L'établi de l'EAC

EAC en festival. Le chantier citoyen des Francofolies

25min | 12/05/2023

Description

https://etabli-eac.cnam-inseac.fr/

Du 12 au 16 juillet 2023 avaient lieu le festival des Francofolies de la Rochelle. Les chercheurs de l'Inseac du Cnam étaient présents sur ce terrain festivalier pour la deuxième année consécutive. Lors de la première année nous avions prêté attention aux dispositifs Francos Reporters et Pass Culture. Cette année nous nous sommes intéressés à l’implication des francofolies à agir au-delà de sa mission de valorisation de la musique francophone, par son implication dans la formation et la médiation sur des sujets de société, auprès des professionnels et des artistes, comme des festivaliers et des élèves. C’est aussi une structure qui a la volonté de soutenir des lendemains meilleurs en usant de ses compétences et de son champ d’action à travers le monde de la musique. Ainsi les Francos c’est un chantier sur comme en-dehors du festival, au cœur et au-delà de son milieu professionnel par le développement d’un Pôle de Ressource d’Education Artistique et Culturelle sur la chanson francophone et les musiques actuelles. Mais aussi c’est en s’engageant auprès d’associations par concourir à la valorisation des pratiques amateures et des expressions citoyennes.

Ainsi la structure ne fait pas que diffuser, l’artiste ne fait pas que chanter et le public ne fait pas qu’écouter. Leur actions et implications sur leur environnement va bien au-delà et débute souvent par une discussion. De plus, à travers ce podcast nous pouvons constater à quel point la socialisation dans le monde culturelle est en prise avec la société et que la pérennité de ce secteur professionnel va dépendre de sa capacité à être viable selon une approche durable et responsable de tous ses acteurs comme de ses spectateurs.

Intervenants

Perrine Gabrielsen : responsable des actions EAC pour les francofolies, chorégraphe et danseuse

Emilie Yakish, codirectrice des Francofolies et garante du respect des engagements définis par l’équipe.

Didier Varrod animateur des folies littéraires, met en discussions deux auteurs ou autrices à partir de leurs œuvres littéraires. Par la mise en discussion, il se fait le médiateur de singularités et le révélateur de commun, pour l’édition de 2023 les artistes Barbara Carlotti et Barabara Pravi étaient réuni pour évoquer l’écriture comme pratique émancipatrice.

Lisa Ducasse, artiste du chantier des Franco 2023

Tristan Nihouarn, artiste compositeur, chanteur et musicien du groupe Matmatah

Coline Rio : artiste du chantier des Francofolies en 2022 et maraine du concours à voix haute 2023

Association Humanités et biodiversité : à pour mission est de favoriser la prise de conscience et de partager la connaissance sur la biodiversité par des publications, des conférences, des actions de formation qui développe un partenariat avec les francofolies de la rochelle à travers le concours à Voix haute.

Le 14 juillet, Coline Rio (marraine du concours), Emilie Yakich (co-directrice des Francofolies et membre du jury) et Sandrine Bélier (directrice d'Humanité et iodiversité et membre du jury) et deux jeunes lauréats ont présentés le concours lors d'une conférence publique sur le village Francocéan.

Arthur Pereira, jeune réalisateur et vidéaste, participant et premier lauréat du Concours à Voix Haute pour la biodiversité en 2021.

Renaud Hermen responsable partenariat de l’association Water Family

Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Chapters

L'inséac du CNAM
0sec
Introduction de Julien Le Bour doctorant à l'Inséac
12sec
Un engagement auprès du plus grand nombre
1min
Acteurs et responsables
4min
L'expression à voix haute
11min
Les pratiques émancipatrices
13min
La question du temps long et de l'éphémère
20min
Conclusions et remerciements
23min

