Speaker #0Bienvenue dans le podcast Kilo émotionnel, le podcast qui t'aide à décoder les vraies raisons qui te poussent à trop manger. Je suis Johanna Verdi, coach de vie, auteure du guide Mon Cahier Kilo émotionnel, créatrice du programme Déjeuner en Paix et moi-même ancienne mangeuse compulsive. Si la nourriture te rend dingue, si tu te jettes sur la bouffe à la moindre contrariété, si tu rêves de perdre du poids mais que tu es incapable de tenir un régime plus de deux jours ou deux heures consécutives, tu es au bon endroit. Avec ce podcast, je vais te montrer comment sortir de l'obsession alimentaire et faire la paix avec ton assiette et ta balance, pour que tu puisses enfin consacrer ton énergie à ce qui compte vraiment. Hello et bienvenue dans ce nouvel épisode ! Aujourd'hui dans le podcast, je voudrais te parler d'un sujet qui me tient vraiment à cœur, ce sont les chilo-protections. Bah oui, est-ce que tu as déjà envisagé qu'une partie de toi ne voulait pas maigrir ? Ça paraît fou ? Mais y regarder de plus près ! Si ces kilos en trop étaient finalement la meilleure façon de te sentir en sécurité, ah oui, si dans ta vie tu as vécu de la violence physique ou verbale, des abus sexuels, du harcèlement, ou si tu t'es senti menacé ou simplement jugé, il se peut qu'aujourd'hui tes kilos en trop soient devenus une carapace pour te protéger. Toi, tout ce que tu veux, c'est perdre du poids. Mais la réalité, c'est que tant que tes kilos protection sont activés, tous tes efforts sont voués à l'échec. Alors l'épisode d'aujourd'hui, il a pour objectif d'éveiller ta conscience sur ces mécanismes, pour que tu arrêtes de te focaliser sur le contenu de ton assiette et que tu commences à explorer enfin de nouvelles pistes. Au programme de l'épisode d'aujourd'hui, je voudrais t'expliquer le mécanisme des chilo-protections, pour que tu comprennes bien ce que c'est et comment ça marche. Je vais aussi t'aider à comprendre les racines de ce mécanisme de protection et pourquoi certaines situations de ton quotidien viennent raviver les blessures du passé et active le mode... pilotage automatique face à la nourriture. Et à la fin de l'épisode, je partagerai avec toi une ressource puissante qui va te permettre de te libérer de ce mécanisme de protection inconscient. Alors pour commencer, c'est quoi exactement les kilos protection ? En fait, c'est un mécanisme qui vient se superposer à d'autres mécanismes dont on a déjà parlé. Pour rappel, une mangeuse régulée va être capable de manger quelque chose pour se remonter le moral et retourner à sa vie normale. Une mangeuse émotionnelle compulsive, elle, elle va se dire j'ai pas le droit, ça va me faire grossir elle va se sentir coupable et honteuse si elle mange, ça va déclencher plus de compulsions alimentaires car il y a vraiment la notion de restriction et d'interdit. Mais en fait, il y a un autre mécanisme qui vient se superposer à tout ça. Et ce mécanisme, c'est un mécanisme de protection. Autrement dit, une partie de toi ne veut pas maigrir. Bah oui ! Une partie de toi ne veut pas maigrir car tu t'es déjà sentie en danger. Tu peux avoir vécu effectivement des abus sexuels, tu peux avoir vécu un viol. Tu peux avoir été victime de violences physiques, verbales. J'ai parlé de harcèlement, ça peut être des brimades, ça peut être des humiliations. Tu as pu faire l'expérience douloureuse de relations amoureuses toxiques. Tu as peut-être perdu un être cher à un moment clé de ta vie. Tu t'es peut-être sentie abandonnée ou tu as vécu littéralement... l'abandon. Ça peut être aussi parfois un vol, un cambriolage qui peut vraiment être traumatisant. Tu peux avoir grandi avec une éducation très stricte, par exemple une éducation religieuse, ou alors