Speaker #0Bonjour à toutes et à tous, aujourd'hui on va faire un podcast sur la diversification de l'activité. Alors pourquoi sur ce thème ? Parce que j'ai fait une newsletter cette semaine là-dessus, que vu la taille de l'article, je me suis dit que j'allais en faire un podcast, tant qu'à faire, je fais de l'écologique actuellement, c'est-à-dire je vais reprendre une partie des articles que j'ai déjà fait pour les passer en podcast, et parce que dans des séances de développement d'activité que j'ai eues avec des débutantes, On a parlé de cette question de diversifier son activité assez rapidement, c'est-à-dire quand on débute, et de ne pas attendre de diversifier au bout de quelques années, parce que ça y est, on est full séance et qu'on a besoin de lâcher de la séance, parce qu'on en a marre, parce qu'on en a fait plein, parce qu'on s'est épuisé, parce qu'on veut en faire moins et être plus quali. Et ensuite diversifier son activité pour faire autre chose, et là commencer à créer des trucs un peu plus, aller des fois un peu plus cher quand on fait par exemple de la... de la formation ou des stages nature de trois jours, etc. J'ai l'impression qu'en début de son activité, on parle naturellement du principe qu'on va faire des séances individuelles, ce qui s'explique assez facilement, nos formateurs nous parlent de séances individuelles, du coup nous on moutonne, comme j'ai mis dans l'article, et on fait des séances individuelles, et on ne se pose pas trop la question, en partant du principe que c'est dans les séances individuelles que l'on va... apprendre le plus et que le taf d'hypno c'est la séance individuelle, le taf de coach aussi, de sofro aussi, etc. Donc en effet, c'est je pense une grosse partie de notre métier, la séance individuelle, et c'est beaucoup pour ça qu'on fait ça, mais je pense qu'il y a d'autres choses qu'on peut faire, et notamment des choses de groupe, et j'ai pas mal de raisons à vous donner qui vont dans mon sens, bien sûr. En premier, le fait qu'on va faire peser sur nos clients. quand on fait que de l'individuel, on peut faire peser sur nos clientes une espèce de pression financière, c'est-à-dire qu'il nous faut des gens pour avoir des revenus si on n'a pas de job à côté. Je parle dans le cas où on est débutant, qu'on s'est lancé, on a brûlé tous nos bateaux et on s'est lancé en volant et on essaye de ne pas s'écraser sur la falaise et on se dit qu'on a besoin de... un certain nombre de séances pour pouvoir avoir un revenu. Donc au début, on a souvent France Travail. Donc on s'en sort et puis arrive un an, deux ans, trois ans où il n'y a plus tout ça et où il faut X séances pour pouvoir vivre et bouffer et payer les factures. Et donc, j'en parle parce que je l'avais eu en supervision, quelqu'un qui me disait que qui gardait peut être les gens, je mets le peut être, je ne le sens pas, mais qui gardait les gens un peu plus longtemps parce qu'il fallait des séances en fait. Alors on pourrait hurler au scandale et se dire ah là là, mais c'est quoi cette éthique ? En fait, on est, à mon avis, plusieurs et plus nombreux que ce qu'on pense à faire ça ou à avoir fait ça. C'est-à-dire que sous une pression financière assez énorme, il ne faut pas oublier qu'il faut qu'on bouffe et que nos enfants bouffent, pour certains et certaines, eh bien on peut, de manière consciente ou inconsciente, donc là je pense que c'était conscientisé pendant la supervision, mais que c'était inconscient avant, garder des clients et clientes à des moments où il n'y a plus vraiment besoin de les garder et à continuer ou à laisser traîner un accompagnement alors qu'il n'y a plus besoin. Et je ne ne me ferai pas juge de ça parce que je trouve ça plutôt humain quelque part. Donc l'important c'est d'en prendre conscience, d'arrêter ensuite de faire ça, mais on peut avoir cette pression là de l'argent qui peut retomber sur nos clientes et ça quand on en prend conscience on se rend compte que c'est pas foufou. Donc