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Il était une fois

Du temps pour soi

Du temps pour soi

09min |27/02/2022
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Excepté la santé, le temps est ce que nous avons de plus précieux pour nous. Le plus souvent nous le consacrons aux autres (famille, amis, travail). Nous le consommons au quotidien. Une journée en entraîne une autre et ... demain, promis, demain je m'occuperai de moi. Mais pour pouvoir s'occuper au mieux des autres ne devons-nous pas commencer par s'occuper de nous ?!


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour. Vous ne voyez pas, mais j'espère que vous l'entendrez. Je souris. Je cherchais depuis des semaines le sujet de mon premier épisode. C'est important, n'est-ce pas ? La première impression. Il paraît qu'on a cette chance une seule fois. Et encore. Les 30 premières secondes. Alors forcément, je cherchais LE sujet. Celui qui allait donner le ton de ce que je voulais partager avec vous à travers ce podcast. Celui aussi qui allait être le début de cette aventure que nous allions construire. Et ce matin. Quelques amis très proches, même si je ne les vois pas toutes souvent. Plus de parents, car ils sont décédés il y a plusieurs années. Deux sœurs, plus jeunes. J'ai toujours aimé raconter les histoires des autres. Celles qui m'avaient touchée, inspirée, ou qui sont des arguments de vie, ou de vente, selon le contexte. Avec le podcast, il était une fois. Ce sont mes erreurs, mes réussites, mes questionnements et mes déclics que je partage avec vous. Tous ces événements devenus des prises de conscience, je les dépose dans vos oreilles, car on ne sait jamais qui on va inspirer. Reprenons. Finalement, j'aurais pu écrire pour soi mais la formule du temps pour soi regroupe ce que nous avons de plus important. Nous, vous, moi, notre soi, et ce que nous en faisons par le temps. Je ne me suis pas posé la question pendant des années. J'avais tout le temps que je souhaitais. Pour du sport, de la lecture, faire des puzzles, j'étais une grande fan. Cela dit, c'était très très consommateur de place. Des missions variées dans mes jobs que j'adorais effectuer, mes amoureux, mes amis. Pourtant, avec le recul, je sais que je n'ai pas utilisé mon temps à construire vraiment, à me construire surtout. Heureusement, une partie de moi l'a fait. Celle sur laquelle mes objectifs étaient clairement définis. Le boulot. Parce que je savais ce que je voulais devenir Malgré cette détermination Le jour où me l'a proposé ce fameux job de mes rêves Je ne l'avais pourtant pas vu arriver La vie est une farceuse. Mais j'adore Pour la petite histoire Mais j'y reviendrai dans un autre épisode Ce job de directrice commerciale a mis 26 ans à m'être proposé. Cela paraît beaucoup mais en fait j'ai vraiment apprécié le chemin et c'est ça le plus important. Pour ce qui est du temps pour soi, à un moment dans ma vie personnelle, les choses ont dérapé. J'ai dérapé. Je me suis laissé absorber. Phase 1. D'abord un peu dans ma relation avec mon amoureux, avec celui qui est devenu mon mari, puis le père de mes enfants. Tout doucement, sans m'en rendre compte parce que c'était bon, j'ai remplacé le temps pour moi par du temps pour nous. Mon chéri lui arrivait à se garder du temps, pour lui. Je lui en voulais, parce que moi, je n'y arrivais pas. Nous étions ma priorité. Et pourtant, c'est lui qui avait raison. Phase 2. Arrivée de nos enfants. Tornade du temps. J'ai remis des années à m'autoriser à m'occuper de moi en priorité. La première étape a été en mode survie, sans aucune conscience de pourquoi je faisais certains choix. Je devais les faire, tout simplement. Mon corps et ma tête ne m'en laissaient justement pas le choix. J'ai accepté un travail qui m'éloignait de chez moi, me donnait de nouveaux challenges. Je m'obligeais en quelque sorte à m'occuper de moi. Je suis devenue ingénieure commerciale. Je