Speaker #0Les amis, bonjour à tous, bienvenue dans ce nouvel épisode d'Investa, j'espère que vous allez très bien. On est le 11 juillet 2025 au moment où je tourne cette vidéo, j'espère que vous passez un bon été, j'espère que vous faites des choses intenses, que vous passez pas votre vie sur les écrans et que tout se passe bien dans votre vie. Moi ça va très bien les potes, là je suis dans le sud-ouest de la France. Pourquoi je suis là ? Parce qu'en fait il y a une sorte de tournée de tournois de tennis pendant cette semaine. où en gros t'as plein de petits tournois un peu partout dans toutes les villes genre à 20-25 minutes de route autour et en fait tu peux t'inscrire à tous les tournois et genre passer une semaine de fou furieux à faire que des tournois à tennis, je me suis inscrit à genre 6-7 tournois je crois genre aujourd'hui c'est le seul jour off mais je suis explosé c'est très dur, ça se passe pas hyper bien pour l'instant le tennis est un sport terrible mais demain j'ai genre demain j'ai un TMC pour ceux qui connaissent donc plein de petits matchs et j'ai genre 4 matchs demain, 4 matchs dimanche et ça finit dimanche donc espérons que je finisse cette semaine en bon état, mais en tout cas tout va très bien pour moi, je suis très content là je reprends une semaine après pour chill et pour faire un peu de sport et de vacances avant de reprendre le taf d'ici fin juillet pour avoir une fin d'année qui peut être vraiment vénère, en tout cas je vais vraiment tout faire pour J'espère que vous allez bien, bienvenue sur Investia, je vous rappelle le concept, c'est qu'il n'y a pas spécialement de concept, c'est juste qu'on discute autour de plein d'éléments que j'écris dans mes notes de temps en temps, quand je me balade, quand j'ai des réflexions, plein de sujets un peu vagues autour, ça peut être du marché des cryptos, ça peut être de tout ce qui va être science, ça peut être de philo un petit peu, j'aime pas trop utiliser le mot philo parce que j'ai pas non plus la prétention de faire de la philosophie, mais en tout cas de l'optimisation de vie. parce que le mot développement personnel est terrible. Et voilà, on discute et on avance aujourd'hui les potes. J'ai un, deux, trois, quatre, cinq sujets dont je vais vous parler. Il y a moitié investissement, moitié réflexion. Si jamais les sujets ne sont pas spécialement les sujets qui vous intéressent le plus, vous avez la petite timeline en dessous de la vidéo. Si jamais vous voulez voir un petit peu les sujets, voir ceux qui vous intéressent, même si je vous recommande plutôt de consommer ça en vous laissant un peu porter. en faisant autre chose à côté et en passant à bon moment. Let's go ! Premier sujet, nous sommes des éternels insatisfaits. Plus j'avance un peu dans ma vie, du haut de mes 24 ans, j'ai quand même beaucoup d'expérience sur la vie, pas du tout, plus je me rends compte que nous sommes des êtres éternellement insatisfaits. Ça vous est déjà arrivé sûrement de vouloir vraiment quelque chose, à tel point que ça vous paraît indispensable, alors que vous ne saviez même pas l'existence de ce truc il y a quelques semaines. Et que là, ça y est, vous devez vraiment l'obtenir. Ça peut être, je sais pas, une nouvelle voiture, ça peut être un téléphone, ça peut être une raquette, ça peut être des chaussures, peu importe. On parle de matériel, mais ça peut aussi être un objectif, un travail, quelque chose de plus spirituel, peu importe. Juste le fait de vouloir quelque chose de manière intensément, de manière bêtement intense. Est-ce que ça vous est déjà arrivé ? Moi, oui. Beaucoup. Il y a un truc qui m'est déjà arrivé. Enfin, en fait, qui m'arrive tout le temps, et j'avais mis du temps à comprendre un petit peu pourquoi, c'est... Moi, j'étais vraiment très excité quand je commandais un truc sur Internet. Tu vois, un truc sur Amazon, surtout, un beau truc, peu importe ce que c'est. Et genre, l'attente de commander quelque chose était vraiment un moment d'excitation, un moment très stylé. J'allais dans la boîte aux lettres, je regardais, machin. Et en fait, je me suis souvent rendu compte que quand le truc arrivait, oh, j'étais content parce qu'il y avait le colis, donc il y a la sensation, la dopamine de « Oh, il y a le colis ! » Et en fait quand je l'ouvre, ouais c'est cool. Mais genre au bout de 5-10 minutes, je passe à autre chose, tu vois. Une nouvelle paire de chaussures, peu importe. Et en fait, souvent, quand on a ce qu'on veut, on est content au début. On est content les 3-4 premiers jours. Et après, ça devient normal. C'est un