avoir grandi avec des parents toxiques, des parents défaillants, des parents alcooliques. Tu as peut-être connu des problèmes d'argent, tu as peut-être connu le manque, la privation, tu as peut-être connu la négligence à répétition. Tu as peut-être connu aussi une grande pression familiale sur le sujet de ton poids et de ta perte de poids et ça remonte à très très loin. Bref, une partie de toi s'est déjà sentie menacée et en danger. Les conséquences de tout ça c'est quoi ? C'est que déjà au niveau psychologique, ça génère en toi un violent conflit intérieur. Parce que concrètement ce qui se passe, c'est qu'en apparence, tu te dis je veux perdre du poids, je veux porter tout ce que je veux, je veux séduire. Je veux me sentir belle, sexy, attirante. Je veux être vue, entendue, admirée. Je veux enfin briller. Et dans ce contexte, tu penses que tes kilos en trop te gâchent littéralement la vie. Mais en réalité, une autre facette de toi a peur. Cette autre facette, elle se dit, perdre du poids, c'est dangereux pour ma sécurité, c'est dangereux pour ma survie. Je ne veux surtout pas attirer l'attention. La séduction, c'est un jeu dangereux et le regard des hommes est effrayant. Perdre du poids, c'est me mettre à nu, c'est être vulnérable. Je veux me cacher et disparaître. Donc finalement, ces kilos en trop, ils te protègent. Et ce qui se passe aussi, c'est qu'au niveau physiologique, ce mécanisme des kiloprotections, il est vraiment là pour te protéger. Le but est d'assurer ta sécurité et ta survie. Et j'aime le rappeler, mais autant la technologie a fait un bond géant au cours des dernières décennies et encore plus au cours des dernières années, mais nos corps, nos corps d'humains finalement, ils ne sont pas très différents de ceux... de l'homme préhistorique et de la femme des cavernes. Et déjà à l'époque, quand le stress se mettait en place, c'était face à un danger principal qui était de mourir de froid et de faim. Et déjà à l'époque, le corps a développé cette intelligence innée où pour survivre à ces situations extrêmes, il y avait un déclenchement d'hormones, donc l'adrénaline qui va permettre d'augmenter la fréquence cardiaque, la tension artérielle, la respiration, pour pouvoir emmener plus d'oxygène aux muscles et au cœur.... En gros, on est plus alerte pour pouvoir vraiment réagir, ça c'est dans un premier temps. Et puis derrière, il y a une production d'une seconde hormone qui est le cortisol. Et le cortisol, il va augmenter le taux de sucre dans le sang, il va augmenter la glycémie, ce qu'on appelle la glycémie dans le sang, pour que le corps puisse disposer d'une énergie immédiate pour réagir. Mais plus le stress se reproduit et se perpétue, plus le cortisol va avoir aussi un rôle. de ralentisseur. Il va ralentir les fonctions qu'il considère comme non essentielles à la survie. Le système immunitaire, la digestion, la reproduction, le métabolisme. Alors du coup, le taux de glycémie va rester élevé et ce sucre, il finit par se transformer en graisse. Le problème, c'est qu'aujourd'hui, tu te sens attaqué et en danger en permanence. Le mode survie est réactivé à la moindre menace. Du coup, ton corps, lui... il veut juste assurer ta survie. Il te fait manger le plus calorique possible, bien gras et bien sucré. Et il ralentit ton métabolisme, qu'il ne considère pas comme indispensable à ta survie, pour que tu puisses préserver ces précieuses réserves de graisse. Alors c'est sûr que dans notre monde obsédé par la minceur, ça n'arrange pas du tout tes affaires. Et du coup, toi, qu'est-ce que tu fais ? Tu te mets encore plus au régime, tu te prives, tu te restreins davantage. Et finalement, tu ne t'en rends pas forcément compte Mais ces privations ajoutent encore