Speaker #0Bonjour à tous et bienvenue dans la chronique, la semaine numéro 2. On est parti pour 52 semaines pour entreprendre. Mon objectif est de vous partager mes réflexions, mes découvertes, mes réussites, mais aussi mes échecs et mes doutes autour de la créateur-économie dans laquelle je veux m'installer alors que j'ai 50 ans, que je suis un papa de deux adolescents, en couple depuis 20 ans, dans une maison à crédit où il me reste 9 ans à payer et où je ne suis donc pas à Dubaï avec une grosse voiture. Ok. Donc les choses sont claires, mon objectif c'est vraiment de vous partager tout ce que je découvre, toutes mes réflexions. J'ai donc pris des notes durant toute la semaine, j'ai un carnet de notes tous les soirs, et dès que j'ai une idée, je l'écris. Et puis je vous en fais une newsletter qui s'appelle... j'ai oublié son nom, j'ai aussi un petit peu fatigué... qui s'appelle La Note, pardon, qui s'appelle La Note, c'est fort ça. qui s'appelle la note et qui arrive le lundi matin pour tous les gens qui sont inscrits. Alors, disclaimer, merci à cette personne sur LinkedIn qui m'a fait comprendre qu'en fait, c'était bien de parler de newsletter, mais qu'il n'y avait pas moyen de s'inscrire. Donc en fait, l'inscription est dans la signature et il s'avère que pour une raison dont je n'ai pas encore très bien compris la raison, ma signature n'apparaît pas notamment dans Apple Podcasts puisque c'était là qu'il l'écoutait. Donc sachez que... Petite ajoute dans ma philosophie du pas à pas, j'ajoute donc la vidéo de cette semaine 2 sur YouTube. Donc vous pourrez écouter ce podcast sur YouTube aussi et évidemment les deux que je privilégie c'est Apple Podcast et Spotify. Donc on y va, on est parti pour cette semaine 2, format toujours à peu près le même. Il y aura des invités probablement dans l'année, c'est sûr, mais pour le moment j'ai juste envie de parcourir et d'avoir cette petite réflexion entre vous et moi, entre toi et moi, où mes réflexions t'amènent probablement, et je l'espère, à des réflexions de ton côté. Donc la première chose que j'avais envie de vous exprimer, c'était ma vision du film Elvis. Elvis fêtait ses fêtes, ses 90 ans. enfin, aurait fêté ses 90 ans cette semaine. Et donc, on en a parlé. Du coup, j'ai regardé le film, le biop d'Elvis. Et il y a quelque chose qui m'a semblé totalement en adéquation avec le milieu dans lequel on travaille. Si vous êtes entrepreneur, si vous êtes entrepreneur sur le web, ou en tout cas, si vous avez un projet entrepreneurial, c'est ce fameux colonel qui est en fait dans la garde rapprochée de Elvis. Et qui est en fait ce petit... Kathleen, elle appelle ça ma femme, elle appelle ça le Wistiti. C'est cette petite voix intérieure, cette petite voix sombre, ce petit, j'oserais dire, petit diable, qui vient vous bloquer, en fait, et qui vient vous empêcher de faire les choses. Et chez Elvis, c'était une personne physique. C'était un certain colonel, et ce colonel, en fait, manipulait, escroquait et arnaquait. D'ailleurs, il y a eu un procès. Elvis est là enfermé en fait dans une voie sans issue à Las Vegas, qu'il a proprement parlé tué, qu'il a tué au sens propre comme en sens figuré, et qui l'a vraiment enfermé dans sa tête. Parce qu'il avait l'opportunité de partir, alors bien sûr il y a des histoires d'argent, mais je pense que quand on avait cette célébrité-là, il aurait pu très bien repartir à zéro. Il aurait pu se refaire une santé sans trop de difficultés, mais il était bloqué dans ses croyances, dans ses pensées, et ça l'a empêché d'avancer. C'est un peu comme cette petite vidéo, peut-être que vous avez connue, enfin peut-être que ça vous parle. C'est une vidéo où on voit une fourmi qui est entourée par un stylobie, nous on appelle ça un bic en Belgique, qui est la marque. Un stylobie, on l'entoure, et en fait, du coup, quand elle arrive sur la ligne bleue, elle s'arrête, et donc elle repart dans l'autre sens. Et elle est comme emprisonnée. Mais il n'y a pas de mur. C'est juste une ligne. Et j'avais envie de réfléchir à cette idée de colonel. Et quels sont mes colonels internes et mes colonels éventuellement externes. Donc ces blocages qu'on a en interne, ces blocages qui peuvent être externes, qui peuvent vous empêcher d'avancer, en sachant que forcément ça... part toujours de vous au départ, il faut être honnête. Et donc moi j'en ai listé quelques-uns, et notamment un qui me semble être important, et en ce dimanche où j'enregistre pour la deuxième fois mon podcast, parce que je n'étais pas content de la première, où j'enregistre pour la deuxième fois en ce dimanche, j'ai eu le dimanche matin, on a souvent des résolutions de problèmes, Kathleen et moi, le dimanche matin autour d'un café, et là on discutait de son projet et de ce qu'elle avait envie de faire. Et ça m'a vraiment reconnecté à mon livre Apocalypse Cognitive, je vais finir