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Le pouvoir des limites saines : entre liberté, rigidité et transmission | 04 cover
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Kundalini CLUB

Le pouvoir des limites saines : entre liberté, rigidité et transmission | 04

Le pouvoir des limites saines : entre liberté, rigidité et transmission | 04

18min |18/06/2025
Play
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Description

Dans cet épisode du Kundalini Club, on plonge dans un thème essentiel et souvent délicat : les limites.
Émilie te partage avec vulnérabilité son propre chemin — celui d’une femme qui disait toujours oui, même quand son corps criait non. On parle des limites qu’on ne pose pas par peur de déplaire, de celles qu’on s’impose inconsciemment à travers des croyances, des conditionnements familiaux ou culturels.

Et si apprendre à poser ses limites, c'était avant tout se reconnecter à son corps, à ses besoins profonds et à sa vérité intérieure?
À travers des exemples concrets — dans la parentalité, le couple, le coaching ou la spiritualité — on explore comment transformer ces "non-dits" en actes d’amour. Pour soi. Pour les autres.

Tu vas découvrir comment écouter les parts de toi qui ont peur, comment créer un contenant solide pour accueillir plus dans ta vie, et pourquoi l’alignement passe inévitablement par des limites claires, conscientes et aimantes.

💛 Un épisode puissant, doux et transformateur, pour toutes celles qui sentent qu’il est temps de se choisir.


