qui éventuellement se cache derrière, ça va être tellement heurtant, blessant. Imaginons qu'on te traite d'arnaqueuse. Evidemment que ça parle seulement de l'expérience de cette personne qui profère ses injures, qui t'insulte, qui probablement a été arnaquée un jour. Et son cerveau, avec ce fameux biais de généralisation, assimile maintenant toute proposition à une arnaque potentielle au secours-danger. Elle se donne la mission d'avertir la terre entière que tu es certainement une arnaqueuse. C'est bon de le voir comme ça. Mais c'est vrai que quand tu es confronté à la critique, seul face à ton écran, tu n'as peut-être pas ce recul pour le voir comme ça. On t'a déjà accusé d'être une profiteuse ? Au moins oui, et plusieurs fois sur Facebook. FITUS. Cet adjectif, il est vraiment intéressant. Parce que oui, et je te le souhaite, tu profites d'opportunités. Tu profites de tes dons. Tu veux générer du profit. C'est ça exactement l'entrepreneuriat. Et pour profiter, tu travailles, tu œuvres, tu innoves, tu crées. Alors, mais où est le mal à profiter ? Je crois que ce qui dérange vraiment beaucoup de personnes, c'est qu'on a deux rôles, même trois rôles. Je vais en ajouter un troisième. Et j'en ai parlé dans un précédent épisode du podcast. En live, j'ai pu la référence du... numéro et du titre de l'épisode. Mais si tu suis le podcast depuis un moment, ça va réveiller quelques souvenirs. Notre premier rôle, servir. C'est notre port d'attache, le service. Offrir notre expertise, être généreuse, aider, donner nos dons. Et ça en général c'est ok. Quand on est dans le service, on peut être bien perçu, mais il ne faudrait quand même pas trop en faire, pas trop faire de vagues, pas trop se distinguer et surtout ne rien proposer de payant ou de potentiellement payant. Notre deuxième rôle, développer une entreprise et donc générer du profit. Pas de profit, pas d'entreprise. Et là... Ça commence à heurter certaines personnes, celles qui peut-être n'ont pas ce courage, cette audace, cette détermination, toutes les qualités qui sont nécessaires et que si peu ont, si peu déploient sur la durée. Ça les confronte. Par essence, quand tu es entrepreneur, tu deviens confrontante. Et le troisième rôle, c'est être une leader. Une leader qui marche en avant, qui marche en avant souvent, qui prend des risques, qui innove, qui ouvre des voies, qui prend des chaos, qui montre l'exemple et qui profite d'opportunités, qui a ce courage, qui sort du rang, qui élève la voie, qui élève les standards. Là aussi, ça dérange, ça confronte, ça pique. Alors, le premier rôle, servir, il serait ok, honorable. Les deux autres rôles, c'est plus compliqué. Oui, parce que ça demande du courage. Et c'est là que celles et ceux qui choisissent de ne pas déployer leur propre courage, celles et ceux qui choisissent de laisser leur propre courage dans le lit en sommeil, voient en miroir. ce qu'il ou elle n'ose pas faire, devenir, être. C'est tellement confrontant. Surtout, ne laisse pas les attaques t'arrêter. Ne laisse pas les critiques te définir. Ne te laisse pas arrêter par les simples pensées sur ce que les autres pourraient penser tout bas sans même le dire tout haut. Ne laisse pas tout ça te bloquer dans ton expression, dans ton expansion. Plus tu vas grandir, briller, t'exposer, oui, plus tu vas être jugé. Tu veux accueillir plus de clients ? Tu veux générer plus d'argent ? Alors prépare-toi à accueillir plus de critiques. Quand on parle de recevoir davantage, ouais, c'est aussi de ça qu'il s'agit. Ta plus grande expansion, elle est exactement là où tu te retiens. Et quand tu regardes de plus près, quand tu regardes ces endroits où tu te retiens, il y a toujours une peur. Et je pense qu'il y a quasiment toujours une peur en lien avec le regard des autres. Et ou le regard de toi sur toi. Et franchement. Est-ce qu'on a vraiment du temps pour ça ? Alors, c'est le moment de lâcher la honte. Lâcher la honte de vendre, lâcher la honte de trop vendre. Lâcher la honte de vendre à haute intensité. Et pour t'y aider, reconnecte-toi à tes intentions. Si tes intentions sont pures, Vas-y ! Reconnecte-toi à ta vision. Si ta vision passe par un chemin de vente, vas-y ! Reconnecte-toi à ta mission. L'argent est bienvenu dans ta mission. Et aussi... C'est vraiment important, c'est plus qu'important, c'est essentiel, c'est vital pour la pérennité de ton business. Entoure-toi de personnes qui normalisent l'argent. Pour qui l'argent c'est bon, c'est bien, c'est beau, c'est normal. Qui le normalise est plus que ça, qui le célèbre. Dans mes espaces sacrébices de Cercle Or des Normes, on célèbre l'argent. C'est important. L'argent est notre compagnon de route. Entoure-toi de personnes qui sont heureuses de te voir évoluer, grandir, créer plus de clients, créer beaucoup plus d'argent. Pas celles qui vont se sentir déstabilisées, menacées parce que tu te transformes, tu deviens différente. C'est tellement important cet espace de soutien humain. Et si je t'en parle ? c'est que cette honte, cette culpabilité, ces douleurs, je les ai connues, je les ai vécues dans mon corps à plein de reprises. Et je sais combien vendre dans ce contexte émotionnel-là, c'est difficile. Je me souviens de manière encore très très vive de cette fois-là où ça m'est arrivé de la manière la plus intense que j'ai vécue. C'est en novembre 2023. Je revois la scène comme si j'y étais. Je suis alors à Bali. Et j'anime une masterclass comme je l'ai fait hier. Et quand j'anime des masterclass à Bali, ça m'est arrivé à plusieurs reprises, je loue un bureau dans un espace de coworking au milieu des rizières, un endroit magique. Et je me revois dans ce bureau, j'ai tout préparé pour la masterclass. Derrière moi, il y a une grande baie vitrée avec vue sur une belle ligne de cocotier. Je trouve ça extraordinaire. Je suis pleine d'énergie, pleine de confiance, hyper heureuse d'offrir ce grand moment, ces transformations. Et quelques minutes après le début de la masterclass, je commence à voir... des propos injurieux, haineux, apparaître dans le tchat. Un déferlement sur ce que je suis en train de transmettre, sur moi, sur mes intentions, une horreur. Et ça défile, et ça défile. J'ai un mal fou à rester focus sur ma masterclass, à ne pas voir ce tchat haineux. Et je tiens, Je vends du mieux que je peux. Évidemment que c'est difficile. Évidemment que je vais avoir le moins bon taux de conversion que j'ai eu depuis tellement longtemps. J'ai ressenti tellement de honte, tellement d'humiliation. Et un tellement grand sentiment d'injustice. Et l'injustice, c'est un sentiment qui est très difficile pour moi. Parce que l'intégrité, la générosité, le respect, l'engagement, c'est des valeurs. fondamentale pour moi et voir ces valeurs piétinées en live alors je suis en train d'essayer de donner le meilleur waouh grosse grosse douleur pour celles qui me connaissent vous le savez je travaille toujours avec beaucoup de dévotion avec une intensité rare je m'engage à fond je donne toujours beaucoup beaucoup gratuitement bien sûr dans mes masterclass Je suis là aussi pour offrir de poursuivre l'aventure avec moi pour celles pour qui ça résonne. Mais pour celles pour qui ce n'est pas le moment d'acheter, qui ne peuvent pas acheter, qui ne veulent pas acheter, quelles que soient les raisons, vous trouvez toujours chez moi beaucoup de valeur, sans jamais rien payer, ne serait-ce que dans cet espace du podcast. Et il y a un moment où, pour certaines, c'est le moment d'aller plus en profondeur, d'accélérer le mouvement, d'amplifier les résultats. Je n'ai jamais le sentiment de voler qui que ce soit. De toute façon, comment est-ce qu'on pourrait voler des êtres libres ? On ne vient pas chez nos clients, nos clientes, leur arracher leur carte bancaire. Chacun est libre d'acheter, pas acheter, dire oui, non. Et ce jour de novembre 2023, franchement, voir ces horreurs en live, alors que j'étais en train de parler, de m'exposer, de prendre des risques, d'être en vulnérabilité. Imaginez ces femmes-là derrière leur écran en train de cracher ce venin. Imaginez que toutes les autres voyaient ces commentaires. Sans que je puisse, moi, protéger cet espace. Bien sûr, il y avait quelqu'un de mon équipe qui était dans le chat, qui faisait de son mieux. pour faire sortir ces personnes. Mais quand il y en a beaucoup, beaucoup, beaucoup, ça prend beaucoup de temps de les faire sortir. Oui, ça a été vraiment rude. Et pour autant, j'ai tout de suite décidé que cette épreuve n'allait pas diriger mes décisions ensuite. Je me suis imposée très rapidement après de revenir en live, de m'exposer, de me montrer. Deux mois plus tard, j'animais le premier grand sommet Entreprendre hors des normes. où je m'exposais plus que jamais. Je n'ai pas voulu me permettre de laisser cette épreuve me définir, me rétracter, me contracter, me rétrécir. C'est mon message pour toi aujourd'hui. Tu as une offre ? Offre-la. Tu as une entreprise ? Rends-la profitable. Tu désires servir ? Rends ça possible durablement en devenant aussi une entrepreneur et une leader. Et surtout, ne laisse personne te détourner de ton chemin. Trace-le, ton chemin. Si cet épisode t'a plu, t'a inspiré, t'a élevé, est-ce que tu veux m'aider à le diffuser ? Tu peux m'aider. Et c'est simple. C'est un petit geste pour toi et ça compte vraiment beaucoup pour moi. Parce que pour qu'un podcast touche plus d'oreilles, de cœurs, il a besoin d'être promu par ses auditrices. Et t'as beaucoup de pouvoir pour ça. pour m'aider à le diffuser. En lui mettant une note sur ta plateforme d'écoute, un commentaire, en en parlant à tes camarades entrepreneurs, en le partageant sur tes réseaux sociaux, ça a beaucoup de valeur pour moi. Merci infiniment. Je te souhaite une magnifique suite de semaine. Muy caliente. Peut-être moins à l'extérieur, je te le souhaite. En tout cas, à l'intérieur, assurément. Et on se retrouve. semaine prochaine. Ma mission, c'est d'aider les femmes comme toi à se lâcher la bride pour lâcher les fauves. Si tu aimes ce podcast, tu vas adorer la formation que je t'offre. C'est le condensé de mon approche anticonformiste du business pour t'aider à accueillir tes prochains clients joyeusement. Reçois cette formation gratuitement en cliquant sur le lien dans les notes du podcast. Je jubile déjà en pensant à tout ce que tu vas réaliser.

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Tu veux des clients.

Mais il faut vendre. Et tu t’en passerais bien.

Tu ne veux pas insister. Encore moins harceler.

On pourrait te prendre pour une profiteuse. Voire une arnaqueuse.

 

Alors tu fais des pirouettes. Et tu récoltes… des clopinettes !

Tu espères que les gens vont deviner ton offre et sa si grande valeur.

Mais ils ne sont pas devins. Alors ils ne deviennent pas clients.

 

Dans cet épisode pour t'aider à entreprendre hors des normes, je t’emmène dans les profondeurs de cette peur si fréquente chez les femmes entrepreneures, et qui tue les ventes.