plus de stress au stress et ça active encore plus les mécanismes de survie et de protection. En résumé, plus tu essayes de maigrir et plus tu grossis. Tu comprends mieux maintenant pourquoi tes tentatives pour perdre du poids avec des régimes s'est vouée à l'échec ? Et tu comprends mieux que ça n'a rien à voir avec tes efforts, ta volonté ou ton héritage génétique ? Alors, la faute à qui ? La faute au conflit intérieur inconscient qui se joue en toi. Ok, mais on fait quoi ? Pour espérer désamorcer ces conflits intérieurs, pour espérer désamorcer ces mécanismes de protection, il faut déjà en prendre conscience. Et il faut travailler sur les racines qui ont déclenché tout ça. Du coup, parlons plus en détail des racines de tequila protection. Ces racines, c'est quoi ? Ce sont toutes ces expériences et toutes ces blessures intimes du passé qui sont responsables de tequila en trop aujourd'hui. Alors j'en ai évoqué précédemment toute une série. Il y a plein d'expériences traumatiques possibles. Du coup, j'insiste sur deux choses. La première, c'est qu'il n'y a pas de petits ni de grands traumas. Et la deuxième, c'est que parfois même, ces traumas, ce n'est pas vraiment les tiens. Ce sont des traumas transgénérationnels qui, comme leur nom l'indique, se transmettent de génération en génération. Et ce qui t'impacte aujourd'hui, ce n'est pas juste ce qui t'est arrivé ou les histoires qu'on a pu te raconter. Ce qui t'impacte aujourd'hui, c'est aussi et surtout... comment tu as réagi à tout ça ? Quels sont les narratifs intérieurs que tu as créés autour de ces expériences ? Et quels sont les mécanismes de défense que tu as développés pour protéger les parties de toi qui ont été blessées ? Alors, même si tu vis dans le non-dit depuis des années, voire des décennies, tes peurs profondes, elles te poussent aujourd'hui à l'autosabotage. Et c'est un sujet particulièrement sensible, mais souvent central pour se libérer des kilos émotionnels. Alors je voudrais vraiment te livrer trois pistes à explorer pour que tu puisses aller décoder la nature réelle de ton armure étant libérée. Il y a quelques exemples de manifestations de ces mécanismes dans ta vie que tu rencontres peut-être aujourd'hui. Le premier, c'est que même si tu penses que tu as envie de maigrir, au fond de toi, tu as peur d'être sexy. Qu'est-ce que tu penses par exemple des femmes minces, sexy, attirantes ? Est-ce que tu les juges superficielles, futiles, obsédées par leur apparence ? Est-ce que tu juges leur attitude comme une invitation à coucher avec des hommes ? Être sexy, c'est quelque chose qui n'a pas forcément bonne réputation. Et donc mincir et être potentiellement belle, attirante et sexy, ben en fait, ça t'effraie. Tu as peur, toi aussi, d'être jugée et critiquée. Et donc, sans surprise, toutes tes tentatives de perte de poids sont vaines. Un autre exemple de manifestation de ces mécanismes de défense, c'est que peut-être tu ne veux pas attirer l'attention. Réfléchis-y et pose-toi la question, comment est-ce que je me sens à l'idée d'attirer les regards ? Est-ce que le fait de séduire, est-ce que le fait d'attirer l'attention, est-ce que le fait potentiellement d'être vu et jugé, c'est quelque chose qui me fait envie ou bien au contraire qui me rebute, voire m'effraie ? Parce qu'effectivement, si tu as peur d'attirer les regards, le risque, c'est que pour toi finalement, mincir, C'est le risque de te mettre à nu et de devenir une sorte de proie sans défense. Et puis, une autre manifestation de ces peurs, c'est que tu penses peut-être aujourd'hui que le sexe, c'est dangereux. Ça peut être une expérience d'abus que tu as personnellement vécu, quelque chose que tu as vu, ou un traumatisme qui a été traversé en fait