peu comme si on l'avait toujours eu. Et on est insatisfait, donc on désire quelque chose. On obtient cette chose qu'on veut. Ensuite, on passe à autre chose. On est satisfait pendant une... petite période de temps et ensuite on redevient insatisfait. Et c'est une boucle permanente. Et je pense que ça, tout le monde est au courant de cette boucle permanente. Par contre, il y a un truc sur lequel je suis en train progressivement de me rendre compte, c'est que ça marche avec tout. Et moi, j'avais tendance avant à croire qu'il y avait des exceptions. Par exemple, une voiture. Moi, je ne suis pas spécialement fan de voitures, j'aime bien les Porsche. Voilà, j'aime bien les Porsche. Je me dis putain, si un jour j'ai une Porsche, je serais fou. Et en fait, je me dis que non, ça sera la même chose, genre pendant 3 jours. Oh waouh trop bien ça va vite tu la montres à tes potes c'est stylé et tout Et au bout de trois jours, ça devient ta voiture. Tu vois, c'est juste ta voiture avec laquelle tu te déplaces et il se passe rien. Et en fait, je croyais qu'il y avait un peu des exceptions avec certains objets, vraiment très, très, très élitistes un peu, tu vois, même une maison, une voiture, ces trucs-là. Et je pense, je suis pas à ce stade parce que j'ai justement pas envie de tomber là-dedans, mais j'ai tendance à croire qu'en fait c'est faux et que, bah non, ce n'est qu'une illusion. Et ça me ramène à mes bons vieux cours de philo au lycée. Madame Fyardé, si tu écoutes ça. Et la notion de désir. On ne désire que ce que l'on n'a pas. Je crois que c'est ce bon vieux Platon, si mes souvenirs sont bons. Selon lui, le désir est inséparable de l'insatisfaction. On a toujours une tension entre ce qu'on est et ce qu'on veut être. Et cette tension, elle place un peu l'homme dans une quête sans fin qui cherche toujours à désirer, désirer, vouloir autre chose, vouloir plus. On a aussi ce bon vieux Schopenhauer, beaucoup plus cynique quand même le garçon, qui disait La vie oscille comme un pendule de droite à gauche, de la souffrance à l'ennui. Bon, peu cynique, mais pour lui c'est très radical, le désir est une souffrance. Dès qu'un désir est satisfait, on a un autre qui naît, et ça nous condamne à une sorte de frustration perpétuelle. En gros, la satisfaction du désir, ça n'apporte qu'un plaisir qui est momentané, et qui est rapidement très remplacé par l'ennui, et ensuite par un nouveau désir. Et en fait, je pense qu'on est des éternels insatisfaits. C'est un gros travail de réussir à passer outre ça. Je pense pas que j'ai réussi à passer outre ça, mais je pense que je suis sur la bonne voie. En fait, ça a été mon problème pendant longtemps. Je me disais toujours, par exemple, avec les abonnés YouTube, quand j'aurai 50 000, ça sera fou. Même avant, 500, 1000, 10 000, etc. Et en fait, quand t'as 50 000 abonnés, par exemple, qui est quand même le gros... le gros... voilà, c'est quelque chose. On se dit de l'extérieur que c'est fou, il y a un moment d'énorme satisfaction, mais en fait non. Tu t'y attends parce que tu vois les 49 980 machins, tu passes 50 000, t'as un tout petit moment de trop bien, mais ce moment dure 5 secondes, et en fait je vais faire exactement la même chose. Et ça, pour avoir discuté avec des gens qui ont passé plein de statuts financiers, plein de statuts de bonheur, ils disent tous la même chose. Ouais quand tu passes un million, bah en fait ça te crée surtout de l'anxiété parce que tu as juste envie de ne pas perdre ton million donc tu regarde ton compte, tu regarde un million et en fait t'as pas envie de redescendre en dessous pareil avec une maison, pareil avec une voiture et je pense que moi personnellement ça a été vraiment un gros travail où je me disais ce truc de quand je serai nanana peu importe quand j'aurai quelque chose ou quand je serai quand j'aurai 50 mille abonnés quand j'aurai telle voiture quand j'aurai tel machin je serai plus heureux. Et en fait, c'est complètement faux. Et j'essaye progressivement de me détacher de ça. Mais je trouve que, en fait, là où c'est très dur, c'est que ça s'inscrit aussi dans une sorte de représentation sociale. Par exemple, moi, je roule dans une voiture catastrophique. Une vieille C3, première génération, j'en suis hyper content. Parce qu'en fait, elle m'apporte un confort mental de je prends des dos d'âne, je n'ai rien à battre. Il y a une panne, je n'ai rien à foutre. C'est... Voilà, j'ai choisi ça. Mais le truc c'est que en fait Par exemple, à un événement crypto, il y a un mec qui m'a dit « Ah, je t'ai vu arriver en C3 » . Et tu