- Speaker #0
Moi, je mangeais en alternation, je mangeais Domino's Pizza, McDo, Tim Hortons. Quand j'ai rencontré Ali, j'étais rendu à ce point-là, je faisais 300 et 8 lits. Fait que je faisais juste ça, je commandais une pizza le soir, le lendemain matin, j'allais déjeuner au Tim, j'avais un Tim dans mon building, j'étais dans un Griffin Town, j'allais dans mon Tim manger des wraps matin.
- Speaker #1
T'avais pas de pression quand tu regardais, comme Ali, on s'entend, wow, top chef au bout, tu avais pas de pression des fois ?
- Speaker #0
Ben, j'ai rencontré Ali à cause que je voulais perdre du poids. Je voulais l'aider pour son Instagram. J'ai dit, aide-moi donc. C'est Win-Win. Oui, on a fait un collab. Mais avant que je la rencontre et que ça devienne ma coach ou ma femme, moi, j'étais sur un circle of hell. C'était Alcoa, Fast Food, tout ça. Toutes les vices étaient là, à part la drogue. J'ai appris de drogue, mais j'étais dans les vices acceptés en société. Fast Food et Alcoa. Bien dit.
- Speaker #1
Bienvenue à L'Aide en Fab Podcast, l'endroit où est-ce qu'on ne suit pas les règles. C'est le temps. Je dis tout haut ce que bien des entrepreneurs pensent tout bas, avec une approche directe et prudente. Vérité crue, stratégie puissante et mindset d'élite, tout ce qu'il te faut pour bâtir une business qui donne. Je suis Mélanie Fortin, business coach, stratège élite et surtout, l'indomptable. Hey Nick, bienvenue à l'Indomptable Podcast. Bienvenue dans mon nouveau studio en live à Laval. avec la fumée. C'est cool. Il reste une petite... Ah, j'adore ça. Ça nous met dans l'ambiance, juste la musique. La prochaine fois, tu vois, ça va être un drink que je vais offrir à mes invités.
- Speaker #0
Ils disent pas que Cherry de l'eau,
- Speaker #1
c'est pas bon. En tout cas. Non, pense pas. Non, d'un coup que. Hey, Nick.
- Speaker #0
C'est nous qui faisons notre chambre.
- Speaker #1
Je pense que la majorité des gens, d'après moi, vont te connaître. Ceux qui te connaissent pas, on le sait que tu es CEO de Tinky Fit. Mais ça, on va en parler après. Parce que là, là, Amen. « How the fuck t'as-tu réussi une transformation remarquable de même ? » Puis là, dans le montage, c'est clair qu'on va faire un avant-après. Fait que, what's your secret ? C'est phénoménal. Tu parles physiquement. Physiquement, mais c'est physique. Et on va parler du mental, qu'il y a quelque chose qui s'est passé, c'est sûr, après. Mais c'est phénoménal parce qu'en combien de temps je t'ai vu fondre puis muscler en l'espace de quoi ? On parle de quoi ? Trois, six mois ? Je ne sais pas. Mais ça, je veux que tu nous en parles, c'est phénoménal. Puis c'est pas juste ça, la gang, qui sont à l'écoute puis qui vont nous regarder, c'est pas juste ça qu'on va parler. Mais ça, ça m'impressionne. Puis tu sais, je te l'ai dit, puis je pense qu'il y a plein de gens qui te le disent, mais je le sais ce que tu vas dire. On dirait que je sens quelque chose.
- Speaker #0
Ah, je sais pas, j'attendais que tu fasses ça.
- Speaker #1
Ouais,
- Speaker #0
vas-y. Ben, la transformation physique, c'est fait temporairement, mentalement. Il y a quelque chose que j'avais jamais fait depuis. J'avais essayé de... de perdre du poids pis j'avais assez, t'sais ma femme est naturopathe, fait que c'est sûr que ça fait huit ans que je suis avec. C'est pas comme si elle avait pas les conseils, les astuces.
- Speaker #1
C'est dur quand c'est ta conjointe que tu imagines un peu là.
- Speaker #0
C'est pas comme si elle me disait pas quoi faire ou je comprenais pas quoi faire, t'sais en plus j'ai une business de wellness.
- Speaker #1
Exact.
- Speaker #0
Fait que non, en fait j'étais très désaligné pis j'étais très incohérent avec ma propre personne, pis ce que je me suis rendu compte c'est que je vivais dans le passé à tous les jours. Fait que j'étais le même gars du passé qui vivait ses nouvelles journées, Puis je me demandais pourquoi ça ne marchait pas. C'est super simple à comprendre. Si tu prends toujours tes décisions de la façon que tu l'as toujours prise dans le passé, il va y avoir les mêmes résultats. La prise de décision et le mécanisme de prise de décision, il a fallu qu'ils changent, mais tu ne peux pas juste changer ton mécanisme de prise de décision. Ça fait partie d'une espèce de machine. Il y a de l'identité là-dedans, il y a des croyances, il y a des biais cognitifs, il y a énormément de choses et ça demande énormément de self-awareness de comment démailler tout ça, d'où ça part cette affaire-là et pourquoi Pourquoi le vendredi soir, je vais manger de la pizza ? Ça sort de où, cette affaire-là ? Pourquoi le vendredi, mais pas le mardi ? J'aime ça.
- Speaker #1
C'est pas... Tu sais, c'est réglé, là.
- Speaker #0
Non, c'est des affaires vraiment deep. Puis quand on le sait que de 0 à 14 ans, on a comme développé notre identité puis on a développé nos croyances face aux adultes qui étaient des autorités autour de nous, on se rend compte que ce qu'on vit à 35, 40, 50, c'est le résumé des adultes dans le passé. Fait qu'on n'est pas vraiment nous-mêmes, on est le rassemblé de ce qui nous a influencé dans le passé. Fait que tu sais, l'environnement, c'est toujours plus fort que l'individu. Fait que si tu te rends compte que tout ce que tu fais présentement et ce que tu crois ne vient pas de toi, mais vient d'un adulte dans ton passé, bien, tu es capable de faire un chemin. Puis, il y a des exercices que tu peux faire que tu regardes vraiment toutes tes croyances que tu as les plus flyées, les plus profondes, tu sais, les croyances que tu dirais. La terre est plate ou la terre est ronde, tu sais, des croyances que tu ne peux pas te signer avec ça tellement tu es sûr que c'est vrai. Oui,
- Speaker #1
c'est évident.
- Speaker #0
Ces croyances-là, tu les écris. Puis sur l'autre papier, tu écris une liste de tous les adultes que tu te rappelles qui ont eu une influence dans ton passé, ton voisin, tes profs, ton grand frère, n'importe qui qui est un adulte. Puis à un moment donné, tu vas être capable de faire des liens entre les deux. Puis si la croyance ou whatever ce que tu penses qu'il arrive, c'est lié à quelqu'un que tu ne voudrais pas sa vie aujourd'hui. « Faut que tu casses ça. » C'est sûr qu'on revient à la pédale vendredi. Moi, mon voisin, c'était un monsieur qui avait une run de cantine. Il allait à tous les jours dans plein de compagnies avec sa cantine. Le vendredi, la semaine était finie, les travailleurs, tout ça, c'était le week-end. Lui et sa femme faisaient des sandwiches, des muffins, des affaires, de la bouffe de scrap. Les vendredis, quand il arrivait après la semaine, il sonnait son klaxon de cantine, puis moi, j'étais dans la maison.
- Speaker #1
Ça reste ça.
- Speaker #0
Ça reste le trigger, le cue, le trigger. En plus,
- Speaker #1
c'est que le son, puis tout.
- Speaker #0
La petite cantine, je dis, il est là, je me rappelle son nom.
- Speaker #1
C'est un beau moment, c'est le fun, les gens ensemble, toutes les raisons sont bonnes.
- Speaker #0
Je lui arrive avec sa cantine, je sais qu'il va me donner de la bouffe. Je sortais dehors, je dis, salut Gilles. Puis là, j'arrivais, puis il me donnait un Mountain Dew avec un muffin, puis un vieil affaire qui traînait, mais c'était tout du sud de la couteau, de la harde. Mais c'était les Vendredi après-midi, début de soirée. On dirait que j'ai associé très jeune que le vendredi, c'est je ramasse ce qui reste, ce qui goûte bon. Aïe ! À un moment donné, je me suis rendu compte que, je ne sais pas pourquoi, les vendredis soirs, j'avais tout le temps le goût de cheater. J'avais toujours le goût d'aller au resto, de manger de la pizza, de manger des affaires qui me faisaient sentir bien.
- Speaker #1
C'est les briques aussi pour se récompenser. Fin de la semaine, je le mérite. C'est tellement de la bullshit, mais je pense qu'on est beaucoup.
- Speaker #0
Des fois, tu te rends compte que ce que tu dis, c'est bon parce que tu dis, à cause de ma semaine, je le mérite.
- Speaker #1
Je l'ai fait longtemps.
- Speaker #0
Mais moi, C'était même pas à cause de la semaine de Jemérette. Gilles, quand j'étais jeune, le vendredi, il me donnait ça.
- Speaker #1
C'était directement relié à ça.
- Speaker #0
Moi, les vendredis soirs, j'étais habitué de vouloir et attendre de la bouffe de même, malgré ma semaine, parce que je savais qu'il arrivait le vendredi.
- Speaker #1
Ça a duré longtemps, on parle d'années et d'années.
- Speaker #0
Il était mon voisin, je suis quand même en déménage, moi, à 18.
- Speaker #1
Là, tu viens de régler ça, c'est ça que je comprends.
- Speaker #0
J'ai réglé ça cette année, cette affaire-là.
- Speaker #1
Ça n'est pas fait de même. C'est comme tu dis, il y a beaucoup de mécanismes, il y a beaucoup de choses.
- Speaker #0
Il y a beaucoup de choses.
- Speaker #1
Il y a toujours des clics, Nick. qui a fait en sorte que là, je vais entamer, je vais aller en profondeur pour régler ça une fois pour toutes.
- Speaker #0
Oui, c'est beaucoup de deep work. Ça commence avec premièrement, à quel point tu veux changer ?
- Speaker #1
How bad do you want it ?
- Speaker #0
Oui, c'est ça, tu sais, le will to do it. Il y a bien du monde qui disent à voix haute qu'ils veulent quelque chose, mais il n'y a aucune action, décision qui marque.
- Speaker #1
Amen.
- Speaker #0
Fait que là, c'est comme à un moment donné, c'est comme arrête de le dire à voix haute, puis show it with action. Mais à un moment donné, c'est parce que... C'est même plus facile de dire quelque chose et chialer que de le faire. Fait qu'au début, c'est beaucoup de... OK, là, il faut que je m'y mette. OK, là, il faut que je le fasse. OK, là, il faut que je le fasse. Mais ça, c'est tout basé sur de la réaction. Tu vis un moment vraiment challengeant. Mettons, tu sors de la douche, tu te regardes tout nu. T'es comme... Je suis pas capable de me regarder. Je suis gros, je suis laide,
- Speaker #1
tout ça. Ça, t'as fait un post récemment là-dessus.
- Speaker #0
Un story ?
- Speaker #1
T'as fait quelque chose là-dessus que ça a pris combien de temps avant que...
- Speaker #0
37 ans, je me trouve hot.
- Speaker #1
Ah, j'ai fait ça, man. Écoutez, non, excuse, parce que ça a pas piqué. Je me souviens, j'ai vu ta story. Ça m'a pris 37 ans à me trouver hot quand je sors de la douche, comme, hey !
- Speaker #0
Puis, merci.
- Speaker #1
Good job. Ça m'a marquée. Ça m'a marquée parce que c'est pas anodin. C'est big, ça.
- Speaker #0
Ouais, c'est quelque chose qui te fait réaliser à quel point que pendant, dans le fond, 37 ans, t'étais pas bien dans ta peau. Mais tu le fake. ou le « fate » ou « whatever » , mais tu t'arranges que ça ne paraît pas parce que tu es peut-être quelqu'un qui est charismatique. Tu as peut-être une très belle personnalité.
- Speaker #1
Absolument.
- Speaker #0
Et là, tu te sens bien dans ta peau parce que tu vois que les gens t'aiment, ils te valident, tu vois que tu es une bonne personne. Il n'y en a pas de problème. Exact, mais tu es jamais capable de te regarder dans le miroir. Si tu regardes dans le miroir de la douche, tu es vite les miroirs.
- Speaker #1
C'est ça,
- Speaker #0
exact. Les gens prennent des photos de toi, mettons, en candide ou dans un party, et tu es comme, enlève ça, puis tu n'es jamais content de te voir. Tu n'es jamais satisfait de ce que tu vois. C'est gossant à un moment donné parce que moi, je suis dans le monde public. J'ai 80 000 followers. Je me montre depuis le début. Je voyais des photos de moi et je me disais que je suis bien trop gros. Ça n'a pas d'allure. Pas grave, ce n'est pas un blocage. Je fais mes stories pareil. C'est pour ça que j'ai toujours « grindé » ou « whatever » que j'avais l'air.