 

Tu vas découvrir :
→ Ce qui se cache vraiment derrière la peur de vendre, ou de « trop » vendre.

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→ Comment j’ai vécu les premiers commentaires agressifs que j’ai reçus à mes débuts (non, je n’étais pas du tout zen !
→ Ce que j’ai compris en observant la méchanceté gratuite - et qu’il est indispensable d’intégrer pour croître.

→ Quelle est vraiment cette liberté que nous désirons toutes.

 

Je te propose une autre vision de la vente : fluide, alignée, joyeuse, libérée. LIBRE.


🎧 Écoute cet épisode si toi aussi tu veux vendre avec légèreté.


Et partage-le à toutes les entrepreneuses qui ont besoin d’un petit électrochoc d’amour et de vérité.

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Mon TEDx sur la neurodivergence : https://youtu.be/SyqAz9K8Kyg?si=ZEtQaqzHveY9Ksie


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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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  • Speaker #0

    Entreprendre hors des normes est le podcast dédié aux femmes entrepreneurs qui désirent faire la différence par leur différence. Je suis Anne-Valérie Rocourt. Depuis 2010, j'accompagne les femmes originales et ambitieuses qui veulent se créer une vie riche et libre par la voie de l'entrepreneuriat. Si tu désires casser les codes, créer ta propre recette du succès et développer un business florissant au service de ta vie et de la vie, tu es ici chez toi. Dans le podcast Entreprendre hors des normes, je te dévoile, avec authenticité, profondeur et humour, des stratégies audacieuses, des approches mindset décalées, et parfois même une vision perchée, pour que ton business soit ton espace d'expansion. Ici, on célèbre ensemble la puissance des femmes qui osent assumer leur singularité, exprimer leur plein potentiel et laisser leur empreinte. Bienvenue pour ce nouvel épisode, un épisode muy caliente, muy caliente parce que je l'enregistre en pleine canicule. Si tu me suis, tu sais que j'habite en Provence, il fait très très très chaud et même si j'habite une très vieille maison avec des gros murs en pierre, la maison commence à peiner, à nous protéger, à garder un peu de fraîcheur. Muy caliente aussi parce que j'enregistre cet épisode au lendemain de la grande masterclass qui a été absolument fabuleuse, phénoménale, folle. Une énergie incroyable était là et je suis encore complètement emplie, habitée par cette énergie. Je pense que tu vas le sentir dans cet épisode que je t'offre. Et puis muy caliente, chaud, hot parce qu'on va parler de la vente. Ce sujet... Tellement chaud, brûlant, bouillant pour beaucoup d'entrepreneurs. J'ai envie de te mener sur un chemin de vente plus légère. Pourquoi j'ai envie de t'en parler ? Parce que, évidemment, semaine après semaine, dans Sacré-Bise, dans le cercle hors des normes, sous plein de formes, le sujet de la vente revient. Et il y a une question qui revient régulièrement en coaching sous différentes formes, plutôt dans Sacré-Bise d'ailleurs. C'est cette question autour de je ne veux pas trop vendre. Si je vends trop, si je leur envoie trop de postes, trop de mails, si je fais trop d'offres, je vais les harceler. Si je vends trop, on va penser que je suis intéressée par l'argent, qu'il n'y a que l'argent qui me motive, que je fais ça pour l'argent. Ça va se présenter aussi de manière plus subtile parfois. par des entrepreneurs que je vois qui arrivent dans Sacré-Bise. Et quand on parle d'objectifs, quand on parle d'agrandir leurs objectifs, elles vont évoquer leurs objectifs en termes de clients. Bon, je voudrais tant de clients. C'est un court circuit, un contournement pour ne pas poser leurs objectifs en termes d'argent. Comme si fixer un objectif en termes de nombre de clients, c'était beaucoup plus honorable. que d'avoir un objectif financier. Et puis il y a encore celles qui carrément vont dire que, dans un monde idéal, elles voudraient tout donner gratuitement. Elles voudraient être dans ce monde imaginaire où l'argent n'existe pas, et on vit avec du troc peut-être, et elles sont là pour la mission, c'est leur vocation, elles sont dans la dévotion, et donc il faudrait que l'argent ne soit pas en jeu. Mais pourquoi ? Je suis follement animée par ma mission. C'est une dévotion. Et je ne vois pas de contradiction avec l'argent. Tu vois que toutes ces formes, elles cachent une peur de trop vendre. Et quand on a peur de trop vendre, évidemment la vente est lourde. Aux antipodes de cette légèreté que tu voudrais tellement ressentir. C'est lourd quand tu as peur de passer pour une opportuniste. Quand tu ne veux surtout pas qu'on dise que tu es intéressé par l'argent. Là, je pense à une de mes clientes de sacrée bise, une femme talenteuse, audacieuse, bourrée de qualité de talent, qui organisait récemment un magnifique événement qu'elle a rempli en quelques jours. Un événement où elle prenait la parole et où elle avait invité des experts talenteux pour aussi... Montez sur scène un événement sur toute une journée. En coaching... Je l'ai évidemment questionné sur ce qu'elle allait vendre et comment elle allait le vendre. Et la contraction. Toutes les peurs sont arrivées. Les gens ne viennent pas pour ça. Ils viennent pour les autres experts. Et que vont penser les autres experts ? Et que vont penser les gens si je leur vends ? Ce n'est pas un endroit pour vendre. Alors peut-être comme j'ai une table avec mes livres, à la fin je pourrais éventuellement mettre des petits flyers dessus. On veut escamoter la vente. On ne veut pas passer pour une vendeuse. Il y a toujours cette peur, mais qu'est-ce que les gens vont en penser ? Cette peur-là, elle va souvent être amplifiée si en plus tu as reçu à un moment ou à un autre des commentaires, des critiques, des mots méprisants, agressifs sur le fait que oui, tu vends. Oui, tu es là pour proposer ton offre. Quand tu fais des publicités sur Facebook ou Insta, alors ça va être très rare d'être épargné. Ça va même être très fréquent de recevoir un déferlement de critique, voire de haine. C'est quasiment toujours le cas quand je fais des campagnes publicitaires. Je peux te dire qu'à mes débuts, j'étais mortifiée. Ça me blessait à tel point que je... Je ne voulais même plus aller voir les commentaires. Pourtant, c'est important d'aller voir éventuellement, de les supprimer, de les bloquer pour ne pas se trouver face à un déferlement de haine. J'ai beaucoup cheminé. Maintenant, ça glisse comme sur les plumes d'un canard. Et maintenant, quand je vois, et c'est toujours le cas, et c'était le cas encore il y a quelques jours, parce que j'étais en campagne publicitaire pour ma masterclass pour inviter plus de femmes, j'ai encore eu... des commentaires, mais ça me met face en fait à maintenant une grande perplexité. Comment est-ce qu'il peut y avoir des êtres humains dont l'occupation réjouissante est de consacrer de leur précieux temps de vie à critiquer les autres, à critiquer celles qui osent, celles qui créent, celles qui offrent, celles qui se montrent, celles qui prennent leur place ? Alors oui, bien sûr, j'ai des réponses. Mais ça n'enlève rien à ma perplexité. Quand tu fais des efforts, quand tu te dépasses, quand tu t'exposes, il y a une part de vulnérabilité. Et tu vas presque toujours être la proie de critiques, de personnes, pour qu'il y ait une forme de jouissance à tenter de créer de la souffrance chez les autres. Et oui, ça peut être douloureux. Ces commentaires virulents, j'en ai encore eu beaucoup tout récemment. Et maintenant, en fait, je m'y attends. Ça ne me surprend même pas. Ce qui me surprend, c'est quand il n'y en a pas en fait. Et je déploie une énergie, une qualité qui je trouvais très aidante, c'est la curiosité. la curiosité de voir l'inventivité de ces personnes pour aller trouver des angles d'attaque que je n'aurais même pas imaginé. Encore ce matin, je voyais sous un réel que j'ai fait à partir de mon TEDx Une critique d'une femme qui disait, en gros, c'est nul, c'est naze, quel mot la sonne. J'ai zappé au bout de deux secondes. Alors déjà, elle n'a pas assez zappé. J'aurais bien aimé qu'elle zappe vraiment plutôt que de prendre le temps d'écrire ça. Là, je me dis, waouh, mais que de frustration chez cette femme pour aller... consacrer quelques minutes de sa précieuse vie à écrire des mots pareils à une autre femme qui a le courage de monter sur une scène, de faire ce travail, de s'exposer, de se mettre sous les feux des projecteurs, ça m'interpelle en fait. Ça m'interpelle sur la nature humaine. Et ces critiques, oui, on a à forger. notre force pour ne plus se laisser heurter et ça va nous heurter aussi longtemps qu'il y a une forme de faille quand on te dit par exemple que tu es intéressé par l'argent que tu es une arnaqueuse une profiteuse que tu es dangereuse Ça va te blesser aussi longtemps que tu n'es pas totalement en paix avec ces parts de toi. Ces parts de toi qui sont peut-être d'infimes parts de toi. Tu as à faire la paix avec ces parts de toi. Et c'est vraiment essentiel quand tu es une entrepreneur. Parce que quand ces critiques te heurtent, quand elles vont t'éloigner de ton cap, Quand tu avais prévu d'offrir ton offre et puis tu vas décider de ne plus l'offrir ou de baisser ton prix ou de le faire tout timidement, tu vas te contracter, te rétracter. Tu ne peux plus être une entrepreneur. Tu ne peux plus développer ton business. Tu ne peux plus vivre ton expansion. Et le pire du pire, c'est que parfois, il n'y a même pas eu de critique exprimée. Tu es juste dans l'imagination, la supposition que peut-être les gens pourraient avoir ces idées-là. S'ils pensaient que tu vends trop, ils pourraient penser des choses affreuses sur toi. Il faut surtout prévenir cette possibilité de penser qu'ils pourraient avoir. Et alors ? Et alors si vraiment ils pensaient que tu vends trop ? Est-ce vraiment un problème ? Et c'est là qu'intervient cette question essentielle à te poser. Qu'est-ce que tu veux vraiment en devenant entrepreneur ? Tu es devenu entrepreneur, au moins un petit peu, pour la liberté. C'est quoi cette liberté ? Est-ce que c'est travailler d'où tu veux, gérer ton temps, de ne plus avoir à demander à personne la permission pour partir en vacances ou t'offrir une après-midi au spa ? Oui, c'est tout ça. Mais aussi, mais surtout, mais essentiellement, c'est être libre du regard des autres. Être libre des pensées sur ce que pourraient penser les autres. Dès que tu t'exposes, tu as à te libérer. Et c'est ça, expérimenter vraiment ta liberté. Quand tu es salarié, tu peux encore t'accommoder quelque part de cette peur du regard des autres. Il y a moins d'impact, moins de conséquences. Quand tu es entrepreneur, franchement, tu ne peux plus te le permettre. Les conséquences sont trop importantes. Tu te coupes de la vente, tu te coupes d'offrir ton offre, tu te coupes de la possibilité de créer tes clients et l'argent. Tu te retiens. Et tant que tu te retiens, tu passes tellement de temps à penser à ce que pourraient penser les gens. Et c'est autant de temps que tu ne passes pas dans le mouvement, dans l'action, dans la création, dans offrir ton offre. Tu veux vraiment être libre. J'ai la solution pour toi. Passe moins de temps à penser à ce que les autres pourraient penser et sors, sors créer les clientes, sors créer l'argent. Parce que tu sais quoi ? Les pensées des autres, elles ne mettent pas de l'argent sur ton compte en banque. Les pensées des autres, elles ne payent pas tes factures. Les pensées des autres, elles ne vont pas te permettre de matérialiser tes rêves. Les pensées des autres, elles ne te font pas avancer vers ta vision. Alors si on revient à l'argent, quand bien même l'argent serait ta motivation première, première, première, il est où le problème ? Pourquoi ça serait un problème ? Quand j'observe les entrepreneurs que j'accompagne, certains n'ont pas vraiment besoin d'argent. Mais elles désirent l'argent. Et il peut y avoir plein de raisons pour accéder à plus de luxe, à plus d'expérience. Ou simplement parce que c'est un symbole de leur évolution. Il y a aussi d'autres entrepreneurs que j'accompagne qui ont vraiment besoin d'argent. pour nourrir leurs enfants, pour assurer une base de sécurité à leur famille, pour s'offrir des vacances, pour payer la scolarité, pour plein de besoins de base. Est-ce que ce serait plus louable de gagner de l'argent pour nourrir ces besoins-là que de gagner de l'argent parce que tu as juste des désirs plus luxueux ? Est-ce qu'il y aura un bon et un mauvais argent ? Est-ce qu'il y aurait un argent justifié, un argent injustifié ? C'est des vraies questions. Parce que derrière, il y a l'idée que vouloir de l'argent pour vraiment combler des besoins de base, c'est bien, c'est louable, c'est honorable, mais au-delà, ce serait de l'abus. Mais pourquoi ? On a cette idée que par exemple, la