sillonnais le tiers du territoire français. J'étais hyper fatiguée, mais super enthousiaste. Et bizarrement, je respirais de nouveau. Ce qui me permettait, quand je rentrais dans mon cocon familial, d'avoir l'énergie de m'en occuper. Mais je n'avais pas encore compris. Phase 3. Divorce. Je reprenais le temps, mais en mode asphyxie. déménager, se réinstaller, une semaine sur deux sur le terrain, l'autre avec les obligations de maman. Mais moi... Je ne m'en occupais toujours pas. Mon évolution, mon corps, mes pensées, rien. Il y a deux ans et demi, arrêt des jeux. Phase 4, un mois d'arrêt maladie. Pour retrouver la vue, au propre comme au figuré. Là, je me suis enfin écoutée. Pour tout vous dire, j'ai d'abord beaucoup écouté. Des podcasts, des conférences. Les experts de toutes sortes sont formels. La première personne dont je dois m'occuper, c'est moi. Jusqu'alors, je trouvais cela très égoïste. Pourtant, je le disais bien aux autres. Occupez-vous de vous, sinon comment pourrez-vous vous occuper de votre entourage ? Mais je n'avais toujours pas compris ce qui était, pour moi, s'occuper de soi. Je n'avais pas pris le temps de savoir ce qui était important pour moi. Mes moteurs ? Où étaient mes vibrations fortes ? Mes valeurs. Depuis, j'ai trouvé. Et c'est pour cela que nous sommes ensemble en ce moment. Mon premier pas a été la méditation, tous les matins. 5, 10, 15 minutes, parfois plus, selon que j'en ressente ou pas le besoin. Maintenant seule, ou avec mon copain Petit Bambou, ou d'autres programmes selon ce que je souhaite approfondir. L'abondance, la meilleure version de moi. Je m'écoute. J'ai trouvé mon outil et je l'adapte selon mes besoins. Et le sport, tous les matins. Enfin, presque. Je commence donc mes journées, quoi qu'il arrive, par m'occuper de moi. Parce que le quotidien vous rattrape autrement, toujours. Pendant le confinement, j'ai eu un problème de dos. J'avais arrêté le sport. Erreur. Je sais maintenant que j'aurais dû me forcer à aller marcher. J'ai déréglé mon équilibre. C'est aussi en abandonnant ce qui nous fait du bien que nous pouvons vraiment en prendre la mesure. Et évidemment, le réintroduire dans nos journées. Je vois jour après jour l'importance de m'occuper de moi. C'est le plus beau cadeau que je puisse faire à la vie. A chaque fois que je rencontre dans mon existence des femmes qui viennent d'accoucher, je leur dis Occupe-toi de toi, ne t'oublie pas. Et si j'ai l'occasion de leur faire un cadeau, ce ne sera pas pour la nouvelle prunelle de leurs yeux, mais pour elles. Un massage ou un soin, et si je connais leur hobby, quelque chose qui les y ramène. S'occuper de soi, c'est également de la discipline. Ce mot-là, on ne l'aime pas. Il nous ramène à l'apprentissage scolaire le plus souvent. Mais finalement, c'est avec régularité que nous avons appris le plus pendant les premières années de notre vie. Alors, pourquoi ne pas continuer pour notre plus grand bien et celui de notre entourage ? Quand je prépare mes épisodes, je prends du temps pour moi, à faire ce que j'aime, écrire, créer, transmettre, partager. Parce que tout commence avec... Il était une fois, sept premières fois. Alors même si c'est aujourd'hui, après m'avoir écouté, prenez du temps pour vous. Même deux minutes, mais tous les jours. Faites-le en conscience, sans remords, avec envie, parce que vous l'êtes, en vie. Je vous souhaite de sourire, de vous occuper de vous, de vous aimer, parce que vous rayonnez ce que vous êtes, et que la vie a besoin de vous, le monde a besoin de vous. Il était une fois du temps pour soi. Si vous avez aimé cette première rencontre, ce premier épisode, abonnez-vous et n'hésitez pas à le diffuser. Je vous invite également à le noter sur les différentes plateformes d'écoute. Je reviendrai tous les 15 jours partager avec vous mes déclics et mes réflexions. En attendant, prenez soin de vous et, évidemment, prenez du temps pour vous.