- Speaker #1
Mais ça, c'est tout à ton honneur aussi. Oui, parce que ça ne t'a pas arrêté. Exactement. Ça ne t'a pas arrêté.
- Speaker #0
Ça ne m'a pas arrêté, mais à toutes les fois, je postais quelque chose, je me trouvais dégueulasse.
- Speaker #1
À ce point-là, Manique, mettons, tu as parti à Thinky Fit, quand à peu près, tu me dis ?
- Speaker #0
2019, on a trouvé l'idée, puis on a pensé au concept, puis 2020, on a starté ça.
- Speaker #1
OK, on jase. Mettons que tu startes ThinkFit aujourd'hui avec la nouvelle version de Nick. T'es où dans 5 ans ?
- Speaker #0
Probablement à 10 fois plus loin que je le serais dans les 5 ans que j'ai fait.
- Speaker #1
Pourquoi ?
- Speaker #0
La personne que je suis aujourd'hui. Puis aussi, je l'ai déjà fait. C'est ça ! Tu l'as déjà fait d'une fois,
- Speaker #1
mec. Mais ça veut dire que c'est quand même phénoménal parce que là, Thinky Fit, c'est un méchant, un beau succès. Toi, avec ta conjointe Ali, ensemble, vous avez développé ça. T'es CEO de Thinky Fit, une entreprise d'un 7 chiffres et plus. Il y a des programmes autant pour les femmes que pour les hommes. Man, jusqu'à maintenant, t'étais pas super à l'aise. Tu t'acceptais pas. Pas que tu t'acceptais pas, mais t'étais pas le best version of yourself. Qu'est-ce que vous avez réussi à faire ça ? Imagine, les plus chers c'est à aucun sens.
- Speaker #0
J'étais l'emblème du syndrome d'imposteur.
- Speaker #1
Est-ce que tu le vivais ça ? À tous les jours. T'en parlais-tu avec elle ?
- Speaker #0
Non, parce que j'avais pas d'ego. Ah,
- Speaker #1
le style d'ego.
- Speaker #0
Faisais semblant que c'est pas pour moi ça, ou ça ça n'a pas rapport avec moi.
- Speaker #1
Quand on se trouve des excuses, que je pogne pareil, ça marche pareil, on est dans un séchif, who cares ?
- Speaker #0
Il y a tout le temps une raison qui va te valider ta croyance. C'est ça le problème. Dans le fond, quand tu dis une excuse, le pire c'est que tu y crois pour elle.
- Speaker #1
Mais maisant que tu y crois, je m'en suis compté des excuses longtemps. Ben ouais,
- Speaker #0
puis je suis content que quelqu'un fasse... Non, non, attends une minute. Qu'est-ce que t'as dit ? Je suis content que quelqu'un arrête le temps et te challenge sur qu'est-ce que tu viens de dire. Est-ce que ça te nuit ou ça t'aide ?
- Speaker #1
Est-ce que ça, tu l'as vécu ?
- Speaker #0
Ben oui, moi j'ai... Qui t'a challengé ? En fait, je n'ai pas eu dans le podcast, c'est l'épisode 100 avec Ali. On a fait un podcast...
- Speaker #1
Le 100 ?
- Speaker #0
Oui, l'épisode 100. OK. C'est son podcast de femmes, Bio King aux femmes. mais elle m'a invité à l'épisode 100 pour parler de ça parce qu'elle dit, il faut t'expliquer le déclic. Tu sais que... J'ai été six ans avec toi, puis tu faisais du on and off, puis là, tu es rendu une machine inarrêtable.
- Speaker #1
Elle doit être tellement fière. Oh my God. Elle me trouve trop douce. C'est trop drôle. J'ai tellement aimé ça, puis là, j'ai perdu ma boule de règle.
- Speaker #0
C'est ça. Pas grave. Mais non, c'est ça. En fait, il y a quelque chose, je peux l'expliquer rapidement, mais il y a une affaire qui s'appelle la pyramide de réalité. Puis il y a quelque chose là-dedans qui est basé sur comment on prend nos décisions puis comment on passe à l'action. Puis souvent, quand les gens veulent changer quelque chose, ils commencent par changer leur action. Les actions sont drivelées par une émotion. Tu ne comprends pas quelle émotion drive quelle action, bien tu changes les actions, ça ne veut absolument rien, c'est anodin, c'est un feu de paille. Exact. Fait que là, ce que j'ai fait, c'est que je suis allé à la source, tu as les actions, tu as les émotions, tu as les croyances, tu as l'identité. J'en parle beaucoup dans ThinkFit, ça fait partie du programme ThinkFit, de changer d'identité. t'es quelqu'un qui n'a jamais pris soin d'elle, mettons, de femme. Elle n'a jamais pris soin d'elle. Elle a toujours mis sa famille à l'avant. Ça fait 12 ans qu'elle n'a pas pris une heure pour elle pour aller au spa. Elle se demande pourquoi ça ne va pas bien dans sa vie. Tu n'as jamais mis une minute sur toi. C'est sûr que tu es en mode réaction tout le temps. On apprend à c'est quoi l'identité que tu aimerais avoir pour avoir le résultat que tu veux. Parce que ce n'est pas le résultat que tu veux, c'est être la personne qu'il veut. Ça, ça change tout. Oui, c'est tellement différent. C'est comme quelqu'un qui veut devenir millionnaire ou faire énormément d'argent avec sa business. le but, ce n'est pas de « chase » , faire de l'argent avec ta business, c'est de devenir le CEO. qui est capable d'avoir une business de même.
- Speaker #1
Ça, la France vient de le dire. Juste parenthèse, dans mon club des Mind Mastermind, on est là-dedans énormément en ce temps. C'est comme, arrête, t'es déjà l'élite, t'es déjà cette personne-là. Faut que t'agis right fucking now avec la personne que tu veux devenir. Et voilà. Ça, c'est vraiment une des, je dirais, la grosse chose qui a fait que... Tu as eu un switch.
- Speaker #0
Oui. Il y a quelqu'un qui est responsable de ça, puis il faut lui donner du crédit, malgré qu'il y a du monde qui ne l'aime vraiment pas beaucoup aux States, mais il s'appelle Andy Elliott. Tu veux savoir c'est qui ?
- Speaker #1
Oui.
- Speaker #0
Andy Elliott, dans un Zoom, j'étais dans un Zoom avec lui et Bradley, le 1er novembre 2022, je me rappelle, parce que cette journée-là, j'ai commencé à aller au gym à tous les jours. Puis, il était dans un Zoom, puis il a fait un genre de… Il a pris quelqu'un, un père de famille, sur le Zoom, puis devant tout le monde… il l'a fait réveiller, il l'a fait comme carrément sortir.
- Speaker #1
Il a fait ce qu'il fait.
- Speaker #0
Ouais, il fait comme d'habitude. Puis Andy, c'est un maître vendeur, puis en psychologie, il est incroyable. Puis il est tellement fort dans ses attaques que tu finis par tes excuses, tes avales. Tu peux pas te défendre contre ce gars-là.
- Speaker #1
C'est comme si tu vivais l'expérience à ton père.
- Speaker #0
Ouais, puis là, j'étais là, puis j'ai pas d'enfant, puis j'ai vécu le pain, la souffrance que le papa, il a vécu dans le roleplay qu'il a fait avec Andy. Le gars, s'est mis à brailler. Puis Andy était comme, tu vois, c'est ça que je voulais qu'il arrive, je voulais que tu caches que c'est toi qui es en train de... Puis là, moi, tout le monde dans le Zoom était silencieux, j'ai jamais vu un Zoom aussi inconfortable que ça.
- Speaker #1
Combien qu'il y avait de gens à peu près ?
- Speaker #0
On était peut-être 30 gens dans le Zoom.
- Speaker #1
Ça a dû être puissant.
- Speaker #0
Ah, c'était powerful, puis ça me fait chier parce que c'est un des Zooms, je pense, qui n'a pas été enregistré. Vrai ? Oui, je ne l'ai pas. J'ai celui de l'autre la semaine dernière, mais j'essaie de le retrouver. mais bref je me rappelle à ce moment là puis je sorti de ce meeting là pis j'ai dit à Ali Je vais te faire une promesse, puis ça a commencé même en joke, je vais te faire une promesse, là, il faut que j'aide un six-pack avant qu'on ait un enfant, puis c'est ça que j'ai dit. Puis là, Ali est comme, elle part, elle reste.
- Speaker #1
Pas juste la shape, là.
- Speaker #0
Un six-pack. Un six-pack. Elle est comme un six-pack, elle dit, qu'est-ce que tu veux dire ? Je dis, il n'est pas question que le kid, il sort, puis il me voit avec une bédaine. Fait que, je sais pas que je vais faire, là, mais on a pas d'enfant tant que j'ai pas un six-pack. Puis là, elle était vraiment comme, OK, il sonne sérieux, là, mais t'sais, un six-pack, pour n'importe qui, c'est la chose la plus dure à obtenir. C'est le cas. C'est le .001% du monde,
- Speaker #1
là. Il en parlait, Dan Martel, dans un de ses contenus, quand il a fait aussi son gros switch. C'est ça, c'est genre, même pas 1% dans le monde, là. C'est vraiment difficile.
- Speaker #0
On a fait des recherches sur Chagipiti. Qu'est-ce qu'il disait ? C'est une personne sur 40 000 qu'on voit ses abdos. Une personne sur 40 000.
- Speaker #1
Ils doivent tous être dans vingtaine. Oui, c'est ça.
- Speaker #0
Si tu fais un haut de 40, tu fais un million par année et plus. Tu tombes dans le rich, rare and rip. C'est rare quand tu es rendu millionnaire sur le six-pack.
- Speaker #1
Il y en a combien ? Je vais te dire, il y a un autre, je n'ai pas tout vu, on ne voit pas tout notre contenu, mais c'est un genre de poste fait. Écoute, j'ai ri, je trouve ça écœurant. Tu t'en vas, tu t'effroies dans ton sofa et là, tu vois que tu as un autre poste fait.
- Speaker #0
C'est vrai. « Je me renaisse,
- Speaker #1
je ne vais pas faire ce que j'ai à faire. » C'est tellement ça. C'est ça. Combien de gens… Une des affaires, je suis sûre, qui te fait le plus capoter ou qui te donne des boutons, c'est les gens. « Oui, je veux, je veux, je veux, je veux, je veux. » Ta gueule, just fucking do it. Combien de fois les gens, ils veulent, ils veulent, ils veulent, mais ils ne sont pas prêts à faire ce qu'il faut pour être dans l'élite, pour être dans le 1 %.
- Speaker #0
Les réseaux sociaux, c'est incroyable comment c'est un poison et c'est un cauchemar parce que… La rêve. J'en parlais, il y a un gars qui m'a DM, un gars, j'ai fait un podcast avec lui justement, il m'a dit, mon story c'était les pourcentages, justement avec CHGPT, j'ai demandé les pourcentages d'un homme, un homme 6 pieds et plus, qui fait 1 million par année sur en bas de 10% de body fat. Puis ça m'a donné 0.0005%. Fait que c'est, je sais pas c'est quoi les odds, je calcule pas comme une mathématique, mais c'est 1 sur 1 million, tu sais, c'est vraiment, c'est... La rareté de la rareté de la rareté. Puis lui, il m'a DM ça, puis il dit, c'est fou parce que quand on scroll Instagram, on a l'impression que tout le monde est de même.
- Speaker #1
C'est-tu tellement vrai ? C'est tellement vrai. Pourquoi qu'on s'auto-flagelle, puis qu'on est durs avec nous-mêmes ?
- Speaker #0
Oui, puis comme tu as dit, tu sais, Dan Martel. Bien oui, on suit Dan Martel, on suit Wes Watson, on suit Andy Elliott, puis ils sont tous fucking jacks, multimillionnaires, puis t'es comme,
- Speaker #1
qu'est-ce qu'ils sont tous dans... Ils sont comme pas... Non, non, non.
- Speaker #0
Il y a 400 millions d'Américains, on parle de trois gars. C'est ça l'affaire. Il faut revenir sur Terre et se dire que ce qu'on voit en ligne, ce n'est pas la réalité de tout le monde. C'est juste ce qui est en ligne.
- Speaker #1
Écoute, juste une parenthèse trop drôle. Je challengeais mon groupe hier. Moi, je veux ça. C'est ça l'automne. Je veux faire ça. Des gros chiffres. Ils s'attendaient à être en beach mode cet été. Genre, on s'entend-tu, Chris ? C'est incompatible. C'est 30 pièces de contenu par semaine. C'est... X nombre de stories par jour. Et tu ne prends pas congé dans tes vacances. Je veux dire, les gens ne le réalisent pas. Ce n'est pas un post-semaine. Tu prends congé deux semaines. Moi, je l'ai mérité. Je suis en vacances. Ce n'est pas de même que ça marche. Tu veux être une élite ? Tu veux être l'exception ? This is what it takes. Et justement, avec Tinky Fit, qu'est-ce que tu dirais, c'est quoi la chose qui a vraiment fait la différence dans votre succès ? Il faut le dire. C'est rapide, c'est exceptionnel. C'est de l'hypercroissance pure. C'est quoi la chose ? qui a fait la différence d'après moi, d'après vous ? Toi et Ali, le par-passus.