par le sponsoriser, qui a amené cette idée du temps de cerveau qu'on a, et qui malheureusement se fait bouffer par les réseaux sociaux, et j'irais même plus loin, se fait bouffer par toutes les... Alors, un petit instant... Et oui, petite pause parce que j'ai des enfants à la maison et ils ont faim. Donc, j'en étais sur le livre et donc ce côté où finalement les réseaux sociaux nous bloquaient. Mais il y a un truc qui est intéressant dans ce qui se produit, c'est que non seulement les réseaux sociaux nous captent du temps, mais en plus nous captent du temps qui crée du temps anxiogène. Donc on est dans une situation où tout est fait pour du sens... Je ne sais pas le dire. Bref, vous avez compris le message. Mais tout est fait pour, en fait, vous mettre dans une situation où, finalement, vous êtes figé. Et Kathleen, elle a ça sur un truc qu'elle est en train de travailler, là, avec TikTok, notamment. Et où, finalement, en voulant essayer de chercher et de comprendre les choses, d'abord, elle perd du temps libre de cerveau. Et ensuite, ce temps libre qu'elle consomme via... ses recherches, devient une pensée limitante en fait, parce qu'il y a une comparaison. Et donc c'est hyper important de comprendre que quand on est sur ces réseaux, on va avoir des messages anxiogènes à ne plus savoir qu'en faire et limitants, on va avoir une pression sociale parce qu'on risque de se comparer, on va faire... Évidemment, ces comparaisons constantes avec d'autres entrepreneurs qui sont peut-être dans le marché, ça c'est vraiment un point qui a été problématique, qui l'est encore un peu, il faut être honnête. Et puis, il y a une surinformation qui est très importante et qui peut paralyser. Et dans le livre Apocalypse Cognitif, il y a justement une étude qui a été faite où vous avez deux groupes de personnes avec... Une étagère avec un choix d'achat de 26 pots de confiture, et de l'autre côté, 11 pots de confiture, ou 6 pots de confiture, 6 je pense. Mais la vérité, c'est qu'il y avait plus de gens qui allaient vers l'endroit où il y en avait plus, mais par contre, il y avait 30% de plus de ventes là où il y en avait moins. Donc, c'est intéressant de se dire que finalement, on est bloqué par le choix. Et trop d'informations peut aussi avoir cet effet de vous bloquer. Parce qu'on fait quoi ? On fait des tunnels de vente, on fait du low ticket, on fait du high ticket, on fait du middle ticket, on ne fait pas de site web, un site web, les IA, pas les IA. Bref, vous entendez tout et son contraire. Et systématiquement, ce que vous entendez va dans la direction, évidemment, du produit dans lequel les gens veulent vous embarquer. Donc, vous allez avoir des entrepreneurs qui vont vous parler qu'il faut faire du high ticket. Des gens qui vont dire que c'est plus difficile à vendre que des petits produits. Il y a toute une gamme maintenant de produits digitaux qui débarquent notamment sur Trade et surtout sur Instagram où on vous vend la vente facile avec l'AWD et tous ces trucs MRR là qui sont en fait des programmes de formation de qualité mais où en fait on vous apprend à utiliser le programme pour revendre le programme. Mais il n'y a pas d'affiliation sur le programme, il n'y a pas un pourcentage de vente. Vous devez acheter le programme et le programme s'achète, et ainsi de suite. Bref, c'est un truc qui est encore une mode et on est tout le temps là-dedans. Et donc, en fait, on fait quoi ? Et ça, ce sont tous ce que moi, je vais appeler ces colonels externes qui viennent là, comme ça, vous percuter et qui viennent vous emmerder. Donc, c'est assez simple, les colonels externes. Il suffit de les interdire de venir. Donc ça, c'est très simple. Par contre, les colonels en interne, Ça a été un petit peu plus compliqué dans ma réflexion. Je me suis dit, tiens, qu'est-ce qui, moi, profondément, m'empêche, là, je suis en semaine 2, de qu'est-ce qui m'a empêché pendant la semaine d'avancer ? Il y a eu deux choses. Il y a eu un rapport à l'argent, parce qu'on se retrouve, Kathleen et moi, dans un ambroglio de... de trucs européens où en fait elle a fait des activités en France et quand vous dépassez un certain seuil d'activité dans un pays européen vous devez payer la TVA dans le pays mais non pas par l'OSS qui est le truc classique de la TVA européenne mais par un système où il faut carrément s'enregistrer dans le pays. C'est un peu comme si vous deviez une espèce d'entreprise mais sans être une entreprise. Vous téléphonez à l'organisme alors Moi, je n'avais pas envie de téléphoner, soyons clairs, je n'en ai rien à foutre, parce qu'il y en a marre de payer les impôts. Mais bon, voilà, on veut être carré. Donc, le comptable nous dit qu'il faut payer. On paye comment ? Je ne sais pas. Ensuite, on a l'organisme qui gère ça en France. Alors, je ne vous raconte même pas l'administration française, comment il faut faire