Speaker #0Bienvenue dans le podcast Kilo émotionnel, le podcast qui t'aide à décoder les vraies raisons qui te poussent à trop manger. Je suis Johanna Verdi, coach de vie, auteure du guide Mon Cahier Kilo émotionnel, créatrice du programme Déjeuner en Paix et moi-même ancienne mangeuse compulsive. Si la nourriture te rend dingue, si tu te jettes sur la bouffe à la moindre contrariété, si tu rêves de perdre du poids mais que tu es incapable de tenir un régime plus de deux jours ou deux heures consécutives, tu es au bon endroit. Avec ce podcast, je vais te montrer comment sortir de l'obsession alimentaire et faire la paix avec ton assiette et ta balance, pour que tu puisses enfin consacrer ton énergie à ce qui compte vraiment. Hello et bienvenue dans ce nouvel épisode. Alors, quand on s'inquiète un petit peu de sa silhouette et de son poids, on se dit que ce qu'on doit faire, c'est se préparer à manger, des choses saines, manger mieux, bouger, aller faire du sport, prendre soin de soi. Tout ça, c'est chouette sur le papier, mais en vrai, ça demande de l'organisation, de la planification et parfois de l'énergie. Mais alors, qu'est-ce qui se passe quand t'as pas tout ça ? Qu'est-ce qui se passe quand la flemme s'empare de toi ? Tu sais, par exemple, la flemme de cuisiner, qui te pousse à commander une pizza, à manger à la volée un plat de coquillettes aux gruyères, ou alors qui te pousse à picorer dans le frigo sans début et sans fin. Qu'est-ce qui se passe quand t'as la flemme d'aller au sport ? que tu loupes une première séance, puis une deuxième, puis finalement toute la semaine et tout le mois. Qu'est-ce qui se passe quand t'as la flemme de prendre soin de ton intérieur, de faire le ménage, ou parfois même de prendre une douche ? Moi aujourd'hui, je voudrais t'aider à faire connaissance avec cette flemme parce que je suis convaincue qu'elle est riche en messages si on est prête à les écouter. Donc au programme de l'épisode d'aujourd'hui, je voudrais qu'on aille... explorer ensemble, faire connaissance avec cette flemme, d'où elle vient, comment elle se forme. Et je voudrais aussi qu'on s'intéresse aux messages que nous transmet cette flemme, des messages peut-être de notre corps. On ira voir pourquoi c'est compliqué pour nous, mangeuses émotionnelles, pourquoi ça nous agace d'avoir la flemme, qu'est-ce que ça gratouille chez nous. Et puis évidemment, reste bien jusqu'à la fin de l'épisode parce que je te partagerai mes conseils pour t'aider à gérer ces situations de flemme qui t'agacent tant. Alors pour commencer, je voudrais qu'on aille faire connaissance avec la flemme, d'où elle vient, comment elle se forme, en quoi ça consiste. Alors la flemme, c'est des moments de lassitude. C'est des moments où t'as pas l'énergie et pas l'envie. Alors moi j'aime bien aussi aller regarder du côté de l'étymologie, ça nous donne plein d'informations sur l'origine de ce mot. Déjà j'avoue, au début j'avais du mal à l'écrire, donc pour celles qui ne savent pas, c'est F-L-E-M-E. Mais ça vient du grec phlegma, avec PH au début. C'est un mot qui signifie l'inflammation. Et c'est un mot qu'on associait à l'époque antique à un tempérament phlegmatique ou lymphatique qui correspondait en fait à la mollesse, la lenteur, l'inertie. Donc quand on a la flemme, quand on a ce tempérament phlegmatique, on a l'impression que tout est très compliqué. Et la flemme, elle, elle cherche des solutions de facilité. Et souvent c'est vu comme une invitation à la paresse. J'ai la flemme de faire la vaisselle, la lessive ou les tâches ménagères. Ça peut passer pour une excuse pour ne pas faire. On peut avoir l'impression que c'est l'expression pure de la procrastination. Et c'est vrai que la flemme, elle nous pousse parfois à prendre des