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  • Introduction

    00:00

  • Qui suis-je ?

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    01:49

  • Vous avez aimé ?! Abonnez-vous et diffusez !

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Description

Excepté la santé, le temps est ce que nous avons de plus précieux pour nous. Le plus souvent nous le consacrons aux autres (famille, amis, travail). Nous le consommons au quotidien. Une journée en entraîne une autre et ... demain, promis, demain je m'occuperai de moi. Mais pour pouvoir s'occuper au mieux des autres ne devons-nous pas commencer par s'occuper de nous ?!


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Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour. Vous ne voyez pas, mais j'espère que vous l'entendrez. Je souris. Je cherchais depuis des semaines le sujet de mon premier épisode. C'est important, n'est-ce pas ? La première impression. Il paraît qu'on a cette chance une seule fois. Et encore. Les 30 premières secondes. Alors forcément, je cherchais LE sujet. Celui qui allait donner le ton de ce que je voulais partager avec vous à travers ce podcast. Celui aussi qui allait être le début de cette aventure que nous allions construire. Et ce matin. Quelques amis très proches, même si je ne les vois pas toutes souvent. Plus de parents, car ils sont décédés il y a plusieurs années. Deux sœurs, plus jeunes. J'ai toujours aimé raconter les histoires des autres. Celles qui m'avaient touchée, inspirée, ou qui sont des arguments de vie, ou de vente, selon le contexte. Avec le podcast, il était une fois. Ce sont mes erreurs, mes réussites, mes questionnements et mes déclics que je partage avec vous. Tous ces événements devenus des prises de conscience, je les dépose dans vos oreilles, car on ne sait jamais qui on va inspirer. Reprenons. Finalement, j'aurais pu écrire pour soi mais la formule du temps pour soi regroupe ce que nous avons de plus important. Nous, vous, moi, notre soi, et ce que nous en faisons par le temps. Je ne me suis pas posé la question pendant des années. J'avais tout le temps que je souhaitais. Pour du sport, de la lecture, faire des puzzles, j'étais une grande fan. Cela dit, c'était très très consommateur de place. Des missions variées dans mes jobs que j'adorais effectuer, mes amoureux, mes amis. Pourtant, avec le recul, je sais que je n'ai pas utilisé mon temps à construire vraiment, à me construire surtout. Heureusement, une partie de moi l'a fait. Celle sur laquelle mes objectifs étaient clairement définis. Le boulot. Parce que je savais ce que je voulais devenir Malgré cette détermination Le jour où me l'a proposé ce fameux job de mes rêves Je ne l'avais pourtant pas vu arriver La vie est une farceuse. Mais j'adore Pour la petite histoire Mais j'y reviendrai dans un autre épisode Ce job de directrice commerciale a mis 26 ans à m'être proposé. Cela paraît beaucoup mais en fait j'ai vraiment apprécié le chemin et c'est ça le plus important. Pour ce qui est du temps pour soi, à un moment dans ma vie personnelle, les choses ont dérapé. J'ai dérapé. Je me suis laissé absorber. Phase 1. D'abord un peu dans ma relation avec mon amoureux, avec celui qui est devenu mon mari, puis le père de mes enfants. Tout doucement, sans m'en rendre compte parce que c'était bon, j'ai remplacé le temps pour moi par du temps pour nous. Mon chéri lui arrivait à se garder du temps, pour lui. Je lui en voulais, parce que moi, je n'y arrivais pas. Nous étions ma priorité. Et pourtant, c'est lui qui avait raison. Phase 2. Arrivée de nos enfants. Tornade du temps. J'ai remis des années à m'autoriser à m'occuper de moi en priorité. La première étape a été en mode survie, sans aucune conscience de pourquoi je faisais certains choix. Je devais les faire, tout simplement. Mon corps et ma tête ne m'en laissaient justement pas le choix. J'ai accepté un travail qui m'éloignait de chez moi, me donnait de nouveaux challenges. Je m'obligeais en