- Speaker #0
Bienvenue dans Ils sont l'avenir de Nice, le premier podcast à vous faire découvrir l'histoire inspirante de ces commerçants et entrepreneurs qui façonnent notre quartier et le business de demain. Chaque semaine,
- Speaker #1
Christophe Vremard part à la rencontre de ces niçoises et niçois passionnés et nous plonge dans leur univers. Bonjour à tous, bienvenue pour ce nouvel épisode de Ils sont l'avenir de Nice. Aujourd'hui, j'ai le plaisir d'accueillir Laurence Couturier, fondatrice des choses qu'on aime, rue de Flies à Nice. Claire, Proxager sur Nice et qui accompagne Laurence ici présente pour ameubler l'ensemble des nouvelles acquisitions américaines et françaises sur Nice. Merci à vous, bienvenue pour ce nouvel épisode. Laurence, tu es passée du monde du cinéma au monde du commerce de proximité en lançant ton concept store multicréateur. Est-ce que tu peux nous expliquer ce que vont découvrir nos auditeurs qui vont pousser ta porte ?
- Speaker #0
Alors oui, bien sûr. Oui, je suis passée du monde du cinéma à ce monde du commerce. Moi, j'en avais assez de voyager dans le monde entier. Et c'est ce que j'ai fait pendant de nombreuses années. Et donc, j'avais vraiment envie de m'ancrer dans une ville, dans ma ville, dans un quartier, dans une communauté. C'était vraiment ça l'idée. Donc, je me suis installée dans ce quartier de la rue de Fli. Et je voulais créer un endroit justement qui reflète tous ces voyages, toutes ces inspirations que j'ai eues en allant un peu me balader partout pour faire des films. Et aussi me relier justement à cette histoire de cinéma dans l'idée de faire ce que je fais le mieux, c'est-à-dire de raconter des histoires quand même. Donc c'était ça l'idée. Et avec des objets, raconter des histoires qui m'ont inspirée toute ma vie. C'était vraiment ça le lien. Quand on pousse la porte de ma boutique, qui est en général ouverte d'ailleurs, on trouve ça, on trouve des histoires racontées de gens mélangés. Il y a de tout, c'est comme le cinéma. Il y a de l'industrie, il y a de l'artisanat et il y a de l'art. Et donc, il y a des choses qui sont produites en nombre, mais qui sont du coup des choses belles et accessibles et chinées et trouvées. Il y a de l'artisanat fait par des gens qu'on connaît et puis il y a de l'art. Il y a des photos, des sculptures, des choses comme ça. C'était ce mélange-là que je voulais qu'on trouve chez moi.
- Speaker #1
Donc une belle histoire qui se raconte à chaque fois que l'on pousse ta porte. Et cette histoire aujourd'hui, on peut pousser ta porte et on peut également aller la découvrir ailleurs grâce notamment à Claire de Chambure, un homesteader, qui travaille avec toi et en partenariat avec toi pour... emmener effectivement toutes ces ambiances, toutes ces histoires, toutes ces atmosphères dans des appartements, dans des maisons pour les valoriser. Est-ce que tu peux nous en dire un petit peu plus sur cette logique effectivement d'homesteading et qu'est-ce que ça apporte et pourquoi une collaboration avec les choses qu'on aime ?
- Speaker #2
On a quelque chose en commun toutes les deux, c'est susciter de l'émotion. Moi, mon métier, c'est susciter de l'émotion dans un achat immobilier pour que les gens aient le coup de cœur. Et le coup de cœur... ça passe par beaucoup de choses et surtout des petits objets. Et quand je suis rentrée chez Laurence la première fois, c'est tout ce qu'on aime. La boutique, c'est le nom de la boutique, mais c'est vraiment ça, parce qu'elle a vraiment un œil de chineuse d'aller trouver exactement ce qu'il faut partout. Et c'est un espèce de mélange de très bons goûts et de choses très différentes. Chez elle, je trouve des petits plateaux, je trouve des petits objets. des coussins merveilleux, des affiches, des œuvres d'art que je peux mettre au mur, qui reflètent généralement aussi assez bien le territoire, puisque c'est généralement des artistes locaux. Et donc, c'est une bonne adaptation, pouvoir mettre l'un avec l'autre, pour pouvoir proposer quelque chose qui part de l'émotion, de l'amour.
