- Speaker #0
Bienvenue à toutes et à tous. Aujourd'hui, on s'attaque à un gros morceau, enfin, qui peut paraître impressionnant, le bilan comptable. C'est pourtant un outil clé pour comprendre la santé d'une entreprise. Pour nous guider, on va s'appuyer sur une trame de formation d'IG Conseil. C'est un organisme spécialisé dans les formations et coachings très personnalisés. Leur truc, c'est de bosser directement sur les chiffres réels du client dans ses propres outils, genre Sage 50 ou autres. Notre mission aujourd'hui, démystifier un peu tout ça, rendre cette photo du patrimoine plus lisible en quelques minutes. On va se concentrer sur les bases, l'actif, le passif, ce qu'ils nous disent vraiment.
- Speaker #1
Oui, bonjour. Et c'est une excellente idée parce que comprendre cette structure, c'est vraiment la première étape pour bien piloter son activité. Et c'est exactement l'approche d'IG Conseil, rendre les gens autonomes vite fait, en partant de leurs chiffres à eux, pour que ça serve tout de suite.
- Speaker #0
Parfait. Alors, allons-y. Le bilan. On le voit souvent présenté en deux colonnes, non ? Commençons par la gauche, l'actif. Ça représente quoi concrètement ?
- Speaker #1
Alors, l'actif, c'est simple. C'est tout ce que l'entreprise possède, son patrimoine si vous voulez. Et ces éléments, ils sont classés d'une manière particulière par liquidité croissante. C'est-à-dire du moins facile à convertir en argent liquide tout en haut, jusqu'au plus liquide tout en bas. On y trouve d'abord les actifs immobilisés. C'est ce qui est fait pour durer. des brevets, des logiciels, ça c'est l'incorporel, mais aussi bien sûr les machines, les bâtiments, ça c'est le corporel. Ou même des parts dans d'autres boîtes, le financier.
- Speaker #0
Et j'imagine que c'est là qu'une analyse sur mesure comme celle que propose IG Conseil devient super intéressante. Voir si une boîte investit plus en R&D ou dans ses machines.
- Speaker #1
Exactement, c'est tout l'intérêt de travailler sur ses propres données. On voit la stratégie derrière les lignes. Ça, une formation IG Conseil le met vraiment en lumière. Plus bas dans l'actif, on trouve l'actif circulant. Ça, c'est lié au quotidien, au cycle d'exploitation. Les stocks qu'on a, les créances clients, l'argent que les clients nous doivent encore. Et tout en bas, vraiment le plus liquide, les disponibilités, l'argent sur les comptes en banque, la caisse, le cash quoi.
- Speaker #0
Bon, ça c'est clair pour ce que l'entreprise a. Mais tout ça, ça vient bien de quelque part, non ? L'argent, les biens, comment on voit d'où ça vient dans le bilan ?
- Speaker #1
Ah ben voilà ! on y arrive. Ça, c'est le rôle du passif, la colonne de droite. Elle explique comment l'entreprise finance tout ce qu'elle a à l'actif. Et là, le classement est inversé par rapport à l'actif. On classe par exigibilité croissante. Du moins urgent à rembourser en haut au plus urgent en bas.
- Speaker #0
C'est ça.
- Speaker #1
Tout à fait. Et on a deux grandes masses. D'abord, les capitaux propres puis les dettes. Les capitaux propres, c'est les ressources stables. L'argent mis par les associés au début, le capital social, les bénéfices qu'on a gardés au fil du temps, les réserves et le résultat de l'année. C'est un peu le socle de confiance pour les banquiers, les fournisseurs, une marge de sécurité.
- Speaker #0
D'accord, et les dettes alors ?
- Speaker #1
Ensuite, oui, les dettes. On distingue souvent les dettes financières, les emprunts bancaires par exemple, et les dettes d'exploitation. Ça c'est ce qu'on doit aux fournisseurs, à l'État pour les impôts et les charges sociales, aux salariés. Par exemple, Un remboursement de prêt qui arrive dans moins d'un an, on le mettrait où à votre avis ?