About L'établi de l'EAC

Un établi, c’est une table sur laquelle on dispose ou fixe la pièce à travailler, à fabriquer. L’établi de l’anthropologue Robert Linhard dans l’ouvrage homonyme, c’est aussi un militant intellectuel, qui est « établi » dans une usine pour y partager les conditions de vie ouvrière. C’est bien d’une fabrique qu’il s’agit dans l’Établi de l’Éducation Artistique et Culturelle. Mais d’une fabrique dont on sait déjà qu’elle sera détournée, bricolée – au sens de Michel De Certeau – par celles et ceux qui voudront s’en emparer. La matière première c’est le savoir ! L'ouvrage, c'est ce que l'enseignant pourra ou voudra en faire dans sa classe avec ceux qui sont à l'oeuvre, les élèves (ouvriers de leur savoir). La valeur ajoutée est la production des élèves sous des formes diverses à inventer. Les chercheurs occupent une place qui n’est pas neutre au sein de l’Établi de l’EAC : ils observent et participent à la production des kits pédagogiques car il s’agit de se mettre à la place des acteurs et à leur côté pour bien les comprendre. A la différence de l’Établi de Robert Linhart cependant, et plus proche de la vision d’Edgar Morin sur le terrain breton de Plozévet, l’Établi est à la fois envisagé comme le support de la fabrique des contenus et ressources en EAC mais aussi comme le lieu de l’observation et de la fabrique, sur un temps long, d’une relation scientifique et d’un collectif de chercheurs sur le terrain du laboratoire à ciel ouvert qu’est le territoire de Guingamp.

Robert Linhart, Edgar Morin, Michel De Certeau et Charles Baudelaire inspirent donc ce qui se construit dans l’Établi de l’EAC, y compris dans les vertus émancipatrices que nous accordons à l’EAC. Rencontre, pratique et connaissance : les piliers de l’EAC sont ceux de l’Établi pédagogique de l’INSEAC dont l’objectif sera aussi de « casser le joujou », pour mieux le reconstruire. Comme les jouets de Baudelaire, l’art agit sur les enfants, d’autant mieux qu’ils le comprennent. Pour le comprendre, comme leurs jouets, ils ont besoin de le déconstruire, de le manipuler, de le maltraiter pour en saisir « l’âme ». L’éducation artistique et culturelle passe par cette nécessité de casser le joujou, de le déconstruire pour comprendre comment il fonctionne. Cela participe de la construction de l’esprit critique du spectateur, de son émancipation et révèle ce désir d’art et de culture afin d’alimenter les « formes les plus délicieuses du beau » pour emprunter à nouveau une formule de Baudelaire.

L’Établi de l’EAC c’est également un lieu de formation et de recherche : l’INSEAC. Un lieu physique dans lequel vous pourrez produire les ressources et contribuer aux activités de l’Institut National Supérieur de l’Éducation Artistique et Culturelle pour atteindre, ensemble, le 100% EAC.

Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

About L'établi de l'EAC

Un établi, c’est une table sur laquelle on dispose ou fixe la pièce à travailler, à fabriquer. L’établi de l’anthropologue Robert Linhard dans l’ouvrage homonyme, c’est aussi un militant intellectuel, qui est « établi » dans une usine pour y partager les conditions de vie ouvrière. C’est bien d’une fabrique qu’il s’agit dans l’Établi de l’Éducation Artistique et Culturelle. Mais d’une fabrique dont on sait déjà qu’elle sera détournée, bricolée – au sens de Michel De Certeau – par celles et ceux qui voudront s’en emparer. La matière première c’est le savoir ! L'ouvrage, c'est ce que l'enseignant pourra ou voudra en faire dans sa classe avec ceux qui sont à l'oeuvre, les élèves (ouvriers de leur savoir). La valeur ajoutée est la production des élèves sous des formes diverses à inventer. Les chercheurs occupent une place qui n’est pas neutre au sein de l’Établi de l’EAC : ils observent et participent à la production des kits pédagogiques car il s’agit de se mettre à la place des acteurs et à leur côté pour bien les comprendre. A la différence de l’Établi de Robert Linhart cependant, et plus proche de la vision d’Edgar Morin sur le terrain breton de Plozévet, l’Établi est à la fois envisagé comme le support de la fabrique des contenus et ressources en EAC mais aussi comme le lieu de l’observation et de la fabrique, sur un temps long, d’une relation scientifique et d’un collectif de chercheurs sur le terrain du laboratoire à ciel ouvert qu’est le territoire de Guingamp.