sais, j'étais à deux doigts de me justifier d'être arrivé en C3, mais en fait, non. Mais c'est juste que tout ça s'ancre aussi dans une représentation sociale, où c'est très dur, je trouve, d'avoir la confiance de passer outre ça, et de dire « Non, je ne veux pas m'inscrire dans cette quête d'objet permanent, c'est sur ça que joue le luxe, c'est sur la preuve sociale, etc. » Et c'est un travail, je pense, qui est très dur, mais qui est vraiment nécessaire dans le monde dans lequel on est. de se détacher de ça et je pense que justement ça passe par toujours ce confort mental j'avais j'avais aussi on avait parlé dans un peu de cassure c'est plus qu'on ya quelques temps c'est cet aspect de ne pas s'acheter des problèmes quand tu t'achètes une montre si la montre est trop cher pour toi tu t'es acheté un problème parce que dès que tu vas là elle a rayé un petit peu des cuves à l'abîmé machin ou la paire tu vas toujours être en stress et donc vraiment essayer de ne pas s'acheter des problèmes et je pense que ça rentre aussi là dedans mais en tout cas de Le matérialisme conduit à cet aspect d'éternel insatisfait qui conduit à un malheur... J'ai plus le mot. Un malheur obligatoire, en gros. Et ça, c'est sûr. Nouvelle ATH de Bitcoin. Eh oui ! Eh oui, les amis, je voulais pas commencer par ça parce que, bon, voilà, on reste calme. Mais Bitcoin a passé les 115 000 dollars. On a enfin passé cette putain de barrière, là, des 110, 112 qui tenaient. On a eu des grosses liquidations de short. Les altcoins se portent... bien, TAO est passé au-dessus de 400$, Ethereum au-dessus de 3000$, là on est dans une période agréable, objectivement, tu vois, c'est pas une fausse période agréable, Passez une belle période agréable. Nouvelle ATH de Bitcoin, ça fait vraiment plaisir parce qu'il y a eu six mois vraiment difficiles avec beaucoup de doutes et là on commence à voir que les tests se confirment. Mais désolé de péter l'ambiance mais j'appelle au calme, restons calme doucement. Ne revenons pas dans l'erreur de regarder son portefeuille tous les jours, de se faire prendre à l'excitation. J'essaie vraiment d'approcher ça comme une sorte de partie d'échec ou de tournoi de poker. Ouais ok on a plus de jetons, ouais ok on a fait un bon coup, on est devant aux échecs. Et je peux tomber dans l'excitation, ou alors je peux un peu rester concentré pour réussir vraiment à gagner le tournoi. On n'est pas encore dans une période où il faut vendre, donc, en tout cas ça dépend des profils, mais on n'est pas dans une période où on a des prix vraiment énormes, donc gardons les mêmes règles. Les mêmes règles qui seront beaucoup plus faciles à suivre dans les situations anxiogènes que euphoriques. Donc ne pas checker Twitter, pas de nouvelles sources d'informations, pas d'investissement compulsif, pas d'enflammade, continuer de faire sa vie, de ne pas changer aux habitudes. Et j'insiste vraiment sur l'investissement compulsif de pouvoir se dire, là ok ça monte, j'avais du cash de côté, je vais rester sideline, comme on dit, je vais rester sur la touche, il faut vraiment que je me positionne. Non, non, soyons à l'aise avec le fait de ne pas avoir de cash de côté, c'est vraiment ce sur quoi j'ai beaucoup travaillé aussi cette année. En 2024, j'ai fait trop de mouvements, trop de mouvements un peu aléatoires, où j'avais tendance parfois à racheter ce que j'appelle les fausses corrections. Vous savez les corrections où ça passe de 118 à 110, et tu te dis, ouais il y a une correction, j'ai une opportunité de rentrer. Non. C'est une fausse correction. Et c'est pour ça que, par exemple, j'ai développé avec mon équipe des indicateurs qui s'appellent le Winter Season, que vous connaissez si vous êtes sur Crypto Recherche, qui sont des indicateurs qui nous indiquent des zones dans lesquelles on est dans l'hiver des altcoins, donc là où les altcoins sont dans de très bonnes zones d'investissement, et je ne me base que sur ces zones-là pour me positionner. Et depuis que je fais ça, ça a une différence absolument énorme. Et c'est pour ça que... Voilà, je reste assez calme sur ça, mais faites attention à cette erreur de vouloir racheter les fausses corrections, de vouloir rentrer. Si vous êtes positionné, vous êtes bien positionné, et en plus du fait que les altcoins sont encore à des niveaux relativement bas, mais elles sont trop hautes pour se positionner, donc il n'y a pas forcément de gros choses à faire. On est dans une période d'euphorie où il n'y a pas grand chose à faire, et quand il n'y a pas grand chose à faire dans les phases d'euphorie, la