- Speaker #0
Dans les dettes financières mais à court terme ?
- Speaker #1
Exactement, en bas du passif car c'est plus urgent à rembourser.
- Speaker #0
On a les pièces du puzzle, on sait ce qu'on a, comment on le finance, mais juste regarder les listes, ça ne suffit pas j'imagine. Comment on fait interagir tout ça pour avoir des signaux rapides sur la santé financière ?
- Speaker #1
C'est là que ça devient dynamique, oui. On commence à lire le bilan en croisant les infos, même avec des indicateurs assez simples. Le premier... Très connu, le fonds de roulement, le FR. En gros, il compare les ressources stables, capitaux propres, plus les dettes à long terme, avec les actifs qui sont là pour longtemps, les actifs immobilisés. L'idée, c'est que ce qui est stable doit financer ce qui dure.
- Speaker #0
Un peu comme quand on achète une maison. L'apport et le pré-immobilier doivent couvrir le prix de la maison.
- Speaker #1
C'est une très bonne image, oui. Ensuite, il y a le besoin en fonds de roulement, le BFR. Lui, il mesure le besoin de financement qui vient de l'activité courante. Pensez au décalage entre « on paie nos fournisseurs, on a du stock » , mais les clients, eux, ils paient parfois plus tard. Ce décalage entre les dépenses et les recettes d'exploitation, ça crée un besoin de cash. C'est ça le BFR.
- Speaker #0
Ah oui, le fameux BFR. Plus il est élevé, plus il faut de la trésorerie pour faire tourner la boutique. C'est ça.
- Speaker #1
Voilà. Et la conséquence logique de tout ça, c'est la trésorerie nette. C'est tout simple. Trésorerie nette égale FR, BFR. Si votre fond de roulement est plus petit que votre besoin en fond de roulement, la trésorinette est négative. Et là, attention, tension de cache possible. C'est vraiment une mécanique clé à surveiller de près.
- Speaker #0
C'est beaucoup plus clair comme ça. Cette interaction FR-BFR-Tréseau. On voit bien le côté dynamique. Alors, pour quelqu'un qui gère une PME, par exemple au quotidien, qu'est-ce que ça change de bien maîtriser ces notions ?
- Speaker #1
Ça change tout. Parce que la vraie puissance, elle ne vient pas de la théorie, mais de l'application à sa propre entreprise. Comprendre son BFR, anticiper l'évolution de sa trésorerie. Et c'est là justement que l'approche d'IG Conseil est pertinente. Ils ne vont pas juste un cours générique. Ils forment la personne sur ses chiffres, dans son outil. que ce soit Sage 50 ou un autre ERP, en face-à-face ou à distance. Le but, ce n'est pas juste de comprendre, c'est de devenir autonome pour prendre les bonnes décisions, pour piloter vraiment son activité avec ses propres indicateurs.
- Speaker #0
Et c'est bon à savoir, ces formations peuvent souvent être financées par les OPCO, non ?
- Speaker #1
Oui, tout à fait, c'est un point important. L'éligibilité au financement OPCO rend ces accompagnements sur mesure encore plus accessibles.
- Speaker #0
Excellent. Bon, pour finir, et laisser nos auditeurs réfléchir un peu, Au-delà de ces ratios, de cette mécanique FRBFR, quelle histoire unique on peut lire dans le bilan d'une entreprise ? Quelle stratégie passée ? Quel défi futur se cache entre les lignes ?
- Speaker #1
C'est la question fondamentale, oui. Chaque bilan est unique, il raconte une histoire spécifique. Pour ceux qui veulent vraiment décoder la leur, comprendre les messages cachés et bâtir un plan d'action solide, une analyse accompagnée, c'est souvent très, très révélateur. Et bien sûr, IG Conseil est là pour aider à faire cette lecture personnalisée. et à transformer la compréhension en action. N'hésitez pas à les contacter pour ça.