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#87 - Ça veut dire quoi être soi ? cover
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Hypno'morphose - Comprends ton corps grâce à l’hypnose (mais pas que...)

#87 - Ça veut dire quoi être soi ?

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17min |22/07/2025
Play
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#87 - Ça veut dire quoi être soi ?

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17min |22/07/2025
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Description

Dans cet épisode de reprise, je te parle à cœur ouvert.


Pourquoi j’ai mis le podcast en pause, ce que j’ai traversé, compris, et surtout… ce que j’ai choisi de transformer.


Tu verras que ce silence n’était pas un vide, mais un espace pour me retrouver, pour revenir à moi. Et peut-être que, toi aussi, tu ressens la même chose.


On parle ici de ce que ça veut dire être soi, au-delà des rôles, des attentes et des apparences.
Je t’invite à explorer la différence entre le “moi” qui s’adapte pour être aimée… et le “soi” qui existe, ressent, vibre.


Bonne écoute ! 🎶


🔗 Tu ressens que c’est le moment d’aller plus loin ? Découvre ta séance d'hypnose en cliquant ici



hypnose, hypnothérapie, libération émotionnelle, compréhension des maux, stress, régulation du cortisol, sommeil, comportements inconscients, émotions, séance d'hypnose pour s'endormir



ET POUR ALLER PLUS LOIN:


📆 Nouveaux épisodes d'hypno'morphose

➡️ Chaque semaine, mardi à 06h


📲 LE COMPTE INSTAGRAM

Pour des partages, des conseils sur l'hypnose et le décodage des maux et émotions : ➡️ @anaisvaladon.hypnoboosts


📖LE LIVRE "Mon jour d'après": journal d'écriture guidée pour t'accompagner dans une véritable libération profonde à travers l'écriture ➡️ ici


🌐 LE SITE OFFICIEL

Découvrez des séances d'hypnose en ligne : les "boosts" et des ressources pour votre bien-être ➡️ www.anaisvaladon.com

🎉 La nouvelle méthode HYPNO'DÉCLIC KILOS ÉMOTIONNELS est disponible → anaisvaladon.podia.com/hypno-declic


💌 Email professionnel:

anais.valadon@hotmail.com


👁️ Qui suis-je ?


Je m'appelle Anais Valadon, maitre praticienne en hypnose et autrice experte en hypnothérapie.

J'accompagne ceux qui le souhaitent à décoder les maux de leurs corps et leurs émotions pour une libération profonde afin d'être enfin en paix avec leur passé et confiant pour le futur.


🎵 Music by Mood Mode - Positive Vintage Quirky Retro Funk


✨ Dans cet épisode, on va parler de :


Décodage émotionnelle , blocages émotionnelles, amour, hypnose, relations amoureuses, épanouissement, amour durable, amour de soi, hypnothérapie, émotions, kilos émotionnelles