ça, c'est, on va dire, un peu la raison principale. La deuxième, ça va être que vous, eh bien, pour ne pas vous lasser, vous lasser des séances individuelles, ça peut devenir un peu monotone au bout d'un moment, même si chaque séance est variée et différente, au bout d'un moment, voir beaucoup de monde, ça peut être lassant, ça peut être épuisant, ça peut être fatigant. Donc, pour ne pas se lasser, on peut commencer à faire des choses un peu plus créatives et à faire d'autres choses que de la séance. Alors, ça va nous demander plus de travail. évidemment, parce que ce qu'on travaille sur de la séance individuelle, ça va être des techniques, ça va être les stratégies d'accompagnement, le cadre, la posture, et là ça nous demande de retravailler autre chose, par exemple si on fait du groupe, on retravaille notre cadre, on retravaille la posture, on retravaille la façon d'accompagner un groupe, mais ça peut être aussi très intéressant pour vous, on verra plus tard dans le podcast quel est l'intérêt de faire tout ça. Il y a une autre raison aussi qui va rejoindre un peu Ne pas se lasser, c'est qu'on n'est pas toutes et tous capables d'assurer 60 à 80 séances par mois. Par exemple, moi, je suis incapable d'enchaîner 60 séances par mois. Pourquoi ? Parce que je m'ennuie, déjà. Je me surcharge très vite, mentalement et émotionnellement. A mon avis, tout est tous un seuil au-delà duquel on est moins performant en séance. Moins performant dans la concentration, dans l'écoute, dans l'intérêt qu'on porte à l'autre, dans la réflexion. Quand on est fatigué, on est moins bon. J'ai commencé un article là-dessus, mais qui me prend un peu de temps, avec un titre un peu putaclic sur on est moins bon hypno le vendredi que le lundi matin Et donc ça, il faut y faire attention, parce qu'on peut rapidement s'épuiser dans un truc où on... on n'est pas si bon que ça et comme on nous a vendu que ce qui était le Graal, c'était 60, 70, 80 séances mois, eh bien, on cherche à faire ça. Peut-être que ce n'est pas du tout votre façon d'accompagner. Le fait de faire d'autres choses que des sciences individuelles, ça permet aussi de se faire connaître différemment. C'est-à-dire que ça peut être des petits produits, comme on a fait en marketing, ça va être le premier pas que vont faire les gens pour apprendre à vous faire confiance, pour voir ce que vous faites, un petit truc qui les implique. pas énormément, qui ne leur coûte pas beaucoup d'argent et qui peut-être fera qu'après ils viendront vous voir. Et là-dedans, ça permet de s'adapter aux besoins de nos clients. C'est-à-dire que s'ils ont besoin de nous faire confiance par des petites choses avant, alors souvent le parcours d'achat, ça va être par du gratuit d'abord, que ce soit des articles, que ce soit un site internet qui va donner un blog. Là, je parle du digital, mais il y a plein de choses à faire qu'on peut faire en gratuit. Et pareil en... en non-digital finalement, si vous faites des séances publiques, si vous faites des confs, si vous faites des groupes de parole, des choses comme ça, gratuites, on verra qu'on peut les faire gratuits ou payants, mais si vous faites tout ça, c'est aussi une façon de vous faire connaître et de commencer à créer de la confiance. Et puis il y a certaines personnes et certaines problématiques qui auront besoin de se confronter au groupe pour avancer. Donc on fait tout le temps de l'individuel, mais peut-être que, et ça c'était Elsa Couteillet qui en parlait très bien dans le podcast avec moi, c'était... par exemple une problématique de quelqu'un qui a du mal à parler en public parce qu'elle stresse du jugement des autres, peut-être que l'étape après les séances individuelles, ça va être le groupe qui sera entre parler par exemple devant tout le staff au boulot et la séance individuelle. L'étape entre ça, c'est dans un groupe sécure avec vous et animer un groupe comme ça de thérapie ou d'accompagnement. Donc pour certaines problématiques, ça peut