Gustave Caillebotte - Les Impressionnistes {9/15} #40 cover
Gustave Caillebotte - Les Impressionnistes {9/15} #40 cover
Immergée Submergée - histoire, sport, art & santé mentale

Gustave Caillebotte - Les Impressionnistes {9/15} #40

Gustave Caillebotte - Les Impressionnistes {9/15} #40

19min |08/06/2025
Play
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Gustave Caillebotte - Les Impressionnistes {9/15} #40

Gustave Caillebotte - Les Impressionnistes {9/15} #40

19min |08/06/2025
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Description

Dans cet épisode, je vais vous parler :


  • du Salon des Impressionnistes et de ses exposants,

  • des relations entre Gustave et les autres peintres, notamment Claude MONET et Pierre-Auguste RENOIR.


Un petit bonus à la fin où je vous donnerai quelques infos sur la "touch" Caillebotte.

Ce qu'il peint, ce qui le différencie des autres peintres impressionnistes


Gustave Caillebotte, artiste-peintre, qui a fait partie du mouvement Impressionniste et qui est reconnu en tant que tel uniquement depuis quelques années.

Il était considéré auparavant comme un mécène pour ses amis impressionnistes car il les aidait financièrement en leur achetant leurs toiles.

J'espère que vous aimerez Gustave, comme je l'❤️


Sources - livres :

  • "Gustave Caillebotte, l'impressionniste inconnu", de Stéphanie Chardeau-Botteri, aux éditions Fayard

  • "Caillebotte, la peinture est un jeu sérieux", de Amaury Chardeau, aux éditions Norma.


Si vous aimez cet épisode, vous aimerez les autres qui le concerne, il y a 15 épisodes.


Deux livres, "Gustave Caillebotte, l'impressionniste inconnu", de Stéphanie Chardeau-Botteri, aux éditions Fayard. Et le second, "Caillebotte, la peinture est un jeu sérieux", de Amaury Chardeau, aux éditions Norma.


Si vous avez aimé cet épisode, vous pouvez mettre des étoiles ⭐️ et/ou un gentil commentaire. Vous seriez des amours ❤️ 🙏


Parlez-en autour de vous, si vous aimez vos proches aimeront également 📣


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...


CREDITS :

Voix et montage : Immergée Submergée

Musique : libre de droits - Ikson - Merry

Musique : libre de droits - Ikson - Reverie : Musique

Musique : libre de droits - HolFix - Vlog Time : Musique


Vous pouvez aimer le podcast, si vous aimez les suivants (en tout cas, moi, je les 💖 :

  • Affaires sensibles - Sous les jupons de l'Histoire - Les grandes traversées - Folie Douce - Les gens qui doutent

    Les pieds sur terre - Mécanismes du journalisme - LSD, la série documentaire - Les couilles sur la table


