Speaker #0Bonjour et bienvenue dans le podcast Hypnose & Compagnie. Est-ce que vous savez où vous en êtes aujourd'hui dans vos projets pro et où vous aimeriez en être dans un an ? C'est assez compliqué pour certaines personnes de se projeter, surtout à un an. C'est un peu mon cas. Généralement, je ne sais pas ce que je vais faire à trois mois. Donc c'est pour ça que j'ai décidé cette année de faire plus simple. Pas de grands objectifs hyper engageants et qui sont la plupart du temps inatteignables. Pas de grands objectifs de résultats. Mais on a pris le temps de se poser et d'évaluer où est-ce qu'on en était et ce qu'on voulait atteindre au niveau professionnel. On connaît tous cette phrase, il n'y a de vent favorable qu'à celui qui sait où il va. Donc dans ce podcast, je vais vous proposer de commencer à esquisser une direction, notamment pour ceux et celles qui auraient du mal à projeter sur une année et à organiser leur année. Donc en première étape, j'ai repris un outil qu'on utilise pas mal en coaching pour faire le point et qui englobe les différentes parties de nos vies, et je l'ai mis à la sauce pro. Donc cet outil, c'est la roue des domaines de vie. Je vous la mets dans la fiche ressources qui est associée au podcast que vous pouvez trouver dans la description. Et pour ceux ou celles qui n'auraient pas l'image devant les yeux, imaginez un cercle divisé en plusieurs sections. Et chaque une des sections va représenter un domaine clé de votre vie pro. Normalement, on le fait pour la vie en général. Il y a la famille, la santé, le fun, on peut mettre les domaines qu'on veut. Et là, pour la vie pro, pareil, vous pouvez mettre les domaines que vous voulez, ceux que vous voulez évaluer en tout cas. Moi, j'ai mis dans la roue quelques exemples. J'ai mis par exemple nos compétences techniques, la maîtrise des outils. Quand je parle des outils, c'est des outils très techniques, ça va être l'hypnose, le FT, le MDR, vraiment des outils. J'ai mis un truc que moi j'appelle les compétences transverses, qui ne sont pas spécifiques à un outil, mais que tout accompagnement pour moi demande, ça va être les notions de cadre, des notions de psycho, de transfert contre transfert, de résistance, tout ce qui englobe la psycho finalement dans l'accompagnement. Vous pouvez aussi avoir comme domaine le développement d'activités, qu'on pourrait subdiviser en deux sous-domaines, les stratégies marketing et la communication. Est-ce que vous connaissez votre stratégie marketing ? Est-ce que vous vous y tenez ? Est-ce qu'elle marche ? Est-ce qu'elle a des résultats ? Et la communication, c'est comment vous communiquez ? Est-ce que vous allez dehors parler de vous ? Est-ce que vous faites des séances publiques ? Est-ce que vous faites des posts Facebook ? Toutes ces stratégies de communication. Vous avez comme domaine possible l'équilibre pro et perso. Comment vous arrivez à gérer votre... temps, votre énergie entre le travail et la vie personnelle. Personnellement, il n'y a plus plus de... On va dire que c'est un des gros problèmes, c'est qu'il y a une difficulté à diviser. Et puis en plus, là, on va de plus en plus travailler ensemble avec François, puisqu'il me rejoint sur le podcast pour faire des épisodes bien à lui. Il écrit aussi des newsletters. Donc, l'équilibre pro-perso, en tout cas dans notre vie de couple, on a un peu de taf à faire, peut-être. Vos revenus, est-ce que vos gains actuels... vous satisfont ? Vous satisfont, c'est bien ça. Est-ce que vous gagnez assez, en somme ? Où est-ce que vous êtes pas du tout content de ce que vous gagnez ? On pourrait aussi mettre comme domaine de vie le fun. Est-ce que vous vous amusez ? Où est-ce que vous vous ennuyez ? L'environnement de travail ? Est-ce que vous travaillez dans un endroit qui vous plaît, qui est à votre image ? Est-ce que vous avez une satisfaction globale ? Le développement personnel ? Votre apprentissage continu ? Est-ce que vous vous trouvez goût de nez ? un meilleur humain, enfin voilà. Vous pouvez mettre un peu ce que vous voulez dans cette roue. Vous pourrez mettre 8 domaines, 6 domaines, 10 domaines, c'est vraiment à vous de voir. Le but du jeu, ça va être d'évaluer de 1 à 10 à combien vous êtes satisfaites sur ce domaine. On pourrait faire différentes roues, c'est-à-dire qu'on pourrait mettre en effet la satisfaction, est-ce que ça atteint les objectifs que je voulais que ça atteigne, ou on pourrait mettre par exemple une roue sur l'argent