décisions qui ne sont pas les meilleures pour nous. Traîner en pyjama tout un dimanche, se nourrir mal, ne plus avoir d'autres activités physiques que celui du zapping intensif sur la télécommande de la télé. ou le scrollage compulsif de notre téléphone. Et puis, au-delà des décisions que ça nous pousse à prendre, ça nous fait nous sentir mal. Quand on est dans cet état de flemme, ce qu'on ressent aussi et surtout, c'est de la honte, de la culpabilité. On ne se sent pas dans la win, on ne se sent pas dans une énergie haute. Et ce qui est gênant aussi, c'est que souvent, on est bien conscient qu'on n'a pas tenu une promesse qu'on s'était fait à soi-même. Il y a une dissonance entre ce qu'on a dit qu'on allait faire et ce qu'on fait vraiment. Et la flemme, elle vient se mettre. entre les deux. On est dans une énergie basse, on n'est pas fier de nous, on ne fait rien de productif, on ne fait rien de bien, on s'en veut et on a l'impression d'être dans l'autosabotage. Et ça peut être le cas. Et je t'invite à écouter l'épisode 62 pour aller explorer si c'est pas de l'autosabotage. Donc la flemme, c'est souvent perçu comme de la fainéantise. Je ne me donne pas les moyens. Donc la plupart du temps, on a tendance à voir ça comme une faiblesse, un manque de motivation et de volonté. de la paresse, mais en fait pas toujours et souvent même pas du tout. Souvent c'est un signal que notre corps et notre esprit nous envoient, un signal qui nous dit qu'on a besoin de ralentir et que peut-être qu'on va trop vite. Et ça c'est une prise de conscience que je voudrais instiller en toi. Peut-être qu'en réalité cette flemme c'est un message de ton corps. Parce que moi je suis convaincue d'une chose, t'es pas quelqu'un qui manque de volonté, au contraire. On se connaît pas mais je sais que t'es quelqu'un qui a beaucoup de volonté. Et sûrement plus de volonté que la moyenne des gens. Donc ça je voudrais que t'arrêtes d'en douter. Mais si tu te retrouves dans ces états-là, c'est qu'en réalité tu as peut-être un rythme effréné. Et c'est un signal de ton corps et de ton esprit que t'as besoin de ralentir. Parce qu'aujourd'hui, le rythme de notre société, il est bien trop rapide. Moi j'aime bien faire un raccourci en disant qu'on est un peu dans une société Amazon. Parce que oui, quand tu veux commander un truc, tu vas sur Amazon, en deux clics, pour peu que ta carte bleue soit enregistrée et que t'es à Amazon Prime, bah hop, en deux clics, c'est acheté, et tu reçois ton article dans les 24 heures, voire dans les 12 heures qui suivent, et si tu payes un supplément, tu peux recevoir ton article dans les 2 heures à Paris. Donc nous, humains, en face, comme on baigne dans ce... Cette société de vitesse-là, on se dit que nous aussi, on doit être rapide, on doit être connecté, on doit répondre aux gens tout de suite, répondre à ce message dans l'heure, etc. Et on se met une pression immense pour être constamment productif, que ce soit au niveau de nos exigences professionnelles, mais aussi familiales, sociales. Et c'est vraiment une pression qui est difficile à porter, surtout pour les femmes qui portent plusieurs casquettes. Et on se retrouve vraiment à subir un rythme qui est totalement épuisant. Donc aujourd'hui... quand tu as des phases de flemme, c'est peut-être aussi plus un épuisement émotionnel et physique. Et finalement, la flemme, c'est juste une réponse naturelle de ton corps qui te force à ralentir. Alors pourquoi c'est compliqué pour nous, mangeuses émotionnelles ? Pourquoi est-ce qu'on n'aime pas avoir la flemme ? Parce que, évidemment, quand la flemme s'invite, ça devient plus facile de se tourner vers des solutions de facilité, comme les aliments tout prêts dans le frigo, plutôt que de cuisiner un repas équilibré. où ça