maman solo qui se décarcasse pour faire rentrer de l'argent au foyer, Ça serait une sainte, elle donne tout pour sa famille, c'est merveilleux ce qu'elle fait, on va la glorifier. En revanche, celle qui va faire exactement les mêmes actions, qui va se décarcasser aussi, qui va mettre la même énergie, alors qu'elle a déjà beaucoup d'argent, ça serait beaucoup moins bien, ça serait critiquable, elle serait intéressée. Quand l'argent est vraiment pour sauver la famille, c'est bien. Et quand c'est pour soi, pour du surplus, ça ne serait pas bien. Tu vois, toutes ces dissonances, cette dualité. Pourquoi cette dualité ? On va rajouter une couche. Si en plus, cette femme qui désire de l'argent, pour des expériences de luxe, elle y prend du plaisir à gagner de l'argent, mais alors là, on est dans un autre monde. Quand tu es une femme, argent, plaisir, c'est une drôle d'alliance qui est souvent tellement mal perçue. Il y a tellement de choses qui se jouent là. Maintenant, on peut même sortir du champ de l'entrepreneuriat. Imagine une salariée, ça t'est peut-être déjà arrivé, qui va démissionner de sa boîte où elle est plutôt bien et va aller dans une autre entreprise parce qu'on lui propose un salaire qui est le double de celui qu'elle a. On va facilement lui dire qu'elle a l'appât du gain, qu'elle est arriviste, opportuniste, profiteuse. Mais si elle a une opportunité, oui, d'être mieux payée, où est le mal ? Tu vois, la dernière masterclass que j'ai offerte, que j'ai animée hier, j'ai très intentionnellement choisi de la nommer sacrément profitable. Cet adjectif profitable, je l'aime. J'ai envie qu'on soit là pour profiter, pour créer du profit, pour profiter de la vie, pour être soutenu par nos business, pour en profiter aussi. Derrière toutes ces perceptions, ces critiques, ce que je vois c'est vraiment des tentatives pour éveiller la culpabilité, pour agiter. Écoutez la honte. Et les vibrations de la culpabilité et de la honte, elles sont très basses. Évidemment qu'elles vont te retenir de ventre. Évidemment que tu vas perdre tout sentiment de légèreté dans la honte, dans la culpabilité. C'est des plombs. C'est absolument antinomique avec le sentiment de légèreté. Et quand tu n'es pas assez solide dans tes convictions, dans tes valeurs, dans ta vision, évidemment que tu vas vaciller. Évidemment que tu vas te rétracter. Parce que personne n'a envie d'être traité de profiteuse ou d'arnaqueuse. C'est des vraies insultes. C'est blessant. Et comme je te disais tout à l'heure, si tu n'es pas en paix avec ce qui éventuellement se cache derrière, ça va être tellement heurtant, blessant. Imaginons qu'on te traite d'arnaqueuse. Evidemment que ça parle seulement de l'expérience de cette personne qui profère ses injures, qui t'insulte, qui probablement a été arnaquée un jour. Et son cerveau, avec ce fameux biais de généralisation, assimile maintenant toute proposition à une arnaque potentielle au secours-danger. Elle se donne la mission d'avertir la terre entière que tu es certainement une arnaqueuse. C'est bon de le voir comme ça. Mais c'est vrai que quand tu es confronté à la critique, seul face à ton écran, tu n'as peut-être pas ce recul pour le voir comme ça. On t'a déjà accusé d'être une profiteuse ? Au moins oui, et plusieurs fois sur Facebook. FITUS. Cet adjectif, il est vraiment intéressant. Parce que oui, et je te le souhaite, tu profites d'opportunités. Tu profites de tes dons. Tu veux générer du profit. C'est ça exactement l'entrepreneuriat. Et pour profiter, tu travailles, tu œuvres, tu innoves, tu crées. Alors, mais où est le mal à profiter ? Je crois que ce qui dérange vraiment beaucoup de personnes, c'est qu'on a deux rôles, même trois rôles. Je vais en ajouter un troisième. Et j'en ai parlé dans un précédent épisode du podcast. En live, j'ai pu la référence du... numéro et du titre de l'épisode. Mais si tu suis le podcast depuis un moment, ça va réveiller quelques souvenirs. Notre premier rôle, servir. C'est notre port d'attache, le service. Offrir notre expertise, être généreuse, aider, donner nos dons. Et ça en général c'est ok. Quand on est dans le service, on peut être bien perçu, mais il ne faudrait quand même pas trop en faire, pas trop faire de vagues, pas trop se distinguer et surtout ne rien proposer de payant ou de potentiellement payant. Notre deuxième rôle, développer une entreprise et donc générer du profit. Pas de profit, pas d'entreprise. Et là... Ça commence à heurter certaines personnes, celles qui peut-être n'ont pas ce courage, cette audace, cette détermination, toutes les qualités qui sont nécessaires et que si peu ont, si peu déploient sur la durée. Ça les confronte. Par essence, quand tu es entrepreneur, tu deviens confrontante. Et le troisième rôle, c'est être une leader. Une leader qui marche en avant, qui marche en avant souvent, qui prend des risques, qui innove, qui ouvre des voies, qui prend des chaos, qui montre l'exemple et qui profite d'opportunités, qui a ce courage, qui sort du rang, qui élève la voie, qui élève les standards. Là aussi, ça dérange, ça confronte, ça pique. Alors, le premier rôle, servir, il serait ok, honorable. Les deux autres rôles, c'est plus compliqué. Oui, parce que ça demande du courage. Et c'est là que celles et ceux qui choisissent de ne pas déployer leur propre courage, celles et ceux qui choisissent de laisser leur propre courage dans le lit en sommeil, voient en miroir. ce qu'il ou elle n'ose pas faire, devenir, être. C'est tellement confrontant. Surtout, ne laisse pas les attaques t'arrêter. Ne laisse pas les critiques te définir. Ne te laisse pas arrêter par les simples pensées sur ce que les autres pourraient penser tout bas sans même le dire tout haut. Ne laisse pas tout ça te bloquer dans ton expression, dans ton expansion. Plus tu vas grandir, briller, t'exposer, oui, plus tu vas être jugé. Tu veux accueillir plus de clients ? Tu veux générer plus d'argent ? Alors prépare-toi à accueillir plus de critiques. Quand on parle de recevoir davantage, ouais, c'est aussi de ça qu'il s'agit. Ta plus grande expansion, elle est exactement là où tu te retiens. Et quand tu regardes de plus près, quand tu regardes ces endroits où tu te retiens, il y a toujours une peur. Et je pense qu'il y a quasiment toujours une peur en lien avec le regard des autres. Et ou le regard de toi sur toi. Et franchement. Est-ce qu'on a vraiment du temps pour ça ? Alors, c'est le moment de lâcher la honte. Lâcher la honte de vendre, lâcher la honte de trop vendre. Lâcher la honte de vendre à haute intensité. Et pour t'y aider, reconnecte-toi à tes intentions. Si tes intentions sont pures, Vas-y ! Reconnecte-toi à ta vision. Si ta vision passe par un chemin de vente, vas-y ! Reconnecte-toi à ta mission. L'argent est bienvenu dans ta mission. Et aussi... C'est vraiment important, c'est plus qu'important, c'est essentiel, c'est vital pour la pérennité de ton business. Entoure-toi de personnes qui normalisent l'argent. Pour qui l'argent c'est bon, c'est bien, c'est beau, c'est normal. Qui le normalise est plus que ça, qui le célèbre. Dans mes espaces sacrébices de Cercle Or des Normes, on célèbre l'argent. C'est important. L'argent est notre compagnon de route. Entoure-toi de personnes qui sont heureuses de te voir évoluer, grandir, créer plus de clients, créer beaucoup plus d'argent. Pas celles qui vont se sentir déstabilisées, menacées parce que tu te transformes, tu deviens différente. C'est tellement important cet espace de soutien humain. Et si je t'en parle ? c'est que cette honte, cette culpabilité, ces douleurs, je les ai connues, je les ai vécues dans mon corps à plein de reprises. Et je sais combien vendre dans ce contexte émotionnel-là, c'est difficile. Je me souviens de manière encore très très vive de cette fois-là où ça m'est arrivé de la manière la plus intense que j'ai vécue. C'est en novembre 2023. Je revois la scène comme si j'y étais. Je suis alors à Bali. Et j'anime une masterclass comme je l'ai fait hier. Et quand j'anime des masterclass à Bali, ça m'est arrivé à plusieurs reprises, je loue un bureau dans un espace de coworking au milieu des rizières, un endroit magique. Et je me revois dans ce bureau, j'ai tout préparé pour la masterclass. Derrière moi, il y a une grande baie vitrée avec vue sur une belle ligne de cocotier. Je trouve ça extraordinaire. Je suis pleine d'énergie, pleine de confiance, hyper heureuse d'offrir ce grand moment, ces transformations. Et quelques minutes après le début de la masterclass, je commence à voir... des propos injurieux, haineux, apparaître dans le tchat. Un déferlement sur ce que je suis en train de transmettre, sur moi, sur mes intentions, une horreur. Et ça défile, et ça défile. J'ai un mal fou à rester focus sur ma masterclass, à ne pas voir ce tchat haineux. Et je tiens, Je vends du mieux que je peux. Évidemment que c'est difficile. Évidemment que je vais avoir le moins bon taux de conversion que j'ai eu depuis tellement longtemps. J'ai ressenti tellement de honte, tellement d'humiliation. Et un tellement grand sentiment d'injustice. Et l'injustice, c'est un sentiment qui est très difficile pour moi. Parce que l'intégrité, la générosité, le respect, l'engagement, c'est des valeurs. fondamentale pour moi et voir ces valeurs piétinées en live alors je suis en train d'essayer de donner le meilleur waouh grosse grosse douleur pour celles qui me connaissent vous le savez je travaille toujours avec beaucoup de dévotion avec une intensité rare je m'engage à fond je donne toujours beaucoup beaucoup gratuitement bien sûr dans mes masterclass Je suis là aussi pour offrir de poursuivre l'aventure avec moi pour celles pour qui ça résonne. Mais pour celles pour qui ce n'est pas le moment d'acheter, qui ne peuvent pas acheter, qui ne veulent pas acheter, quelles que soient les raisons, vous trouvez toujours chez moi beaucoup de valeur, sans jamais rien payer, ne serait-ce que dans cet espace du podcast. Et il y a un moment où, pour certaines, c'est le moment d'aller plus en profondeur, d'accélérer le mouvement, d'amplifier les résultats. Je n'ai jamais le sentiment de voler qui que ce soit. De toute façon, comment est-ce qu'on pourrait voler des êtres libres ? On ne vient pas chez nos clients, nos clientes, leur arracher leur carte bancaire. Chacun est libre d'acheter, pas acheter, dire oui, non. Et ce jour de novembre 2023, franchement, voir ces horreurs en live, alors que j'étais en train de parler, de m'exposer, de prendre des risques, d'être en vulnérabilité. Imaginez ces femmes-là derrière leur écran en train de cracher ce venin. Imaginez que toutes les autres voyaient ces commentaires. Sans que je puisse, moi, protéger cet espace. Bien sûr, il y avait quelqu'un de mon équipe qui était dans le chat, qui faisait de son mieux. pour faire sortir ces personnes. Mais quand il y en a beaucoup, beaucoup, beaucoup, ça prend beaucoup de temps de les faire sortir. Oui, ça a été vraiment rude. Et pour autant, j'ai tout de suite décidé que cette épreuve n'allait pas diriger mes décisions ensuite. Je me suis imposée très rapidement après de revenir en live, de m'exposer, de me montrer. Deux mois plus tard, j'animais le premier grand sommet Entreprendre hors des normes. où je m'exposais plus que jamais. Je n'ai pas voulu me permettre de laisser cette épreuve me définir, me rétracter, me contracter, me rétrécir. C'est mon message pour toi aujourd'hui. Tu as une offre ? Offre-la. Tu as une entreprise ? Rends-la profitable. Tu désires servir ? Rends ça possible durablement en devenant aussi une entrepreneur et une leader. Et surtout, ne laisse personne te détourner de ton chemin. Trace-le, ton chemin. Si cet épisode t'a plu, t'a inspiré, t'a élevé, est-ce que tu veux m'aider à le diffuser ? Tu peux m'aider. Et c'est simple. C'est un petit geste pour toi et ça compte vraiment beaucoup pour moi. Parce que pour qu'un podcast touche plus d'oreilles, de cœurs, il a besoin d'être promu par ses auditrices. Et t'as beaucoup de pouvoir pour ça. pour m'aider à le diffuser. En lui mettant une note sur ta plateforme d'écoute, un commentaire, en en parlant à tes camarades entrepreneurs, en le partageant sur tes réseaux sociaux, ça a beaucoup de valeur pour moi. Merci infiniment. Je te souhaite une magnifique suite de semaine. Muy caliente. Peut-être moins à l'extérieur, je te le souhaite. En tout cas, à l'intérieur, assurément. Et on se retrouve. semaine prochaine. Ma mission, c'est d'aider les femmes comme toi à se lâcher la bride pour lâcher les fauves. Si tu aimes ce podcast, tu vas adorer la formation que je t'offre. C'est le condensé de mon approche anticonformiste du business pour t'aider à accueillir tes prochains clients joyeusement. Reçois cette formation gratuitement en cliquant sur le lien dans les notes du podcast. Je jubile déjà en pensant à tout ce que tu vas réaliser.