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans Hypnomorphose, le podcast qui t'aide à comprendre et transformer ce que ton inconscient a à te dire. Je suis Anaïs Valadon, maître praticien en hypnose et je t'embarque chaque semaine pour explorer ton fonctionnement grâce à l'hypnose, la neuropsychologie, les neurosciences et pas que. Tu te demandes pourquoi certaines émotions ou réactions te bloquent sans raison apparente ? Eh bien ici, on va décortiquer tout ça ensemble et découvrir comment ton inconscient influence ton quotidien. que ce soit dans tes relations, tes habitudes ou même tes pensées. Mon but, t'aider à mieux fouiller dans ton inconscient avec des astuces simples, pratiques et toujours dans la bonne humeur. Alors si tu veux en finir avec le stress, l'anxiété ou juste mieux te comprendre, installe-toi confortablement. C'est parti pour l'épisode du jour. Bonjour et bienvenue dans ce nouvel épisode d'Hypnomorphose. Alors peut-être que c'est la première fois que tu m'écoutes. Ou peut-être que tu fais partie de celles et ceux qui attendaient en silence le retour de ce podcast, parce que ça fait bientôt plus de deux mois que je n'ai pas posté un épisode. En tout cas, dans les deux cas, merci, merci d'être là maintenant à m'écouter. Et si tu es tombé sur cet épisode aujourd'hui, eh bien, laisse-moi te dire que c'est peut-être sûrement pas un hasard. Il y a peut-être une part de toi qui appelle, toi aussi, doucement à un changement. Il y a peut-être un besoin de souffler, de comprendre ou simplement de t'écouter. Alors, je t'invite à t'installer confortablement, à fermer les yeux si tu as envie de respirer parce que s'il n'y a strictement rien à prouver, rien à réussir, pardon, ni à échouer, au contraire, c'est juste un moment pour toi, un moment pour ralentir et te reconnecter à l'essentiel. Alors, comme tu l'as vu, j'ai mis le podcast en pause. Non pas parce que je n'avais plus rien à dire, mais tout simplement parce que j'ai traversé une phase où j'avais besoin de silence. Et pas un silence juste j'éteins la radio, un vrai silence. Tu vois, ce silence qui permet d'écouter ce qui se passe, non pas à l'extérieur de toi, mais à l'intérieur. J'avais pas envie d'écouter ce que je pensais, ni ce que je croyais, mais juste ce que je ressentais. Parce que le savoir, le fait de penser, le fait de croire, c'est dans la tête, mais ce qu'on ressent, en fait, c'est dans le cœur. Et autour de moi, là, pendant ces deux derniers mois, et puis pour être très honnête, ça fait huit mois que ça dure, ma voix, ma petite voix intérieure, en fait, elle devient un peu confuse. Et c'est comme s'il y avait vraiment trop de bruit autour de moi. Trop de « il faut que tu fasses ça » , trop de « allez, fais plus, ça va aller » , trop d'attente vis-à-vis des autres, vis-à-vis de moi. Et dans tout ça, en fait, j'ai perdu ce lien avec non pas ce que je faisais, mais qui j'étais. Donc, j'ai décidé d'arrêter. Ça a été très très dur au départ parce que j'ai beaucoup culpabilisé. Et je me suis aperçue que, tu vois, au bout de deux mois, en fait, c'est dans ce silence que j'ai appris. Parce que j'ai remarqué quelque chose. qu'il y a des pauses qui ne sont pas nécessairement une fuite, mais c'est vraiment un acte d'amour. Un acte d'amour que j'avais besoin envers moi-même de me lâcher un petit peu la grave sur ce que j'avais envie de vous dire, sur comment j'allais vous le dire, tant au niveau du côté pro, mais surtout, surtout du côté perso. Je vis des vagues personnelles intenses que je ne vais pas forcément parler ici, mais en tout cas, ça a pas mal remué, pas mal. bouger et aujourd'hui même si je me sens pas à 100% bien en tout cas avec ce que je suis en train de vivre et bah j'ai envie de transmettre à nouveau j'ai besoin de ressentir ces projets j'ai besoin d'avoir un but j'ai besoin de ressentir la vie en moi et peut-être que tu sais mais il ya maintenant sept ans sept huit ans j'ai vécu une maladie qui a fait que J'ai pris un sacré coup et je me suis dit en fait là maintenant j'ai envie de vivre, j'ai pas envie de m'éteindre à petit feu. Et malheureusement, parfois on tombe un peu dans nos vieux travers et j'avais besoin de ce petit rappel de la vie pour me remettre en selle, comme j'avais envie de dire. Donc je voulais, avant de parler, parce que tu as vu le titre de ce podcast, d'être soi malgré tout. Je voulais te partager ce que j'ai compris pendant cette pause. Parce que pendant ce recul, j'ai compris une chose essentielle, c'est je ne veux plus me forcer. Je ne veux plus me pousser à parler, à vous parler, à parler à mon entourage quand c'est faux. Je ne veux plus dire ça va, ouais, alors que ça ne va pas. Je veux plus créer du contenu pour créer du contenu. Je veux avoir du sens dans ce que je fais, du vrai, du vivant. Tu vas voir, ça va beaucoup revenir. Et en fait, j'ai réalisé à quel point, alors j'allais dire nous les femmes, mais aussi les hommes, on porte des choses qu'on appelle invisibles. Tu vois, des responsabilités qu'on prend sur le dos, des blessures qu'on cicatrise pas, des attentes que l'on a. la vie des autres parce qu'on a un enfant, une petite fille, un petit garçon à l'intérieur de nous qui est complètement baissé. Et du coup, ça, ça crée quelque chose d'invisible et on ne sait pas pourquoi on ne va pas bien. Et tu vois, je pense aussi à toutes ces phrases qu'on n'a jamais dites, qu'on a gardées à l'intérieur de nous. Ou même des émotions, quelque chose qui nous a blessés, qui nous a rendus tristes et qu'on n'a rien dit. Et en fait, on avance avec ce poids sur le cœur et moi, j'ai cette impression, du coup, j'avais l'impression de ne jamais être assez. Pas assez forte. Pas assez calme, pas assez belle, pas assez bonne mère, pas assez bonne épouse, pas assez spirituelle. Ou alors, j'étais carrément dans le trop. Trop sensible, trop émotive, trop empathique, trop fatiguée, trop feignante. Et en fait, quand on prend juste le temps de s'arrêter, quand on prend le temps vraiment de s'écouter, eh bien en fait, on découvre qu'en dessous de tout ça, il y a quelque chose de beaucoup plus doux. et tenace, quelque chose qui fait qu'à l'intérieur, on a envie de s'accrocher. Et il y a quelque chose, moi, qui m'a dit, je veux absolument comprendre ce qui se passe en moi. Je veux me libérer, je veux respirer, je veux devenir moi, même si je n'ai pas encore la définition exacte de ce que ça veut dire. Et puis, en réfléchissant à ça, je me dis, mais en fait, je ne veux pas redevenir moi. Je veux juste être. Et c'est pour ça que je reviens. Et je tiens aussi à remercier, dans ce podcast, Marine. Marine, je ne sais pas si vous la suivez sur les réseaux, c'est Marine Gabi. Elle est kinésiologue, en plus d'être créatrice de contenu. Et j'ai fait une séance avec elle il y a quelques semaines. Et pendant qu'elle me faisait la séance, j'avais cette impression d'étouffer au niveau du thorax. Et je lui dis, oh là là, quand tu as posé ta main là, j'avais l'impression d'être d'étouffer. Et là, elle me dit, écoute, j'ai tout fait. J'ai tout fait, j'ai tout fait, j'ai tout fait. Voilà. Et ça, ça s'est ancré en moi. J'ai tout fait. En fait, je me suis aperçue que j'étais dans un mode de faire plutôt que d'être. Et c'est dans cette attention simple et forte que je veux revenir sur ce podcast-là. Pour faire de ce podcast un espace finalement de retour à soi. Un refuge, un lieu d'apaisement, un lieu de transformation intérieure. sans injonction de la société, sans performance. Juste toi et moi, où je te partage mes réflexions, où si tu es intéressé, tu pourras venir me le dire sur les réseaux, sur Instagram notamment, pour me dire que tu seras intéressé pour discuter avec moi lors d'un épisode, pour partager ton histoire et pour avoir les déclics nécessaires. Alors oui, tu l'as compris, hypnomorphose, ça va changer un peu. Les épisodes vont être beaucoup plus larges, beaucoup plus libres, parfois plus courts, parfois plus longs, mais toujours avec cette envie de transmettre pour te faire du bien. Je te l'ai dit, je vais partager mes réflexions, mes propres histoires, tes histoires, mais aussi des métaphores. Et puis, bien évidemment, je ne sais pas encore à quel rythme, je te ferai une séance d'hypnose que tu pourras écouter ici, comme j'ai eu l'habitude de faire d'ailleurs il y a encore quelques mois maintenant, j'allais dire quelques semaines. Je t'ai partagé une séance pour t'aider à t'endormir. Et parfois, je te partage juste une question, tu vois, qui pourrait faire écho à ton propre vécu, à ta propre histoire, pour te permettre en fait d'ouvrir le champ des possibles. Ça va te permettre de te rencontrer autrement, non pas pour te retrouver, mais juste simplement pour être. Et justement, pour ce premier épisode après cette pause, je veux te parler d'un sujet qui traverse à peu près tous les âges, toutes les générations, tous les hommes et les femmes que j'accompagne. Un thème simple, mais qui est pour moi ultra profond, ce fameux être-soi. Pas devenir une meilleure version soi. Pas atteindre son potentiel maximum, parce que je l'ai déjà dit moi, dans mes podcasts et sur les réseaux, mais juste être. Être toi. Sans filtre, sans masque, sans combinaisons trop serrées, même si c'est inconfortable, et même si ça dérange. Alors tu sais, c'est cette question qui dit qui suis-je vraiment ? Parce que cette question, en réalité, elle est là depuis toujours. Déjà dans la Grèce antique, on écrivait sur les murs du temple de Delphes, pardon, connais-toi toi-même. Alors je ne sais pas si tu me suivais à cette époque-là, mais moi j'ai fait un voyage en tour d'Europe en camping-car et je suis allée à Delphes. Et c'est qu'aujourd'hui que je me rends compte à quel point, quand j'étais là-bas... J'ai eu cette réflexion de « connais-toi toi-même » . Et aujourd'hui, je comprends qu'en fait, ce n'était pas une invitation à être parfaite, c'était juste un appel à se regarder en face, à enlever les couches, les rôles, les « je dois » . Mais aujourd'hui, avec la société, je t'avoue que c'est compliqué. Parce qu'on vit dans une société où ce qu'on montre compte souvent plus que ce qu'on vit réellement. Tu vois, il faut, le fameux il faut, il faut être belle, mais naturelle. Il faut être ambitieuse, mais calme et pas faire trop de bruit. Pas se faire remarquer. Il faut être forte, mais il faut être douce à la fois. Il faut être disponible, mais surtout indépendante. Alors en fait, ça, on devient des versions complètement acceptables de nous-mêmes. Et on fait bonne figure. Et notre système nerveux, qu'est-ce qu'il va faire ? Il vient s'adapter. Mais à quel prix ? Parce qu'en fait, à force de se plier, qu'est-ce qui se passe ? On se perd. Et le corps, lui, il va finir par parler. Il va nous donner de la fatigue, des insomnies, de l'anxiété profonde, des douleurs inexpliquées. Parce qu'en vérité, ton corps, dans ces moments-là, il ne te crie pas « je suis malade » . Il te dit juste « je me suis oublié » . Et ça, quand tu comprends ça, moi je me suis pris une sacrée claque. Il y a une psychologue qui s'appelle Inès Weber qui explique qu'il faut différencier le moi du soi. Le moi, c'est la partie de nous qui veut être aimée, qui va s'adapter pour être acceptée. C'est celle qui va dire, sois gentille, sois forte, ne fais pas de vagues. Alors qu'en face... Le soi, c'est la partie profonde. Tu sais, c'est cette partie qu'on va sentir dans le ventre, dans les tripes. Celle qui ne va pas chercher à plaire, mais à exister pleinement. Le problème, c'est qu'on a souvent appris à ignorer cette partie-là. Parce qu'elle était trop, trop vivante, trop intense, trop vraie. Et donc, on nous a obligés finalement à la mettre de côté. Et un jour... On se réveille un matin, et vous allez peut-être me dire si je me trompe, mais à l'aube des 40 ans, on ne sait plus qui on est. Alors moi, j'aimerais te poser cette question. Si tu n'étais pas ce que tu crois être, et si tu n'étais ni trop, ni pas assez, mais juste en train de résister à ta vraie nature, qu'est-ce que tu te dirais ? Je te l'ai dit, notre corps, c'est notre premier messager. il sait avant nous. Tu sais, cette boule qu'on a dans la gorge quand on n'ose pas dire ce qu'on ressent. Ou cette fatigue alors que tu dors pas bien. Ou même, tu sais, cette tension dans le ventre le dimanche soir. Eh bien ça, c'est notre corps qui nous parle. Et le corps, lui, ne ment pas. Il dit juste, t'es plus aligné. Tu t'égares, tu prends un mauvais chemin. Et parfois, il va hurler en disant « mais putain, mais écoute-toi là ! » Et souvent, c'est pas un grand bouleversement qui va tout changer. C'est juste un petit moment de clarté qui va dire « non, là en fait, je ne peux plus vivre à côté de moi, c'est pas possible ! » Et ça, c'est hyper dur de s'en rendre compte. Mais quand tu t'en rends compte, tout est en train de se mettre en place. Et c'est exactement ce que je vis. Je me rends compte de certaines choses. Et je crois que je suis en train de m'apercevoir qu'il y a des choses que je ne veux plus. Claude Romano, c'est un philosophe. Il dit que notre unicité ne peut pas se comparer. Que chacune de nous, chacun de nous, est une réponse vivante, irremplaçable. Être soi, c'est dire oui à soi, sans condition. Pas pour se croire au-dessus. mais pour se retrouver à sa juste place. Et ça, ça demande du courage. Celui de dire, je ne sais pas encore, mais j'y vais. Celui de passer de « je dois » à « j'ai envie » . Le courage de ne plus chercher à rentrer dans les cases. De préférer finalement la vérité au confort. Et parfois, de traverser un désert pour se reconnecter à soi, à l'essentiel. Alors voilà, on arrive déjà à la fin de cet épisode. Et avant de se quitter... Je te laisse avec une seule question, pas pour ton mental, mais pour ton cœur, pour ton corps. Est-ce que je suis en train de devenir qui suis-je vraiment ? Et si ce n'est pas tout à fait le cas, eh bien, quelle serait la toute première chose que je pourrais faire aujourd'hui juste pour me rapprocher un peu de moi ? Je n'ai pas la réponse à ça, mais je t'invite sincèrement et profondément à y réfléchir. Parce que ici commence le début du changement. Merci à toi d'avoir écouté cet épisode. Dans le prochain épisode, on va aller explorer ensemble cette phrase que j'entends systématiquement en rendez-vous. C'est « je sais » . Je sais plein de choses, je sais tout ça. Et pourtant, je suis bloquée et je n'y arrive pas. Oui, on va parler de cette impression d'être bloquée. même si on a absolument toutes les clés et qu'on a toutes les réponses. Et tu vas voir que ce blocage, parfois, il vient pas d'un manque de volonté et un manque de courage, mais d'un conflit entre le mental, ta tête, et l'émotionnel, ton cœur. Donc je te dis à la semaine prochaine pour aller creuser sur cet épisode. C'est non sans émotion que je termine ce retour. En tout cas, si ce podcast te parle, s'il t'apaise, s'il t'aide à avoir plus clair, eh bien, tu peux lui offrir un petit cœur, un petit mot doux, ou à le partager avec quelqu'un de ton entourage que tu aimes, que tu penses qu'il y a besoin d'écouter. C'est peut-être un détail, mais pour moi, c'est vraiment, vraiment précieux. Et surtout, reviens quand tu veux. Tu peux scroller. Il y a plein, plein, plein d'épisodes. On était à l'épisode 87, alors t'imagines tout ce que t'as pris de retard. En tout cas, ce podcast est là pour toi. pour moi aussi, plus vrai que jamais. Et je te dis à la semaine prochaine pour un prochain épisode. Et d'ici là, en soin de toi.

