Speaker #0Bienvenue dans le podcast Kilo émotionnel, le podcast qui t'aide à décoder les vraies raisons qui te poussent à trop manger. Je suis Johanna Verdi, coach de vie, auteure du guide Mon Cahier Kilo émotionnel, créatrice du programme Déjeuner en Paix et moi-même ancienne mangeuse compulsive. Si la nourriture te rend dingue, si tu te jettes sur la bouffe à la moindre contrariété, si tu rêves de perdre du poids mais que tu es incapable de tenir un régime plus de deux jours ou deux heures consécutives, tu es au bon endroit. Avec ce podcast, je vais te montrer comment sortir de l'obsession alimentaire et faire la paix avec ton assiette et ta balance, pour que tu puisses enfin consacrer ton énergie à ce qui compte vraiment. Hello ! Sois-la bienvenue dans la deuxième partie de ce méga épisode consacré à la peur de grossir. Alors pour commencer, je t'invite vraiment à écouter ou réécouter au préalable la première partie de ce sujet qui était donc dans l'épisode 83, pour bien comprendre les enjeux et les mécanismes comportementaux qui se joue derrière ta peur de grossir. T'as vraiment besoin de comprendre des choses sur les conséquences de cette peur, par rapport à ta perte de connexion avec ton corps et tes signaux alimentaires, par rapport à la restriction permanente qui génère des compulsions, et par rapport à la vision punitive de la nourriture. Sans ça, tu ne pourras pas bénéficier pleinement de ce nouvel épisode. Alors, aujourd'hui, on va vraiment parler justement des solutions, parce qu'on l'a vu dans l'épisode 83, la peur de grossir, elle te vole bien plus. qu'un peu de ton énergie et elle te vole bien plus que finalement ta santé physique et mentale. Cette peur, elle t'empêche de vivre pleinement ta vie. Alors moi j'ai une bonne idée. Et si aujourd'hui on décidait de ne plus laisser cette peur de grossir diriger notre vie ? Et si on commençait ce chemin de la liberté ensemble ? Et si t'as envie, si t'es partante, moi je suis là pour te guider et t'accompagner. Dans l'épisode d'aujourd'hui, je vais t'expliquer les quatre aspects sur lesquels tu dois travailler pour espérer te libérer de la peur de grossir et retrouver la sérénité alimentaire. Et pour t'offrir un support papier pour vraiment travailler en profondeur, poser les choses sur le papier, prendre le temps de réfléchir et de les laisser infuser, je t'ai créé un workbook. Tu vas pouvoir le télécharger sur mon site joannaverdi.com slash workbook84, comme le numéro de l'épisode d'aujourd'hui. Évidemment, je te remettrai ce lien direct dans la légende de l'épisode. Petit disclaimer au préalable. parce que j'adresse un sujet qui est important, mais on peut me challenger. Il y a peut-être une partie de toi qui dit Ouais, mais moi j'ai le droit de vouloir mincir, j'ai le droit de vouloir être mince. Et j'ai envie de te dire Oui, t'as le droit. Mais moi, je veux que tu penses ça et que tu fasses ça pour les bonnes raisons. Parce que t'es une personne géniale, qu'il mérite, et pas pour les mauvaises. Parce que t'es une fille nulle, imparfaite, qui doit changer quelque chose qui ne va pas chez elle. Et ça, ça fait toute la différence. Parce que paradoxalement, c'est ce mindset Ce changement de perspective là, qui va te permettre de mettre en place des nouvelles habitudes pérennes, qui donneront potentiellement les résultats que tu cherches à atteindre. D'accord ? Donc c'est vraiment important pour moi de t'exprimer le fait que, ici, on n'est pas juste dans l'acceptation du corps et se dire voilà on doit s'accepter tel qu'on est, etc. On doit vraiment challenger aujourd'hui les raisons pour lesquelles on a envie de faire les choses. Et c'est ce qu'on va faire aussi dans l'épisode du jour. Alors pour commencer, le premier pilier sur lequel on va travailler ensemble, c'est les racines de cette peur de