- Speaker #0
Ça va sonner vraiment cheesy, mais c'est la dynamique de moi et Ali. C'est la chimie. Ali, c'est ma femme, mais c'est ma partenaire.
- Speaker #1
Vous êtes incroyable,
- Speaker #0
en ce temps. Elle, elle aime ça dire qu'on est deux béliers ascendant scorpion, comme si ça faisait quelque chose, mais ça en reste,
- Speaker #1
ça fait quelque chose. Scorpion,
- Speaker #0
je te... On est deux béliers ascendant scorpion, on est nés deux en avril, on a 50 différences, puis on est exactement la même personne, sauf qu'on a des forces faiblesses compatibles.
- Speaker #1
Je le connais quand même pas pire, c'est comme ça.
- Speaker #0
Oui, c'est ça.
- Speaker #1
Ça, c'est un élément qui doit avoir été.
- Speaker #0
C'est une des affaires qui nous différencie, mettons, des autres business de coaching, surtout ceux qui font de l'evergreen, qui font du mensuel avec des équipes de vente, tout ça. Il y a souvent un CEO. qui est le coach aussi. Puis des fois, ça fout la marde parce que t'es comme le boss, t'es le manager, mais t'es aussi master coach, la face de ça, il y en a beaucoup de ça.
- Speaker #1
Mais qu'est-ce que ça change justement dans votre cas ? Parce que c'est pas le cas avec la réalisation.
- Speaker #0
Non, c'est ça. Nous autres, on a une dynamique. Moi, je suis derrière scène avec toutes les opérations de la business. Puis elle, elle est en l'avant-scène. Puis elle peut focusser sur son art, elle peut focusser sur ses études, elle peut focusser sur faire son contenu, sur gérer les coachs puis tout l'onboarding client puis redesigner des programmes à l'infini parce qu'elle a le temps. parce qu'elle ne gère pas les feux, parce qu'elle est un CEO. C'est sûr qu'à un moment donné, quand tu vas arriver à un certain niveau mensuel ou annuel, il faut que tu aies un opérateur, il faut que tu aies quelqu'un qui n'a pas besoin de faire des stories. C'est quelqu'un qui « grind » pour vrai en arrière pendant que tu fais tes stories. Parce que faire des stories, faire du contenu, créer du contenu, malgré que tu fasses un podcast, puis un long form, puis tu coupes ça en 22 pas, whatever, il faut quand même que tu fasses des stories, il faut quand même que tu penses à ça, Tu penses à ça. Fais des vues.
- Speaker #1
Tu le tends, tu le tends.
- Speaker #0
Faut-tu t'instruire, ou t'as une équipe qui t'instruit, mais faut quand même qu'il y a une job là-dedans. Je le vois avec Ali, c'est des heures et des heures et des heures semaine. C'est pas... Une fois par mois, je prends une journée, pis non, ça, ça existe pas encore. C'est pas vrai, ça. À tous les jours, elle y pense. À tous les jours, elle scrolle quelque chose, pis elle voit, OK, je vais faire ça. Demain au gym, tu vas me filmer à faire ça, pis moi, je suis rendu, des fois, faut que je la filme, faut que je fasse ça, faut que je fasse ça, parce qu'on va pas engager un crew de vidéo pour un quick, genre, vidéo de 6 secondes comme on perd le poids au gym. Non, c'est ça.
- Speaker #1
Il faut être logique aussi par rapport à ça.
- Speaker #0
Ça devient vraiment une machine de contenu. Si tu es en train de créer du contenu, tu n'es pas en train de gérer une business. C'est de l'énergie dispersée. Mon but, c'est juste d'augmenter la business constamment. Je guide Ali sur ce qu'on a besoin de faire. On va faire une nouvelle tunnel acquisition. Ça va prendre trois VSL avec trois masterclass avec des nouveaux programmes. On va builder tout ça. Elle part, elle bloque son horaire et elle clenche ça comme une malade.
- Speaker #1
Quel teamwork !
- Speaker #0
Mais si je n'avais pas ! elle, oh my god, que je pourrais pas builder ça. Elle bloque son temps, elle est disciplinée, elle fait ses shit, pis c'est fait, pis c'est beau, pis c'est clean, pis c'est tout le temps parfait. Moi, j'ai juste à le pousser après, là, t'sais, fait que c'est vraiment comme un... Si j'étais pas là, elle pourrait pas le pousser, pis si elle était pas là, j'aurais rien à pousser.
- Speaker #1
Comme tu dis, c'est vraiment un des éléments, probablement, là. Plein d'autres choses, mais ça, je pense que ça...
- Speaker #0
Je pense que c'est un des premiers éléments de la dynamique du... Pis le fait qu'on est un couple, ça amène vraiment une dynamique spéciale dans l'équipe. On est rendu à 24 dans l'équipe. Pis ils travaillent avec un couple. Il y a deux boss pis c'est un couple. C'est quand même spécial. On peut pas être dans leur tête pis évidemment, c'est sûr qu'il y a du monde qui chiale pis il y a du staff qui sont comme « Ah, des fois, Nick, c'est normal, on est des boss, c'est normal. » Mais je pense qu'ils sont encore là, comme on a du monde qui sont là depuis il est 4 ans et demi. Fait que...
- Speaker #1
T'es juste. Le but, c'est d'être juste, c'est d'être amical, c'est pas d'être un best friend avec tout le monde. Notre job, c'est de prendre des décisions impopulaires.
- Speaker #0
Ouais, comme je l'ai dit, on peut être friendly, mais on n'est pas ton ami. Exactement. C'est une grosse différence, comme dans la vente. Faut que tu sois assez friendly, mais...
- Speaker #1
C'est ça. Dans Think if it, je veux aller voir l'aspect qu'on voit pas beaucoup. C'est récent que t'as starté, vous avez développé Think if it for men.
- Speaker #0
Pour hommes.
- Speaker #1
C'est rare, ça. Je me sens que je n'en ai pas le temps. Ça, souvent, c'est... juste les femmes. On fait du coup les femmes, les femmes, les femmes, les femmes. Mais pour homme, c'est sûr, ça doit marcher.
- Speaker #0
Bien, ce n'est pas pantoute la même chose. C'est un autre business complètement. Tu repars de zéro, c'est malade. Tu repars de zéro, mais avec l'expérience que tu as aujourd'hui. C'est sûr que c'est plus vite. Mais tu repars de zéro. Je n'ai aucun témoignage de gars. Je n'ai aucun avant-après de gars.
- Speaker #1
C'est combien de temps ? On parle-tu de mois ?
- Speaker #0
Ça fait trois semaines. Trois mois ? Tu es à 5 ans.
- Speaker #1
un mois, je pense que ça peut être trois mois.
- Speaker #0
On n'a même pas annoncé publiquement, on n'a pas fait de... pub vraiment. J'ai pitché un VSL, j'ai enregistré un VSL rapidement.
- Speaker #1
C'est comme un peu bêta, tu t'attends à te tester, que c'est sûr qu'il y a un offre-là. Il y a juste quasiment pour les femmes.
- Speaker #0
Oui, puis les hommes,
- Speaker #1
je trouve ça cool au bout.
- Speaker #0
Parce qu'on ne voulait pas lancer un offre sans la tester sur le marché, évidemment. Donc là, on teste un prix dérisoire avec un offre, puis on reprend les feedbacks des clients, puis on regarde ce qui se passe. J'écoute les appels de vente, puis je regarde ce qu'ils disent les clients.
- Speaker #1
C'est pas un constat. Oui, excuse.
- Speaker #0
Les hommes sont... C'est fait petit, là. C'est grave, là. Les hommes, ils... L'homme a toujours été la personne qui ne pouvait pas souffrir en public. Ça apparaît, là. Là, à Crédit... Là, c'est... J'ai vu des gars braillés, là. Des gars se mettent en larmes qu'ils filent pas pis qu'ils sont plus capables. Pis là, c'est comme... T'as-tu des idées noires ? Non, c'est pas ça. C'est juste que... assis sur ta botte, pis ils sont... brûlés bien raides, émotionnellement, psychologiquement,
- Speaker #1
physiquement. Parce qu'ils vont tout garder, j'imagine,
- Speaker #0
sur leurs épaules. Ils gardent tous leurs épaules parce qu'un homme, il faut que ça se tienne fier. C'est encore là,
- Speaker #1
c'est encore ça.
- Speaker #0
Oui, c'est correct qu'il faut que ça se tienne fier, mais ça a besoin qu'il y ait un support à quelque part. Puis il ne faut pas que c'est con, mais... Je vais peut-être dire qu'ils vont m'haïr, mais ce n'est pas ta femme ton support. C'est ça l'affaire. L'homme doit avoir son support.
- Speaker #1
Les gens ne vont pas t'haïr, je pense. Exactement pareil. C'est comme, ce n'est pas mon chum ou vice-versa, ou moi, de lui. Il faut que ça parte de l'intérieur, ça part de nous. de nos décisions, notre solidité, je veux dire, le mindset et tout, je suis 100 % d'accord avec toi là-dessus.
- Speaker #0
Puis ça crée, des fois, ça crée des confusions, ça crée des... C'est du monde qui veut le sostener, c'est aux sociaux, avec les gens, avec les énergies de féminin, masculin. Mais pour vrai, c'est que ta femme, si tu as une femme et qu'elle sent que tu n'amènes pas la sécurité émotionnelle, physique, financière, tout ça, elle va se sentir insécure. Parce que l'homme a quand même son rôle dans l'équipe. L'homme, dans le fond, s'il est toujours en train de parler à sa femme qui est insécure, il peut juste aggraver la situation. Je sais que c'est facile de parler à notre femme parce qu'elle est là, elle nous écoute, elle nous aime tellement, mais Tu fais juste mettre de l'huile sur le feu que tu es insecure, puis elle, elle se sent encore plus insecure parce qu'elle voit son homme être insecure. C'est clair. Fait que va te chercher de l'aide de gars qui va t'amener secure, puis watch out. Ça, ils ont fait ça. Oui, mais c'est ça, la demande de l'aide pour les gars, puis l'espèce d'alpha de « Ah, moi, je suis correct, je vais le faire moi-même. » « Je ne le ferai pas, je ne suis pas correct. »
- Speaker #1
Ça, ça veut dire qu'il y a énormément de demandes, puis pas juste dans ce que tu offres probablement. Imagine les possibilités avec « Think you fit for men » . Je veux dire,
- Speaker #0
il y a un... Ah, ça peut aller à l'infini, parce qu'il y a plus de deux aussi.
- Speaker #1
C'est quelque chose que tu regardes peut-être.
- Speaker #0
Oui, bien moi, dans ma tête, ça va devenir deux entités qui vont rouler avec deux équipes. Puis ça va être pas deux CEOs, mais ça va être deux affaires.
- Speaker #1
C'est même pas le vide de même, là. Il y a un autre programme qu'on sait qui est juste pour hommes. Le vide de même, j'en pense à plein aux femmes.
- Speaker #0
Il y en a une couple, il y en avait dans le temps, sans les nommer pour faire de la promo. J'ai fait une recherche dans le chat.
- Speaker #1
Qui est fit for men.
- Speaker #0
Oui, les autres, on les... Mais il y en avait des très bons qui ont diminué un petit peu avec le temps. Il y en a un en France qui l'explose pour les gars. J'ai parlé avec un de leurs top closers, un Français.
- Speaker #1
Il n'y en a pas tant que ça. Non, il n'y en a pas. Tu dis, il y en a quelques-uns.
- Speaker #0
Les femmes, ça roule depuis longtemps parce que les femmes qui demandent de l'aide, on dirait que ça fait forever. Les femmes, vous êtes tellement à l'aise de demander de l'aide à du monde. Les gars, c'est tellement dans l'ego. Ce n'est pas capable. ça avait tout de même fait sur un même... C'est le genre de gars qui dit « Ah non, je vais réparer le truc. » Mais s'appelle donc quelqu'un qui le fait. Tu ne sais pas comment faire ça. Tu vas faire ça à moitié.
- Speaker #1
C'est tellement ça.
- Speaker #0
Mais tu veux te sentir. L'homme veut se sentir important. Utile. Je suis là.
- Speaker #1
C'est comme un man-nay, c'est comme tu dis. Mais c'est vraiment… Wow, c'est percutant pareil de voir comme ça. Ça fait trois semaines. Ça veut dire que c'est la pointe de l'iceberg. Comment tu anticipes ça les prochains mois ? Si ça froid ça ?
- Speaker #0
Ça peut. Le problème, c'est comme dans n'importe quoi. si tu l'exploses ça crash. C'est pour ça qu'on y va tellement.
- Speaker #1
Étape par étape.
