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La Méthode Rendez-Vous

Referaly : Faites de la recommandation un puissant levier de croissance

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44min |11/11/2024
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Description

Arnaud Attencia, jeune entrepreneur de 23 ans est le fondateur de Referaly, une plateforme de gestion et de fidélisation des réseaux d'apporteurs d'affaires. Arnaud partage son parcours, des débuts en Espagne à 17 ans jusqu’à son retour en France. Il nous plonge dans son univers, où la détermination l'ont guidé pour se former en commerce, e-commerce, et blockchain en autodidacte. Entre anecdotes et conseils, il explore avec transparence ses défis en tant que jeune fondateur et les obstacles qu’il a surmontés, en particulier dans la création de solutions pour le développement des réseaux professionnels fondés sur la recommandation.


Extraits :

  1. Sur son apprentissage autodidacte : « Dès mes 17 ans, je me formais en ligne, jonglant entre cours de commerce et e-commerce. J'ai lancé des boutiques, puis je suis devenu consultant tout en continuant à me former en blockchain et finance. Tout ça, c’était des heures de YouTube et des formations achetées en ligne. »

  2. Sur ses débuts en vente et réseau : « En tant que jeune entrepreneur, convaincre n’était pas toujours simple. J’ai vite compris que la recommandation par des professionnels de confiance était primordiale, et j'ai bâti mon réseau en m’entourant de courtiers, de conseillers... Referaly est né de cette expérience. »

  3. Sur sa vision de l’entrepreneuriat : « Mon âge a parfois été un frein, surtout dans des domaines exigeants de la crédibilité comme l'investissement immobilier. Mais j’ai persévéré, en cherchant toujours à me former et à avancer étape par étape, sans attendre d'être “parfaitement prêt”. »
    🎧 Bonne écoute ! 🎧



📚 RESSOURCES

👐 LinkedIn de Arnaud Attencia

🌐 Site web de Referaly


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Transcription

  • Speaker #0

    Rendez-vous, le podcast qui fabrique et consolide votre réseau d'apporteurs d'affaires. On est en direct. Salut Arnaud.

  • Speaker #1

    Salut Jean-Christophe.

  • Speaker #0

    J'espère que tu vas bien, que tu as la patate en cette fin de semaine.

  • Speaker #1

    Ça va super, ça va super. Et toi tu vas bien ?

  • Speaker #0

    Ouais, ouais, ouais, en plein lancement de mon école du réseautage, donc je suis à fond les ballons. Mais bon, c'est pas le sujet, aujourd'hui on va parler de toi, on va parler de Referrali. L'idée c'est de passer un petit moment ensemble, aller jusqu'à 40 minutes, pas plus promis, parce que je sais que t'as plein d'autres choses à faire après. Trois moments qu'on va passer ensemble, tu vas nous dire un petit peu qui tu es professionnellement, d'où tu viens, ce que tu as fait, on peut même remonter un peu. aux études pour voir un petit peu quel est ton parcours, ton cheminement. Tu nous diras aussi pourquoi tu t'es lancé dans l'entrepreneuriat. Et puis après, tu auras une minute de carte blanche. Alors une minute, pas plus. J'insiste parce qu'après au montage, moi, ça me donne un peu trop de travail. Une minute grand maximum sur le sujet. Qui t'est cher ? Pourquoi pas une asso que tu soutiens, une publicité pour ton projet, ton entreprise, ta startup, ton appli. Vraiment ce dont tu veux. ce que tu veux pendant maximum une minute. Et puis après, on essaiera de voir un petit peu comment ces apporteurs d'affaires, on parlera de Referrali, de la genèse du projet, comment c'est devenu finalement une vraie entreprise. Et puis, on parlera un petit peu aussi de comment fidéliser ces apporteurs d'affaires, comment les gérer au quotidien. Et puis voilà, je pense qu'on aura fait un bon tour déjà de ce que tu fais.

  • Speaker #1

    Super, parfait.

  • Speaker #0

    T'es prêt ? Alors, il y a un petit rituel au début de cette émission, c'est toujours la même chose. Je te demande de te présenter Arnaud, ton entreprise, ta boîte, pendant 30 secondes, histoire que ceux qui nous écoutent sachent qui tu es, ce que tu fais. Et puis, ne rentre pas trop dans les détails parce que tu l'as compris, c'est le menu d'après.