pour l'avoir. Et puis, finalement, il nous renvoie vers un organisme en Belgique qui nous dit, je ne sais pas, il y a notre organisme qui est censé aider les entrepreneurs où on leur paye... 15 000 euros par an à ces enfoirés de trucs sociaux, de charges sociales, et où ils sont censés nous aider, qui vous disent clairement, mais alors en un message d'une merde totale, qui vous disent ça n'existe pas. Bref, pour faire court, en gros, la relation à l'argent et tout ce qui est lié à l'administratif, moi ça me bloque total. Moi ça me rend fou, ça me met en acte de rébellion totale. Je trouve que c'est scandaleux ce qu'on doit payer à l'État belge. Et la seule chose que j'ai envie de faire, c'est de me casser. Parce que franchement, je suis pour payer. J'ai des enfants, je paye des taxes, je n'ai pas de soucis avec ça. Mais quand je vois ce qu'on en fait, et surtout ce qu'on me demande, alors que d'autres qui gagnent 10, 15, 20 fois, 100 fois, 1000 fois plus que moi, mais qui peuvent, eux, se payer des avocats fiscalistes, se retrouvent à payer des sommes dérisoires pour le montant qu'ils ont engrangé. J'ai du mal. J'ai beaucoup de mal avec ça. Et voilà. Vous voyez que ça me bloque, en fait. Je ne devrais pas passer du temps à ça, en fait. Je devrais lâcher prise, faire du business et trouver les solutions. Mais ça me titille. Vous le sentez bien dans ma voix que ça me titille. Et puis, il y a l'acceptation de soi qui est pour moi, en fait, encore un point important, même si vous me voyez ici avec ma casquette, mon look un peu... pas un peu, mon look motard rebelle, parce que c'est moi, mais quand même, ça reste encore un peu compliqué. La semaine passée, j'ai eu un message d'une ancienne cliente et quelqu'un que j'appréciais énormément, mais je sentais bien, c'était super intéressant, que le mot rebelle avait une connotation chez elle. Ça avait une connotation de quelqu'un qui crie, qui fout le bordel, qui casse tout. Et je me souviens un jour dans un mastermind au Canada, j'avais acheté un pull. Il y avait Troublemaker, le faiseur de troubles. Et je me souviens encore que mon mentor, quand il avait vu le pull, il m'avait fait un visage qui était un visage de non-acceptation du truc. Il dit Ouais, c'est peut-être un peu fort. Je l'avais ressenti comme ça. Et donc, je vois bien que ça peut être encore des croyances limitantes, en tout cas des blocages chez moi. d'accepter clairement et 100% qui je suis. Donc, voilà, c'est mes colonels à moi. Les croyances limitantes qui sont liées à mes valeurs, la peur d'être dans cette fameuse authenticité sincère et pas cette authenticité de performance. Vous l'entendez peut-être dans mon podcast que je ne tourne pas autour du pot. Je suis vraiment 100% transparent avec vous. C'est ce qui me vient à l'instant T. construire quelque chose pour que ça donne un peu comme la fameuse histoire qu'il y a entre les deux créateurs de Villebrequin où cette semaine il y en a un qui a achevé l'autre en fait pour être tout à fait transparent mais parce qu'il y en a un qui a joué une authenticité de performance je pense qu'il y a une partie de lui qui est clairement pas qui est qui croit clairement que ce qui s'est passé, c'est passé comme ça. Et puis, il y a l'autre qui, lui, est tout à fait sincère et vous balance l'entièreté du processus avec les parties positives comme les parties négatives. Et forcément, il y a un retour de karma qui est assez fort. Donc, attention à ce point, pour moi, peut-être pour vous, d'être vraiment authentique et finalement de dire les choses. On n'ose pas les exprimer. C'est quelque chose qui, moi, est très prégnant dans ma vie. beaucoup de moments où je me suis interdit de dire certaines choses à certaines personnes et j'avais envie de leur dire et maintenant je pense que je vais vraiment réussir à le faire. Là, j'ai été blessé par un truc cette semaine qui ne me plaît pas. J'hésite à le dire parce que je sais que c'est un coup, mais ce coup je suis prêt à le digérer parce que ça ne me plaît pas en fait. Quand ça me met les larmes aux yeux ou que ça me fragilise au point où j'en suis triste, c'est que ce n'est pas bon pour moi. Et donc je vais refuser de m'imposer ça. Et ça c'est mon authenticité sincère qui doit travailler. Et c'est cette sincérité que je dois accepter d'être parce que je suis ça et puis basta quoi. Point à la ligne. Et vous aimez ou vous n'aimez pas, je m'en fous en fait, je suis moi. Donc voilà, ça c'est un point qui est important. Comme on dirait dans le jargon du dev perso, assumer pleinement son unicité. Donc, ma réflexion du jour est, quel est votre... Quel son ou quel est votre colonel externe et colonel interne en référence au film d'Elvis ? en tout cas la vie d'Elvis, avec ce personnage qui lui a complètement manipulé la vie et empêché de faire certaines choses parce que, attention, il s'est servi des parts dont