devient plus facile de grignoter des biscuits ou des produits gras et sucrés pour se donner de la force, de l'énergie, du courage. Et nous, on n'aime pas ça. On n'aime pas ça parce qu'on est perfectionniste, on a un haut niveau d'exigence pour nous-mêmes. Et parce que nous, on est contrôlante. Et là, c'est plus notre volonté qui décide. La flemme, elle est plus forte que nous. En fait, la flemme, c'est aussi l'expression inconsciente d'un besoin de lâcher prise face à la pression constante. Parce que finalement, en s'abandonnant à la bouffe, tu trouves un moment de répit et de détente, loin des attentes et des obligations. C'est vraiment une tentative de satisfaire tes besoins profonds non comblés. Du coup, la question que j'ai envie de te poser, c'est est-ce que tu te reconnais là-dedans ? Est-ce que tu as l'impression de te mettre trop de pression ou d'être tout le temps sous pression ? Est-ce que tu as l'impression que toi tu n'as pas le droit à l'erreur ? Tu ne veux pas qu'on puisse avoir des choses à te reprocher, donc tu fais tout nickel. Et du coup en fait, parfois si c'est le cas, il y a peut-être une sorte de dichotomie qui se met en place chez toi. C'est-à-dire que dehors avec les autres tu portes un masque où tout doit être nickel, parfait, rien à te reprocher. Mais quand enfin tu pousses la porte de ton domicile et que tu es chez toi, ah enfin tu t'orises à être toi-même et à lâcher prise. Et là tu te retrouves à faire face à une alimentation débridée, le ménage pas fait et le dimanche passé en pyjama et pas douché. Et tu vois, c'est là en tout cas que ça doit t'interpeller. Et du coup, tu vois que le déclencheur, c'est pas tant ton manque de volonté à pas faire les choses que tu dois faire, mais c'est plus ton épuisement permanent à vouloir être celle que tu penses qu'on attend de toi et à vouloir faire ce que tu penses qu'on attend de toi. Alors comment on gère ces moments ? Déjà, gérer ces moments, c'est aussi anticiper pour que ces moments soient moins fréquents vu qu'ils sont désagréables. Donc pour ce faire, je t'invite vraiment à intégrer des moments de repos et de détente. Et ça n'a pas besoin d'être une heure entière pour toi, parce que je te connais, je te vois déjà dire Ah mais il y a du temps pour moi, c'est pas possible, nini nini nini nini nini nini Je connais la chanson. Mais intégrer des moments de repos et de détente, ça peut être des micro-moments. Ça peut être, par exemple, je pense à Marie-Pierre, qui est une participante de mon programme Signature Déjeuner en Paix, qui... a pris l'habitude de descendre 5 minutes au pied de son immeuble après une réunion avant d'attaquer ses emails. Ça, c'est devenu son moment de respiration à elle, son moment pour elle, le message qu'elle s'envoie que oui, elle mérite de prendre une pause et de s'envoyer une dose d'oxygène, surtout quand tu travailles dans des tours climatisées dont tu ne peux même pas ouvrir les fenêtres. Un moment pour toi, ça peut être déjeuner seul le midi, sur un banc, dans un parc, sans les collègues. pour ne pas parler encore et toujours du boulot ou des petites guéguerres et tu sais, des concurrences entre les collègues. Et machin, il m'a fait ça, gnignigni. Non, là, voilà, tu déjeunes seul le midi, tu fais du vide dans ton esprit. Un moment pour toi, ça peut être écouter un livre audio ou un podcast inspirant dans ta voiture. Ça peut être aussi simple que prendre trois grandes respirations avant de mettre la clé dans la serrure de ta porte et entrer chez toi. Et ça peut être juste ouvrir la fenêtre et regarder le ciel quelques instants. Bref, c'est juste incorporer des petits moments comme ça qui peuvent paraître anecdotiques mais qui en réalité sont essentiels pour recharger tes batteries. Alors je le sais, ce que