plupart des gens se droguent aux news positifs, et c'est très néfaste. Pourquoi ? Parce qu'en fait les créateurs de contenu... pour la plupart vont s'enflammer comme jamais, c'est déjà le cas, mais vont s'enflammer comme jamais, à base de je vous l'avais dit, à base de ça y est le bullrun est lancé, on va rien entendre les 150k, 200k sur bitcoin machin, et en fait c'est le problème, c'est que l'euphorie est une sorte de roue, de cercle qui s'auto-alimente et qui est assez compliqué, donc ne tombez pas là dedans, c'est vraiment dans ces moments là qu'il faut devenir très très très monastique dans son approche, et c'est vraiment vraiment très important. Mais on peut quand même en profiter pour apprécier et pour se... Voilà, on peut aller checker une fois. Allez, je vais le faire un coup là, un coin market cap et se dire, ça fait du bien. Bitcoin à 117 000, Ether pas loin de 3 000. Solana, bon, qui traîne un peu la patte, mais qui reste à 165. Suis à 350, ça fait plaisir. Ça fait du bien et c'est une bonne chose. On reste sur la crypto. On ne peut pas tout prévoir en crypto. Le marché crypto, c'est je pense le marché le plus complexe qui existe actuellement. Regardez ce graphique. C'est un indicateur que j'ai développé, pareil, sur Blockunity, accessible sur CryptoRecherche, lien dans la description, CryptoRecherche, mailleur groupe, francophone, vous pouvez prendre un mois à tester, vous faire votre avis, rester si vous en avez envie. Et c'est un indicateur que j'ai développé qui montre les performances des différents narratifs crypto. Là, c'est en dollars sur les deux dernières années, et clairement, regardez le premier, les L1 Corpo, les Corpo Layer 1, donc ça va être tout ce qui est XRP, Algorand, HBAR, Stellar, etc. Et ce sont les meilleures performances du marché. Même contre Bitcoin, le narratif est gagnant. C'est l'un des rares. Et c'est pour ça qu'on ne peut pas tout prévoir en crypto. Il faut accepter qu'on ne fera pas des profits partout. A titre personnel, je ne pensais pas que les Leroyne comme XRP performeraient autant pour ce cycle. Mais je m'en fous. Parce que en fait, il n'y a rien qui explique fondamentalement pourquoi ça monte. Ce n'est pas les leaders, l'activité sur le réseau n'est pas folle, les frais générés non plus. Donc en fait, même si je passe mon temps à faire des analyses de marché, je m'en fous de ne pas faire x6 sur XRP, surtout si je n'ai pas compris pourquoi ça monte. Il y a peut-être de la valeur sur les layers one corpo, sûrement, mais perso, je ne la vois pas. Et je trouve que ce n'était pas grave de passer à côté de ça parce qu'on ne peut pas tout prévoir. C'est comme le fait que si on est en crypto, notre capital ne peut pas forcément être complètement en bourse ou dans l'immobilier ou peu importe. Et on voit que, par exemple, le lending est le second narratif qui performe le mieux depuis deux ans, et là, je comprends mieux pourquoi. Pourquoi il y a de l'intérêt ? Parce que c'est un produit qui est à son marché. Les gens viennent mettre leur crypto en collatéral, ils génèrent des rendements sur les stablecoins qu'ils empruntent, entre autres. Donc c'est un produit qui s'intègre bien dans une stratégie de portefeuille global parce qu'on réduit le risque mais on reste exposé avec son capital. Donc le produit fait du sens, et je comprends réellement pourquoi. Donc j'ai un intérêt personnel à m'y intéresser. De l'autre côté, je pensais par exemple que les réseaux de stockage décentralisés allaient mieux performer que ça. Pourtant c'est un narratif qui se fait démolir depuis deux ans. Et encore une fois, on ne peut pas tout prévoir en crypto, surtout sur les icons, j'ai beau faire les meilleures analyses possibles, il y aura toujours des choses inexplicables que le marché fait devant nos yeux, et que malheureusement... Malheureusement, c'est comme ça, on ne peut pas contrôler. Et c'est très important de toujours venir confronter un peu ces tests pour être sûr de les tenir sur le long terme. Et c'est ça qui est dur avec les cryptos, c'est que les altcoins, c'est jeune. Et donc, quand on a des moments désagréables sur les altcoins, on a tendance à remettre très vite ses convictions. Là où, par exemple, pour Bitcoin, même pour des actifs un peu plus traditionnels, tout ce qui va être S&P, Apple, machin, quand il y a un problème sur la tech américaine, on ne va pas remettre en cause. l'intégralité du squelette et de la structure de Apple. Non, on sait que c'est un truc solide. Et c'est ça qui est dur sur les altcoins. Et comme c'est l'été, c'est assez calme, donc