grossir. On a besoin vraiment de déconstruire et de décoder d'où ça vient et depuis combien de temps on porte ce trauma, et j'ai envie de l'appeler trauma, j'allais mettre des guillemets, mais c'est un vrai trauma avec nous. Encore une fois, que tu aies vécu des choses lourdes ou pas forcément. Et j'ai plusieurs questions à te proposer. T'as peur de grossir, aussi loin que tu te souviennes. Elle remonte à quand ? C'est quand la première fois où t'as eu peur de grossir, où t'as eu peut-être peur de manger quelque chose ? Ou alors, ça remonte à quoi ? Quel événement ? Quels sont peut-être les événements que t'as vécu, ou les mots que t'as entendus et dont tu te souviens encore ? Les mots, ils ont une puissance terrible. Et on continue de les porter avec nous plusieurs années, pour ne pas dire plusieurs décennies après. Quels sont les mots que tu transportes avec toi et les mots que tu continues d'associer aujourd'hui ? Et puis, qui a prononcé ces mots à l'époque ? Est-ce que c'était des personnes qui étaient bien dans leur peau et bien dans leur vie ? Ou des personnes qui avaient leurs propres insécurités ? Parce que ça peut nous aider aussi à nous décoller de ces mots. Et puis quand tu penses à tout ça, parce que souvent c'est des mots lourds, c'est vraiment des croyances toxiques qui nous pèsent, réfléchis-y à quoi est-ce que tu renonces aujourd'hui pour soit rester mince, soit maintenir ton poids, soit ne pas prendre du poids. Quelle place ça prend dans ta tête et dans ta vie ? Quel pourcentage de bande passante ça prend au quotidien, du matin au soir ? Et puis enfin, c'est quoi le risque d'avoir peur de grossir jusqu'à la fin de ta vie ? Et ce que le risque c'est qu'à 70 ans, t'auras toujours peur de manger un cookies ou un bout de pain. C'est fou quand même quand on y pense. Ensuite, le deuxième pilier sur lequel je voudrais qu'on travaille ensemble, c'est de se rendre compte que la vision mince égale belle conduit à une vie étriquée. Et je voudrais ensemble qu'on se challenge pour peut-être remettre en cause cette vision qui aujourd'hui nous fait plus de mal que de bien. Et pour ce faire, je t'invite juste à penser... à tes collègues ou amis femmes ? Est-ce que c'est leur taille de guêpe qui te fait les aimer aujourd'hui ? Est-ce que tu aimes moins ta mère ou ta sœur si elles prennent une taille de pantalon ? Et est-ce que c'est vraiment vrai de vrai que seules les femmes minces sont belles et que les plus rondes sont laides ? Est-ce que t'en es sûr à 100% ? Est-ce que t'as pas de contre-exemple ? Mais tu vois finalement la question sous-jacente qui arrive très très vite sur ce sujet. c'est de se poser la question, qu'est-ce qui me fait vraiment peur ? Est-ce que ce qui me fait vraiment peur, c'est vraiment le fait de grossir et de prendre du poids ? Ou est-ce que ce qui me fait vraiment peur, c'est le regard que les autres vont poser sur moi ? Ou alors est-ce que c'est ce que je projette que les autres penseraient de moi ? Et tu vas voir, dans le workbook, je te propose un exercice très très sympa, on appelle ça le mind map. pour justement t'aider à bien identifier les associations que tu fais aujourd'hui avec le fait d'être mince et le fait de prendre du poids. Pour rappel, ton workbook, tu peux le télécharger directement sur mon site joannaverdi.com slash workbook84, comme le numéro de l'épisode que tu es actuellement en train d'écouter. En tout cas, si tu t'intéresses un peu au féminisme, tu as peut-être déjà entendu le fait que finalement, garder les femmes obsédées par la quête de la minceur, Ce serait aussi un outil du patriarcat pour justement garder les femmes sous contrôle. Bah ouais, finalement, la quête de la minceur, ça nous garde soumises et étriquées. Alors, je sais pas si c'est intentionnel ou pas, mais j'avoue dans ma perception à moi, oui