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Description

Tu veux des clients.

Mais il faut vendre. Et tu t’en passerais bien.

Tu ne veux pas insister. Encore moins harceler.

On pourrait te prendre pour une profiteuse. Voire une arnaqueuse.

 

Alors tu fais des pirouettes. Et tu récoltes… des clopinettes !

Tu espères que les gens vont deviner ton offre et sa si grande valeur.

Mais ils ne sont pas devins. Alors ils ne deviennent pas clients.

 

Dans cet épisode pour t'aider à entreprendre hors des normes, je t’emmène dans les profondeurs de cette peur si fréquente chez les femmes entrepreneures, et qui tue les ventes.

 

Tu vas découvrir :
→ Ce qui se cache vraiment derrière la peur de vendre, ou de « trop » vendre.

→ Comment te libérer du poids des critiques et jugements.

→ Comment j’ai vécu les premiers commentaires agressifs que j’ai reçus à mes débuts (non, je n’étais pas du tout zen !
→ Ce que j’ai compris en observant la méchanceté gratuite - et qu’il est indispensable d’intégrer pour croître.

→ Quelle est vraiment cette liberté que nous désirons toutes.

 

Je te propose une autre vision de la vente : fluide, alignée, joyeuse, libérée. LIBRE.


🎧 Écoute cet épisode si toi aussi tu veux vendre avec légèreté.