que je dépense dans ce domaine. Est-ce que, par exemple, dans compétences techniques, je dépense beaucoup d'argent, tandis que dans stratégie basique, dans développement d'activité, j'en dépense très peu ? Ou dans développement sphère-sénial, j'en dépense beaucoup, mais je n'en dépense pas beaucoup dans mon environnement de travail. Donc ça, on pourrait le mettre sur l'argent dépensé, on pourrait mettre aussi une roue sur l'énergie que je mets dans les différents domaines. C'est assez intéressant pour se rendre compte des moyens qu'on met en œuvre. Par exemple, pendant longtemps, j'ai eu une roue avec une colonne outils à 10 sur 10 en termes de dépenses de temps, d'énergie et d'argent, alors que mon domaine marketing était à 2. C'est l'exemple que je donne. Souvent, on a tendance, quand on débute, à être à fond sur les outils, la technique. Et là, dans le groupe de débutants, j'ai encore mis un petit sondage sur un peu les objectifs 2025 de chacun. Et ce qui ressort, il y en a deux grands thèmes qui ressortent, ça va être développer un outil. Donc apprendre un nouvel outil ou l'apprendre mieux. Et souvent l'argent qu'on passe en formation, ça va être pour développer un outil. Donc à vous de voir quels domaines vous semblent les plus équilibrés et quels domaines vont nécessiter votre attention. Une fois que vous avez fait ça, vous allez pouvoir identifier les axes d'amélioration et les axes qui sont vos forces. Donc quels domaines sont vos points forts, comment vous pouvez les maintenir ou les renforcer, ou peut-être que vous n'avez même plus à faire attention et que c'est bon, c'est automatisé, c'est devenu des habitudes et tout va bien. Et puis quels domaines nécessitent le plus d'attention et pourquoi. Pour moi, ça ne sert à rien de se focaliser sur plus de deux domaines. Alors c'est très personnel pour le coup, à vous de voir ce que vous êtes capable d'encaisser comme charge d'activité, charge mentale, etc. Moi, j'ai du mal. Un, c'est vraiment bien de pouvoir se focaliser sur un seul. Deux, ça commence à être touchy à trois domaines. Si j'essaye de développer trois domaines en même temps, je n'y arrive pas. Donc, le but, ce n'est pas de se surbooker de travail et de se mettre des objectifs qui sont complètement inatteignables et qui vont vous mettre... Vous allez arriver en décembre et vous allez être peuneau face à votre liste d'objectifs en vous disant que vous êtes vraiment naze et que vous n'avez pas réussi à faire ce que vous voulez. Avec un seul domaine, c'est plus facile parce que courir un seul lièvre à la fois, c'est plus... Donc je vous laisse choisir un à trois domaines auxquels vous allez pouvoir vous concentrer cette année. Et ensuite, on passe sur une espèce de rétro-planning. Donc une fois que vous avez choisi vos domaines, partons sur un seul. Imaginons par exemple qu'on va prendre les revenus. Une fois que vous avez cet objectif, ce domaine, vous allez justement mettre un objectif. Donc ici, je vais enfoncer des portes ouvertes parce que dans toutes les formations, ou presque, il y a la mise en place d'objectifs. que certains adorent, qui sont énormément décriés par d'autres. Personnellement, je crois que ça va dépendre de ce qu'on en fait, des objectifs, et de comment on les met. Les objectifs de résultats sont toujours assez complexes à atteindre puisqu'on n'a pas forcément les étapes pour y arriver. Personnellement, je préfère les objectifs d'action et d'étape, c'est pour ça que je vais proposer une sorte de rétro-planning, mais j'ai mon côté, j'allais commencer par la PNL et le coaching. et j'ai jamais réussi à me défaire totalement des objectifs. J'aime ça, je trouve que quand en séance, on n'a pas d'objectif, on rame, qu'on ne sait pas trop par quel bout prendre la séance. Encore, il n'y a pas longtemps, je discutais avec une amie d'un de ses suivis, et quand je lui dis, mais elle veut quoi cette personne ? Et que je ne sais pas, ok, mais du coup, par où ? Enfin, voilà, il me manque un fil rouge à la séance. C'est ma façon de bosser, donc moi, j'aime bien avoir des objectifs, même si ce n'est pas des objectifs hyper... aussi précis que ce qu'on faisait en PNL avec les X critères. J'aime quand même bien ces idées-là. Donc là, vous allez mettre un objectif sur votre domaine de vie que vous avez choisi. Vous avez plein de méthodes, je vous laisse mixer, je vous laisse aussi aller les chercher si vous ne les connaissez pas. La méthode SMART, celle-là, tout le monde la