- Speaker #0
Oui, on a roulé un VSL. J'ai mis un budget de 30 $ par jour. On a déjà closé 9 clients. Le coach va aller vite à 20 clients. Après ça, le closer va commencer à closer trop de monde. On va s'en prendre un nouveau coach. Puis là, on va vivre les mêmes challenges qu'on a du côté des femmes. Avant qu'on parte la machine pour de vrai, j'ai vu qu'il y a une réponse et que le monde embarque.
- Speaker #1
En trois semaines, les chiffres que tu donnes, c'est comme wow. Il y a un marché.
- Speaker #0
Puis un gars, il vient de faire son premier mois, il a perdu 21 lignes. Ça n'a pas d'allure. Quand tu mets un gars dans un bon mindset, il devient un animal, il devient un wire.
- Speaker #1
Tu as une idée des histoires successives que tu vas avoir avec ça ? C'est combien de temps ton programme ? C'est-tu six mois ?
- Speaker #0
C'est trois, un an, ça dépend.
- Speaker #1
Tout dépendant, tu as plusieurs options. Trois, six, deux. Tu en as pour tous les besoins, tous les budgets.
- Speaker #0
Tous les budgets, tous les besoins, tout le temps que tu as besoin, la proximité que tu as besoin. On va ajuster le programme, adapter à ce qu'on sent que tu as besoin et qu'est-ce que tu me dis. Le premier trois mois est crucial, c'est une reprogrammation complète, mais des fois, un an...
- Speaker #1
C'est un minimum.
- Speaker #0
Oui, c'est ça.
- Speaker #1
Tu es dépendant de la personne, elle a combien à perdre, comment ça va, son mindset. J'imagine que vous travaillez autant alimentation, sport, mindset, tout ça. Oui, tout.
- Speaker #0
C'est dépendant de la longueur. C'est holistique parce que la force de la naturopathie, c'est de l'hôpital, donc c'est de l'ensemble. Fait que c'est pas juste tu manges bien, tu vas au gym, tu dors-tu bien, tu vas-tu assez d'eau, qu'est-ce que tu parles, tout est connecté. Puis encore là, l'identité, tu sais. Quel genre de gars tu veux être à partir de là ? À partir de là,
- Speaker #1
exactement.
- Speaker #0
Oui, on leur fait faire des exercices identitaires, puis on fait des reprogrammations identitaires, puis il y a des devoirs à faire, puis les gars ne sont pas bons dans les devoirs.
- Speaker #1
C'est peut-être classique. Les filles, c'est sûr qu'elles sont meilleures.
- Speaker #0
Les femmes aiment ça. On a un journal, puis là, ils écrivent ça, puis là, ils font des devoirs. Pas des devoirs, mais ils font des travails sur eux-mêmes. Les gars, c'est comme, j'ai pas le temps de faire ça.
- Speaker #1
Mais t'as su justement ta méthode avec Think It Fit For Men, je pense que oui. Tu vois que t'as pas le choix.
- Speaker #0
Bien même, c'est que les femmes, on est en format physique. On a un journal physique qu'on leur offre, qu'on y embarque dans le programme. Puis chaque page a quelque chose à faire. Puis les appels sont liés à ça. et toutes les vidéos dans la plateforme sont liées au journal. C'est fou ce qu'elle y a à construire. Les gars, c'est sur un téléphone. Genre, on veut les laisser sur leur téléphone parce qu'un gars, c'est son seul tout le temps, ça scroll tout le temps. Fait que si j'ai dit juste d'ouvrir l'app puis de faire tatatatata puis de le refermer, il va le faire.
- Speaker #1
C'est bon que tu aies ajusté ça. J'adore ça.
- Speaker #0
Les gars, c'est pas pareil.
- Speaker #1
Ce que j'aime dans ce que tu viens de dire, c'est que vous êtes capable de voir, OK, voici comment les femmes fonctionnent, voici comment les hommes fonctionnent et on va adapter. C'est pour ça que ça va être deux entités sous Thinky Fit. Il y a deux brands. Tu vas-tu renommer comme Thinky Fit for Women, Thinky Fit for Men ?
- Speaker #0
Non, Thinky Fit va rester Thinky Fit, mais là, on a Thinky Fit Men.
- Speaker #1
Vraiment comme à côté.
- Speaker #0
On a une autre page Facebook.
- Speaker #1
On va le mettre en dessous de ce qui est là.
- Speaker #0
Non, c'est vraiment deux brands, mais c'est la même incorporation.
- Speaker #1
C'est vraiment au niveau du brand pour aller chercher justement les mêmes.
- Speaker #0
Puis à un moment donné, on va faire, tu sais, quand le temps va être fait, on va faire un Instagram, on va faire même un podcast pour les gars parce que ça va être la prochaine affaire aussi. Ça prend un…
- Speaker #1
Le podcast « Think you fit for men » ou « For men » , ça va être bon parce qu'ils ont besoin de ça. Tu vois ce que tu as vu et ce que ton équipe te dit. Tu en as-tu pris, toi, quelques appels ou tu les regardes avec ton équipe, c'est là que tu as vu le constat ?
- Speaker #0
Bien, je regarde les appels de vente, j'aide l'équipe, les coachs, les closers, les setters, je regarde tout le marché. C'est moi qui ai fait le VSL, je vais jouer les stats en plus. Puis moi, j'ai des clients perso qui m'ont demandé des affaires perso que c'est pas du tout à travers la Tinkifit. C'est genre, Nick, veux-tu m'aider ? Point. Combien ça coûte ? Genre, c'est vraiment comme, je veux pas un coach, je veux que toi, tu m'amènes ce que toi, t'as fait.
- Speaker #1
Mais c'est ça qui fait que c'est ça aussi, que ça doit avoir un impact. C'est pas pour rien, Tinkiman. Non,
- Speaker #0
non, ça part de là. Je suis le mari d'Ali Bragg, ça fait que qu'est-ce que ça fait ? Ça doit faire en sorte que ça fait 8 ans que j'habite avec une naturopathe, donc je suis devenu son perroquet Je peux quasiment dire que j'ai un diplôme en naturopathie parce que j'écoute des appels, j'écoute des coachs, j'écoute Ali parler depuis huit ans. Je ne le suis pas et je ne le serai jamais et ça ne m'intéresse même pas d'être naturopathe, ça c'est ses affaires à elle. Mais je vis avec ça, ça devient plus facile. Après ça, si tu joues avec le mindset, moi j'aide les coachs dans le ThinkFit avec le coaching mindset. parce qu'Ali est bien plus dans la... La naturopathie et la science de tout ça, moi, je suis bien plus dans le « treat wise » .
- Speaker #1
C'est pour ça que vous vous complétez tellement bien et que vous touchez à chacune des sphères. Mais tant qu'on regarde dans l'industrie, s'il y a une industrie où il y en a tellement, moi, je suis fascinée de voir à quel point, en nutrition, surtout en nutrition, on s'entend-tu pour dire qu'il y a un million d'affaires différentes qui se disent que c'est dur à suivre pareil ? C'est quoi la plus grosse bullshit dans le milieu que tu vois sur le marché et qui te fait capoter ?
- Speaker #0
La plus grosse bullshit.
- Speaker #1
Ou un top 3, faire de la mastique, ça n'a pas d'allure.
- Speaker #0
Moi, je vais dire une affaire, n'importe quoi qui porte un nom, c'est de la bullshit.
- Speaker #1
C'est-à-dire ?
- Speaker #0
Genre la keto, c'est de la bullshit. Mais être en ketosis, ce n'est pas de la bullshit. Explique. Mais faire la keto, c'est un brand, c'est du marketing. Puis quand le monde va cacher que telle nouvelle méthode, c'est du marketing, ils vont comprendre qu'ils n'ont pas besoin d'une méthode, ils ont juste... besoin d'avoir un lifestyle qui fonctionne avec leur... Puis j'avais lu un... Bien, pas j'avais lu, mais j'avais écouté un podcast avec ma petite docteure, puis il disait chaque diète qui existe, méditerranéen, keto, carnivore, paléo, ça marche tout pendant un an et demi pour n'importe qui.
- Speaker #1
Mais c'est ça, c'est après, ça va pas avec ton lifestyle.
- Speaker #0
Mais si tu fais la diète carnivore, tu vas perdre du poids, tu vas être en shape, cool. Après que tu lâches la diète carnivore, si tu sais pas c'est quoi le après, C'est là que le corps réagit parce que ça fait un an et demi, un an, whatever, six mois que tu manges d'une certaine manière. Moi, aujourd'hui, je mange tellement clean que si je mange un steak avec des légumes grillés au resto, j'ai mal au ventre. À ce point-là ? Oui. C'est à un point que je mange au resto ou je vais aux toilettes.
- Speaker #1
Même avec un steak et des légumes ? Là, on ne parle pas d'un hamburger qu'une poudre.
- Speaker #0
Un steak, mais l'huile canola. c'est hyper inflammatoire. Je suis tellement détoxique depuis des années. Juste qu'il y a à côté, qu'on ne voit pas dans les cuisines de restaurants, les légumes cuits sur le barbecue ou cuits à vapeur, il y a quelque chose là-dedans. Il y a du beurre, il y a de l'huile.
- Speaker #1
Il n'y a pas ton système qui réagit immédiatement.
- Speaker #0
C'est le meilleur red flag ever. Tu as-tu mal au ventre quand tu manges ? Si tu as mal au ventre après que tu ailles manger, c'est que ce que tu as mangé t'a créé un mal de ventre. c'est un symptôme Mais là, souvent, moi, dans le temps, ce qui arrivait, puis ça, c'est vraiment crazy, parce que je mangeais juste la marde. J'avais jamais la marde au ventre.
- Speaker #1
Fait qu'on parle de...
- Speaker #0
Quoi ? Non, dans le temps. Parce que ton corps, il est habitué de manger ça, donc qu'est-ce qu'il fait ? Il la prend.
- Speaker #1
Fait que vu que c'était tout le temps, mettons... Ah, c'est pour vrai. Hé, ça, je suis étonnée. Wow, OK.
- Speaker #0
Moi, je mangeais, en alternation, je mangeais Domino's Pizza, McDo, Tim Hortons. C'est une niaise. Tout le temps. Quand j'ai rencontré Ali, j'étais rendu à ce point-là, je faisais 308 livres. Fait que je faisais juste ça, je commandais une pizza le soir, le lendemain matin j'allais déjeuner au Tim, j'avais un Tim dans mon building, j'étais dans un Griffin Town, j'allais dans mon Tim manger des wraps matin.
- Speaker #1
T'avais pas de pression quand tu regardais, comme Ali, on s'entend là, wow, top shape au bout, tu avais pas de pression des fois ?
- Speaker #0
Ben j'ai rencontré Ali à cause que je voulais perdre du poids, fait que c'est à comme commencer une main dans ton corps.
- Speaker #1
C'est vrai, fait que c'est ok.
- Speaker #0
Je voulais l'aider pour son Instagram, pis j'ai dit aide-moi donc. C'est win-win. Ouais, on a fait une collab. Mais avant que je la rencontre et que ça devienne ma coach ou ma femme, bien, moi, j'étais sur un circle of hell. C'était alcool, fast food, tout ça. Toutes les vices étaient là, à part la drogue. J'ai appris de drogue, mais j'étais tout dans les vices acceptés en société. Fast food et alcool. Bien dit. Fait que moi, je... C'est même renforcé, tu sais. On s'entend. Tu sais, quelqu'un qui ne prend pas un verre aujourd'hui, il te demande de boire, c'est ça. Pourquoi tu ne bois pas ? On se sent tout insécure parce que nous, on veut boire. Fait que non, c'est ça, j'étais dans ce cercle vicieux-là. Puis c'était rendu que je mangeais du McDo, du Domino's Pizza ou n'importe quoi. On sait très bien que ce n'est pas bon pour la santé. Puis j'avais même pas mal au ventre. j'allais pas vraiment aux toilettes, j'étais pas... J'avais pas de symptômes.
- Speaker #1
Ça démontre à quel point on s'habitue à tout.
- Speaker #0
On s'habitue à tout. C'est comme l'alcool. Quand tu bois tous les jours, tu viens plus chaud. T'es pas chaud-raide après deux verres. T'es comme, moi, je suis un tank. Je parlais de même avant. Moi, je suis sur le poids. Moi, mon foie, c'est une machine de... Cool ! Ça veut dire que tu te décalisses la santé. Tu comprends ? T'es rendu à un niveau que ton corps t'envoie même plus de symptômes. Fait que t'es en train de le tuer. C'est ça qui se passe. Mais on ne s'en rend pas compte parce qu'on n'a pas mal et on n'a pas de symptômes. Puis c'est quoi la logique de l'ordre des médecins ? Lui,
- Speaker #1
mon oncle, lui a vécu jusqu'à 90 ans. Il a fait ça. Combien de fois qu'on se dit ça ?
- Speaker #0
Puis sans nommer l'ordre des médecins, puis la plupart de ce qu'ils vont dire, c'est qu'il n'y a pas de symptômes, il n'y a pas de problème.