Mes ressources pour aller plus loin :
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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans le Kundalini Club, l'espace où l'énergie rencontre la réalité. Mon nom est Émilie de Decker et ici on parle de Kundalini, bien sûr, mais surtout de comment l'intégrer dans ton quotidien, comment réveiller ta vitalité, élargir ta vision et créer une vie qui dépasse ce que tu croyais possible. À travers des pratiques, des histoires, des interviews, des transmissions, ce podcast est vraiment là pour t'aider à t'expanser sans pour autant fuir la réalité, mais vraiment en l'habitant pleinement. Alors installe-toi confortablement et profite du voyage. Salut à toi et bienvenue dans ce nouvel épisode du Kunalini Club. Aujourd'hui, on va aller parler d'un sujet qu'on m'a déjà demandé plusieurs fois par le passé et qui je... pense est une très grande thématique pour les femmes, je te parle des limites. Donc comment avoir des propres limites par rapport aux autres, mais aussi observer les limites qu'on s'impose en fait. Et donc on va aller explorer ces deux versions d'une même thématique et j'ai juste envie de te dire que j'étais vraiment la fille qui n'avait pas de limites par rapport aux autres. et ce que ça fait, peut-être que tu te reconnaîtras là-dedans, ce que ça fait c'est que je ne disais pas vraiment ce que je pensais, ce que je ressentais, je disais oui alors que j'avais envie de dire non, je sentais, en fait je n'étais vraiment pas connectée du tout du tout à mon corps, donc je ne recevais pas les signaux, je tombais malade, j'étais ultra anxieuse, il y a des moments où je ne dormais plus et ce que ça faisait c'est qu'à un moment donné j'arrivais vraiment au bout de ce que je pouvais faire. Donc, soit j'avais envie de tout brûler, j'avais envie d'arrêter tout. Donc, c'est là où je pouvais sortir brutalement d'une relation, par exemple. Au travail, j'avais aucune limite. J'avais toujours l'impression de devoir à l'autre, ce qui est complètement fou. Aujourd'hui, quand j'y repense, je me dis mais mon Dieu, quel chemin parcouru. Donc, j'ai juste envie d'aller explorer ça avec toi aujourd'hui parce que je travaille beaucoup encore avec des femmes qui ressentent ça et qui arrivent à ce moment. où t'en as vraiment marre, en fait, de tes propres réactions. Parce qu'au final, c'est toi qui autorises ça. Si on décide de prendre la pleine responsabilité de notre vie, c'est la réalité. C'est que tant que nous, on autorise ça, c'est ce qui va se passer, se produire. Et avant d'aller dans les limites des autres, donc par rapport aux autres, on va aller explorer les limites qu'on se met soi-même, qu'on s'impose. Et c'est une thématique qui, pour moi, est revenue régulièrement. Elle est revenue dernièrement dans ma vie. et... Mes meilleurs enseignants dans ma vie actuellement, ce sont mes enfants qui rentrent dans l'adolescence. Et c'est toujours un peu une période de vie que je crains parce que je sais quel genre d'adolescente j'étais. Et parce que je n'osais pas non plus m'exprimer complètement. Donc j'avais à la fois ce diable en moi. Je vais l'appeler diable, mais ce n'était pas non plus un vrai diable. Mais disons que j'avais vraiment envie de faire toutes les bêtises du monde. Et en même temps, j'avais envie d'être la gentille petite fille. Et donc il y avait vraiment un grand écart entre ces deux-là et qui faisait que je me mettais dans des situations pas possibles. Et donc mes limites actuellement, je me rends compte que ce sont certaines parts en moi qui sont restées bloquées à certains moments de ma vie, où il y a une certaine empreinte familiale, culturelle, et donc c'est ces parts-là qui pensent que mes enfants doivent être d'une certaine façon. Et donc j'ai à la fois la part en moi qui a envie d'être extrêmement libre et de transmettre ça à mes enfants et une autre part qui est vraiment rigide et qui peut vraiment vouloir que les choses se fassent d'une certaine façon. Et je m'observe dans tout ça. Je m'observe vraiment à travers tout ça. Et dernièrement, je me suis rendu compte que j'avais cette envie que mes enfants rentrent dans un certain cadre, surtout quand je suis... Par exemple, quand je vais passer l'été en Europe, l'éducation est très très différente entre le Canada et l'Europe. C'est pas du tout la même chose. En Europe, il y a un côté un peu plus strict, il faut que tu respectes les bonnes manières. Puis moi, je suis évidemment pour les bonnes manières, mais il y a une façon de le faire, une certaine rigidité. Je me suis observée à vouloir que mes enfants rentrent dans un certain cadre, alors que dans le fond, si j'enlève ces couches qui ne m'appartiennent pas, J'aime le bizarre. j'aime les gens qui sont différents donc pourquoi est-ce que je peux pas accepter complètement que mon fils ait envie de s'habiller comme Eminem et qu'il ait vraiment un look complètement improbable, alors que moi-même aussi, j'ai eu des périodes avec des looks complètement improbables. Et donc, je me suis vraiment rendue compte que c'était une certaine limite que je me mettais dans mon éducation, en fait, l'éducation que je donne à mes enfants. Et au lieu de vouloir imposer les choses de façon inconsciente, comment est-ce que je peux revoir mes propres systèmes, revoir les murs, en fait, qui sont... établies à l'intérieur de moi et qui vont à l'encontre de ce que j'ai réellement envie de transmettre. Donc ça, c'est un exemple, les règles qu'on prend inconsciemment et qu'on transmet. Un autre exemple par rapport à nos propres limites qu'on se pose, je l'ai expérimenté dans des appels de coaching justement dernièrement, donc des personnes que je coach, et parfois on a une vision de comment Bon. on devrait réussir notre business. Donc par exemple, on s'est dit que notre programme devait se faire de cette façon-là, et si jamais ça ne se fait pas de cette façon-là, ce sera un échec. Et on reste figé, et on reste dans une certaine rigidité dans notre corps. Donc là, dans ces appels, généralement j'amène une autre vision, une autre perspective, et parfois c'est vraiment un minuscule shift, mais la personne est tellement focus et à ses propres limites, qu'elle n'y avait même pas pensé. Et donc, à partir du moment où quelqu'un amène ça, une autre vision, c'est vraiment comme des œillères qui tombent et qui sont comme « Oh my God, je n'avais même pas pensé que c'était possible ! » Et généralement, le meilleur indicateur à ce moment-là, c'est de ressentir un soulagement dans le corps. Cette semaine encore, on l'a vécu et la personne s'était dit « Ah non mais il faut que je fasse ça comme ça, puis en fait je suis nulle, puis j'ai... » Elle n'a pas dit « je suis nulle » , mais il y a cette sorte d'obligation, en fait, et remplie de « il faut » . Et pour moi, quand il y a trop de « il faut » que ce soit comme ça, on se déconnaît complètement de notre mission. Il n'y a plus de joie, il n'y a plus de flot, il n'y a plus de créativité, et c'est là où les choses commencent à… C'est comme par exemple si je me concentre sur « il faut que mes enfants soient comme ça, il faut que mes enfants se tiennent bien, il faut que mon fils s'habille comme ça » , Je perds toute la connexion avec mon fils. Et ce que j'ai envie de transmettre, c'est la joie et la liberté. Et là, je fais tout le contraire. Et ça ne veut pas dire qu'il doit être impolite, qu'il peut faire n'importe quoi. Absolument pas. Mais pour ça, mon mari a été mon meilleur enseignant. Il est psychologue et il arrive à aborder les choses d'une façon beaucoup plus indirecte en gardant vraiment une connexion. Et j'apprends énormément. Et donc c'est vraiment important d'avoir des gens qui te reflètent en fait certaines des situations actuelles parce que les plus grands chiffres sont les plus minimes. Et il y a cette citation de Deb Erickson qui mentionne, donc c'est une coach PNL qui dit « Peu importe le talent que tu as, si tu as une histoire que tu te racontes par rapport à toi, des croyances sur tes limites, tu ne pourras pas évoluer. Ton évolution, c'est juste, va être à la hauteur vraiment de ce que tu peux... accueillir au niveau énergétique dans ta vie et à quel point tu vas être capable d'aller enlever les briques les unes après les autres de tes propres limites. Et pour moi, ça s'est vraiment fait en étant entouré de gens qui te reflètent une autre réalité, la réalité de ce que tu as vraiment envie d'incarner. Et donc quand tu sens que tu stagnes, que tu ressasses, que tu es pris dans les il faut, fais une pause, respire ou va dans la nature. et dis-toi juste, qu'est-ce qui me mettrait vraiment en joie maintenant ? Qu'est-ce que l'enfant en moi ferait pour s'amuser ? Pour moi, par exemple, dans l'expérience de mes enfants, c'est vraiment de me poser la question, est-ce que mes enfants sont des bons enfants ? Est-ce que je leur permets d'être qui ils sont ? Et pas d'essayer de les modeler ou les mettre dans un moule de comment moi j'aimerais qu'ils soient. Même s'ils ne répondent pas à tous les standards, je ne réponds pas à tous les standards. Et est-ce que je peux les aimer profondément tels qu'ils sont, encourager ça et les encourager à devenir leur meilleure version ? Et si on se dirige un peu plus vers la discussion de la limite, des limites qu'on pose par rapport aux autres, il faut vraiment prendre conscience que la première chose pour avoir des limites saines, c'est que tu dois être dans ton corps. Tu dois vraiment être dans ton corps pour vraiment... te rendre compte de ce que tu acceptes et ce que tu n'acceptes pas. Comme je disais au début, je n'étais absolument pas dans mon corps quand je n'avais pas de limites. Et donc mon mental, il y avait une partie de moi, et je travaillais beaucoup avec les différentes parts qu'il y a à l'intérieur de nous, il y a cette part qui pensait que si je posais des limites, j'allais manquer de respect. j'allais être une mauvaise personne et ultimement n'allais plus m'aimer. Et donc pose-toi la question aujourd'hui, pourquoi est-ce que tu ne poses pas de limites claires ? Quelle est la part de toi qui a certaines croyances ? Parce qu'à partir du moment où tu commences à observer cette part et discuter avec cette part, tu n'es plus fondu dans cette part. Tu t'identifies plus à cette part, tu prends du recul et c'est comme si tu avais une discussion avec quelqu'un. Et l'éveil, c'était vraiment ça. Comme je disais dans le dernier épisode, c'est de ne plus penser que nous sommes nos parts. Juste savoir que c'est passager, qu'elle est là, je lui donne de l'attention en disant merci. Là je vois que t'as peur de poser des limites parce que t'as peur qu'on t'aime plus éventuellement et tu passes du temps avec cette part-là et tu la reconnais pleinement comme tu reconnaîtrais un enfant qui est en train de t'appeler pour la dixième fois quand t'es en train de cuisiner. C'est la même chose. Tu veux te mettre à son niveau, le regarder dans les yeux, l'écouter. Qu'est-ce que tu as à me dire ? C'est exactement la même chose. C'est ce qu'on appelle le internal family system. Donc le système familial interne. C'est exactement comme une famille. On a plein d'enfants qui sont restés bloqués à certains âges à l'intérieur de nous. Et donc on veut discuter avec ces parents comme si c'était nos propres enfants. Leur donner de l'amour. Et arrêter de dire, il ne faudrait pas que je sente ça. Tu es complètement nulle. Tu es comme toutes ces super gentilles choses. Ça, c'est un autre enfant qui dit ça généralement. et donc de vraiment être dans ton corps et de commencer à observer ce qui se passe et de prévenir les gens autour de nous. Tout simplement, je me rends compte que pendant des années, je ne me suis pas vraiment respectée. Il se peut que ça sorte de la mauvaise façon. Donc, par exemple, en parler à un conjoint, en parler aux enfants, par exemple. Aussi, je vois énormément de mamans qui n'ont aucune limite avec leurs enfants, ce qui, au final, est dommage parce que c'est ce qu'on montre à nos enfants, que ce qu'il faut dans ta vie, c'est que tu n'aies pas de limite. Et pour moi, ça, c'est mon plus grand motivateur à avoir d'excellentes limites avec mes enfants, leur donner tout l'amour du monde et de savoir que là, ça ne fonctionne pas. Et donc, à partir du moment où je préviens les gens et je dis, je vais commencer juste à tester, pour moi, c'est important parce que je veux que toi aussi, tu sois en mesure de poser tes limites quand tu n'es pas d'accord. Et donc, parce que la crainte, en tout cas, moi, une crainte que j'avais, c'est que ça sorte mal au début. quand on accumule depuis tellement de temps c'est comme une... Une casserole à pression, d'un coup ça explose. Ça, c'était ma crainte. Et d'ailleurs, souvent, quand les gens vivent une transformation comme moi j'ai pu vivre il y a dix ans, t'en peux tellement plus de tes propres histoires que t'as cette crainte que si tu changes quelque chose, tu vas tout brûler, comme Kali. La déesse qui brûle, qui transforme, qui détruit. C'était vraiment une crainte que j'avais. Donc observe cette part de toi qui pense qu'elle a besoin de tout donner. C'est quoi la peur qui est derrière ? Et si je reviens encore par rapport aux enfants, désolé pour celles d'entre vous qui n'ont pas d'enfants, mais je pense que ça servira quoi qu'il en soit. Une chose que j'ai vraiment appris ici, au Québec, c'est que si mon enfant n'a pas envie de faire de bisous à, je ne sais pas moi, une amie ou à une tante ou à un grand-parent, il ne fait pas de bisous, c'est tout. On apprend... super tôt à nos enfants à ne pas s'écouter, en disant, mais si, si, si, il faut que tu lui fasses un bisou. Mais c'est horrible ! Tu peux dire bonjour, tu peux être très poli, tu peux être très gentil, et pas pour autant avoir envie de faire un bisou. Et pour moi, c'est juste leur dire, n'écoute pas ton corps, tu fais ce que je te dis. Et je peux vraiment t'assurer que plus tu vas commencer à mettre des limites saines, et des limites, pour moi, je pensais que c'était des coupures aussi, mais en fait, des limites, c'est des relations. C'est un nouveau lien que tu crées avec la personne. Plus tu vas avoir des limites claires, plus tu vas commencer à sentir l'espace à l'intérieur de toi. Plus tu vas te sentir mieux dans ton corps, tu vas sentir que tu te respectes et ça veut dire que tu vas avoir plus d'amour à donner à l'autre aussi. Parce que ça vient du bon endroit. Ça vient de toi qui est rempli au lieu d'être non-stop vidé par l'énergie des autres. Et donc ton corps, ta capacité énergétique, tes limites, tes besoins profonds, tout ça détermine ce que tu peux véritablement recevoir dans ta vie. Et souvent d'ailleurs, je vois des gens qui ont envie de manifester des choses et qui disent « mais là ça ne fonctionne pas » , puis c'est parce que tu n'es pas dans ton corps, puis tu n'as pas de limites claires. Donc la vie, l'univers ne va pas te donner plus, tu as déjà du mal à gérer ce que tu as ici et maintenant. Donc c'est important de vraiment commencer à avoir des limites claires et créer un contenant masculin, d'énergie masculine solide qui fait que tu montres à l'univers, ok, là je suis prête à recevoir plus. Sinon, inconsciemment, tu vas toujours attirer autre chose. Et quand tu travailles vraiment sur ces fondations solides, tu vas voir que les choses commencent à arriver naturellement vers toi. Les bonnes choses, les bonnes relations, et pas juste des gens qui te vident. Et ton changement va automatiquement impacter ta réalité. D'ailleurs, ça fera certainement l'objet d'un autre épisode. Mais par exemple, moi, ma grande crainte au début, c'était que je change trop et que mon conjoint ne suive pas. Sauf qu'en fait, le travail que je fais sur moi automatiquement a un impact. Et donc au lieu de vouloir convaincre les autres, les choses se font naturellement. Et tu dois vraiment avoir cette certitude-là, donc commence par toi, commence à être dans ton corps, à observer quand tu dis oui à quelque chose, quand tu dis non à quelque chose, qu'est-ce qui se passe à l'intérieur de toi. Est-ce que tu donnes parce que t'espères qu'on va te donner ? Ça aussi, ce sera un grand sujet. Ou est-ce que tu donnes vraiment... de bon cœur, parce que tu es vraiment rempli, et que ça te fait plaisir, et que ça n'a aucune importance qu'on te redonne. C'est ça que tu veux vraiment aller chercher, c'est ça que tu veux vraiment atteindre. Donc dis-moi comment ça résonne pour toi, comment tu te sens par rapport aux limites, déjà tes propres limites, tes propres murs internes, les limites avec les autres, et je veux juste partager que tout est en train d'arriver de plus en plus pour l'expérience Satnam, donc il reste 9 places, on a encore... Tout l'été, mais le prix change de 30 juin, on démarre officiellement en septembre. Et les trois mots qui définissent vraiment cette expérience, c'est expansion. Définitivement énorme expansion. C'est paradoxe. Le paradoxe d'être toutes les versions de toi et d'arrêter de croire que tu dois juste être la lumière, juste être dans l'amour, juste être amazing. Et d'accepter qu'on peut être l'ombre et la lumière, le chaos et la clarté. Et donc on va vraiment aller expérimenter ça. Et le troisième mot, c'est l'inattendu. En fait, j'adore l'inattendu. J'adore les surprises, j'adore surprendre, j'adore créer cette excitation et cette joie. Et ça va vraiment être le moteur de l'expérience Satnam, le centre, parce que oui, on va travailler fort. Oui, il va y avoir énormément d'émotions et de libérations. Et en même temps, énormément de joie. Et donc c'est vraiment pour les femmes qui sont dans un... Comme dans un entre-deux, qui sont déjà sur leur chemin spirituel, qui ont déjà fait pas mal de choses, mais qui sentent que, ok, là je sens que je stagne, je sens que j'ai du mal à passer au prochain niveau, je sens que je revis toujours les mêmes choses, on va aller explorer ça ensemble pendant quatre mois. Vive une expérience de transformation avec une retraite qui est inclue. Tous les détails sont dans la légende, et je suis tellement, tellement, tellement heureuse d'ouvrir cet espace en septembre, et d'avoir vraiment tous les temps pour laisser les choses arriver de plus en plus et c'est du pur pur pur bonheur si tu as des questions vient m'écrire et si tu as aimé cet épisode partage le dans ta story ou où tu veux et tag moi et midi kundalini club

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Dans cet épisode du Kundalini Club, on plonge dans un thème essentiel et souvent délicat : les limites.
Émilie te partage avec vulnérabilité son propre chemin — celui d’une femme qui disait toujours oui, même quand son corps criait non. On parle des limites qu’on ne pose pas par peur de déplaire, de celles qu’on s’impose inconsciemment à travers des croyances, des conditionnements familiaux ou culturels.