être très intéressant finalement de commencer à se confronter au groupe. et à recréer de la sécurité dans un groupe, à recréer du lien avec des gens, etc. Et puis, tout simplement, multiplier les sources de revenus, c'est un petit peu mathématique, j'avoue. Mais si vous créez plusieurs offres, plusieurs possibilités, vous multipliez vos chances de rentrer de l'argent. Évidemment, comme je le disais au début, ça va demander plus de travail. Et il va falloir bien s'organiser. C'est vrai qu'on pourrait dire, écoutez, d'abord vous faites de la séance à fond, à fond, à fond, et ensuite vous commencerez à créer pour ne pas partir dans tous les sens, mais ça, ça marche si, déjà, vous arrivez à avoir de la séance à fond, à fond, à fond, si c'est votre truc de faire de la séance au temps, et si c'est les besoins de vos clients. Si ce n'est pas votre truc et que vos clients n'ont pas besoin de séance tout le temps, à fond, à fond, et que vous vous rendez bien compte que vous ne remplirez pas 80 séances par mois pour vivre, eh bien il est temps de commencer à penser à diversifier assez rapidement. Donc, après cet argumentaire parfaitement mené, vous en conviendrez, vous avez la question suivante, c'est pourquoi est-ce qu'on ne met pas plus en valeur qu'on bloquait d'autres choses que les séances individuelles ? Je pense qu'il y a plusieurs raisons pour ça, notamment celle que je viens d'évoquer, c'est quand même dans le développement d'activités, une des premières choses qu'on dit c'est de ne pas courir plusieurs lèvres à la fois. C'est vrai que c'est compliqué de se faire connaître sur plusieurs choses à la fois, donc on ne va pas commencer à faire Insta, Facebook, LinkedIn en même temps, on ne va pas... à essayer de développer en ligne et en présentiel, on essaye de voir au début, début, on essaie vraiment de courir qu'un seul lièvre mais de le courir à fond. Donc ça faut-il encore trouver son bon lièvre. Donc oui, en effet, ça c'est un des risques. Donc attention à ça, à ne pas partir dans tous les sens. Si vous sentez que vous n'arrivez plus à mettre d'énergie dans plusieurs choses, eh bien il va falloir se concentrer sur un seul développement d'activité. Et puis, comme je le disais aussi au début, On a un peu moutonné, c'est-à-dire qu'on nous a parlé de séances individuelles, on ne nous a pas parlé d'autre chose, et c'est du coup ce qu'on s'est dit qu'on allait faire. Et en plus, actuellement, ce qui est vraiment bien mis en avant, dans une réussite, donc quelqu'un qui réussit pour l'instant en tant qu'hypno, ou de coach, c'est qu'il fait X séances par mois, et le X c'est souvent au-dessus de 60. Ça on va le voir quand on a des gens qui essayent de nous faire fermer notre clapet sur Facebook en nous disant mais moi ça fait... dix ans que je suis là et je fais 60 séances par mois, 70, j'ai accompagné plus de 10 000 personnes. Donc ça c'est des arguments d'autorité qui valent absolument que dalle parce que accompagner 1000 personnes et être complètement crevées, faire un burn-out et avoir un accompagnement finalement de merde, je dis pas que c'est forcément ça. Il y a des gens qui accompagnent 1000 personnes qui ne sont pas crevées, qui ne font pas de burn-out et qui font de très bons accompagnements. Mais ça peut arriver. Pour moi, c'est pas un gage de bon marketing. On accompagne beaucoup de monde mais c'est pas un gage de qualité, même si évidemment plus on accompagne de gens, plus on est censé évoluer. Mais il y a aussi des personnes qui sont restées exactement au même niveau qu'il y a trois ans quand elles ont débuté et c'est normal. Puis il y a le fait qu'on va un peu se conformer finalement au groupe. Tout le monde propose des séances individuelles, et nous on ne va pas vraiment oser sortir du groupe et proposer des concepts un peu innovants, et pourtant il y en a vraiment beaucoup. Et là, je pense à des gens comme Adrien Moulard, qui fait des dégustations de vin sous hypnose, qui avait également fait