c'est le cas. Oui, aujourd'hui, quand tu es obsédée par la minceur, quand tu es obsédée par la peur de prendre du poids, ta vie elle est étriquée et ça t'empêche de mener à bien tes projets. Et moi je m'en rends compte à titre... personnel. Depuis 7 ans maintenant que je me suis vraiment libérée, j'ai pas envie de dire complètement parce que je pense que ça restera toujours mon signal d'alarme que quelque chose ne va pas et je l'assume complètement, mais aujourd'hui j'en ai fait quelque chose qui sert mes intérêts. Mais en tout cas, depuis que je me suis libérée de cette relation toxique avec la nourriture, ma vie n'a jamais été aussi simple et je n'ai jamais accompli autant de choses dans cette période que dans les presque deux décennies qui ont précédé. Depuis, j'ai retrouvé un mec, on a fait un enfant qui a 6 ans, j'ai quitté Paris, j'ai écrit deux livres, j'ai lancé un podcast et j'ai créé un business qui me fait vivre de quelque chose qui me passionne. Et tout ça, je l'ai fait quasiment toute seule pour l'instant. Jamais je n'aurais pensé en être capable avant. Parce qu'avant, j'avais 80% de mon cerveau, de la bande passante de mon cerveau qui était obnubilée par... Mon tour de taille, le contenu de mon assiette, ce que j'allais manger au repas suivant, ce que j'avais mangé la veille, etc. Tu connais ce bruit permanent. Mais pour avoir ces prises de conscience-là, on a aussi besoin d'être honnête avec soi-même. Parce que parfois, rester englué là-dedans, c'est volontaire. Ça nous arrange d'être limités. Ça nous donne une bonne excuse pour ne pas suivre nos rêves. Tout est suspendu au fameux quand j'aurais perdu du poids Quand j'aurais perdu du poids, je pourrais refaire ma garde-robe. Quand j'aurais perdu du poids, je pourrais lancer le business dont je rêve. Quand j'aurais perdu du poids, je pourrais me lancer dans ce grand voyage. Quand j'aurais perdu du poids, quand j'aurais perdu du poids. En réalité, ça, ce n'est que l'expression des kilos de protection. J'y ai consacré tout l'épisode 6. Il y a également un mini atelier ciblé qui est disponible à la demande quand tu le souhaites. 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Ça peut vraiment t'aider à identifier. des blocages inconscients et cette partie de toi en fait qui n'a pas envie de changer. Donc on a besoin vraiment de toucher, de passer du temps avec cette partie de nous qui a peur de changer pour se rendre compte que finalement, cette peur de grossir, ça peut devenir une protection dont finalement on n'a pas forcément envie de se libérer. Tu vois, c'est vraiment très très très complexe tout ça, vraiment un millefeuille de choses qui se superposent. Donc c'est pour ça qu'à ce stade, je plante différentes graines. pour que tu puisses regarder au bon endroit. Ensuite, le troisième pilier sur lequel on doit travailler, c'est recommencer à se faire confiance sur le sujet des sensations alimentaires. Et pour ça, il faut qu'on enlève les étiquettes qu'on met sur les aliments. Il faut que tu commences à manger ce qui te fait envie. Tu ne fais rien de mal en mangeant et tu ne vas pas prendre 10 kilos en mangeant 3 biscuits. Parce que quand tu sais que tu peux avoir un aliment aujourd'hui, demain et tous les autres jours, tu commences enfin à manger sans culpabilité et avec toute essence. Et tu es vraiment avec la bouffe. Et tu te rends compte que finalement, ces biscuits, au bout de deux, tu n'en as plus envie parce que c'est beaucoup trop sucré et beaucoup trop écœurant. Tu vois ? Moi aujourd'hui, je suis capable de manger une petite portion de camembert, une demi-pizza ou un bout de pain sans finir la baguette. Ce n'était pas forcément possible avant. Mais aujourd'hui, je fais confiance à mon corps. Et chaque jour, je me rends compte à quel point c'est la plus parfaite des machines. Mon