connaît. La méthode BMW que j'avais beaucoup aimée, qu'on m'avait apprise dans l'accompagnement de Romain Collignon. Donc BMW, moi j'aime bien. Il y a le SWOT, il y a le GROW, tout le monde a trouvé son acronyme pour te faire une petite liste d'objectifs. Vous choisissez celle que vous aimez le mieux. Moi, personnellement, je mixe le côté spécifique et mesurable du SMART avec le BMW. Donc le BMW, c'est B pour bien, M pour mieux, W pour waouh. Ce qui permet de mettre des différents objectifs pour le même. Je m'explique. Par exemple, moi, un de mes objectifs, ça va être de sortir plus d'épisodes de podcast dans l'année, d'être plus... Comment dire ? Je me sens qu'il y a des moments où je suis à fond, et je suis hyper motivée, et il y a d'autres moments où je lâche complètement. Le côté très positif de tout ça, c'est que ça fait quand même... Ça va faire 4 ans ou 3 ans cette année ? Je ne sais plus. Bon, ça fait ou 3 ans ou 4 ans en avril que ça tient. Et ça, c'est super, parce qu'il y a très peu de podcasts qui passent. Je crois que c'est les 10 épisodes. Il y a très peu de gens qui passent ça. Donc non, je crois qu'on en est à 80. Vous voyez comme je suis très très bien mes KPI. Je suis... très au courant de ce que je fais. Mais ça, c'est un côté très cool, c'est que je n'ai pas lâché. Et le côté plus difficile, c'est que j'ai beaucoup de mal à enregistrer des podcasts perso depuis le début. Ça ne s'est pas amélioré, clairement. Même pour faire celui-ci au début, je crois que j'ai recommencé trois fois en disant Mais pourquoi je m'inflige ça ? C'est pas grave, on continue. Cette année, on avait l'objectif d'en sortir de façon plus régulière. Et donc dans le BMW, ça c'est mesurable très facilement, c'est spécifique. Et je l'ai spécifié avec le même don de volée. Donc le bien, ça va être de sortir un podcast par mois. Le mieux, c'est deux par mois. Et le waouh, c'est un par semaine. Vraiment, l'objectif final, j'aimerais arriver à sortir un podcast par semaine. Pour plein de choses, parce que déjà, on a plein de choses à dire. Adieu. Parce qu'en termes de marketing, c'est une super stratégie marketing. Que ça permet de faire des articles qui sont associés. Ça permet aussi, quand on en sort une fois par semaine, ça je le dis pour celles qui voudraient faire des podcasts. en vrai ça n'a pas grand intérêt dans Spotify, mais de remonter plus facilement dans les podcasts, l'Apple Podcast ou Spotify, dans les recommandations. Quand il te voit une fois par semaine, il t'aime mieux, évidemment, plus t'en fais, plus il est content. Voilà comment j'utilise le Smart et le BMW. Donc une fois que vous avez posé un objectif à un an, donc là l'idée c'est vraiment de le poser à un an. Moi, mon objectif waouh à un an, c'est d'avoir tenu un podcast par semaine. Une fois que cet objectif est posé à un an, je le décompose en une espèce de rétro-planning, c'est-à-dire en étapes. Il y avait un protocole que j'aimais bien, je ne me rappelle plus du tout comment il s'appelle, mais qui était en effet de se projeter sur la ligne de temps et ensuite de visualiser les paliers qui nous avaient amenés à notre objectif. Par exemple, si j'avais... Perdu 30 kilos dans un an, c'est négatif comme objectif, oui je sais. Eh bien, par quelles étapes j'étais passée pour arriver à avoir perdu ces 30 kilos ? Et là, dans les étapes, c'est vraiment des choses concrètes. C'est-à-dire qu'on arrête des objectifs, par exemple gagner 30 000 euros de revenus, c'est hyper vague, parce qu'on peut le gagner de plein de manières différentes ces 30 000 euros. Et là, on veut des objectifs très concrets et réels. Là, c'est le côté coaching à fond qui parle, c'est que des choses qui soient smart à fond, évaluables et qui soient des comportements. On a un objectif final à un an. Je reprends sur les revenus, j'ai atteint 30 000 euros de revenus. Et là, on identifie ce qu'on doit accomplir. D'abord, dans les 9 mois, les 9 mois sont passés, qu'est-ce que j'ai fait pour être arrivé à 30 000 en décembre ? Peut-être qu'à 9 mois... il aurait fallu que tu atteignes un certain nombre de séances mensuelles régulières. Je ne sais pas combien, je ne connais pas ton prix de séance. Ou il faudrait que tu aies une clientèle fidèle, ou peut-être que tu aurais dû développer de la séance et des ateliers, mixer les deux. Une fois que tu as ce neuf mois, pour arriver à faire ce nombre de séances, le nombre de séances c'est un peu touchy en objectif pour moi, parce que ce