Robert Linhart, Edgar Morin, Michel De Certeau et Charles Baudelaire inspirent donc ce qui se construit dans l’Établi de l’EAC, y compris dans les vertus émancipatrices que nous accordons à l’EAC. Rencontre, pratique et connaissance : les piliers de l’EAC sont ceux de l’Établi pédagogique de l’INSEAC dont l’objectif sera aussi de « casser le joujou », pour mieux le reconstruire. Comme les jouets de Baudelaire, l’art agit sur les enfants, d’autant mieux qu’ils le comprennent. Pour le comprendre, comme leurs jouets, ils ont besoin de le déconstruire, de le manipuler, de le maltraiter pour en saisir « l’âme ». L’éducation artistique et culturelle passe par cette nécessité de casser le joujou, de le déconstruire pour comprendre comment il fonctionne. Cela participe de la construction de l’esprit critique du spectateur, de son émancipation et révèle ce désir d’art et de culture afin d’alimenter les « formes les plus délicieuses du beau » pour emprunter à nouveau une formule de Baudelaire.

L’Établi de l’EAC c’est également un lieu de formation et de recherche : l’INSEAC. Un lieu physique dans lequel vous pourrez produire les ressources et contribuer aux activités de l’Institut National Supérieur de l’Éducation Artistique et Culturelle pour atteindre, ensemble, le 100% EAC.

Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

https://etabli-eac.cnam-inseac.fr/

Du 12 au 16 juillet 2023 avaient lieu le festival des Francofolies de la Rochelle. Les chercheurs de l'Inseac du Cnam étaient présents sur ce terrain festivalier pour la deuxième année consécutive. Lors de la première année nous avions prêté attention aux dispositifs Francos Reporters et Pass Culture. Cette année nous nous sommes intéressés à l’implication des francofolies à agir au-delà de sa mission de valorisation de la musique francophone, par son implication dans la formation et la médiation sur des sujets de société, auprès des professionnels et des artistes, comme des festivaliers et des élèves. C’est aussi une structure qui a la volonté de soutenir des lendemains meilleurs en usant de ses compétences et de son champ d’action à travers le monde de la musique. Ainsi les Francos c’est un chantier sur comme en-dehors du festival, au cœur et au-delà de son milieu professionnel par le développement d’un Pôle de Ressource d’Education Artistique et Culturelle sur la chanson francophone et les musiques actuelles. Mais aussi c’est en s’engageant auprès d’associations par concourir à la valorisation des pratiques amateures et des expressions citoyennes.

Ainsi la structure ne fait pas que diffuser, l’artiste ne fait pas que chanter et le public ne fait pas qu’écouter. Leur actions et implications sur leur environnement va bien au-delà et débute souvent par une discussion. De plus, à travers ce podcast nous pouvons constater à quel point la socialisation dans le monde culturelle est en prise avec la société et que la pérennité de ce secteur professionnel va dépendre de sa capacité à être viable selon une approche durable et responsable de tous ses acteurs comme de ses spectateurs.

Intervenants

Perrine Gabrielsen : responsable des actions EAC pour les francofolies, chorégraphe et danseuse

Emilie Yakish, codirectrice des Francofolies et garante du respect des engagements définis par l’équipe.

Didier Varrod animateur des folies littéraires, met en discussions deux auteurs ou autrices à partir de leurs œuvres littéraires. Par la mise en discussion, il se fait le médiateur de singularités et le révélateur de commun, pour l’édition de 2023 les artistes Barbara Carlotti et Barabara Pravi étaient réuni pour évoquer l’écriture comme pratique émancipatrice.