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Aujourd'hui, pendant quelques minutes, je vais vous parler de Gustave Caillebotte, le célèbre peintre impressionniste, mais pas que. Je vais vous parler de lui, son caractère, ses passions, sa vie, sa famille, ses amis. A tout de suite ! Bonjour et bienvenue dans Immergée, Submergée, le podcast où je m'immerge dans les thèmes que j'aime ou que j'ai envie de découvrir, histoire, sport, art, etc. etc. et où j'évoque mes émotions qui me submergent. Ma sentimentale. Dans ce nouvel épisode, le 9ème, je vais parler des relations entre les peintres impressionnistes et en petit bonus, je vais vous donner la petite touch, donner quelques informations sur la petite touch de Gustave. Dans l'épisode précédent, j'ai fini par parler du salon des impressionnistes, donc je vais commencer cet épisode. en reparlant du salon des impressionnistes. Donc il y en aura 8, de 1874 à 1886. La première exposition aura donc lieu en 1874. Gustave a 26 ans et il n'en fait pas partie. Il ne fait pas encore partie du groupe, mais il se déplacera avec son frère Martial pour visiter l'exposition. C'est pour cette première exposition que le mot impressionniste va être donné à ce nouveau courant. Claude Monet présentera... son célèbre Impression Soleil Levant. Un journaliste, également critique, Louis Leroy, travaillant pour le journal satirique nommé le Charivari, s'amusera du mot Impression et qualifiera le groupe d'impressionnistes. Je vais vous donner la liste des participants de cette première exposition. Est-ce que c'est une bonne idée ? Je ne sais pas. Je vais vous faire toute une liste de noms à chaque fois. C'est peut-être pas très intéressant mais bon, il y a peut-être des noms qui vous diront quelque chose ou certains vous aurez... envie de découvrir. Donc la liste des participants pour cette première exposition. Louis Latouche, Ludovic Napoléon, Le Pic, Stanislas Lipin, Jean-Baptiste Levers, Alfred Meilleur, Auguste de Molins, Claude Monet, Berthe Morisot, Giuseppe De Nitis, Auguste Louis-Marie Autain, Léon-Auguste Autain, Camille Pissarro, Pierre-Auguste Renoir, Stanislas Henri Rouart, Léopold Robert, Alfred Sisley et la Comtesse de Luchère. Pardon pour tous ces noms que j'ai probablement écorchés. Deuxième exposition en 1876, Gustave a 28 ans et en début d'année, il reçoit une lettre de Renoir et de Rouart qu'il invite à exposer. Voici la liste des artistes à exposer. Edouard Béliard, Pierre Isidore Bureau, Félix Kals, Ludovic Napoléon Lepic, Jean-Baptiste Levers, Léon-Augustin Autain, Stanislas Henri-Rouard, Edgar Degas, Claude Monet, Berthe Morisot, Camille Pissarro, Renoy, Pierre-Auguste Renoy, Alfred Sisley, Gustave Caillebotte, Marcelin Desboutin, Jacques François, Alphonse Legraux, Jean-Baptiste Millet, le frère de Jean-François Millet, les glaneuses. Ce n'est pas le peintre des glaneuses, c'est son frère Jean-Baptiste Millet qui est là. Et Charles Thillot. L'année suivante, en 1876, c'est la troisième exposition. Gustave a 29 ans et il a pris le leadership avec Renoir pour l'organisation de l'événement. Les deux hommes se chargent des invitations. Les participants sont Cézanne. Guillaumin, donc toujours Caillebotte, Kals, Degas, Jean-François Levers, Monet, Morisot, Pissarro, Renoir, Rouart, Sisley et Tillot, et puis il y a également des nouveaux, Frédéric Cordet, Franck Lamy, Alphonse Moreau et Ludovic Piette. Après cette exposition, Gustave Caillebotte, Pissarro, Renoir et Sisley décidèrent de mettre aux enchères leurs œuvres. Ce n'était pas la meilleure des idées, c'était... Ça a été très humiliant parce que les acheteurs se passaient de main en main les toiles en se moquant et en les tournant dans tous les sens. Ils se sont comportés de cette manière parce que toujours le même journal satirique, le Charivari, avait mentionné dans un article qu'il n'y avait pas de ligne d'horizon chez les peintres impressionnistes, que le ciel et la terre étaient informes, que le bas de la toile pouvait être le haut et inversement. C'est pour ça que tous les acheteurs... tournaient dans tous les sens, la toile, se demandant où était le ciel, où était la terre. Donc la vente a été assez catastrophique, il y a eu peu d'acheteurs sérieux. Gustave Caillebotte renchirera sur ses œufs pour toutes les acheter et les récupérer. En 1878, pas d'exposition, mais de nouvelles mises aux enchères, qui seront également un désastre, les prix d'achat seront dérisoires. Quatrième exposition. en 1879. La liste des participants donc il y a Braquemont et sa femme Marie, Kals, Roar, Tillo, Faurent, Lebourg, Henri Somme, Marie Cassat, Zando Menighi et Gauguin. 1885, cinquième exposition avec 19 participants donc Marie et Félix Braquemont, Caillebotte, Marie Cassat, Tegas, Faurent, Guillaumin, Lebourg, Levers, Berthe Morisot, Pissarro, Jean-François, Raffaelli et JM. Je n'ai pas cherché. Je vous laisse, JM. Jean-Michel, Jean-Marie, comme vous voulez. Pardon, je suis désolée. Rouard, Thillot, Vidal, Vignon, Zandomenegi. On voit que ça ne me passionne pas trop de faire tout un listing de noms, mais voilà. Sixième exposition, 1881. Cassatt, Degas, Faurin, Gauguin, Guillaumin, Morisot, Pissarro, Raffaelli, Rouart, Thillot, Vidal, Vignon et Jean-Dominique. Avant-dernière exposition en 1882, c'est la septième. Il y a quelques participants, mais en fait la plupart... des œuvres qui sont accrochées proviennent de l'inventaire du stock de Monsieur Durand-Ruel. C'est un grand marchand d'art qui était ami avec les impressionnistes. Les œuvres exposées sont de Caillebotte, Gauguin, Monet, Morisot, Pissarro, Renoir, Sisley. La dernière exposition a lieu en 1886, donc c'est la huitième. Les participants sont Madame Braquemont, Cassatt, Degas, Faurin, Gauguin, Guillaumin, Morisot, Pissaropère et Pissarophis, Redon, Rouard, attention, Schuffenerker, Seurat, Signac, Thillot, Vignon, Zandomenegi. L'aventure ne durera pas longtemps, mais l'organisation d'une exposition qui ne fonctionne pas vraiment ne peut pas durer éternellement. Cela aura eu raison de la motivation et de l'investissement des artistes. Le manque d'argent va définitivement ébrécher le groupe. On peut mentionner que Gustave s'est énormément investi dans cette organisation et on peut lire ce que disait de lui la presse. Alors le 13 avril 1879, Paris Journal dit « D'une main ferme, le gouvernail de cette barque qui, sans lui, voguerait peut-être à la dérive. » Le 23 avril 1879, le journal Le Français « Le seul impressionniste sérieux et vraiment convaincu. » Les Stafettes, le 16 avril 1879 « Le plus intransigeant sans comparaison du groupe. » et un autre journal le 1er mai. 1880, le chef actuel des indépendants. Voilà ce qu'on disait sur Gustave, qui aimait organiser tout ça. C'était quelqu'un de très investi et on verra aussi plus tard que c'est vraiment quelqu'un qui s'investit beaucoup. Le groupe se brisera entre ceux qui ont des chances d'exposer au salon officiel et du coup qui s'écartent un peu des copains impressionnistes, ceux qui sont fidèles au groupe, ceux qui invitent de nouveaux artistes à exposer et ceux qui n'acceptent pas que certains ... peintres soient invités, parce qu'ils ne trouvent pas qu'ils ont les qualités artistiques requises pour faire partie du groupe. Donc c'est très compliqué. Et puis Gustave vivra très mal les dernières années, car pour lui cette aventure, c'est une histoire d'amitié. Et lorsqu'une brouille va éclater et que deux gars s'en prendront à Monet et à Renoir, Gustave en sera terriblement meurtri. Il exposera pour l'avant-dernière fois en 1880, lors de la 5e édition, puis claquera la porte, puis reviendra lors de la 7e édition en 1882, car Degas et Raffaelli n'y participeront pas. Le journaliste du réveil le décrit avant l'ouverture. travaillant comme un commissionnaire, exactement comme s'il n'avait pas 150 000 francs de rente. Gustave, c'est le leader, c'est le chef. Gustave a énormément aidé financièrement ses amis en achetant leurs toiles et il en a fait plus avec certains en payant leur atelier, leur logement. Ce trait de caractère à aider les autres provient probablement de son père qui a également fait profiter, comme j'en ai parlé lors du deuxième épisode, si je ne me trompe pas. fait profiter de sa famille, de sa richesse, en les aidant, en leur trouvant un emploi, ou en les logeant. Donc Gustave a vu son père à l'œuvre, et donc il reproduit la même chose. Je vais faire une petite parenthèse. On n'en sait pas énormément sur leur relation, mais on sait que Gustave a eu des amitiés très proches, les deux seuls avec qui il était vraiment ami, c'était Renoir et Monet. Renoir passera souvent les vacances d'été chez lui. Avec Monet, durant la période impressionniste, ils vont travailler ensemble. Ils vont avoir aussi plus tard des passions communes en dehors de la peinture. Claude Monet est un homme qui vit au-dessus de ses moyens. Gustave va énormément l'aider financièrement. Il va lui louer un appartement atelier à côté de la gare Saint-Lazare. Les deux hommes peindront. cette gare et ses alentours ensemble. Puis en 1877, Gustave prend en charge le loyer d'un nouvel appartement et à cette adresse ils peindront encore ensemble. Un jour, Monet choisit une toile de Gustave, un temps de pluie, rue de Paris. Il ne s'en séparera jamais et l'installera à Giverny plus tard dans sa chambre. Aujourd'hui cette toile, cette oeuvre, on peut la voir au musée Marmottan à Paris. La vie d'artiste est sommée de péripéties, comme cette fois où Gustave règle toutes les dettes de monnaie chez des créanciers qui avaient pris en otage ces différents tableaux. Alors ça c'était toute la période impressionniste, et puis il y a après les impressionnistes, parce que comme on a vu, le salon va s'arrêter. Ils vont tous un peu s'éloigner de Paris, donc... Caillebotte, on le verra plus tard, mais il est parti s'installer au petit jeune villier. Monet qui est à Giverny. Pissarro qui est à Erani-sur-Epte. Sisley à Moray-sur-Loin. Quelques années plus tard, après les salons, les amis impressionnistes décideront de se revoir. C'est Monet qui contacte tout le monde pour proposer un dîner mensuel sur Paris. Donc ils seront là le premier jeudi de chaque mois à 19h au Café Riche. Boulevard des Italiens, c'est près de l'Opéra, de la Guerre Saint-Nazaire. Donc c'est déjà un endroit où ils allaient avant. Les invités sont Monet, Pissarro, Renoir, Sisley, Caillebotte, le collectionnaire Beliau, les critiques d'art Duré, Mirabeau ou Malarmé. Je vous laisse deviner. Non, je vous donne la réponse. C'est Gustave qui règle l'ardoise à chaque fois. Dans les écrits que l'on peut retrouver, il y a celui du critique. Gustave Geoffroy qui parle d'un de ses rendez-vous mensuels. Les discussions étaient parfois montées de ton, surtout entre Renoir et Caillebotte. Le premier, nerveux et sarcastique, avec sa voix railleuse, l'espèce de méphitophélisme qui marquait d'ironie et de rire bizarre sa face déjà tourmentée par la maladie. Se faisait un malin plaisir d'exciter le second. Donc le second c'est Gustave. Le second, sanguin et irascible, dont le visage expressif passait du rouge au violet et même au noir lorsque ses opinions étaient heurtées, avec la verve blagueuse qu'aimait alors opposé Renoir. Il montrait alors une fougue qui allait jusqu'à une colère d'ailleurs inoffensive. Le débat comportait non seulement des opinions sur l'art et la peinture, mais surtout les sujets de littérature, de politique, de philosophie, vers lesquels s'élançait de la bonne foi de Caillebotte, grand liseur de livres, de revues et de journaux. Renoir s'est mis au courant de tout en achetant un dictionnaire encyclopédique où il trouvait des arguments pour coller Caillebotte. Je me souviens d'un véritable tournoi pour et contre Victor Hugo, où toutes les passions donnèrent, toutes les ardeurs et toutes les sagesses, et d'où tout le monde sortit réconcilié pour aller s'installer à quelques terrasses de café devant le spectacle toujours féerique de Paris le soir. D'autres fois aussi, les discussions continuaient à la sortie sur le boulevard, et je crois bien même qu'il y en a qui n'ont jamais été terminées. Le récap de mon immersion, ce que je retiens, c'est toujours personnel, souvent. Je ressens Gustave Caillebotte comme un grand hypersensible, n'aimant pas qu'on dise du mal de ses amis, un caractère sanguin colérique. Un homme à fleurs de peau, avec ses émotions, et très généreux en donnant de l'argent à ses amis. Bref, Gustave, j'imagine l'être humain, et Joël, comme je l'ai déjà dit plusieurs fois, je ressens mon empathie pour lui. Petit bonus, l'épisode n'est pas encore terminé, je voulais juste vous faire parler de la touch. Gustave Caillebotte. Je ne vais pas vous faire une étude de chaque tableau de Gustave, parce que, premièrement, je n'ai pas le temps, et deuxièmement... Je ne donnais pas les connaissances pour le faire. Et même si ça me botte d'apprendre et de le faire, et de prendre du temps pour, j'ai tellement de projets à faire avant que ce soit dans le futur. Et je n'ai pas envie. Je reviens à Gustave. Ce que je peux vous dire, c'est qu'à la différence de ses copains de peintre, Gustave peignait vraiment ce qu'il avait envie. Ce n'était que plaisir pour lui. Il avait de l'argent, donc il n'a pas eu besoin de répondre à des commandes pour de l'argent. de brosser un portrait enjôleur d'un client bourgeois, voulant montrer sa grandeur ou vouloir peindre quelque chose de plus commercial dans l'air du temps, qui pourrait plaire et donc recevoir l'argent d'une vente. Gustave peint principalement ses proches, sa famille, ses amis, les personnes qui l'entourent. Il reste dans un petit cercle restreint et principalement dans ses lieux, ceux qu'il connaît. Gustave est un réfléchi, un minutieux. On sait par exemple que pour les raboteurs, Il va dessiner plusieurs modèles, étudier tous les angles pour trouver la meilleure composition. Tout a un sens, tout veut dire quelque chose pour lui. Donc, ma petite immersion pour cette petite partie-là, ce petit bonus. Gustave, il peint l'intime, il peint ses proches, les lieux dans lesquels il vit. Il fait ce qu'il veut, ce qu'il aime, car il n'a pas besoin d'en vivre. Je le sens réservé, timide au contact des doutes. Ce petit épisode montre peut-être son petit... côté casanier, qui n'aime pas être en société. Dans le prochain épisode, je vais vous parler du businessman qui investissait dans les projets de ses amis. Bon, le businessman, c'est Gustave. On le verra dans le prochain épisode, le dixième. Pour cette série consacrée à Gustave Caillebotte, je vous donne mes sources. Deux livres, "Gustave Caillebotte, l'impressionniste inconnu", de Stéphanie Chardeau-Botteri, aux éditions Fayard. Et le second, "Caillebotte, la peinture est un jeu sérieux", de Amaury Chardeau, aux éditions Norma. J'ai également trouvé d'autres informations sur différents sites, que je ne peux pas nommer, parce que c'était sur des recherches pour recouper des informations. Voilà, vous avez mes sources. Je vous remercie de m'avoir écouté. J'espère que l'épisode vous a plu. Si c'est le cas... vous pouvez mettre des étoiles et un gentil petit commentaire sur votre plateforme d'écoute. Vous seriez des amours. Vous pouvez également vous abonner au podcast, toujours sur votre plateforme d'écoute, pour ne pas louper les prochains épisodes. Dans la description, vous trouverez les différentes sources que j'ai évoquées lors de l'épisode, ainsi que les réseaux sociaux où vous pouvez me suivre. Prenez soin de vous. Bisous tout plein !