n'est pas un truc qui dépend que de soi. Je préfère avoir mixé séance et atelier comme objectif. A vous de voir ce que vous aimez faire. Une fois que vous êtes à 9 mois, pour arriver à 9 mois, qu'est-ce qu'il vous aurait fallu faire de 6 à 9 mois pour atteindre cet objectif ? Vous décomposez pour 6 mois. Qu'est-ce qui a dû être mis en place pour atteindre votre objectif à 9 mois ? Peut-être que c'est une stratégie marketing particulière qui fonctionne pour vous. Peut-être que vous avez des peurs que vous auriez dû dépasser. Je ne sais pas. Peut-être qu'il aurait fallu poster tous les jours sur les réseaux. Peut-être qu'il aurait fallu poster toutes les semaines. Peut-être qu'il aurait fallu aller voir les commerçants. Des objectifs très concrets. Et puis, une fois que vous avez votre objectif à six mois, vous décomposez encore pour les trois mois. Donc, pour arriver à cet objectif de six mois, par exemple, être allé voir les commerçants de ma ville une fois par semaine, eh bien, pour ça, qu'est-ce que je dois faire dans mes trois mois ? Quels sont mes premiers pas qui doivent être faits dès maintenant ? Donc là, ça va être peut-être se former, s'informer sur les stratégies marketing, ça va peut-être faire la liste de tous les commerçants qui existent, ça va peut-être m'inscrire dans l'asso de commerçants de mon quartier, voire des quartiers alentours si je peux. Ça va être peut-être rentrer dans un BNI, enfin voilà, il y a plein de choses possibles, mais pour arriver à 6 mois, qu'est-ce que vous devez faire dans les 3 premiers mois ? Pour arriver à 9 mois, qu'est-ce que vous devez faire de 6 à 9, etc. Et que ça arrive de 9 à 12 pour arriver à 12 ans. J'espère que j'ai été claire, je me sens... absolument pas clair. En gros, c'est un rétro-planning. Ce rétro-planning, c'est à vous de le diviser selon vos besoins. Moi, j'ai mis 3, 6, 9. Mais peut-être que vous aurez besoin de plus d'étapes, une fois par mois, une fois ou 2, 4, 6, 8. C'est vous qui voyez. Encore une fois, je vous donne un outil. À vous de l'adapter. Quand on vous donne des idées, des outils, quand on vous répond à des questions, il faut faire ça exactement comme ça. On vous donne une idée. Trouvez le moyen de l'adapter à vous. Et à comment... Vous aimez faire les choses et comment vous êtes capable de les faire. Moi, 3, 6, 9, j'aime bien parce que ça me laisse le temps de faire les choses. Si je le mets à un mois, un mois, un mois, le mois passe trop vite, ça me stresse. Donc, je fais des évaluations à 3, à 3 mois, qu'est-ce qui a marché. J'aime prendre le temps de faire les choses. Et j'ai le temps de prendre le temps de faire les choses. L'idée, ça va être de rester flexible aussi. Votre rétro-planning, c'est un guide, ce n'est pas une prison. Donc, il doit s'adapter à votre réalité et évoluer en fonction... des imprévus qui vont se passer parce que la vie ne va pas s'arrêter. Donc il va y avoir des imprévus, il va y avoir des maladies, il va y avoir des problématiques qui vont arriver, il va y avoir un enfant insupportable qui va vous empêcher de bosser, je ne sais pas. Mais il va se passer des choses dans votre vie, donc quand vous réadaptez, vous réadaptez et ce n'est pas grave, et c'est normal même. Donc une fois que vous avez une ligne de conduite à peu près, que vous savez ce que vous allez faire à 3 mois, 6 mois, 9 mois, 1 an, vous allez peut-être avoir besoin de ressources. Et là, gros coup de chance pour nous, on est dans une époque où Internet existe, les IA existent, et tout peut s'apprendre en ligne, ou presque. Donc, je vous ai mis quelques exemples. Les ressources gratuites, tous les groupes de soutien entre pairs. qu'on utilise souvent pour le développement de compétences. On va s'entraîner à faire des inductions, à faire des approfondissements, à faire des trans, à questionner, etc. C'est top. Mais on oublie qu'il peut aussi servir pour le développement de notre boîte. Donc on peut se faire un groupe de développement d'activités, avec des potes, et on va fixer des objectifs et s'aider les uns les autres. Moi j'aime bien l'idée, je trouve ça très cool, parce qu'en plus on peut parler de nos galères au même moment. Le problème des fois de ces groupes, ça va être que comme on est à peu près tous au même niveau, et ben... c'est difficile de voir la marge du dessus. Quand on est dans des groupes avec des gens qui ont passé ces étapes-là, c'est motivant et on a des idées qu'on n'aurait peut-être pas eues. Mais ça, avec