Speaker #0Bienvenue à l'Indomptable Podcast, l'endroit où est-ce qu'on ne suit pas les règles. Je dis tout haut ce que bien des entrepreneurs pensent tout bas, avec une approche directe et ponctuelle. Vérité crue, stratégie puissante et mindset d'élite, tout ce qu'il te faut pour bâtir une business qui domine. Je suis Mélanie Fortin, business coach, stratège élite et surtout, indomptable. Bienvenue à l'Aidontable Podcast épisode 118. Le jour où j'ai arrêté de vouloir plaire tout le monde. Non, mais c'est-tu fatigant ça, non, quand tu y penses ? Toujours vouloir plaire à tout le monde. Hé là là, je sais pas d'où ça vient là, mais... Je peux te dire qu'il y a une vie avant et une vie après. Est-ce que toi, t'essaies de plaire à tout le monde ? Tu penses que non ? Je te confirme que c'est sûrement un oui. Et je t'invite à rester avec moi parce que tu vas comprendre ce que je veux dire. Et je te garantis que tu ne seras pas déçu. Parce que dans cet épisode-là, je vais te partager une petite tranche de vie. Où est-ce que je vais te partager quand est-ce que j'ai décidé de dire « fuck it » puis d'arrêter de vouloir plaire à tout le monde. Et à quel point ce moment-là, ça a été un véritable game changer dans ma business. Tu vas voir que, comme sujet, on peut dire que c'est tout un contraste avec l'épisode de la semaine passée, l'épisode 117, qui, en passant, si tu ne l'as pas écouté encore, je t'invite, après cet épisode-ci, d'aller l'écouter. C'est tout un épisode, j'ai eu beaucoup de feedback là-dessus en quelques jours seulement, où est-ce que je parlais de l'intelligence artificielle. À quel point qu'elle marque la fin des excuses en business. Alors, c'était très, très le fun. Oui, parce que j'ai eu du plaisir à parler dans cet épisode-là. Il va y en avoir d'autres comme ça à venir. Donc, aujourd'hui, je te partage le jour précis où est-ce que j'ai arrêté de vouloir plaire à tout le monde et qu'est-ce que ça a changé pour ma business. Tu sais, comme la majorité des gens, bien oui, pendant longtemps, bien oui, j'ai voulu que tout le monde m'aime. Bien, je ne le disais pas comme ça, évidemment. Mais tu sais ce que ça voulait dire ? Je voulais tout le temps être la meilleure. Je voulais être inspirante. Je voulais aider. Je voulais être irréprochable. Je ne me donnais jamais le droit à l'erreur. Ah ! Mais tu sais quoi ? Juste à le dire, là. C'est comme, c'est épuisant, dans le fond, d'être aimée. Pour une version qui est comme trop parfaite de toi, tu sais. C'est comme, à l'époque, c'est comme si je portais un masque pendant certaines journées, puis... Je l'ai tellement mis longtemps, ce masque-là, que j'en suis venue à quasiment oublier ma vraie nature, qui j'étais vraiment, là. Tu sais, la Mélanie Fortin, l'indomptable. Tu sais, en gros, je disais oui à trop de choses, à trop de projets, par peur de déplaire. Je filtrais mes propos pour pas déranger. Oh my God, ça, là, je suis... j'étais plus capable. Je filtrais vraiment plus que j'aurais voulu mes propos. Tu sais, peur de déranger, peur de déplaire. peur d'être jugé. À différents niveaux, on va tous passer par là. Puis, ce que je regrette aujourd'hui, mais il faut croire que c'était un passage, je me censurais un peu à chaque publication, à chaque live, à chaque vidéo. Puis, à force de vouloir être parfaite pour tout le monde, de ne pas froisser personne, je n'étais plus pas en toute alignée avec moi-même. Tu sais quoi ? Je me tombais moi-même sur les nerfs par moments. Je commençais à être... C'est drôle parce que ça m'a pris un certain temps avant de comprendre ce qui était en train de se passer parce que quand c'est arrivé, c'était à peu près à quelque part en 2023, j'ai accumulé