Description

Dans cet épisode, je vais vous parler :


  • du Salon des Impressionnistes et de ses exposants,

  • des relations entre Gustave et les autres peintres, notamment Claude MONET et Pierre-Auguste RENOIR.


Un petit bonus à la fin où je vous donnerai quelques infos sur la "touch" Caillebotte.

Ce qu'il peint, ce qui le différencie des autres peintres impressionnistes


Gustave Caillebotte, artiste-peintre, qui a fait partie du mouvement Impressionniste et qui est reconnu en tant que tel uniquement depuis quelques années.

Il était considéré auparavant comme un mécène pour ses amis impressionnistes car il les aidait financièrement en leur achetant leurs toiles.

J'espère que vous aimerez Gustave, comme je l'❤️


Sources - livres :

  • "Gustave Caillebotte, l'impressionniste inconnu", de Stéphanie Chardeau-Botteri, aux éditions Fayard

  • "Caillebotte, la peinture est un jeu sérieux", de Amaury Chardeau, aux éditions Norma.


Si vous aimez cet épisode, vous aimerez les autres qui le concerne, il y a 15 épisodes.


Deux livres, "Gustave Caillebotte, l'impressionniste inconnu", de Stéphanie Chardeau-Botteri, aux éditions Fayard. Et le second, "Caillebotte, la peinture est un jeu sérieux", de Amaury Chardeau, aux éditions Norma.


Si vous avez aimé cet épisode, vous pouvez mettre des étoiles ⭐️ et/ou un gentil commentaire. Vous seriez des amours ❤️ 🙏


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  • Affaires sensibles - Sous les jupons de l'Histoire - Les grandes traversées - Folie Douce - Les gens qui doutent

    Les pieds sur terre - Mécanismes du journalisme - LSD, la série documentaire - Les couilles sur la table