corps veut que je sois bien et que je sois en bonne santé. Et d'ailleurs, toutes les participantes de mon programme Mission 30 jours Sensation Alimentaire se rendent compte aussi de ça, à quel point ça peut être simple et agréable de manger tous les aliments qu'on veut, en juste quantité, sans excès, et ça, elles s'en rendent compte dès les premiers jours. D'ailleurs, si tu veux nous rejoindre, tu peux le faire à tout moment, ce sera avec grand plaisir que je t'accueillerai. Mais du coup déjà, je voudrais te proposer justement un exercice que je propose dans le cadre du programme Mission Sensation Alimentaire. Ça va être un exercice de substitution. Pour pouvoir le faire, tu vas commencer par faire la liste des aliments grossissants, te poser la question, est-ce que c'est sur eux que je craque ? Bon, en général, la réponse est oui. Et ensuite, je te propose tout simplement de remplacer ton dessert habituel, puisque tu as peut-être l'habitude de prendre un fruit ou un yaourt tous les deux, par cet aliment-là. cet aliment que tu t'interdis. Et je t'invite à le déguster avec toute essence, sans jugement, plusieurs jours de suite. Donc si par exemple ton aliment interdit c'est le chocolat, tu vas remplacer ton yaourt et ton fruit par 2-3 carrés de chocolat et tu vas les savourer avec toute essence et tu vas voir ce qui se passe. L'objectif c'est vraiment de faire sauter la culpabilité inutile, de se rendre compte qu'on n'est pas une bête féroce qui ne sait pas se contrôler mais qu'au contraire on a déjà toutes les ressources, les outils, les... compétences en nous pour être capable de manger les justes quantités avec plaisir et sans excès. Et oui, même s'il s'agit de nos aliments interdits comme le chocolat, les chips, le pain ou le fromage. Et vraiment ça, c'est tout l'enjeu du programme Mission Sensation Alimentaire. J'en suis très très fière. Si t'as envie de nous rejoindre, vraiment, n'hésite pas, je pense que tu ne le regretteras pas. Ensuite, le quatrième pilier sur lequel il faut travailler, c'est on le veuille ou non, accepter que les... corps changent. Parce que la peur de grossir, elle est souvent liée à une peur plus profonde. Bah oui, la peur de vieillir, la peur de plus correspondre à une norme esthétique, la peur de plus être admirée, de plus être aimée, de plus être séduisante. La réalité, c'est que ton corps, c'est pas une photo figée dans le temps. Ton corps, il est vivant, il est en mouvement et il évolue avec ton âge, tes expériences, ta santé. Et je te rappelle que ton corps... C'est le seul véhicule que tu n'auras jamais sur le chemin de la vie. Tu ne peux pas en changer. Alors, bien sûr, tu peux avoir une alimentation saine et faire du sport pour sculpter ton corps. Mais que tu le veuilles ou non, ton corps va vieillir. L'aspect de ta peau va changer. La couleur de tes cheveux va changer. Ton tour de taille change. J'ai consacré l'épisode 27 à la ménopause. À la ménopause, typiquement, la répartition de la masse grasse autour de la taille n'est plus la même. Donc effectivement, la taille s'épaissit. Alors évidemment, on veut vieillir le mieux possible. Et évidemment, tant mieux si on peut mettre en place des bonnes pratiques et des bonnes habitudes qui assurent la meilleure santé possible. Mais quand on parle de santé et de meilleure santé possible, je veux qu'on pense autant à la santé physique qu'à la santé mentale. Et ça revient finalement au pilier numéro 1, que je veux vraiment que tu travailles, et sur lequel je pense que tu as besoin d'avoir des grosses prises de conscience. Tant que tu ne changes pas ta vision, et ta façon de penser à tout ça, mais en fait, rien ne changera. Ça ne marche pas aujourd'hui. Aujourd'hui, essayer d'être raisonnable, essayer de résister, essayer de te contrôler, ça ne marche pas. Soit t'es pas forcément