c'est le bon moment de le faire, même si on a un bon mois de juillet sur tout ça. Et d'ailleurs, je fais une petite parenthèse sur l'ATH de Bitcoin. Je fais beaucoup d'analyses en ce moment de la liquidité. Pareil, si vous êtes sur Crypto Recherche, vous le voyez. Sur Crypto Recherche, en fait, je dis toujours ça. Si vous êtes sur Crypto Recherche, vous le voyez, c'est parce que je suis toujours un peu plus deep dans les analyses, parce que c'est un public qui recherche ça Et je traite beaucoup la liquidité mondiale. Et en fait, on est dans une zone qui est propice à une montée de Bitcoin parce que justement, il y a de la liquidité qui peut se déverser sur Bitcoin. Et ça confirme aussi cette thèse que je vais continuer de suivre. J'essaie de prendre des informations sans créer de biais, tu vois, mais de prendre des informations sur, ouais, là, c'est pertinent. Là, l'analyse a l'air de bien se passer. On va voir, etc. Question du jour. On reste dans les cryptos, c'est la dernière question crypto, et après, on a d'autres sujets. Je me suis dit que ça pouvait être intéressant qu'on prenne dans les épisodes, à chaque fois, une petite question que vous mettez dans les commentaires, que j'appelle la question du jour, comme ça, on crée encore plus de proximité, vous et moi. Donc si jamais vous avez des questions sur plein de sujets différents, mettez-les dans les commentaires, et de toute façon, je lis tous les commentaires, mais j'en sélectionne une à chaque fois pour y répondre. Là, on a une question de Joe Coco. Merci pour ton taf, merci beaucoup Joe. Penses-tu détecter le prochain top ? Il n'y a pas un risque à le décaler en 2026. Quel sera le prochain flot sur Bitcoin ? Et bonus, quel est ton edge ? Ça fait beaucoup de questions. Penses-tu détecter le prochain top ? Non, c'est impossible. C'est impossible de détecter le top précis. Non. Par contre, on peut avoir une idée de la période où ça arrivera selon nos thèses et nos convictions. Et ça, c'est justement sur les indicateurs. En ce moment, je travaille énormément sur des indicateurs. Et on a des indicateurs de niveau très très très très poussé. en interne qu'on rend public que ce soit sur ma chaîne sur crypto recherche mais on développe ces indicateurs et sur les alcoïnes sur bitcoin ça nous permet d'identifier les zones de surchauffe et c'est vraiment ce que je vais aller chercher c'est pas les zones de top parce que ça ne y'a pas tu peux pas c'est factuellement tu ne peux pas savoir par contre tu peux essayer de détecter les zones de surchauffe qui sont historiquement des périodes où vendre est une bonne chose j'essaie de trouver des zones des périodes Quand tu te demandes est-ce que tu peux trouver le jour le plus chaud de l'été ? Ben non. Par contre, est-ce que tu peux trouver la période où on a peut-être les jours les plus chauds ? Il y a plus de chances, parce que là tu as plus d'analyse. C'est pareil pour l'hiver, mais je pense que c'est bon, la métaphore est comprise. Assez fière cette métaphore. Je vais la réutiliser, il faudrait que je me le note. Mais c'est exactement ça. Est-ce que vous pensez que vous pourrez trouver le jour le plus chaud de l'été ? Ben non. Par contre, est-ce qu'on peut avoir une idée de la fourchette dans laquelle on a une canicule ? Oui. Est-ce qu'il n'y a pas un risque à décaler le top en 2026 ? Alors, décaler le top en 2026, ça veut dire quoi déjà ? Parce qu'il y a beaucoup de gens dans les commentaires... Vous savez, moi, ma théorie, ça a toujours été fin d'année. Et là, ma théorie commence à dire peut-être début 2026. Et il y a beaucoup de gens dans les commentaires, J'allais dire je comprends mais des fois vous faites un peu chier Qui disent oui, c'est toujours décalé, c'est toujours décalé, machin. C'est toujours décalé. En fait, c'est toujours décalé parce qu'il se passe des choses, parce que la guerre en Iran nous fait perdre deux mois, parce que les tarifs nous font perdre trois mois. Et tout ça se base sur une analyse de la liquidité. Donc, ce n'est pas moi qui décide quand est-ce que sera le top de Bitcoin. C'est en fonction de ce que je vois. Et d'après mon analyse de la global liquidity, je pense en effet que le top de Bitcoin pourrait être atteint fin 2025, début 2026. On le voit par exemple sur ce graphique, avec les bottoms et les tops de la liquidité, ça nous amènerait vers le mois de janvier, février 2026. Si la hausse de la liquidité suit toujours ces patterns, et si elle se matérialise sur le prix de Bitcoin. Et oui, ça fait beaucoup de si, mais malheureusement, je n'ai pas de boule