quelques recherches internet, des lectures, des marchés de marketing, aucun problème. Donc là, je vous parle de groupes qui peuvent être entre marketing, mais si vous voulez vous développer vos compétences, groupe de pair pour développer ses compétences, si vous voulez... quoi que vous vouliez faire. Pas d'idée là tout de suite, mais quoi que vous vouliez faire, vous pouvez créer des groupes de soutien entre pairs. Il y a plein de groupes Facebook qui existent. Le nôtre, en débutant, débuté dans l'accompagnement, vous pouvez carrément mettre un message et dire Mayday, moi j'ai envie de faire un groupe de pairs avec se voir une fois toutes les deux semaines et travailler sur ça. Qui est chaud. Et on vous prêtera un petit Ausha tout le monde pour essayer que le poste soit le plus vu possible. On ne le reprendra même pas, on vous donnera un Ausha tout le monde parce qu'on est dans la générosité en 2025. Alors, vous avez les groupes de soutien entre pairs, complètement gratuits. Les MOOC, énormément de MOOC sont gratuits. Donc là, ils sont top pour approfondir par exemple des notions en psycho ou en thérapie. Il y a des MOOC sur la théorie de l'attachement, il y avait un MOOC dont j'avais déjà parlé, pas dans le podcast mais en newsletter, sur le repérage et la gestion des risques suicidaires. Donc des MOOC, il suffit de chercher, il y a vraiment de quoi faire. Moi j'aime bien le site Coursera et FunMOOC. Les vidéos, des vidéos YouTube, il y en a des centaines. voire des milliers si vous parlez anglais. Et si vous ne parlez pas anglais, il y a les sous-titrages qui font souvent de la traduction automatique en français. Donc les vidéos, par exemple, là j'ai repris un peu psycho-quack. Les podcasts, les vidéos, il peut y en avoir sur la psy, mais il peut y en avoir sur le marketing. Là, des mecs de marketing, vous en avez en plus que des milliers. C'est la fiesta. C'est difficile des fois de faire un peu le tri, c'est le problème du gratuit, entre guillemets. En plus, c'est pas le problème. Mais dans le gratuit... et bien c'est à vous d'aller faire toutes les recherches et d'arriver à faire le tri dans tout ça. Parce qu'en fait on va entendre tout et son contraire. C'est-à-dire qu'il y a une vidéo qui va vous dire les cartes de visite c'est nul, jetez-les, et une autre qui va vous dire les cartes de visite c'est top, continuez. Donc à vous après d'arriver à faire le tri entre tout ça. Les podcasts, du genre Milite en psy, Catherine la psy, le nôtre, des podcasts marketing, des podcasts sur la SEO, des podcasts, vraiment il y a de quoi faire. Les articles, donc là les newsletters. gratuites, par exemple moi celle d'Amandine, le SEO semi-grain, que j'aime bien. Je vous ai mis aussi dans le petit doc associé à ça, un scriptorium. Le scriptorium, alors c'est en fait la base où j'enregistre depuis pas très longtemps. J'enregistre sur Notion les articles que j'ai à lire et que j'ai lu. Donc je vous l'ai mise à dispo, cette base d'articles. Vous verrez, c'est rangé par catégorie, il y a plus Pour le coup, il y a plus d'articles marketing que psychologiques. Les e-books gratuits que vous pouvez trouver sur les sites, Instagram, LinkedIn. LinkedIn, il y a des articles géniaux à lire. Il suffit de faire quelques recherches. Les groupes Facebook gratuits, les webinaires. Vraiment, en termes de gratuits, tout est disponible. En vrai. Il faut avoir le temps et l'énergie de se former avec ça, mais tout est disponible. Puis ensuite, vous avez les ressources payantes. Donc les masterminds, c'est exactement comme les groupes de soutien, sauf que là vous allez avoir des gens qui sont un peu plus avancés que vous dans leur boîte et qui peuvent venir devenir un peu des mentors. Les formations, les livres, les abonnements à des revues, le cerveau et psycho, la revue hypnose, les e-books payants, les newsletters payantes, les podcasts payants, tout ce qu'on a mis en gratuit, il y a aussi souvent des possibilités payantes pour les membres et qui auront plus d'infos, tout simplement. Donc les ressources, qu'elles soient gratuites ou payantes, elles vont être là pour vous accompagner à chaque étape de vos objectifs, les 3, 6, 9. L'essentiel, ça va être de trouver celles qui vous conviennent le mieux en fonction de vos besoins, de votre budget et de votre style d'apprentissage. Il y a des gens qui arrivent très bien à apprendre tout seuls, d'autres qui adorent les formations, parce qu'apprendre tout seul, c'est plus