- Speaker #0
L'histoire. L'histoire qu'on a. Voilà.
- Speaker #1
Voilà. Donc finalement, tout ça, c'est une continuité. Et donc l'intérêt, effectivement, c'est que ça te ramène, toi, Laurence, nouvelle typologie aussi de clientèle qui n'aurait pas forcément connu ta boutique et ton magasin. Et est-ce que ça a un impact aujourd'hui important ? Est-ce que c'est des choses que tu as démultipliées avec d'autres sujets ? Ou est-ce que tu es vraiment aujourd'hui plus tournée toujours vers le passage physique ?
- Speaker #0
Depuis que j'y suis installée, Je veux absolument être partout. Ça a toujours été un peu mon caractère, mais c'est vrai que la présence physique, c'est la chose la plus importante pour moi. C'est rencontrer les gens, partager, faire passer la beauté. Vraiment, cette idée du partage de la beauté éthique, de comment créer autour de chaque personne un environnement délicieux, délicat, qui fait que quand on se réveille le matin, on est content d'être là et justement que ça inscrive un sourire sur un visage malgré tout. C'est vraiment la base de ma boutique, la rencontre. Mais du coup... d'exporter ça, que ce soit avec Claire dans des appartements qu'elle présente et qui se vendent, à des acheteurs qui du coup savent que ça vient de chez moi, à d'autres agents immobiliers qui aussi renvoient chez moi ou préparent des appartements vendus avec des choses de chez moi. Donc du coup, ça c'est aussi une extension de la boutique. Aller installer un bureau chez des médecins ou chez des avocats, comme je le fais aussi, ça crée... quelque chose de plus cool et de plus détendu à l'intérieur d'un cabinet d'avocat ou d'architecte. Et vraiment, c'est aussi une demande. Donc voilà, c'est aller partout. Et même juste au Festival de Cannes, dans des bureaux qui viennent de souvent. Oui, c'est ça. C'est ça, je mélange. J'ai mes amis du Festival de Cannes. Je vais organiser des bureaux là-bas pour la quinzaine. Donc du coup, voilà, je fais feu de tout bois. Dès que je peux parler de moi, j'y vais. De la boutique,
- Speaker #1
en l'occurrence.
- Speaker #0
Et c'est ça, parce qu'en fait, bien entendu, c'est ça, la boutique, c'est ça, c'est ce mélange de rencontres avec des fournisseurs, même importants, mais avec qui il y a une relation qui s'établit, des artisans, les objets que je présente, qui sont des objets d'artisans, je connais tout le monde, je connais à qui je parle, qui fabrique des choses. en pensant à nous, à la boutique, à mes clientes, etc. Et puis les artistes, je n'en parle même pas. Eux, ils créent et puis moi, je suis un relais pour que leur création passe. Donc c'est vraiment un lieu de rencontre, en fait. C'est vraiment ça, l'idée de ce lieu.
- Speaker #1
Et donc cette rencontre, toi, tu l'externalises en réalité. C'est-à-dire qu'aujourd'hui, tu multiplies ces lieux de rencontre. Le dernier chantier, par exemple, que tu as fait avec Laurence, c'est quoi ?
- Speaker #2
et qui était merveilleux, c'était au coin de chez elle,
- Speaker #0
c'était Place de Garibaldi.
- Speaker #2
Donc c'était génial. Je descendais, s'il me manquait quelque chose, je descendais. D'abord, j'avais trouvé tout ce qu'il fallait, et ensuite, j'allais rajouter des petites touches comme il faut. Et puis on a fait, parce qu'à force de présenter mon métier, j'aime bien aussi présenter les gens qui m'aident et mes partenariats, donc on a fait une vidéo avec Laurence. Et j'aime bien mettre en avant, en lumière, les gens avec qui je travaille. Donc, je fais des petites vidéos qui avaient très bien marché.