  • Speaker #1

    Bien sûr. Je m'appelle Arnaud Tancéa, j'ai 23 ans et j'ai lancé Referally, qui est une plateforme tout simplement de recommandations entre professionnels. c'est globalement pour aller développer centraliser et gérer ces réseaux de prescripteurs d'apporteurs d'affaires qui soient particuliers ou professionnels mais c'est surtout entre professionnels ok bah j'ai hâte d'en savoir plus dis-moi

  • Speaker #0

    si on remontait un peu par le passé alors t'as 23 ans t'es tout jeune je pensais pas que t'étais si jeune j'ai 23 ans je me suis dit je vais lancer la vie yes ok bah c'est super bah remontons alors bon Alors, c'est virulent parce que j'ai souvent des gens qui ont 40 ans, comme mon âge. Alors, c'est rare qu'il y ait des jeunes comme toi. Super. Écoute, je suis ravi, encore plus ravi. Je pensais que tu avais la trentaine, moi. Je t'ai vieilli plus.

  • Speaker #1

    Je te cache un peu. Je ne vais pas mentir.

  • Speaker #0

    Je te cache un peu. Remontons un peu le temps. Alors, quelques années en arrière, tu as fait quoi comme études ?

  • Speaker #1

    En fait, dès que j'ai eu 17 ans, je suis parti en Espagne. Je suis allé vivre six ans en Espagne. Je suis de retour en France depuis six jours. Donc, c'est… Ça a été six ans où j'ai étudié. J'étais dans une école de commerce qui s'appelle USAD, qui est à Barcelone. J'ai fait un bachelor en administration des entreprises. Ça m'a vraiment plu. J'ai toujours essayé de trouver un petit peu des activités à lancer en parallèle. Je n'étais pas le plus scolaire, mais en tout cas, j'aimais bien tenter des projets à droite, à gauche. J'étais dans les e-commerce. J'ai vendu des sites web aussi pendant un petit moment. J'ai été consultant dans les entreprises, mais toujours dans mon expertise, surtout le e-commerce et le côté site web. Et après, j'ai eu une grosse parenthèse dans le monde de la crypto-monnaie où j'ai été analyste en finance et de centraliser. C'était tout ce que je faisais en parallèle de mes études. Et j'étais un petit peu électrique. En fait, j'avais du mal à rester juste focus sur les études. Et après, j'ai décidé de lancer... une première entreprise qui s'appelait Rikisher et ensuite Referrali et c'est aujourd'hui Referrali enfin je suis concentré à 100% sur Referrali et Referrali m'a amené aussi à revenir vivre en France

  • Speaker #0

    Mais alors t'as fait quoi comme bac ?

  • Speaker #1

    J'ai fait un bac S ouais j'ai fait un bac S c'était je crois qu'on était la dernière année avec les bacs S ES et L je crois que maintenant ils ont changé de nom

  • Speaker #0

    C'est là où les cadres à génère prennent un coup de vieux encore C'est pas vrai

  • Speaker #1

    C'était une dernière année, j'étais à Lyon, je suis originaire de Lyon à la base. Et dès que j'ai passé mon bac, je suis parti en Espagne.

  • Speaker #0

    Ok, parce que des origines espagnoles, j'imagine ?

  • Speaker #1

    J'ai une partie de ma famille qui est d'origine catalane. Après, ce n'était pas forcément lié, c'est juste que j'avais envie de voyager un petit peu. Ce n'est pas très loin non plus, Barcelone. Mais c'était avoir envie d'apprendre une nouvelle langue. J'ai déjà appris l'espagnol à l'école, mais je me disais, bon, ce serait sympa de vraiment perfectionner l'espagnol. Et aussi de parler un peu plus anglais. À Barcelone, on parle énormément d'anglais. plus parler anglais qu'espagnol et c'était très sympa 17 ans 17 ans tu t'es un petit peu fait violence quand même c'est un peu stressant mais je me suis dit justement j'étais c'est pas c'est c'est plus simple que si on fait ça peut-être plus tard dans la vie à 30 ans et 40 ans déjà installé je me suis dit j'ai tous mes amis qui partent à l'étudier dans d'autres villes à paris à marseille si je reste à Lyon ça sera un peu un changement un peu similaire que si je partais en Espagne dans le sens où en tout cas en termes de réseau de proches, d'amis tout ça, ça allait beaucoup changer il y a surtout la barre de la langue en fait le côté, bon j'arrive dans un nouveau pays je dois m'habituer à plus parler français et encore, je connais pas mal français à Barcelone dans mon école 25% de français mais ouais