compliqué. Il y a des gens qui adorent apprendre avec des formations en ligne, comme nos clients et clientes, qui n'apprennent qu'avec des formations en ligne, asynchrone, donc des vidéos qu'ils peuvent voir quand ils veulent, revoir, etc., des exercices à faire en ligne et tout. Puis il y en a d'autres qui adorent venir en présentiel, se déplacer, voir le groupe. Chacun va avoir une manière d'apprendre différemment. Grosse note importante, pensez à faire le tri. Moi, quand je suis à fond dans un domaine que je dois développer, par exemple le podcast, je vais m'abonner à des choses en lien avec le podcast. Alors ça, c'est mon côté glouton, dirons-nous. Je vais m'abonner à beaucoup de choses et je vais écouter que ça pendant un temps. Tout le monde ne fonctionne pas comme ça. Mais par contre, je me désabonne de beaucoup de choses à côté pour ne pas être surchargée. Parce que c'est le risque de s'abonner à plein de trucs. Par exemple, c'est qu'au bout d'un moment, on ne les lit plus. Alors que ça reste hyper intéressant, il y a vraiment des newsletters qui sont... vraiment très bien foutu et qui donne du contenu de fou. Donc, voilà, pensez à vous désabonner. C'est pas... Ne faites pas une méchanceté à la personne que vous suivez, vous pourrez vous réabonner plus tard. Et faites le tri, un peu le ménage de printemps, pour regarder que ce qui est utile pour vous dans vos objectifs actuels. Une fois qu'on a fait tout ça, il va falloir prendre en compte le fait qu'on peut ne pas atteindre nos objectifs. Ça, c'est quelque chose qu'on oublie souvent. La réalité. fait, des fois, que nous n'atteignons pas nos objectifs, même souvent. Même avec toute la préparation, même avec les meilleures intentions du monde, il arrive parfois qu'on n'atteigne pas nos objectifs. Et c'est normal. Et l'idée, ça va être de ne pas se laisser exploser par cet échec et essayer d'en apprendre quelque chose. Je mets d'essayer partout parce que, ben oui, des fois, on se fait exploser par un échec. Des fois, on n'atteint pas notre objectif et c'est triste et ça fait mal. Et on peut l'expliquer par plein de choses qui sont contextuelles et pas liées qu'à nous. Ce n'est pas nous qui n'avons pas assez travaillé, qui ne sommes pas assez impliqués. Ça, c'est souvent l'explication du... Vous savez, dans les formations marketing, ça va être des explications qu'on va nous donner. Moi, en fait, on nous a donné, nous, des fois, dans des accompagnements où, si ça n'a pas marché, c'est que tu n'étais pas à fond. Ben non, en fait, moi, je peux être à fond. Peut-être qu'en effet, je n'ai pas fait les choses correctement, mais peut-être qu'en fait, cet accompagnement n'était pas si intéressant. Peut-être que... C'était de la merde. Même, peut-être que le contexte a fait que, c'est pas ma responsabilité individuelle tout le temps, en fait. Il existe autre chose autour de moi, une société, un contexte, une vie, une famille, qui font que, des fois, on n'atteint pas nos objectifs, et c'est normal. Donc, on va prendre le temps d'évaluer. Qu'est-ce qui s'est passé ? Est-ce que mon objectif, il était réaliste ? Ou est-ce que j'ai un peu sous-estimé les efforts nécessaires ? Ça, ça arrive très souvent quand on débute. On va se mettre des objectifs de tant de clients par mois. Sauf qu'on a sous-estimé tout ce que ça allait demander et le temps normal, incompressible, que ça demande d'avoir des clients. Et ça, ce temps incompressible, ça va être du temps qui ne nous appartient pas souvent. C'est le temps des clients, c'est-à-dire que souvent, quand ils ont une carte de visite, ils la voient, ils la regardent, pourquoi pas. Et puis ils ne sont pas encore dans le moment où ils sont assez dans la merde pour prendre rendez-vous. En tout cas, ils ne sont pas dans ce moment-là. de prendre rendez-vous, donc ils vont peut-être garder la carte de visite des fois deux mois, trois mois, six mois, et vous rappelez, ça m'est arrivé, ça fait un an que j'ai votre carte de visite. Ben oui, très bien. Donc ça, c'est des temps, c'est pas parce que vous démarchez maintenant que le résultat, il va se faire dans la minute. Donc on est obligé de le prendre en compte, ce temps. Donc est-ce que votre objectif, il était vraiment réaliste ? Et si vous vous rendez compte que le timing n'était pas adapté, ben voilà, c'est pas grave, c'est un peu chiant cette phrase, mais c'est un apprentissage. On va s'en servir pour les futurs objectifs et se mettre des temps peut-être dans notre BMW