d'Elvis, ça faisait partie d'Elvis. Et il s'est servi de ses parts pour le manipuler et pour le faire avancer dans la direction qu'il arrangeait. Et c'est intéressant de se dire, tiens, c'est qui notre colonel à nous ? Qu'est-ce qui nous fait avancer comme ça ? En externe, c'est peut-être une personne. Vous avez peut-être quelqu'un dans votre entourage qui vous envoie dans la mauvaise direction. Et il va peut-être falloir faire du nettoyage si vous voulez vous donner les chances de réussir. Alors, c'est quelque chose aussi comme démarche qui est super importante dans RTBL. RTBL, vous le savez, c'est le Road Trip Business Learning. C'est mon accompagnement de 3 mois, 6 mois ou 12 mois qui permet à des gens, à des experts comme vous dans un domaine de pouvoir être accompagné et de construire d'abord une méthode propriétaire, une méthode signature, et puis à partir de cette méthode, de développer une gamme de produits pour créer une entreprise robuste. Une entreprise robuste, c'est une entreprise qui tient sur cinq critères. Pour ceux qui sont avec la vidéo, je le mets à l'écran. Une entreprise robuste, c'est des critères que j'ai découverts Je ne sais pas si ça vient de lui ou un mix avec le livre Antifragile, mais en tout cas d'Alex Danan, Life Mentor, qui dit ceci. Les revenus ne dépendent pas d'un seul produit. La distribution ne dépend pas d'un seul canal d'acquisition. La trésorerie permet d'encaisser les chocs et d'investir quand tout le monde se retire ou a peur. Le risque sur le flux de production est sécurisé et avoir une relation la plus longue possible avec ses clients. Donc ces cinq points sont essentiels. Pourquoi ? Parce qu'en fait, quand vous les lisez, alors ça dépend évidemment de la maturité de votre projet, de la maturité de votre entreprise. Bien sûr qu'au début, on ne peut avoir qu'un seul produit, un seul canal, mais c'est des choses que vous allez entendre sur le web. C'est des choses que j'entends chez des coachs business. Avoir un seul canal, un seul produit avec une seule offre, et c'est tout à fait juste. C'est juste que pour une entreprise, c'est... pas robuste, c'est fragile en fait. Parce que le jour où le produit ne se vend moins bien ou se vend de façon plus difficile, vous n'avez pas le temps de vous ressaisir. Et je connais beaucoup trop de gens qui ont vécu ça et j'en ai encore là sur ces dernières semaines, j'ai deux clientes qui sont vraiment dans cette situation, accompagnées par des coachs business pendant de nombreuses années avec de beaux résultats, mais avec une construction de l'entreprise qui n'est pas robuste. pas une réflexion. Et donc, dans le RTBL, le Road Trip Business Learning, on travaille la matrice des oui-produits et dans la matrice des oui-produits, il y a notamment un des produits qui s'appelle le produit d'avenir, qui est l'idée d'imaginer qu'est-ce qui se passe si, coupure internet, qu'est-ce qui se passe si vous vendez sur Instagram et il n'y a plus Instagram. C'est quoi en fait le process derrière, dans le produit d'avenir. Voilà. Et ça, si ça vous intéresse, n'hésitez pas à me contacter sur les réseaux sociaux, que ce soit sur Instagram, YouTube. Facebook ou ailleurs, mais je suis principalement sur Instagram. Si vous tapez David Moussebois, vous verrez. Vous m'envoyez un petit message privé, un DM, comme diraient les jeunes, et je me ferai un plaisir de discuter avec vous. Voilà, ça c'était la petite parenthèse du RTBL. C'est important. N'oubliez pas non plus de vous abonner à ma chaîne si vous êtes sur YouTube. N'oubliez pas de faire un petit commentaire, de me donner votre avis sur les colonels, quels sont vos colonels, sur des sujets. Voilà, j'ai besoin d'avancer dans mon processus, donc n'hésitez pas à me contacter. Je mets donc tous les liens dans la description du podcast La Chronique. La petite gifle de la semaine, vous savez, c'est cette petite claque que j'ai envie de vous placer et de se dire tchao ! Hum, ça pique un peu. Alors, êtes-vous un artiste ou êtes-vous un stratège ? Hum, c'est un sujet qui a déjà été traité à plein d'endroits. C'est un sujet que j'avais envie de traiter parce que c'est une des questions qui revient très souvent. Alors peut-être c'est le type de client que j'ai, mais surtout chez les multipotentiels, les gens qui ont plein de projets. C'est bien d'avoir des projets. C'est mieux de les réaliser quand... c'est mieux de les transformer en une réalisation. Moi, je connais des gens qui sont en projet depuis 10 ans. C'est bien. Donc, du coup, à un moment, ils sont bien avec leur compte. Enfin, ils sont bien avec leur compte. Ils ont de l'argent. Donc, hop, ils se lancent sur un programme. Ils vont sur les groupes. Ils sont à fond. Oui, je vais faire ça, je vais faire ça, je vais faire ça, je vais faire ça. Et puis, un an plus tard, vous les voyez, ils sont nulle part. Ils sont nulle part parce