aussi mince que tu veux, soit tu prends du poids, soit en tout cas, dans tous les cas, t'y penses H24 et à 70 ans, t'auras peur de manger un cookie. Donc c'est super important d'avoir vraiment une vision globale. Et de faire la différence entre notre désir de perdre du poids avec notre souhait de remonter le temps. C'est comme après un bébé, souvent on parle de retrouver le corps d'avant. Le corps d'avant. Ça va avec la vie d'avant. Est-ce qu'on peut vraiment retrouver la vie d'avant ? Ça, c'est un vaste sujet. Et je ferai un épisode 100% dédié à ça. Donc tu vois, je te disais qu'on le veuille ou non, les changements corporels comme du poids en plus, des cicatrices ou des vergetures, ce ne sont pas des échecs mais tous les témoignages d'une vie vécue. Vieillir c'est aussi gagner en sagesse, en profondeur, en authenticité, en maturité. Alors moi justement, en termes d'exercice de coaching, je voudrais que tu réfléchisses à ce qu'on appelle l'épitaphe. L'épitaphe en fait tu sais c'est la petite phrase qu'on écrirait sur ta tombe. Imagine que ça y est, t'arrives à la fin de ta vie. Qu'est-ce que tu voudrais que les gens disent de toi le jour de tes funérailles ? Quelle est l'image que tu veux laisser derrière toi ? Et pense-y, on se comporte parfois comme si on était immortel. Mais c'est faux, la vie est courte, il y a un moment où on ne sera plus sur cette terre. Et du coup, dans le temps précieux qui t'est donné, qu'est-ce que tu souhaites faire ? Qu'est-ce que tu souhaites accomplir ? Qu'est-ce que tu souhaites expérimenter ? Et imagine de quoi tu es capable en libérant toute cette bande passante que tu consacres aujourd'hui à la nourriture, le calcul de tes calories et l'énergie que tu passes derrière à te critiquer et à te dénigrer. Donc voilà, je t'invite vraiment à passer du temps sur ton workbook. Je te rappelle encore une fois, l'adresse est joannaverdi.com slash workbook84 comme le numéro de l'épisode. Parce que la peur de grossir, elle te vole vraiment un morceau de ta vie. Elle t'empêche de profiter vraiment de tout ce que tu as, de ces moments précieux, de tes proches, des moments de qualité. Donc ne la laisse pas, ne la laisse plus diriger ta vie. Ton corps c'est un allié, pas un ennemi. La société a conditionné nos esprits à associer la minceur à la beauté et au succès. Mais tu peux aussi réécrire cette histoire. Et ça commence par l'observation de tes propres comportements et croyances. Ton corps mérite que... tu le respectes. Et évidemment, pense à célébrer chaque petite victoire en chemin, sans attendre un résultat final. Donc je t'invite, si tu ne l'as pas déjà fait, à télécharger ton workbook pour commencer avec moi dès aujourd'hui. Tu télécharges ton workbook, tu t'installes dans un endroit calme et confortable où tu ne seras pas dérangé, et tu fais ce travail, tu vas voir, qui va être extrêmement libérateur. J'espère que tu as aimé cet épisode. autant que moi, j'ai adoré te développer cette nouvelle ressource, n'hésite pas à venir partager tes prises de conscience et tes progrès directement sur mon mail contact adjoannaverdi.com ou sur les réseaux sociaux notamment sur Instagram, je serais vraiment très très très heureuse de pouvoir assister à ton évolution et tu peux continuer de soutenir évidemment le podcast avec des étoiles, des cœurs, des likes sur ta plateforme préférée pour lui permettre d'avoir une belle visibilité et de le mettre en face des oreilles de celles et ceux qui en ont le plus besoin. Et moi, je te retrouve la semaine prochaine avec un nouvel épisode consacré au poids du secret. Secrets de famille, expériences jamais avouées, blessures enfouies, on verra comment les secrets et les non-dits pèsent autant sur notre âme que sur notre balance. Je te remercie pour ta présence et je te donne rendez-vous au prochain épisode.