de cristal qui me permet de dire, attends, bouge pas, ok je sais, ça sera le 29 décembre. Malheureusement, non. Bonus, quel est mon edge ? C'est une bonne question ça, quel est mon edge ? Je pense que mon edge dans le marché, c'est mon équipe. C'est les gens avec lesquels je me suis entouré, où il y a des gens qui sont vraiment experts de leur domaine. Et en fait, on a une sorte d'effet composé qui est en train de se mettre en place, d'effet cumulé, où on est en train de développer des indicateurs sur lesquels on s'appuie pour faire nos analyses, pour améliorer nos analyses, pour ensuite créer des nouveaux indicateurs et créer un peu ce cercle. Et je pense que mon edge c'est ça, c'est le fait que j'essaye d'être en mouvement tout le temps. que je suis pas... En vrai, même si je passe pas ma vie à dire je suis pas un influenceur, machin, je m'identifie pas vraiment comme un influenceur, je m'identifie juste comme un investisseur qui montre un peu ce qu'il fait. Et du coup, j'essaie juste d'améliorer mes erreurs, parce que je fais plein d'erreurs, et de les améliorer. Et je pense que mon edge, c'est le fait que je reste sur le marché depuis déjà longtemps, sans zone d'arrêt. Il y a eu des vidéos toutes les semaines, et que je vais continuer de rester, et qu'au bout d'un moment, je vais... Tu vois, le fait d'avoir de l'expertise et des années d'expertise sur quelque chose, c'est puissant. Les mecs qui ont 10 ans d'expertise sur le marché des cryptos, bah les gars, ils sont monstrués, tu vois, 10 ans, c'était en 2014. Tu te rends compte le temps que tu as pour apprendre quelque chose. Et donc je pense que c'est ça mon edge, c'est le fait que je vais rester sur une longévité de temps beaucoup plus haute que la plupart des gens. Et c'est pour ça qu'on voit des créateurs et tout, qui font des vues, qui font des vidéos, machin, je dis ouais ok, on verra dans 5 ans si t'auras fait une vidéo par semaine, toutes les semaines Et on verra dans 5 ans si t'auras eu que des bonnes choses. Parce que, bon bref, là je dérive, mais en général, tu vois les nouveaux créateurs qui arrivent, et on a vu ça, on a vu une vague arriver sur Twitter en début d'année, de nouveaux créateurs qui ont un peu construit leur audience sur la haine, et qui passent leur temps à analyser tout ce que t'as fait. Le problème c'est qu'ils viennent d'arriver, donc ils ont aucun coup à te montrer. On verra dans 2 ans les mecs. On verra dans deux ans si vous aurez trouvé les prochains Tao, Caspa, etc. Alors oui, je me suis trompé, j'ai parlé de Tadda. Mais pourquoi je parle de ça déjà ? Je ne sais même plus. Mais en tout cas, je pense que c'est la longévité et la capacité de se remettre en question qui correspond à mon âge. L'intensité. Les formats courts, les TikTok, Reels, Short YouTube, Twitter, les compagnies, les réseaux. nous ont fait perdre notre attention et notre capacité de concentration. On en a déjà parlé, c'est prouvé, c'est pas de la brossiance, c'est pas moi qui l'invente. La concentration a diminué, la capacité d'attention a diminué. Par contre, la concentration, c'est un truc qui est tangible. Tu vois, c'est le focus que t'es capable de mettre, je pense que ça se mesure par des ondes cérébrales, etc. Mais je trouve qu'on a perdu un truc, dont on parle pas, et qui est, je pense, l'une des grosses conséquences de cette époque. On a perdu quelque chose qui est, selon moi, au minimum aussi problématique que la perte de l'attention à cause des réseaux TikTok, machin. On a perdu l'intensité. Il y a des études sur le niveau de bonheur entre des gens qui ont des métiers de bureau et des gens qui ont des métiers manuels. On a mesuré le niveau de bonheur de chacun. Et en fait, on a trouvé que la plupart du temps, les métiers manuels étaient beaucoup plus heureux dans leur vie que les métiers de bureau. Ça s'explique comment ? Ça s'explique par le fait que le cerveau, il aime être dans un état d'intensité. C'est ça l'état de flot, en vrai. C'est oublier sa propre personne parce que la tâche est plus importante que le résultat. Quand on est focus sur quelque chose, on est dans un état de flot et c'est très satisfaisant. Et oui, je pense que ça vous est déjà arrivé ce truc où, après la session de travail, tu fais « Waouh, c'était bien, j'étais bien » . Bah c'est ça l'état de flot. Et le cerveau adore ça. C'est là qu'on trouve du sens à ce qu'on fait. Le truc c'est que quand on taffe c'est un métier de bureau, c'est à dire envoyer des mails. de faire des powerpoints, de faire des réunions, tu perds cette notion d'intensité. Alors