qui seront plus longs. C'est-à-dire que mon BMW, en deux mois, j'atteins ça en B et c'est bien. En trois mois, inverse. En six mois, c'est bien. En quatre mois, c'est mieux. Et en deux mois, c'est waouh. Mais ça ne demande pas la même charge de travail. Donc peut-être que vous avez été aussi submergé par d'autres priorités si vous avez manqué de temps. Donc est-ce qu'il y a des tâches que vous êtes obligés de tout faire ? Ou est-ce qu'il y a des choses qui peuvent être déléguées ? N'ayant rarement des esclaves en auto-entreprise ou des assistants gentils, eh bien, c'est des tâches qu'on va ou déléguer à des IA, et je vous invite vraiment à les utiliser, qui sont des super assistants, du type ChatGPT, ou on va les déléguer à la poubelle. C'est-à-dire que ces tâches n'étaient pas si importantes et elles vont tranquillement aller se ranger dans la poubelle. Est-ce que c'est une question de motivation, d'engagement ? Finalement, votre objectif, vous, vous n'êtes pas mis dedans, en fait. Vous avez procrastiné plein de trucs, OK. Ça nous arrive à tous. Regardez-moi avec mes podcasts individuels, comme c'est dur. Pourquoi je procrastine ? Qu'est-ce qui me fait peur ? Qu'est-ce qui est dérangeant pour moi ? Qu'est-ce que je n'ai pas envie de faire ? Est-ce que ça me manque de fun ? Tout ça, il faut se poser les questions, vérifier que c'est bien aligné avec nous, ce qu'on aime. Moi, j'ai souvent cette idée de fun dans le marketing, c'est faire des choses qui vous amusent, parce que sinon, c'est difficile de les tenir, mais ça, c'est très personnel pour moi. J'ai besoin d'amusement, et j'ai besoin que ça varie assez pour continuer à le faire. Donc à vous de voir, est-ce que ce n'était pas vraiment une priorité, est-ce que ça ne vous motivait pas tant que ça, est-ce que c'était trop dur de s'engager, ou est-ce que vous avez rencontré des imprévus ? parfois des événements extérieurs, des contraintes qui vous ont freiné, et là ça va être j'y pouvais rien en fait Donc la vie fait que. Ce qui nous permet ensuite d'adapter la stratégie, une fois que vous avez identifié là les raisons, vous allez pouvoir reformuler votre objectif, s'il était trop ambitieux, le diviser en sous-objectifs, plus accessible, changer d'approche, peut-être que ce n'était pas la bonne méthode, peut-être qu'il y a autre chose à faire pour vous, peut-être qu'il y a... d'autres façons d'apprendre pour vous. Allongez les délais s'il y a besoin. Et cherchez du soutien. Le soutien, c'est important. On est tout seul, souvent, devant nos téléphones, devant nos écrans, devant nos clients. Et on a tendance, notre entreprise, à pouvoir se sentir très très seule. Donc n'hésitez pas à aller chercher du soutien, à demander de l'aide, à poser des questions. Souvent, moi, je vois, je m'étais pendant un temps, le mercredi, le jour du coup de main, dans le groupe Facebook. Il y avait rarement des questions. Pourtant, le poste était juste, c'était pas tant le problème, mais il n'y avait pas souvent de questions. Il y a des fois, même pas des fois, souvent, avant chaque challenge qu'on fait de 3 à 5 jours, sur le tabac, sur le deuil, sur la négociation de parties, on envoie un questionnaire et on met dedans, à la fin, quelles seraient les questions que vous aimeriez avoir les réponses ou que vous voudriez nous poser. Et il y a quand même un certain nombre de réponses qui sont je n'ai pas de questions Et moi, ça me flingue. Parce que quand on débute, et vraiment, on s'adresse à des débutants, et on le voit dans nos questionnaires, on met depuis quand vous pratiquez, etc. On a quand même un certain nombre de questions, que ce soit sur l'accompagnement, que ce soit sur le développement, que ce soit sur la psycho, enfin voilà, il y a vraiment beaucoup de questions. Alors, on en a toujours, de plus en plus, même peut-être quand on avance dans la pratique, parce qu'on se rend compte de tout ce qu'on ne connaît pas, mais c'est vrai que souvent, on n'ose pas trop poser des questions. Peut-être que dans les groupes Facebook, on s'est tellement fait ramasser pour certaines questions qu'on n'ose plus trop les poser. Peut-être que quand on posait des questions à l'école, on passait pour un con, je ne sais pas. Mais on a du mal à poser des questions maintenant, donc n'hésitez pas à aller chercher du soutien, à poser des questions, à vous renseigner. Vous prenez ensuite dans les réponses ce qui vous paraît le plus percutant pour vous. Et voilà. Donc là... vous avez