qu'ils ne se sont pas passés à l'action. Donc, Et ils ne sont pas passés à l'action, pas parce qu'ils n'ont pas envie de passer à l'action, mais parce qu'ils ont fait toutes des actions qui sont complètement inutiles ou qui ne sont pas dans le bon ordre. Et il y a un côté stratège et artiste qui vient se chevaucher dans la vie d'un entrepreneur. Et moi, ma réflexion, c'est que finalement, l'artiste, c'est celui qui incarne cette fameuse liberté créative. C'est celui qui va dire, je suis dans mon intuition, c'est le moment, c'est maintenant, c'est ça que je dois faire. Et il est là-dedans tout le temps, il évolue entre avoir des revenus, mais en même temps vivre sa passion. Alors il y a certains domaines en plus où c'est encore plus criant que d'autres. Mais tout ça, ça rend les choses plus compliquées parce qu'il n'y a pas de structure. Là où le stratège, lui, le bâtisseur, il va être plus dans la rigueur. Il va structurer, il va construire les choses. Par contre, il va peut-être oublier une part de créativité, il va peut-être oublier une part de légèreté. Et donc, sur la partie qui va être d'attirer les gens, peut-être qu'il va être moins bien. Et là, je reviens encore à cette histoire de ces deux youtubeurs qui se déchirent sur la chaîne Villebrequin. Vous en avez un qui est clairement surdoué, Sylvain, qui est clairement surdoué pour être face cam. qui est fun, qui est rigolo. Moi, il m'a éclaté dans sa vidéo où il flingue le premier. Et vous avez Pierre qui, lui, est un gars aigri, qui doit faire une image très sombre. J'avais vu sa vidéo et ça m'avait saoulé. Je n'ai pas regardé en entier parce que c'était trop, c'était trop, trop, trop... Je pleure et je... Il y avait trop, même si moi, je suis très émotif. Mais là, ça sentait, quoi. Ça sentait un peu le truc pas cool. Donc moi, je ne connais pas très bien les deux. Mais en gros, voilà, on voit bien qu'il y a deux personnalités totalement et diamantralement, diamant, diamant, bref, vous mettrez ça avec le premier mot que je n'ai pas trouvé, différents et que donc voilà. L'idée, c'est de se dire, tiens, est-ce que je dois être stratège ou est-ce que je dois être artiste ? Et en fait, un entrepreneur, c'est un mix des deux. Il n'y a pas en fait, vous savez, c'est jamais, je ne pense pas que dans ce podcast, on sera toujours, on sera dans la cristallisation. Je pense qu'on sera dans la sincérité. probablement des fois dans la vulnérabilité, mais surtout, surtout avec de la hauteur. Je pense que c'est ça. La blessure que j'ai cette semaine, personnelle, elle est liée au fait que j'ai des gens autour de moi qui ne prennent pas de la hauteur. Et ça me choque et ça m'attriste d'entendre ce que j'entends parce que je ne trouve pas ça assez intelligent. Voilà. Et j'ai décidé que j'allais m'entourer de gens intelligents. Et tant pis, ça me coûtera ce que ça va me coûter, mais je veux des gens intelligents. Et les gens intelligents, c'est des gens qui pensent au-delà de leur position et qui arrivent à prendre de la hauteur. Et ici, c'est pareil. Je pense qu'il faut prendre de la hauteur entre l'artiste et le stratège. Il faut les deux, en fait. Il faut bâtir. Par contre, il y a une approche qui est peut-être un peu différente. Là où l'artiste va peut-être, je pense, ça serait intéressant de peut-être avoir un job. qui lui apporte une certaine sécurité financière, un job, et de faire un projet en side business, parce qu'il va y avoir plein de projets, et tout ça va être compliqué, donc financièrement ça peut être tendu, peut-être que c'est mieux de fonctionner comme ça, de créer des micro-objectifs, plutôt que des choses trop grandes, parce que du coup il va s'échapper, et partir dans d'autres directions, il y a aussi un côté, peut-être, trouble de l'attention que je mélange avec le côté artistique, ce qui n'a rien à voir, on s'entend bien. et peut-être de construire une audience progressive sur tout ça. Là où le... Le stratège, lui, va plus se bâtir avec peut-être 6 mois de salaire ou 12 mois de salaire pour partir un an complet, réduire les charges. Il va créer un plan d'action clair et précis et il va se structurer. Je pense que les deux sont super intéressants s'ils arrivent à trouver le bon équilibre. Donc, prendre le choix de le faire en side project ou prendre le choix de le faire full time. Mais dans les deux cas, prendre l'énergie de l'un et de l'autre. Parce que dans l'énergie du stratège, il va falloir de la créativité dans le plan d'action, dans la création du plan, il va falloir de la créativité. Et pour l'artiste, dans son side project, vu le peu de temps qu'il aura, il sera obligé de s'organiser, d'avoir un côté un peu plus stratégique. Donc je pense que les deux sont gagnants de prendre la force de l'un et de l'autre. Mais est-ce que vous, vous êtes plutôt de base artistique ou plutôt de base un artiste ou plutôt de base un