je te suggère c'est simple mais c'est pas forcément facile parce qu'on vit dans une société aujourd'hui qui vous inculte à l'hyper-productivité, au miracle morning, se lever à 5h du mat, être méga productif et je le sais mieux que personne parce que je me bats au quotidien contre mes propres croyances. Sur le fait que je dois toujours être en mode on, on, on, go, go, go, go. Mais voilà, ces prises de conscience, elles sont nécessaires et ces respirations, elles sont juste indispensables. Ensuite, mon deuxième conseil, c'est une invitation à revoir tes priorités et aussi et surtout à simplifier et à déléguer. Tu n'es pas comme Amazon, tu n'es pas un système informatique, tu n'es pas une machine. Et en vrai, d'ailleurs je l'ai dit à tort juste avant, on parle de recharger tes batteries, mais c'est faux. On ne peut pas changer tes piles ou te brancher sur secteur pour recharger tes batteries. Donc ça va être à toi de faire les ajustements nécessaires pour qu'il te reste de l'espace mental, de l'espace émotionnel. Fais une liste des tâches les plus importantes et concentre-toi uniquement sur ces tâches. Apprends à déléguer ou à laisser de côté les tâches moins cruciales. Par exemple, Si le ménage c'est important pour toi mais c'est pas quelque chose qui te nourrit, trouve une femme de ménage. Ou alors si tu n'en as pas les moyens, désencombre au moins tes objets pour avoir moins de choses à entretenir. Ou alors accepte de vivre avec du bazar sans culpabiliser. Parce que la culpabilité n'a malheureusement jamais aidé à faire avancer le moindre chantier. Et puis enfin mon troisième conseil, sans doute le plus important. c'est de ne jamais t'appuyer seulement sur un plan idéal. Il faut toujours que tu prévois un plan B et même un plan C. Notre plus grosse erreur à nous, mangeuses, émotionnelles, hypersensibles, hypercontrôlantes et hyperperfectionnistes, c'est de tout construire sur l'illusion d'une nous parfaite qui aura toujours l'énergie, l'envie, l'inspiration. C'est d'ailleurs pour ça qu'on adore le 1er janvier, On adore le lundi, on adore acheter un nouveau carnet parce que cette projection, cette idéalisation de cette nouvelle nous qui va être capable de tout faire parfaitement, ça, ça nous excite, ça, on adore. Mais la réalité, c'est que tout ça, ce n'est qu'un idéal. Et évidemment, au quotidien, c'est faux. On a des humeurs, on a des aléas de la vie, on a parfois des nuits d'insomnie. On fait quoi dans ces moments-là ? Eh bien, on prévoit. On prévoit des plans dégradés. On peut se dire, je veux manger équilibré et cuisiner davantage. Ok, ça c'est mon plan A. Mon plan A, c'est j'ai le frigo qui est plein d'aliments colorés et je cuisine avec le sourire aux lèvres comme une image, c'est une photo de banque de données. Ça c'est génial, c'est le plan A, c'est le plan idéal. Mais c'est quoi le plan B ? Le plan B, c'est peut-être un plat équilibré que j'ai cuisiné en grande quantité et que j'ai congelé. Et voilà, le plan B, c'est juste décongeler cette portion. Et c'est quoi le plan C ? Le plan C, quand j'ai rien d'avance et qu'une pizza me ferait plaisir, et bien le plan C c'est peut-être ok, je mange ma pizza et je la mange avec tous mes sens et peut-être que je vais la partager et peut-être que surtout je vais garder comme objectif, comme intention de beaucoup m'hydrater tout au long de la journée, pour continuer d'être hydratée, pour continuer de faire circuler les fluides dans mon corps et d'éliminer les déchets qui doivent être éliminés. Parce que la réalité, c'est que tu voudrais être celle qui est toujours dans le plan A, mais tu n'y arrives pas. Alors t'es déçue, t'abandonnes. Et finalement la flemme c'est ça, c'est l'incarnation de cette promesse que tu ne t'es pas tenue à toi-même, que la fille