#36 - Fatemeh Jailani : "J'ai passé toute ma jeunesse à expliquer l'Afghanistan à mes amis" cover
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Joyeux Bazar

#36 - Fatemeh Jailani : "J'ai passé toute ma jeunesse à expliquer l'Afghanistan à mes amis"

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20min |15/11/2021
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Alors que les Américains ont quitté Kaboul avec pertes et fracas cet été, c'est le moment d'entendre Fatemeh, américaine d’origine afghane. 


Nous avons parlé bien sûr de la sidération au coeur de l'été et du sentiment, pour elle comme pour ses parents, de revivre des souvenirs enfouis : la famille qui appelle pour demander de l’aide, les cousin.e.s au destin stoppé net, le pays coupé du monde.


Fatemeh raconte la fuite de ses parents aux Etats-Unis à la fin des années 70, le mythe du retour au pays, la pression pour être des Afghan.e.s parfaits dedans et des Américain.e.s parfaits dehors, l’incompréhension entre les générations. Elle dit comment on se perd à vouloir s’adapter à tous et à tout, mais aussi comment on se reconstruit. Comment on crée un endroit que l’on peut appeler chez soi, comment on découvre que sa voix compte, comment on jongle avec le fait de vivre ici alors qu’une part de soi se meurt ailleurs. 


Fatemeh a rejoint la direction de Singa, une association qui crée du lien entre personnes réfugiées et populations locales. 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Alors que les Américains ont quitté Kaboul avec pertes et fracas cet été, c'est le moment d'entendre Fatemeh, américaine d’origine afghane. 


Nous avons parlé bien sûr de la sidération au coeur de l'été et du sentiment, pour elle comme pour ses parents, de revivre des souvenirs enfouis : la famille qui appelle pour demander de l’aide, les cousin.e.s au destin stoppé net, le pays coupé du monde.


Fatemeh raconte la fuite de ses parents aux Etats-Unis à la fin des années 70, le mythe du retour au pays, la pression pour être des Afghan.e.s parfaits dedans et des Américain.e.s parfaits dehors, l’incompréhension entre les générations. Elle dit comment on se perd à vouloir s’adapter à tous et à tout, mais aussi comment on se reconstruit. Comment on crée un endroit que l’on peut appeler chez soi, comment on découvre que sa voix compte, comment on jongle avec le fait de vivre ici alors qu’une part de soi se meurt ailleurs. 


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Nous avons parlé bien sûr de la sidération au coeur de l'été et du sentiment, pour elle comme pour ses parents, de revivre des souvenirs enfouis : la famille qui appelle pour demander de l’aide, les cousin.e.s au destin stoppé net, le pays coupé du monde.


Fatemeh raconte la fuite de ses parents aux Etats-Unis à la fin des années 70, le mythe du retour au pays, la pression pour être des Afghan.e.s parfaits dedans et des Américain.e.s parfaits dehors, l’incompréhension entre les générations. Elle dit comment on se perd à vouloir s’adapter à tous et à tout, mais aussi comment on se reconstruit. Comment on crée un endroit que l’on peut appeler chez soi, comment on découvre que sa voix compte, comment on jongle avec le fait de vivre ici alors qu’une part de soi se meurt ailleurs. 


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Fatemeh raconte la fuite de ses parents aux Etats-Unis à la fin des années 70, le mythe du retour au pays, la pression pour être des Afghan.e.s parfaits dedans et des Américain.e.s parfaits dehors, l’incompréhension entre les générations. Elle dit comment on se perd à vouloir s’adapter à tous et à tout, mais aussi comment on se reconstruit. Comment on crée un endroit que l’on peut appeler chez soi, comment on découvre que sa voix compte, comment on jongle avec le fait de vivre ici alors qu’une part de soi se meurt ailleurs. 


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