quelque sorte à m'occuper de moi. Je suis devenue ingénieure commerciale. Je sillonnais le tiers du territoire français. J'étais hyper fatiguée, mais super enthousiaste. Et bizarrement, je respirais de nouveau. Ce qui me permettait, quand je rentrais dans mon cocon familial, d'avoir l'énergie de m'en occuper. Mais je n'avais pas encore compris. Phase 3. Divorce. Je reprenais le temps, mais en mode asphyxie. déménager, se réinstaller, une semaine sur deux sur le terrain, l'autre avec les obligations de maman. Mais moi... Je ne m'en occupais toujours pas. Mon évolution, mon corps, mes pensées, rien. Il y a deux ans et demi, arrêt des jeux. Phase 4, un mois d'arrêt maladie. Pour retrouver la vue, au propre comme au figuré. Là, je me suis enfin écoutée. Pour tout vous dire, j'ai d'abord beaucoup écouté. Des podcasts, des conférences. Les experts de toutes sortes sont formels. La première personne dont je dois m'occuper, c'est moi. Jusqu'alors, je trouvais cela très égoïste. Pourtant, je le disais bien aux autres. Occupez-vous de vous, sinon comment pourrez-vous vous occuper de votre entourage ? Mais je n'avais toujours pas compris ce qui était, pour moi, s'occuper de soi. Je n'avais pas pris le temps de savoir ce qui était important pour moi. Mes moteurs ? Où étaient mes vibrations fortes ? Mes valeurs. Depuis, j'ai trouvé. Et c'est pour cela que nous sommes ensemble en ce moment. Mon premier pas a été la méditation, tous les matins. 5, 10, 15 minutes, parfois plus, selon que j'en ressente ou pas le besoin. Maintenant seule, ou avec mon copain Petit Bambou, ou d'autres programmes selon ce que je souhaite approfondir. L'abondance, la meilleure version de moi. Je m'écoute. J'ai trouvé mon outil et je l'adapte selon mes besoins. Et le sport, tous les matins. Enfin, presque. Je commence donc mes journées, quoi qu'il arrive, par m'occuper de moi. Parce que le quotidien vous rattrape autrement, toujours. Pendant le confinement, j'ai eu un problème de dos. J'avais arrêté le sport. Erreur. Je sais maintenant que j'aurais dû me forcer à aller marcher. J'ai déréglé mon équilibre. C'est aussi en abandonnant ce qui nous fait du bien que nous pouvons vraiment en prendre la mesure. Et évidemment, le réintroduire dans nos journées. Je vois jour après jour l'importance de m'occuper de moi. C'est le plus beau cadeau que je puisse faire à la vie. A chaque fois que je rencontre dans mon existence des femmes qui viennent d'accoucher, je leur dis Occupe-toi de toi, ne t'oublie pas. Et si j'ai l'occasion de leur faire un cadeau, ce ne sera pas pour la nouvelle prunelle de leurs yeux, mais pour elles. Un massage ou un soin, et si je connais leur hobby, quelque chose qui les y ramène. S'occuper de soi, c'est également de la discipline. Ce mot-là, on ne l'aime pas. Il nous ramène à l'apprentissage scolaire le plus souvent. Mais finalement, c'est avec régularité que nous avons appris le plus pendant les premières années de notre vie. Alors, pourquoi ne pas continuer pour notre plus grand bien et celui de notre entourage ? Quand je prépare mes épisodes, je prends du temps pour moi, à faire ce que j'aime, écrire, créer, transmettre, partager. Parce que tout commence avec... Il était une fois, sept premières fois. Alors même si c'est aujourd'hui, après m'avoir écouté, prenez du temps pour vous. Même deux minutes, mais tous les jours. Faites-le en conscience, sans remords, avec envie, parce que vous l'êtes, en vie. Je vous souhaite de sourire, de vous occuper de vous, de vous aimer, parce que vous rayonnez ce que vous êtes, et que la vie a besoin de vous, le monde a besoin de vous. Il était une fois du temps pour soi. Si vous avez aimé cette première rencontre, ce premier épisode, abonnez-vous et n'hésitez pas à le diffuser. Je vous invite également à le noter sur les différentes plateformes d'écoute. Je reviendrai tous les 15 jours partager avec vous mes déclics et mes réflexions. En attendant, prenez soin de vous et, évidemment, prenez du temps pour vous.