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Transcription

  • Speaker #0

    Aujourd'hui, pendant quelques minutes, je vais vous parler de Gustave Caillebotte, le célèbre peintre impressionniste, mais pas que. Je vais vous parler de lui, son caractère, ses passions, sa vie, sa famille, ses amis. A tout de suite ! Bonjour et bienvenue dans Immergée, Submergée, le podcast où je m'immerge dans les thèmes que j'aime ou que j'ai envie de découvrir, histoire, sport, art, etc. etc. et où j'évoque mes émotions qui me submergent. Ma sentimentale. Dans ce nouvel épisode, le 9ème, je vais parler des relations entre les peintres impressionnistes et en petit bonus, je vais vous donner la petite touch, donner quelques informations sur la petite touch de Gustave. Dans l'épisode précédent, j'ai fini par parler du salon des impressionnistes, donc je vais commencer cet épisode. en reparlant du salon des impressionnistes. Donc il y en aura 8, de 1874 à 1886. La première exposition aura donc lieu en 1874. Gustave a 26 ans et il n'en fait pas partie. Il ne fait pas encore partie du groupe, mais il se déplacera avec son frère Martial pour visiter l'exposition. C'est pour cette première exposition que le mot impressionniste va être donné à ce nouveau courant. Claude Monet présentera... son célèbre Impression Soleil Levant. Un journaliste, également critique, Louis Leroy, travaillant pour le journal satirique nommé le Charivari, s'amusera du mot Impression et qualifiera le groupe d'impressionnistes. Je vais vous donner la liste des participants de cette première exposition. Est-ce que c'est une bonne idée ? Je ne sais pas. Je vais vous faire toute une liste de noms à chaque fois. C'est peut-être pas très intéressant mais bon, il y a peut-être des noms qui vous diront quelque chose ou certains vous aurez... envie de découvrir. Donc la liste des participants pour cette première exposition. Louis Latouche, Ludovic Napoléon, Le Pic, Stanislas Lipin, Jean-Baptiste Levers, Alfred Meilleur, Auguste de Molins, Claude Monet, Berthe Morisot, Giuseppe De Nitis, Auguste Louis-Marie Autain, Léon-Auguste Autain, Camille Pissarro, Pierre-Auguste Renoir, Stanislas Henri Rouart, Léopold Robert, Alfred Sisley et la Comtesse de Luchère. Pardon pour tous ces noms que j'ai probablement écorchés. Deuxième exposition en 1876, Gustave a 28 ans et en début d'année, il reçoit une lettre de Renoir et de Rouart qu'il invite à exposer. Voici la liste des artistes à exposer. Edouard Béliard, Pierre Isidore Bureau, Félix Kals, Ludovic Napoléon Lepic, Jean-Baptiste Levers, Léon-Augustin Autain, Stanislas Henri-Rouard, Edgar Degas, Claude Monet, Berthe Morisot, Camille Pissarro, Renoy, Pierre-Auguste Renoy, Alfred Sisley, Gustave Caillebotte, Marcelin Desboutin, Jacques François, Alphonse Legraux, Jean-Baptiste Millet, le frère de Jean-François Millet, les glaneuses. Ce n'est pas le peintre des glaneuses, c'est son frère Jean-Baptiste Millet qui est là. Et Charles Thillot. L'année suivante, en 1876, c'est la troisième exposition. Gustave a 29 ans et il a pris le leadership avec Renoir pour l'organisation de l'événement. Les deux hommes se chargent des invitations. Les participants sont Cézanne. Guillaumin, donc toujours Caillebotte, Kals, Degas, Jean-François Levers, Monet, Morisot, Pissarro, Renoir, Rouart, Sisley et Tillot, et puis il y a également des nouveaux, Frédéric Cordet, Franck Lamy, Alphonse Moreau et Ludovic Piette. Après cette exposition, Gustave Caillebotte, Pissarro, Renoir et Sisley décidèrent de mettre aux enchères leurs œuvres. Ce n'était pas la meilleure des idées, c'était... Ça a été très humiliant parce que les acheteurs se passaient de main en main les toiles en se moquant et en les tournant dans tous les sens. Ils se sont comportés de cette manière parce que toujours le même journal satirique, le Charivari, avait mentionné dans un article qu'il n'y avait pas de ligne d'horizon chez les peintres impressionnistes, que le ciel et la terre étaient informes, que le bas de la toile pouvait être le haut et inversement. C'est pour ça que tous les acheteurs... tournaient dans tous les sens, la toile, se demandant où était le ciel, où était la terre. Donc la vente a été assez catastrophique, il y a eu peu d'acheteurs sérieux. Gustave Caillebotte renchirera sur ses œufs pour toutes les acheter et les récupérer. En 1878, pas d'exposition, mais de nouvelles mises aux enchères, qui seront également un désastre, les prix d'achat seront dérisoires. Quatrième exposition. en 1879. La liste des participants donc il y a Braquemont et sa femme Marie, Kals, Roar, Tillo, Faurent, Lebourg, Henri Somme, Marie Cassat, Zando Menighi et Gauguin. 1885, cinquième exposition avec 19 participants donc Marie et Félix Braquemont, Caillebotte, Marie Cassat, Tegas, Faurent, Guillaumin, Lebourg, Levers, Berthe Morisot, Pissarro, Jean-François, Raffaelli et JM. Je n'ai pas cherché. Je vous laisse, JM. Jean-Michel, Jean-Marie, comme vous voulez. Pardon, je suis désolée. Rouard, Thillot, Vidal, Vignon, Zandomenegi. On voit que ça ne me passionne pas trop de faire tout un listing de noms, mais voilà. Sixième exposition, 1881. Cassatt, Degas, Faurin, Gauguin, Guillaumin, Morisot, Pissarro, Raffaelli, Rouart, Thillot, Vidal, Vignon et Jean-Dominique. Avant-dernière exposition en 1882, c'est la septième. Il y a quelques participants, mais en fait la plupart... des œuvres qui sont accrochées proviennent de l'inventaire du stock de Monsieur Durand-Ruel. C'est un grand marchand d'art qui était ami avec les impressionnistes. Les œuvres exposées sont de Caillebotte, Gauguin, Monet, Morisot, Pissarro, Renoir, Sisley. La dernière exposition a lieu en 1886, donc c'est la huitième. Les participants sont Madame Braquemont, Cassatt, Degas, Faurin, Gauguin, Guillaumin, Morisot, Pissaropère et Pissarophis, Redon, Rouard, attention, Schuffenerker, Seurat, Signac, Thillot, Vignon, Zandomenegi. L'aventure ne durera pas longtemps, mais l'organisation d'une exposition qui ne fonctionne pas vraiment ne peut pas durer éternellement. Cela aura eu raison de la motivation et de l'investissement des artistes. Le manque d'argent va définitivement ébrécher le groupe. On peut mentionner que Gustave s'est énormément investi dans cette organisation et on peut lire ce que disait de lui la presse. Alors le 13 avril 1879, Paris Journal dit « D'une main ferme, le gouvernail de cette barque qui, sans lui, voguerait peut-être à la dérive. » Le 23 avril 1879, le journal Le Français « Le seul impressionniste sérieux et vraiment convaincu. » Les Stafettes, le 16 avril 1879 « Le plus intransigeant sans comparaison du groupe. » et un autre journal le 1er mai. 1880, le chef actuel des indépendants. Voilà ce qu'on disait sur Gustave, qui aimait organiser tout ça. C'était quelqu'un de très investi et on verra aussi plus tard que c'est vraiment quelqu'un qui s'investit beaucoup. Le groupe se brisera entre ceux qui ont des chances d'exposer au salon officiel et du coup qui s'écartent un peu des copains impressionnistes, ceux qui sont fidèles au groupe, ceux qui invitent de nouveaux artistes à exposer et ceux qui n'acceptent pas que certains ... peintres soient invités, parce qu'ils ne trouvent pas qu'ils ont les qualités artistiques requises pour faire partie du groupe. Donc c'est très compliqué. Et puis Gustave vivra très mal les dernières années, car pour lui cette aventure, c'est une histoire d'amitié. Et lorsqu'une brouille va éclater et que deux gars s'en prendront à Monet et à Renoir, Gustave en sera terriblement meurtri. Il exposera pour l'avant-dernière fois en 1880, lors de la 5e édition, puis claquera la porte, puis reviendra lors de la 7e édition en 1882, car Degas et Raffaelli n'y participeront pas. Le journaliste du réveil le décrit avant l'ouverture. travaillant comme un commissionnaire, exactement comme s'il n'avait pas 150 000 francs de rente. Gustave, c'est le leader, c'est le chef. Gustave a énormément aidé financièrement ses amis en achetant leurs toiles et il en a fait plus avec certains en payant leur atelier, leur logement. Ce trait de caractère à aider les autres provient probablement de son père qui a également fait profiter, comme j'en ai parlé lors du deuxième épisode, si je ne me trompe pas. fait profiter de sa famille, de sa richesse, en les aidant, en leur trouvant un emploi, ou en les logeant. Donc Gustave a vu son père à l'œuvre, et donc il reproduit la même chose. Je vais faire une petite parenthèse. On n'en sait pas énormément sur leur relation, mais on sait que Gustave a eu des amitiés très proches, les deux seuls avec qui il était vraiment ami, c'était Renoir et Monet. Renoir passera souvent les vacances d'été chez lui. Avec Monet, durant la période impressionniste, ils vont travailler ensemble. Ils vont avoir aussi plus tard des passions communes en dehors de la peinture. Claude Monet est un homme qui vit au-dessus de ses moyens. Gustave va énormément l'aider financièrement. Il va lui louer un appartement atelier à côté de la gare Saint-Lazare. Les deux hommes peindront. cette gare et ses alentours ensemble. Puis en 1877, Gustave prend en charge le loyer d'un nouvel appartement et à cette adresse ils peindront encore ensemble. Un jour, Monet choisit une toile de Gustave, un temps de pluie, rue de Paris. Il ne s'en séparera jamais et l'installera à Giverny plus tard dans sa chambre. Aujourd'hui cette toile, cette oeuvre, on peut la voir au musée Marmottan à Paris. La vie d'artiste est sommée de péripéties, comme cette fois où Gustave règle toutes les dettes de monnaie chez des créanciers qui avaient pris en otage ces différents tableaux. Alors ça c'était toute la période impressionniste, et puis il y a après les impressionnistes, parce que comme on a vu, le salon va s'arrêter. Ils vont tous un peu s'éloigner de Paris, donc... Caillebotte, on le verra plus tard, mais il est parti s'installer au petit jeune villier. Monet qui est à Giverny. Pissarro qui est à Erani-sur-Epte. Sisley à Moray-sur-Loin. Quelques années plus tard, après les salons, les amis impressionnistes décideront de se revoir. C'est Monet qui contacte tout le monde pour proposer un dîner mensuel sur Paris. Donc ils seront là le premier jeudi de chaque mois à 19h au Café Riche. Boulevard des Italiens, c'est près de l'Opéra, de la Guerre Saint-Nazaire. Donc c'est déjà un endroit où ils allaient avant. Les invités sont Monet, Pissarro, Renoir, Sisley, Caillebotte, le collectionnaire Beliau, les critiques d'art Duré, Mirabeau ou Malarmé. Je vous laisse deviner. Non, je vous donne la réponse. C'est Gustave qui règle l'ardoise à chaque fois. Dans les écrits que l'on peut retrouver, il y a celui du critique. Gustave Geoffroy qui parle d'un de ses rendez-vous mensuels. Les discussions étaient parfois montées de ton, surtout entre Renoir et Caillebotte. Le premier, nerveux et sarcastique, avec sa voix railleuse, l'espèce de méphitophélisme qui marquait d'ironie et de rire bizarre sa face déjà tourmentée par la maladie. Se faisait un malin plaisir d'exciter le second. Donc le second c'est Gustave. Le second, sanguin et irascible, dont le visage expressif passait du rouge au violet et même au noir lorsque ses opinions étaient heurtées, avec la verve blagueuse qu'aimait alors opposé Renoir. Il montrait alors une fougue qui allait jusqu'à une colère d'ailleurs inoffensive. Le débat comportait non seulement des opinions sur l'art et la peinture, mais surtout les sujets de littérature, de politique, de philosophie, vers lesquels s'élançait de la bonne foi de Caillebotte, grand liseur de livres, de revues et de journaux. Renoir s'est mis au courant de tout en achetant un dictionnaire encyclopédique où il trouvait des arguments pour coller Caillebotte. Je me souviens d'un véritable tournoi pour et contre Victor Hugo, où toutes les passions donnèrent, toutes les ardeurs et toutes les sagesses, et d'où tout le monde sortit réconcilié pour aller s'installer à quelques terrasses de café devant le spectacle toujours féerique de Paris le soir. D'autres fois aussi, les discussions continuaient à la sortie sur le boulevard, et je crois bien même qu'il y en a qui n'ont jamais été terminées. Le récap de mon immersion, ce que je retiens, c'est toujours personnel, souvent. Je ressens Gustave Caillebotte comme un grand hypersensible, n'aimant pas qu'on dise du mal de ses amis, un caractère sanguin colérique. Un homme à fleurs de peau, avec ses émotions, et très généreux en donnant de l'argent à ses amis. Bref, Gustave, j'imagine l'être humain, et Joël, comme je l'ai déjà dit plusieurs fois, je ressens mon empathie pour lui. Petit bonus, l'épisode n'est pas encore terminé, je voulais juste vous faire parler de la touch. Gustave Caillebotte. Je ne vais pas vous faire une étude de chaque tableau de Gustave, parce que, premièrement, je n'ai pas le temps, et deuxièmement... Je ne donnais pas les connaissances pour le faire. Et même si ça me botte d'apprendre et de le faire, et de prendre du temps pour, j'ai tellement de projets à faire avant que ce soit dans le futur. Et je n'ai pas envie. Je reviens à Gustave. Ce que je peux vous dire, c'est qu'à la différence de ses copains de peintre, Gustave peignait vraiment ce qu'il avait envie. Ce n'était que plaisir pour lui. Il avait de l'argent, donc il n'a pas eu besoin de répondre à des commandes pour de l'argent. de brosser un portrait enjôleur d'un client bourgeois, voulant montrer sa grandeur ou vouloir peindre quelque chose de plus commercial dans l'air du temps, qui pourrait plaire et donc recevoir l'argent d'une vente. Gustave peint principalement ses proches, sa famille, ses amis, les personnes qui l'entourent. Il reste dans un petit cercle restreint et principalement dans ses lieux, ceux qu'il connaît. Gustave est un réfléchi, un minutieux. On sait par exemple que pour les raboteurs, Il va dessiner plusieurs modèles, étudier tous les angles pour trouver la meilleure composition. Tout a un sens, tout veut dire quelque chose pour lui. Donc, ma petite immersion pour cette petite partie-là, ce petit bonus. Gustave, il peint l'intime, il peint ses proches, les lieux dans lesquels il vit. Il fait ce qu'il veut, ce qu'il aime, car il n'a pas besoin d'en vivre. Je le sens réservé, timide au contact des doutes. Ce petit épisode montre peut-être son petit... côté casanier, qui n'aime pas être en société. Dans le prochain épisode, je vais vous parler du businessman qui investissait dans les projets de ses amis. Bon, le businessman, c'est Gustave. On le verra dans le prochain épisode, le dixième. Pour cette série consacrée à Gustave Caillebotte, je vous donne mes sources. Deux livres, "Gustave Caillebotte, l'impressionniste inconnu", de Stéphanie Chardeau-Botteri, aux éditions Fayard. Et le second, "Caillebotte, la peinture est un jeu sérieux", de Amaury Chardeau, aux éditions Norma. J'ai également trouvé d'autres informations sur différents sites, que je ne peux pas nommer, parce que c'était sur des recherches pour recouper des informations. Voilà, vous avez mes sources. Je vous remercie de m'avoir écouté. J'espère que l'épisode vous a plu. Si c'est le cas... vous pouvez mettre des étoiles et un gentil petit commentaire sur votre plateforme d'écoute. Vous seriez des amours. Vous pouvez également vous abonner au podcast, toujours sur votre plateforme d'écoute, pour ne pas louper les prochains épisodes. Dans la description, vous trouverez les différentes sources que j'ai évoquées lors de l'épisode, ainsi que les réseaux sociaux où vous pouvez me suivre. Prenez soin de vous. Bisous tout plein !