- Speaker #1
Oui,
- Speaker #0
qu'est-ce que c'est ça ? Puis on est pas mal lié à ça. On a toujours entendu ça. Mais vraiment, on disait genre, t'as pas mal, arrête de chialer. Mais ce n'est pas parce que tu n'as pas un symptôme que tu n'es pas en train de mourir.
- Speaker #1
C'est un bel exemple, ce que tu viens de donner là. Je t'avoue, tu vois, c'est instantané, je n'en reviens pas. Mais là, quand t'as commencé à faire le changement, j'imagine que t'as déjà essayé l'alimentation paléo, que ce soit la keto, peu importe. As-tu déjà essayé ça un peu pour essayer d'eux ?
- Speaker #0
Moi, je ne croyais pas à ces diètes-là, puis c'est bon là. Alice fait longtemps qu'elle me dit, on ne fera pas une diète spécifique, on va juste te faire bien manger. Puis elle avait la bonne formule. Je mangeais bien. C'était plus dur, ça. Mais le problème, c'est que c'est plus facile quand t'as l'identité de quelqu'un qui veut être en santé. OK. Mais c'était plus dur si tu fais juste, parce que qu'est-ce qu'on vient de faire ? Juste changer nos actions. Fait qu'elle, elle me disait, OK, bien là, à partir de demain, les déjeuners, je ne mange plus de carbs. Mais moi, je mangeais des wraps matin depuis des années. Je ne suis plus de carbs, ça faisait quoi ? Plus de wraps, de muffins. Déstabilisant. Puis là, ma première question, c'est, je vais manger quoi ? Dans ma tête, ça ne faisait aucun sens de ne pas avoir des bagels ou des toasts ou des n'importe quoi. Puis là, elle me dit, tu manges des oeufs ? Avec quoi ? Non, mais il n'y a même pas de toast à goûter. Non, tu manges déjà avec des fruits, puis de jambon. Tu gardes ça, genre protéines, gras, puis fruits pour... Tu peux des légumes, genre des brocolis. Des brocolis pour déjeuner. Hé, je ne comprenais rien. Je ne comprenais rien. C'est sûr, je ne mange pas ça. Puis j'étais tellement biaisé. J'étais tellement dans ma croyance limitante de « Ah, ça ne sera pas bon » . Puis ça, c'est quelque chose que j'ai vraiment remarqué. c'est que, tu sais, mettons, la perspective, c'est tout est relatif, comme Einstein dit, mais tu sais... À chaque fois qu'on mange, dans notre tête, il faut que ça goûte bon. Ça sort de où, ça ?
- Speaker #1
J'avoue que...
- Speaker #0
Pourquoi il faut que ça goûte bon ? Nourrir le système, c'est...
- Speaker #1
On a été pas programmés de même, c'est incroyable pareil, mais c'est vrai que c'est pas ça la fonction première.
- Speaker #0
Non, c'est ça.
- Speaker #1
Il faut que ça goûte bon, ça fait que ce qui goûte bon, c'est de la marde. Puis on est entouré de marde. Tu vas à l'épicerie, moi des fois, parce que je sais pas, dis-moi que t'es humain, puis des fois, Tu vas à l'épicerie, je suis frustrée. C'est juste de la merde. Fait que comme, calèque ! Puis là, je veux aller, mettons, à des places, wow, il faut vraiment que je fasse beaucoup de kilométrages pour aller à ces places-là. C'est comme, je sais.
- Speaker #0
Oui, tu sais, il faut être dans un Avril, dans une place.
- Speaker #1
Je vais être au Mont-Tremblant. L'Avril le plus proche, c'est à Laval.
- Speaker #0
À Laval ou le Tour Amirabel. Oui,
- Speaker #1
quand même.
- Speaker #0
C'est une longue ride pour aller chercher des produits de qualité. Ce n'est pas normal. Mais non, ce n'est pas normal. Puis le plus frustrant là-dedans, c'est que ça coûte plus cher à avoir moins de pesticides. Au final, c'est ça. C'est un service. Tu as deux douzaines d'oeufs. Il y en a une qui est 8$, l'autre est 16$. Elle est 16$ parce qu'elle n'a pas de pesticides. Elle a moins de produits. On paie plus cher pour qu'il y ait moins de produits dedans. Mais c'est normal, les oeufs sont un peu plus petits. Les récoltes sont moins grosses. C'est comme les poulets au Costco à 8$. Ils sont gros de même. Quand tu arrives en avril, ils sont 22$. Ils sont gros de même.
- Speaker #1
Les gens, souvent, ne comprennent pas.
- Speaker #0
Les autres vont dire que au Costco, ça vaut la peine. Oui.
- Speaker #1
C'est gonflé au stéroïde.
- Speaker #0
Si tu penses que ton poulet est censé être gros de même, J'avais un poulet gros de même marché. Moi, j'avais des poules en République dominicaine qui étaient naturelles. Moi,
- Speaker #1
j'aime pas ça. J'ai de la misère quand je vois ça.
- Speaker #0
Ils étaient belles, les poules. Ils étaient tout petites. Puis ça, si ces poules-là s'avaient ramassées sur un affaire qui tourne, ça aurait été des poules comme en avril. C'était des poules bio.
- Speaker #1
C'est de la cruauté quand tu vois comment ils vont gaver. Ça me fait capoter.
- Speaker #0
Ça les rend tellement grosses que quand ils sont dessus, ça fait des poulets gros de même. Puis on les vend à 8 $ au Costco. Mais tu sais, le Costco, là j'ai arrêté, ça fait à peu près... 4-5 mois, quasiment depuis le début de l'année, j'ai arrêté de manger n'importe quoi qui n'était pas bio. Mais avant, je mangeais le poulet Costco, j'avais mal au ventre. Mais je mangeais le poulet d'avril, j'étais bien correct. J'ai dit, il y a quelque chose de bizarre. C'est vraiment bizarre. Puis moi, c'est mon système. C'est comme, j'ai mal au ventre. Qu'est-ce qui est arrivé ? Parce que des...
- Speaker #1
Ça t'arrive plus bien, bien. Puis là, t'es capable de savoir.
- Speaker #0
Ça vient d'où, là ? Oui, ça arrive. « Est-ce que c'est pas une vie, ça ? » Puis aller au resto, puis manger là, puis quand tu manges ailleurs, t'as mal au ventre.
- Speaker #1
C'est une adaptation.
- Speaker #0
Encore là, c'est plus une vie. Ça dépend. C'est peut-être pas ta vie à toi que tu veux avoir, mais c'est la seule que moi, je veux avoir. Moi, c'est mon choix. Puis à chaque fois que je me lève le matin avec le sourire dans la face puis avec l'énergie d'un gars de 18 ans quand j'en ai quasiment 40, je te jure, ça vaut la peine. Je te compte. Il n'y a rien qui vaut la peine de revenir à ce que j'étais avant. Il n'y a rien qui était mieux avant. Malgré que je sortais, je buvais des drinks, puis j'avais une vie bien plus sociale, puis je sortais dans toutes les places, j'étais-tu plus heureux ? Non, c'est ça l'affaire. J'étais pas plus heureux.
- Speaker #1
Je sais aussi que t'en as partagé, t'en as parlé sur les réseaux sociaux, t'as perdu ton père récemment, puis je me souviens que t'avais parlé un petit peu par rapport à son style de vie. Qu'est-ce qu'il dirait ton père aujourd'hui s'il te verrait ?
- Speaker #0
Il dirait que j'ai pas d'allure. Ah, il serait fier, parce qu'il a toujours été fier.
- Speaker #1
Fier, mais genre, t'as pas d'allure.
- Speaker #0
Ah, ben, tu serais éteinte et tâche.
- Speaker #1
T'as pas un outil comme ça.
- Speaker #0
Ah, oui, mais voyons donc. Non, mais mon père a toujours été fier, il me l'a dit, jusqu'à ces dernières journées.
- Speaker #1
C'est beau, les photos, les partages que t'as faits là-dessus.
- Speaker #0
Oui, j'avais un fils unique, mon père, c'était son petit gars, puis il était fier. Mais aujourd'hui, sûrement qu'il... Comment il me disait ça ? Il disait, c'est une affaire genre tu m'étourdis. Oui, c'est ça qu'il me disait. Tellement, j'étais intense dans la business, les affaires. Moi, je t'écoute parler, je t'écoute dire.
- Speaker #1
Moi, il me dit toujours ça. Je m'épuise.
- Speaker #0
Je t'écoute dire.
- Speaker #1
C'est un bon signe, ça.
- Speaker #0
Mais il y a une affaire que j'ai remarquée avec mes parents. Il y a des parents qui écoutent ça. C'est vraiment important parce que vos enfants, ils ne font pas ce que vous dites, ils font ce que vous faites. Moi, j'entendais mes parents tout le temps dire une phrase et je me suis rendu compte que c'est une des raisons pourquoi Ça les a amenés à ne pas être des personnes super en shape et à aller au gym. C'était, on garde ça simple.
- Speaker #1
Dans l'alimentation ?
- Speaker #0
Oui, dans n'importe quoi. On garde ça simple. On garde ça simple. Fait que genre,
- Speaker #1
les dindes, steak patat.
- Speaker #0
À chaque fois qu'il fallait faire un souper, à chaque fois qu'il y avait une fête, c'était tout le temps, garde ça simple. Fait que ça, ça faisait quoi ? Ça faisait... Va ramasser une lasagne, mais sans le four, c'est simple. Je voulais pas se casser la tête. Les autres, c'est comme, regarde ça simple. Y'a pas besoin de faire la vaisselle, on va se pogner ça, on va faire ça, on va aller ramasser ça là, on va faire ça, pis dans la tête de mes parents, ça allait aller bien plus vite au même résultat. Pis ça allait goûter bon. Pis c'est fou, parce que c'est tellement subtil, mais de garder ça simple, ça veut dire que tu fais des choix simples. Pis ça t'amène une vie fortement compliquée.
- Speaker #1
Fait que tu fais pas d'efforts, t'as pas besoin de... Oh my God, la phrase, moi, c'était celle qu'on entend le plus. Finis ton assiette. Il y a des gens qui n'ont pas d'argent pour manger. Finis ton assiette. J'ai plus faim. Finis ton assiette. C'était pas méchant ? Tout le temps. Merci. Exactement. Mais c'est que veux, veux pas, c'est là. J'ai fluctué aussi avec le poids. Je veux dire, c'est un long processus. C'est incroyable. Mais c'est de changer justement. C'est vraiment la portion de l'identité. Ça fait une couple d'années. C'est on and off. Je suis quasiment là. La personne qui a eu le déclic dans ma vie deux ans, c'est Peter Assia. Quand j'ai lu son livre, Outlive, ça m'a jeté à terre. Parce que justement, c'est qu'on va plus à la root cause. La root cause, c'est quoi la problématique, l'identité, qu'est-ce que tu veux et tout. Puis veux, veux pas, on ne rajeunit pas, on s'en va là. Puis mon père est décédé, c'était pas top shape. Avec la sédentaire, le stress, tu ne t'entraînes pas, tu te la quittes. C'est incroyable, pareil. Ça, je ne l'ai pas entendu souvent, celle-là. Garde ça simple.
- Speaker #0
C'est des phrases, c'est du vocabulaire kebz, c'est du québécois. C'est du vocabulaire qui est rendu tellement commun qu'on ne l'entend plus quand on le dit. Puis on fait beaucoup de jargon, puis on parle très vite. Un Français de France, des fois, il ne comprend rien. Il y a une raison à ça, c'est qu'on est rendu lazy avec notre langage. Mais si on est devenu lazy à moins articuler et avoir un moins bon vocabulaire, qu'est-ce que ça fait ? C'est qu'on est de même un peu dans tout ce qu'on fait aussi. Il y a quelque chose là-dedans qui est vraiment profond. Quand on veut aller vite à... Mettons que tu veux dire une phrase très vite. Tu veux dire la phrase vite. Il y a des chances que la personne n'a pas compris. Mais dans ta tête, tu es comme, je veux la dire le plus vite possible parce que je ne veux pas perdre du temps à expliquer. Mais l'affaire qui va arriver, c'est qu'elle ne va pas comprendre. Tu vas devoir te réexpliquer. Puis là, tu vas te répéter. Là, ça va te fâcher. Puis là, tu vas dire, Christ, les gens, ils n'écoutent pas. c'est ta faute tout le temps La loi du leadership, c'est que « it's always your fault » .
- Speaker #1
C'est tout le temps ça.
- Speaker #0
J'entends du monde parler dans leur business, « les gens ne veulent pas travailler » ou « le monde ne travaille pas » puis « les gens ne veulent pas » . Ça part de toi, d'où ? Ça part de toi. Moi, tout le monde qui travaille chez nous, ils veulent être là, ils veulent travailler, ils ont le feu dans les... Ils veulent avancer dans la mission.
- Speaker #1
C'est inspiré. Si on incarne justement, on est des visionnaires, voici où est-ce qu'on s'en va. On grandit, on grossit. This is where we're going. Ils vont vous suivre, en effet.