stratège ? Je pense que c'est intéressant de se poser la question et de se dire, tiens, qu'est-ce qui serait pour moi le plus juste et le plus clair ? J'ai des gens que je connais qui ont fait des side projects. J'ai un ami, Marc, qui est en train de créer un side project, qui travaille, qui a fait un 4-5e temps pour se libérer un temps pour faire son projet. C'est beaucoup plus long, c'est beaucoup, beaucoup, beaucoup plus long. Mais c'est OK, parce qu'il avance sur son projet. Donc, le plus important, c'est d'avancer. Et je dis toujours choisir, c'est avancer. Choisir, ça n'est pas renoncer. Mais il faut mettre les projets les uns dans les autres, les uns derrière les autres. Si vous voulez faire, par exemple, j'ai une cliente qui veut faire quelque chose d'artistique, vraiment au sens propre du terme, mais elle n'a pas les moyens financiers. Donc la question c'est, tiens, est-ce que je vais mettre de l'énergie sur mon côté artistique ou est-ce que je vais d'abord réfléchir à comment est-ce que je peux... lever des fonds ou lever de l'argent pour pouvoir faire mon projet artistique. Mais si je fais du projet artistique sans lever de fonds, en fait, au bout du compte, il n'y aura ni le projet financier qui va fonctionner, ni le projet artistique. Donc, il n'y a rien à faire. Le temps, c'est une ligne. D'accord ? C'est linéaire. Alors, il y en a qui vont vous parler de 3D, 5D, tout ce que vous voulez. La réalité terrestre, c'est qu'il faut faire les choses dans un ordre et qu'il faut être agile. pour pouvoir faire bouger ça si ça ne fonctionne pas. Mais il faut les faire dans un ordre. D'accord ? Et quand je parle d'un plan, quand je parle du road trip business learning, il y a un plan, il y a des étapes. Et c'est vraiment un plan qui est dessiné d'ailleurs. Donc, il y a des étapes. Après, est-ce que c'est toujours la même chose pour tout le monde ? Non. Est-ce que ce que je vous dis là est valable pour vous ? Peut-être. Peut-être pas. L'idée, c'est que c'est mes croyances actuelles. C'est ma réflexion. D'accord ? Ayez la vôtre. Ne vous faites pas trop influencer par tout le monde. Prenez de l'information et puis faites votre choix et avancez. Donc, l'insight road trip de ce podcast, vous savez, il y a des rubriques. L'insight road trip, c'est vraiment, je ne vais pas aller trop loin là-dessus parce que j'en ai déjà parlé, mais c'est vraiment ce point de réfléchir, tiens, dans votre entreprise, est-ce que vous avez de la clarté sur ces cinq points de l'entreprise robuste ? Est-ce que dans ces cinq points, vous pouvez mettre de l'ordre ? Est-ce que c'est compliqué pour vous ? Et auquel cas, il faut vous faire accompagner. Il faut vous faire accompagner parce que vous ne pourrez pas le faire tout seul. C'est à la fois complexe, puis il faut de l'expérience pour passer derrière. Quand moi, je parle de 52 semaines pour entreprendre, j'entreprends depuis 2016. Mais derrière les 52 semaines, c'est parce que j'essaye de trouver un autre modèle que dans lequel j'étais, qui était... très clairement de la consultance. Même si maintenant, c'est plus du mentorat, puisque je fais de la formation, de l'accompagnement et du coaching, et de la consultance, pardon, du coaching, de la consultance et de la formation. Je passe d'un poste à l'autre en fonction de là où on est sur le chemin du road trip. Mais j'aimerais le construire différemment. J'aimerais moins me libérer plus de temps pour avoir du temps de créativité. et moins de stratèges. Voilà, moi je suis à cet endroit-là. Donc, le petit point du jour par rapport à ce qui se passe dans un road trip et ce que j'ai vécu cette semaine avec les clients, c'est ça, ce serait de vous aider à prendre conscience que pour réussir votre projet, en effet, au début, il faut bien vendre un produit, mais surtout, il faut avoir une réflexion globale sur qu'est-ce que vous voulez construire. sur une vision 1 an, 3 ans, 5 ans, et essayer de construire les produits pour pouvoir les assembler les uns avec les autres dès le départ et pouvoir développer autour de votre méthode quelque chose qui tienne la route et qui tienne dans le temps. Parce que des missiles, j'en connais, des comètes, j'en ai connu, il y en a beaucoup sur le web, qui arrivent, qui disparaissent, qui reviennent. Ils étaient là il y a un temps, ils reviennent, ils sont devenus des experts de l'IA ou des experts du montage vidéo ou des experts de la crypto parce que c'est les trois sujets qui sont un peu à la mode ou alors le MRR et puis qui vont disparaître dans six mois. Ils auront fait plein de sous mais ils vont disparaître. Je ne suis pas du tout de cette nature là. Moi je suis un fils d'artisan avec une entreprise qui comportait 27... employés, 23, 25 employés je pense, de mémoire, et qui faisaient beaucoup de chiffres, qui étaient dans la menuiserie et donc du coup, moi j'ai envie de créer des