que le gars qui est menuisier, qui travaille sur sa belle table en acajou, qui pense qu'à ça du matin au soir pendant, je sais pas combien de temps ça prend, deux mois, qui la polie, qui la vernis, etc., et qui voit l'amélioration, il trouve plus de sens à ce qu'il fait. Parce qu'il met de l'intensité dans son travail. Et on a perdu cette notion d'intensité. On parle aux gens quand on est sur notre téléphone, on regarde un film, quand on... en faisant autre chose à la fois, on mange en regardant une vidéo, donc on apprécie pas ce qu'on mange, on apprécie pas la vidéo, et on a perdu la notion d'intensité de l'action, et je pense... que l'un de nos gros combats spirituels, c'est de réussir à retrouver ça, c'est de réussir à être quelqu'un d'intense. Et peu importe dans quel domaine, le fait d'avoir une capacité monotâche pour être pleinement dans le moment, ça devient l'un des trucs les plus durs, mais les plus importants dans ce qu'on fait. Et c'est pour ça que, par exemple, le sport, c'est fou. Le sport, la musique aussi. Je joue pas d'un instrument, mais quand tu joues d'un instrument, t'es 100% dans le truc. Et en fait, c'est les moments où tu n'as... Pas le choix que d'être monotâche, parce que ça te prend tellement de charge mentale, plus la dopamine, les endorphines libérées et tout, que tu n'as pas le choix. Et le plaisir éprouvé, il n'est pas dû au hasard. Quand tu joues au foot, tu es à 100% dans le truc. Quand tu nages, peu importe. Il y a beaucoup de gens qui disent, là j'arrive à me vider la tête. C'est ça, se vider la tête. C'est être 100% dans son activité. Et ça, c'est l'intensité. Et dans notre vie, on a perdu l'intensité. Et j'essaye de devenir quelqu'un de plus intense. Quand je regarde un film, le regarder profondément. Prendre les sous-jacents, comprendre comment il est fait. Et être vraiment à 100% dans l'ambiance, sans interruption, tu vois. Au minimum. Je vais pas... Enfin, j'essaye en tout cas. Je vais pas être sur mon tel. Je vais pas parler et écouter la moitié du film. Non. Quand je travaille, c'est pareil. Être à 100%. Quand je tourne le podcast, pareil. Et j'adore tourner les podcasts, justement, parce que... En fait, je sais pas si vous vous rendez compte... et Mais en tout cas, au début, quand je commençais à tourner mes podcasts, c'était très dur d'être concentré pendant 45 minutes et de parler seul, parce que je suis seul dans la pièce, je suis seul comme un mongol à parler tout seul, le truc bizarre, mais de parler tout seul, il n'y a quasiment aucun cut, sauf quand j'éternue ou quand je bois, pendant 45 minutes, c'est intense. Et en fait, je n'ai pas le choix que d'être intense dans ce que je fais. Et des fois, je finis le podcast, je me dis « Waouh, 45 minutes ? » Ben oui, 45 minutes, parce que mon cerveau a été pleinement... absorbé par ce qui se passe. Et cette sensation, qui est un peu la sensation que j'ai en ce moment, je suis en train de faire le podcast et c'est ce que je fais, cette sensation est incroyable. Et on doit redevenir des gens intenses. On doit créer ce niveau d'intensité dans nos vies. D'ailleurs, combien de temps ça fait qu'on discute là ? 29 minutes, parfait. On va en refaire un dernier. Bon, je vais vous raconter un peu ma vie sur... sur cette dernière épreuve. Et je vous avais parlé du fait qu'on a une zone dans le cerveau qui est réactive à l'inconfort et qui s'habitue au niveau de douleur qu'on lui impose. En fait, on avait parlé dans un épisode il y a 3 ou 4 semaines, je crois, le fait que inconfort et confort étaient profondément liés. Et que tu ne peux pas te sentir confortable si tu n'as pas la contraste. Exemple très simple, le meilleur truc quand tu fais une randonnée, c'est de penser à la bière après. Et la bière après, elle a un goût exceptionnel. Parce que la randonnée était dure, et du coup tu te poses et tu fais « Ah putain c'est fou ! » Pourquoi la bière est si bonne ? Plutôt que si jamais tu t'es levé, tu te pètes une bière. Parce que tu as eu un niveau d'inconfort qui est tellement haut, que le niveau de confort qu'on t'offre est exceptionnel par rapport à ça. Et donc... Je ne sais pas, je ne vais pas dire que c'est prouvé à chaque fois, mais ça me paraît logique que confort et inconfort soient profondément liés. Et donc, l'idée de ce qu'on s'était dit, c'était qu'il fallait réussir des trucs inconfortables et des trucs difficiles. Et j'ai fait un truc difficile la semaine dernière, les mecs. J'ai fait une Spartan Race. C'est une course sur 26 km, 1500 de dénivelé, ça a duré 7 heures. En fait, j'étais malade. Le