Et si apprendre à poser ses limites, c'était avant tout se reconnecter à son corps, à ses besoins profonds et à sa vérité intérieure?
À travers des exemples concrets — dans la parentalité, le couple, le coaching ou la spiritualité — on explore comment transformer ces "non-dits" en actes d’amour. Pour soi. Pour les autres.

Tu vas découvrir comment écouter les parts de toi qui ont peur, comment créer un contenant solide pour accueillir plus dans ta vie, et pourquoi l’alignement passe inévitablement par des limites claires, conscientes et aimantes.

💛 Un épisode puissant, doux et transformateur, pour toutes celles qui sentent qu’il est temps de se choisir.


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  • Speaker #0

    Bienvenue dans le Kundalini Club, l'espace où l'énergie rencontre la réalité. Mon nom est Émilie de Decker et ici on parle de Kundalini, bien sûr, mais surtout de comment l'intégrer dans ton quotidien, comment réveiller ta vitalité, élargir ta vision et créer une vie qui dépasse ce que tu croyais possible. À travers des pratiques, des histoires, des interviews, des transmissions, ce podcast est vraiment là pour t'aider à t'expanser sans pour autant fuir la réalité, mais vraiment en l'habitant pleinement. Alors installe-toi confortablement et profite du voyage. Salut à toi et bienvenue dans ce nouvel épisode du Kunalini Club. Aujourd'hui, on va aller parler d'un sujet qu'on m'a déjà demandé plusieurs fois par le passé et qui je... pense est une très grande thématique pour les femmes, je te parle des limites. Donc comment avoir des propres limites par rapport aux autres, mais aussi observer les limites qu'on s'impose en fait. Et donc on va aller explorer ces deux versions d'une même thématique et j'ai juste envie de te dire que j'étais vraiment la fille qui n'avait pas de limites par rapport aux autres. et ce que ça fait, peut-être que tu te reconnaîtras là-dedans, ce que ça fait c'est que je ne disais pas vraiment ce que je pensais, ce que je ressentais, je disais oui alors que j'avais envie de dire non, je sentais, en fait je n'étais vraiment pas connectée du tout du tout à mon corps, donc je ne recevais pas les signaux, je tombais malade, j'étais ultra anxieuse, il y a des moments où je ne dormais plus et ce que ça faisait c'est qu'à un moment donné j'arrivais vraiment au bout de ce que je pouvais faire. Donc, soit j'avais envie de tout brûler, j'avais envie d'arrêter tout. Donc, c'est là où je pouvais sortir brutalement d'une relation, par exemple. Au travail, j'avais aucune limite. J'avais toujours l'impression de devoir à l'autre, ce qui est complètement fou. Aujourd'hui, quand j'y repense, je me dis mais mon Dieu, quel chemin parcouru. Donc, j'ai juste envie d'aller explorer ça avec toi aujourd'hui parce que je travaille beaucoup encore avec des femmes qui ressentent ça et qui arrivent à ce moment. où t'en as vraiment marre, en fait, de tes propres réactions. Parce qu'au final, c'est toi qui autorises ça. Si on décide de prendre la pleine responsabilité de notre vie, c'est la réalité. C'est que tant que nous, on autorise ça, c'est ce qui va se passer, se produire. Et avant d'aller dans les limites des autres, donc par rapport aux autres, on va aller explorer les limites qu'on se met soi-même, qu'on s'impose. Et c'est une thématique qui, pour moi, est revenue régulièrement. Elle est revenue dernièrement dans ma vie. et... Mes meilleurs enseignants dans ma vie actuellement, ce sont mes enfants qui rentrent dans l'adolescence. Et c'est toujours un peu une période de vie que je crains parce que je sais quel genre d'adolescente j'étais. Et parce que je n'osais pas non plus m'exprimer complètement. Donc j'avais à la fois ce diable en moi. Je vais l'appeler diable, mais ce n'était pas non plus un vrai diable. Mais disons que j'avais vraiment envie de faire toutes les bêtises du monde. Et en même temps, j'avais envie d'être la gentille petite fille. Et donc il y avait vraiment un grand écart entre ces deux-là et qui faisait que je me mettais dans des situations pas possibles. Et donc mes limites actuellement, je me rends compte que ce sont certaines parts en moi qui sont restées bloquées à certains moments de ma vie, où il y a une certaine empreinte familiale, culturelle, et donc c'est ces parts-là qui pensent que mes enfants doivent être d'une certaine façon. Et donc j'ai à la fois la part en moi qui a envie d'être extrêmement libre et de transmettre ça à mes enfants et une autre part qui est vraiment rigide et qui peut vraiment vouloir que les choses se fassent d'une certaine façon. Et je m'observe dans tout ça. Je m'observe vraiment à travers tout ça. Et dernièrement, je me suis rendu compte que j'avais cette envie que mes enfants rentrent dans un certain cadre, surtout quand je suis... Par exemple, quand je vais passer l'été en Europe, l'éducation est très très différente entre le Canada et l'Europe. C'est pas du tout la même chose. En Europe, il y a un côté un peu plus strict, il faut que tu respectes les bonnes manières. Puis moi, je suis évidemment pour les bonnes manières, mais il y a une façon de le faire, une certaine rigidité. Je me suis observée à vouloir que mes enfants rentrent dans un certain cadre, alors que dans le fond, si j'enlève ces couches qui ne m'appartiennent pas, J'aime le bizarre. j'aime les gens qui sont différents donc pourquoi est-ce que je peux pas accepter complètement que mon fils ait envie de s'habiller comme Eminem et qu'il ait vraiment un look complètement improbable, alors que moi-même aussi, j'ai eu des périodes avec des looks complètement improbables. Et donc, je me suis vraiment rendue compte que c'était une certaine limite que je me mettais dans mon éducation, en fait, l'éducation que je donne à mes enfants. Et au lieu de vouloir imposer les choses de façon inconsciente, comment est-ce que je peux revoir mes propres systèmes, revoir les murs, en fait, qui sont... établies à l'intérieur de moi et qui vont à l'encontre de ce que j'ai réellement envie de transmettre. Donc ça, c'est un exemple, les règles qu'on prend inconsciemment et qu'on transmet. Un autre exemple par rapport à nos propres limites qu'on se pose, je l'ai expérimenté dans des appels de coaching justement dernièrement, donc des personnes que je coach, et parfois on a une vision de comment Bon. on devrait réussir notre business. Donc par exemple, on s'est dit que notre programme devait se faire de cette façon-là, et si jamais ça ne se fait pas de cette façon-là, ce sera un échec. Et on reste figé, et on reste dans une certaine rigidité dans notre corps. Donc là, dans ces appels, généralement j'amène une autre vision, une autre perspective, et parfois c'est vraiment un minuscule shift, mais la personne est tellement focus et à ses propres limites, qu'elle n'y avait même pas pensé. Et donc, à partir du moment où quelqu'un amène ça, une autre vision, c'est vraiment comme des œillères qui tombent et qui sont comme « Oh my God, je n'avais même pas pensé que c'était possible ! » Et généralement, le meilleur indicateur à ce moment-là, c'est de ressentir un soulagement dans le corps. Cette semaine encore, on l'a vécu et la personne s'était dit « Ah non mais il faut que je fasse ça comme ça, puis en fait je suis nulle, puis j'ai... » Elle n'a pas dit « je suis nulle » , mais il y a cette sorte d'obligation, en fait, et remplie de « il faut » . Et pour moi, quand il y a trop de « il faut » que ce soit comme ça, on se déconnaît complètement de notre mission. Il n'y a plus de joie, il n'y a plus de flot, il n'y a plus de créativité, et c'est là où les choses commencent à… C'est comme par exemple si je me concentre sur « il faut que mes enfants soient comme ça, il faut que mes enfants se tiennent bien, il faut que mon fils s'habille comme ça » , Je perds toute la connexion avec mon fils. Et ce que j'ai envie de transmettre, c'est la joie et la liberté. Et là, je fais tout le contraire. Et ça ne veut pas dire qu'il doit être impolite, qu'il peut faire n'importe quoi. Absolument pas. Mais pour ça, mon mari a été mon meilleur enseignant. Il est psychologue et il arrive à aborder les choses d'une façon beaucoup plus indirecte en gardant vraiment une connexion. Et j'apprends énormément. Et donc c'est vraiment important d'avoir des gens qui te reflètent en fait certaines des situations actuelles parce que les plus grands chiffres sont les plus minimes. Et il y a cette citation de Deb Erickson qui mentionne, donc c'est une coach PNL qui dit « Peu importe le talent que tu as, si tu as une histoire que tu te racontes par rapport à toi, des croyances sur tes limites, tu ne pourras pas évoluer. Ton évolution, c'est juste, va être à la hauteur vraiment de ce que tu peux... accueillir au niveau énergétique dans ta vie et à quel point tu vas être capable d'aller enlever les briques les unes après les autres de tes propres limites. Et pour moi, ça s'est vraiment fait en étant entouré de gens qui te reflètent une autre réalité, la réalité de ce que tu as vraiment envie d'incarner. Et donc quand tu sens que tu stagnes, que tu ressasses, que tu es pris dans les il faut, fais une pause, respire ou va dans la nature. et dis-toi juste, qu'est-ce qui me mettrait vraiment en joie maintenant ? Qu'est-ce que l'enfant en moi ferait pour s'amuser ? Pour moi, par exemple, dans l'expérience de mes enfants, c'est vraiment de me poser la question, est-ce que mes enfants sont des bons enfants ? Est-ce que je leur permets d'être qui ils sont ? Et pas d'essayer de les modeler ou les mettre dans un moule de comment moi j'aimerais qu'ils soient. Même s'ils ne répondent pas à tous les standards, je ne réponds pas à tous les standards. Et est-ce que je peux les aimer profondément tels