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  • Speaker #0

    Entreprendre hors des normes est le podcast dédié aux femmes entrepreneurs qui désirent faire la différence par leur différence. Je suis Anne-Valérie Rocourt. Depuis 2010, j'accompagne les femmes originales et ambitieuses qui veulent se créer une vie riche et libre par la voie de l'entrepreneuriat. Si tu désires casser les codes, créer ta propre recette du succès et développer un business florissant au service de ta vie et de la vie, tu es ici chez toi. Dans le podcast Entreprendre hors des normes, je te dévoile, avec authenticité, profondeur et humour, des stratégies audacieuses, des approches mindset décalées, et parfois même une vision perchée, pour que ton business soit ton espace d'expansion. Ici, on célèbre ensemble la puissance des femmes qui osent assumer leur singularité, exprimer leur plein potentiel et laisser leur empreinte. Bienvenue pour ce nouvel épisode, un épisode muy caliente, muy caliente parce que je l'enregistre en pleine canicule. Si tu me suis, tu sais que j'habite en Provence, il fait très très très chaud et même si j'habite une très vieille maison avec des gros murs en pierre, la maison commence à peiner, à nous protéger, à garder un peu de fraîcheur. Muy caliente aussi parce que j'enregistre cet épisode au lendemain de la grande masterclass qui a été absolument fabuleuse, phénoménale, folle. Une énergie incroyable était là et je suis encore complètement emplie, habitée par cette énergie. Je pense que tu vas le sentir dans cet épisode que je t'offre. Et puis muy caliente, chaud, hot parce qu'on va parler de la vente. Ce sujet... Tellement chaud, brûlant, bouillant pour beaucoup d'entrepreneurs. J'ai envie de te mener sur un chemin de vente plus légère. Pourquoi j'ai envie de t'en parler ? Parce que, évidemment, semaine après semaine, dans Sacré-Bise, dans le cercle hors des normes, sous plein de formes, le sujet de la vente revient. Et il y a une question qui revient régulièrement en coaching sous différentes formes, plutôt dans Sacré-Bise d'ailleurs. C'est cette question autour de je ne veux pas trop vendre. Si je vends trop, si je leur envoie trop de postes, trop de mails, si je fais trop d'offres, je vais les harceler. Si je vends trop, on va penser que je suis intéressée par l'argent, qu'il n'y a que l'argent qui me motive, que je fais ça pour l'argent. Ça va se présenter aussi de manière plus subtile parfois. par des entrepreneurs que je vois qui arrivent dans Sacré-Bise. Et quand on parle d'objectifs, quand on parle d'agrandir leurs objectifs, elles vont évoquer leurs objectifs en termes de clients. Bon, je voudrais tant de clients. C'est un court circuit, un contournement pour ne pas poser leurs objectifs en termes d'argent. Comme si fixer un objectif en termes de nombre de clients, c'était beaucoup plus honorable. que d'avoir un objectif financier. Et puis il y a encore celles qui carrément vont dire que, dans un monde idéal, elles voudraient tout donner gratuitement. Elles voudraient être dans ce monde imaginaire où l'argent n'existe pas, et on vit avec du troc peut-être, et elles sont là pour la mission, c'est leur vocation, elles sont dans la dévotion, et donc il faudrait que l'argent ne soit pas en jeu. Mais pourquoi ? Je suis follement animée par ma mission. C'est une dévotion. Et je ne vois pas de contradiction avec l'argent. Tu vois que toutes ces formes, elles cachent une peur de trop vendre. Et quand on a peur de trop vendre, évidemment la vente est lourde. Aux antipodes de cette légèreté que tu voudrais tellement ressentir. C'est lourd quand tu as peur de passer pour une opportuniste. Quand tu ne veux surtout pas qu'on dise que tu es intéressé par l'argent. Là, je pense à une de mes clientes de sacrée bise, une femme talenteuse, audacieuse, bourrée de qualité de talent, qui organisait récemment un magnifique événement qu'elle a rempli en quelques jours. Un événement où elle prenait la parole et où elle avait invité des experts talenteux pour aussi... Montez sur scène un événement sur toute une journée. En coaching... Je l'ai évidemment questionné sur ce qu'elle allait vendre et comment elle allait le vendre. Et la contraction. Toutes les peurs sont arrivées. Les gens ne viennent pas pour ça. Ils viennent pour les autres experts. Et que vont penser les autres experts ? Et que vont penser les gens si je leur vends ? Ce n'est pas un endroit pour vendre. Alors peut-être comme j'ai une table avec mes livres, à la fin je pourrais éventuellement mettre des petits flyers dessus. On veut escamoter la vente. On ne veut pas passer pour une vendeuse. Il y a toujours cette peur, mais qu'est-ce que les gens vont en penser ? Cette peur-là, elle va souvent être amplifiée si en plus tu as reçu à un moment ou à un autre des commentaires, des critiques, des mots méprisants, agressifs sur le fait que oui, tu vends. Oui, tu es là pour proposer ton offre. Quand tu fais des publicités sur Facebook ou Insta, alors ça va être très rare d'être épargné. Ça va même être très fréquent de recevoir un déferlement de critique, voire de haine. C'est quasiment toujours le cas quand je fais des campagnes publicitaires. Je peux te dire qu'à mes débuts, j'étais mortifiée. Ça me blessait à tel point que je... Je ne voulais même plus aller voir les commentaires. Pourtant, c'est important d'aller voir éventuellement, de les supprimer, de les bloquer pour ne pas se trouver face à un déferlement de haine. J'ai beaucoup cheminé. Maintenant, ça glisse comme sur les plumes d'un canard. Et maintenant, quand je vois, et c'est toujours le cas, et c'était le cas encore il y a quelques jours, parce que j'étais en campagne publicitaire pour ma masterclass pour inviter plus de femmes, j'ai encore eu... des commentaires, mais ça me met face en fait à maintenant une grande perplexité. Comment est-ce qu'il peut y avoir des êtres humains dont l'occupation réjouissante est de consacrer de leur précieux temps de vie à critiquer les autres, à critiquer celles qui osent, celles qui créent, celles qui offrent, celles qui se montrent, celles qui prennent leur place ? Alors oui, bien sûr, j'ai des réponses. Mais ça n'enlève rien à ma perplexité. Quand tu fais des efforts, quand tu te dépasses, quand tu t'exposes, il y a une part de vulnérabilité. Et tu vas presque toujours être la proie de critiques, de personnes, pour qu'il y ait une forme de jouissance à tenter de créer de la souffrance chez les autres. Et oui, ça peut être douloureux. Ces commentaires virulents, j'en ai encore eu beaucoup tout récemment. Et maintenant, en fait, je m'y attends. Ça ne me surprend même pas. Ce qui me surprend, c'est quand il n'y en a pas en fait. Et je déploie une énergie, une qualité qui je trouvais très aidante, c'est la curiosité. la curiosité de voir l'inventivité de ces personnes pour aller trouver des angles d'attaque que je n'aurais même pas imaginé. Encore ce matin, je voyais sous un réel que j'ai fait à partir de mon TEDx Une critique d'une femme qui disait, en gros, c'est nul, c'est naze, quel mot la sonne. J'ai zappé au bout de deux secondes. Alors déjà, elle n'a pas assez zappé. J'aurais bien aimé qu'elle zappe vraiment plutôt que de prendre le temps d'écrire ça. Là, je me dis, waouh, mais que de frustration chez cette femme pour aller... consacrer quelques minutes de sa précieuse vie à écrire des mots pareils à une autre femme qui a le courage de monter sur une scène, de faire ce travail, de s'exposer, de se mettre sous les feux des projecteurs, ça m'interpelle en fait. Ça m'interpelle sur la nature humaine. Et ces critiques, oui, on a à forger. notre force pour ne plus se laisser heurter et ça va nous heurter aussi longtemps qu'il y a une forme de faille quand on te dit par exemple que tu es intéressé par l'argent que tu es une arnaqueuse une profiteuse que tu es dangereuse Ça va te blesser aussi longtemps que tu n'es pas totalement en paix avec ces parts de toi. Ces parts de toi qui sont peut-être d'infimes parts de toi. Tu as à faire la paix avec ces parts de toi. Et c'est vraiment essentiel quand tu es une entrepreneur. Parce que quand ces critiques te heurtent, quand elles vont t'éloigner de ton cap, Quand tu avais prévu d'offrir ton offre et puis tu vas décider de ne plus l'offrir ou de baisser ton prix ou de le faire tout timidement, tu vas te contracter, te rétracter. Tu ne peux plus être une entrepreneur. Tu ne peux plus développer ton business. Tu ne peux plus vivre ton expansion. Et le pire du pire, c'est que parfois, il n'y a même pas eu de critique exprimée. Tu es juste dans l'imagination, la supposition que peut-être les gens pourraient avoir ces idées-là. S'ils pensaient que tu vends trop, ils pourraient penser des choses affreuses sur toi. Il faut surtout prévenir cette possibilité de penser qu'ils pourraient avoir. Et alors ? Et alors si vraiment ils pensaient que tu vends trop ? Est-ce vraiment un problème ? Et c'est là qu'intervient cette question essentielle à te poser. Qu'est-ce que tu veux vraiment en devenant entrepreneur ? Tu es devenu entrepreneur, au moins un petit peu, pour la liberté. C'est quoi cette liberté ? Est-ce que c'est travailler d'où tu veux, gérer ton temps, de ne plus avoir à demander à personne la permission pour partir en vacances ou t'offrir une après-midi au spa ? Oui, c'est tout ça. Mais aussi, mais surtout, mais essentiellement, c'est être libre du regard des autres. Être libre des pensées sur ce que pourraient penser les autres. Dès que tu t'exposes, tu as à te libérer. Et c'est ça, expérimenter vraiment ta liberté. Quand tu es salarié, tu peux encore t'accommoder quelque part de cette peur du regard des autres. Il y a moins d'impact, moins de conséquences. Quand tu es entrepreneur, franchement, tu ne peux plus te le permettre. Les conséquences sont trop importantes. Tu te coupes de la vente, tu te coupes d'offrir ton offre, tu te coupes de la possibilité de créer tes clients et l'argent. Tu te retiens. Et tant que tu te retiens, tu passes tellement de temps à penser à ce que pourraient penser les gens. Et c'est autant de temps que tu ne passes pas dans le mouvement, dans l'action, dans la création, dans offrir ton offre. Tu veux vraiment être libre. J'ai la solution pour toi. Passe moins de temps à penser à ce que les autres pourraient penser et sors, sors créer les clientes, sors créer l'argent. Parce que tu sais quoi ? Les pensées des autres, elles ne mettent pas de l'argent sur ton compte en banque. Les pensées des autres, elles ne payent pas tes factures. Les pensées des autres, elles ne vont pas te permettre de matérialiser tes rêves. Les pensées des autres, elles ne te font pas avancer vers ta vision. Alors si on revient à l'argent, quand bien même l'argent serait ta motivation première, première, première, il est où le problème ? Pourquoi ça serait un problème ? Quand j'observe les entrepreneurs que j'accompagne, certains n'ont pas vraiment besoin d'argent. Mais elles désirent l'argent. Et il peut y avoir plein de raisons pour accéder à plus de luxe, à plus d'expérience. Ou simplement parce que c'est un symbole de leur évolution. Il y a aussi d'autres entrepreneurs que j'accompagne qui ont vraiment besoin d'argent. pour nourrir leurs enfants, pour assurer une base de sécurité à leur famille, pour s'offrir des vacances, pour payer la scolarité, pour plein de besoins de base. Est-ce que ce serait plus louable de gagner de l'argent pour nourrir ces besoins-là que de gagner de l'argent parce que tu as juste des désirs plus luxueux ? Est-ce qu'il y aura un bon et un mauvais argent ? Est-ce qu'il y aurait un argent justifié, un argent injustifié ? C'est des vraies questions. Parce que derrière, il y a l'idée que vouloir de l'argent pour vraiment combler des besoins de base, c'est bien, c'est louable, c'est honorable, mais au-delà, ce serait de l'abus. Mais pourquoi ? On a cette idée que par exemple, la maman solo qui se décarcasse pour faire rentrer de l'argent au foyer, Ça serait une sainte, elle donne tout pour sa famille, c'est merveilleux ce qu'elle fait, on va la glorifier. En revanche, celle qui va faire exactement les mêmes actions, qui va se décarcasser aussi, qui va mettre la même énergie, alors qu'elle a déjà beaucoup d'argent, ça serait beaucoup moins bien, ça serait critiquable, elle serait intéressée. Quand l'argent est vraiment pour sauver la famille, c'est