beaucoup de frustration. J'étais comme un volcan à l'intérieur sur le bord de sauté. J'avais peur justement que ce moment-là arrive. Mais un moment donné, il y a eu une journée et ça a été « ok, fuck it, c'est assez » . Le jour où j'ai arrêté de me retenir, c'est fou comment ça a tout changé. Mais ça m'a surtout libérée. J'ai juste arrêté de me retenir. J'ai arrêté de me retenir. Pendant trop longtemps, je mesurais mes mots. Je peux-tu dire ça ? Jusqu'à où je peux aller ? Qu'est-ce qu'ils vont dire ? Je voulais tellement être certaine de plaire à tout le monde, de ne pas déranger, de rester correcte, politiquée correcte. Je peux te dire une chose, OK ? À force de vouloir être aimé de tous, là... Je te le dis, impossible que tu sois réellement toi et qu'on sente vraiment ta puissance, qui tu es, ton unicité, ton authenticité. C'est un moment-là, quand j'ai dit, c'est assez. J'ai commencé tout simplement à parler comme je pense. Inconsciemment, je pense que, veux, veux pas, je vais continuer à travailler sur la solidification de ma posture, sur l'élévation de mon leadership. Parce que pour arriver à un moment, à dire, OK, Ça coïncide aussi avec le lancement de mon nouveau brand de l'indomptable, qui représente un état d'assumation totale. Own it ! Comment arriver à parler sans filtre, sans bullshit, avec le cœur et surtout les tripes ? Puis là, écoutez-moi bien, c'est important. Jamais je vais parler quand ça n'amène pas une valeur ajoutée. Des fois, il y a un sujet comme ça vient me chercher. Il y en a-tu des beaux autres, on va le dire, dans le monde ? Des fois, quand je vois quelque chose, j'ai un envie de réagir. Mais quand c'est gratuit, sans valeur ajoutée, ça pour moi, ça ne fit pas avec mes valeurs. Ça n'a rien à voir avec « je n'ose pas » ou quoi que ce soit. Au contraire, trust me. Mais c'est plus de parler avec solidité, avec impact, avec... puissance. Mais dans le fond, c'est d'assumer totalement ma vision, mes idées, mes principes, ma philosophie, comment je vois la vie, ce que je pense des choses, mais toujours en amenant. Puis ça, ça fait partie de mes valeurs, ça fait partie de mon code d'éthique et d'honneur qui doit avoir un ajout, une valeur ajoutée dans ce que je dis. Puis là, je te le dis, il y a quelque chose qui s'est passé. Il y a quelque chose de puissant qui s'est passé quand j'ai décidé. Ça s'est fait là, tac ! un 180. J'ai commencé à parler de ça dans mon ancien groupe Facebook, dans mes podcasts, dans mes vidéos. Là, les gens, ils ont comme arrêté de juste liker mes publications. Là, il y a un méchant chiffre qui s'est passé. Les gens ont commencé à ressentir pleinement mon message. Ils ont commencé à m'écrire par courriel. Plusieurs ont commencé à me laisser des audios sur mes différents réseaux sociaux parce qu'ils m'ont... Ils sentaient le besoin viscéral de me partager ce qu'ils vivaient. Comment qu'ils ressentaient certains passages de mon message. Comment qu'eux aussi aspirent à... Oh my God ! Puis ça, c'est une chose que j'entends tellement souvent. Puis le point qui inspire beaucoup les gens, c'est « Aïe, tu dis vraiment tout haut ce que tu penses. Comment tu arrives à parler avec autant d'assurance et confiance ? » On m'a parlé de courage, d'authenticité, de vérité, de no bullshit. Puis c'est exact. Exactement, Mélanie, ce que j'avais besoin d'entendre. Ça arrive constamment. Puis là, j'ai compris. Peut-être que ça a pris du temps avant que je le catche, mais chacun son moment. Mais plus tu es vrai et plus tu attires les vrais, plus tu assumes ta vérité et qui tu es vraiment, plus ta business s'aligne et devient de plus en plus prospère. Genre, à la fois dix. Ce jour-là, j'ai cessé d'essayer de