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Description

Dans cet épisode, je vais vous parler :


  • du Salon des Impressionnistes et de ses exposants,

  • des relations entre Gustave et les autres peintres, notamment Claude MONET et Pierre-Auguste RENOIR.


Un petit bonus à la fin où je vous donnerai quelques infos sur la "touch" Caillebotte.

Ce qu'il peint, ce qui le différencie des autres peintres impressionnistes


Gustave Caillebotte, artiste-peintre, qui a fait partie du mouvement Impressionniste et qui est reconnu en tant que tel uniquement depuis quelques années.

Il était considéré auparavant comme un mécène pour ses amis impressionnistes car il les aidait financièrement en leur achetant leurs toiles.

J'espère que vous aimerez Gustave, comme je l'❤️


Sources - livres :

  • "Gustave Caillebotte, l'impressionniste inconnu", de Stéphanie Chardeau-Botteri, aux éditions Fayard

  • "Caillebotte, la peinture est un jeu sérieux", de Amaury Chardeau, aux éditions Norma.


Si vous aimez cet épisode, vous aimerez les autres qui le concerne, il y a 15 épisodes.


Deux livres, "Gustave Caillebotte, l'impressionniste inconnu", de Stéphanie Chardeau-Botteri, aux éditions Fayard. Et le second, "Caillebotte, la peinture est un jeu sérieux", de Amaury Chardeau, aux éditions Norma.


Si vous avez aimé cet épisode, vous pouvez mettre des étoiles ⭐️ et/ou un gentil commentaire. Vous seriez des amours ❤️ 🙏


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CREDITS :

Voix et montage : Immergée Submergée

Musique : libre de droits - Ikson - Merry

Musique : libre de droits - Ikson - Reverie : Musique

Musique : libre de droits - HolFix - Vlog Time : Musique


Vous pouvez aimer le podcast, si vous aimez les suivants (en tout cas, moi, je les 💖 :

  • Affaires sensibles - Sous les jupons de l'Histoire - Les grandes traversées - Folie Douce - Les gens qui doutent

    Les pieds sur terre - Mécanismes du journalisme - LSD, la série documentaire - Les couilles sur la table