bien. Et quand c'est pour soi, pour du surplus, ça ne serait pas bien. Tu vois, toutes ces dissonances, cette dualité. Pourquoi cette dualité ? On va rajouter une couche. Si en plus, cette femme qui désire de l'argent, pour des expériences de luxe, elle y prend du plaisir à gagner de l'argent, mais alors là, on est dans un autre monde. Quand tu es une femme, argent, plaisir, c'est une drôle d'alliance qui est souvent tellement mal perçue. Il y a tellement de choses qui se jouent là. Maintenant, on peut même sortir du champ de l'entrepreneuriat. Imagine une salariée, ça t'est peut-être déjà arrivé, qui va démissionner de sa boîte où elle est plutôt bien et va aller dans une autre entreprise parce qu'on lui propose un salaire qui est le double de celui qu'elle a. On va facilement lui dire qu'elle a l'appât du gain, qu'elle est arriviste, opportuniste, profiteuse. Mais si elle a une opportunité, oui, d'être mieux payée, où est le mal ? Tu vois, la dernière masterclass que j'ai offerte, que j'ai animée hier, j'ai très intentionnellement choisi de la nommer sacrément profitable. Cet adjectif profitable, je l'aime. J'ai envie qu'on soit là pour profiter, pour créer du profit, pour profiter de la vie, pour être soutenu par nos business, pour en profiter aussi. Derrière toutes ces perceptions, ces critiques, ce que je vois c'est vraiment des tentatives pour éveiller la culpabilité, pour agiter. Écoutez la honte. Et les vibrations de la culpabilité et de la honte, elles sont très basses. Évidemment qu'elles vont te retenir de ventre. Évidemment que tu vas perdre tout sentiment de légèreté dans la honte, dans la culpabilité. C'est des plombs. C'est absolument antinomique avec le sentiment de légèreté. Et quand tu n'es pas assez solide dans tes convictions, dans tes valeurs, dans ta vision, évidemment que tu vas vaciller. Évidemment que tu vas te rétracter. Parce que personne n'a envie d'être traité de profiteuse ou d'arnaqueuse. C'est des vraies insultes. C'est blessant. Et comme je te disais tout à l'heure, si tu n'es pas en paix avec ce qui éventuellement se cache derrière, ça va être tellement heurtant, blessant. Imaginons qu'on te traite d'arnaqueuse. Evidemment que ça parle seulement de l'expérience de cette personne qui profère ses injures, qui t'insulte, qui probablement a été arnaquée un jour. Et son cerveau, avec ce fameux biais de généralisation, assimile maintenant toute proposition à une arnaque potentielle au secours-danger. Elle se donne la mission d'avertir la terre entière que tu es certainement une arnaqueuse. C'est bon de le voir comme ça. Mais c'est vrai que quand tu es confronté à la critique, seul face à ton écran, tu n'as peut-être pas ce recul pour le voir comme ça. On t'a déjà accusé d'être une profiteuse ? Au moins oui, et plusieurs fois sur Facebook. FITUS. Cet adjectif, il est vraiment intéressant. Parce que oui, et je te le souhaite, tu profites d'opportunités. Tu profites de tes dons. Tu veux générer du profit. C'est ça exactement l'entrepreneuriat. Et pour profiter, tu travailles, tu œuvres, tu innoves, tu crées. Alors, mais où est le mal à profiter ? Je crois que ce qui dérange vraiment beaucoup de personnes, c'est qu'on a deux rôles, même trois rôles. Je vais en ajouter un troisième. Et j'en ai parlé dans un précédent épisode du podcast. En live, j'ai pu la référence du... numéro et du titre de l'épisode. Mais si tu suis le podcast depuis un moment, ça va réveiller quelques souvenirs. Notre premier rôle, servir. C'est notre port d'attache, le service. Offrir notre expertise, être généreuse, aider, donner nos dons. Et ça en général c'est ok. Quand on est dans le service, on peut être bien perçu, mais il ne faudrait quand même pas trop en faire, pas trop faire de vagues, pas trop se distinguer et surtout ne rien proposer de payant ou de potentiellement payant. Notre deuxième rôle, développer une entreprise et donc générer du profit. Pas de profit, pas d'entreprise. Et là... Ça commence à heurter certaines personnes, celles qui peut-être n'ont pas ce courage, cette audace, cette détermination, toutes les qualités qui sont nécessaires et que si peu ont, si peu déploient sur la durée. Ça les confronte. Par essence, quand tu es entrepreneur, tu deviens confrontante. Et le troisième rôle, c'est être une leader. Une leader qui marche en avant, qui marche en avant souvent, qui prend des risques, qui innove, qui ouvre des voies, qui prend des chaos, qui montre l'exemple et qui profite d'opportunités, qui a ce courage, qui sort du rang, qui élève la voie, qui élève les standards. Là aussi, ça dérange, ça confronte, ça pique. Alors, le premier rôle, servir, il serait ok, honorable. Les deux autres rôles, c'est plus compliqué. Oui, parce que ça demande du courage. Et c'est là que celles et ceux qui choisissent de ne pas déployer leur propre courage, celles et ceux qui choisissent de laisser leur propre courage dans le lit en sommeil, voient en miroir. ce qu'il ou elle n'ose pas faire, devenir, être. C'est tellement confrontant. Surtout, ne laisse pas les attaques t'arrêter. Ne laisse pas les critiques te définir. Ne te laisse pas arrêter par les simples pensées sur ce que les autres pourraient penser tout bas sans même le dire tout haut. Ne laisse pas tout ça te bloquer dans ton expression, dans ton expansion. Plus tu vas grandir, briller, t'exposer, oui, plus tu vas être jugé. Tu veux accueillir plus de clients ? Tu veux générer plus d'argent ? Alors prépare-toi à accueillir plus de critiques. Quand on parle de recevoir davantage, ouais, c'est aussi de ça qu'il s'agit. Ta plus grande expansion, elle est exactement là où tu te retiens. Et quand tu regardes de plus près, quand tu regardes ces endroits où tu te retiens, il y a toujours une peur. Et je pense qu'il y a quasiment toujours une peur en lien avec le regard des autres. Et ou le regard de toi sur toi. Et franchement. Est-ce qu'on a vraiment du temps pour ça ? Alors, c'est le moment de lâcher la honte. Lâcher la honte de vendre, lâcher la honte de trop vendre. Lâcher la honte de vendre à haute intensité. Et pour t'y aider, reconnecte-toi à tes intentions. Si tes intentions sont pures, Vas-y ! Reconnecte-toi à ta vision. Si ta vision passe par un chemin de vente, vas-y ! Reconnecte-toi à ta mission. L'argent est bienvenu dans ta mission. Et aussi... C'est vraiment important, c'est plus qu'important, c'est essentiel, c'est vital pour la pérennité de ton business. Entoure-toi de personnes qui normalisent l'argent. Pour qui l'argent c'est bon, c'est bien, c'est beau, c'est normal. Qui le normalise est plus que ça, qui le célèbre. Dans mes espaces sacrébices de Cercle Or des Normes, on célèbre l'argent. C'est important. L'argent est notre compagnon de route. Entoure-toi de personnes qui sont heureuses de te voir évoluer, grandir, créer plus de clients, créer beaucoup plus d'argent. Pas celles qui vont se sentir déstabilisées, menacées parce que tu te transformes, tu deviens différente. C'est tellement important cet espace de soutien humain. Et si je t'en parle ? c'est que cette honte, cette culpabilité, ces douleurs, je les ai connues, je les ai vécues dans mon corps à plein de reprises. Et je sais combien vendre dans ce contexte émotionnel-là, c'est difficile. Je me souviens de manière encore très très vive de cette fois-là où ça m'est arrivé de la manière la plus intense que j'ai vécue. C'est en novembre 2023. Je revois la scène comme si j'y étais. Je suis alors à Bali. Et j'anime une masterclass comme je l'ai fait hier. Et quand j'anime des masterclass à Bali, ça m'est arrivé à plusieurs reprises, je loue un bureau dans un espace de coworking au milieu des rizières, un endroit magique. Et je me revois dans ce bureau, j'ai tout préparé pour la masterclass. Derrière moi, il y a une grande baie vitrée avec vue sur une belle ligne de cocotier. Je trouve ça extraordinaire. Je suis pleine d'énergie, pleine de confiance, hyper heureuse d'offrir ce grand moment, ces transformations. Et quelques minutes après le début de la masterclass, je commence à voir... des propos injurieux, haineux, apparaître dans le tchat. Un déferlement sur ce que je suis en train de transmettre, sur moi, sur mes intentions, une horreur. Et ça défile, et ça défile. J'ai un mal fou à rester focus sur ma masterclass, à ne pas voir ce tchat haineux. Et je tiens, Je vends du mieux que je peux. Évidemment que c'est difficile. Évidemment que je vais avoir le moins bon taux de conversion que j'ai eu depuis tellement longtemps. J'ai ressenti tellement de honte, tellement d'humiliation. Et un tellement grand sentiment d'injustice. Et l'injustice, c'est un sentiment qui est très difficile pour moi. Parce que l'intégrité, la générosité, le respect, l'engagement, c'est des valeurs. fondamentale pour moi et voir ces valeurs piétinées en live alors je suis en train d'essayer de donner le meilleur waouh grosse grosse douleur pour celles qui me connaissent vous le savez je travaille toujours avec beaucoup de dévotion avec une intensité rare je m'engage à fond je donne toujours beaucoup beaucoup gratuitement bien sûr dans mes masterclass Je suis là aussi pour offrir de poursuivre l'aventure avec moi pour celles pour qui ça résonne. Mais pour celles pour qui ce n'est pas le moment d'acheter, qui ne peuvent pas acheter, qui ne veulent pas acheter, quelles que soient les raisons, vous trouvez toujours chez moi beaucoup de valeur, sans jamais rien payer, ne serait-ce que dans cet espace du podcast. Et il y a un moment où, pour certaines, c'est le moment d'aller plus en profondeur, d'accélérer le mouvement, d'amplifier les résultats. Je n'ai jamais le sentiment de voler qui que ce soit. De toute façon, comment est-ce qu'on pourrait voler des êtres libres ? On ne vient pas chez nos clients, nos clientes, leur arracher leur carte bancaire. Chacun est libre d'acheter, pas acheter, dire oui, non. Et ce jour de novembre 2023, franchement, voir ces horreurs en live, alors que j'étais en train de parler, de m'exposer, de prendre des risques, d'être en vulnérabilité. Imaginez ces femmes-là derrière leur écran en train de cracher ce venin. Imaginez que toutes les autres voyaient ces commentaires. Sans que je puisse, moi, protéger cet espace. Bien sûr, il y avait quelqu'un de mon équipe qui était dans le chat, qui faisait de son mieux. pour faire sortir ces personnes. Mais quand il y en a beaucoup, beaucoup, beaucoup, ça prend beaucoup de temps de les faire sortir. Oui, ça a été vraiment rude. Et pour autant, j'ai tout de suite décidé que cette épreuve n'allait pas diriger mes décisions ensuite. Je me suis imposée très rapidement après de revenir en live, de m'exposer, de me montrer. Deux mois plus tard, j'animais le premier grand sommet Entreprendre hors des normes. où je m'exposais plus que jamais. Je n'ai pas voulu me permettre de laisser cette épreuve me définir, me rétracter, me contracter, me rétrécir. C'est mon message pour toi aujourd'hui. Tu as une offre ? Offre-la. Tu as une entreprise ? Rends-la profitable. Tu désires servir ? Rends ça possible durablement en devenant aussi une entrepreneur et une leader. Et surtout, ne laisse personne te détourner de ton chemin. Trace-le, ton chemin. Si cet épisode t'a plu, t'a inspiré, t'a élevé, est-ce que tu veux m'aider à le diffuser ? Tu peux m'aider. Et c'est simple. C'est un petit geste pour toi et ça compte vraiment beaucoup pour moi. Parce que pour qu'un podcast touche plus d'oreilles, de cœurs, il a besoin d'être promu par ses auditrices. Et t'as beaucoup de pouvoir pour ça. pour m'aider à le diffuser. En lui mettant une note sur ta plateforme d'écoute, un commentaire, en en parlant à tes camarades entrepreneurs, en le partageant sur tes réseaux sociaux, ça a beaucoup de valeur pour moi. Merci infiniment. Je te souhaite une magnifique suite de semaine. Muy caliente. Peut-être moins à l'extérieur, je te le souhaite. En tout cas, à l'intérieur, assurément. Et on se retrouve. semaine prochaine. Ma mission, c'est d'aider les femmes comme toi à se lâcher la bride pour lâcher les fauves. Si tu aimes ce podcast, tu vas adorer la formation que je t'offre. C'est le condensé de mon approche anticonformiste du business pour t'aider à accueillir tes prochains clients joyeusement. Reçois cette formation gratuitement en cliquant sur le lien dans les notes du podcast. Je jubile déjà en pensant à tout ce que tu vas réaliser.