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  • Introduction

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Excepté la santé, le temps est ce que nous avons de plus précieux pour nous. Le plus souvent nous le consacrons aux autres (famille, amis, travail). Nous le consommons au quotidien. Une journée en entraîne une autre et ... demain, promis, demain je m'occuperai de moi. Mais pour pouvoir s'occuper au mieux des autres ne devons-nous pas commencer par s'occuper de nous ?!


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  • Speaker #0

    Bonjour. Vous ne voyez pas, mais j'espère que vous l'entendrez. Je souris. Je cherchais depuis des semaines le sujet de mon premier épisode. C'est important, n'est-ce pas ? La première impression. Il paraît qu'on a cette chance une seule fois. Et encore. Les 30 premières secondes. Alors forcément, je cherchais LE sujet. Celui qui allait donner le ton de ce que je voulais partager avec vous à travers ce podcast. Celui aussi qui allait être le début de cette aventure que nous allions construire. Et ce matin. Quelques amis très proches, même si je ne les vois pas toutes souvent. Plus de parents, car ils sont décédés il y a plusieurs années. Deux sœurs, plus jeunes. J'ai toujours aimé raconter les histoires des autres. Celles qui m'avaient touchée, inspirée, ou qui sont des arguments de vie, ou de vente, selon le contexte. Avec le podcast, il était une fois. Ce sont mes erreurs, mes réussites, mes questionnements et mes déclics que je partage avec vous. Tous ces événements devenus des prises de conscience, je les dépose dans vos oreilles, car on ne sait jamais qui on va inspirer. Reprenons. Finalement, j'aurais pu écrire pour soi mais la formule du temps pour soi regroupe ce que nous avons de plus important. Nous, vous, moi, notre soi, et ce que nous en faisons par le temps. Je ne me suis pas posé la question pendant des années. J'avais tout le temps que je souhaitais. Pour du sport, de la lecture, faire des puzzles, j'étais une grande fan. Cela dit, c'était très très consommateur de place. Des missions variées dans mes jobs que j'adorais effectuer, mes amoureux, mes amis. Pourtant, avec le recul, je sais que je n'ai pas utilisé mon temps à construire vraiment, à me construire surtout. Heureusement, une partie de moi l'a fait. Celle sur laquelle mes objectifs étaient clairement définis. Le boulot. Parce que je savais ce que je voulais devenir Malgré cette détermination Le jour où me l'a proposé ce fameux job de mes rêves Je ne l'avais pourtant pas vu arriver La vie est une farceuse. Mais j'adore Pour la petite histoire Mais j'y reviendrai dans un autre épisode Ce job de directrice commerciale a mis 26 ans à m'être proposé. Cela paraît beaucoup mais en fait j'ai vraiment apprécié le chemin et c'est ça le plus important. Pour ce qui est du temps pour soi, à un moment dans ma vie personnelle, les choses ont dérapé. J'ai dérapé. Je me suis laissé absorber. Phase 1. D'abord un peu dans ma relation avec mon amoureux, avec celui qui est devenu mon mari, puis le père de mes enfants. Tout doucement, sans m'en rendre compte parce que c'était bon, j'ai remplacé le temps pour moi par du temps pour nous. Mon chéri lui arrivait à se garder du temps, pour lui. Je lui en voulais, parce que moi, je n'y arrivais pas. Nous étions ma priorité. Et pourtant, c'est lui qui avait raison. Phase 2. Arrivée de nos enfants. Tornade du temps. J'ai remis des années à m'autoriser à m'occuper de moi en priorité. La première étape a été en mode survie, sans aucune conscience de pourquoi je faisais certains choix. Je devais les faire, tout simplement. Mon corps et ma tête ne m'en laissaient justement pas le choix. J'ai accepté un travail qui m'éloignait de chez moi, me donnait de nouveaux challenges. Je m'obligeais en quelque sorte à m'occuper de moi. Je suis devenue ingénieure commerciale. Je sillonnais le tiers