Description

Dans cet épisode de reprise, je te parle à cœur ouvert.


Pourquoi j’ai mis le podcast en pause, ce que j’ai traversé, compris, et surtout… ce que j’ai choisi de transformer.


Tu verras que ce silence n’était pas un vide, mais un espace pour me retrouver, pour revenir à moi. Et peut-être que, toi aussi, tu ressens la même chose.


On parle ici de ce que ça veut dire être soi, au-delà des rôles, des attentes et des apparences.
Je t’invite à explorer la différence entre le “moi” qui s’adapte pour être aimée… et le “soi” qui existe, ressent, vibre.


Bonne écoute ! 🎶


🔗 Tu ressens que c’est le moment d’aller plus loin ? Découvre ta séance d'hypnose en cliquant ici



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👁️ Qui suis-je ?


Je m'appelle Anais Valadon, maitre praticienne en hypnose et autrice experte en hypnothérapie.

J'accompagne ceux qui le souhaitent à décoder les maux de leurs corps et leurs émotions pour une libération profonde afin d'être enfin en paix avec leur passé et confiant pour le futur.


🎵 Music by Mood Mode - Positive Vintage Quirky Retro Funk


✨ Dans cet épisode, on va parler de :


Décodage émotionnelle , blocages émotionnelles, amour, hypnose, relations amoureuses, épanouissement, amour durable, amour de soi, hypnothérapie, émotions, kilos émotionnelles