- Speaker #0
Il y en a qui vont aimer le message à 50%, 70%. Il y en a qui vont finir par ne pas aimer ça. Je peux être très intense pour certaines personnes, mais il y en a qui peuvent voir ça comme un fuel, comme du gaz. Moi, c'est mon rôle avec Tinkifit, avec Ali. Les deux, il faut qu'on soit à sa perfection. On a commencé à demander à toute notre équipe d'aller au gym trois fois par semaine. obligatoire. Il faut traquer ça dans une affaire et une photo.
- Speaker #1
C'est bon ça.
- Speaker #0
Si tu travailles pour Tinkfit, tu n'as pas le choix de t'entraîner pour te soigner.
- Speaker #1
Tu ne peux pas être en surpoids débile si tu travailles pour Tinkfit.
- Speaker #0
C'est un peu incohérent encore là. C'est un peu le syndrome d'imposteur aussi. C'est comme toi, tu n'as pas le temps d'aller au gym.
- Speaker #1
Comment tu vas convaincre que c'est ça que tu le fasses ? Ça a-tu bien répondu ?
- Speaker #0
Tu vas au gym, tout le monde met des photos de workout.
- Speaker #1
Ça fait combien de temps que vous avez fait ça ?
- Speaker #0
Depuis 2023, ça fait deux ans.
- Speaker #1
Ça va bien ?
- Speaker #0
Tout le monde mette leur photo.
- Speaker #1
non négociable. C'est ça,
- Speaker #0
good job. Le panel workout, il est tout le temps allumé, puis c'est motivant parce que tu vois toute l'équipe s'entraîner, tu vois toute l'équipe prendre soin d'eux.
- Speaker #1
Quelle belle façon.
- Speaker #0
Puis là, quand on se voit en équipe, on fait des workouts ensemble, on va au gym ensemble, puis là, il y en a un qui nous entraîne, ou Jean-Louis va faire quelque chose, ou Ali va nous faire faire de quoi, puis ça devient une partie de communauté. Ça fait partie de, comme quand tu te connectes avec des gens à cause de X, bien le X, nous, c'est prendre soin de nous.
- Speaker #1
Ça bâtit la mobilisation de l'équipe, Je veux dire, en plus, avec où est-ce que vous allez, c'est juste le début. surtout quand tu vis une transformation de même. Au niveau mindset, l'impact sur ta business, ça doit être malade.
- Speaker #0
Tout est plus clair.
- Speaker #1
Tout est différent.
- Speaker #0
Il n'y a plus de fog. Il n'y a plus de syndrome d'imposteur. Quand tu prends tes décisions, tu les prends all-in. C'est là,
- Speaker #1
absence de doute. Quand tu as absence de doute, ce qui reste de l'épreuve.
- Speaker #0
Il n'y a plus de peur, il n'y a plus de doute. Je suis conscient que je vais donner la meilleure décision que je pouvais donner à ce moment-là de ma vie. Je ne pourrais jamais le regretter parce qu'à ce moment-là, je suis rendu là. Puis j'avance de même parce que je sais que dans trois ans, je vais dire, pourquoi j'ai dit ça il y a trois ans ? Mais il y a trois ans, avec tout ce qu'il y avait devant moi, c'est ça que je pouvais faire. Fait qu'il faut juste accepter que ça se peut que tu ne prennes pas toujours les meilleures décisions, mais prends une fucking décision. C'est comme avance parce que ceux qui hésitent, c'est la pire affaire.
- Speaker #1
C'est ça, l'hésitation fait stagner ta business. Décide mieux, décide vite parce que ça maximise ton impact, tes résultats. Les gens ne réalisent pas. Décide dix fois plus vite, tu vas avoir dix fois plus de résultats. C'est évident.
- Speaker #0
C'est mieux d'être naïf en feu qu'être trop smart.
- Speaker #1
Mais tu es rendu pareil. Même si on ne prend pas toujours les bonnes décisions, on en prend une, on avance, on apprend, test and learn, on continue. C'est quoi le livre que tu es en train de lire en ce moment ?
- Speaker #0
Présentement, je ne suis pas en train de lire. Ou d'écouter. Là, je suis dans une pause lecture. Je suis dans un audiobook.
- Speaker #1
C'est quoi ?
- Speaker #0
C'est un audiobook de Kevin Trudeau.
- Speaker #1
Kevin
- Speaker #0
Trudeau ? C'est un... L'entrepreneur, ça fait comme 40 ans qu'il roule. OK. Il parle énormément de fréquences, de vibrations, de lois d'attraction, puis des affaires que…
- Speaker #1
Comment t'es tombé sur lui ?
- Speaker #0
C'est un gars que j'ai rencontré, un gars que je connais depuis un bout, qui m'a parlé de ça. Il m'a dit, écoute, ça c'est des audios de une heure et demie, il y en a 20, ça dure comme 40 heures cette affaire-là. Il a recordé ça depuis 25 ans en Suisse. What ? J'étais comme…
- Speaker #1
V'là 25 ans, pis c'est pas outdated. Non,
- Speaker #0
non, c'est ça, pis c'est comme, attends une minute, ça sonne ben trop bizarre ton enfant.
- Speaker #1
Ça doit être caca, ou c'est pas qualité ?
- Speaker #0
Non, ça sonne quand même bien. Pis c'était dans le temps sur des CD, là, ils parlent que genre, si t'écoutes le CD, pis là j'étais comme, c'est ça que je veux, du old school, pas du...
- Speaker #1
Moi j'ai pas dit ça.
- Speaker #0
Pas du new school, là, du régurgité recyclé. Moi je veux genre le vieux gars qui faisait des conférences à la Napoléon Hill dans le temps.
- Speaker #1
Vois-tu des différences avec le contenu qu'on consomme aujourd'hui ?
- Speaker #0
Ben, j'ai l'impression que si ça Ça fait vraiment 25 ans, tout le monde s'est filé là-dessus. Parce que ce que j'entends, c'est ce que j'entends aujourd'hui de les gars qu'on suit. C'est débil.
- Speaker #1
Kevin Trudeau ?
- Speaker #0
Oui.
- Speaker #1
Je suis curieuse. Je pense qu'il y en a pas mal qui vont être curieux.
- Speaker #0
C'est ça. C'est un gars qui a fait partie de beaucoup de sociétés. Il a eu des entreprises. Il est en train d'expliquer comment aller chercher le secret de la loi d'attraction et comment ça marche pour vrai au niveau de la science. Je n'ai jamais entendu quelqu'un autant bien expliquer cette affaire-là. Je comprends la loi de l'attraction, je comprends de manifester, qu'est-ce que tu veux, je comprends, mais c'est vraiment un bon pédagogue. Les épisodes, c'est une heure et demie chaque.
- Speaker #1
Fait qu'il garde assez ton attention.
- Speaker #0
Puis il te la garde. Puis, il te la garde. Je ne l'ai pas écouté d'une shot. Je suis dans mon corps. Tantôt, je m'en venais, j'écoutais un bout. Pour vrai ? J'en ai pour 50 heures. Écoutez, c'est long.
- Speaker #1
Tu as fait la belle promo.
- Speaker #0
Oui, je ne sais même pas s'il roule encore. Dans le fond, je ne le suis pas personnellement. C'est un méchant qui m'a dit, « Download ça et écoute ça. Tu vas voir, c'est malade. On s'en reparlera après. » Puis là, j'ai commencé à l'écouter.
- Speaker #1
C'est différent de ce que tu as entendu. Mais c'est différent un petit peu pour que ça capte ton attention. C'est peut-être, c'est différent.
- Speaker #0
Ça va chercher quelque chose que je n'ai jamais entendu.
- Speaker #1
OK.
- Speaker #0
C'est ça qui me fait capoter. J'ai jamais entendu ces affaires-là. Puis, on dirait que ça me gosse parce qu'on a tout entendu. Mais là, quand tu commences à parler de quelque chose, puis je fais comme, oh, attends une minute. C'est vraiment... Je mets pas autre que les notes. Puis là, je suis comme, OK, non. Mais voyons donc. Ça,
- Speaker #1
c'est le secret le mieux gardé. Faut que les filles viennent de le dévoiler.
- Speaker #0
Mais le pire, c'est que je ne sais même pas comment ça se trouve, cette affaire-là. C'est full mystique. C'est comme un site web qui n'existe pas.
- Speaker #1
C'est comme underground, mystérieux, mystique.
- Speaker #0
Ça a commencé parce que... Tu connais Russell Branson ? Oui, oui. Ça a commencé parce que lui, il a découvert l'histoire de Napoléon Hill, qui a Out to Think and Grow Rich. Et Napoléon Hill s'est fait engager par quelqu'un pour écrire ce livre-là. C'est ça, l'histoire. C'est qu'il y a quelqu'un qui a engagé Napoléon Hill pour écrire l'histoire. Puis là, je ne veux pas dire tout le punch parce que, sérieux, c'est tellement alt comme histoire, mais Napoléon Hill, il est engagé, puis ça a pris 20 ans à suivre Henry Ford, Dale Carnegie, puis plusieurs personnes dans le temps qui étaient les most successful. Puis il a passé 20 ans à étudier et observer ces gens-là, puis il a écrit « The 16 Laws of Success » en 1908, une affaire la même.
- Speaker #1
Qui vient de là.
- Speaker #0
Il a écrit le 16 laws of success. Ce livre-là, ça a été fait pour quelqu'un que je ne dirais pas le nom. Ce livre-là, dans le fond, il voulait être publié par Napoléon Hill. Ça a été shut down par toutes les hautes sociétés et les gouvernements parce qu'il divulguait les secrets d'Henry Ford, de comment il a fait sa fortune, son mindset et tout ça. Ce n'est pas sérieux. Ils ont pris le livre, ils l'ont saccadé en How to think and grow rich. Aujourd'hui, il se vend dans toutes les librairies. Mais le vrai livre, Russell Branson l'a trouvé à 9 millions.
- Speaker #1
Quoi ? Il l'a acheté. Tu m'en aïs.
- Speaker #0
Il a trouvé le manuscrit de Love Success de Napoléon Hill, le seul manuscrit qu'il a fait, avant que ça passe en édition. Il l'a payé 9 millions, 8 millions US. Il a acheté ça il y a un an ou deux, Russell Branson. C'est là que ça passe. Kevin Trudeau explique l'histoire de Napoléon Hill et d'où ça vient, Dale Carnegie et leur mindset d'Henry Ford. Tu t'en vas dans les gens qui étaient les plus riches au monde il y a 150 ans. Il y a 100 ans. Fait que là, tu t'en vas dans des spectres de sociétés que genre, il n'y a plus personne qui parle, ça fait trop longtemps, mais ça part tout. Il y a quelque chose qui part de là, tu sais, l'industrialisation. Les années 1900 puis jusqu'à 2000, on a grandi fois 2 millions. À la vitesse, avec l'AI aujourd'hui, my God, ça va vite.
- Speaker #1
Écoute, on pourrait faire un autre épisode là-dessus.
- Speaker #0
Oui,
- Speaker #1
c'est ça. Tu dis, c'est vraiment fascinant ça.
- Speaker #0
Il explique dans le fond des choses que Einstein a dit, des affaires que Thomas Edison a dit. Puis, ils ont fait des recherches sur Merci. L'antenne du cerveau, c'est vraiment intense. Ça pousse dans des niveaux que ça challenge tes croyances.
- Speaker #1
C'est ça qu'on aime.
- Speaker #0
C'est ça que j'aime.
- Speaker #1
Surtout quand on est entrepreneur, c'est ça qu'on aime. On se fait challenger. Il n'y a rien de pire que toujours la même affaire où on se fait tout le temps les mêmes astuces tendants.
- Speaker #0
On peut recycler tout le temps. Le gars qui est constitué en ligne a dit quelque chose qui venait de quelqu'un, mais dans ses mots.
- Speaker #1
Juste cette conversation-là, ça donne vraiment envie d'aller voir au balbutiement de tout ça. versus d'aujourd'hui, j'adore ça.
- Speaker #0
C'est parce qu'on recherche souvent la réponse. On pense qu'on n'a pas la réponse, mais moi, ce que j'ai remarqué, c'est que ça, c'est, mettons, société, gouvernement, tout ce qui se passe dans le monde. Sans rentrer dans ce détail-là, si tu connais l'histoire, tu comprends tout ce qui se passe. Fait que quand je me suis rendu compte que, genre, c'est des patterns, puis des... Ça revient tout le temps. Comme la mode. Oui, c'est ça. Je me suis rendu compte que, dans le fond, l'entrepreneuriat, c'est un peu la même game. puis l'arrivée de l'Internet, ça a été une bulle. Après ça, l'arrivée du Web 3. avec la crypto pis tout ce qui s'est passé avec tout ce milieu-là, ça a ouvert une autre porte. Après ça, le AI est arrivé. On va tellement vite dans le futur, mais chaque bulle a le même système, a le même truc. Pis tu sais, c'est pour ça que tu vois des putes, des fois, t'as manqué la bulle de l'Internet, mais manque pas la bulle de crypto, la bulle de AI. C'est vrai que c'est des jumps que si tu vas vite, t'es early là-dedans, tu peux devenir un Mark Zuckerberg, tu peux devenir un Jeff Bezos parce que Jeff Bezos était dans le bulles de l'internet dans l'e-commerce. Ils ont tout jacké ça au bon moment.