pris le temps d'évaluer ce qui n'avait pas marché vous avez adapté votre stratégie et ensuite vous pouvez quand même évaluer ce que vous avez appris grâce à ça côté très positif, coaching, PNL, youhou love love donc qu'est-ce que vous avez bien fait et qui a fonctionné et qui peut être répété important, même si le résultat final n'est pas atteint ça a quand même marché, ça prend certes plus de temps que vous pensiez mais ça a marché vous n'êtes pas une grosse quiche qui a raté tout Qu'est-ce que vous avez appris sur vous-même ? Est-ce que vous avez appris que vous aviez des besoins particuliers, un style de travail, un style d'apprentissage particulier ? Est-ce que vous avez appris des choses sur votre cadre, votre posture ? Et qu'est-ce que vous auriez pu mieux faire pour vous ? Quels seraient les ajustements nécessaires pour la prochaine fois ? Rappelez-vous des étapes d'apprentissage. En premier... Je ne sais pas que je ne sais pas. Et en deux, je sais que je ne sais pas. Et ça, c'est un peu le moment où on vous en aide une fois que vous avez des objectifs non atteints. C'est que vous vous rendez compte qu'il y a des choses que vous ne savez pas faire, qu'il y a des choses que vous loupez, et ce n'est pas grave, en fait. On le fait tous et toutes. Si vous saviez le nombre d'objectifs que je n'ai pas atteints, ou d'idées que j'ai lancées, de partenariats que j'ai voulu commencer avec... J'avais fait avec photographe sur les stimes de photographe et coaching. Trop bonne idée. Mais pas du tout aboutie. On a fait des rendez-vous, on s'est vus, mais ça n'a pas abouti. Avec une masseuse, on a réussi à faire un atelier, un peu plus même d'un atelier. J'ai fait avec une autre masseuse après, mais avec une première, ça n'a pas du tout abouti non plus. Qu'est-ce qu'on a lancé ? Le groupe Discord que j'avais lancé l'année dernière, complètement, absolument pas réussi à le tenir. Pas assez de temps dessus, pas assez de motivation à bouger les gens. Enfin voilà, on fait ça tout le temps. Le nombre de fois où j'ai voulu faire des colloques, des colloques en ligne sur tel ou tel thème. J'ai aussi l'idée d'un magazine ou un livre. Enfin voilà, vraiment, le nombre d'objectifs non atteints est grand, très grand. Sans parler des objectifs de CA, de nombre de clients. En dernière étape, si vous n'atteignez pas vos objectifs, eh bien... Je vous inviterais à essayer, et essayez parce que c'est des fois très très dur, mais de rester sympathique avec vous-même. L'entrepreneuriat, c'est très dur. Et je crois qu'on ne le dit pas assez, parce que ce n'est pas sexy à dire. Comme là, je viens de vous expliquer, on teste toutes des choses qui vont tomber dans le cimetière des bonnes idées, qui n'étaient pas si bonnes que ça, finalement. Donc, on n'atteint pas nos objectifs, mais ça ne va pas définir nos valeurs ou nos capacités. Ça va nous donner des infos là-dessus. Ces capacités, elles peuvent évoluer sans aucun problème. C'est à ça que sert l'apprentissage. Donc, c'est des étapes normales. Oui, pas normaux. Dans tous les processus de croissance, l'important, ça va être de continuer à avancer, même par petits pas. Et si un jour, vous vous rendez compte que vraiment, l'entrepreneuriat, c'est trop dur et que vous avez besoin d'atteindre des objectifs beaucoup plus rapidement, etc., n'hésitez pas à vous faire accompagner. Et pour ceux qui se diraient, l'entrepreneuriat, c'est trop dur et finalement, moi, j'arrête, parce que ce n'est pas mon truc et je ne me rendais pas compte d'à quel point c'était tout ça. Je ne me rendais pas compte que je vais aller passer 20-30% de mon temps sur du marketing et du développement d'activités et pas du tout 100% de mon temps sur des séances. Eh bien, ce n'est pas grave, en fait. On n'aime pas tous et toutes les mêmes choses. Il y a des gens qui adorent résoudre des problèmes, ce qui est un peu la base des fois de l'entrepreneuriat, et d'autres qui n'aiment pas ça. Et ce n'est pas grave, chacun son truc. Voilà, c'était un podcast que je pensais faire à peu près en 10 minutes. Je n'y suis pas. Voilà, je dois être à 30 au moins. Qui était là juste pour vous dire un petit peu sur ma manière de bosser cette année ? À vous de picorer ce qui vous plaît dedans et de commencer à le mettre en place dans votre quotidien. Et je vous souhaite à toutes et à tous... une excellente année 2025, ce que je n'ai pas fait au début, j'aurais pu le faire, avec la santé, le bonheur, puis la joie au quotidien.