du territoire français. J'étais hyper fatiguée, mais super enthousiaste. Et bizarrement, je respirais de nouveau. Ce qui me permettait, quand je rentrais dans mon cocon familial, d'avoir l'énergie de m'en occuper. Mais je n'avais pas encore compris. Phase 3. Divorce. Je reprenais le temps, mais en mode asphyxie. déménager, se réinstaller, une semaine sur deux sur le terrain, l'autre avec les obligations de maman. Mais moi... Je ne m'en occupais toujours pas. Mon évolution, mon corps, mes pensées, rien. Il y a deux ans et demi, arrêt des jeux. Phase 4, un mois d'arrêt maladie. Pour retrouver la vue, au propre comme au figuré. Là, je me suis enfin écoutée. Pour tout vous dire, j'ai d'abord beaucoup écouté. Des podcasts, des conférences. Les experts de toutes sortes sont formels. La première personne dont je dois m'occuper, c'est moi. Jusqu'alors, je trouvais cela très égoïste. Pourtant, je le disais bien aux autres. Occupez-vous de vous, sinon comment pourrez-vous vous occuper de votre entourage ? Mais je n'avais toujours pas compris ce qui était, pour moi, s'occuper de soi. Je n'avais pas pris le temps de savoir ce qui était important pour moi. Mes moteurs ? Où étaient mes vibrations fortes ? Mes valeurs. Depuis, j'ai trouvé. Et c'est pour cela que nous sommes ensemble en ce moment. Mon premier pas a été la méditation, tous les matins. 5, 10, 15 minutes, parfois plus, selon que j'en ressente ou pas le besoin. Maintenant seule, ou avec mon copain Petit Bambou, ou d'autres programmes selon ce que je souhaite approfondir. L'abondance, la meilleure version de moi. Je m'écoute. J'ai trouvé mon outil et je l'adapte selon mes besoins. Et le sport, tous les matins. Enfin, presque. Je commence donc mes journées, quoi qu'il arrive, par m'occuper de moi. Parce que le quotidien vous rattrape autrement, toujours. Pendant le confinement, j'ai eu un problème de dos. J'avais arrêté le sport. Erreur. Je sais maintenant que j'aurais dû me forcer à aller marcher. J'ai déréglé mon équilibre. C'est aussi en abandonnant ce qui nous fait du bien que nous pouvons vraiment en prendre la mesure. Et évidemment, le réintroduire dans nos journées. Je vois jour après jour l'importance de m'occuper de moi. C'est le plus beau cadeau que je puisse faire à la vie. A chaque fois que je rencontre dans mon existence des femmes qui viennent d'accoucher, je leur dis Occupe-toi de toi, ne t'oublie pas. Et si j'ai l'occasion de leur faire un cadeau, ce ne sera pas pour la nouvelle prunelle de leurs yeux, mais pour elles. Un massage ou un soin, et si je connais leur hobby, quelque chose qui les y ramène. S'occuper de soi, c'est également de la discipline. Ce mot-là, on ne l'aime pas. Il nous ramène à l'apprentissage scolaire le plus souvent. Mais finalement, c'est avec régularité que nous avons appris le plus pendant les premières années de notre vie. Alors, pourquoi ne pas continuer pour notre plus grand bien et celui de notre entourage ? Quand je prépare mes épisodes, je prends du temps pour moi, à faire ce que j'aime, écrire, créer, transmettre, partager. Parce que tout commence avec... Il était une fois, sept premières fois. Alors même si c'est aujourd'hui, après m'avoir écouté, prenez du temps pour vous. Même deux minutes, mais tous les jours. Faites-le en conscience, sans remords, avec envie, parce que vous l'êtes, en vie. Je vous souhaite de sourire, de vous occuper de vous, de vous aimer, parce que vous rayonnez ce que vous êtes, et que la vie a besoin de vous, le monde a besoin de vous. Il était une fois du temps pour soi. Si vous avez aimé cette première rencontre, ce premier épisode, abonnez-vous et n'hésitez pas à le diffuser. Je vous invite également à le noter sur les différentes plateformes d'écoute. Je reviendrai tous les 15 jours partager avec vous mes déclics et mes réflexions. En attendant, prenez soin de vous et, évidemment, prenez du temps pour vous.