- Speaker #1
Là, c'est l'AI, la bulle en ce moment.
- Speaker #0
Même l'AI, dans ma tête, on est en arrière. Moi, j'ai connu Jack J.P.T. en 2023, quand c'était en 2022. Oui, en 2022,
- Speaker #1
à l'automne.
- Speaker #0
C'est Olivier Lambert, je vais le pluguer, qui m'a... Je ne sais pas pourquoi tu dis ça, mais Olivier Lambert m'a montré ça. Je suis pas surprise. Olivier Lambert m'a montré ça dans un souper. J'étais avec LP Mercier. Ah, LP ? J'en ai vu ça. Moi et LP, on était comme, ça se peut pas. Ça se peut pas, on y croyait tous pas. J'y croyais,
- Speaker #1
c'est sûr que j'y aurais pas cru à l'automne en 2022.
- Speaker #0
Ah non, ça fait déjà quasiment trois ans de tout ça. J'y pense-tu ? C'est pas l'ad, moi. On est encore en train de parler de GPT. Non, mais attends, depuis trois ans, il y a des affaires qui ont apparu. Il y a des affaires qu'on peut même pas parler sur le podcast tellement c'est complexe, mais t'es capable de faire des affaires de fou.
- Speaker #1
On est où dans 5 ans ?
- Speaker #0
En termes de quoi ?
- Speaker #1
Intelligence artificielle.
- Speaker #0
50% des jobs n'existeront plus.
- Speaker #1
Oui, je pense aussi.
- Speaker #0
Puis moi...
- Speaker #1
Tu parles de ça, au commun des mortels ? Oui,
- Speaker #0
puis moi, je vais dire quelque chose même, genre, ça se peut que ma job ne soit plus non plus.
- Speaker #1
Oui, idem.
- Speaker #0
Oui, le coach, là... Je ne sais pas pourquoi il ne faudrait pas se soigner les mains. Il va falloir lui aussi faire l'expérience. Ça va être l'expérience. L'expérience en tabarouette. On va voir, c'est sûr qu'on va voir un changement de crinqué, mais j'ai l'impression que d'ici 5 à 10 ans, max 10 ans, mettons pour le fitness, le wellness, les gens vont payer 14 fois le prix de voir un coach en personne.
- Speaker #1
Parce que ça va être un coach.
- Speaker #0
Parce que l'AI va être un coach.
- Speaker #1
Qu'est-ce que tu penses de ça, toi, l'application d'AI ? Il scanne ton body et il te fait ça.
- Speaker #0
Oui, ça existe. Après ça, tu testes les affaires à l'épicerie, ça donne les macros. Après ça, ça dit si tu payes dans ton plan alimentaire ou pas. Ça existe déjà, ça. La personne aujourd'hui qui n'a pas la réponse, c'est un choix.
- Speaker #1
Quand les gens, j'ai challenge mon groupe, tu me poses une question que tu peux poser à ChatGPT, pose la question à ChatGPT, à premier, la base et tout. Après, au niveau stratégie, high level, l'expérience et tout, d'amener ça. Là, on va en discuter. Mais maintenant, c'est ça, tout est accessible. « Mon fils, tu vas en haire. Tu vas en haire un garçon, une fille. Puis l'adolescent, ils sont nés avec ça. » Puis là, des fois, il ne sait pas quoi faire. Tu me niaises. C'est scotché à la main. Tout est là, tout est à ta portée. Même là, c'est surprenant.
- Speaker #0
Le AI va prendre la dominance sur n'importe quelle question. Ça, ça faisait quoi ? Toutes les questions que tu poses à ton coach, elles vont être réponses par un AI. Même Tony Robbins a son AI. Tony AI. C'est lui qui parle. Fait que tu sais, j'allais essayer parce que j'avais acheté son emploi.
- Speaker #1
Une démonstration de ça, c'est vraiment...
- Speaker #0
J'ai eu 30 jours avec lui, j'y ai parlé quasiment tous les jours, puis j'étais flabbergasté à quel point c'était lui qui répondait dans son énergie, dans sa voix, dans sa tonalité. Puis les réponses qu'il me donnait, c'était pas du marché, c'était du Tony Robbins. Je le suis Tony, j'ai lu ses livres. C'était lui qui parlait, t'as l'impression que c'est lui, puis c'est lui qui t'appelle.
- Speaker #1
C'est malade. T'as-tu vu l'application ? J'ai vu ça dans une formation. Je pense que c'est Atlas. Il faut que je le re-regarde. C'est vraiment, c'est comme les personnes avec les corps, les tout. Puis c'est avec cette AI-là, qui est vraiment une voix d'humain. Tu penses que tu parles à quelqu'un, ça teste, ça l'appelle. J'ai vu la démo complète comme ta, Vernon.
- Speaker #0
Oui, je me suis inscrit à son événement web. Puis j'ai reçu un appel de Tony Robbins sur mon afficheur. J'ai répondu, « Yo, Nick, this is Tony. » Puis je te jure, j'ai fait, « What the… » genre...
- Speaker #1
Par un instant, t'as fait comme « what the fuck » .
- Speaker #0
Puis là, j'ai dit « hey » . Puis il est comme « yo, I'm so glad you respond » . Puis il commence à parler. Il dit « j'ai vu que t'as register pour mon event samedi prochain. J'ai tellement hâte que tu te pointes. Je vais juste m'assurer que t'oublies pas. Puis tu me mets dans ton calendrier. On se voit samedi. » Puis ça raccroche. Là, j'ai comme catché que c'est pas lui. On s'est senti. « C'est écouté. » Mais my God, tu réponds. Puis tu dis « oui, c'est moi » . Tu comprends ? C'est sûr que tout le monde a répondu, c'est Tony qui appelle. Puis quand tu réponds, c'est sa voix. OK, mais on est rendu là, puis on est chez en 2025, puis Tony, il est en avance sur tout le monde. Fait que quand le monde va pick up le slack, puis tout le monde va avoir un Tony AI, comme là, j'ai demandé à un de mes chums qui fait du AI, « Peux-tu me bâtir un Ali Braggs AI pour commencer à être un des premiers au Québec qui a un coach AI ? » Puis il dit « Ouais, je peux te faire ça, man, ça va prendre un mois ou deux, je vais t'arrêter. » Tu sais, on est rendu à un mois ou deux, faire ça. fait que j'imagine même pas dans 5 ans le level de vitesse que ça va Mais j'ai l'impression qu'il n'y a plus grand job qui va exister. Puis on va être obligé d'avoir des humains qui opèrent des AI, puis ça va être devenu ça, le wit, le smart, c'est comme, comprends-tu le langage AI ?
- Speaker #1
T'as pas le choix. Puis ça me fait penser, tu sais, on le voit, tu regardes à l'école, ils n'en parlent même pas.
- Speaker #0
Au secondaire, Chris, il n'en parle pas. On prépare les enfants. Pourquoi ? Je vais dire, mais veux, veux pas, Noah, pourquoi il faut que j'apprenne ça pendant des heures, des années, des mois ?
- Speaker #1
Quand je prépare l'HGPD.
- Speaker #0
C'est sûr que ça rend les gens paresseux pareil. On s'entend. Ça, on le voit quand tu as des ados. Tu le vois clairement. C'est épeurant, mais là, l'école, le système d'éducation comme Wake Up, parce qu'on va avoir un enjeu.
- Speaker #1
C'est parce qu'ils ne veulent pas l'intégrer, parce qu'ils ne veulent pas... pas.
- Speaker #0
En cause de ça, avec les syndicats, les pertes de job aussi, ça va nous remplacer.
- Speaker #1
Les équipes vont quand même jouer avec. Fait que c'est ça l'affaire. Là, ça va devenir pas contrôlé.
- Speaker #0
C'est déjà, je te dirais, c'est ça souvent aussi à l'école. Mais c'est incroyable, c'est de l'inconnu. Ça va tellement vite, puis l'humain n'est pas reconnu pour aimer le changement, puis changer rapidement. Parce qu'on le sait, les sociétés fabriquent des salariés. À l'école, on fabrique des salariés. Pense pas, exécute, fais ce que t'as à faire, rentre dans l'arrêt, assis-toi, bouge pas. Tu peux dire quand tu as un gars à l'école, tu as sûrement vécu ça. Pas facile d'être assis comme ça pendant huit heures, puis juste de la théorie, on n'est plus là. C'est ça qui est tough, de voir comment on va switcher au complet. Ça va être quelque chose. Ça, ça pourrait être vraiment un autre épisode en astique. Ah, c'est intense.
- Speaker #1
C'est intense parce que ça va tellement vite et loin et épeurant. Puis l'affaire, c'est que it's not going away. Non. C'est ça l'affaire. Exactement.
- Speaker #0
Ce n'est pas une pause, ce n'est pas passager, c'est clair.
- Speaker #1
Si tu as peur de ça live, arrête. Jump in parce que... Plus vite tu embarques, plus vite tu vas comprendre. Puis plus vite tu vas comprendre que la peur, elle vient de l'inconnu. Quand ça devient moins inconnu, comme moi, je travaille avec plusieurs AI, plusieurs choses, c'est plus de l'inconnu. Là, ça devient du contrôle. C'est comme, OK, celui-là peut me faire faire ça, celui-là peut me faire ça, celui-là peut me faire ça.
- Speaker #0
C'est quoi pour nos besoins ? Je suis en train d'en apprendre beaucoup. Parouette, ça va vite. OK, ça, c'est trop cher parce que j'ai des besoins. Pas tout de suite. Ah, ça, ça va m'aider tout de suite. sinon on va mourir,
- Speaker #1
c'est clair il y a même des affaires que j'ai remarqué il y a des apps il y a des programmes AI qui créent des programmes puis qui deviennent des self-learning puis ça, ça devient vraiment intéressant dans un sens de SaaS, toutes les compagnies de SaaS parce que, tu sais, mettons on utilise Slack pour le chat ou Equity ou Calendly, tout ça, bien il y a des apps AI qui peuvent faire ton Calendly à 0$ par mois
- Speaker #0
Oui, j'en ai vu, c'est assez disturbing.
- Speaker #1
Ça devient un niveau que toutes les compagnies comme Calendly, comme Slack, tout ça, savaient que ça peut planter parce qu'avec Lovable, tu peux aller faire ton Slack.
- Speaker #0
Il y a toujours quelque chose de meilleur qui sort. Ça aussi, des fois, la question qu'on me pose souvent, c'est laquelle je choisis ? Mais ça dépend quand même, c'est quoi ton besoin ? Je vais dire, ça revient tout le temps à ça, mais c'est peu rare en pareil. Parce que, wow, c'est exceptionnel. C'est peu rare en même temps parce qu'on le sait que... Il n'y a personne qui va y échapper, pareil, à part quelqu'un qui fait des jobs manuels. Moi,
- Speaker #1
je te dirais, à mon niveau, la peur que j'ai, c'est le deepfake. C'est la fois qui me fait le plus peur, c'est d'être capable de faire des vidéos de toi que tu n'as pas faites. Ça, ça fait quand même peur, parce que, tu sais, les politiciens, il n'y a pas de qui qui est une public figure. Tu es une public figure, tout le monde connaît Mel. Mais c'était peur, hein ? Ça se peut que quelqu'un t'aime pas. puis il est vraiment fort en AI, puis il est capable, avec tout ce que tu as pondu en ligne, de recréer une vidéo de toi qui envoie chez tout le monde puis qui commence à dire des affaires vraiment brutales. Puis là, le monde...
- Speaker #0
On a vu de ça. Oui, puis le monde va voir. C'est pour ça qu'au niveau, quand on parle de tout ce qui circule comme information, je veux dire, il y a tellement de fake, il y a tellement de fausses informations. Comment tu tries le tout ? Comment tu vas trouver ? C'est quoi qui est vrai, ce qui n'est pas vrai ? Bien,
- Speaker #1
c'est pour ça que là, il y a des AI qui détectent les AI.
- Speaker #0
Oh my God, my God, my God.
- Speaker #1
On est full circle. Pas 5 ans, là ! Tu mets ça dans l'AI, puis il va te dire si c'est AI-generated. Mais là, après ça, le AI-generated qui a été codé par un humain qui est peut-être biaisé.
- Speaker #0
Ça finit plus, comme tu as dit, full circle.
- Speaker #1
Chad G.P.T., dans les élections, il y avait des profils pour du monde, mais Trump, il ne faut pas parler de Trump. C'est fou comment il y a quand même un humain derrière les logiciels de langage. Il y a quelque chose qui est biaisé derrière ça. Même Chad G.P.T. qui donne une réponse, C'est une réponse basée sur des humains qui ont mis du langage. Ça devient vraiment intense parce que tu prends la réponse GPT comme du fric. Comme du cash, oui. Ça se peut que tu viennes tout de suite d'être biaisé dans une opinion, puis là tu vis ta vie avec ce biais cognitif-là, puis là tu t'en vas dans le même direction pendant 21 ans.