- Speaker #0
Qui avaient très bien marché. Oui, les réseaux sociaux, c'est quand même très important comme visibilité. C'est une vitrine. Moi, j'arrive et je ne pars de rien, en fait. C'est vraiment une création de boutique. Je ne bénéficie d'aucun background.
- Speaker #1
Deux ans déjà.
- Speaker #0
Ça fait deux ans et demi, oui. C'est ça, octobre 22. Donc du coup... C'est vrai que tout ça, c'était à créer. La clientèle était à créer. Et l'image, enfin, tout était à créer dans cette aventure. Et c'était ça qui, moi, m'a passionnée. Enfin, je me passionne encore tous les jours. Ça, c'est génial.
- Speaker #1
Ça permet d'abonner.
- Speaker #0
Exactement. Exactement. Et justement, de se découvrir des choses les uns les autres.
- Speaker #1
Tout quand on a des objets, quand on amène effectivement de l'esthétisme, de l'art, de la beauté, comme tu le fais. C'est vrai que c'est extrêmement porteur.
- Speaker #0
Très porteur. Et puis, on peut s'amuser, on peut faire des bouts de plantes.
- Speaker #1
On se demande même s'ils n'ont pas créé le mot Instagramable juste pour les objets qui sont dans ta boutique. Moi, j'espère. Un peu.
- Speaker #0
Bien.
- Speaker #2
Non, c'est vrai, ça crée vraiment. Et puis, l'avantage de la boutique, c'est que tu peux y passer à quelques jours d'intervalle. Il y a toujours une nouveauté ou quelque chose qui va se passer. Et ça, c'est merveilleux. Ce n'est pas quelque chose de statique. Comme elle disait au départ, on adore le présentiel. Mais le présentiel, on l'a appris maintenant, passe aussi par les discussions et l'exposition sur ces réseaux qui nous sont indispensables,
- Speaker #0
vraiment.
- Speaker #1
Qui vient du cinéma. Est-ce qu'il y a effectivement un lien entre ta vie d'aujourd'hui et ta vie d'hier ? C'est-à-dire qu'aujourd'hui, pour faire un bon film, on sait qu'il y a une multiplicité d'intérêt. qui est intervenante, qui a effectivement l'importance d'un script, de l'histoire. Et finalement, maintenant que tu as deux ans et demi d'activité en tant qu'entrepreneur, en tant que commerçante, est-ce qu'il n'y a pas finalement une similitude entre le succès d'un bon film et le succès d'un commerce ?
- Speaker #0
Moi, je trouve qu'il y a beaucoup de similitudes. Mais il y a une chose qui était très, très importante dans ma démarche, c'était que je voulais devenir ma patronne, la propre patronne de mes idées. En fait, pendant 40 ans, j'ai... J'ai beaucoup travaillé, je fais beaucoup de films, et donc j'ai travaillé avec plein de gens, j'ai donné plein d'aides, d'idées, c'était mon travail. Mais il y a eu vraiment un moment où je me suis dit, tout ça, toute cette énergie, tout ce talent éventuel, je vais le mettre à mon service, à moi, en fait. Je vais tout réunir, cette énergie-là, et je vais la mettre pour moi. Et en fait, c'est les fruits de ça que je récolte aujourd'hui. C'est les fruits de mettre toute cette énergie à mon service, au service de ma boutique et de mon projet. Et en fait, j'ai tendance à dire, on fait des films, on les fait pour que les gens les voient, mais ce n'est pas ça qui nous guide quand on fabrique des films. On fabrique un film pour qu'il soit le meilleur possible selon l'idée du créateur du film. Mise en scène, producteur, mais il y a toujours une idée principale. Et de la même manière, la boutique... Pour moi, les choses colonnes, c'est vraiment ça. Je fais une boutique, bien entendu, que je veux vendre, évidemment. Mais je ne veux pas nécessairement avoir dans ma boutique des choses qui se vendent très bien, et je le sais, mais qu'on trouve partout, ou qui, moi, me plaisent plus ou moins, etc. Il n'y a rien qui rentre dans ma boutique qui ne me plaise profondément. Et en fait, pour le vendre, et c'est même fait, pour le proposer aux autres, j'ai besoin, moi, de savoir que... que ça me plaît, que c'est juste, que c'est exactement comme je veux que ce soit. Et ma similitude avec le cinéma, il est là. Dans ce que je donne aux gens, ils le prennent. C'est merveilleux, ils ne le prennent pas. Tant pis, chacun fait comme il veut. Vraiment, c'est ça. Mais je n'irai pas mettre des choses qui se donnent hyper bien, qu'on trouvera chez Zara ou chez H&M ou des machins comme ça, juste parce que ça se vend bien, en fait. Je ne suis pas là pour ça.