du yoga sous hypnose, si je me souviens bien. À Juliette Verga, La Liberté, et qui elle, fait des balades au musée sous hypnose, ce que je trouve absolument génial, ce que je m'étais fait du coup moi-même avec une balade. en auto-hypnose dans les carrières de lumière vers Aix, je crois. Et c'était absolument magnifique et génial, super expérience. Il y a par exemple Nicolas Marsena qui avait fait de l'art sous hypnose, alors c'était dans des vidéos, c'était du contenu gratuit pour le coup, mais c'était des vidéos, il y avait un peintre, il y avait la batterie, je ne sais plus s'il y avait de la danse, je ne sais plus. Mais il faisait aussi des sessions d'écriture sous hypnose à Montpellier. Il y a Marie Liselle qui fait énormément de co-créations artistiques aussi. Donc il y a vraiment beaucoup de choses hyper innovantes et qu'on ne vend pas habituellement, enfin voilà, dans les formations on ne va pas parler de ça, mais qui sont possibles et il n'y a vraiment que notre créativité qui est la limite de ça. Et puis la demande du marché évidemment, ça n'a rien de créer des trucs de fou si personne ne veut les acheter. Revenons un peu des fois les pieds sur terre. Dans la newsletter j'avais proposé un exercice créatif avec un petit audio, si vous n'êtes pas abonné à la newsletter vous pouvez le faire. J'ai dû le mettre dans la description du podcast, je pense. Donc dans cet audio, je proposais un exercice, mais il pourrait y en avoir plein à faire. Et là, c'était d'aller prendre contact avec son enfant intérieur, de prendre contact avec deux ressources très importantes de l'enfant intérieur, c'était la créativité et l'imaginaire, et de laisser cet enfant nous poser la question si tu n'avais aucune contrainte de temps, de limites, d'argent, de... compétences et tu pouvais créer absolument tout ce que tu veux, qu'est ce que tu ferais. Donc là le but c'est de faire un gros brainstorming, de tout noter, zéro filtre même si vous trouvez ça nul, même si c'est déjà fait, même si si vous n'êtes pas capable de le faire, même si mais qu'est ce que vont dire les autres ? On note tout et ensuite on passe à la moulinette du est-ce que c'est faisable ou pas, est-ce qu'il y a une demande ou pas et on revient, comme je disais, à la réalité c'est est-ce que quelqu'un va m'acheter ça ? Est-ce que ça vaut le coup ? Et là, c'est une espèce de plan stratégique de marketing tout simplement. Mais le plus important, ça va être de passer cette étape de créativité totale. Pour vous, en fait, moi là je vais vous donner quelques possibilités de choses que vous pouvez créer pour diversifier vos activités. Mais c'est vous qui savez votre marché, votre avatar, votre prospect idéal. Donc c'est vous qui savez ce qui lui ira, ce qui lui fera plaisir et ce qui l'aidera à avoir de plus en plus confiance en vous. ce qui vous plaira à faire aussi. Donc une fois que cet exercice de créativité est fait, je vous propose quelques produits que vous pourriez créer. Alors il y a tout ce qui va être produit ou emporté, là vous avez les audios d'auto-hypnose, par exemple une série thématique sur le sommeil, une série thématique sur le stress, ça peut être d'auto-hypnose ou de méditation, pour ceux qui ne feraient pas d'hypnose, la confiance en soi, de l'alimentation, il y a des dizaines de choses, de l'émotionnel. Les dizaines de choses qui peuvent être possibles, donc tout ce que je vais vous proposer là, moi je vous donne les structures, et vous après, vous pouvez adapter sur quel thème. Vous avez tout ce qui est les workbooks, PDF, e-books, les guides, des petits supports en fait faits par exemple sur Canva, qui pourraient permettre à votre client d'avancer entre des séances, des mini formations vidéo, des courtes formations vidéo, qui seraient des petits outils simples. Il pourrait apprendre par exemple le technos, il pourrait apprendre la respiration, le FD. la cohérence cardiaque, c'est vraiment des outils, c'est pas ce qui nous manque nous, on en