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L'entrepreneuriat, c'est du sport !

[RUSH] : Didier POULMAIRE "Je suis arbitre au Tribunal Arbitral du Sport (TAS)..."

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07min |29/05/2025
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Description

« Dopé ou pas dopé ? Ce n’est pas à l’émotion de juger. »

C’est l’un des grands paradoxes du sport : il nous fait vibrer… mais il doit rester juste. Et parfois, pour ça, il faut laisser le cœur de côté.

C’est exactement ce que fait Didier POULMAIRE, avocat et arbitre au Tribunal Arbitral du Sport (TAS).

Son rôle ? Juger des cas complexes comme les litiges contractuels… ou les suspicions de dopage.

« On peut avoir été ému par un sportif, admirer sa carrière… mais au TAS, il faut tout effacer. Notre métier, c’est d’être objectif. »

Et il sait de quoi il parle. Il a été avocat dans des opérations d’envergure — notamment dans la reprise de l’Olympique de Marseille par la famille McCourt — où la discrétion, la méthode et la rationalité sont clés. Dans son métier, il y a peu de place pour le hasard.

Le TAS, c’est justement l’instance qui veille à ce que les règles du sport soient respectées, loin de la pression des médias ou des supporters. Il régule les déséquilibres entre clubs et joueurs, examine les cas de dopage ou les irrégularités disciplinaires.

Et pour Didier, c’est une fierté : « Je suis très fier d’être arbitre au TAS. On fait un travail de fond, dans la rigueur, la discrétion, et avec beaucoup d’intégrité. »

Ce n’est pas toujours connu du grand public, mais c’est souvent là, dans ces bureaux feutrés à Lausanne, que se joue l’équité du sport mondial. C’est là aussi que, cinq ans après les JO de Sochi, les Suisses du bobsleigh ont récupéré leur médaille d’or, après la disqualification d’une équipe russe dopée.

Oui, le sport de haut niveau est parfois injuste. Mais grâce à des professionnels comme Didier, il existe encore des lieux où le jeu reste... fair-play.

Et vous, connaissiez-vous le rôle du Tribunal Arbitral du Sport ?


Site web : https://www.tas-cas.org/fr/informations-generales/index/

Linkedin : https://www.linkedin.com/in/didierpoulmaire/


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

« Dopé ou pas dopé ? Ce n’est pas à l’émotion de juger. »

C’est l’un des grands paradoxes du sport : il nous fait vibrer… mais il doit rester juste. Et parfois, pour ça, il faut laisser le cœur de côté.

C’est exactement ce que fait Didier POULMAIRE, avocat et arbitre au Tribunal Arbitral du Sport (TAS).

Son rôle ? Juger des cas complexes comme les litiges contractuels… ou les suspicions de dopage.

« On peut avoir été ému par un sportif, admirer sa carrière… mais au TAS, il faut tout effacer. Notre métier, c’est d’être objectif. »

Et il sait de quoi il parle. Il a été avocat dans des opérations d’envergure — notamment dans la reprise de l’Olympique de Marseille par la famille McCourt — où la discrétion, la méthode et la rationalité sont clés. Dans son métier, il y a peu de place pour le hasard.

Le TAS, c’est justement l’instance qui veille à ce que les règles du sport soient respectées, loin de la pression des médias ou des supporters. Il régule les déséquilibres entre clubs et joueurs, examine les cas de dopage ou les irrégularités disciplinaires.

Et pour Didier, c’est une fierté : « Je suis très fier d’être arbitre au TAS. On fait un travail de fond, dans la rigueur, la discrétion, et avec beaucoup d’intégrité. »

Ce n’est pas toujours connu du grand public, mais c’est souvent là, dans ces bureaux feutrés à Lausanne, que se joue l’équité du sport mondial. C’est là aussi que, cinq ans après les JO de Sochi, les Suisses du bobsleigh ont récupéré leur médaille d’or, après la disqualification d’une équipe russe dopée.