  • Speaker #0

    Et donc, après, c'était un peu l'auberge espagnole, la bonne, c'est un peu les vieilles étudiantes. Tu connais le film ?

  • Speaker #1

    Alors ?

  • Speaker #0

    Tu l'as vu ou pas ?

  • Speaker #1

    Non, je ne l'ai pas vu. Oui,

  • Speaker #0

    tu as raison, j'avais ton âge quand je l'ai vu. Je l'ai peut-être perdu sur le documentaire,

  • Speaker #1

    il a dit que je l'ai vu, mais je ne l'ai pas vu. Mais par contre, pour l'anecdote, j'ai déjà vécu en coloc où mes parents me disaient c'est vraiment l'auberge espagnole, dans le sens où j'ai vécu six mois en coloc, j'avais onze colocs. On était 12 dans l'appartement. Personne venait du même endroit. Il y avait beaucoup de personnes d'Amérique du Sud, donc des Argentins, des Mexicains. C'était assez drôle. On était quelques Européens. Et en fait, vraiment, pour essayer de communiquer les uns avec les autres, on essayait de se rejoindre sur l'espagnol. Mais déjà, même entre l'argentin et l'espagnol, ce n'est pas exactement pareil, au niveau de l'accent, au niveau du vocabulaire. Mais ouais, j'ai vécu quelques anecdotes, quelques situations assez drôles en Espagne.

  • Speaker #0

    qui sera pas de l'opération c'est la vie t'as bien résumé le film en fait ok c'est cool et après bon alors donc l'Espagne le bachelor et puis des premières expériences alors c'était c'est quoi c'était des projets étudiants c'était en alternance ou c'était

  • Speaker #1

    des c'était vraiment à côté en fait même mon école interdisait ça je sais qu'ils parlent pas français donc ils verront pas ça ils interdisaient le fait qu'on travaille à côté ils voulaient qu'on soit 100% sur les études sauf que c'était C'est pas que l'on y est en cours, mais c'est que je me suis dit que ce serait pas mal de mêler la théorie à la pratique. Donc, très rapidement, j'ai lancé des boutiques e-commerce, juste pour comprendre comment fonctionnait le marketing digital, tout ça. J'ai commencé aussi à vendre des sites web en no-code pour des petites entreprises, des PME. Et ensuite, par contre, je me suis formé dans tout ce qui est blockchain. Il y a une petite vague, on est encore dedans en ce moment. petite vague de hype sur la blockchain, sur la crypto-monnaie. Je me suis dit, je vais essayer de me former là-dessus. Donc, j'ai passé un diplôme en ligne. Et ensuite, j'ai postulé pour une boîte pour un travail qui normalement devait être à mi-temps. Finalement, je faisais 40 heures par semaine. À côté, j'avais les cours. À côté, j'avais le permis. À côté, j'avais pas mal de choses. Et au final, ça m'a vraiment plu. Donc, j'ai fait ça pendant plusieurs mois. J'ai fait ça pendant six mois. Et c'était juste avant de partir en échange aux États-Unis. Donc, je savais que ça allait être pour une période assez...