entreprises, comme dirait les japonais, millénaires. Vous voyez ce que je veux dire. Donc des trucs qui tiennent la route et qui sont construits dans le temps. Les petites pépites de la semaine et après je serai au mot de la fin. Deux pépites qui me viennent de cette semaine. D'abord, là je vais vous parler de matériel, pas de logiciel. Vous savez que pour filmer, on a besoin d'une caméra. Il y a beaucoup de gens qui vous parlent de smartphone. Mais définitivement, le smartphone s'est à proscrire dans mon industrie. Pourquoi ? C'est tout simple, en fait, vous n'avez pas de retour caméra. Donc quand vous filmez avec un iPhone, avec un smartphone, vous avez besoin de mettre les bons objectifs, c'est-à-dire ceux qui sont au dos de votre téléphone. Ce qui veut dire que vous ne voyez pas votre écran. Vous ne voyez pas votre écran et on considère qu'on travaille seul. Alors, il existe. Je les ai testés. J'ai essayé de le retrouver. Je ne sais pas où il est, quelque part à la maison. J'ai acheté des espèces de griffes avec un petit miroir. J'ai mis un miroir à l'arrière. D'ailleurs, dans un document que je fournis, un PDF que je fournis à mes clients, je montre cet exemple du miroir et tout ça. Il n'y a aucun souci. Mais la réalité, c'est qu'on est en 2025, et qu'en 2025, il y a un outil qui résout ce problème définitivement. C'est forcément les petites caméras comme les GoPro, les autres, et les caméras plus classiques, comme mon Canon qui est là-bas, ou des choses comme ça. Oui, qui est là d'ailleurs, que vous voyez en noir là. Mais il y a un outil qui est vraiment génial maintenant, c'est évidemment la Osmo Pocket 3 de chez DJI, qui est une petite caméra qu'on a testée avec Clément pour le... le projet de Padel, où on a filmé quatre joueurs qui étaient sur un terrain où il fallait suivre un joueur. Et en même temps, j'avais deux autres caméras qui filmaient ailleurs et où il y avait Clément qui devait donner des consignes de l'autre côté de la vitre sur le terrain. Et en fait, on a pris cette caméra, on fixait un des joueurs. Et en fait la caméra suivait le joueur, c'est génial, la qualité est topissime. On avait fait quelques petits réglages, on avait fait en sorte que la nacelle bouge en mode slow, parce que sinon si vous faites le medium ou le high ça ne va pas. Mais en gros la caméra elle se connecte avec les micro DJI en deux secondes. On a fait la synchro sans regarder les modes d'emploi, on a été dans le menu, on a trouvé synchro, c'est expliqué à l'écran, ça a pris cinq secondes. Bref cette petite caméra elle est complètement dingue. Parce qu'elle vous permet de créer du contenu partout. Il n'y a pas de problème avec ça. Vous pouvez faire un petit vlog. Là, je vais partir au mois de mai au regroupement Harley Davidson. Mais c'est sûr que je vais filmer avec cette caméra-là. Je peux la mettre sur ma moto, je peux la mettre sur mon sac. Elle est vraiment géniale. Elle est stabilisée, elle fait une image absolument dingue. il y a ce suivi, il y a cette connexion, il y a le fait que vous pouvez du coup garder votre smartphone comme un smartphone et vous pouvez même l'utiliser en retour caméra à 3 mètres et donc du coup voir exactement sur la caméra, vous pouvez faire le suivi de votre téléphone, vous pouvez faire les réglages donc la DJI Osmo Pocket 3 si vous voulez créer du contenu et que vous êtes seul vous êtes en mode solopreneur qui est un peu aussi le principe de ce que je veux vous partager je ne veux pas développer une équipe, je ne veux pas du tout, je veux être cool Avec ma femme, avoir de temps en temps des freelance, travailler avec quelques personnes, mais je veux surtout être cool, je ne veux pas m'emmerder, je l'ai vu avec mes parents qui avaient 25 employés, plus en plus des indépendants, c'est l'enfer. Je n'ai pas du tout envie de passer ma vie à travailler pour payer des employés et pour payer des taxes sur les employés. Ce n'est pas du tout mon trip. Donc du coup, c'est comment je peux faire seul. Donc l'Osmo Pocket, évidemment, je vous la préconise à 1000%. Même si apparemment, il y aurait une 4 qui va arriver. Mais ça, vous savez, c'est toujours la même chose. Et ensuite, au niveau des micros, forcément, je parle de caméra, je parle de micro. Si vous achetez le Small Pocket, vous avez un bundle avec les micros. Il y a le DJI Mini qui est vraiment sympa, qui est tout petit. Et puis, il y a les DJI plus gros, les deux, qui sont des micros un peu plus poussés, qui ont techniquement un peu plus de... d'outils pour éviter de faire une erreur de tournage au niveau du son. Mais j'ai envie de vous parler, alors évidemment si vous voulez que ce soit facile, prenez du DJI, parce que DJI avec DJI ça fonctionnera toujours. Mais je voulais vous parler de micros qui sont sortis là le 9 janvier, qui sont les Holyland Lark M2S, qui sont des micros absolument dingues, où les gens ont