Oui, le sport de haut niveau est parfois injuste. Mais grâce à des professionnels comme Didier, il existe encore des lieux où le jeu reste... fair-play.

Et vous, connaissiez-vous le rôle du Tribunal Arbitral du Sport ?


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C’est l’un des grands paradoxes du sport : il nous fait vibrer… mais il doit rester juste. Et parfois, pour ça, il faut laisser le cœur de côté.

C’est exactement ce que fait Didier POULMAIRE, avocat et arbitre au Tribunal Arbitral du Sport (TAS).

Son rôle ? Juger des cas complexes comme les litiges contractuels… ou les suspicions de dopage.

« On peut avoir été ému par un sportif, admirer sa carrière… mais au TAS, il faut tout effacer. Notre métier, c’est d’être objectif. »

Et il sait de quoi il parle. Il a été avocat dans des opérations d’envergure — notamment dans la reprise de l’Olympique de Marseille par la famille McCourt — où la discrétion, la méthode et la rationalité sont clés. Dans son métier, il y a peu de place pour le hasard.

Le TAS, c’est justement l’instance qui veille à ce que les règles du sport soient respectées, loin de la pression des médias ou des supporters. Il régule les déséquilibres entre clubs et joueurs, examine les cas de dopage ou les irrégularités disciplinaires.

Et pour Didier, c’est une fierté : « Je suis très fier d’être arbitre au TAS. On fait un travail de fond, dans la rigueur, la discrétion, et avec beaucoup d’intégrité. »

Ce n’est pas toujours connu du grand public, mais c’est souvent là, dans ces bureaux feutrés à Lausanne, que se joue l’équité du sport mondial. C’est là aussi que, cinq ans après les JO de Sochi, les Suisses du bobsleigh ont récupéré leur médaille d’or, après la disqualification d’une équipe russe dopée.

Oui, le sport de haut niveau est parfois injuste. Mais grâce à des professionnels comme Didier, il existe encore des lieux où le jeu reste... fair-play.

Et vous, connaissiez-vous le rôle du Tribunal Arbitral du Sport ?


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« Dopé ou pas dopé ? Ce n’est pas à l’émotion de juger. »

C’est l’un des grands paradoxes du sport : il nous fait vibrer… mais il doit rester juste. Et parfois, pour ça, il faut laisser le cœur de côté.

C’est exactement ce que fait Didier POULMAIRE, avocat et arbitre au Tribunal Arbitral du Sport (TAS).

Son rôle ? Juger des cas complexes comme les litiges contractuels… ou les suspicions de dopage.

« On peut avoir été ému par un sportif, admirer sa carrière… mais au TAS, il faut tout effacer. Notre métier, c’est d’être objectif. »

Et il sait de quoi il parle. Il a été avocat dans des opérations d’envergure — notamment dans la reprise de l’Olympique de Marseille par la famille McCourt — où la discrétion, la méthode et la rationalité sont clés. Dans son métier, il y a peu de place pour le hasard.

Le TAS, c’est justement l’instance qui veille à ce que les règles du sport soient respectées, loin de la pression des médias ou des supporters. Il régule les déséquilibres entre clubs et joueurs, examine les cas de dopage ou les irrégularités disciplinaires.

Et pour Didier, c’est une fierté : « Je suis très fier d’être arbitre au TAS. On fait un travail de fond, dans la rigueur, la discrétion, et avec beaucoup d’intégrité. »

Ce n’est pas toujours connu du grand public, mais c’est souvent là, dans ces bureaux feutrés à Lausanne, que se joue l’équité du sport mondial. C’est là aussi que, cinq ans après les JO de Sochi, les Suisses du bobsleigh ont récupéré leur médaille d’or, après la disqualification d’une équipe russe dopée.

Oui, le sport de haut niveau est parfois injuste. Mais grâce à des professionnels comme Didier, il existe encore des lieux où le jeu reste... fair-play.

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