qu'ils sont, encourager ça et les encourager à devenir leur meilleure version ? Et si on se dirige un peu plus vers la discussion de la limite, des limites qu'on pose par rapport aux autres, il faut vraiment prendre conscience que la première chose pour avoir des limites saines, c'est que tu dois être dans ton corps. Tu dois vraiment être dans ton corps pour vraiment... te rendre compte de ce que tu acceptes et ce que tu n'acceptes pas. Comme je disais au début, je n'étais absolument pas dans mon corps quand je n'avais pas de limites. Et donc mon mental, il y avait une partie de moi, et je travaillais beaucoup avec les différentes parts qu'il y a à l'intérieur de nous, il y a cette part qui pensait que si je posais des limites, j'allais manquer de respect. j'allais être une mauvaise personne et ultimement n'allais plus m'aimer. Et donc pose-toi la question aujourd'hui, pourquoi est-ce que tu ne poses pas de limites claires ? Quelle est la part de toi qui a certaines croyances ? Parce qu'à partir du moment où tu commences à observer cette part et discuter avec cette part, tu n'es plus fondu dans cette part. Tu t'identifies plus à cette part, tu prends du recul et c'est comme si tu avais une discussion avec quelqu'un. Et l'éveil, c'était vraiment ça. Comme je disais dans le dernier épisode, c'est de ne plus penser que nous sommes nos parts. Juste savoir que c'est passager, qu'elle est là, je lui donne de l'attention en disant merci. Là je vois que t'as peur de poser des limites parce que t'as peur qu'on t'aime plus éventuellement et tu passes du temps avec cette part-là et tu la reconnais pleinement comme tu reconnaîtrais un enfant qui est en train de t'appeler pour la dixième fois quand t'es en train de cuisiner. C'est la même chose. Tu veux te mettre à son niveau, le regarder dans les yeux, l'écouter. Qu'est-ce que tu as à me dire ? C'est exactement la même chose. C'est ce qu'on appelle le internal family system. Donc le système familial interne. C'est exactement comme une famille. On a plein d'enfants qui sont restés bloqués à certains âges à l'intérieur de nous. Et donc on veut discuter avec ces parents comme si c'était nos propres enfants. Leur donner de l'amour. Et arrêter de dire, il ne faudrait pas que je sente ça. Tu es complètement nulle. Tu es comme toutes ces super gentilles choses. Ça, c'est un autre enfant qui dit ça généralement. et donc de vraiment être dans ton corps et de commencer à observer ce qui se passe et de prévenir les gens autour de nous. Tout simplement, je me rends compte que pendant des années, je ne me suis pas vraiment respectée. Il se peut que ça sorte de la mauvaise façon. Donc, par exemple, en parler à un conjoint, en parler aux enfants, par exemple. Aussi, je vois énormément de mamans qui n'ont aucune limite avec leurs enfants, ce qui, au final, est dommage parce que c'est ce qu'on montre à nos enfants, que ce qu'il faut dans ta vie, c'est que tu n'aies pas de limite. Et pour moi, ça, c'est mon plus grand motivateur à avoir d'excellentes limites avec mes enfants, leur donner tout l'amour du monde et de savoir que là, ça ne fonctionne pas. Et donc, à partir du moment où je préviens les gens et je dis, je vais commencer juste à tester, pour moi, c'est important parce que je veux que toi aussi, tu sois en mesure de poser tes limites quand tu n'es pas d'accord. Et donc, parce que la crainte, en tout cas, moi, une crainte que j'avais, c'est que ça sorte mal au début. quand on accumule depuis tellement de temps c'est comme une... Une casserole à pression, d'un coup ça explose. Ça, c'était ma crainte. Et d'ailleurs, souvent, quand les gens vivent une transformation comme moi j'ai pu vivre il y a dix ans, t'en peux tellement plus de tes propres histoires que t'as cette crainte que si tu changes quelque chose, tu vas tout brûler, comme Kali. La déesse qui brûle, qui transforme, qui détruit. C'était vraiment une crainte que j'avais. Donc observe cette part de toi qui pense qu'elle a besoin de tout donner. C'est quoi la peur qui est derrière ? Et si je reviens encore par rapport aux enfants, désolé pour celles d'entre vous qui n'ont pas d'enfants, mais je pense que ça servira quoi qu'il en soit. Une chose que j'ai vraiment appris ici, au Québec, c'est que si mon enfant n'a pas envie de faire de bisous à, je ne sais pas moi, une amie ou à une tante ou à un grand-parent, il ne fait pas de bisous, c'est tout. On apprend... super tôt à nos enfants à ne pas s'écouter, en disant, mais si, si, si, il faut que tu lui fasses un bisou. Mais c'est horrible ! Tu peux dire bonjour, tu peux être très poli, tu peux être très gentil, et pas pour autant avoir envie de faire un bisou. Et pour moi, c'est juste leur dire, n'écoute pas ton corps, tu fais ce que je te dis. Et je peux vraiment t'assurer que plus tu vas commencer à mettre des limites saines, et des limites, pour moi, je pensais que c'était des coupures aussi, mais en fait, des limites, c'est des relations. C'est un nouveau lien que tu crées avec la personne. Plus tu vas avoir des limites claires, plus tu vas commencer à sentir l'espace à l'intérieur de toi. Plus tu vas te sentir mieux dans ton corps, tu vas sentir que tu te respectes et ça veut dire que tu vas avoir plus d'amour à donner à l'autre aussi. Parce que ça vient du bon endroit. Ça vient de toi qui est rempli au lieu d'être non-stop vidé par l'énergie des autres. Et donc ton corps, ta capacité énergétique, tes limites, tes besoins profonds, tout ça détermine ce que tu peux véritablement recevoir dans ta vie. Et souvent d'ailleurs, je vois des gens qui ont envie de manifester des choses et qui disent « mais là ça ne fonctionne pas » , puis c'est parce que tu n'es pas dans ton corps, puis tu n'as pas de limites claires. Donc la vie, l'univers ne va pas te donner plus, tu as déjà du mal à gérer ce que tu as ici et maintenant. Donc c'est important de vraiment commencer à avoir des limites claires et créer un contenant masculin, d'énergie masculine solide qui fait que tu montres à l'univers, ok, là je suis prête à recevoir plus. Sinon, inconsciemment, tu vas toujours attirer autre chose. Et quand tu travailles vraiment sur ces fondations solides, tu vas voir que les choses commencent à arriver naturellement vers toi. Les bonnes choses, les bonnes relations, et pas juste des gens qui te vident. Et ton changement va automatiquement impacter ta réalité. D'ailleurs, ça fera certainement l'objet d'un autre épisode. Mais par exemple, moi, ma grande crainte au début, c'était que je change trop et que mon conjoint ne suive pas. Sauf qu'en fait, le travail que je fais sur moi automatiquement a un impact. Et donc au lieu de vouloir convaincre les autres, les choses se font naturellement. Et tu dois vraiment avoir cette certitude-là, donc commence par toi, commence à être dans ton corps, à observer quand tu dis oui à quelque chose, quand tu dis non à quelque chose, qu'est-ce qui se passe à l'intérieur de toi. Est-ce que tu donnes parce que t'espères qu'on va te donner ? Ça aussi, ce sera un grand sujet. Ou est-ce que tu donnes vraiment... de bon cœur, parce que tu es vraiment rempli, et que ça te fait plaisir, et que ça n'a aucune importance qu'on te redonne. C'est ça que tu veux vraiment aller chercher, c'est ça que tu veux vraiment atteindre. Donc dis-moi comment ça résonne pour toi, comment tu te sens par rapport aux limites, déjà tes propres limites, tes propres murs internes, les limites avec les autres, et je veux juste partager que tout est en train d'arriver de plus en plus pour l'expérience Satnam, donc il reste 9 places, on a encore... Tout l'été, mais le prix change de 30 juin, on démarre officiellement en septembre. Et les trois mots qui définissent vraiment cette expérience, c'est expansion. Définitivement énorme expansion. C'est paradoxe. Le paradoxe d'être toutes les versions de toi et d'arrêter de croire que tu dois juste être la lumière, juste être dans l'amour, juste être amazing. Et d'accepter qu'on peut être l'ombre et la lumière, le chaos et la clarté. Et donc on va vraiment aller expérimenter ça. Et le troisième mot, c'est l'inattendu. En fait, j'adore l'inattendu. J'adore les surprises, j'adore surprendre, j'adore créer cette excitation et cette joie. Et ça va vraiment être le moteur de l'expérience Satnam, le centre, parce que oui, on va travailler fort. Oui, il va y avoir énormément d'émotions et de libérations. Et en même temps, énormément de joie. Et donc c'est vraiment pour les femmes qui sont dans un... Comme dans un entre-deux, qui sont déjà sur leur chemin spirituel, qui ont déjà fait pas mal de choses, mais qui sentent que, ok, là je sens que je stagne, je sens que j'ai du mal à passer au prochain niveau, je sens que je revis toujours les mêmes choses, on va aller explorer ça ensemble pendant quatre mois. Vive une expérience de transformation avec une retraite qui est inclue. Tous les détails sont dans la légende, et je suis tellement, tellement, tellement heureuse d'ouvrir cet espace en septembre, et d'avoir vraiment tous les temps pour laisser les choses arriver de plus en plus et c'est du pur pur pur bonheur si tu as des questions vient m'écrire et si tu as aimé cet épisode partage le dans ta story ou où tu veux et tag moi et midi kundalini club

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Description

Dans cet épisode du Kundalini Club, on plonge dans un thème essentiel et souvent délicat : les limites.
Émilie te partage avec vulnérabilité son propre chemin — celui d’une femme qui disait toujours oui, même quand son corps criait non. On parle des limites qu’on ne pose pas par peur de déplaire, de celles qu’on s’impose inconsciemment à travers des croyances, des conditionnements familiaux ou culturels.