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  • Speaker #0

    Bienvenue dans Hypnomorphose, le podcast qui t'aide à comprendre et transformer ce que ton inconscient a à te dire. Je suis Anaïs Valadon, maître praticien en hypnose et je t'embarque chaque semaine pour explorer ton fonctionnement grâce à l'hypnose, la neuropsychologie, les neurosciences et pas que. Tu te demandes pourquoi certaines émotions ou réactions te bloquent sans raison apparente ? Eh bien ici, on va décortiquer tout ça ensemble et découvrir comment ton inconscient influence ton quotidien. que ce soit dans tes relations, tes habitudes ou même tes pensées. Mon but, t'aider à mieux fouiller dans ton inconscient avec des astuces simples, pratiques et toujours dans la bonne humeur. Alors si tu veux en finir avec le stress, l'anxiété ou juste mieux te comprendre, installe-toi confortablement. C'est parti pour l'épisode du jour. Bonjour et bienvenue dans ce nouvel épisode d'Hypnomorphose. Alors peut-être que c'est la première fois que tu m'écoutes. Ou peut-être que tu fais partie de celles et ceux qui attendaient en silence le retour de ce podcast, parce que ça fait bientôt plus de deux mois que je n'ai pas posté un épisode. En tout cas, dans les deux cas, merci, merci d'être là maintenant à m'écouter. Et si tu es tombé sur cet épisode aujourd'hui, eh bien, laisse-moi te dire que c'est peut-être sûrement pas un hasard. Il y a peut-être une part de toi qui appelle, toi aussi, doucement à un changement. Il y a peut-être un besoin de souffler, de comprendre ou simplement de t'écouter. Alors, je t'invite à t'installer confortablement, à fermer les yeux si tu as envie de respirer parce que s'il n'y a strictement rien à prouver, rien à réussir, pardon, ni à échouer, au contraire, c'est juste un moment pour toi, un moment pour ralentir et te reconnecter à l'essentiel. Alors, comme tu l'as vu, j'ai mis le podcast en pause. Non pas parce que je n'avais plus rien à dire, mais tout simplement parce que j'ai traversé une phase où j'avais besoin de silence. Et pas un silence juste j'éteins la radio, un vrai silence. Tu vois, ce silence qui permet d'écouter ce qui se passe, non pas à l'extérieur de toi, mais à l'intérieur. J'avais pas envie d'écouter ce que je pensais, ni ce que je croyais, mais juste ce que je ressentais. Parce que le savoir, le fait de penser, le fait de croire, c'est dans la tête, mais ce qu'on ressent, en fait, c'est dans le cœur. Et autour de moi, là, pendant ces deux derniers mois, et puis pour être très honnête, ça fait huit mois que ça dure, ma voix, ma petite voix intérieure, en fait, elle devient un peu confuse. Et c'est comme s'il y avait vraiment trop de bruit autour de moi. Trop de « il faut que tu fasses ça » , trop de « allez, fais plus, ça va aller » , trop d'attente vis-à-vis des autres, vis-à-vis de moi. Et dans tout ça, en fait, j'ai perdu ce lien avec non pas ce que je faisais, mais qui j'étais. Donc, j'ai décidé d'arrêter. Ça a été très très dur au départ parce que j'ai beaucoup culpabilisé. Et je me suis aperçue que, tu vois, au bout de deux mois, en fait, c'est dans ce silence que j'ai appris. Parce que j'ai remarqué quelque chose. qu'il y a des pauses qui ne sont pas nécessairement une fuite, mais c'est vraiment un acte d'amour. Un acte d'amour que j'avais besoin envers moi-même de me lâcher un petit peu la grave sur ce que j'avais envie de vous dire, sur comment j'allais vous le dire, tant au niveau du côté pro, mais surtout, surtout du côté perso. Je vis des vagues personnelles intenses que je ne vais pas forcément parler ici, mais en tout cas, ça a pas mal remué, pas mal. bouger et aujourd'hui même si je me sens pas à 100% bien en tout cas avec ce que je suis en train de vivre et bah j'ai envie de transmettre à nouveau j'ai besoin de ressentir ces projets j'ai besoin d'avoir un but j'ai besoin de ressentir la vie en moi et peut-être que tu sais mais il ya maintenant sept ans sept huit ans j'ai vécu une maladie qui a fait que J'ai pris un sacré coup et je me suis dit en fait là maintenant j'ai envie de vivre, j'ai pas envie de m'éteindre à petit feu. Et malheureusement, parfois on tombe un peu dans nos vieux travers et j'avais besoin de ce petit rappel de la vie pour me remettre en selle, comme j'avais envie de dire. Donc je voulais, avant de parler, parce que tu as vu le titre de ce podcast, d'être soi malgré tout. Je voulais te partager ce que j'ai compris pendant cette pause. Parce que pendant ce recul, j'ai compris une chose essentielle, c'est je ne veux plus me forcer. Je ne veux plus me pousser à parler, à vous parler, à parler à mon entourage quand c'est faux. Je ne veux plus dire ça va, ouais, alors que ça ne va pas. Je veux plus créer du contenu pour créer du contenu. Je veux avoir du sens dans ce que je fais, du vrai, du vivant. Tu vas voir, ça va beaucoup revenir. Et en fait, j'ai réalisé à quel point, alors j'allais dire nous les femmes, mais aussi les hommes, on porte des choses qu'on appelle invisibles. Tu vois, des responsabilités qu'on prend sur le dos, des blessures qu'on cicatrise pas, des attentes que l'on a. la vie des autres parce qu'on a un enfant, une petite fille, un petit garçon à l'intérieur de nous qui est complètement baissé. Et du coup, ça, ça crée quelque chose d'invisible et on ne sait pas pourquoi on ne va pas bien. Et tu vois, je pense aussi à toutes ces phrases qu'on n'a jamais dites, qu'on a gardées à l'intérieur de nous. Ou même des émotions, quelque chose qui nous a blessés, qui nous a rendus tristes et qu'on n'a rien dit. Et en fait, on avance avec ce poids sur le cœur et moi, j'ai cette impression, du coup, j'avais l'impression de ne jamais être assez. Pas assez forte. Pas assez calme, pas assez belle, pas assez bonne mère, pas assez bonne épouse, pas assez spirituelle. Ou alors, j'étais carrément dans le trop. Trop sensible, trop émotive, trop empathique, trop fatiguée, trop feignante. Et en fait, quand on prend juste le temps de s'arrêter, quand on prend le temps vraiment de s'écouter, eh bien en fait, on découvre qu'en dessous de tout ça, il y a quelque chose de beaucoup plus doux. et tenace, quelque chose qui fait qu'à l'intérieur, on a envie de s'accrocher. Et il y a quelque chose, moi, qui m'a dit, je veux absolument comprendre ce qui se passe en moi. Je veux me libérer, je veux respirer, je veux devenir moi, même si je n'ai pas encore la définition exacte de ce que ça veut dire. Et puis, en réfléchissant à ça, je me dis, mais en fait, je ne veux pas redevenir moi. Je veux juste être. Et c'est pour ça que je reviens. Et je tiens aussi à remercier, dans ce podcast, Marine. Marine, je ne sais pas si vous la suivez sur les réseaux, c'est Marine Gabi. Elle est kinésiologue, en plus d'être créatrice de contenu. Et j'ai fait une séance avec elle il y a quelques semaines. Et pendant qu'elle me faisait la séance, j'avais cette impression d'étouffer au niveau du thorax. Et je lui dis, oh là là, quand tu as posé ta main là, j'avais l'impression d'être d'étouffer. Et là, elle me dit, écoute, j'ai tout fait. J'ai tout fait, j'ai tout fait, j'ai tout fait. Voilà. Et ça, ça s'est ancré en moi. J'ai tout fait. En fait, je me suis aperçue que j'étais dans un mode de faire plutôt que d'être. Et c'est dans cette attention simple et forte que je veux revenir sur ce podcast-là. Pour faire de ce podcast un espace finalement de retour à soi. Un refuge, un lieu d'apaisement, un lieu de transformation intérieure. sans injonction de la société, sans performance. Juste toi et moi, où je te partage mes réflexions, où si tu es intéressé, tu pourras venir me le dire sur les réseaux, sur Instagram notamment, pour me dire que tu seras intéressé pour discuter avec moi lors d'un épisode, pour partager ton histoire et pour avoir les déclics nécessaires. Alors oui, tu l'as compris, hypnomorphose, ça va changer un peu. Les épisodes vont être beaucoup plus larges, beaucoup plus libres, parfois plus courts, parfois plus longs, mais toujours avec cette envie de transmettre pour te faire du bien. Je te l'ai dit, je vais partager mes réflexions, mes propres histoires, tes histoires, mais aussi des métaphores. Et puis, bien évidemment, je ne sais pas encore à quel rythme, je te ferai une séance d'hypnose que tu pourras écouter ici, comme j'ai eu l'habitude de faire d'ailleurs il y a encore quelques mois maintenant, j'allais dire quelques semaines. Je t'ai partagé une séance pour t'aider à t'endormir. Et parfois, je te partage juste une question, tu vois, qui pourrait faire écho à ton propre vécu, à ta propre histoire, pour te permettre en fait d'ouvrir le champ des possibles. Ça va te permettre de te rencontrer autrement, non pas pour te retrouver, mais juste simplement pour être. Et justement, pour ce premier épisode après cette pause, je veux te parler d'un sujet qui traverse à peu près tous les âges, toutes les générations, tous les hommes et les femmes que j'accompagne. Un thème simple, mais qui est pour moi ultra profond, ce fameux être-soi. Pas devenir une meilleure version soi. Pas atteindre son potentiel maximum, parce que je l'ai déjà dit moi, dans mes podcasts et sur les réseaux, mais juste être. Être toi. Sans filtre, sans masque, sans combinaisons trop serrées, même si c'est inconfortable, et même si ça dérange. Alors tu sais, c'est cette question qui dit qui suis-je vraiment ? Parce que cette question, en réalité, elle est là depuis toujours. Déjà dans la Grèce antique, on écrivait sur les murs du temple de Delphes, pardon, connais-toi toi-même. Alors je ne sais pas si tu me suivais à cette époque-là, mais moi j'ai fait un voyage en tour d'Europe en camping-car et je suis allée à Delphes. Et c'est qu'aujourd'hui que je me rends compte à quel point, quand j'étais là-bas... J'ai eu cette réflexion de « connais-toi toi-même » . Et aujourd'hui, je comprends qu'en fait, ce n'était pas une invitation à être parfaite, c'était juste un appel à se regarder en face, à enlever les couches, les rôles, les « je dois » . Mais aujourd'hui, avec la société, je t'avoue que c'est compliqué. Parce qu'on vit dans une société où ce qu'on montre compte souvent plus que ce qu'on vit réellement. Tu vois, il faut, le fameux il faut, il faut être belle, mais naturelle. Il faut être ambitieuse, mais calme et pas faire trop de bruit. Pas se faire remarquer. Il faut être forte, mais il faut être douce à la fois. Il faut être disponible, mais surtout indépendante. Alors en fait, ça, on devient des versions complètement acceptables de nous-mêmes. Et on fait bonne figure. Et notre système nerveux, qu'est-ce qu'il va faire ? Il vient s'adapter. Mais à quel prix ? Parce qu'en fait, à force de se plier, qu'est-ce qui se passe ? On se perd. Et le corps, lui, il va finir par parler. Il va nous donner de la fatigue, des insomnies, de l'anxiété profonde, des douleurs inexpliquées. Parce qu'en vérité, ton corps, dans ces moments-là, il ne te crie pas « je suis malade » . Il te dit juste « je me suis oublié » . Et ça, quand tu comprends ça, moi je me suis pris une sacrée claque. Il y a une psychologue qui s'appelle Inès Weber qui explique qu'il faut différencier le moi du soi. Le moi, c'est la partie de nous qui veut être aimée, qui va s'adapter pour être acceptée. C'est celle qui va dire, sois gentille, sois forte, ne fais pas de vagues. Alors qu'en face... Le soi, c'est la partie profonde. Tu sais, c'est cette partie qu'on va sentir dans le ventre, dans les tripes. Celle qui ne va pas chercher à plaire, mais à exister pleinement. Le problème, c'est qu'on a souvent appris à ignorer cette partie-là. Parce qu'elle était trop, trop vivante, trop intense, trop vraie. Et donc, on nous a obligés finalement à la mettre de côté. Et un jour... On se réveille un matin, et vous allez peut-être me dire si je me trompe, mais à l'aube des 40 ans, on ne sait plus qui on est. Alors moi, j'aimerais te poser cette question. Si tu n'étais pas ce que tu crois être, et si tu n'étais ni trop, ni pas assez, mais juste en train de résister à ta vraie nature, qu'est-ce que tu te dirais ? Je te l'ai dit, notre corps, c'est notre premier messager. il sait avant nous. Tu sais, cette boule qu'on a dans la gorge quand on n'ose pas dire ce qu'on ressent. Ou cette fatigue alors que tu dors pas bien. Ou même, tu sais, cette tension dans le ventre le dimanche soir. Eh bien ça, c'est notre corps qui nous parle. Et le corps, lui, ne ment pas. Il dit juste, t'es plus aligné. Tu t'égares, tu prends un mauvais chemin. Et parfois, il va hurler en disant « mais putain, mais écoute-toi là ! » Et souvent, c'est pas un grand bouleversement qui va tout changer. C'est juste un petit moment de clarté qui va dire « non, là en fait, je ne peux plus vivre à côté de moi, c'est pas possible ! » Et ça, c'est hyper dur de s'en rendre compte. Mais quand tu t'en rends compte, tout est en train de se mettre en place. Et c'est exactement ce que je vis. Je me rends compte de certaines choses. Et je crois que je suis en train de m'apercevoir qu'il y a des choses que je ne veux plus. Claude Romano, c'est un philosophe. Il dit que notre unicité ne peut pas se comparer. Que chacune de nous, chacun de nous, est une réponse vivante, irremplaçable. Être soi, c'est dire oui à soi, sans condition. Pas pour se croire au-dessus. mais pour se retrouver à sa juste place. Et ça, ça demande du courage. Celui de dire, je ne sais pas encore, mais j'y vais. Celui de passer de « je dois » à « j'ai envie » . Le courage de ne plus chercher à rentrer dans les cases. De préférer finalement la vérité au confort. Et parfois, de traverser un désert pour se reconnecter à soi, à l'essentiel. Alors voilà, on arrive déjà à la fin de cet épisode. Et avant de se quitter... Je te laisse avec une seule question, pas pour ton mental, mais pour ton cœur, pour ton corps. Est-ce que je suis en train de devenir qui suis-je vraiment ? Et si ce n'est pas tout à fait le cas, eh bien, quelle serait la toute première chose que je pourrais faire aujourd'hui juste pour me rapprocher un peu de moi ? Je n'ai pas la réponse à ça, mais je t'invite sincèrement et profondément à y réfléchir. Parce que ici commence le début du changement. Merci à toi d'avoir écouté cet épisode. Dans le prochain épisode, on va aller explorer ensemble cette phrase que j'entends systématiquement en rendez-vous. C'est « je sais » . Je sais plein de choses, je sais tout ça. Et pourtant, je suis bloquée et je n'y arrive pas. Oui, on va parler de cette impression d'être bloquée. même si on a absolument toutes les clés et qu'on a toutes les réponses. Et tu vas voir que ce blocage, parfois, il vient pas d'un manque de volonté et un manque de courage, mais d'un conflit entre le mental, ta tête, et l'émotionnel, ton cœur. Donc je te dis à la semaine prochaine pour aller creuser sur cet épisode. C'est non sans émotion que je termine ce retour. En tout cas, si ce podcast te parle, s'il t'apaise, s'il t'aide à avoir plus clair, eh bien, tu peux lui offrir un petit cœur, un petit mot doux, ou à le partager avec quelqu'un de ton entourage que tu aimes, que tu penses qu'il y a besoin d'écouter. C'est peut-être un détail, mais pour moi, c'est vraiment, vraiment précieux. Et surtout, reviens quand tu veux. Tu peux scroller. Il y a plein, plein, plein d'épisodes. On était à l'épisode 87, alors t'imagines tout ce que t'as pris de retard. En tout cas, ce podcast est là pour toi. pour moi aussi, plus vrai que jamais. Et je te dis à la semaine prochaine pour un prochain épisode. Et d'ici là, en soin de toi.