plaire puis de dire ce que les gens veulent entendre. J'ai commencé à leur dire ce qu'ils doivent entendre. Et c'est là que j'ai commencé à impacter. Dans le fond, il y a comme trois types de catégories de messages quand on crée du contenu sur les réseaux sociaux. Numéro un, un ton neutre. Ça, c'est un peu le neutre, là. C'est celui qui veut plaire à tout le monde. Tu restes dans le gris, t'assumes pas tes positions, tes idées, parce que t'as peur d'avoir des mauvais commentaires. Ben, tu sais-tu quoi ? Je vais te le dire tout de suite si les gens te l'ont pas dit, mais ça fait partie de la game. J'en ai eu des épais qui m'ont écrit des commentaires. Toutes les gens qui commencent à avoir un positionnement, une notoriété, un impact, ça fait partie de la game. Mais je peux te dire de quoi, c'est rien comparativement à quand on voit des personnalités publiques très, très, très connues, des politiciens et tout. Ça, c'est l'aspect qui me fait capoter du monde dans lequel on vit aujourd'hui. Des gens frustrés, malheureux, mal intentionnés. Des gens malveillants. Ça vient me chercher, ça. Mais gars, on ferme la porte. Tout ça pour te dire que tu ne peux pas t'empêcher à être qui tu es. Tu ne peux pas t'empêcher à partager ton message parce que tu as peur. Il faut que tu règles ça. Parce que sinon, tu vas toujours rester entre deux craques, c'est sûr. Tu ne peux pas scaler si tu n'oses pas assumer et affirmer tes positions et tes idées. Ça vient avec ce que ça vient. Mais je peux te rassurer sur une chose. il va toujours, toujours avoir bien plus de bons commentaires. Mais l'humain étant l'humain, le cerveau souvent va retenir un commentaire épais versus 25 super positifs. Fait que t'as ton devoir, c'est de focusser sur les 25 positifs puis laisser le commentaire trash de côté. Deuxième type de catégorie de messages, c'est polarisant. Puis ça, c'est ce que j'ai puis que j'assume de plus en plus. Il y a trop de gens qui vont mélanger un ton polarisant avec un ton clivant. Ce n'est pas la même affaire pendant tout. Polarisant, c'est que oui, j'ai une vision, j'ai une idée, j'ai une philosophie, voici mon principe, voici ce que je pense et je l'assume. Souvent, c'est polarisant, c'est que c'est un peu un ton indomptable, un ton sans filtre, un ton de no bullshit. Puis, by the way, il y a beaucoup de gens. « Ah oui, moi, je suis ça en fil. » Tu es comme « OK, oui. » Il y en a beaucoup qui vont le dire, mais ils ne le sont pas vraiment. Dans le fond, ce n'est pas compliqué. Tu penses à quelque chose, tu le dis. Mais toujours en te demandant est-ce que ça va amener une valeur. Parce que c'est là la différence clivant. Un ton clivant, c'est un ton qui va diviser. Il y a pour objectif de diviser. C'est tranchant. C'est vraiment noir ou blanc, il n'y a pas de milieu. Ça, c'est un ton qui est un peu plus agressif. C'est pour ça qu'avoir un message qui est un peu plus polarisant, c'est qu'on assume nos idées. Puis, n'oublie pas que... Écoute, j'ai accompagné des milliers de personnes dans mes années en business. La grande, grande majorité des gens veulent plaire. Dis-toi que vouloir plaire... C'est d'abord et avant tout vouloir être validé. Puis, trust me, quand je te dis que la validation, c'est une drogue dure, ça a longtemps été une drogue pour moi. Autant dans le corpo qu'en business. Hey, c'est récent que je me suis libérée de ça. Ça fait deux, trois ans à peu près. Mais my God, qu'on se sent libre quand ça s'est réglé. Je te leur dis la phrase. Vouloir plaire à tout le monde, c'est vouloir être validé. Ça, c'est un manque de confiance. Tu dois travailler sur ta posture de leader et sur ta confiance. Souvent, ça fait en sorte que tu vas voir que le