idéale n'a pas tenue à elle-même. Mais en fait, tu te retrouves dans cette situation parce que t'as pas de plan pour la fille imparfaite, parce que tu veux pas être la fille imparfaite. Et malheureusement, cette stratégie, c'est la stratégie de l'échec. Donc là, je t'invite à réenvisager toutes les lettres de l'alphabet. Je t'ai parlé des trois premières ABC, mais il y a 26 lettres en tout. Et tu vas voir qu'avec cette stratégie, non seulement on accepte enfin nos imperfections, mais encore mieux, on les prévoit. Et du coup, dans ce cas-là, manger une pizza, ce n'est pas un échec, c'est juste le plan C. Et le boulot, c'est de ne pas rester en plan C cinq jours de suite, mais de revenir rapidement. en B, voire en A, et observer la progression. La progression étant de moins en moins, peut-être de jour C, voire D, E, F, et de plus en plus de jour B ou A. Et là, ça devient intéressant. Donc voilà, vraiment une nouvelle façon de voir les choses. Moi, ce que je veux avant tout, c'est ouvrir ton esprit sur un changement de mindset. Le changement est possible. mais à condition que tu acceptes d'essayer autre chose. Voilà, j'espère que tu as aimé cet épisode. Moi en tout cas, mon objectif c'est de continuer de planter des petites graines dans ton esprit pour que tu te rendes compte que la liberté alimentaire, elle est possible, mais à condition aussi que tu acceptes d'envisager un changement de perspective, un changement de mindset, parce que comme dit Albert Einstein, la folie c'est de faire toujours la même chose. et de s'attendre à un résultat différent. Donc clairement, si tu continues de toujours courir après un idéal, toujours courir après un plan alimentaire et un régime parfait, en te disant que ça c'est la solution, ben clairement c'est voué à l'échec, c'est voué à l'obsession alimentaire, et c'est vraiment pas ce que je veux pour toi, parce que t'es une belle personne et tu mérites tellement, tellement mieux. En tout cas, si tu sens que tu as besoin de ralentir et que tu veux approfondir le concept, direction l'épisode 18 qui s'appelle Et si ralentir était le meilleur des régimes ? Tu vas voir, je te partage aussi ma méthode pause, P-A-U-S-E, pour justement t'aider, t'aider à ralentir sans rien oublier et sans complètement révolutionner ton agenda. Tu vas voir, il y a des choses assez simples que tu vas pouvoir mettre en place dès maintenant. En plus, l'été est quand même le meilleur moment pour le faire. Si tu aimes le podcast, continue de le soutenir avec des étoiles et des commentaires sur ta plateforme d'écoute préférée. Et moi, je te retrouve la semaine prochaine avec une nouvelle série d'épisodes consacrés au sujet des sensations alimentaires. Je le sais, vous êtes nombreuses aujourd'hui à ne plus être capable de reconnaître la faim. Vous me dites, Joanne, je ne sais pas reconnaître la faim, je ne sais pas si c'est une vraie faim ou une envie de manger. Je ne suis pas non plus capable de reconnaître la satiété et de la respecter et du coup, je mange trop. Donc c'est vraiment un sujet qui me tient à cœur, je suis en train de vous préparer une formation sur 30 jours, une mission, une mission 30 jours pour retrouver ces sensations alimentaires de faim et de satiété et les respecter, pour être vraiment capable de manger sans culpabiliser, sans se gaver et sans grossir. Et donc dans le cadre du lancement de cette nouvelle formation, je vais vous proposer toute une série d'épisodes sur le sujet des sensations alimentaires pour vous aider à avancer pas à pas, parce que c'est tout. tellement important et tellement fondateur dans votre relation à la nourriture et j'ai vraiment hâte de démarrer cette nouvelle série avec vous. Je te remercie pour ta présence et je te donne rendez-vous au prochain épisode.