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Aujourd'hui, pendant quelques minutes, je vais vous parler de Gustave Caillebotte, le célèbre peintre impressionniste, mais pas que. Je vais vous parler de lui, son caractère, ses passions, sa vie, sa famille, ses amis. A tout de suite ! Bonjour et bienvenue dans Immergée, Submergée, le podcast où je m'immerge dans les thèmes que j'aime ou que j'ai envie de découvrir, histoire, sport, art, etc. etc. et où j'évoque mes émotions qui me submergent. Ma sentimentale. Dans ce nouvel épisode, le 9ème, je vais parler des relations entre les peintres impressionnistes et en petit bonus, je vais vous donner la petite touch, donner quelques informations sur la petite touch de Gustave. Dans l'épisode précédent, j'ai fini par parler du salon des impressionnistes, donc je vais commencer cet épisode. en reparlant du salon des impressionnistes. Donc il y en aura 8, de 1874 à 1886. La première exposition aura donc lieu en 1874. Gustave a 26 ans et il n'en fait pas partie. Il ne fait pas encore partie du groupe, mais il se déplacera avec son frère Martial pour visiter l'exposition. C'est pour cette première exposition que le mot impressionniste va être donné à ce nouveau courant. Claude Monet présentera... son célèbre Impression Soleil Levant. Un journaliste, également critique, Louis Leroy, travaillant pour le journal satirique nommé le Charivari, s'amusera du mot Impression et qualifiera le groupe d'impressionnistes. Je vais vous donner la liste des participants de cette première exposition. Est-ce que c'est une bonne idée ? Je ne sais pas. Je vais vous faire toute une liste de noms à chaque fois. C'est peut-être pas très intéressant mais bon, il y a peut-être des noms qui vous diront quelque chose ou certains vous aurez... envie de découvrir. Donc la liste des participants pour cette première exposition. Louis Latouche, Ludovic Napoléon, Le Pic, Stanislas Lipin, Jean-Baptiste Levers, Alfred Meilleur, Auguste de Molins, Claude Monet, Berthe Morisot, Giuseppe De Nitis, Auguste Louis-Marie Autain, Léon-Auguste Autain, Camille Pissarro, Pierre-Auguste Renoir, Stanislas Henri Rouart, Léopold Robert, Alfred Sisley et la Comtesse de Luchère. Pardon pour tous ces noms que j'ai probablement écorchés. Deuxième exposition en 1876, Gustave a 28 ans et en début d'année, il reçoit une lettre de Renoir et de Rouart qu'il invite à exposer. Voici la liste des artistes à exposer. Edouard Béliard, Pierre Isidore Bureau, Félix Kals, Ludovic Napoléon Lepic, Jean-Baptiste Levers, Léon-Augustin Autain, Stanislas Henri-Rouard, Edgar Degas, Claude Monet, Berthe Morisot, Camille Pissarro, Renoy, Pierre-Auguste Renoy, Alfred Sisley, Gustave Caillebotte, Marcelin Desboutin, Jacques François, Alphonse Legraux, Jean-Baptiste Millet, le frère de Jean-François Millet, les glaneuses. Ce n'est pas le peintre des glaneuses, c'est son frère Jean-Baptiste Millet qui est là. Et Charles Thillot. L'année suivante, en 1876, c'est la troisième exposition. Gustave a 29 ans et il a pris le leadership avec Renoir pour l'organisation de l'événement. Les deux hommes se chargent des invitations. Les participants sont Cézanne. Guillaumin, donc toujours Caillebotte, Kals, Degas, Jean-François Levers, Monet, Morisot, Pissarro, Renoir, Rouart, Sisley et Tillot, et puis il y a également des nouveaux, Frédéric Cordet, Franck Lamy, Alphonse Moreau et Ludovic Piette. Après cette exposition, Gustave Caillebotte, Pissarro, Renoir et Sisley décidèrent de mettre aux enchères leurs œuvres. Ce n'était pas la meilleure des idées, c'était... Ça a été très humiliant parce que les acheteurs se passaient de main en main les toiles en se moquant et en les tournant dans tous les sens. Ils se sont comportés de cette manière parce que toujours le même journal satirique, le Charivari, avait mentionné dans un article qu'il n'y avait pas de ligne d'horizon chez les peintres impressionnistes, que le ciel et la terre étaient informes, que le bas de la toile pouvait être le haut et inversement. C'est pour ça que tous les acheteurs... tournaient dans tous les sens, la toile, se demandant où était le ciel, où était la terre. Donc la vente a été assez catastrophique, il y a eu peu d'acheteurs sérieux. Gustave Caillebotte renchirera sur ses œufs pour toutes les acheter et les récupérer. En 1878, pas d'exposition, mais de nouvelles mises aux enchères, qui seront également un désastre, les prix d'achat seront dérisoires. Quatrième exposition. en 1879. La liste des participants donc il y a Braquemont et sa femme Marie, Kals, Roar, Tillo, Faurent, Lebourg, Henri Somme, Marie Cassat, Zando Menighi et Gauguin. 1885, cinquième exposition avec 19 participants donc Marie et Félix Braquemont, Caillebotte, Marie Cassat, Tegas, Faurent, Guillaumin, Lebourg, Levers, Berthe Morisot, Pissarro, Jean-François, Raffaelli et JM. Je n'ai pas cherché. Je vous laisse, JM. Jean-Michel, Jean-Marie, comme vous voulez. Pardon, je suis désolée. Rouard, Thillot, Vidal, Vignon, Zandomenegi. On voit que ça ne me passionne pas trop de faire tout un listing de noms, mais voilà. Sixième exposition, 1881. Cassatt, Degas, Faurin, Gauguin, Guillaumin, Morisot, Pissarro, Raffaelli, Rouart, Thillot, Vidal, Vignon et Jean-Dominique. Avant-dernière exposition en 1882, c'est la septième. Il y a quelques participants, mais en fait la plupart... des œuvres qui sont accrochées proviennent de l'inventaire du stock de Monsieur Durand-Ruel. C'est un grand marchand d'art qui était ami avec les impressionnistes. Les œuvres exposées sont de Caillebotte, Gauguin, Monet, Morisot, Pissarro, Renoir, Sisley. La dernière exposition a lieu en 1886, donc c'est la huitième. Les participants sont Madame Braquemont, Cassatt, Degas, Faurin, Gauguin, Guillaumin, Morisot, Pissaropère et Pissarophis, Redon, Rouard, attention, Schuffenerker, Seurat, Signac, Thillot, Vignon, Zandomenegi. L'aventure ne durera pas longtemps, mais l'organisation d'une exposition qui ne fonctionne pas vraiment ne peut pas durer éternellement. Cela aura eu raison de la motivation et de l'investissement des artistes. Le manque d'argent va définitivement ébrécher le groupe. On peut mentionner que Gustave s'est énormément investi dans cette organisation et on peut lire ce que disait de lui la presse. Alors le 13 avril 1879, Paris Journal dit « D'une main ferme, le gouvernail de cette barque qui, sans lui, voguerait peut-être à la dérive. » Le 23 avril 1879, le journal Le Français « Le seul impressionniste sérieux et vraiment convaincu. » Les Stafettes, le 16 avril 1879 « Le plus intransigeant sans comparaison du groupe. » et un autre journal le 1er mai. 1880, le chef actuel des indépendants. Voilà ce qu'on disait sur Gustave, qui aimait organiser tout ça. C'était quelqu'un de très investi et on verra aussi plus tard que c'est vraiment quelqu'un qui s'investit beaucoup. Le groupe se brisera entre ceux qui ont des chances d'exposer au salon officiel et du coup qui s'écartent un peu des copains impressionnistes, ceux qui sont fidèles au groupe, ceux qui invitent de nouveaux artistes à exposer et ceux qui n'acceptent pas que certains ... peintres soient invités, parce qu'ils ne trouvent pas qu'ils ont les qualités artistiques requises pour faire partie du groupe. Donc c'est très compliqué. Et puis Gustave vivra très mal les dernières années, car pour lui cette aventure, c'est une histoire d'amitié. Et lorsqu'une brouille va éclater et que deux gars s'en prendront à Monet et à Renoir, Gustave en sera terriblement meurtri. Il exposera pour l'avant-dernière fois en 1880, lors de la 5e édition, puis claquera la porte, puis reviendra lors de la 7e édition en 1882, car Degas et Raffaelli n'y participeront pas. Le journaliste du réveil le décrit avant l'ouverture. travaillant comme un commissionnaire, exactement comme s'il n'avait pas 150 000 francs de rente. Gustave, c'est le leader, c'est le chef. Gustave a énormément aidé financièrement ses amis en achetant leurs toiles et il en a fait plus avec certains en payant leur atelier, leur logement. Ce trait de caractère à aider les autres provient probablement de son père qui a également fait profiter, comme j'en ai parlé lors du deuxième épisode, si je ne me trompe pas. fait profiter de sa famille, de sa richesse, en les aidant, en leur trouvant un emploi, ou en les logeant. Donc Gustave a vu son père à l'œuvre, et donc il reproduit la même chose. Je vais faire une petite parenthèse. On n'en sait pas énormément sur leur relation, mais on sait que Gustave a eu des amitiés très proches, les deux seuls avec qui il était vraiment ami, c'était Renoir et Monet. Renoir passera souvent les vacances d'été chez lui. Avec Monet, durant la période impressionniste, ils vont travailler ensemble. Ils vont avoir aussi plus tard des passions communes en dehors de la peinture. Claude Monet est un homme qui vit au-dessus de ses moyens. Gustave va énormément l'aider financièrement. Il va lui louer un appartement atelier à côté de la gare Saint-Lazare. Les deux hommes peindront. cette gare et ses alentours ensemble. Puis en 1877, Gustave prend en charge le loyer d'un nouvel appartement et à cette adresse ils peindront encore ensemble. Un jour, Monet choisit une toile de Gustave, un temps de pluie, rue de Paris. Il ne s'en séparera jamais et l'installera à Giverny plus tard dans sa chambre. Aujourd'hui cette toile, cette oeuvre, on peut la voir au musée Marmottan à Paris. La vie d'artiste est sommée de péripéties, comme cette fois où Gustave règle toutes les dettes de monnaie chez des créanciers qui avaient pris en otage ces différents tableaux. Alors ça c'était toute la période impressionniste, et puis il y a après les impressionnistes, parce que comme on a vu, le salon va s'arrêter. Ils vont tous un peu s'éloigner de Paris, donc... Caillebotte, on le verra plus tard, mais il est parti s'installer au petit jeune villier. Monet qui est à Giverny. Pissarro qui est à Erani-sur-Epte. Sisley à Moray-sur-Loin. Quelques années plus tard, après les salons, les amis impressionnistes décideront de se revoir. C'est Monet qui contacte tout le monde pour proposer un dîner mensuel sur Paris. Donc ils seront là le premier jeudi de chaque mois à 19h au Café Riche. Boulevard des Italiens, c'est près de l'Opéra, de la Guerre Saint-Nazaire. Donc c'est déjà un endroit où ils allaient avant. Les invités sont Monet, Pissarro, Renoir, Sisley, Caillebotte, le collectionnaire Beliau, les critiques d'art Duré, Mirabeau ou Malarmé. Je vous laisse deviner. Non, je vous donne la réponse. C'est Gustave qui règle l'ardoise à chaque fois. Dans les écrits que l'on peut retrouver, il y a celui du critique. Gustave Geoffroy qui parle d'un de ses rendez-vous mensuels. Les discussions étaient parfois montées de ton, surtout entre Renoir et Caillebotte. Le premier, nerveux et sarcastique, avec sa voix railleuse, l'espèce de méphitophélisme qui marquait d'ironie et de rire bizarre sa face déjà tourmentée par la maladie. Se faisait un malin plaisir d'exciter le second. Donc le second c'est Gustave. Le second, sanguin et irascible, dont le visage expressif passait du rouge au violet et même au noir lorsque ses opinions étaient heurtées, avec la verve blagueuse qu'aimait alors opposé Renoir. Il montrait alors une fougue qui allait jusqu'à une colère d'ailleurs inoffensive. Le débat comportait non seulement des opinions sur l'art et la peinture, mais surtout les sujets de littérature, de politique, de philosophie, vers lesquels s'élançait de la bonne foi de Caillebotte, grand liseur de livres, de revues et de journaux. Renoir s'est mis au courant de tout en achetant un dictionnaire encyclopédique où il trouvait des arguments pour coller Caillebotte. Je me souviens d'un véritable tournoi pour et contre Victor Hugo, où toutes les passions donnèrent, toutes les ardeurs et toutes les sagesses, et d'où tout le monde sortit réconcilié pour aller s'installer à quelques terrasses de café devant le spectacle toujours féerique de Paris le soir. D'autres fois aussi, les discussions continuaient à la sortie sur le boulevard, et je crois bien même qu'il y en a qui n'ont jamais été terminées. Le récap de mon immersion, ce que je retiens, c'est toujours personnel, souvent. Je ressens Gustave Caillebotte comme un grand hypersensible, n'aimant pas qu'on dise du mal de ses amis, un caractère sanguin colérique. Un homme à fleurs de peau, avec ses émotions, et très généreux en donnant de l'argent à ses amis. Bref, Gustave, j'imagine l'être humain, et Joël, comme je l'ai déjà dit plusieurs fois, je ressens mon empathie pour lui. Petit bonus, l'épisode n'est pas encore terminé, je voulais juste vous faire parler de la touch. Gustave Caillebotte. Je ne vais pas vous faire une étude de chaque tableau de Gustave, parce que, premièrement, je n'ai pas le temps, et deuxièmement... Je ne donnais pas les connaissances pour le faire. Et même si ça me botte d'apprendre et de le faire, et de prendre du temps pour, j'ai tellement de projets à faire avant que ce soit dans le futur. Et je n'ai pas envie. Je reviens à Gustave. Ce que je peux vous dire, c'est qu'à la différence de ses copains de peintre, Gustave peignait vraiment ce qu'il avait envie. Ce n'était que plaisir pour lui. Il avait de l'argent, donc il n'a pas eu besoin de répondre à des commandes pour de l'argent. de brosser un portrait enjôleur d'un client bourgeois, voulant montrer sa grandeur ou vouloir peindre quelque chose de plus commercial dans l'air du temps, qui pourrait plaire et donc recevoir l'argent d'une vente. Gustave peint principalement ses proches, sa famille, ses amis, les personnes qui l'entourent. Il reste dans un petit cercle restreint et principalement dans ses lieux, ceux qu'il connaît. Gustave est un réfléchi, un minutieux. On sait par exemple que pour les raboteurs, Il va dessiner plusieurs modèles, étudier tous les angles pour trouver la meilleure composition. Tout a un sens, tout veut dire quelque chose pour lui. Donc, ma petite immersion pour cette petite partie-là, ce petit bonus. Gustave, il peint l'intime, il peint ses proches, les lieux dans lesquels il vit. Il fait ce qu'il veut, ce qu'il aime, car il n'a pas besoin d'en vivre. Je le sens réservé, timide au contact des doutes. Ce petit épisode montre peut-être son petit... côté casanier, qui n'aime pas être en société. Dans le prochain épisode, je vais vous parler du businessman qui investissait dans les projets de ses amis. Bon, le businessman, c'est Gustave. On le verra dans le prochain épisode, le dixième. Pour cette série consacrée à Gustave Caillebotte, je vous donne mes sources. Deux livres, "Gustave Caillebotte, l'impressionniste inconnu", de Stéphanie Chardeau-Botteri, aux éditions Fayard. Et le second, "Caillebotte, la peinture est un jeu sérieux", de Amaury Chardeau, aux éditions Norma. J'ai également trouvé d'autres informations sur différents sites, que je ne peux pas nommer, parce que c'était sur des recherches pour recouper des informations. Voilà, vous avez mes sources. Je vous remercie de m'avoir écouté. J'espère que l'épisode vous a plu. Si c'est le cas... vous pouvez mettre des étoiles et un gentil petit commentaire sur votre plateforme d'écoute. Vous seriez des amours. Vous pouvez également vous abonner au podcast, toujours sur votre plateforme d'écoute, pour ne pas louper les prochains épisodes. Dans la description, vous trouverez les différentes sources que j'ai évoquées lors de l'épisode, ainsi que les réseaux sociaux où vous pouvez me suivre. Prenez soin de vous. Bisous tout plein !