désir de plaire à tout le monde va s'estomper tranquillement, pas vite. C'est comme si tu fais une publication. Je reçois des likes. Ton cerveau te dit « continue, tu fais un bon travail » . Le problème, dans ce temps-là, c'est qu'on construit un peu... son message, puis ses futures publications pour obtenir des likes, pour obtenir une approbation, pour obtenir une validation, pour avoir des confirmations qu'on est sur le bon chemin puis qu'on fait la bonne chose versus d'être sur ta mission. Aujourd'hui, là, quand je fais du contenu, bien, je crée du contenu pour ceux qui sont prêts. Puis dis-toi que si tout le monde t'aime, c'est clair que tu dis rien d'assez vrai. Parce que... On ne peut pas être juste dans des couleurs arc-en-ciel quand on parle, tout est beau, tout est liquide. Non. Puis les posts les plus polarisants vont être parce que là, voici mon opinion par rapport à ça, voici pourquoi. Quand tu réussis à parler avec tes tripes, c'est ça qui fait toute la différence. Essaie le plus possible de trouver une justesse dans ton message en ayant un ton polarisant. Puis dis-toi... sûrement que tu ne l'as pas vu comme ça, mais déplaire, c'est un filtre naturel dans le fond. Tu n'as pas besoin que tout le monde te suive. Ce n'est pas une question de quantité. Ce que tu as besoin, c'est que les bonnes personnes te comprennent et te suivent et t'écoutent. Puis les bonnes personnes, c'est ta bonne clientèle cible, tes futurs prospects, celles qui trippent sur toi, ta vibe, ta vision, ton univers. C'est pour ça qu'il faut oser repousser ceux qui fitent moins avec toi. Puis peu de gens sont prêts à faire ça. Puis moi, je l'ai fait, ça fait deux, trois ans. Comme je dis, ça ne fait pas hyper longtemps. Mais my God, que ça fait la différence ! Parce que les gens, les clients, les prospects, tout est tellement plus fun et plus plaisant ! Oh my God, oh my God, oh my God ! Puis une chose que je rush, qui me fait... Comment je pourrais dire ça ? Mettons, pour être sûre que tu comprennes. Si je travaille avec quelqu'un ou un client ou un ami proche, Une des pires choses que quelqu'un dans mon entourage, dans mon entourage proche peut faire, c'est de ne pas me dire réellement ce qu'elle pense. Ça, j'ai beaucoup de difficultés. Je ressens un peu un manque de respect parce que c'est comme la personne a manque de courage. Pour assumer ses idées et me dire réellement comment elle pense. Puis ça, c'est un peu comme, je le dis tout de suite à mes clients, « Day one » . Mes employés, prestataires, puis j'ai... Peu importe, ils le savent tous. Jamais. Puis ça vient des expériences dans le passé. Je me souvenais, quand j'étais directrice nationale, puis mettons, j'avais une directrice qui, trois semaines plus tard, elle m'a dit, « Tim, ah oui, tu avais dit ça, puis tout le monde avait dit oui, mais je ne suis plus sûre, ou je ne suis peut-être pas à l'aise avec ça. » Ça, pour moi, ça démontre un manque flagrant de confiance en soi. Ça fait que ça, j'ai beaucoup de difficultés, mais ça, c'est moi. Mais c'est pour ça que, dans le sens, pourquoi je parle de ça, c'est qu'il faut faire preuve de courage pour oser, oser, oser déplaire. Ouais. Oser déplaire, c'est un fil naturel, mais oser déplaire pour les bonnes raisons, genre... « Hey, it's okay que ça ne soit pas tout le monde qui m'aime. It's okay. » Puis, je te partage un principe ceinture noire. Plus tu t'assumes, plus tu attires des clients alignés. Plus tu t'adoucis pour plaire, plus tu brouilles ton message. Pense à ça. Maintenant, quand quelqu'un quitte ta liste, Comment vas-tu réagir ? Ben, tu sais quoi ? Regarde bien ça. Ça, ça va te faire sourire. Avant, quelqu'un quittait ma liste, tabarnak ! Ça