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  • Introduction

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Excepté la santé, le temps est ce que nous avons de plus précieux pour nous. Le plus souvent nous le consacrons aux autres (famille, amis, travail). Nous le consommons au quotidien. Une journée en entraîne une autre et ... demain, promis, demain je m'occuperai de moi. Mais pour pouvoir s'occuper au mieux des autres ne devons-nous pas commencer par s'occuper de nous ?!


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Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour. Vous ne voyez pas, mais j'espère que vous l'entendrez. Je souris. Je cherchais depuis des semaines le sujet de mon premier épisode. C'est important, n'est-ce pas ? La première impression. Il paraît qu'on a cette chance une seule fois. Et encore. Les 30 premières secondes. Alors forcément, je cherchais LE sujet. Celui qui allait donner le ton de ce que je voulais partager avec vous à travers ce podcast. Celui aussi qui allait être le début de cette aventure que nous allions construire. Et ce matin. Quelques amis très proches, même si je ne les vois pas toutes souvent. Plus de parents, car ils sont décédés il y a plusieurs années. Deux sœurs, plus jeunes. J'ai toujours aimé raconter les histoires des autres. Celles qui m'avaient touchée, inspirée, ou qui sont des arguments de vie, ou de vente, selon le contexte. Avec le podcast, il était une fois. Ce sont mes erreurs, mes réussites, mes questionnements et mes déclics que je partage avec vous. Tous ces événements devenus des prises de conscience, je les dépose dans vos oreilles, car on ne sait jamais qui on va inspirer. Reprenons. Finalement, j'aurais pu écrire pour soi mais la formule du temps pour soi regroupe ce que nous avons de plus important. Nous, vous, moi, notre soi, et ce que nous en faisons par le temps. Je ne me suis pas posé la question pendant des années. J'avais tout le temps que je souhaitais. Pour du sport, de la lecture, faire des puzzles, j'étais une grande fan. Cela dit, c'était très très consommateur de place. Des missions variées dans mes jobs que j'adorais effectuer, mes amoureux, mes amis. Pourtant, avec le recul, je sais que je n'ai pas utilisé mon temps à construire vraiment, à me construire surtout. Heureusement, une partie de moi l'a fait. Celle sur laquelle mes objectifs étaient clairement définis. Le boulot. Parce que je savais ce que je voulais devenir Malgré cette détermination Le jour où me l'a proposé ce fameux job de mes rêves Je ne l'avais pourtant pas vu arriver La vie est une farceuse. Mais j'adore Pour la petite histoire Mais j'y reviendrai dans un autre épisode Ce job de directrice commerciale a mis 26 ans à m'être proposé. Cela paraît beaucoup mais en fait j'ai vraiment apprécié le chemin et c'est ça le plus important. Pour ce qui est du temps pour soi, à un moment dans ma vie personnelle, les choses ont dérapé. J'ai dérapé. Je me suis laissé absorber. Phase 1. D'abord un peu dans ma relation avec mon amoureux, avec celui qui est devenu mon mari, puis le père de mes enfants. Tout doucement, sans m'en rendre compte parce que c'était bon, j'ai remplacé le temps pour moi par du temps pour nous. Mon chéri lui arrivait à se garder du temps, pour lui. Je lui en voulais, parce que moi, je n'y arrivais pas. Nous étions ma priorité. Et pourtant, c'est lui qui avait raison. Phase 2. Arrivée de nos enfants. Tornade du temps. J'ai remis des années à m'autoriser à m'occuper de moi en priorité. La première étape a été en mode survie, sans aucune conscience de pourquoi je faisais certains choix. Je devais les faire, tout simplement. Mon corps et ma tête ne m'en laissaient justement pas le choix. J'ai accepté un travail qui m'éloignait de chez moi, me donnait de nouveaux challenges. Je m'obligeais en quelque sorte à m'occuper de moi. Je suis devenue ingénieure commerciale. Je sillonnais le tiers du territoire