par une génération antérieure. Et que tu le veuilles ou non, tu hérites parfois de ces traumatismes familiaux et des peurs inconscientes qui sont associées. Et tu peux avoir l'impression de porter ce poids en toi-même. À ça s'ajoute le fait que dans la conscience collective, il existe vraiment une pensée culturelle profondément ancrée selon laquelle la sexualité est synonyme de violence. La sexualité, c'est des abus, du harcèlement, des viols. Et la pensée selon laquelle le sexe de l'homme peut être utilisé comme une arme. Alors évidemment, dans ces conditions, la séduction, ça devient un jeu ultra dangereux auquel tu n'as absolument pas envie de jouer. Du coup... je voudrais t'expliquer comment certaines situations de ton quotidien viennent raviver les blessures du passé et tous les narratifs intérieurs associés et comment ces situations du présent viennent activer le mode pilotage automatique face à la nourriture. Donc ce qui se passe, c'est que tu as vécu des choses, en général dans l'enfance, dans l'adolescence ou au jeune âge adulte, à un moment où tu étais encore en construction. Ces épreuves difficiles que tu as traversées, c'est comme un séisme émotionnel douloureux. C'est un peu comme un tsunami. Et tu sais, derrière les tsunamis, ce qui se passe, il y a des petites vagues. Ces petites vagues, on appelle ça les répliques. Donc tu es jeune, tu vis des épreuves difficiles, mais comme tu n'as aucun outil et que tu ne sais pas gérer autrement qu'en mangeant, en fait ces épreuves, elles se répliquent. Parce que tant que tu ne comprends pas le message de l'épreuve, elles se reproduisent. Et c'est pour ça qu'aujourd'hui, quand tu as un copain au resto qui te dit Wow, tu as encore de la place pour un dessert toi ? Simple question de curiosité en fin de repas. ben toi, potentiellement, tu le vis super mal. Parce que ce que tu entends dans ta tête, c'est t'as encore de la place après tout ce que t'as mangé Ben ouais, tu le prends super mal parce qu'en fait, il y a une sorte de réplique qui se met en place d'une blessure très ancienne. Ça monte très très très très haut, parce que ça monte au niveau de la blessure que tu as vécue à l'époque et cette blessure, elle n'est pas encore guérie. Et cette blessure, ça peut être que tu as été mise au régime très jeune, ta mère, elle contrôlait ton alimentation, elle était... tout le temps sur ton dos et on te faisait tout le temps des remarques sur ton assiette et ton poids. Tu te sentais vraiment jugée. Et là, qu'est-ce qui se passe ? Bah bim ! Tu te sens encore jugée et tu redeviens la petite fille à la table familiale dont on scrute l'assiette. Un autre exemple de ton quotidien, ça peut être aussi Oh, elle est trop sexy cette robe, ça te va bien ? Et là, d'un coup, tu te sens super mal parce que ça te renvoie à un moment de ta vie où ton corps et ton apparence… ont déclenché le désir, voire des attouchements ou des abus, et d'un coup tu te sens en danger. Être belle, être mince, être attirante, c'est devenir un objet de désir sans défense. C'est devenir, redevenir une proie. C'est redevenir une victime. Et pour aller plus loin, je voudrais te partager un exemple personnel pour te montrer qu'il n'y a pas de petits ou de grands traumas. Parce que derrière l'anecdote qui paraît vraiment anodine que je vais te raconter, se cache l'une des plus grandes blessures que j'ai traînées pendant des décennies. Alors je devais avoir 10-11 ans, j'étais avec mes copines au square et on jouait à cache-cache. Et en fait, ce jour-là, elles ont tout simplement pris un malin plaisir à se cacher et à ne jamais ressortir de leur cachette. Je les entendais récaner, je n'arrivais pas à les trouver, je leur disais Allez les filles, c'est pas drôle