me faisait chier ! Parce que là, tu te dis, ça m'a coûté 3 piastres, 4 piastres, 5 piastres, acquérir ce lead ! Comment qu'il ose quitter ma liste ? Mais tu sais quoi ? Maintenant, quand quelqu'un quitte ma liste, je souris. Mais premièrement, il n'est pas prêt à ce que j'offre. Puis ça veut dire que mon message devient de plus en plus clair. Ça challenge. Il y a quelqu'un qui m'avait dit... Sac ! Il y a quatre ans, genre. Il y a quatre, cinq ans à mes débuts. Et celle-là, elle avait mal passé. Je te fais une confidence. En tout cas, la âme... Je ne peux pas croire moi dire ça. Attends une minute. Je ris toute seule parce que j'en ris aujourd'hui. Mais il y a quatre, cinq ans. J'aurais aimé ça qu'elle me dise ça dans la face, la personne. C'est ça aussi, le courage. La fille, elle avait marqué. J'aimerais ça que tu me désabonnes de ta liste parce que t'as fait deux fautes d'orthographe, puis moi, des courriels avec des fautes. Non, merci. Oh là là, oh là là. Avec mon caractère indomptable de 4-5 ans. Heureusement, avec ChatGPT, bien oui. Mais tu sais, aujourd'hui, j'en ris. C'est comme aïe aïe. Tu te désabonnes de tout ce que je donne comme valeur, comme contenu et tout. Tu n'es clairement pas fait pour être dans mon univers. Bye. Mais aujourd'hui, j'en parle parce que ça m'avait... Écoute, c'est une niaiserie, là. Mais ça m'avait fait chier, le 5 ans. Parce que j'étais encore dans l'ego. Parce que j'étais encore dans je veux plaire, je veux tout faire correct. Puis aujourd'hui, une fois de temps en temps, j'en lâche un, un sacre. Je vais dire vraiment ce que je pense. Les gens... Puis surtout à... L'ère de l'intelligence artificielle, on veut du vrai, pas de bullshit. On ne veut rien qui est aseptisé, plus capable. On veut avoir des vraies discussions, parler des vraies choses. Puis, je répète cette phrase-là. Aujourd'hui, il y en a moins qu'avant, ça c'est le fun, mais il va toujours en avoir. Il y a des gens qui sont curieux, il y a des gens qui vont modéliser, puis c'est parfait, ça fait partie de la game. Mais quand il y a quelques personnes qui quittent la liste, ma liste, bien je souris ! Yes sir ! J'ai challengé, j'ai bousculé. Je connais la qualité de ce que j'offre. Fait que s'il y a des gens qui le font, bien, ils ne sont pas prêts. Puis c'est correct, ça veut dire que mon message est de plus en plus clair. Fait que ça aussi, je veux que tu te le dises parce que c'est une source de frustration. Les gens, ils me capotent quand j'entends ça. Tu sais, il y en a qui se sont désabonnés, j'ai peur et pas peur. Ça veut dire, bien oui, ça veut dire peut-être deux choses. Revois la qualité de ce que tu fais pour être sûr que c'est sa coche. Une fois que ça l'est, bien, il n'y en a pas de problème. ça veut dire que c'est pas tout à fait la bonne clientèle cible. FAC ! Des plaires ! Donc assumez, arrêtez de vouloir plaire à tout prix pour ne pas perdre d'abonnés dans ta liste puis avoir le plus de likes. This is not the way pour aller chercher une croissance optimale. Ton pouvoir, il augmente vraiment à la vitesse de ton authenticité, de ta vérité, de ton no bullshit. Fait que pour moi, dès que j'ai arrêté de vouloir plaire à tout le monde, j'ai commencé à impacter. Ah, dès que j'ai arrêté de parler comme il faut, arrêté de dire ce que les gens veulent entendre ou arrêté de dire pas mal ce qu'on voit partout. J'ai commencé plutôt à parler de comment je vois réellement les choses, partager des expériences de vie, parler de comment je me sens. Ben oui, je sac de temps en temps et puis j'aime ça. Ça t'offusque, t'es clairement pas un fit dans mon univers, tu sais. Moi, j'aime ça. Je dis pas à outrance. Une fois de temps en temps, un