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Dans cet épisode, je vais vous parler :


  • du Salon des Impressionnistes et de ses exposants,

  • des relations entre Gustave et les autres peintres, notamment Claude MONET et Pierre-Auguste RENOIR.


Un petit bonus à la fin où je vous donnerai quelques infos sur la "touch" Caillebotte.

Ce qu'il peint, ce qui le différencie des autres peintres impressionnistes


Gustave Caillebotte, artiste-peintre, qui a fait partie du mouvement Impressionniste et qui est reconnu en tant que tel uniquement depuis quelques années.

Il était considéré auparavant comme un mécène pour ses amis impressionnistes car il les aidait financièrement en leur achetant leurs toiles.

J'espère que vous aimerez Gustave, comme je l'❤️


Sources - livres :

  • "Gustave Caillebotte, l'impressionniste inconnu", de Stéphanie Chardeau-Botteri, aux éditions Fayard

  • "Caillebotte, la peinture est un jeu sérieux", de Amaury Chardeau, aux éditions Norma.


Si vous aimez cet épisode, vous aimerez les autres qui le concerne, il y a 15 épisodes.


Deux livres, "Gustave Caillebotte, l'impressionniste inconnu", de Stéphanie Chardeau-Botteri, aux éditions Fayard. Et le second, "Caillebotte, la peinture est un jeu sérieux", de Amaury Chardeau, aux éditions Norma.