Et si apprendre à poser ses limites, c'était avant tout se reconnecter à son corps, à ses besoins profonds et à sa vérité intérieure?
À travers des exemples concrets — dans la parentalité, le couple, le coaching ou la spiritualité — on explore comment transformer ces "non-dits" en actes d’amour. Pour soi. Pour les autres.

Tu vas découvrir comment écouter les parts de toi qui ont peur, comment créer un contenant solide pour accueillir plus dans ta vie, et pourquoi l’alignement passe inévitablement par des limites claires, conscientes et aimantes.

💛 Un épisode puissant, doux et transformateur, pour toutes celles qui sentent qu’il est temps de se choisir.


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Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans le Kundalini Club, l'espace où l'énergie rencontre la réalité. Mon nom est Émilie de Decker et ici on parle de Kundalini, bien sûr, mais surtout de comment l'intégrer dans ton quotidien, comment réveiller ta vitalité, élargir ta vision et créer une vie qui dépasse ce que tu croyais possible. À travers des pratiques, des histoires, des interviews, des transmissions, ce podcast est vraiment là pour t'aider à t'expanser sans pour autant fuir la réalité, mais vraiment en l'habitant pleinement. Alors installe-toi confortablement et profite du voyage. Salut à toi et bienvenue dans ce nouvel épisode du Kunalini Club. Aujourd'hui, on va aller parler d'un sujet qu'on m'a déjà demandé plusieurs fois par le passé et qui je... pense est une très grande thématique pour les femmes, je te parle des limites. Donc comment avoir des propres limites par rapport aux autres, mais aussi observer les limites qu'on s'impose en fait. Et donc on va aller explorer ces deux versions d'une même thématique et j'ai juste envie de te dire que j'étais vraiment la fille qui n'avait pas de limites par rapport aux autres. et ce que ça fait, peut-être que tu te reconnaîtras là-dedans, ce que ça fait c'est que je ne disais pas vraiment ce que je pensais, ce que je ressentais, je disais oui alors que j'avais envie de dire non, je sentais, en fait je n'étais vraiment pas connectée du tout du tout à mon corps, donc je ne recevais pas les signaux, je tombais malade, j'étais ultra anxieuse, il y a des moments où je ne dormais plus et ce que ça faisait c'est qu'à un moment donné j'arrivais vraiment au bout de ce que je pouvais faire. Donc, soit j'avais envie de tout brûler, j'avais envie d'arrêter tout. Donc, c'est là où je pouvais sortir brutalement d'une relation, par exemple. Au travail, j'avais aucune limite. J'avais toujours l'impression de devoir à l'autre, ce qui est complètement fou. Aujourd'hui, quand j'y repense, je me dis mais mon Dieu, quel chemin parcouru. Donc, j'ai juste envie d'aller explorer ça avec toi aujourd'hui parce que je travaille beaucoup encore avec des femmes qui ressentent ça et qui arrivent à ce moment. où t'en as vraiment marre, en fait, de tes propres réactions. Parce qu'au final, c'est toi qui autorises ça. Si on décide de prendre la pleine responsabilité de notre vie, c'est la réalité. C'est que tant que nous, on autorise ça, c'est ce qui va se passer, se produire. Et avant d'aller dans les limites des autres, donc par rapport aux autres, on va aller explorer les limites qu'on se met soi-même, qu'on s'impose. Et c'est une thématique qui, pour moi, est revenue régulièrement. Elle est revenue dernièrement dans ma vie. et... Mes meilleurs enseignants dans ma vie actuellement, ce sont mes enfants qui rentrent dans l'adolescence. Et c'est toujours un peu une période de vie que je crains parce que je sais quel genre d'adolescente j'étais. Et parce que je n'osais pas non plus m'exprimer complètement. Donc j'avais à la fois ce diable en moi. Je vais l'appeler diable, mais ce n'était pas non plus un vrai diable. Mais disons que j'avais vraiment envie de faire toutes les bêtises du monde. Et en même temps, j'avais envie d'être la gentille petite fille. Et donc il y avait vraiment un grand écart entre ces deux-là et qui faisait que je me mettais dans des situations pas possibles. Et donc mes limites actuellement, je me rends compte que ce sont certaines parts en moi qui sont restées bloquées à certains moments de ma vie, où il y a une certaine empreinte familiale, culturelle, et donc c'est ces parts-là qui pensent que mes enfants doivent être d'une certaine façon. Et donc j'ai à la fois la part en moi qui a envie d'être extrêmement libre et de transmettre ça à mes enfants et une autre part qui est vraiment rigide et qui peut vraiment vouloir que les choses se fassent d'une certaine façon. Et je m'observe dans tout ça. Je m'observe vraiment à travers tout ça. Et dernièrement, je me suis rendu compte que j'avais cette envie que mes enfants rentrent dans un certain cadre, surtout quand je suis... Par exemple, quand je vais passer l'été en Europe, l'éducation est très très différente entre le Canada et l'Europe. C'est pas du tout la même chose. En Europe, il y a un côté un peu plus strict, il faut que tu respectes les bonnes manières. Puis moi, je suis évidemment pour les bonnes manières, mais il y a une façon de le faire, une certaine rigidité. Je me suis observée à vouloir que mes enfants rentrent dans un certain cadre, alors que dans le fond, si j'enlève ces couches qui ne m'appartiennent pas, J'aime le bizarre. j'aime les gens qui sont différents donc pourquoi est-ce que je peux pas accepter complètement que mon fils ait envie de s'habiller comme Eminem et qu'il ait vraiment un look complètement improbable, alors que moi-même aussi, j'ai eu des périodes avec des looks complètement improbables. Et donc, je me suis vraiment rendue compte que c'était une certaine limite que je me mettais dans mon éducation, en fait, l'éducation que je donne à mes enfants. Et au lieu de vouloir imposer les choses de façon inconsciente, comment est-ce que je peux revoir mes propres systèmes, revoir les murs, en fait, qui sont... établies à l'intérieur de moi et qui vont à l'encontre de ce que j'ai réellement envie de transmettre. Donc ça, c'est un exemple, les règles qu'on prend inconsciemment et qu'on transmet. Un autre exemple par rapport à nos propres limites qu'on se pose, je l'ai expérimenté dans des appels de coaching justement dernièrement, donc des personnes que je coach, et parfois on a une vision de comment Bon. on devrait réussir notre business. Donc par exemple, on s'est dit que notre programme devait se faire de cette façon-là, et si jamais ça ne se fait pas de cette façon-là, ce sera un échec. Et on reste figé, et on reste dans une certaine rigidité dans notre corps. Donc là, dans ces appels, généralement j'amène une autre vision, une autre perspective, et parfois c'est vraiment un minuscule shift, mais la personne est tellement focus et à ses propres limites, qu'elle n'y avait même pas pensé. Et donc, à partir du moment où quelqu'un amène ça, une autre vision, c'est vraiment comme des œillères qui tombent et qui sont comme « Oh my God, je n'avais même pas pensé que c'était possible ! » Et généralement, le meilleur indicateur à ce moment-là, c'est de ressentir un soulagement dans le corps. Cette semaine encore, on l'a vécu et la personne s'était dit « Ah non mais il faut que je fasse ça comme ça, puis en fait je suis nulle, puis j'ai... » Elle n'a pas dit « je suis nulle » , mais il y a cette sorte d'obligation, en fait, et remplie de « il faut » . Et pour moi, quand il y a trop de « il faut » que ce soit comme ça, on se déconnaît complètement de notre mission. Il n'y a plus de joie, il n'y a plus de flot, il n'y a plus de créativité, et c'est là où les choses commencent à… C'est comme par exemple si je me concentre sur « il faut que mes enfants soient comme ça, il faut que mes enfants se tiennent bien, il faut que mon fils s'habille comme ça » , Je perds toute la connexion avec mon fils. Et ce que j'ai envie de transmettre, c'est la joie et la liberté. Et là, je fais tout le contraire. Et ça ne veut pas dire qu'il doit être impolite, qu'il peut faire n'importe quoi. Absolument pas. Mais pour ça, mon mari a été mon meilleur enseignant. Il est psychologue et il arrive à aborder les choses d'une façon beaucoup plus indirecte en gardant vraiment une connexion. Et j'apprends énormément. Et donc c'est vraiment important d'avoir des gens qui te reflètent en fait certaines des situations actuelles parce que les plus grands chiffres sont les plus minimes. Et il y a cette citation de Deb Erickson qui mentionne, donc c'est une coach PNL qui dit « Peu importe le talent que tu as, si tu as une histoire que tu te racontes par rapport à toi, des croyances sur tes limites, tu ne pourras pas évoluer. Ton évolution, c'est juste, va être à la hauteur vraiment de ce que tu peux... accueillir au niveau énergétique dans ta vie et à quel point tu vas être capable d'aller enlever les briques les unes après les autres de tes propres limites. Et pour moi, ça s'est vraiment fait en étant entouré de gens qui te reflètent une autre réalité, la réalité de ce que tu as vraiment envie d'incarner. Et donc quand tu sens que tu stagnes, que tu ressasses, que tu es pris dans les il faut, fais une pause, respire ou va dans la nature. et dis-toi juste, qu'est-ce qui me mettrait vraiment en joie maintenant ? Qu'est-ce que l'enfant en moi ferait pour s'amuser ? Pour moi, par exemple, dans l'expérience de mes enfants, c'est vraiment de me poser la question, est-ce que mes enfants sont des bons enfants ? Est-ce que je leur permets d'être qui ils sont ? Et pas d'essayer de les modeler ou les mettre dans un moule de comment moi j'aimerais qu'ils soient. Même s'ils ne répondent pas à tous les standards, je ne réponds pas à