petit sac, moi, je trouve bien placé, j'aime ça. C'est parfait. Fait que, tu sais, il y a plein de gens, comme ma mère disait, il faut plein de gens pour faire un monde, et voilà. C'est fini ! Le temps où je me censurais ou que je me retenais par peur d'être trop. Puis devine quoi ? Depuis, mes ventes ont augmenté, mon audience a vraiment augmenté, mon plaisir a augmenté, mais surtout, ma paix intérieure aussi. Ça, ça n'a pas de prix. L'authenticité pour moi, c'est ça que je n'avais pas vu venir. On ne le réalise pas, mais quand on est vraiment soi-même et qu'on arrête de jouer la game, comme tout le monde, puis qu'on est vraiment soi-même, on est beaucoup plus fort énergétiquement parlant, on a une fréquence hors du commun. Puis quand t'oses pleinement être toi, tu permets à d'autres d'en faire autant. Ça, je n'avais pas réalisé aussi à quel point ça a inspiré bien des gens. Ton rôle, ce n'est pas d'être aimé, c'est d'être vrai. En finissant, je te donne quelques questions à réfléchir, OK ? Et je t'invite, encore une fois, n'hésite pas, partage-moi. Si tu as envie de m'écrire, ce n'est pas très difficile à rejoindre. Le site web, les réseaux, c'est tout à mon nom, n'hésite pas. Je réponds, je regarde, moi et mon équipe, on adore ça. Première question. Qu'est-ce que tu retiens encore qui t'empêche d'être 100 % toi-même ? Si c'était, et si c'était justement ce message-là que ton audience avait besoin d'entendre aujourd'hui, Qu'est-ce que tu retiens encore par peur de déplaire ? Es-tu trop aseptisé dans ton message ? Est-ce que tu as peur encore de déplaire, de perdre des followers, de perdre des likes, de perdre des ventes ? Est-ce que tu t'es déjà demandé qu'est-ce que tu aimerais réellement partager ? Au final, c'est qu'il faut que tu sois capable de te poser... les bonnes et les vraies questions pour avoir les bonnes réponses. Il y a plusieurs années, quelqu'un m'aurait parlé de ça, il y a cinq ans, je n'étais pas prête encore. J'étais, puis je pensais sincèrement que, je disais vraiment ce que je pensais, mais à un moment donné, je me suis rendue compte que c'était de la bullshit, là. Parce que non, parce que je me retenais, à un moment donné, c'est là que, quand on arrête d'écouter ces histoires, Et qu'on prend un moment pour se poser les bonnes questions, qu'on demande aux bonnes personnes, tu sais, les personnes qui ne vont pas dire « Ah, c'est extraordinaire, Mélanie, oui, oui, oui » , mais plutôt personnes comme « Mélanie, as-tu pensé à ça ? » « Mélanie, es-tu sûre de ça ? » « Ah, ça, je ne sais pas, regarde telle affaire, as-tu pensé à ça ? » C'est là qu'on commence à s'ouvrir et qu'on commence à vraiment passer à un autre game. Aujourd'hui, je n'essaie plus de plaire. Je choisis d'être alignée, de challenger, de transformer. Puis, je préfère avoir une communauté, peut-être, une petite affaire plus petite qu'une communauté qui plaît à tout le monde, mais qui est beaucoup plus connectée, alignée, puis qui fit plutôt qu'une foule de personnes qui m'aiment pour pas toujours les bonnes raisons. Parce que le monde n'a pas besoin d'une version lissée de toi. Il a besoin de ta vérité brute, de ta vérité indomptable. On a tous et toutes un fauté indomptable à l'intérieur de soi qui mérite d'être mis tout à l'avant. Assume ta puissance, ta vérité. Go out there, let's go on it. Alors j'espère que cet épisode était ce que tu avais besoin d'entendre aujourd'hui. Merci du fond du cœur encore une fois d'avoir été à l'écoute. On se voit. On se retrouve la semaine prochaine pour un autre épisode. Et n'oublie pas de t'abonner sur ta plateforme préférée pour ne rien manquer à chaque fois qu'un nouvel épisode sort. Alors, je te dis à bientôt.