Lisa Ducasse, artiste du chantier des Franco 2023

Tristan Nihouarn, artiste compositeur, chanteur et musicien du groupe Matmatah

Coline Rio : artiste du chantier des Francofolies en 2022 et maraine du concours à voix haute 2023

Association Humanités et biodiversité : à pour mission est de favoriser la prise de conscience et de partager la connaissance sur la biodiversité par des publications, des conférences, des actions de formation qui développe un partenariat avec les francofolies de la rochelle à travers le concours à Voix haute.

Le 14 juillet, Coline Rio (marraine du concours), Emilie Yakich (co-directrice des Francofolies et membre du jury) et Sandrine Bélier (directrice d'Humanité et iodiversité et membre du jury) et deux jeunes lauréats ont présentés le concours lors d'une conférence publique sur le village Francocéan.

Arthur Pereira, jeune réalisateur et vidéaste, participant et premier lauréat du Concours à Voix Haute pour la biodiversité en 2021.

Renaud Hermen responsable partenariat de l’association Water Family

Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Chapters

L'inséac du CNAM
0sec
Introduction de Julien Le Bour doctorant à l'Inséac
12sec
Un engagement auprès du plus grand nombre
1min
Acteurs et responsables
4min
L'expression à voix haute
11min
Les pratiques émancipatrices
13min
La question du temps long et de l'éphémère
20min
Conclusions et remerciements
23min

About L'établi de l'EAC

Un établi, c’est une table sur laquelle on dispose ou fixe la pièce à travailler, à fabriquer. L’établi de l’anthropologue Robert Linhard dans l’ouvrage homonyme, c’est aussi un militant intellectuel, qui est « établi » dans une usine pour y partager les conditions de vie ouvrière. C’est bien d’une fabrique qu’il s’agit dans l’Établi de l’Éducation Artistique et Culturelle. Mais d’une fabrique dont on sait déjà qu’elle sera détournée, bricolée – au sens de Michel De Certeau – par celles et ceux qui voudront s’en emparer. La matière première c’est le savoir ! L'ouvrage, c'est ce que l'enseignant pourra ou voudra en faire dans sa classe avec ceux qui sont à l'oeuvre, les élèves (ouvriers de leur savoir). La valeur ajoutée est la production des élèves sous des formes diverses à inventer. Les chercheurs occupent une place qui n’est pas neutre au sein de l’Établi de l’EAC : ils observent et participent à la production des kits pédagogiques car il s’agit de se mettre à la place des acteurs et à leur côté pour bien les comprendre. A la différence de l’Établi de Robert Linhart cependant, et plus proche de la vision d’Edgar Morin sur le terrain breton de Plozévet, l’Établi est à la fois envisagé comme le support de la fabrique des contenus et ressources en EAC mais aussi comme le lieu de l’observation et de la fabrique, sur un temps long, d’une relation scientifique et d’un collectif de chercheurs sur le terrain du laboratoire à ciel ouvert qu’est le territoire de Guingamp.

Robert Linhart, Edgar Morin, Michel De Certeau et Charles Baudelaire inspirent donc ce qui se construit dans l’Établi de l’EAC, y compris dans les vertus émancipatrices que nous accordons à l’EAC. Rencontre, pratique et connaissance : les piliers de l’EAC sont ceux de l’Établi pédagogique de l’INSEAC dont l’objectif sera aussi de « casser le joujou », pour mieux le reconstruire. Comme les jouets de Baudelaire, l’art agit sur les enfants, d’autant mieux qu’ils le comprennent. Pour le comprendre, comme leurs jouets, ils ont besoin de le déconstruire, de le manipuler, de le maltraiter pour en saisir « l’âme ». L’éducation artistique et culturelle passe par cette nécessité de casser le joujou, de le déconstruire pour comprendre comment il fonctionne. Cela participe de la construction de l’esprit critique du spectateur, de son émancipation et révèle ce désir d’art et de culture afin d’alimenter les « formes les plus délicieuses du beau » pour emprunter à nouveau une formule de Baudelaire.

L’Établi de l’EAC c’est également un lieu de formation et de recherche : l’INSEAC. Un lieu physique dans lequel vous pourrez produire les ressources et contribuer aux activités de l’Institut National Supérieur de l’Éducation Artistique et Culturelle pour atteindre, ensemble, le 100% EAC.

Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

About L'établi de l'EAC

Un établi, c’est une table sur laquelle on dispose ou fixe la pièce à travailler, à fabriquer. L’établi de l’anthropologue Robert Linhard dans l’ouvrage homonyme, c’est aussi un militant intellectuel, qui est « établi » dans une usine pour y partager les conditions de vie ouvrière. C’est bien d’une fabrique qu’il s’agit dans l’Établi de l’Éducation Artistique et Culturelle. Mais d’une fabrique dont on sait déjà qu’elle sera détournée, bricolée – au sens de Michel De Certeau – par celles et ceux qui voudront s’en emparer. La matière première c’est le savoir ! L'ouvrage, c'est ce que l'enseignant pourra ou voudra en faire dans sa classe avec ceux qui sont à l'oeuvre, les élèves (ouvriers de leur savoir). La valeur ajoutée est la production des élèves sous des formes diverses à inventer. Les chercheurs occupent une place qui n’est pas neutre au sein de l’Établi de l’EAC : ils observent et participent à la production des kits pédagogiques car il s’agit de se mettre à la place des acteurs et à leur côté pour bien les comprendre. A la différence de l’Établi de Robert Linhart cependant, et plus proche de la vision d’Edgar Morin sur le terrain breton de Plozévet, l’Établi est à la fois envisagé comme le support de la fabrique des contenus et ressources en EAC mais aussi comme le lieu de l’observation et de la fabrique, sur un temps long, d’une relation scientifique et d’un collectif de chercheurs sur le terrain du laboratoire à ciel ouvert qu’est le territoire de Guingamp.

Robert Linhart, Edgar Morin, Michel De Certeau et Charles Baudelaire inspirent donc ce qui se construit dans l’Établi de l’EAC, y compris dans les vertus émancipatrices que nous accordons à l’EAC. Rencontre, pratique et connaissance : les piliers de l’EAC sont ceux de l’Établi pédagogique de l’INSEAC dont l’objectif sera aussi de « casser le joujou », pour mieux le reconstruire. Comme les jouets de Baudelaire, l’art agit sur les enfants, d’autant mieux qu’ils le comprennent. Pour le comprendre, comme leurs jouets, ils ont besoin de le déconstruire, de le manipuler, de le maltraiter pour en saisir « l’âme ». L’éducation artistique et culturelle passe par cette nécessité de casser le joujou, de le déconstruire pour comprendre comment il fonctionne. Cela participe de la construction de l’esprit critique du spectateur, de son émancipation et révèle ce désir d’art et de culture afin d’alimenter les « formes les plus délicieuses du beau » pour emprunter à nouveau une formule de Baudelaire.

L’Établi de l’EAC c’est également un lieu de formation et de recherche : l’INSEAC. Un lieu physique dans lequel vous pourrez produire les ressources et contribuer aux activités de l’Institut National Supérieur de l’Éducation Artistique et Culturelle pour atteindre, ensemble, le 100% EAC.

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Un engagement auprès du plus grand nombre

Acteurs et responsables

L'expression à voix haute

Les pratiques émancipatrices

La question du temps long et de l'éphémère

Conclusions et remerciements

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L'inséac du CNAM

Introduction de Julien Le Bour doctorant à l'Inséac

Un engagement auprès du plus grand nombre

Acteurs et responsables

L'expression à voix haute

Les pratiques émancipatrices

La question du temps long et de l'éphémère

Conclusions et remerciements

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Un engagement auprès du plus grand nombre

Acteurs et responsables

L'expression à voix haute

Les pratiques émancipatrices

La question du temps long et de l'éphémère

Conclusions et remerciements

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L'inséac du CNAM

Introduction de Julien Le Bour doctorant à l'Inséac

Un engagement auprès du plus grand nombre

Acteurs et responsables

L'expression à voix haute

Les pratiques émancipatrices

La question du temps long et de l'éphémère

Conclusions et remerciements