a tout le tour du ventre des outils donc n'hésitez pas à les faire passer, ça permet aux clients d'être plus autonomes dans son changement, de pouvoir se débrouiller sans vous et ça c'est assez chouette. Donc ça, ça peut être des produits un peu upsell, c'est-à-dire que vous avez des séances et vous proposez ça en plus à vos clients à un plus petit prix par exemple que ce que vous proposez en dehors hors client. Ensuite vous avez tout ce qui est groupe donc là en groupe, Freestyle, tous les ateliers, des tables rondes, les cercles de parole, les cafés ressources, les séances publiques, les cafés ressources par exemple pour les cercles de parole sur du deuil, comme les cafés mortels, sur des thèmes précis. Les séances publiques, ça va être inspiré des cabinets publics de Kevin Finnell, où là vous allez montrer à une petite audience ce que vous, vous savez faire, ce que vous faites en hypnose, ce que vous faites dans le cabinet, c'est l'idée de sortir le cabinet de chez vous et de le montrer au plus grand nombre. Si vous ne voyez pas du tout comment faire, on a une formation en ligne asynchrone, donc vous pouvez faire tout seul comme un grand, sur comment créer sa première séance publique et la remplir. C'est un plutôt très bon moyen, en tout cas c'est le moyen qu'avait utilisé François pendant trois ans, je crois, pour remplir son câble. Et ça fait dix ans qu'il est installé, donc on peut dire que ça a bien marché pour les débuts. Ça a bien aidé. Donc ça... Ça va être tout ce qui est le groupe et le fait du collectif. Il y a aussi, si tout compte, aller faire de l'hypnose de la street. La street aussi, ça permet de faire connaître hyper vite. Ça peut être aussi faire un spectacle. Faire un spectacle, louer un théâtre, si vraiment vous vous chauffez. Mais ça pourrait être faire un spectacle pour des MJC. Il y a vraiment pas mal d'endroits où on peut aller. La street, j'en parlais parce que ça... Je ne sais pas comment ça marche encore actuellement. Moi, je n'en fais pas du tout de la street. Mais en tout cas, quand j'en faisais, ça attire vraiment les gens. Ça attirait. Et c'est pour ça que je dis que je ne sais pas comment ça marche. Je ne sais pas comment ça a évolué. Est-ce que du coup, l'hypnose est devenue tellement normale que ça n'intéresse plus tellement et les gens vont plus s'arrêter dans la rue ? Je ne sais pas. Mais en tout cas, quoi qu'il arrive, ça vaut le temps, ça vaut le temps, ça vaut le coup de tester. Ensuite, vous avez tout ce qui est petits contenus additionnels que vous pourriez vendre en plus ou en avant, avant un accompagnement. Donc des séries d'audio comme on avait dit, des boxes d'outils bien-être, une petite box numérique, des fiches pratiques, des exercices à faire. Vous pouvez tester l'accompagnement hybride, c'est-à-dire une séance individuelle avec un suivi mail, un carnet d'exercices, des vidéos courtes. Ça peut être de la séquence mail aussi que vous pouvez vendre, une séquence de newsletter par exemple, ou une série de mails sur un thème donné. Moi j'avais fait ça sur l'intelligence émotionnelle, alors c'était gratuit, ça l'est toujours d'ailleurs. Mais c'était une série de mails de 30 jours, il me semble. J'avais fait ça sur l'intelligence émotionnelle. Ça demande un peu de taf, on ne va pas se mentir. J'avais mis deux jours de off dedans parce que vraiment, je n'en pouvais plus d'écrire ces mails. Mais ça fait des ressources qui sont présentes. Là, si je voulais l'entendre, je pourrais en un clic le remettre en ligne. Donc, c'est assez chouette d'avoir ça sous la main. Ensuite, si vraiment vous vous chauffez, vous pouvez créer un podcast. Et vous pouvez créer des podcasts payants. Ça existe. Comme les newsletters payantes, ça existe également. Donc évidemment, ça n'arrive pas en premier lieu dans le parcours d'achat. Ce n'est pas la première chose que vous présentez à vos futurs clients, à vos prospects. Vous ne commencez pas à essayer de leur vendre un premier