Description

Tu veux des clients.

Mais il faut vendre. Et tu t’en passerais bien.

Tu ne veux pas insister. Encore moins harceler.

On pourrait te prendre pour une profiteuse. Voire une arnaqueuse.

 

Alors tu fais des pirouettes. Et tu récoltes… des clopinettes !

Tu espères que les gens vont deviner ton offre et sa si grande valeur.

Mais ils ne sont pas devins. Alors ils ne deviennent pas clients.

 

Dans cet épisode pour t'aider à entreprendre hors des normes, je t’emmène dans les profondeurs de cette peur si fréquente chez les femmes entrepreneures, et qui tue les ventes.

 

Tu vas découvrir :
→ Ce qui se cache vraiment derrière la peur de vendre, ou de « trop » vendre.

→ Comment te libérer du poids des critiques et jugements.

→ Comment j’ai vécu les premiers commentaires agressifs que j’ai reçus à mes débuts (non, je n’étais pas du tout zen !
→ Ce que j’ai compris en observant la méchanceté gratuite - et qu’il est indispensable d’intégrer pour croître.

→ Quelle est vraiment cette liberté que nous désirons toutes.

 

Je te propose une autre vision de la vente : fluide, alignée, joyeuse, libérée. LIBRE.


🎧 Écoute cet épisode si toi aussi tu veux vendre avec légèreté.


Et partage-le à toutes les entrepreneuses qui ont besoin d’un petit électrochoc d’amour et de vérité.

Chacun de tes partages, commentaires, étoiles sur le podcast m’aide à le diffuser. Cela compte beaucoup pour moi.