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Description

Dans cet épisode de reprise, je te parle à cœur ouvert.


Pourquoi j’ai mis le podcast en pause, ce que j’ai traversé, compris, et surtout… ce que j’ai choisi de transformer.


Tu verras que ce silence n’était pas un vide, mais un espace pour me retrouver, pour revenir à moi. Et peut-être que, toi aussi, tu ressens la même chose.


On parle ici de ce que ça veut dire être soi, au-delà des rôles, des attentes et des apparences.
Je t’invite à explorer la différence entre le “moi” qui s’adapte pour être aimée… et le “soi” qui existe, ressent, vibre.


Bonne écoute ! 🎶


🔗 Tu ressens que c’est le moment d’aller plus loin ? Découvre ta séance d'hypnose en cliquant ici



hypnose, hypnothérapie, libération émotionnelle, compréhension des maux, stress, régulation du cortisol, sommeil, comportements inconscients, émotions, séance d'hypnose pour s'endormir



ET POUR ALLER PLUS LOIN:


📆 Nouveaux épisodes d'hypno'morphose

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anais.valadon@hotmail.com


👁️ Qui suis-je ?


Je m'appelle Anais Valadon, maitre praticienne en hypnose et autrice experte en hypnothérapie.

J'accompagne ceux qui le souhaitent à décoder les maux de leurs corps et leurs émotions pour une libération profonde afin d'être enfin en paix avec leur passé et confiant pour le futur.


🎵 Music by Mood Mode - Positive Vintage Quirky Retro Funk


✨ Dans cet épisode, on va parler de :


Décodage émotionnelle , blocages émotionnelles, amour, hypnose, relations amoureuses, épanouissement, amour durable, amour de soi, hypnothérapie, émotions, kilos émotionnelles