matin, je pop comme ça. Et je pensais à la COVID, un truc comme ça. J'avais genre, j'étais... tout blanc, tu regardes les photos, je suis blanc comme jamais, c'était vraiment extrêmement dur, les obstacles étaient durs, j'avais envie de vomir pendant 7h30 au ravito où je me couchais comme ça, enfin bref c'était terrible mais je l'ai fini, la médaille est là-bas, je la montrerai je la flingue, mais elle est là-bas et je suis hyper fier de ça et cette sensation que tu as quand tu as surmonté vraiment, parce que c'était inconfortable, c'était 7 heures de pure galère, mais quand tu surmontes cet aspect inconfortable, c'est quand même une sensation qui est exceptionnelle. Et c'est vraiment l'objectif aussi de ce podcast, c'est de vous inciter à faire des trucs durs. Faites des trucs durs, mais sans trop se prendre la tête, tu vois. Si tu cours pas, inscris-toi à un 10 km. dans un mois, deux mois, allez. Et tu vas y aller. Sur un malentendu, tu vas kiffer et ça va être exceptionnel parce qu'il y a l'euphorie de la course et tout, tu vas voir, c'est trop bien, t'as l'adrénaline de tout ça. Et puis au pion, t'auras couru 10 km et t'auras passé une heure de merde, mais tu seras content. Faites Détruits. Dur, fais des trucs inconfortables. Et c'est vraiment un truc qu'on a perdu. Bon, après, on est dans les cryptos, donc oui, on peut faire cette blâme de « oui, c'est inconfortable » , mais cette notion de… Je pense qu'il y a vraiment… Si on prend une sorte de ratio risque-récompense à faire des trucs un peu difficiles, moi, c'est plus axé sport, mais ça peut être axé sur plein de trucs, c'est incroyable, tu vois. Genre, parce qu'en fait, c'est une heure, cinq heures, dix heures d'inconfort, dix heures de douleur pour une satisfaction qui dure sur plusieurs jours, voire plusieurs semaines, voire plusieurs mois. Et tu te dis, moi je me dirais, dans un an, je me dirais, putain, j'ai fait la Spartan Race dans un état pitoyable, et je suis hyper fier de ça, parce que ça montre certaines combativités, etc. Et donc je vous incite vraiment, dites-le moi dans les commentaires aussi, est-ce que vous faites des trucs durs ? Est-ce que vous... voilà, est-ce que vous avez envie de faire des trucs durs ? Qu'est-ce qui vous en empêche ? J'ai déjà vu des gens dans les commentaires qui disent, j'aimerais bien lancer ma première vidéo, mais j'hésite, ouais, fais-le, fais-le, tourne-la ta vidéo. Et si jamais ce message vous atteint... Mettez juste dans les commentaires, je vais faire ça, je me suis inscrit à ça. Et on fera un sujet dans un prochain podcast de, ok toi, je te rappelle, tu m'as dit que tu t'es inscrit à ton 10 km, ça on est où ? Toi, tu m'avais dit que tu allais faire ta première vidéo, toi tu m'avais dit que tu allais quitter ton taf pour créer ton projet, peu importe. Mais, vous vous souvenez de ce qu'on avait dit sur le clou, sur le confort ? C'est un truc qui vous avait pas mal affecté. Et moi c'est pareil, je rappelle une chose quand même, c'est que c'est moi qui parle, donc je suis obligé de donner les leçons, les mantras, mais il y a plein de trucs que je subis aussi dont je vous parle, parce que c'est moi qui les écris, parce que du coup je les subis et donc ça m'atteint, tu vois. Je suis pas du tout un moine shaolin ou quelqu'un d'hyper sage qui médite dans la forêt et qui prend des douches froides, tu vois. Mais j'aimerais qu'on fasse un peu cette expérimentation là pour l'été à se dire, ok. On se note, chacun, dans les commentaires. Je vais le faire aussi. Un truc dur, inconfortable, qu'on se prévoit de faire. Et on fera un bilan de comment c'était. Et je pense que, pour beaucoup, surtout pour les gens pour qui c'est un peu le premier pas vers cette direction-là, ça va être un peu un électrochoc sur tout ça. Donc notez ça, mettez-le dans les commentaires, je l'attends. On verra comment ça se passe. On pourrait même... Je dis souvent ça, je l'ai dit plusieurs fois, mais... On pourrait même, s'il y a suffisamment de gens motivés, faire un truc en commun. Se dire, vas-y, on s'inscrit tous à un marathon, un semi-marathon, une course, je sais pas, à voir. Si vous avez des idées, mettez-les dans les commentaires. Mais cette notion d'intensité, ça rejoint aussi ça. Cette notion de difficulté et d'inconfort est très très importante dans notre situation. Il fait beau, Bitcoin a passé un ATH. On est au début du mois de juillet, donc l'une des meilleures périodes. J'espère que tout se passe bien dans votre vie. C'est la fin de ce podcast. Merci beaucoup. Ciao les potes. Et on se voit la semaine prochaine.