français. J'étais hyper fatiguée, mais super enthousiaste. Et bizarrement, je respirais de nouveau. Ce qui me permettait, quand je rentrais dans mon cocon familial, d'avoir l'énergie de m'en occuper. Mais je n'avais pas encore compris. Phase 3. Divorce. Je reprenais le temps, mais en mode asphyxie. déménager, se réinstaller, une semaine sur deux sur le terrain, l'autre avec les obligations de maman. Mais moi... Je ne m'en occupais toujours pas. Mon évolution, mon corps, mes pensées, rien. Il y a deux ans et demi, arrêt des jeux. Phase 4, un mois d'arrêt maladie. Pour retrouver la vue, au propre comme au figuré. Là, je me suis enfin écoutée. Pour tout vous dire, j'ai d'abord beaucoup écouté. Des podcasts, des conférences. Les experts de toutes sortes sont formels. La première personne dont je dois m'occuper, c'est moi. Jusqu'alors, je trouvais cela très égoïste. Pourtant, je le disais bien aux autres. Occupez-vous de vous, sinon comment pourrez-vous vous occuper de votre entourage ? Mais je n'avais toujours pas compris ce qui était, pour moi, s'occuper de soi. Je n'avais pas pris le temps de savoir ce qui était important pour moi. Mes moteurs ? Où étaient mes vibrations fortes ? Mes valeurs. Depuis, j'ai trouvé. Et c'est pour cela que nous sommes ensemble en ce moment. Mon premier pas a été la méditation, tous les matins. 5, 10, 15 minutes, parfois plus, selon que j'en ressente ou pas le besoin. Maintenant seule, ou avec mon copain Petit Bambou, ou d'autres programmes selon ce que je souhaite approfondir. L'abondance, la meilleure version de moi. Je m'écoute. J'ai trouvé mon outil et je l'adapte selon mes besoins. Et le sport, tous les matins. Enfin, presque. Je commence donc mes journées, quoi qu'il arrive, par m'occuper de moi. Parce que le quotidien vous rattrape autrement, toujours. Pendant le confinement, j'ai eu un problème de dos. J'avais arrêté le sport. Erreur. Je sais maintenant que j'aurais dû me forcer à aller marcher. J'ai déréglé mon équilibre. C'est aussi en abandonnant ce qui nous fait du bien que nous pouvons vraiment en prendre la mesure. Et évidemment, le réintroduire dans nos journées. Je vois jour après jour l'importance de m'occuper de moi. C'est le plus beau cadeau que je puisse faire à la vie. A chaque fois que je rencontre dans mon existence des femmes qui viennent d'accoucher, je leur dis Occupe-toi de toi, ne t'oublie pas. Et si j'ai l'occasion de leur faire un cadeau, ce ne sera pas pour la nouvelle prunelle de leurs yeux, mais pour elles. Un massage ou un soin, et si je connais leur hobby, quelque chose qui les y ramène. S'occuper de soi, c'est également de la discipline. Ce mot-là, on ne l'aime pas. Il nous ramène à l'apprentissage scolaire le plus souvent. Mais finalement, c'est avec régularité que nous avons appris le plus pendant les premières années de notre vie. Alors, pourquoi ne pas continuer pour notre plus grand bien et celui de notre entourage ? Quand je prépare mes épisodes, je prends du temps pour moi, à faire ce que j'aime, écrire, créer, transmettre, partager. Parce que tout commence avec... Il était une fois, sept premières fois. Alors même si c'est aujourd'hui, après m'avoir écouté, prenez du temps pour vous. Même deux minutes, mais tous les jours. Faites-le en conscience, sans remords, avec envie, parce que vous l'êtes, en vie. Je vous souhaite de sourire, de vous occuper de vous, de vous aimer, parce que vous rayonnez ce que vous êtes, et que la vie a besoin de vous, le monde a besoin de vous. Il était une fois du temps pour soi. Si vous avez aimé cette première rencontre, ce premier épisode, abonnez-vous et n'hésitez pas à le diffuser. Je vous invite également à le noter sur les différentes plateformes d'écoute. Je reviendrai tous les 15 jours partager avec vous mes déclics et mes réflexions. En attendant, prenez soin de vous et, évidemment, prenez du temps pour vous.

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