- Speaker #1
Ce qui compte, c'est cette logique. pour toi toujours d'authenticité, d'être en phase avec tes valeurs profondes. Et ça, Claire, tu arrives à le retranscrire ?
- Speaker #2
Oui, parce qu'à chaque fois, les objets racontent toute une histoire. Comme elle dit, on ne peut pas trouver ça dans d'autres boutiques. Et c'est cette histoire qu'on va chercher aussi dans l'objet, l'objet qui est unique, qui est différent, et c'est ça qui est vraiment intéressant.
- Speaker #1
Donc aujourd'hui, Laurence, tu as une... Très belle boutique, Rue de Fli, à Nice. J'invite l'ensemble de nos auditeurs à pousser la porte et à venir te rendre visite. Sans doute vers la porte. La rue de Fli, tu as apporté aussi un dynamisme. C'est une rue qui est en plein renouveau sur Nice. Comment est-ce qu'effectivement tu vois cette vie aujourd'hui du commerce de proximité et l'apport du commerce de proximité à la qualité de vie et à la dynamique qu'il peut y avoir dans une ville et dans une rue ?
- Speaker #0
Nous, la rue de Flee, c'est vraiment une rue merveilleuse. Elle est délicieuse, elle est jolie, elle est large. Maintenant, elle est arborée. Il y a quelque chose de très harmonieux qui se dégage de cette rue. Alors, en ce moment, on rencontre des difficultés liées aux travaux parce qu'effectivement, on est un peu noyé dans les travaux, que ce soit la coulée verte, l'hôpital, etc. Mais ça, ça va s'arrêter un jour. Donc, on va retrouver un équilibre, au contraire, régénéré, j'ai envie de dire, avec des nouvelles personnes qui vont enlever. Grâce à l'hôtel de police, ça c'est certain. Et sans doute par rapport au passage de la coulée verte et tout ça, ça va être sûrement extrêmement bénéfique et dans un moment assez court. Et du coup, les gens ont envie d'avoir des boutiques jolies, de se promener dans des jolies rues, effectivement arborées, où les vitrines sont avenantes, où il y a des gens sur les pas des portes, il y a des chiens assis en face des boutiques, un peu comme chez moi. Les gens, ils apprécient ça. Il y a un côté comme ça pour la promenade, le retour de promenade qui est vraiment très agréable. Donc oui, moi, c'était important de m'inscrire dans la vie de ce quartier, dans mes collègues, mes nouveaux collègues, essayer de donner ce charme qu'on essaye de dégager.
- Speaker #1
C'est vrai que sur la rue de Flé, il y a ce côté village où effectivement, chaque commerçant se connaît, chacun fait travailler ses voisins. Il y a une vraie solidarité, il y a un vrai partage, il y a une vraie authenticité. Merci Claire aussi de pouvoir diffuser tout ça un peu plus loin que simplement notre quartier et la rue des Flies. Et de pouvoir effectivement créer cette logique proactive. Parce que si on attend effectivement que les gens qui descendent, ça devient vite compliqué. Et c'est bien d'avoir effectivement cette approche globale. Si aujourd'hui vous deviez l'une et l'autre donner un conseil à nos auditeurs qui veulent se mettre à leur compte, qui veulent entreprendre. Qu'est-ce que vous leur diriez ?