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans Hypnomorphose, le podcast qui t'aide à comprendre et transformer ce que ton inconscient a à te dire. Je suis Anaïs Valadon, maître praticien en hypnose et je t'embarque chaque semaine pour explorer ton fonctionnement grâce à l'hypnose, la neuropsychologie, les neurosciences et pas que. Tu te demandes pourquoi certaines émotions ou réactions te bloquent sans raison apparente ? Eh bien ici, on va décortiquer tout ça ensemble et découvrir comment ton inconscient influence ton quotidien. que ce soit dans tes relations, tes habitudes ou même tes pensées. Mon but, t'aider à mieux fouiller dans ton inconscient avec des astuces simples, pratiques et toujours dans la bonne humeur. Alors si tu veux en finir avec le stress, l'anxiété ou juste mieux te comprendre, installe-toi confortablement. C'est parti pour l'épisode du jour. Bonjour et bienvenue dans ce nouvel épisode d'Hypnomorphose. Alors peut-être que c'est la première fois que tu m'écoutes. Ou peut-être que tu fais partie de celles et ceux qui attendaient en silence le retour de ce podcast, parce que ça fait bientôt plus de deux mois que je n'ai pas posté un épisode. En tout cas, dans les deux cas, merci, merci d'être là maintenant à m'écouter. Et si tu es tombé sur cet épisode aujourd'hui, eh bien, laisse-moi te dire que c'est peut-être sûrement pas un hasard. Il y a peut-être une part de toi qui appelle, toi aussi, doucement à un changement. Il y a peut-être un besoin de souffler, de comprendre ou simplement de t'écouter. Alors, je t'invite à t'installer confortablement, à fermer les yeux si tu as envie de respirer parce que s'il n'y a strictement rien à prouver, rien à réussir, pardon, ni à échouer, au contraire, c'est juste un moment pour toi, un moment pour ralentir et te reconnecter à l'essentiel. Alors, comme tu l'as vu, j'ai mis le podcast en pause. Non pas parce que je n'avais plus rien à dire, mais tout simplement parce que j'ai traversé une phase où j'avais besoin de silence. Et pas un silence juste j'éteins la radio, un vrai silence. Tu vois, ce silence qui permet d'écouter ce qui se passe, non pas à l'extérieur de toi, mais à l'intérieur. J'avais pas envie d'écouter ce que je pensais, ni ce que je croyais, mais juste ce que je ressentais. Parce que le savoir, le fait de penser, le fait de croire, c'est dans la tête, mais ce qu'on ressent, en fait, c'est dans le cœur. Et autour de moi, là, pendant ces deux derniers mois, et puis pour être très honnête, ça fait huit mois que ça dure, ma voix, ma petite voix intérieure, en fait, elle devient un peu confuse. Et c'est comme s'il y avait vraiment trop de bruit autour de moi. Trop de « il faut que tu fasses ça » , trop de « allez, fais plus, ça va aller » , trop d'attente vis-à-vis des autres, vis-à-vis de moi. Et dans tout ça, en fait, j'ai perdu ce lien avec non pas ce que je faisais, mais qui j'étais. Donc, j'ai décidé d'arrêter. Ça a été très très dur au départ parce que j'ai beaucoup culpabilisé. Et je me suis aperçue que, tu vois, au bout de deux mois, en fait, c'est dans ce silence que j'ai appris. Parce que j'ai remarqué quelque chose. qu'il y a des pauses qui ne sont pas nécessairement une fuite, mais c'est vraiment un acte d'amour. Un acte d'amour que j'avais besoin envers moi-même de me lâcher un petit peu la grave sur ce que j'avais envie de vous dire, sur comment j'allais vous le dire, tant au niveau du côté pro, mais surtout, surtout du côté perso. Je vis des vagues personnelles intenses que je ne vais pas forcément parler ici, mais en tout cas, ça a pas mal remué, pas mal. bouger et aujourd'hui même si je me sens pas à 100% bien en tout cas avec ce que je suis en train de vivre et bah j'ai envie de transmettre à nouveau j'ai besoin de ressentir ces projets j'ai besoin d'avoir un but j'ai besoin de ressentir la vie en moi et peut-être que tu sais mais il ya maintenant sept ans sept huit ans j'ai vécu une maladie qui a fait que J'ai pris un sacré coup et je me suis dit en fait là maintenant j'ai envie de vivre, j'ai pas envie de m'éteindre à petit feu. Et malheureusement, parfois on tombe un peu dans nos vieux travers et j'avais besoin de ce petit rappel de la vie pour me remettre en selle, comme j'avais envie de dire. Donc je voulais, avant de parler, parce que tu as vu le titre de ce podcast, d'être soi malgré tout. Je voulais te partager ce que j'ai compris pendant cette pause. Parce que pendant ce recul, j'ai compris une chose essentielle, c'est je ne veux plus me forcer. Je ne veux plus me pousser à parler, à vous parler, à parler à mon entourage quand c'est faux. Je ne veux plus dire ça va, ouais, alors que ça ne va pas. Je veux plus créer du contenu pour créer du contenu. Je veux avoir du sens dans ce que je fais, du vrai, du vivant. Tu vas voir, ça va beaucoup revenir. Et en fait, j'ai réalisé à quel point, alors j'allais dire nous les femmes, mais aussi les hommes, on porte des choses qu'on appelle invisibles. Tu vois, des responsabilités qu'on prend sur le dos, des blessures qu'on cicatrise pas, des attentes que l'on a. la vie des autres parce qu'on a un enfant, une petite fille, un petit garçon à l'intérieur de nous qui est complètement baissé. Et du coup, ça, ça crée quelque chose d'invisible et on ne sait pas pourquoi on ne va pas bien. Et tu vois, je pense aussi à toutes ces phrases qu'on n'a jamais dites, qu'on a gardées à l'intérieur de nous. Ou même des émotions, quelque chose qui nous a blessés, qui nous a rendus tristes et qu'on n'a rien dit. Et en fait, on avance avec ce poids sur le cœur et moi, j'ai cette impression, du coup, j'avais l'impression de ne jamais être assez. Pas assez forte. Pas assez calme, pas assez belle, pas assez bonne mère, pas assez bonne épouse, pas assez spirituelle. Ou alors, j'étais carrément dans le trop. Trop sensible, trop émotive, trop empathique, trop fatiguée, trop feignante. Et en fait, quand on prend juste le temps de s'arrêter, quand on prend le temps vraiment de s'écouter, eh bien en fait, on découvre qu'en dessous de tout ça, il y a quelque chose de beaucoup plus doux. et tenace, quelque chose qui fait qu'à l'intérieur, on a envie de s'accrocher. Et il y a quelque chose, moi, qui m'a dit, je veux absolument comprendre ce qui se passe en moi. Je veux me libérer, je veux respirer, je veux devenir moi, même si je n'ai pas encore la définition exacte de ce que ça veut dire. Et puis, en réfléchissant à ça, je me dis, mais en fait, je ne veux pas redevenir moi. Je veux juste être. Et c'est pour ça que je reviens. Et je tiens aussi à remercier, dans ce podcast, Marine. Marine, je ne sais pas si vous la suivez sur les réseaux, c'est Marine Gabi. Elle est kinésiologue, en plus d'être créatrice de contenu. Et j'ai fait une séance avec elle il y a quelques semaines. Et pendant qu'elle me faisait la séance, j'avais cette impression d'étouffer au niveau du thorax. Et je lui dis, oh là là, quand tu as posé ta main là, j'avais l'impression d'être d'étouffer. Et là, elle me dit, écoute, j'ai tout fait. J'ai tout fait, j'ai tout fait, j'ai tout fait. Voilà. Et ça, ça s'est ancré en moi. J'ai tout fait. En fait, je me suis aperçue que j'étais dans un mode de faire plutôt que d'être. Et c'est dans cette attention simple et forte que je veux revenir sur ce podcast-là. Pour faire de ce podcast un espace finalement de retour à soi. Un refuge, un lieu d'apaisement, un lieu de transformation intérieure. sans injonction de la société, sans performance. Juste toi et moi, où je te partage mes réflexions, où si tu es intéressé, tu pourras venir me le dire sur les réseaux, sur Instagram notamment, pour me dire que tu seras intéressé pour discuter avec moi lors d'un épisode, pour partager ton histoire et pour avoir les déclics nécessaires. Alors oui, tu l'as compris, hypnomorphose, ça va changer un peu. Les épisodes vont être beaucoup plus larges, beaucoup plus libres, parfois plus courts, parfois plus longs, mais toujours avec cette envie de transmettre pour te faire du bien. Je te l'ai dit, je vais partager mes réflexions, mes propres histoires, tes histoires, mais aussi des métaphores. Et puis, bien évidemment, je ne sais pas encore à quel rythme, je te ferai une séance d'hypnose que tu pourras écouter ici, comme j'ai eu l'habitude de faire d'ailleurs il y a encore quelques mois maintenant, j'allais dire quelques semaines. Je t'ai partagé une séance pour t'aider à t'endormir. Et parfois, je te partage juste une question, tu vois, qui pourrait faire écho à ton propre vécu, à ta propre histoire, pour te permettre en fait d'ouvrir le champ des possibles. Ça va te permettre de te rencontrer autrement, non pas pour te retrouver, mais juste simplement pour être. Et justement, pour ce premier épisode après cette pause, je veux te parler d'un sujet qui traverse à peu près tous les âges, toutes les générations, tous les hommes et les femmes que j'accompagne. Un thème simple, mais qui est pour moi ultra profond, ce fameux être-soi. Pas devenir une meilleure version soi. Pas atteindre son potentiel maximum, parce que je l'ai déjà dit moi, dans mes podcasts et sur les réseaux, mais juste être. Être toi. Sans filtre, sans masque, sans combinaisons trop serrées, même si c'est inconfortable, et même si ça dérange. Alors tu sais, c'est cette question qui dit qui suis-je vraiment ? Parce que cette question, en réalité, elle est là depuis toujours. Déjà dans la Grèce antique, on écrivait sur les murs du temple de Delphes, pardon, connais-toi toi-même. Alors je ne sais pas si tu me suivais à cette époque-là, mais moi j'ai fait un voyage en tour d'Europe en camping-car et je suis allée à Delphes. Et c'est qu'aujourd'hui que je me rends compte à quel point, quand j'étais là-bas... J'ai eu cette réflexion de « connais-toi toi-même » . Et aujourd'hui, je comprends qu'en fait, ce n'était pas une invitation à être parfaite, c'était juste un appel à se regarder en face, à enlever les couches, les rôles, les « je dois » . Mais aujourd'hui, avec la société, je t'avoue que c'est compliqué. Parce qu'on vit dans une société où ce qu'on montre compte souvent plus que ce qu'on vit réellement. Tu vois, il faut, le fameux il faut, il faut être belle, mais naturelle. Il faut être ambitieuse, mais calme et pas faire trop de bruit. Pas se faire remarquer. Il faut être forte, mais il faut être douce à la fois. Il faut être disponible, mais surtout indépendante. Alors en fait, ça, on devient des versions complètement acceptables de nous-mêmes. Et on fait bonne figure. Et notre système nerveux, qu'est-ce qu'il va faire ? Il vient s'adapter. Mais à quel prix ? Parce qu'en fait, à force de se plier, qu'est-ce qui se passe ? On se perd. Et le corps, lui, il va finir par parler. Il va nous donner de la fatigue, des insomnies, de l'anxiété profonde, des douleurs inexpliquées. Parce qu'en vérité, ton corps, dans ces moments-là, il ne te crie pas « je suis malade » . Il te dit juste « je me suis oublié » . Et ça, quand tu comprends ça, moi je me suis pris une sacrée claque. Il y a une psychologue qui s'appelle Inès Weber qui explique qu'il faut différencier le moi du soi. Le moi, c'est la partie de nous qui veut être aimée, qui va s'adapter pour être acceptée. C'est celle qui va dire, sois gentille, sois forte, ne fais pas de vagues. Alors qu'en face... Le soi, c'est la partie profonde. Tu sais, c'est cette partie qu'on va sentir dans le ventre, dans les tripes. Celle qui ne va pas chercher à plaire, mais à exister pleinement. Le problème, c'est qu'on a souvent appris à ignorer cette partie-là. Parce qu'elle était trop, trop vivante, trop intense, trop vraie. Et donc, on nous a obligés finalement à la mettre de côté. Et un jour... On se réveille un matin, et vous allez peut-être me dire si je me trompe, mais à l'aube des 40 ans, on ne sait plus qui on est. Alors moi, j'aimerais te poser cette question. Si tu n'étais pas ce que tu crois être, et si tu n'étais ni trop, ni pas assez, mais juste en train de résister à ta vraie nature, qu'est-ce que tu te dirais ? Je te l'ai dit, notre corps, c'est notre premier messager. il sait avant nous. Tu sais, cette boule qu'on a dans la gorge quand on n'ose pas dire ce qu'on ressent. Ou cette fatigue alors que tu dors pas bien. Ou même, tu sais, cette tension dans le ventre le dimanche soir. Eh bien ça, c'est notre corps qui nous parle. Et le corps, lui, ne ment pas. Il dit juste, t'es plus aligné. Tu t'égares, tu prends un mauvais chemin. Et parfois, il va hurler en disant « mais putain, mais écoute-toi là ! » Et souvent, c'est pas un grand bouleversement qui va tout changer. C'est juste un petit moment de clarté qui va dire « non, là en fait, je ne peux plus vivre à côté de moi, c'est pas possible ! » Et ça, c'est hyper dur de s'en rendre compte. Mais quand tu t'en rends compte, tout est en train de se mettre en place. Et c'est exactement ce que je vis. Je me rends compte de certaines choses. Et je crois que je suis en train de m'apercevoir qu'il y a des choses que je ne veux plus. Claude Romano, c'est un philosophe. Il dit que notre unicité ne peut pas se comparer. Que chacune de nous, chacun de nous, est une réponse vivante, irremplaçable. Être soi, c'est dire oui à soi, sans condition. Pas pour se croire au-dessus. mais pour se retrouver à sa juste place. Et ça, ça demande du courage. Celui de dire, je ne sais pas encore, mais j'y vais. Celui de passer de « je dois » à « j'ai envie » . Le courage de ne plus chercher à rentrer dans les cases. De préférer finalement la vérité au confort. Et parfois, de traverser un désert pour se reconnecter à soi, à l'essentiel. Alors voilà, on arrive déjà à la fin de cet épisode. Et avant de se quitter... Je te laisse avec une seule question, pas pour ton mental, mais pour ton cœur, pour ton corps. Est-ce que je suis en train de devenir qui suis-je vraiment ? Et si ce n'est pas tout à fait le cas, eh bien, quelle serait la toute première chose que je pourrais faire aujourd'hui juste pour me rapprocher un peu de moi ? Je n'ai pas la réponse à ça, mais je t'invite sincèrement et profondément à y réfléchir. Parce que ici commence le début du changement. Merci à toi d'avoir écouté cet épisode. Dans le prochain épisode, on va aller explorer ensemble cette phrase que j'entends systématiquement en rendez-vous. C'est « je sais » . Je sais plein de choses, je sais tout ça. Et pourtant, je suis bloquée et je n'y arrive pas. Oui, on va parler de cette impression d'être bloquée. même si on a absolument toutes les clés et qu'on a toutes les réponses. Et tu vas voir que ce blocage, parfois, il vient pas d'un manque de volonté et un manque de courage, mais d'un conflit entre le mental, ta tête, et l'émotionnel, ton cœur. Donc je te dis à la semaine prochaine pour aller creuser sur cet épisode. C'est non sans émotion que je termine ce retour. En tout cas, si ce podcast te parle, s'il t'apaise, s'il t'aide à avoir plus clair, eh bien, tu peux lui offrir un petit cœur, un petit mot doux, ou à le partager avec quelqu'un de ton entourage que tu aimes, que tu penses qu'il y a besoin d'écouter. C'est peut-être un détail, mais pour moi, c'est vraiment, vraiment précieux. Et surtout, reviens quand tu veux. Tu peux scroller. Il y a plein, plein, plein d'épisodes. On était à l'épisode 87, alors t'imagines tout ce que t'as pris de retard. En tout cas, ce podcast est là pour toi. pour moi aussi, plus vrai que jamais. Et je te dis à la semaine prochaine pour un prochain épisode. Et d'ici là, en soin de toi.