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Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre hors des normes est le podcast dédié aux femmes entrepreneurs qui désirent faire la différence par leur différence. Je suis Anne-Valérie Rocourt. Depuis 2010, j'accompagne les femmes originales et ambitieuses qui veulent se créer une vie riche et libre par la voie de l'entrepreneuriat. Si tu désires casser les codes, créer ta propre recette du succès et développer un business florissant au service de ta vie et de la vie, tu es ici chez toi. Dans le podcast Entreprendre hors des normes, je te dévoile, avec authenticité, profondeur et humour, des stratégies audacieuses, des approches mindset décalées, et parfois même une vision perchée, pour que ton business soit ton espace d'expansion. Ici, on célèbre ensemble la puissance des femmes qui osent assumer leur singularité, exprimer leur plein potentiel et laisser leur empreinte. Bienvenue pour ce nouvel épisode, un épisode muy caliente, muy caliente parce que je l'enregistre en pleine canicule. Si tu me suis, tu sais que j'habite en Provence, il fait très très très chaud et même si j'habite une très vieille maison avec des gros murs en pierre, la maison commence à peiner, à nous protéger, à garder un peu de fraîcheur. Muy caliente aussi parce que j'enregistre cet épisode au lendemain de la grande masterclass qui a été absolument fabuleuse, phénoménale, folle. Une énergie incroyable était là et je suis encore complètement emplie, habitée par cette énergie. Je pense que tu vas le sentir dans cet épisode que je t'offre. Et puis muy caliente, chaud, hot parce qu'on va parler de la vente. Ce sujet... Tellement chaud, brûlant, bouillant pour beaucoup d'entrepreneurs. J'ai envie de te mener sur un chemin de vente plus légère. Pourquoi j'ai envie de t'en parler ? Parce que, évidemment, semaine après semaine, dans Sacré-Bise, dans le cercle hors des normes, sous plein de formes, le sujet de la vente revient. Et il y a une question qui revient régulièrement en coaching sous différentes formes, plutôt dans Sacré-Bise d'ailleurs. C'est cette question autour de je ne veux pas trop vendre. Si je vends trop, si je leur envoie trop de postes, trop de mails, si je fais trop d'offres, je vais les harceler. Si je vends trop, on va penser que je suis intéressée par l'argent, qu'il n'y a que l'argent qui me motive, que je fais ça pour l'argent. Ça va se présenter aussi de manière plus subtile parfois. par des entrepreneurs que je vois qui arrivent dans Sacré-Bise. Et quand on parle d'objectifs, quand on parle d'agrandir leurs objectifs, elles vont évoquer leurs objectifs en termes de clients. Bon, je voudrais tant de clients. C'est un court circuit, un contournement pour ne pas poser leurs objectifs en termes d'argent. Comme si fixer un objectif en termes de nombre de clients, c'était beaucoup plus honorable. que d'avoir un objectif financier. Et puis il y a encore celles qui carrément vont dire que, dans un monde idéal, elles voudraient tout donner gratuitement. Elles voudraient être dans ce monde imaginaire où l'argent n'existe pas, et on vit avec du troc peut-être, et elles sont là pour la mission, c'est leur vocation, elles sont dans la dévotion, et donc il faudrait que l'argent ne soit pas en jeu. Mais pourquoi ? Je suis follement animée par ma mission. C'est une dévotion. Et je ne vois pas de contradiction avec l'argent. Tu vois que toutes ces formes, elles cachent une peur de trop vendre. Et quand on a peur de trop vendre, évidemment la vente est lourde. Aux antipodes de cette légèreté que tu voudrais tellement ressentir. C'est lourd quand tu as peur de passer pour une opportuniste. Quand tu ne veux surtout pas qu'on dise que tu es intéressé par l'argent. Là, je pense à une de mes clientes de sacrée bise, une femme talenteuse, audacieuse, bourrée de qualité de talent, qui organisait récemment un magnifique événement qu'elle a rempli en quelques jours. Un événement où elle prenait la parole et où elle avait invité des experts talenteux pour aussi... Montez sur scène un événement sur toute une journée. En coaching... Je l'ai évidemment questionné sur ce qu'elle allait vendre et comment elle allait le vendre. Et la contraction. Toutes les peurs sont arrivées. Les gens ne viennent pas pour ça. Ils viennent pour les autres experts. Et que vont penser les autres experts ? Et que vont penser les gens si je leur vends ? Ce n'est pas un endroit pour vendre. Alors peut-être comme j'ai une table avec mes livres, à la fin je pourrais éventuellement mettre des petits flyers dessus. On veut escamoter la vente. On ne veut pas passer pour une vendeuse. Il y a toujours cette peur, mais qu'est-ce que les gens vont en penser ? Cette peur-là, elle va souvent être amplifiée si en plus tu as reçu à un moment ou à un autre des commentaires, des critiques, des mots méprisants, agressifs sur le fait que oui, tu vends. Oui, tu es là pour proposer ton offre. Quand tu fais des publicités sur Facebook ou Insta, alors ça va être très rare d'être épargné. Ça va même être très fréquent de recevoir un déferlement de critique, voire de haine. C'est quasiment toujours le cas quand je fais des campagnes publicitaires. Je peux te dire qu'à mes débuts, j'étais mortifiée. Ça me blessait à tel point que je... Je ne voulais même plus aller voir les commentaires. Pourtant, c'est important d'aller voir éventuellement, de les supprimer, de les bloquer pour ne pas se trouver face à un déferlement de haine. J'ai beaucoup cheminé. Maintenant, ça glisse comme sur les plumes d'un canard. Et maintenant, quand je vois, et c'est toujours le cas, et c'était le cas encore il y a quelques jours, parce que j'étais en campagne publicitaire pour ma masterclass pour inviter plus de femmes, j'ai encore eu... des commentaires, mais ça me met face en fait à maintenant une grande perplexité. Comment est-ce qu'il peut y avoir des êtres humains dont l'occupation réjouissante est de consacrer de leur précieux temps de vie à critiquer les autres, à critiquer celles qui osent, celles qui créent, celles qui offrent, celles qui se montrent, celles qui prennent leur place ? Alors oui, bien sûr, j'ai des réponses. Mais ça n'enlève rien à ma perplexité. Quand tu fais des efforts, quand tu te dépasses, quand tu t'exposes, il y a une part de vulnérabilité. Et tu vas presque toujours être la proie de critiques, de personnes, pour qu'il y ait une forme de jouissance à tenter de créer de la souffrance chez les autres. Et oui, ça peut être douloureux. Ces commentaires virulents, j'en ai encore eu beaucoup tout récemment. Et maintenant, en fait, je m'y attends. Ça ne me surprend même pas. Ce qui me surprend, c'est quand il n'y en a pas en fait. Et je déploie une énergie, une qualité qui je trouvais très aidante, c'est la curiosité. la curiosité de voir l'inventivité de ces personnes pour aller trouver des angles d'attaque que je n'aurais même pas imaginé. Encore ce matin, je voyais sous un réel que j'ai fait à partir de mon TEDx Une critique d'une femme qui disait, en gros, c'est nul, c'est naze, quel mot la sonne. J'ai zappé au bout de deux secondes. Alors déjà, elle n'a pas assez zappé. J'aurais bien aimé qu'elle zappe vraiment plutôt que de prendre le temps d'écrire ça. Là, je me dis, waouh, mais que de frustration chez cette femme pour aller... consacrer quelques minutes de sa précieuse vie à écrire des mots pareils à une autre femme qui a le courage de monter sur une scène, de faire ce travail, de s'exposer, de se mettre sous les feux des projecteurs, ça m'interpelle en fait. Ça m'interpelle sur la nature humaine. Et ces critiques, oui, on a à forger. notre force pour ne plus se laisser heurter et ça va nous heurter aussi longtemps qu'il y a une forme de faille quand on te dit par exemple que tu es intéressé par l'argent que tu es une arnaqueuse une profiteuse que tu es dangereuse Ça va te blesser aussi longtemps que tu n'es pas totalement en paix avec ces parts de toi. Ces parts de toi qui sont peut-être d'infimes parts de toi. Tu as à faire la paix avec ces parts de toi. Et c'est vraiment essentiel quand tu es une entrepreneur. Parce que quand ces critiques te heurtent, quand elles vont t'éloigner de ton cap, Quand tu avais prévu d'offrir ton offre et puis tu vas décider de ne plus l'offrir ou de baisser ton prix ou de le faire tout timidement, tu vas te contracter, te rétracter. Tu ne peux plus être une entrepreneur. Tu ne peux plus développer ton business. Tu ne peux plus vivre ton expansion. Et le pire du pire, c'est que parfois, il n'y a même pas eu de critique exprimée. Tu es juste dans l'imagination, la supposition que peut-être les gens pourraient avoir ces idées-là. S'ils pensaient que tu vends trop, ils pourraient penser des choses affreuses sur toi. Il faut surtout prévenir cette possibilité de penser qu'ils pourraient avoir. Et alors ? Et alors si vraiment ils pensaient que tu vends trop ? Est-ce vraiment un problème ? Et c'est là qu'intervient cette question essentielle à te poser. Qu'est-ce que tu veux vraiment en devenant entrepreneur ? Tu es devenu entrepreneur, au moins un petit peu, pour la liberté. C'est quoi cette liberté ? Est-ce que c'est travailler d'où tu veux, gérer ton temps, de ne plus avoir à demander à personne la permission pour partir en vacances ou t'offrir une après-midi au spa ? Oui, c'est tout ça. Mais aussi, mais surtout, mais essentiellement, c'est être libre du regard des autres. Être libre des pensées sur ce que pourraient penser les autres. Dès que tu t'exposes, tu as à te libérer. Et c'est ça, expérimenter vraiment ta liberté. Quand tu es salarié, tu peux encore t'accommoder quelque part de cette peur du regard des autres. Il y a moins d'impact, moins de conséquences. Quand tu es entrepreneur, franchement, tu ne peux plus te le permettre. Les conséquences sont trop importantes. Tu te coupes de la vente, tu te coupes d'offrir ton offre, tu te coupes de la possibilité de créer tes clients et l'argent. Tu te retiens. Et tant que tu te retiens, tu passes tellement de temps à penser à ce que pourraient penser les gens. Et c'est autant de temps que tu ne passes pas dans le mouvement, dans l'action, dans la création, dans offrir ton offre. Tu veux vraiment être libre. J'ai la solution pour toi. Passe moins de temps à penser à ce que les autres pourraient penser et sors, sors créer les clientes, sors créer l'argent. Parce que tu sais quoi ? Les pensées des autres, elles ne mettent pas de l'argent sur ton compte en banque. Les pensées des autres, elles ne payent pas tes factures. Les pensées des autres, elles ne vont pas te permettre de matérialiser tes rêves. Les pensées des autres, elles ne te font pas avancer vers ta vision. Alors si on revient à l'argent, quand bien même l'argent serait ta motivation première, première, première, il est où le problème ? Pourquoi ça serait un problème ? Quand j'observe les entrepreneurs que j'accompagne, certains n'ont pas vraiment besoin d'argent. Mais elles désirent l'argent. Et il peut y avoir plein de raisons pour accéder à plus de luxe, à plus d'expérience. Ou simplement parce que c'est un symbole de leur évolution. Il y a aussi d'autres entrepreneurs que j'accompagne qui ont vraiment besoin d'argent. pour nourrir leurs enfants, pour assurer une base de sécurité à leur famille, pour s'offrir des vacances, pour payer la scolarité, pour plein de besoins de base. Est-ce que ce serait plus louable de gagner de l'argent pour nourrir ces besoins-là que de gagner de l'argent parce que tu as juste des désirs plus luxueux ? Est-ce qu'il y aura un bon et un mauvais argent ? Est-ce qu'il y aurait un argent justifié, un argent injustifié ? C'est des vraies questions. Parce que derrière, il y a l'idée que vouloir de l'argent pour vraiment combler des besoins de base, c'est bien, c'est louable, c'est honorable, mais au-delà, ce serait de l'abus. Mais pourquoi ? On a cette idée que par exemple, la maman solo qui se décarcasse pour faire rentrer de l'argent au foyer, Ça serait une sainte, elle donne tout pour sa famille, c'est merveilleux ce qu'elle fait, on va la glorifier. En revanche, celle qui va faire exactement les mêmes actions, qui va se décarcasser aussi, qui va mettre la même énergie, alors qu'elle a déjà beaucoup d'argent, ça serait beaucoup moins bien, ça serait critiquable, elle serait intéressée. Quand l'argent est vraiment pour sauver la famille, c'est bien. Et quand c'est pour soi, pour du surplus, ça ne serait pas bien. Tu vois, toutes ces dissonances, cette dualité. Pourquoi cette dualité ? On va rajouter une couche. Si en plus, cette femme qui désire de l'argent, pour des expériences de luxe, elle y prend du plaisir à gagner de l'argent, mais alors là, on est dans un autre monde. Quand tu es une femme, argent, plaisir, c'est une drôle d'alliance qui est souvent tellement mal perçue. Il y a tellement de choses qui se jouent là. Maintenant, on peut même sortir du champ de l'entrepreneuriat. Imagine une salariée, ça t'est peut-être déjà arrivé, qui va démissionner de sa boîte où elle est plutôt bien et va aller dans une autre entreprise parce qu'on lui propose un salaire qui est le double de celui qu'elle a. On va facilement lui dire qu'elle a l'appât du gain, qu'elle est arriviste, opportuniste, profiteuse. Mais si elle a une opportunité, oui, d'être mieux payée, où est le mal ? Tu vois, la dernière masterclass que j'ai offerte, que j'ai animée hier, j'ai très intentionnellement choisi de la nommer sacrément profitable. Cet adjectif profitable, je l'aime. J'ai envie qu'on soit là pour profiter, pour créer du profit, pour profiter de la vie, pour être soutenu par nos business, pour en profiter aussi. Derrière toutes ces perceptions, ces critiques, ce que je vois c'est vraiment des tentatives pour éveiller la culpabilité, pour agiter. Écoutez la honte. Et les vibrations de la culpabilité et de la honte, elles sont très basses. Évidemment qu'elles vont te retenir de ventre. Évidemment que tu vas perdre tout sentiment de légèreté dans la honte, dans la culpabilité. C'est des plombs. C'est absolument antinomique avec le sentiment de légèreté. Et quand tu n'es pas assez solide dans tes convictions, dans tes valeurs, dans ta vision, évidemment que tu vas vaciller. Évidemment que tu vas te rétracter. Parce que personne n'a envie d'être traité de profiteuse ou d'arnaqueuse. C'est des vraies insultes. C'est blessant. Et comme je te disais tout à l'heure, si tu n'es pas en paix avec ce qui éventuellement se cache derrière, ça va être tellement heurtant, blessant. Imaginons qu'on te traite d'arnaqueuse. Evidemment que ça parle seulement de l'expérience de cette personne qui profère ses injures, qui t'insulte, qui probablement a été arnaquée un jour. Et son cerveau, avec ce fameux biais de généralisation, assimile maintenant toute proposition à une arnaque potentielle au secours-danger. Elle se donne la mission d'avertir la terre entière que tu es certainement une arnaqueuse. C'est bon de le voir comme ça. Mais c'est vrai que quand tu es confronté à la critique, seul face à ton écran, tu n'as peut-être pas ce recul pour le voir comme ça. On t'a déjà accusé d'être une profiteuse ? Au moins oui, et plusieurs fois sur Facebook. FITUS. Cet adjectif, il est vraiment intéressant. Parce que oui, et je te le souhaite, tu profites d'opportunités. Tu profites de tes dons. Tu veux générer du profit. C'est ça exactement l'entrepreneuriat. Et pour profiter, tu travailles, tu œuvres, tu innoves, tu crées. Alors, mais où est le mal à profiter ? Je crois que ce qui dérange vraiment beaucoup de personnes, c'est qu'on a deux rôles, même trois rôles. Je vais en ajouter un troisième. Et j'en ai parlé dans un précédent épisode du podcast. En live, j'ai pu la référence du... numéro et du titre de l'épisode. Mais si tu suis le podcast depuis un moment, ça va réveiller quelques souvenirs. Notre premier rôle, servir. C'est notre port d'attache, le service. Offrir notre expertise, être généreuse, aider, donner nos dons. Et ça en général c'est ok. Quand on est dans le service, on peut être bien perçu, mais il ne faudrait quand même pas trop en faire, pas trop faire de vagues, pas trop se distinguer et surtout ne rien proposer de payant ou de potentiellement payant. Notre deuxième rôle, développer une entreprise et donc générer du profit. Pas de profit, pas d'entreprise. Et là... Ça commence à heurter certaines personnes, celles qui peut-être n'ont pas ce courage, cette audace, cette détermination, toutes les qualités qui sont nécessaires et que si peu ont, si peu déploient sur la durée. Ça les confronte. Par essence, quand tu es entrepreneur, tu deviens confrontante. Et le troisième rôle, c'est être une leader. Une leader qui marche en avant, qui marche en avant souvent, qui prend des risques, qui innove, qui ouvre des voies, qui prend des chaos, qui montre l'exemple et qui profite d'opportunités, qui a ce courage, qui sort du rang, qui élève la voie, qui élève les standards. Là aussi, ça dérange, ça confronte, ça pique. Alors, le premier rôle, servir, il serait ok, honorable. Les deux autres rôles, c'est plus compliqué. Oui, parce que ça demande du courage. Et c'est là que celles et ceux qui choisissent de ne pas déployer leur propre courage, celles et ceux qui choisissent de laisser leur propre courage dans le lit en sommeil, voient en miroir. ce qu'il ou elle n'ose pas faire, devenir, être. C'est tellement confrontant. Surtout, ne laisse pas les attaques t'arrêter. Ne laisse pas les critiques te définir. Ne te laisse pas arrêter par les simples pensées sur ce que les autres pourraient penser tout bas sans même le dire tout haut. Ne laisse pas tout ça te bloquer dans ton expression, dans ton expansion. Plus tu vas grandir, briller, t'exposer, oui, plus tu vas être jugé. Tu veux accueillir plus de clients ? Tu veux générer plus d'argent ? Alors prépare-toi à accueillir plus de critiques. Quand on parle de recevoir davantage, ouais, c'est aussi de ça qu'il s'agit. Ta plus grande expansion, elle est exactement là où tu te retiens. Et quand tu regardes de plus près, quand tu regardes ces endroits où tu te retiens, il y a toujours une peur. Et je pense qu'il y a quasiment toujours une peur en lien avec le regard des autres. Et ou le regard de toi sur toi. Et franchement. Est-ce qu'on a vraiment du temps pour ça ? Alors, c'est le moment de lâcher la honte. Lâcher la honte de vendre, lâcher la honte de trop vendre. Lâcher la honte de vendre à haute intensité. Et pour t'y aider, reconnecte-toi à tes intentions. Si tes intentions sont pures, Vas-y ! Reconnecte-toi à ta vision. Si ta vision passe par un chemin de vente, vas-y ! Reconnecte-toi à ta mission. L'argent est bienvenu dans ta mission. Et aussi... C'est vraiment important, c'est plus qu'important, c'est essentiel, c'est vital pour la pérennité de ton business. Entoure-toi de personnes qui normalisent l'argent. Pour qui l'argent c'est bon, c'est bien, c'est beau, c'est normal. Qui le normalise est plus que ça, qui le célèbre. Dans mes espaces sacrébices de Cercle Or des Normes, on célèbre l'argent. C'est important. L'argent est notre compagnon de route. Entoure-toi de personnes qui sont heureuses de te voir évoluer, grandir, créer plus de clients, créer beaucoup plus d'argent. Pas celles qui vont se sentir déstabilisées, menacées parce que tu te transformes, tu deviens différente. C'est tellement important cet espace de soutien humain. Et si je t'en parle ? c'est que cette honte, cette culpabilité, ces douleurs, je les ai connues, je les ai vécues dans mon corps à plein de reprises. Et je sais combien vendre dans ce contexte émotionnel-là, c'est difficile. Je me souviens de manière encore très très vive de cette fois-là où ça m'est arrivé de la manière la plus intense que j'ai vécue. C'est en novembre 2023. Je revois la scène comme si j'y étais. Je suis alors à Bali. Et j'anime une masterclass comme je l'ai fait hier. Et quand j'anime des masterclass à Bali, ça m'est arrivé à plusieurs reprises, je loue un bureau dans un espace de coworking au milieu des rizières, un endroit magique. Et je me revois dans ce bureau, j'ai tout préparé pour la masterclass. Derrière moi, il y a une grande baie vitrée avec vue sur une belle ligne de cocotier. Je trouve ça extraordinaire. Je suis pleine d'énergie, pleine de confiance, hyper heureuse d'offrir ce grand moment, ces transformations. Et quelques minutes après le début de la masterclass, je commence à voir... des propos injurieux, haineux, apparaître dans le tchat. Un déferlement sur ce que je suis en train de transmettre, sur moi, sur mes intentions, une horreur. Et ça défile, et ça défile. J'ai un mal fou à rester focus sur ma masterclass, à ne pas voir ce tchat haineux. Et je tiens, Je vends du mieux que je peux. Évidemment que c'est difficile. Évidemment que je vais avoir le moins bon taux de conversion que j'ai eu depuis tellement longtemps. J'ai ressenti tellement de honte, tellement d'humiliation. Et un tellement grand sentiment d'injustice. Et l'injustice, c'est un sentiment qui est très difficile pour moi. Parce que l'intégrité, la générosité, le respect, l'engagement, c'est des valeurs. fondamentale pour moi et voir ces valeurs piétinées en live alors je suis en train d'essayer de donner le meilleur waouh grosse grosse douleur pour celles qui me connaissent vous le savez je travaille toujours avec beaucoup de dévotion avec une intensité rare je m'engage à fond je donne toujours beaucoup beaucoup gratuitement bien sûr dans mes masterclass Je suis là aussi pour offrir de poursuivre l'aventure avec moi pour celles pour qui ça résonne. Mais pour celles pour qui ce n'est pas le moment d'acheter, qui ne peuvent pas acheter, qui ne veulent pas acheter, quelles que soient les raisons, vous trouvez toujours chez moi beaucoup de valeur, sans jamais rien payer, ne serait-ce que dans cet espace du podcast. Et il y a un moment où, pour certaines, c'est le moment d'aller plus en profondeur, d'accélérer le mouvement, d'amplifier les résultats. Je n'ai jamais le sentiment de voler qui que ce soit. De toute façon, comment est-ce qu'on pourrait voler des êtres libres ? On ne vient pas chez nos clients, nos clientes, leur arracher leur carte bancaire. Chacun est libre d'acheter, pas acheter, dire oui, non. Et ce jour de novembre 2023, franchement, voir ces horreurs en live, alors que j'étais en train de parler, de m'exposer, de prendre des risques, d'être en vulnérabilité. Imaginez ces femmes-là derrière leur écran en train de cracher ce venin. Imaginez que toutes les autres voyaient ces commentaires. Sans que je puisse, moi, protéger cet espace. Bien sûr, il y avait quelqu'un de mon équipe qui était dans le chat, qui faisait de son mieux. pour faire sortir ces personnes. Mais quand il y en a beaucoup, beaucoup, beaucoup, ça prend beaucoup de temps de les faire sortir. Oui, ça a été vraiment rude. Et pour autant, j'ai tout de suite décidé que cette épreuve n'allait pas diriger mes décisions ensuite. Je me suis imposée très rapidement après de revenir en live, de m'exposer, de me montrer. Deux mois plus tard, j'animais le premier grand sommet Entreprendre hors des normes. où je m'exposais plus que jamais. Je n'ai pas voulu me permettre de laisser cette épreuve me définir, me rétracter, me contracter, me rétrécir. C'est mon message pour toi aujourd'hui. Tu as une offre ? Offre-la. Tu as une entreprise ? Rends-la profitable. Tu désires servir ? Rends ça possible durablement en devenant aussi une entrepreneur et une leader. Et surtout, ne laisse personne te détourner de ton chemin. Trace-le, ton chemin. Si cet épisode t'a plu, t'a inspiré, t'a élevé, est-ce que tu veux m'aider à le diffuser ? Tu peux m'aider. Et c'est simple. C'est un petit geste pour toi et ça compte vraiment beaucoup pour moi. Parce que pour qu'un podcast touche plus d'oreilles, de cœurs, il a besoin d'être promu par ses auditrices. Et t'as beaucoup de pouvoir pour ça. pour m'aider à le diffuser. En lui mettant une note sur ta plateforme d'écoute, un commentaire, en en parlant à tes camarades entrepreneurs, en le partageant sur tes réseaux sociaux, ça a beaucoup de valeur pour moi. Merci infiniment. Je te souhaite une magnifique suite de semaine. Muy caliente. Peut-être moins à l'extérieur, je te le souhaite. En tout cas, à l'intérieur, assurément. Et on se retrouve. semaine prochaine. Ma mission, c'est d'aider les femmes comme toi à se lâcher la bride pour lâcher les fauves. Si tu aimes ce podcast, tu vas adorer la formation que je t'offre. C'est le condensé de mon approche anticonformiste du business pour t'aider à accueillir tes prochains clients joyeusement. Reçois cette formation gratuitement en cliquant sur le lien dans les notes du podcast. Je jubile déjà en pensant à tout ce que tu vas réaliser.

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