- Speaker #2
C'est merveilleux, foncez ! Il n'y a rien de mieux que d'être son propre patron, de décider de sa vie et de prendre sa vie en main. et de surtout faire partager les choses qu'on aime. Ce qui est le plus important, c'est partager les choses qu'on aime. Que ce soit Laurence dans sa boutique ou moi, c'est qu'on se lève le matin, on a un plaisir fou à aller faire ce qu'on veut faire.
- Speaker #0
Moi, c'est vraiment sur l'unicité. Bien entendu, il faut faire les choses qu'on aime, c'est sûr. Et puis, il faut se lancer, parce qu'il n'y a rien de mieux que d'être une propre part. Je reprends qu'éterne, c'est absolument le cas. Ici, on est tous rois. Oui. Vraiment pas vaincu. Mais moi, pas pendant 40 ans. Donc, ce n'est pas une découverte, mais quand même, c'est une confirmation de ce que je pensais. Mais le truc le plus important, je trouve, c'est de trouver sa spécificité, de savoir qui on est. C'est-à-dire, effectivement, de proposer des choses uniques, quelles qu'elles soient. En vrai, il n'y a pas de jugement sur ce que ça doit être, mais que ça doit être authentique et on doit donner quelque chose d'extrêmement authentique de soi-même aux autres. Et c'est la clé, je crois. De la rencontre, en tout cas, avec l'autre.
- Speaker #1
Donc, de la passion, de l'authenticité, c'est vraiment le maître mot aujourd'hui. La boutique de proximité qui amène également une expérience client et quelque chose qu'on ne peut pas trouver ailleurs. C'est ça aussi qui est extrêmement important, parce que c'est ça qui se dégage quand on vous écoute toutes les deux.
- Speaker #0
Moi, j'essaye de... J'ai un site internet, bien sûr, où j'essaye de faire... Il ne ressemble à rien, mon site internet. Enfin, à rien. À rien d'habitude. Parce que justement, moi, j'ai tenu à ce que les gens qui vont sur le site Internet, ils aient le même type d'expérience qu'est la boutique.
- Speaker #1
Pour y être aujourd'hui, quoi qu'il arrive sur le digital, c'est extrêmement important. On ne peut pas faire autrement, comme sur Instagram et les réseaux sociaux. C'est une vitrine, c'est une possibilité qu'on offre aux clients pour pouvoir acheter à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit. Mais la véritable expérience, elle naît de la rencontre avec le commerçant. Donc ça, c'est extrêmement important. Qu'est-ce que pourraient faire aujourd'hui nos auditeurs ? pour vous aider d'une manière générale ? Est-ce qu'il y a quelque chose qu'ils pourraient faire au-delà du fait de pousser votre porte ? Est-ce qu'il y a autre chose qu'ils peuvent faire pour vous ?
- Speaker #0
Pousser ma porte, c'est vraiment la chose la plus importante. Indéniablement, je pense qu'ils vont venir chez moi. Mais c'est vrai que du coup, il y a des ateliers, il y a comme ça des moments un peu clés, des moments de photos, des choses comme ça. Alors, ça vaut le coup de s'emparer de ces moments-là pour venir se rencontrer et être plusieurs et vivre un moment... rigolo, sympathique et chouette.
- Speaker #1
Donc suivez sur les réseaux sociaux les choses qu'on aime pour connaître effectivement les events et les prochaines actualités et venir à la rencontre de Laurence et passer un moment fort. Merci à vous pour cet échange. Merci pour ce moment de partage. Pensez à vous abonner à Ils sont l'avenir de Nice. C'est extrêmement important et on se retrouve la semaine prochaine pour un nouvel épisode de... toujours plus inspirant. Et je ne peux que vous inciter et vous inviter, comme je le fais chaque semaine, à consommer local, à descendre, voir vos commerçants, rencontrer vos commerçants et consommer chez vos commerçants, à côté ou en bas de chez vous. Merci. À la semaine prochaine.
- Speaker #0
Merci beaucoup, Christophe. Au revoir.