compris en fait qu'avoir le micro qui ressemble à un pavé, qui déchire votre t-shirt tellement il est lourd, J'exagère un peu, mais on n'est pas loin de ça. Par rapport à des Holyland, qui sont des micros de la taille des picogires, pour ceux qui connaissent un peu, qui sont ceux que j'ai moi à la maison, et qui sont en fait comme une épingle à cravate. Donc vous mettez l'épingle, et en fait le micro est dans l'épingle, et la technologie est de l'autre côté. Donc en fait, du coup, vous avez juste le micro qui est du côté visible, et de l'autre côté, vous avez la technologie avec le petit rond, avec... Le système qui envoie l'audio et tout le bordel, la batterie et tout est caché. Donc en fait, au lieu d'avoir un gros bloc rectangulaire qui est sur vous, qui font que vous voyez tous les youtubeurs et tous les jeunes avec leurs micros cravate en train de le tenir à la main. Ça me fait toujours rire, ça faisait acheter des micros cravate, vous les tenez à la main. Ça n'a pas de sens, mais bon, bref. Mais je peux le comprendre, parce que c'est chiant, c'est des micros qui sont lourds. Donc c'est pas chouette à mettre, on a le t-shirt qui tire, on a le truc qui pend en avant, donc c'est pas cool. Ici en fait avec ces micros là, vous avez vraiment le meilleur des deux mondes avec un tout petit micro qui sera à peine visible devant et surtout le poids qui sera à l'arrière et donc qui sera vraiment bien collé à vous. Donc vraiment super sympa, je serais vraiment très curieux de les tester. J'ai entendu sur le YouTube américain que le son était vraiment top mais en même temps le YouTube américain est beaucoup sponsorisé donc à voir avec le temps. Mais en tout cas Olliland au niveau des micros. Ils avaient déjà fait les M2 qui étaient top, donc les M2S, c'est génial. Alors, vous le savez, pour terminer, je suis pile à mes 40 minutes. Pour terminer, on a un verbe à se souhaiter pour la semaine. Et le verbe qui va être celui, le verbe d'action que je vais utiliser, qui sera mon intention de l'année, l'attention de la semaine, c'est un verbe qui est dans le dictionnaire, je vous le garantis. Ça s'appelle pomodoré Alors, ce n'est pas dans le dictionnaire, ça ne l'est pas, mais c'est en lien avec le Pomodoro. Le Pomodoro, c'est quoi ? Le Pomodoro, c'est quoi ? C'est un principe de gestion du temps qui fait que vous avez 25 minutes de travail pour 5 minutes de pause et vous faites des blocs de 25 minutes de travail avec 5 minutes de pause. Pourquoi c'est le verbe d'intention de ma semaine ? Parce que je l'ai testé cette semaine et j'ai fait un test sur 30 minutes. à un moment, sur les 30 minutes, les 9 premières, je les ai perdues parce que je suis parti sur un commentaire de quelqu'un et j'ai voulu lui répondre. Et les 6 dernières minutes, je suis parti aussi parce que j'ai dû faire autre chose, je ne sais plus quoi. Bref, finalement, sur 30 minutes, j'ai travaillé 15 minutes, un peu plus de 15 minutes. Et je voudrais vraiment optimiser ça, parce que je sais que c'est un problème. Petite... à quelqu'un qui n'entendra pas ce podcast parce qu'il n'aura jamais écouté 40 minutes un podcast, c'est sûr et certain, mais en tout cas à Ludovic, mon développeur, qui a une énorme galère dans sa gestion du temps, et c'est peu de le dire la galère qu'il a, qui fait qu'il y a une procrastination totale et des temps impossibles pour un entrepreneur à maintenir. Voilà, Pomodoro, on va essayer. Et je... il y avait... La chaîne Explique-moi Encore qui parlait de le faire sur son iPad. Mais moi, mon iPad, je l'utilise tout le temps. Et donc, du coup, si je mets mon chrono sur mon iPad, je sais qu'à un moment, je vais être embêté parce que je dois utiliser mon iPad. Je ne vais donc pas le voir devant moi. Donc, je voudrais essayer aussi, dans une de mes intentions au niveau de la technologie, d'être le plus simple possible. mais d'éviter aussi de systématiquement tout mettre sur le dos de mon téléphone ou mon iPad parce que lui aussi finalement il est censé servir à finalement téléphoner ou à prendre des notes et à mettre tout sur un en fait je dois toujours passer d'une activité à l'autre ça moi ça finit par m'agacer donc il y aura une caméra pour filmer, il y aura des micros pour enregistrer et ainsi de suite. Mais simple, voilà, avec un truc que je mets dans un petit sac à dos. Voilà, c'était tout pour le podcast la semaine 2 de la chronique. N'hésitez pas donc à vous abonner, à me faire une petite note, alors 5 étoiles sur Apple Podcast, pas 4, pas 3, certainement pas 3, ni 2, ni 1, mais 5, s'il vous plaît. Avec un petit commentaire, n'hésitez pas non plus à vous connecter et à me dire ce que vous en pensez. Je vous dis à très vite parce que j'entends mon fils qui fait un boucan de dingue derrière moi, parce que forcément il entend, mais il fait du bruit. Donc on va s'arrêter là et je vous dis à très vite. Ciao, ciao !