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  • Speaker #0

    Aujourd'hui, pendant quelques minutes, je vais vous parler de Gustave Caillebotte, le célèbre peintre impressionniste, mais pas que. Je vais vous parler de lui, son caractère, ses passions, sa vie, sa famille, ses amis. A tout de suite ! Bonjour et bienvenue dans Immergée, Submergée, le podcast où je m'immerge dans les thèmes que j'aime ou que j'ai envie de découvrir, histoire, sport, art, etc. etc. et où j'évoque mes émotions qui me submergent. Ma sentimentale. Dans ce nouvel épisode, le 9ème, je vais parler des relations entre les peintres impressionnistes et en petit bonus, je vais vous donner la petite touch, donner quelques informations sur la petite touch de Gustave. Dans l'épisode précédent, j'ai fini par parler du salon des impressionnistes, donc je vais commencer cet épisode. en reparlant du salon des impressionnistes. Donc il y en aura 8, de 1874 à 1886. La première exposition aura donc lieu en 1874. Gustave a 26 ans et il n'en fait pas partie. Il ne fait pas encore partie du groupe, mais il se déplacera avec son frère Martial pour visiter l'exposition. C'est pour cette première exposition que le mot impressionniste va être donné à ce nouveau courant. Claude Monet présentera... son célèbre Impression Soleil Levant. Un journaliste, également critique, Louis Leroy, travaillant pour le journal satirique nommé le Charivari, s'amusera du mot Impression et qualifiera le groupe d'impressionnistes. Je vais vous donner la liste des participants de cette première exposition. Est-ce que c'est une bonne idée ? Je ne sais pas. Je vais vous faire toute une liste de noms à chaque fois. C'est peut-être pas très intéressant mais bon, il y a peut-être des noms qui vous diront quelque chose ou certains vous aurez... envie de découvrir. Donc la liste des participants pour cette première exposition. Louis Latouche, Ludovic Napoléon, Le Pic, Stanislas Lipin, Jean-Baptiste Levers, Alfred Meilleur, Auguste de Molins, Claude Monet, Berthe Morisot, Giuseppe De Nitis, Auguste Louis-Marie Autain, Léon-Auguste Autain, Camille Pissarro, Pierre-Auguste Renoir, Stanislas Henri Rouart, Léopold Robert, Alfred Sisley et la Comtesse de Luchère. Pardon pour tous ces noms que j'ai probablement écorchés. Deuxième exposition en 1876, Gustave a 28 ans et en début d'année, il reçoit une lettre de Renoir et de Rouart qu'il invite à exposer. Voici la liste des artistes à exposer. Edouard Béliard, Pierre Isidore Bureau, Félix Kals, Ludovic Napoléon Lepic, Jean-Baptiste Levers, Léon-Augustin Autain, Stanislas Henri-Rouard, Edgar Degas, Claude Monet, Berthe Morisot, Camille Pissarro, Renoy, Pierre-Auguste Renoy, Alfred Sisley, Gustave Caillebotte, Marcelin Desboutin, Jacques François, Alphonse Legraux, Jean-Baptiste Millet, le frère de Jean-François Millet, les glaneuses. Ce n'est pas le peintre des glaneuses, c'est son frère Jean-Baptiste Millet qui est là. Et Charles Thillot. L'année suivante, en 1876, c'est la troisième exposition. Gustave a 29 ans et il a pris le leadership avec Renoir pour l'organisation de l'événement. Les deux hommes se chargent des invitations. Les participants sont Cézanne. Guillaumin, donc toujours Caillebotte, Kals, Degas, Jean-François Levers, Monet, Morisot, Pissarro, Renoir, Rouart, Sisley et Tillot, et puis il y a également des nouveaux, Frédéric Cordet, Franck Lamy, Alphonse Moreau et Ludovic Piette. Après cette exposition, Gustave Caillebotte, Pissarro, Renoir et Sisley décidèrent de mettre aux enchères leurs œuvres. Ce n'était pas la meilleure des idées, c'était... Ça a été très humiliant parce que les acheteurs se passaient de main en main les toiles en se moquant et en les tournant dans tous les sens. Ils se sont comportés de cette manière parce que toujours le même journal satirique, le Charivari, avait mentionné dans un article qu'il n'y avait pas de ligne d'horizon chez les peintres impressionnistes, que le ciel et la terre étaient informes, que le bas de la toile pouvait être le haut et inversement. C'est pour ça que tous les acheteurs... tournaient dans tous les sens, la toile, se demandant où était le ciel, où était la terre. Donc la vente a été assez catastrophique, il y a eu peu d'acheteurs sérieux. Gustave Caillebotte renchirera sur ses œufs pour toutes les acheter et les récupérer. En 1878, pas d'exposition, mais de nouvelles mises aux enchères, qui seront également un désastre, les prix d'achat seront dérisoires. Quatrième exposition. en 1879. La liste des participants donc il y a Braquemont et sa femme Marie, Kals, Roar, Tillo, Faurent, Lebourg, Henri Somme, Marie Cassat, Zando Menighi et Gauguin. 1885, cinquième exposition avec 19 participants donc Marie et Félix Braquemont, Caillebotte, Marie Cassat, Tegas, Faurent, Guillaumin, Lebourg, Levers, Berthe Morisot, Pissarro, Jean-François, Raffaelli et JM. Je n'ai pas cherché. Je vous laisse, JM. Jean-Michel, Jean-Marie, comme vous voulez. Pardon, je suis désolée. Rouard, Thillot, Vidal, Vignon, Zandomenegi. On voit que ça ne me passionne pas trop de faire tout un listing de noms, mais voilà. Sixième exposition, 1881. Cassatt, Degas, Faurin, Gauguin, Guillaumin, Morisot, Pissarro, Raffaelli, Rouart, Thillot, Vidal, Vignon et Jean-Dominique. Avant-dernière exposition en 1882, c'est la septième. Il y a quelques participants, mais en fait la plupart... des œuvres qui sont accrochées proviennent de l'inventaire du stock de Monsieur Durand-Ruel. C'est un grand marchand d'art qui était ami avec les impressionnistes. Les œuvres exposées sont de Caillebotte, Gauguin, Monet, Morisot, Pissarro, Renoir, Sisley. La dernière exposition a lieu en 1886, donc c'est la huitième. Les participants sont Madame Braquemont, Cassatt, Degas, Faurin, Gauguin, Guillaumin, Morisot, Pissaropère et Pissarophis, Redon, Rouard, attention, Schuffenerker, Seurat, Signac, Thillot, Vignon, Zandomenegi. L'aventure ne durera pas longtemps, mais l'organisation d'une exposition qui ne fonctionne pas vraiment ne peut pas durer éternellement. Cela aura eu raison de la motivation et de l'investissement des artistes. Le manque d'argent va définitivement ébrécher le groupe. On peut mentionner que Gustave s'est énormément investi dans cette organisation et on peut lire ce que disait de lui la presse. Alors le 13 avril 1879, Paris Journal dit « D'une main ferme, le gouvernail de cette barque qui, sans lui, voguerait peut-être à la dérive. » Le 23 avril 1879, le journal Le Français « Le seul impressionniste sérieux et vraiment convaincu. » Les Stafettes, le 16 avril 1879 « Le plus intransigeant sans comparaison du groupe. » et un autre journal le 1er mai. 1880, le chef actuel des indépendants. Voilà ce qu'on disait sur Gustave, qui aimait organiser tout ça. C'était quelqu'un de très investi et on verra aussi plus tard que c'est vraiment quelqu'un qui s'investit beaucoup. Le groupe se brisera entre ceux qui ont des chances d'exposer au salon officiel et du coup qui s'écartent un peu des copains impressionnistes, ceux qui sont fidèles au groupe, ceux qui invitent de nouveaux artistes à exposer et ceux qui n'acceptent pas que certains ... peintres soient invités, parce qu'ils ne trouvent pas qu'ils ont les qualités artistiques requises pour faire partie du groupe. Donc c'est très compliqué. Et puis Gustave vivra très mal les dernières années, car pour lui cette aventure, c'est une histoire d'amitié. Et lorsqu'une brouille va éclater et que deux gars s'en prendront à Monet et à Renoir, Gustave en sera terriblement meurtri. Il exposera pour l'avant-dernière fois en 1880, lors de la 5e édition, puis claquera la porte, puis reviendra lors de la 7e édition en 1882, car Degas et Raffaelli n'y participeront pas. Le journaliste du réveil le décrit avant l'ouverture. travaillant comme un commissionnaire, exactement comme s'il n'avait pas 150 000 francs de rente. Gustave, c'est le leader, c'est le chef. Gustave a énormément aidé financièrement ses amis en achetant leurs toiles et il en a fait plus avec certains en payant leur atelier, leur logement. Ce trait de caractère à aider les autres provient probablement de son père qui a également fait profiter, comme j'en ai parlé lors du deuxième épisode, si je ne me trompe pas. fait profiter de sa famille, de sa richesse, en les aidant, en leur trouvant un emploi, ou en les logeant. Donc Gustave a vu son père à l'œuvre, et donc il reproduit la même chose. Je vais faire une petite parenthèse. On n'en sait pas énormément sur leur relation, mais on sait que Gustave a eu des amitiés très proches, les deux seuls avec qui il était vraiment ami, c'était Renoir et Monet. Renoir passera souvent les vacances d'été chez lui. Avec Monet, durant la période impressionniste, ils vont travailler ensemble. Ils vont avoir aussi plus tard des passions communes en dehors de la peinture. Claude Monet est un homme qui vit au-dessus de ses moyens. Gustave va énormément l'aider financièrement. Il va lui louer un appartement atelier à côté de la gare Saint-Lazare. Les deux hommes peindront. cette gare et ses alentours ensemble. Puis en 1877, Gustave prend en charge le loyer d'un nouvel appartement et à cette adresse ils peindront encore ensemble. Un jour, Monet choisit une toile de Gustave, un temps de pluie, rue de Paris. Il ne s'en séparera jamais et l'installera à Giverny plus tard dans sa chambre. Aujourd'hui cette toile, cette oeuvre, on peut la voir au musée Marmottan à Paris. La vie d'artiste est sommée de péripéties, comme cette fois où Gustave règle toutes les dettes de monnaie chez des créanciers qui avaient pris en otage ces différents tableaux. Alors ça c'était toute la période impressionniste, et puis il y a après les impressionnistes, parce que comme on a vu, le salon va s'arrêter. Ils vont tous un peu s'éloigner de Paris, donc... Caillebotte, on le verra plus tard, mais il est parti s'installer au petit jeune villier. Monet qui est à Giverny. Pissarro qui est à Erani-sur-Epte. Sisley à Moray-sur-Loin. Quelques années plus tard, après les salons, les amis impressionnistes décideront de se revoir. C'est Monet qui contacte tout le monde pour proposer un dîner mensuel sur Paris. Donc ils seront là le premier jeudi de chaque mois à 19h au Café Riche. Boulevard des Italiens, c'est près de l'Opéra, de la Guerre Saint-Nazaire. Donc c'est déjà un endroit où ils allaient avant. Les invités sont Monet, Pissarro, Renoir, Sisley, Caillebotte, le collectionnaire Beliau, les critiques d'art Duré, Mirabeau ou Malarmé. Je vous laisse deviner. Non, je vous donne la réponse. C'est Gustave qui règle l'ardoise à chaque fois. Dans les écrits que l'on peut retrouver, il y a celui du critique. Gustave Geoffroy qui parle d'un de ses rendez-vous mensuels. Les discussions étaient parfois montées de ton, surtout entre Renoir et Caillebotte. Le premier, nerveux et sarcastique, avec sa voix railleuse, l'espèce de méphitophélisme qui marquait d'ironie et de rire bizarre sa face déjà tourmentée par la maladie. Se faisait un malin plaisir d'exciter le second. Donc le second c'est Gustave. Le second, sanguin et irascible, dont le visage expressif passait du rouge au violet et même au noir lorsque ses opinions étaient heurtées, avec la verve blagueuse qu'aimait alors opposé Renoir. Il montrait alors une fougue qui allait jusqu'à une colère d'ailleurs inoffensive. Le débat comportait non seulement des opinions sur l'art et la peinture, mais surtout les sujets de littérature, de politique, de philosophie, vers lesquels s'élançait de la bonne foi de Caillebotte, grand liseur de livres, de revues et de journaux. Renoir s'est mis au courant de tout en achetant un dictionnaire encyclopédique où il trouvait des arguments pour coller Caillebotte. Je me souviens d'un véritable tournoi pour et contre Victor Hugo, où toutes les passions donnèrent, toutes les ardeurs et toutes les sagesses, et d'où tout le monde sortit réconcilié pour aller s'installer à quelques terrasses de café devant le spectacle toujours féerique de Paris le soir. D'autres fois aussi, les discussions continuaient à la sortie sur le boulevard, et je crois bien même qu'il y en a qui n'ont jamais été terminées. Le récap de mon immersion, ce que je retiens, c'est toujours personnel, souvent. Je ressens Gustave Caillebotte comme un grand hypersensible, n'aimant pas qu'on dise du mal de ses amis, un caractère sanguin colérique. Un homme à fleurs de peau, avec ses émotions, et très généreux en donnant de l'argent à ses amis. Bref, Gustave, j'imagine l'être humain, et Joël, comme je l'ai déjà dit plusieurs fois, je ressens mon empathie pour lui. Petit bonus, l'épisode n'est pas encore terminé, je voulais juste vous faire parler de la touch. Gustave Caillebotte. Je ne vais pas vous faire une étude de chaque tableau de Gustave, parce que, premièrement, je n'ai pas le temps, et deuxièmement... Je ne donnais pas les connaissances pour le faire. Et même si ça me botte d'apprendre et de le faire, et de prendre du temps pour, j'ai tellement de projets à faire avant que ce soit dans le futur. Et je n'ai pas envie. Je reviens à Gustave. Ce que je peux vous dire, c'est qu'à la différence de ses copains de peintre, Gustave peignait vraiment ce qu'il avait envie. Ce n'était que plaisir pour lui. Il avait de l'argent, donc il n'a pas eu besoin de répondre à des commandes pour de l'argent. de brosser un portrait enjôleur d'un client bourgeois, voulant montrer sa grandeur ou vouloir peindre quelque chose de plus commercial dans l'air du temps, qui pourrait plaire et donc recevoir l'argent d'une vente. Gustave peint principalement ses proches, sa famille, ses amis, les personnes qui l'entourent. Il reste dans un petit cercle restreint et principalement dans ses lieux, ceux qu'il connaît. Gustave est un réfléchi, un minutieux. On sait par exemple que pour les raboteurs, Il va dessiner plusieurs modèles, étudier tous les angles pour trouver la meilleure composition. Tout a un sens, tout veut dire quelque chose pour lui. Donc, ma petite immersion pour cette petite partie-là, ce petit bonus. Gustave, il peint l'intime, il peint ses proches, les lieux dans lesquels il vit. Il fait ce qu'il veut, ce qu'il aime, car il n'a pas besoin d'en vivre. Je le sens réservé, timide au contact des doutes. Ce petit épisode montre peut-être son petit... côté casanier, qui n'aime pas être en société. Dans le prochain épisode, je vais vous parler du businessman qui investissait dans les projets de ses amis. Bon, le businessman, c'est Gustave. On le verra dans le prochain épisode, le dixième. Pour cette série consacrée à Gustave Caillebotte, je vous donne mes sources. Deux livres, "Gustave Caillebotte, l'impressionniste inconnu", de Stéphanie Chardeau-Botteri, aux éditions Fayard. Et le second, "Caillebotte, la peinture est un jeu sérieux", de Amaury Chardeau, aux éditions Norma. J'ai également trouvé d'autres informations sur différents sites, que je ne peux pas nommer, parce que c'était sur des recherches pour recouper des informations. Voilà, vous avez mes sources. Je vous remercie de m'avoir écouté. J'espère que l'épisode vous a plu. Si c'est le cas... vous pouvez mettre des étoiles et un gentil petit commentaire sur votre plateforme d'écoute. Vous seriez des amours. Vous pouvez également vous abonner au podcast, toujours sur votre plateforme d'écoute, pour ne pas louper les prochains épisodes. Dans la description, vous trouverez les différentes sources que j'ai évoquées lors de l'épisode, ainsi que les réseaux sociaux où vous pouvez me suivre. Prenez soin de vous. Bisous tout plein !

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