tous les standards. Et est-ce que je peux les aimer profondément tels qu'ils sont, encourager ça et les encourager à devenir leur meilleure version ? Et si on se dirige un peu plus vers la discussion de la limite, des limites qu'on pose par rapport aux autres, il faut vraiment prendre conscience que la première chose pour avoir des limites saines, c'est que tu dois être dans ton corps. Tu dois vraiment être dans ton corps pour vraiment... te rendre compte de ce que tu acceptes et ce que tu n'acceptes pas. Comme je disais au début, je n'étais absolument pas dans mon corps quand je n'avais pas de limites. Et donc mon mental, il y avait une partie de moi, et je travaillais beaucoup avec les différentes parts qu'il y a à l'intérieur de nous, il y a cette part qui pensait que si je posais des limites, j'allais manquer de respect. j'allais être une mauvaise personne et ultimement n'allais plus m'aimer. Et donc pose-toi la question aujourd'hui, pourquoi est-ce que tu ne poses pas de limites claires ? Quelle est la part de toi qui a certaines croyances ? Parce qu'à partir du moment où tu commences à observer cette part et discuter avec cette part, tu n'es plus fondu dans cette part. Tu t'identifies plus à cette part, tu prends du recul et c'est comme si tu avais une discussion avec quelqu'un. Et l'éveil, c'était vraiment ça. Comme je disais dans le dernier épisode, c'est de ne plus penser que nous sommes nos parts. Juste savoir que c'est passager, qu'elle est là, je lui donne de l'attention en disant merci. Là je vois que t'as peur de poser des limites parce que t'as peur qu'on t'aime plus éventuellement et tu passes du temps avec cette part-là et tu la reconnais pleinement comme tu reconnaîtrais un enfant qui est en train de t'appeler pour la dixième fois quand t'es en train de cuisiner. C'est la même chose. Tu veux te mettre à son niveau, le regarder dans les yeux, l'écouter. Qu'est-ce que tu as à me dire ? C'est exactement la même chose. C'est ce qu'on appelle le internal family system. Donc le système familial interne. C'est exactement comme une famille. On a plein d'enfants qui sont restés bloqués à certains âges à l'intérieur de nous. Et donc on veut discuter avec ces parents comme si c'était nos propres enfants. Leur donner de l'amour. Et arrêter de dire, il ne faudrait pas que je sente ça. Tu es complètement nulle. Tu es comme toutes ces super gentilles choses. Ça, c'est un autre enfant qui dit ça généralement. et donc de vraiment être dans ton corps et de commencer à observer ce qui se passe et de prévenir les gens autour de nous. Tout simplement, je me rends compte que pendant des années, je ne me suis pas vraiment respectée. Il se peut que ça sorte de la mauvaise façon. Donc, par exemple, en parler à un conjoint, en parler aux enfants, par exemple. Aussi, je vois énormément de mamans qui n'ont aucune limite avec leurs enfants, ce qui, au final, est dommage parce que c'est ce qu'on montre à nos enfants, que ce qu'il faut dans ta vie, c'est que tu n'aies pas de limite. Et pour moi, ça, c'est mon plus grand motivateur à avoir d'excellentes limites avec mes enfants, leur donner tout l'amour du monde et de savoir que là, ça ne fonctionne pas. Et donc, à partir du moment où je préviens les gens et je dis, je vais commencer juste à tester, pour moi, c'est important parce que je veux que toi aussi, tu sois en mesure de poser tes limites quand tu n'es pas d'accord. Et donc, parce que la crainte, en tout cas, moi, une crainte que j'avais, c'est que ça sorte mal au début. quand on accumule depuis tellement de temps c'est comme une... Une casserole à pression, d'un coup ça explose. Ça, c'était ma crainte. Et d'ailleurs, souvent, quand les gens vivent une transformation comme moi j'ai pu vivre il y a dix ans, t'en peux tellement plus de tes propres histoires que t'as cette crainte que si tu changes quelque chose, tu vas tout brûler, comme Kali. La déesse qui brûle, qui transforme, qui détruit. C'était vraiment une crainte que j'avais. Donc observe cette part de toi qui pense qu'elle a besoin de tout donner. C'est quoi la peur qui est derrière ? Et si je reviens encore par rapport aux enfants, désolé pour celles d'entre vous qui n'ont pas d'enfants, mais je pense que ça servira quoi qu'il en soit. Une chose que j'ai vraiment appris ici, au Québec, c'est que si mon enfant n'a pas envie de faire de bisous à, je ne sais pas moi, une amie ou à une tante ou à un grand-parent, il ne fait pas de bisous, c'est tout. On apprend... super tôt à nos enfants à ne pas s'écouter, en disant, mais si, si, si, il faut que tu lui fasses un bisou. Mais c'est horrible ! Tu peux dire bonjour, tu peux être très poli, tu peux être très gentil, et pas pour autant avoir envie de faire un bisou. Et pour moi, c'est juste leur dire, n'écoute pas ton corps, tu fais ce que je te dis. Et je peux vraiment t'assurer que plus tu vas commencer à mettre des limites saines, et des limites, pour moi, je pensais que c'était des coupures aussi, mais en fait, des limites, c'est des relations. C'est un nouveau lien que tu crées avec la personne. Plus tu vas avoir des limites claires, plus tu vas commencer à sentir l'espace à l'intérieur de toi. Plus tu vas te sentir mieux dans ton corps, tu vas sentir que tu te respectes et ça veut dire que tu vas avoir plus d'amour à donner à l'autre aussi. Parce que ça vient du bon endroit. Ça vient de toi qui est rempli au lieu d'être non-stop vidé par l'énergie des autres. Et donc ton corps, ta capacité énergétique, tes limites, tes besoins profonds, tout ça détermine ce que tu peux véritablement recevoir dans ta vie. Et souvent d'ailleurs, je vois des gens qui ont envie de manifester des choses et qui disent « mais là ça ne fonctionne pas » , puis c'est parce que tu n'es pas dans ton corps, puis tu n'as pas de limites claires. Donc la vie, l'univers ne va pas te donner plus, tu as déjà du mal à gérer ce que tu as ici et maintenant. Donc c'est important de vraiment commencer à avoir des limites claires et créer un contenant masculin, d'énergie masculine solide qui fait que tu montres à l'univers, ok, là je suis prête à recevoir plus. Sinon, inconsciemment, tu vas toujours attirer autre chose. Et quand tu travailles vraiment sur ces fondations solides, tu vas voir que les choses commencent à arriver naturellement vers toi. Les bonnes choses, les bonnes relations, et pas juste des gens qui te vident. Et ton changement va automatiquement impacter ta réalité. D'ailleurs, ça fera certainement l'objet d'un autre épisode. Mais par exemple, moi, ma grande crainte au début, c'était que je change trop et que mon conjoint ne suive pas. Sauf qu'en fait, le travail que je fais sur moi automatiquement a un impact. Et donc au lieu de vouloir convaincre les autres, les choses se font naturellement. Et tu dois vraiment avoir cette certitude-là, donc commence par toi, commence à être dans ton corps, à observer quand tu dis oui à quelque chose, quand tu dis non à quelque chose, qu'est-ce qui se passe à l'intérieur de toi. Est-ce que tu donnes parce que t'espères qu'on va te donner ? Ça aussi, ce sera un grand sujet. Ou est-ce que tu donnes vraiment... de bon cœur, parce que tu es vraiment rempli, et que ça te fait plaisir, et que ça n'a aucune importance qu'on te redonne. C'est ça que tu veux vraiment aller chercher, c'est ça que tu veux vraiment atteindre. Donc dis-moi comment ça résonne pour toi, comment tu te sens par rapport aux limites, déjà tes propres limites, tes propres murs internes, les limites avec les autres, et je veux juste partager que tout est en train d'arriver de plus en plus pour l'expérience Satnam, donc il reste 9 places, on a encore... Tout l'été, mais le prix change de 30 juin, on démarre officiellement en septembre. Et les trois mots qui définissent vraiment cette expérience, c'est expansion. Définitivement énorme expansion. C'est paradoxe. Le paradoxe d'être toutes les versions de toi et d'arrêter de croire que tu dois juste être la lumière, juste être dans l'amour, juste être amazing. Et d'accepter qu'on peut être l'ombre et la lumière, le chaos et la clarté. Et donc on va vraiment aller expérimenter ça. Et le troisième mot, c'est l'inattendu. En fait, j'adore l'inattendu. J'adore les surprises, j'adore surprendre, j'adore créer cette excitation et cette joie. Et ça va vraiment être le moteur de l'expérience Satnam, le centre, parce que oui, on va travailler fort. Oui, il va y avoir énormément d'émotions et de libérations. Et en même temps, énormément de joie. Et donc c'est vraiment pour les femmes qui sont dans un... Comme dans un entre-deux, qui sont déjà sur leur chemin spirituel, qui ont déjà fait pas mal de choses, mais qui sentent que, ok, là je sens que je stagne, je sens que j'ai du mal à passer au prochain niveau, je sens que je revis toujours les mêmes choses, on va aller explorer ça ensemble pendant quatre mois. Vive une expérience de transformation avec une retraite qui est inclue. Tous les détails sont dans la légende, et je suis tellement, tellement, tellement heureuse d'ouvrir cet espace en septembre, et d'avoir vraiment tous les temps pour laisser les choses arriver de plus en plus et c'est du pur pur pur bonheur si tu as des questions vient m'écrire et si tu as aimé cet épisode partage le dans ta story ou où tu veux et tag moi et midi kundalini club

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Émilie te partage avec vulnérabilité son propre chemin — celui d’une femme qui disait toujours oui, même quand son corps criait non. On parle des limites qu’on ne pose pas par peur de déplaire, de celles qu’on s’impose inconsciemment à travers des croyances, des conditionnements familiaux ou culturels.