maintenant, sortez, allez sortez ! J'ai dû les supplier de sortir des minutes qui m'ont paru des heures. Et puis au bout d'un moment, en fait, j'ai compris qu'elles n'allaient pas céder, qu'elles n'allaient pas sortir de leur cachette. Et franchement, fatiguée, épuisée d'attendre, je suis tout simplement rentrée chez ma mère la queue entre les jambes. Avec ce trou béant dans la poitrine, ce sentiment que, en fait, si elle ne m'aimait pas, c'est parce que j'étais nulle, j'étais grosse, j'étais moche, je n'étais pas intéressante, je n'étais pas digne d'être aimée, je n'étais pas la fille cool. Et tout ça, ça paraît bien anecdotique parce que finalement c'est pas grave, c'est des jeux de gamines. Mais la conséquence c'est que pendant longtemps, j'ai eu du mal à faire confiance aux gens, surtout en amitié. Dès qu'on ne me rappelait pas ou que c'était moi qui prenais systématiquement des nouvelles et personne qui m'appelait, le mécanisme de protection se réactivait. Et j'allais manger. J'allais manger avec le narratif intérieur. Je suis moche, de toute façon, je suis grosse, je ne suis pas la fille cool, je ne suis pas intéressante, je ne suis pas digne d'être aimée, tout le monde s'en fout de moi, je suis la dernière roue du carrosse et si je ne suis pas là, de toute façon, personne ne fera la différence. Ces répliques que tu vis, c'est comme une réminiscence, c'est comme un flashback émotionnel, tu as tout qui se réactive. Et quand tu manges, c'est parce que d'une certaine façon, tu redeviens la petite fille blessée, tu redeviens la petite fille jugée, tu redeviens... la petite fille rejetée. Tu redeviens la petite fille abusée. Tu revis les choses. Tout s'active en toi. La réalité, c'est qu'aujourd'hui, tu es l'adulte et tu ne peux plus vivre ta vie comme l'enfant blessé. Pourquoi ? Parce que 1. ça ne l'aide pas. Ça n'aide pas ton enfant blessé de lui laisser les commandes de ta vie. Et puis 2. finalement, c'est toi qui souffres. Alors voilà, j'espère que grâce à cet épisode, tu vas commencer à entrevoir que ce que tu vis avec la nourriture n'est peut-être pas un mécanisme d'autosabotage, mais bien un mécanisme de protection. En tout cas, si cet épisode a résonné en toi, si tu t'es reconnu et que tu as envie d'explorer davantage le mécanisme des chilo-protections, il y a une ressource supplémentaire à ta disposition. C'est un atelier à la demande que j'ai enregistré il y a... quelques semaines et qui est désormais disponible en accès immédiat pour un prix tout doux. Cet atelier s'appelle Kilo Protection. Il dure deux heures et est accompagné d'une séance de questions-réponses enregistrées de 2h30. Tu vas bénéficier de toutes les techniques pour pouvoir sortir de la boucle comportementale automatique et tu auras tous les conseils pour gérer concrètement toutes les réactivations du quotidien. A l'issue de cet atelier... Tu vas vraiment être capable de te sentir toujours respecté et sécurisé et tu vas découvrir toutes les techniques simples et adaptées à ta situation que tu vas pouvoir mettre en œuvre pour ne plus avoir besoin de manger pour te protéger. Évidemment, je mettrai le lien vers l'atelier Kilo Protection dans les notes de cet épisode et tu pourras également retrouver le lien sur mon site joannaverdi.com Et moi, je te retrouve dans le prochain épisode. Dans le prochain épisode, on va parler hypersensibilité. Je t'aiderai à identifier si tu es hypersensible et je t'expliquerai en quoi cette sensibilité joue sur ta relation à la nourriture. Et évidemment, je partagerai mes conseils pour que tu ne subisses plus ton hypersensibilité et que tu ne te laisses plus bouffer par tes émotions. Je te remercie pour ta présence et je te donne rendez-vous au prochain épisode.