truc. Souvent, la première approche, ça va être du gratuit. Mais la création d'un podcast payant, d'une newsletter payante, d'une chaîne YouTube payante, ça peut aussi être une idée. Pareil, les webinaires, ça peut être des webinaires payants, en groupe ou asynchrone, des webinaires que vous enregistrez et que vous envoyez après. Et puis après, il y a les formats qui vont vous demander un petit peu plus de taf. Donc là, ça va être tout ce qui est retraite, bien-être ou les journées immersives. Donc là, il faut que les gens fassent quand même bien confiance. Donc ça va être sur vos anciens clients qui sont contents que vous allez pouvoir proposer ça parce que proposer ça à des gens qui ne vous connaissent pas et faire payer une journée ou une retraite, ça va être très compliqué. Et puis vous avez tous les accompagnements style partenariat. Donc moi j'avais fait avec une masseuse et j'avais eu envie de faire, on avait commencé à imaginer avec une photographe sur l'estime de soi et en fait quand on avait posé les chiffres ça n'allait plus. Ça n'allait plus, ça faisait des accompagnements beaucoup trop chers pour la ville dans laquelle on était. Mais suivant où vous êtes, pourquoi pas. Pourquoi pas. Donc ça c'est assez sympa de faire des ateliers communs ou des séances communes. Je connais quelqu'un aussi qui faisait ça avec Ostéo je crois. ou kiné, hypnose et kiné, ou hypnose et ostéo, un des deux. Mais ça peut être intéressant aussi pour vous. Donc voilà pour les multi-dés que vous pourrez, je pense que vous en avez eu encore plus que moi, et des différentes de moi. Est-ce qu'on fait ça payant ou pas ? Là, comme je parle de diversification de revenus, je vous invite à faire payant, mais tout ça peut se faire aussi gratuit, et là c'est vraiment, où est-ce que vous mettez ça dans votre parcours d'achat ? C'est-à-dire, est-ce que par exemple... Vous faites ça gratuit parce que c'est la première étape par laquelle les gens vont vous connaître, c'est la visibilité. Ils vont vous connaître par ça, donc vous faites du gratuit et puis ensuite... Vous faites augmenter la confiance, votre autorité, vous montrez que vous savez de quoi vous parlez, que vous n'êtes pas un charlatan, et vous continuez avec des petits trucs gratuits comme nous on fait par exemple avec les newsletters, ou le podcast, et ensuite vous proposez quelque chose de payant, que ce soit une séance. Donc si vous mettez ça dans le parcours d'achat au tout début, c'est vraiment pour augmenter votre visibilité, et c'est gratuit. Si vous proposez ce genre de produit pour diversifier votre revenu, vous le mettez un peu plus loin dans le parcours d'achat. C'est-à-dire que les gens vont déjà vous connaître grâce à... des actions que vous aurez faites pour de la visibilité. Le petit produit sera par exemple 10 fiches sur l'intelligence émotionnelle, du coup je reprends mon exemple, 10 fiches sur l'intelligence émotionnelle, qui amènent ensuite à prendre une séance. Donc ça c'est le petit produit pour que les gens voient que ce que vous faites peut les aider, et que ça amène ensuite à de la séance. Et si vous le mettez encore après, c'est-à-dire en upsell, c'est visibilité, vous vous dévoyez pour être visible, Vous vendez de la séance et en upsell, c'est-à-dire en plus des séances pour venir compléter les séances ou après les séances, vous pouvez proposer du groupe, un produit en plus, les journées de formation, les retraites, les journées immersives, etc. Donc là, c'est à vous de réfléchir où est-ce que vous le mettez dans votre parcours client, en fait, ou ce que vous mettez au tout début pour vous faire. Donc, c'est gratuit ou vous le mettez après pour diversifier vos revenus. Tout est possible, c'est à vous de voir. Voilà pour ce mini-podcast. J'espère que j'étais assez claire. J'ai un gros doute là-dessus, mais j'espère que c'était un petit peu clair et que ça vous a donné des idées. Je vous souhaite à toutes et à tous une bonne journée. Prenez soin de vous.