Et si apprendre à poser ses limites, c'était avant tout se reconnecter à son corps, à ses besoins profonds et à sa vérité intérieure?
À travers des exemples concrets — dans la parentalité, le couple, le coaching ou la spiritualité — on explore comment transformer ces "non-dits" en actes d’amour. Pour soi. Pour les autres.

Tu vas découvrir comment écouter les parts de toi qui ont peur, comment créer un contenant solide pour accueillir plus dans ta vie, et pourquoi l’alignement passe inévitablement par des limites claires, conscientes et aimantes.

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    Bienvenue dans le Kundalini Club, l'espace où l'énergie rencontre la réalité. Mon nom est Émilie de Decker et ici on parle de Kundalini, bien sûr, mais surtout de comment l'intégrer dans ton quotidien, comment réveiller ta vitalité, élargir ta vision et créer une vie qui dépasse ce que tu croyais possible. À travers des pratiques, des histoires, des interviews, des transmissions, ce podcast est vraiment là pour t'aider à t'expanser sans pour autant fuir la réalité, mais vraiment en l'habitant pleinement. Alors installe-toi confortablement et profite du voyage. Salut à toi et bienvenue dans ce nouvel épisode du Kunalini Club. Aujourd'hui, on va aller parler d'un sujet qu'on m'a déjà demandé plusieurs fois par le passé et qui je... pense est une très grande thématique pour les femmes, je te parle des limites. Donc comment avoir des propres limites par rapport aux autres, mais aussi observer les limites qu'on s'impose en fait. Et donc on va aller explorer ces deux versions d'une même thématique et j'ai juste envie de te dire que j'étais vraiment la fille qui n'avait pas de limites par rapport aux autres. et ce que ça fait, peut-être que tu te reconnaîtras là-dedans, ce que ça fait c'est que je ne disais pas vraiment ce que je pensais, ce que je ressentais, je disais oui alors que j'avais envie de dire non, je sentais, en fait je n'étais vraiment pas connectée du tout du tout à mon corps, donc je ne recevais pas les signaux, je tombais malade, j'étais ultra anxieuse, il y a des moments où je ne dormais plus et ce que ça faisait c'est qu'à un moment donné j'arrivais vraiment au bout de ce que je pouvais faire. Donc, soit j'avais envie de tout brûler, j'avais envie d'arrêter tout. Donc, c'est là où je pouvais sortir brutalement d'une relation, par exemple. Au travail, j'avais aucune limite. J'avais toujours l'impression de devoir à l'autre, ce qui est complètement fou. Aujourd'hui, quand j'y repense, je me dis mais mon Dieu, quel chemin parcouru. Donc, j'ai juste envie d'aller explorer ça avec toi aujourd'hui parce que je travaille beaucoup encore avec des femmes qui ressentent ça et qui arrivent à ce moment. où t'en as vraiment marre, en fait, de tes propres réactions. Parce qu'au final, c'est toi qui autorises ça. Si on décide de prendre la pleine responsabilité de notre vie, c'est la réalité. C'est que tant que nous, on autorise ça, c'est ce qui va se passer, se produire. Et avant d'aller dans les limites des autres, donc par rapport aux autres, on va aller explorer les limites qu'on se met soi-même, qu'on s'impose. Et c'est une thématique qui, pour moi, est revenue régulièrement. Elle est revenue dernièrement dans ma vie. et... Mes meilleurs enseignants dans ma vie actuellement, ce sont mes enfants qui rentrent dans l'adolescence. Et c'est toujours un peu une période de vie que je crains parce que je sais quel genre d'adolescente j'étais. Et parce que je n'osais pas non plus m'exprimer complètement. Donc j'avais à la fois ce diable en moi. Je vais l'appeler diable, mais ce n'était pas non plus un vrai diable. Mais disons que j'avais vraiment envie de faire toutes les bêtises du monde. Et en même temps, j'avais envie d'être la gentille petite fille. Et donc il y avait vraiment un grand écart entre ces deux-là et qui faisait que je me mettais dans des situations pas possibles. Et donc mes limites actuellement, je me rends compte que ce sont certaines parts en moi qui sont restées bloquées à certains moments de ma vie, où il y a une certaine empreinte familiale, culturelle, et donc c'est ces parts-là qui pensent que mes enfants doivent être d'une certaine façon. Et donc j'ai à la fois la part en moi qui a envie d'être extrêmement libre et de transmettre ça à mes enfants et une autre part qui est vraiment rigide et qui peut vraiment vouloir que les choses se fassent d'une certaine façon. Et je m'observe dans tout ça. Je m'observe vraiment à travers tout ça. Et dernièrement, je me suis rendu compte que j'avais cette envie que mes enfants rentrent dans un certain cadre, surtout quand je suis... Par exemple, quand je vais passer l'été en Europe, l'éducation est très très différente entre le Canada et l'Europe. C'est pas du tout la même chose. En Europe, il y a un côté un peu plus strict, il faut que tu respectes les bonnes manières. Puis moi, je suis évidemment pour les bonnes manières, mais il y a une façon de le faire, une certaine rigidité. Je me suis observée à vouloir que mes enfants rentrent dans un certain cadre, alors que dans le fond, si j'enlève ces couches qui ne m'appartiennent pas, J'aime le bizarre. j'aime les gens qui sont différents donc pourquoi est-ce que je peux pas accepter complètement que mon fils ait envie de s'habiller comme Eminem et qu'il ait vraiment un look complètement improbable, alors que moi-même aussi, j'ai eu des périodes avec des looks complètement improbables. Et donc, je me suis vraiment rendue compte que c'était une certaine limite que je me mettais dans mon éducation, en fait, l'éducation que je donne à mes enfants. Et au lieu de vouloir imposer les choses de façon inconsciente, comment est-ce que je peux revoir mes propres systèmes, revoir les murs, en fait, qui sont... établies à l'intérieur de moi et qui vont à l'encontre de ce que j'ai réellement envie de transmettre. Donc ça, c'est un exemple, les règles qu'on prend inconsciemment et qu'on transmet. Un autre exemple par rapport à nos propres limites qu'on se pose, je l'ai expérimenté dans des appels de coaching justement dernièrement, donc des personnes que je coach, et parfois on a une vision de comment Bon. on devrait réussir notre business. Donc par exemple, on s'est dit que notre programme devait se faire de cette façon-là, et si jamais ça ne se fait pas de cette façon-là, ce sera un échec. Et on reste figé, et on reste dans une certaine rigidité dans notre corps. Donc là, dans ces appels, généralement j'amène une autre vision, une autre perspective, et parfois c'est vraiment un minuscule shift, mais la personne est tellement focus et à ses propres limites, qu'elle n'y avait même pas pensé. Et donc, à partir du moment où quelqu'un amène ça, une autre vision, c'est vraiment comme des œillères qui tombent et qui sont comme « Oh my God, je n'avais même pas pensé que c'était possible ! » Et généralement, le meilleur indicateur à ce moment-là, c'est de ressentir un soulagement dans le corps. Cette semaine encore, on l'a vécu et la personne s'était dit « Ah non mais il faut que je fasse ça comme ça, puis en fait je suis nulle, puis j'ai... » Elle n'a pas dit « je suis nulle » , mais il y a cette sorte d'obligation, en fait, et remplie de « il faut » . Et pour moi, quand il y a trop de « il faut » que ce soit comme ça, on se déconnaît complètement de notre mission. Il n'y a plus de joie, il n'y a plus de flot, il n'y a plus de créativité, et c'est là où les choses commencent à… C'est comme par exemple si je me concentre sur « il faut que mes enfants soient comme ça, il faut que mes enfants se tiennent bien, il faut que mon fils s'habille comme ça » , Je perds toute la connexion avec mon fils. Et ce que j'ai envie de transmettre, c'est la joie et la liberté. Et là, je fais tout le contraire. Et ça ne veut pas dire qu'il doit être impolite, qu'il peut faire n'importe quoi. Absolument pas. Mais pour ça, mon mari a été mon meilleur enseignant. Il est psychologue et il arrive à aborder les choses d'une façon beaucoup plus indirecte en gardant vraiment une connexion. Et j'apprends énormément. Et donc c'est vraiment important d'avoir des gens qui te reflètent en fait certaines des situations actuelles parce que les plus grands chiffres sont les plus minimes. Et il y a cette citation de Deb Erickson qui mentionne, donc c'est une coach PNL qui dit « Peu importe le talent que tu as, si tu as une histoire que tu te racontes par rapport à toi, des croyances sur tes limites, tu ne pourras pas évoluer. Ton évolution, c'est juste, va être à la hauteur vraiment de ce que tu peux... accueillir au niveau énergétique dans ta vie et à quel point tu vas être capable d'aller enlever les briques les unes après les autres de tes propres limites. Et pour moi, ça s'est vraiment fait en étant entouré de gens qui te reflètent une autre réalité, la réalité de ce que tu as vraiment envie d'incarner. Et donc quand tu sens que tu stagnes, que tu ressasses, que tu es pris dans les il faut, fais une pause, respire ou va dans la nature. et dis-toi juste, qu'est-ce qui me mettrait vraiment en joie maintenant ? Qu'est-ce que l'enfant en moi ferait pour s'amuser ? Pour moi, par exemple, dans l'expérience de mes enfants, c'est vraiment de me poser la question, est-ce que mes enfants sont des bons enfants ? Est-ce que je leur permets d'être qui ils sont ? Et pas d'essayer de les modeler ou les mettre dans un moule de comment moi j'aimerais qu'ils