Description

Dans cet épisode de reprise, je te parle à cœur ouvert.


Pourquoi j’ai mis le podcast en pause, ce que j’ai traversé, compris, et surtout… ce que j’ai choisi de transformer.


Tu verras que ce silence n’était pas un vide, mais un espace pour me retrouver, pour revenir à moi. Et peut-être que, toi aussi, tu ressens la même chose.


On parle ici de ce que ça veut dire être soi, au-delà des rôles, des attentes et des apparences.
Je t’invite à explorer la différence entre le “moi” qui s’adapte pour être aimée… et le “soi” qui existe, ressent, vibre.


Bonne écoute ! 🎶


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Je m'appelle Anais Valadon, maitre praticienne en hypnose et autrice experte en hypnothérapie.

J'accompagne ceux qui le souhaitent à décoder les maux de leurs corps et leurs émotions pour une libération profonde afin d'être enfin en paix avec leur passé et confiant pour le futur.


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  • Speaker #0

    Bienvenue dans Hypnomorphose, le podcast qui t'aide à comprendre et transformer ce que ton inconscient a à te dire. Je suis Anaïs Valadon, maître praticien en hypnose et je t'embarque chaque semaine pour explorer ton fonctionnement grâce à l'hypnose, la neuropsychologie, les neurosciences et pas que. Tu te demandes pourquoi certaines émotions ou réactions te bloquent sans raison apparente ? Eh bien ici, on va décortiquer tout ça ensemble et découvrir comment ton inconscient influence ton quotidien. que ce soit dans tes relations, tes habitudes ou même tes pensées. Mon but, t'aider à mieux fouiller dans ton inconscient avec des astuces simples, pratiques et toujours dans la bonne humeur. Alors si tu veux en finir avec le stress, l'anxiété ou juste mieux te comprendre, installe-toi confortablement. C'est parti pour l'épisode du jour. Bonjour et bienvenue dans ce nouvel épisode d'Hypnomorphose. Alors peut-être que c'est la première fois que tu m'écoutes. Ou peut-être que tu fais partie de celles et ceux qui attendaient en silence le retour de ce podcast, parce que ça fait bientôt plus de deux mois que je n'ai pas posté un épisode. En tout cas, dans les deux cas, merci, merci d'être là maintenant à m'écouter. Et si tu es tombé sur cet épisode aujourd'hui, eh bien, laisse-moi te dire que c'est peut-être sûrement pas un hasard. Il y a peut-être une part de toi qui appelle, toi aussi, doucement à un changement. Il y a peut-être un besoin de souffler, de comprendre ou simplement de t'écouter. Alors, je t'invite à t'installer confortablement, à fermer les yeux si tu as envie de respirer parce que s'il n'y a strictement rien à prouver, rien à réussir, pardon, ni à échouer, au contraire, c'est juste un moment pour toi, un moment pour ralentir et te reconnecter à l'essentiel. Alors, comme tu l'as vu, j'ai mis le podcast en pause. Non pas parce que je n'avais plus rien à dire, mais tout simplement parce que j'ai traversé une phase où j'avais besoin de silence. Et pas un silence juste j'éteins la radio, un vrai silence. Tu vois, ce silence qui permet d'écouter ce qui se passe, non pas à l'extérieur de toi, mais à l'intérieur. J'avais pas envie d'écouter ce que je pensais, ni ce que je croyais, mais juste ce que je ressentais. Parce que le savoir, le fait de penser, le fait de croire, c'est dans la tête, mais ce qu'on ressent, en fait, c'est dans le cœur. Et autour de moi, là, pendant ces deux derniers mois, et puis pour être très honnête, ça fait huit mois que ça dure, ma voix, ma petite voix intérieure, en fait, elle devient un peu confuse. Et c'est comme s'il y avait vraiment trop de bruit autour de moi. Trop de « il faut que tu fasses ça » , trop de « allez, fais plus, ça va aller » , trop d'attente vis-à-vis des autres, vis-à-vis de moi. Et dans tout ça, en fait, j'ai perdu ce lien avec non pas ce que je faisais, mais qui j'étais. Donc, j'ai décidé d'arrêter. Ça a été très très dur au départ parce que j'ai beaucoup culpabilisé. Et je me suis aperçue que, tu vois, au bout de deux mois, en fait, c'est dans ce silence que j'ai appris. Parce que j'ai remarqué quelque chose. qu'il y a des pauses qui ne sont pas nécessairement une fuite, mais c'est vraiment un acte d'amour. Un acte d'amour que j'avais besoin envers moi-même de me lâcher un petit peu la grave sur ce que j'avais envie de vous dire, sur comment j'allais vous le dire, tant au niveau du côté pro, mais surtout, surtout du côté perso. Je vis des vagues personnelles intenses que je ne vais pas forcément parler ici, mais en tout cas, ça a pas mal remué, pas mal. bouger et aujourd'hui même si je me sens pas à 100% bien en tout cas avec ce que je suis en train de vivre et bah j'ai envie de transmettre à nouveau j'ai besoin de ressentir ces projets j'ai besoin d'avoir un but j'ai besoin de ressentir la vie en moi et peut-être que tu sais mais il ya maintenant sept ans sept huit ans j'ai vécu une maladie qui a fait que J'ai pris un sacré coup et je me suis dit en fait là maintenant j'ai envie de vivre, j'ai pas envie de m'éteindre à petit feu. Et malheureusement, parfois on tombe un peu dans nos vieux travers et j'avais besoin de ce petit rappel de la vie pour me remettre en selle, comme j'avais envie de dire. Donc je voulais, avant de parler, parce que tu as vu le titre de ce podcast, d'être soi malgré tout. Je voulais te partager ce que j'ai compris pendant cette pause. Parce que pendant ce recul, j'ai compris une chose essentielle, c'est je ne veux plus me forcer. Je ne veux plus me pousser à parler, à vous parler, à parler à mon entourage quand c'est faux. Je ne veux plus dire ça va, ouais, alors que ça ne va pas. Je veux plus créer du contenu pour créer du contenu. Je veux avoir du sens dans ce que je fais, du vrai, du vivant. Tu vas voir, ça va beaucoup revenir. Et en fait, j'ai réalisé à quel point, alors j'allais dire nous les femmes, mais aussi les hommes, on porte des choses qu'on appelle invisibles. Tu vois, des responsabilités qu'on prend sur le dos, des blessures qu'on cicatrise pas, des attentes que l'on a. la vie des autres parce qu'on a un enfant, une petite fille, un petit garçon à l'intérieur de nous qui est complètement baissé. Et du coup, ça, ça crée quelque chose d'invisible et on ne sait pas pourquoi on ne va pas bien. Et tu vois, je pense aussi à toutes ces phrases qu'on n'a jamais dites, qu'on a gardées à l'intérieur de nous. Ou même des émotions, quelque chose qui nous a blessés, qui nous a rendus tristes et qu'on n'a rien dit. Et en fait, on avance avec ce poids sur le cœur et moi, j'ai cette impression, du coup, j'avais l'impression de ne jamais être assez. Pas assez forte. Pas assez calme, pas assez belle, pas assez bonne mère, pas assez bonne épouse, pas assez spirituelle. Ou alors, j'étais carrément dans le trop. Trop sensible, trop émotive, trop empathique, trop fatiguée, trop feignante. Et en fait, quand on prend juste le temps de s'arrêter, quand on prend le temps vraiment de s'écouter, eh bien en fait, on découvre qu'en dessous de tout ça, il y a quelque chose de beaucoup plus doux. et tenace, quelque chose qui fait qu'à l'intérieur, on a envie de s'accrocher. Et il y a quelque chose, moi, qui m'a dit, je veux absolument comprendre ce qui se passe en moi. Je veux me libérer, je veux respirer, je veux devenir moi, même si je n'ai pas encore la définition exacte de ce que ça veut dire. Et puis, en réfléchissant à ça, je me dis, mais en fait, je ne veux pas redevenir moi. Je veux juste être. Et c'est pour ça que je reviens. Et je tiens aussi à remercier, dans ce podcast, Marine. Marine, je ne sais pas si vous la suivez sur les réseaux, c'est Marine Gabi. Elle est kinésiologue, en plus d'être créatrice de contenu. Et j'ai fait une séance avec elle il y a quelques semaines. Et pendant qu'elle me faisait la séance, j'avais cette impression d'étouffer au niveau du thorax. Et je lui dis, oh là là, quand tu as posé ta main là, j'avais l'impression d'être d'étouffer. Et là, elle me dit, écoute, j'ai tout fait. J'ai tout fait, j'ai tout fait, j'ai tout fait. Voilà. Et ça, ça s'est ancré en moi. J'ai tout fait. En fait, je me suis aperçue que j'étais dans un mode de faire plutôt que d'être. Et c'est dans cette attention simple et forte que je veux revenir sur ce