- Speaker #0
C'est cœur,
- Speaker #1
ça. Le meilleur moyen si vous voulez jouer avec chat GPT, vous voulez savoir s'il est biaisé, c'est le challenge. Puis vous allez voir jusqu'à où il est capable de se faire challenger, parce qu'à un moment donné, il arrête et il dit, tu as raison, je n'ai pas la réponse. Puis rendu là, tu te rends compte que tout ce qui vient de te sortir, c'était « generated » par des opinions, par des affaires qu'il a déjà entendues. Parce qu'il y a quelque chose à comprendre qui est vraiment important, le AI n'invente rien, il recrée.
- Speaker #0
C'est tout là, oui.
- Speaker #1
Il faut qu'il y ait une base pour recréer. Il n'invente rien de nouveau. Fait que tout ce qui te sort comme réponse, c'est recyclé de des millions de « data bytes » puis des millions d'affaires qui circulent dans le monde entier. Fait que quand tu le « challenge » , quand il y a un point qui n'est plus capable de te répondre, c'est parce que t'es rendu à un niveau qu'il est pas capable de suivre. Il est pas capable de... Il a pas la réponse. Dans tout son database, il est comme, je peux pas répondre à ça. Je m'excuse. Puis des fois, il s'excuse. Il est comme, sorry, genre, my model is not...
- Speaker #0
Une couple de fois.
- Speaker #1
My model is not up to date, ou genre...
- Speaker #0
C'est pas qui pareil, là. Mais c'est malade, là.
- Speaker #1
Puis c'est ça qui est dangereux parce que, mettons, pour la santé, tu sais, là, tout le monde pourrait dire, écouter ça, faire comme « Ok, mais dans le fond, Ali va faire un AI, puis on n'aura plus besoin d'Ali. » Non, c'est ça l'affaire. On va avoir besoin d'elle.
- Speaker #0
Faut faire attention. Faut bien l'expliquer.
- Speaker #1
Oui, parce que si jamais tu demandes à un AI quelque chose sur des suppléments, puis tu lui as pas dit que tu prenais des antidépresseurs, là, lui va te dire, mettons, tu demandes des questions sur, « Hey, je devrais-tu prendre de la shwaganda puis des plantes adaptogènes pour régler mon stress ? » C'est sûr qu'il va dire, « Bien oui, fais-le. » Mais tu lui as pas dit que tu prenais des antidépresseurs.
- Speaker #0
Il manque de contexte tout le temps. Ça peut que là,
- Speaker #1
ça fait une interaction qui est vraiment dangereuse pour toi, et là, tu ne le sais pas parce que c'est ChargeBD Si tu ne lui feedes pas de l'info, il va juste te répondre au level du prompt que tu vas lui donner. Fait que si tu fais un prompt de « Je devrais-tu prendre des plantes d'adaptogène ? » Il va dire…
- Speaker #0
C'est ça le problème. La majorité des gens ne vont pas poser les bons prompts. Fait que déjà là, comme tu dis, t'es biaisé, tu manques de contexte et tout.
- Speaker #1
Puis là, c'est là que ça vient que genre, « Kim, on aurait peut-être étudié à l'école les prompts. » Parce que sinon, tu vas lui demander n'importe quoi.
- Speaker #0
T'as une idée à quelle vitesse ils sont capables d'aller.
- Speaker #1
Bien, le prompt, c'est facile parce que c'est un langage. Oui.
- Speaker #0
Mais l'école, je veux dire, juste à un professeur, juste utiliser le chat GPT, c'est comme... Tu te rappelles, dans les débuts, qu'est-ce que ça faisait ? Oui. C'est tout, ils ne comprenaient pas pas en tout. J'ai fait un cours à tous mes cousins, mes cousines, mes amis, mes parents. Ils ne comprenaient pas. Comme, « Ah non, fais-toi pas ça. » Tu sais, la presse, elle était très menacée avec ça. Mais à un moment donné, ils n'ont pas eu le choix de regarder. Oui. Mais bref, tu sais. Nick, quel bel entrevue, sérieux. Genre, moi, je parlais de quoi tout l'après-midi ? Tu parlais de ce que c'était, oui. Non, sérieux, c'était qu'un réveil là. Clairement, je te réinvite, on parle de ça plus en profondeur. Oui,
- Speaker #1
ça fait plaisir.
- Speaker #0
Cette année, qu'est-ce qui s'en vient pour toi ?
- Speaker #1
Le 6-pack, il me reste 6 semaines.
- Speaker #0
T'es rendu où ? T'as-tu 2 sur 6 ? T'as un target là.
- Speaker #1
C'est le mariage dans 6 semaines.
- Speaker #0
T'es-tu sur un target ?
- Speaker #1
Oui, je suis rendu à 9% de body fat. 9%
- Speaker #0
de body fat !
- Speaker #1
Oh my god ! Depuis janvier, j'ai perdu 38 livres de gras, puis j'ai pris 32 livres de muscles. J'ai changé de 70 livres dans le fond du corps.
- Speaker #0
C'est le tas.
- Speaker #1
J'ai plus de bras dans le dos, j'ai le dos sec, je commence à avoir des creux dans les abdos, je sors des craques de pecs, des veines sur les bras, c'est quand même débile. Puis tout naturel.
- Speaker #0
On est comme au mi-juin, on s'entend, janvier, février, mars, avril, mai, c'est cinq mois et demi. C'est phénoménal. Ça, ça veut dire que tu n'as pas eu un écart en cinq mois et demi ou presque.
- Speaker #1
Oui, j'ai eu quelques cheats. Quelques fois, le coach a dit, tu peux manger une pizza, c'est correct, des sushis, des affaires de même.
- Speaker #0
T'es humain. C'est bon.
- Speaker #1
Quand il me le dit. Parce que là, depuis les trois derniers mois, c'est no cheese, zero cheese. Vrai. Zero cheese, zero alcohol. C'est straight. C'est la même chose 7 jours sur 7.
- Speaker #0
J'ai vu avec tes déjeuners, je ne sais pas si c'est à toi ou à Ali, comme « Hey guys, tu vas te currer de manger la même chose ce matin ? » Je mange tout le temps des oeufs pas mal aussi, j'adore ça. Comme un peu ton style de... Mais là, je me disais, c'est toujours les mêmes fruits, c'est toujours la même omelette, c'est toujours la même affaire.
- Speaker #1
Quand tu aimes manger quelque chose, pourquoi tu ne voudrais pas manger à chaque fois ?
- Speaker #0
Il me semble des fois, bon, mais sans, je ne parle pas de manger des toasts.
- Speaker #1
Mais tu vois, juste de vouloir changer quelque chose, ça ouvre la porte. Ça se rapporte.
- Speaker #0
Même de changer de fruits.
- Speaker #1
Oui, ça ouvre la porte.
- Speaker #0
Faut-tu pas ça un peu fort ?
- Speaker #1
Bien, moi, dans le fond, ce qui m'a aidé, c'est que je suis allé dans l'extrême. OK. Puis un peu à la David Goggins. Oui, vraiment. J'allais dans l'extrême parce que je m'auto-négociais sur tout. Fait qu'il a fallu que je me shut up.
- Speaker #0
Mais tu te connais bien d'abord. Ça veut dire que tu savais que si je joue sur ça, je change ça, je sais ce que ça peut donner.
- Speaker #1
Pas Ali. Ali va prendre des framboises.
- Speaker #0
Mais de boire, c'est pas pareil. Mais c'est correct. Mais ça, c'est bon, tu te connais. Tu sais comment ça fonctionne.
- Speaker #1
Puis c'est comme le monde qui dit, j'ai des chums qui ont arrêté de boire. Puis il y en a qui vont me dire, ah, j'ai arrêté parce que, hey man, je prends un verre, je suis rendu à 10 puis de la poudre. Puis OK, toi, quand tu les tapes.
- Speaker #0
Mais qui se connaît aussi. Il y en a,
- Speaker #1
mais il y en a que c'est comme « Ah, j'ai arrêté de boire parce que… » j'ai pas super envie de ça, puis je vais garder ma santé. Deux raisons complètement différentes, deux behaviors complètement différents, les deux ont arrêté. Fait que moi, je suis allé dans l'extrême, puis c'est pour ça que j'ai fait, je suis rendu à 951 jours de gym de suite, puis je mange la même chose à tous les jours.
- Speaker #0
T'as répété ça, t'es rendu à combien sur 1000 ?
- Speaker #1
951 jours de suite. C'était 951 sur 1000. Il reste 49 jours pour réussir le 1000 jours.
- Speaker #0
Puis tu fais quoi à 1001 ? Tu te reposes ?
- Speaker #1
Non,
- Speaker #0
je vais aller au gym.
- Speaker #1
Qu'est-ce qui se passe quand on perd la vie à l'UE ?
- Speaker #0
Il y a plein de beaux qui sont encore.
- Speaker #1
Tu vas faire quoi après ? Qu'est-ce que tu penses que je vais faire après ? Les maçons-succus,
- Speaker #0
c'est une petite terrasse qui… Tu penses que tu vas perdre ton SPAC après avoir travaillé si fort que ça ? Ben non. Écoute, c'est tout à ton honneur.
- Speaker #1
Je le fais de la bonne manière. Je vais toujours le garder après.
- Speaker #0
C'est pour ça. Oui. pas pris un SD en 950 quelques jours. Non.
- Speaker #1
Non, pis y'a bien des bodybuilders ou du monde dans le fitness qui vont dire que c'est malade, faut que tu recoupes, faut que t'ailles là. Dude, je m'entraîne pas pour une shape, je m'entraîne pour casser mon mental de faible. C'est juste ça, c'est à chaque jour je dois y aller, sinon j'ai fail.
- Speaker #0
Écoute, attends. Tout là. Je m'entraîne pour casser mon mental de faible.
- Speaker #1
C'est ça.
- Speaker #0
Oh, de maille. C'est comme...
- Speaker #1
C'est ça,
- Speaker #0
mon vrai. Non, mais Chris,
- Speaker #1
je veux te dire. Tu n'es pas pour une shape.
- Speaker #0
En tant que faible, c'est fini.
- Speaker #1
Oui.
- Speaker #0
Aujourd'hui, c'est quoi ? Tu es quoi ? Tu étais faible avant. Aujourd'hui, tu es quoi ?
- Speaker #1
Là, je m'en viens vraiment proche d'un warrior.
- Speaker #0
Warrior. Powerful. Oui,
- Speaker #1
oui. J'ai passé un an à apprendre à me battre physiquement. J'ai fait des cours de boxe, de MMA, d'autodéfense.
- Speaker #0
Tu es tout fait. C'est-tu que j'aime ça ? Oui. J'aime ça.
- Speaker #1
Bravo, un sec ! J'ai voulu amener l'homme à quelque chose qui est respectable, qui est dans n'importe quelle situation.
- Speaker #0
Tu sais, c'est extraordinaire. Tu es comme en omission. C'est quand le black belt ?
- Speaker #1
Ah non, ça, je ne le ferai pas. Quoi ? Non, ce n'est pas ça que j'ai envie de faire.
- Speaker #0
OK.
- Speaker #1
Non, là, j'ai plusieurs objectifs, mais après le bodybuilding phase shape, je vais tomber beaucoup plus sur une phase athlétisme. Ça fait que je vais recommencer à faire du pléiométrique, puis de la boxe, puis du combat. Mais pas du combat karaté hors martiaux. Ça va être comme... Je vais m'amuser avec beaucoup de pléiométriques, puis je vais faire de l'activité fonctionnelle. Puis je veux travailler ma mobilité, je vais finir par faire la split. Je veux faire des « shit » que, en vieillissant, on est de moins en moins capable de faire, mais moi, je vais de plus en plus les faire. Pour non seulement casser les « dunks » …
- Speaker #0
Mais tu les prends au bon moment. Oui. J'imagine que les gens, quand ils commencent plus tard, c'est plus difficile.
- Speaker #1
Bien, plus tu commences tard, plus c'est dur, mais ce n'est pas impossible.
- Speaker #0
Absolument pas.
- Speaker #1
J'ai commencé à 35, ça peut être jeune ou tard pour certains, mais j'ai 37.
- Speaker #0
Alors, c'est jeune, quand même.
- Speaker #1
Oui, en bas de 40. Mais tu sais, à 40 ans, les hommes commencent à tout se ressembler. Mon but, c'est d'être le one of.
- Speaker #0
C'est ça, c'est ça. Comme si il sort du lot,
- Speaker #1
lui. T'as-tu vu la blonde que j'ai ?
- Speaker #0
C'est ça, je te dis, il me semble que j'aurais de l'apparition l'été sur la beach.
- Speaker #1
Moi, je vais me tenir fier à côté d'elle. Tu vas être aussi fier maintenant. Ah oui, oui.
- Speaker #0
Good job, Nick. C'est hot. Merci encore pour ce super épisode-là. Wow, c'est clair. Wow, la qualité, drop de mic, entrevue, love it.
- Speaker #2
Merci beaucoup.