soient. Même s'ils ne répondent pas à tous les standards, je ne réponds pas à tous les standards. Et est-ce que je peux les aimer profondément tels qu'ils sont, encourager ça et les encourager à devenir leur meilleure version ? Et si on se dirige un peu plus vers la discussion de la limite, des limites qu'on pose par rapport aux autres, il faut vraiment prendre conscience que la première chose pour avoir des limites saines, c'est que tu dois être dans ton corps. Tu dois vraiment être dans ton corps pour vraiment... te rendre compte de ce que tu acceptes et ce que tu n'acceptes pas. Comme je disais au début, je n'étais absolument pas dans mon corps quand je n'avais pas de limites. Et donc mon mental, il y avait une partie de moi, et je travaillais beaucoup avec les différentes parts qu'il y a à l'intérieur de nous, il y a cette part qui pensait que si je posais des limites, j'allais manquer de respect. j'allais être une mauvaise personne et ultimement n'allais plus m'aimer. Et donc pose-toi la question aujourd'hui, pourquoi est-ce que tu ne poses pas de limites claires ? Quelle est la part de toi qui a certaines croyances ? Parce qu'à partir du moment où tu commences à observer cette part et discuter avec cette part, tu n'es plus fondu dans cette part. Tu t'identifies plus à cette part, tu prends du recul et c'est comme si tu avais une discussion avec quelqu'un. Et l'éveil, c'était vraiment ça. Comme je disais dans le dernier épisode, c'est de ne plus penser que nous sommes nos parts. Juste savoir que c'est passager, qu'elle est là, je lui donne de l'attention en disant merci. Là je vois que t'as peur de poser des limites parce que t'as peur qu'on t'aime plus éventuellement et tu passes du temps avec cette part-là et tu la reconnais pleinement comme tu reconnaîtrais un enfant qui est en train de t'appeler pour la dixième fois quand t'es en train de cuisiner. C'est la même chose. Tu veux te mettre à son niveau, le regarder dans les yeux, l'écouter. Qu'est-ce que tu as à me dire ? C'est exactement la même chose. C'est ce qu'on appelle le internal family system. Donc le système familial interne. C'est exactement comme une famille. On a plein d'enfants qui sont restés bloqués à certains âges à l'intérieur de nous. Et donc on veut discuter avec ces parents comme si c'était nos propres enfants. Leur donner de l'amour. Et arrêter de dire, il ne faudrait pas que je sente ça. Tu es complètement nulle. Tu es comme toutes ces super gentilles choses. Ça, c'est un autre enfant qui dit ça généralement. et donc de vraiment être dans ton corps et de commencer à observer ce qui se passe et de prévenir les gens autour de nous. Tout simplement, je me rends compte que pendant des années, je ne me suis pas vraiment respectée. Il se peut que ça sorte de la mauvaise façon. Donc, par exemple, en parler à un conjoint, en parler aux enfants, par exemple. Aussi, je vois énormément de mamans qui n'ont aucune limite avec leurs enfants, ce qui, au final, est dommage parce que c'est ce qu'on montre à nos enfants, que ce qu'il faut dans ta vie, c'est que tu n'aies pas de limite. Et pour moi, ça, c'est mon plus grand motivateur à avoir d'excellentes limites avec mes enfants, leur donner tout l'amour du monde et de savoir que là, ça ne fonctionne pas. Et donc, à partir du moment où je préviens les gens et je dis, je vais commencer juste à tester, pour moi, c'est important parce que je veux que toi aussi, tu sois en mesure de poser tes limites quand tu n'es pas d'accord. Et donc, parce que la crainte, en tout cas, moi, une crainte que j'avais, c'est que ça sorte mal au début. quand on accumule depuis tellement de temps c'est comme une... Une casserole à pression, d'un coup ça explose. Ça, c'était ma crainte. Et d'ailleurs, souvent, quand les gens vivent une transformation comme moi j'ai pu vivre il y a dix ans, t'en peux tellement plus de tes propres histoires que t'as cette crainte que si tu changes quelque chose, tu vas tout brûler, comme Kali. La déesse qui brûle, qui transforme, qui détruit. C'était vraiment une crainte que j'avais. Donc observe cette part de toi qui pense qu'elle a besoin de tout donner. C'est quoi la peur qui est derrière ? Et si je reviens encore par rapport aux enfants, désolé pour celles d'entre vous qui n'ont pas d'enfants, mais je pense que ça servira quoi qu'il en soit. Une chose que j'ai vraiment appris ici, au Québec, c'est que si mon enfant n'a pas envie de faire de bisous à, je ne sais pas moi, une amie ou à une tante ou à un grand-parent, il ne fait pas de bisous, c'est tout. On apprend... super tôt à nos enfants à ne pas s'écouter, en disant, mais si, si, si, il faut que tu lui fasses un bisou. Mais c'est horrible ! Tu peux dire bonjour, tu peux être très poli, tu peux être très gentil, et pas pour autant avoir envie de faire un bisou. Et pour moi, c'est juste leur dire, n'écoute pas ton corps, tu fais ce que je te dis. Et je peux vraiment t'assurer que plus tu vas commencer à mettre des limites saines, et des limites, pour moi, je pensais que c'était des coupures aussi, mais en fait, des limites, c'est des relations. C'est un nouveau lien que tu crées avec la personne. Plus tu vas avoir des limites claires, plus tu vas commencer à sentir l'espace à l'intérieur de toi. Plus tu vas te sentir mieux dans ton corps, tu vas sentir que tu te respectes et ça veut dire que tu vas avoir plus d'amour à donner à l'autre aussi. Parce que ça vient du bon endroit. Ça vient de toi qui est rempli au lieu d'être non-stop vidé par l'énergie des autres. Et donc ton corps, ta capacité énergétique, tes limites, tes besoins profonds, tout ça détermine ce que tu peux véritablement recevoir dans ta vie. Et souvent d'ailleurs, je vois des gens qui ont envie de manifester des choses et qui disent « mais là ça ne fonctionne pas » , puis c'est parce que tu n'es pas dans ton corps, puis tu n'as pas de limites claires. Donc la vie, l'univers ne va pas te donner plus, tu as déjà du mal à gérer ce que tu as ici et maintenant. Donc c'est important de vraiment commencer à avoir des limites claires et créer un contenant masculin, d'énergie masculine solide qui fait que tu montres à l'univers, ok, là je suis prête à recevoir plus. Sinon, inconsciemment, tu vas toujours attirer autre chose. Et quand tu travailles vraiment sur ces fondations solides, tu vas voir que les choses commencent à arriver naturellement vers toi. Les bonnes choses, les bonnes relations, et pas juste des gens qui te vident. Et ton changement va automatiquement impacter ta réalité. D'ailleurs, ça fera certainement l'objet d'un autre épisode. Mais par exemple, moi, ma grande crainte au début, c'était que je change trop et que mon conjoint ne suive pas. Sauf qu'en fait, le travail que je fais sur moi automatiquement a un impact. Et donc au lieu de vouloir convaincre les autres, les choses se font naturellement. Et tu dois vraiment avoir cette certitude-là, donc commence par toi, commence à être dans ton corps, à observer quand tu dis oui à quelque chose, quand tu dis non à quelque chose, qu'est-ce qui se passe à l'intérieur de toi. Est-ce que tu donnes parce que t'espères qu'on va te donner ? Ça aussi, ce sera un grand sujet. Ou est-ce que tu donnes vraiment... de bon cœur, parce que tu es vraiment rempli, et que ça te fait plaisir, et que ça n'a aucune importance qu'on te redonne. C'est ça que tu veux vraiment aller chercher, c'est ça que tu veux vraiment atteindre. Donc dis-moi comment ça résonne pour toi, comment tu te sens par rapport aux limites, déjà tes propres limites, tes propres murs internes, les limites avec les autres, et je veux juste partager que tout est en train d'arriver de plus en plus pour l'expérience Satnam, donc il reste 9 places, on a encore... Tout l'été, mais le prix change de 30 juin, on démarre officiellement en septembre. Et les trois mots qui définissent vraiment cette expérience, c'est expansion. Définitivement énorme expansion. C'est paradoxe. Le paradoxe d'être toutes les versions de toi et d'arrêter de croire que tu dois juste être la lumière, juste être dans l'amour, juste être amazing. Et d'accepter qu'on peut être l'ombre et la lumière, le chaos et la clarté. Et donc on va vraiment aller expérimenter ça. Et le troisième mot, c'est l'inattendu. En fait, j'adore l'inattendu. J'adore les surprises, j'adore surprendre, j'adore créer cette excitation et cette joie. Et ça va vraiment être le moteur de l'expérience Satnam, le centre, parce que oui, on va travailler fort. Oui, il va y avoir énormément d'émotions et de libérations. Et en même temps, énormément de joie. Et donc c'est vraiment pour les femmes qui sont dans un... Comme dans un entre-deux, qui sont déjà sur leur chemin spirituel, qui ont déjà fait pas mal de choses, mais qui sentent que, ok, là je sens que je stagne, je sens que j'ai du mal à passer au prochain niveau, je sens que je revis toujours les mêmes choses, on va aller explorer ça ensemble pendant quatre mois. Vive une expérience de transformation avec une retraite qui est inclue. Tous les détails sont dans la légende, et je suis tellement, tellement, tellement heureuse d'ouvrir cet espace en septembre, et d'avoir vraiment tous les temps pour laisser les choses arriver de plus en plus et c'est du pur pur pur bonheur si tu as des questions vient m'écrire et si tu as aimé cet épisode partage le dans ta story ou où tu veux et tag moi et midi kundalini club

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