podcast-là. Pour faire de ce podcast un espace finalement de retour à soi. Un refuge, un lieu d'apaisement, un lieu de transformation intérieure. sans injonction de la société, sans performance. Juste toi et moi, où je te partage mes réflexions, où si tu es intéressé, tu pourras venir me le dire sur les réseaux, sur Instagram notamment, pour me dire que tu seras intéressé pour discuter avec moi lors d'un épisode, pour partager ton histoire et pour avoir les déclics nécessaires. Alors oui, tu l'as compris, hypnomorphose, ça va changer un peu. Les épisodes vont être beaucoup plus larges, beaucoup plus libres, parfois plus courts, parfois plus longs, mais toujours avec cette envie de transmettre pour te faire du bien. Je te l'ai dit, je vais partager mes réflexions, mes propres histoires, tes histoires, mais aussi des métaphores. Et puis, bien évidemment, je ne sais pas encore à quel rythme, je te ferai une séance d'hypnose que tu pourras écouter ici, comme j'ai eu l'habitude de faire d'ailleurs il y a encore quelques mois maintenant, j'allais dire quelques semaines. Je t'ai partagé une séance pour t'aider à t'endormir. Et parfois, je te partage juste une question, tu vois, qui pourrait faire écho à ton propre vécu, à ta propre histoire, pour te permettre en fait d'ouvrir le champ des possibles. Ça va te permettre de te rencontrer autrement, non pas pour te retrouver, mais juste simplement pour être. Et justement, pour ce premier épisode après cette pause, je veux te parler d'un sujet qui traverse à peu près tous les âges, toutes les générations, tous les hommes et les femmes que j'accompagne. Un thème simple, mais qui est pour moi ultra profond, ce fameux être-soi. Pas devenir une meilleure version soi. Pas atteindre son potentiel maximum, parce que je l'ai déjà dit moi, dans mes podcasts et sur les réseaux, mais juste être. Être toi. Sans filtre, sans masque, sans combinaisons trop serrées, même si c'est inconfortable, et même si ça dérange. Alors tu sais, c'est cette question qui dit qui suis-je vraiment ? Parce que cette question, en réalité, elle est là depuis toujours. Déjà dans la Grèce antique, on écrivait sur les murs du temple de Delphes, pardon, connais-toi toi-même. Alors je ne sais pas si tu me suivais à cette époque-là, mais moi j'ai fait un voyage en tour d'Europe en camping-car et je suis allée à Delphes. Et c'est qu'aujourd'hui que je me rends compte à quel point, quand j'étais là-bas... J'ai eu cette réflexion de « connais-toi toi-même » . Et aujourd'hui, je comprends qu'en fait, ce n'était pas une invitation à être parfaite, c'était juste un appel à se regarder en face, à enlever les couches, les rôles, les « je dois » . Mais aujourd'hui, avec la société, je t'avoue que c'est compliqué. Parce qu'on vit dans une société où ce qu'on montre compte souvent plus que ce qu'on vit réellement. Tu vois, il faut, le fameux il faut, il faut être belle, mais naturelle. Il faut être ambitieuse, mais calme et pas faire trop de bruit. Pas se faire remarquer. Il faut être forte, mais il faut être douce à la fois. Il faut être disponible, mais surtout indépendante. Alors en fait, ça, on devient des versions complètement acceptables de nous-mêmes. Et on fait bonne figure. Et notre système nerveux, qu'est-ce qu'il va faire ? Il vient s'adapter. Mais à quel prix ? Parce qu'en fait, à force de se plier, qu'est-ce qui se passe ? On se perd. Et le corps, lui, il va finir par parler. Il va nous donner de la fatigue, des insomnies, de l'anxiété profonde, des douleurs inexpliquées. Parce qu'en vérité, ton corps, dans ces moments-là, il ne te crie pas « je suis malade » . Il te dit juste « je me suis oublié » . Et ça, quand tu comprends ça, moi je me suis pris une sacrée claque. Il y a une psychologue qui s'appelle Inès Weber qui explique qu'il faut différencier le moi du soi. Le moi, c'est la partie de nous qui veut être aimée, qui va s'adapter pour être acceptée. C'est celle qui va dire, sois gentille, sois forte, ne fais pas de vagues. Alors qu'en face... Le soi, c'est la partie profonde. Tu sais, c'est cette partie qu'on va sentir dans le ventre, dans les tripes. Celle qui ne va pas chercher à plaire, mais à exister pleinement. Le problème, c'est qu'on a souvent appris à ignorer cette partie-là. Parce qu'elle était trop, trop vivante, trop intense, trop vraie. Et donc, on nous a obligés finalement à la mettre de côté. Et un jour... On se réveille un matin, et vous allez peut-être me dire si je me trompe, mais à l'aube des 40 ans, on ne sait plus qui on est. Alors moi, j'aimerais te poser cette question. Si tu n'étais pas ce que tu crois être, et si tu n'étais ni trop, ni pas assez, mais juste en train de résister à ta vraie nature, qu'est-ce que tu te dirais ? Je te l'ai dit, notre corps, c'est notre premier messager. il sait avant nous. Tu sais, cette boule qu'on a dans la gorge quand on n'ose pas dire ce qu'on ressent. Ou cette fatigue alors que tu dors pas bien. Ou même, tu sais, cette tension dans le ventre le dimanche soir. Eh bien ça, c'est notre corps qui nous parle. Et le corps, lui, ne ment pas. Il dit juste, t'es plus aligné. Tu t'égares, tu prends un mauvais chemin. Et parfois, il va hurler en disant « mais putain, mais écoute-toi là ! » Et souvent, c'est pas un grand bouleversement qui va tout changer. C'est juste un petit moment de clarté qui va dire « non, là en fait, je ne peux plus vivre à côté de moi, c'est pas possible ! » Et ça, c'est hyper dur de s'en rendre compte. Mais quand tu t'en rends compte, tout est en train de se mettre en place. Et c'est exactement ce que je vis. Je me rends compte de certaines choses. Et je crois que je suis en train de m'apercevoir qu'il y a des choses que je ne veux plus. Claude Romano, c'est un philosophe. Il dit que notre unicité ne peut pas se comparer. Que chacune de nous, chacun de nous, est une réponse vivante, irremplaçable. Être soi, c'est dire oui à soi, sans condition. Pas pour se croire au-dessus. mais pour se retrouver à sa juste place. Et ça, ça demande du courage. Celui de dire, je ne sais pas encore, mais j'y vais. Celui de passer de « je dois » à « j'ai envie » . Le courage de ne plus chercher à rentrer dans les cases. De préférer finalement la vérité au confort. Et parfois, de traverser un désert pour se reconnecter à soi, à l'essentiel. Alors voilà, on arrive déjà à la fin de cet épisode. Et avant de se quitter... Je te laisse avec une seule question, pas pour ton mental, mais pour ton cœur, pour ton corps. Est-ce que je suis en train de devenir qui suis-je vraiment ? Et si ce n'est pas tout à fait le cas, eh bien, quelle serait la toute première chose que je pourrais faire aujourd'hui juste pour me rapprocher un peu de moi ? Je n'ai pas la réponse à ça, mais je t'invite sincèrement et profondément à y réfléchir. Parce que ici commence le début du changement. Merci à toi d'avoir écouté cet épisode. Dans le prochain épisode, on va aller explorer ensemble cette phrase que j'entends systématiquement en rendez-vous. C'est « je sais » . Je sais plein de choses, je sais tout ça. Et pourtant, je suis bloquée et je n'y arrive pas. Oui, on va parler de cette impression d'être bloquée. même si on a absolument toutes les clés et qu'on a toutes les réponses. Et tu vas voir que ce blocage, parfois, il vient pas d'un manque de volonté et un manque de courage, mais d'un conflit entre le mental, ta tête, et l'émotionnel, ton cœur. Donc je te dis à la semaine prochaine pour aller creuser sur cet épisode. C'est non sans émotion que je termine ce retour. En tout cas, si ce podcast te parle, s'il t'apaise, s'il t'aide à avoir plus clair, eh bien, tu peux lui offrir un petit cœur, un petit mot doux, ou à le partager avec quelqu'un de ton entourage que tu aimes, que tu penses qu'il y a besoin d'écouter. C'est peut-être un détail, mais pour moi, c'est vraiment, vraiment précieux. Et surtout, reviens quand tu veux. Tu peux scroller. Il y a plein, plein, plein d'épisodes. On était à l'épisode 87, alors t'imagines tout ce que t'as pris de retard. En tout cas, ce podcast est là pour toi. pour moi aussi, plus vrai que jamais. Et je te dis à la semaine prochaine pour un prochain épisode. Et d'ici là, en soin de toi.

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