  • Speaker #0

    assez restreinte et voilà mais ça ne m'a vraiment plus je suis encore en contact avec pas mal de personnes dans cette industrie là donc mais si je comprends bien t'as un peu un touche à tout t'aimes bien te former tout seul t'aimes bien passer à l'action de ton côté te former ouais c'est ouais t'as

  • Speaker #1

    bien résumé la chose bah j'ai commencé à 17 ans à me former en ligne ah ouais ouais t'es cette nouvelle génération qui se forme un peu sur Youtube pendant qu'ils sont en cours c'est ça ? sur ULSI mais la première formation que j'ai acheté c'était vraiment distinct j'ai vraiment fait l'effort d'acheter une formation même si bien sûr on peut trouver pas mal d'informations en ligne sur Youtube et tout il y a beaucoup de contenu ça dépend des thématiques mais pour des thématiques comme les commerces il y a beaucoup de contenu en ligne je me suis aussi s'engager sur une formation c'est me dire je vais être rigoureux je vais être ultra discipliné par rapport à cet apprentissage là parce que j'ai envie de rentabiliser aussi un peu mon investissement donc ouais j'ai commencé à 17 ans et là depuis je continue à me former après effectivement il y a certaines thématiques typiquement le no code j'ai pas pris de formation pour en parler c'était vraiment du YouTube c'était Internet YouTube il n'y avait pas de GPT mais voilà

  • Speaker #0

    Rendez-vous, le podcast. Et donc, tu as vite entrepris, en fait. C'est ça, si je comprends bien. Tu as vite retrouvé consultant, à vendre des sites web.

  • Speaker #1

    Exactement. Mais c'est toujours en tant qu'auto-entrepreneur. En fait, j'ai vraiment créé une première entreprise quand j'étais en quatrième année. Donc, les Bachelors en Espagne, je ne sais pas si c'est pareil en France, mais en Espagne, les Bachelors, c'est quatre ans. En fait, en quatrième année, j'avais un projet de fin d'études, on va dire. C'était de pitcher une start-up. donc je fais ce projet de fin d'études c'était sur l'investissement immobilier fractionné, donc en fait aider les gens à investir à partir de petits montants enfin de 1000 euros moi c'était un petit peu comme ce qui se fait en France avec des SCPI, donc c'est de l'investissement immobilier avec des tickets d'entrée beaucoup plus faibles donc j'avais présenté une boîte là-dessus et en fait pendant mon échange aux Etats-Unis, j'étais à Boston, j'ai présenté ça aussi devant un jury, enfin on avait une compétition d'entrepreneuriat, je me lance dedans et j'ai gagné le... Enfin, je ne pouvais pas être sur le podium parce que j'étais un étudiant en échange donc normalement, c'est que les Américains qui sont censés être représentés sur le podium. Par contre, j'ai eu le prix du favori du public et donc je me suis dit ok, les gens accrochent énormément sur l'idée, je vais essayer de la lancer et donc en fait, c'est là où j'ai lancé ma première entreprise qui s'appelle Relatifaire qui est un investissement immobilier fractionné et voilà, qui est une solution maintenant qu'on fait en B2B, enfin, je travaille plus sur cette activité. On a revendu, je ne rentre pas forcément dans les détails, mais on a revendu la partie technique en tout cas des développeurs en Espagne et en Gals. Et voilà, et maintenant du coup je suis sur EFRL.

  • Speaker #0

    Et en tant qu'entrepreneur, c'est quoi les premières difficultés, les premières galères que tu as pu traverser ?

  • Speaker #1

    Moi la toute première, c'était l'âge. Parce qu'en fait, la première chose que je n'ai jamais vendue avec mon... Enfin... avec une entreprise, je veux dire pas en tant qu'auto-entrepreneur, mais vraiment avec une entreprise de t-shirts, c'était de l'investissement que je vendais à des particuliers. Donc ça repose que sur la confiance. Il y a beaucoup de gens qui pourraient penser que j'étais une arnaque ou je sais pas. Donc en fait, avoir en face de quelqu'un d'un peu plus âgé, forcément ça va les rassurer. Sauf que moi, à ce moment-là, j'avais 21 ans, donc j'avais pas envie de brotter à ce moment-là. Et donc il y avait ce problème de, ok, là j'avais été un frein, mais pour cette activité en particulier, c'est d'ailleurs aussi pour ça que je me suis dit que c'était pas forcément... la bonne activité pour moi à ce moment-là parce que ce n'est pas tout d'abord une bonne idée d'être dans l'exécution. C'est aussi parfois tout simplement le profil de l'entrepreneur ne matche pas avec le profil de l'entreprise qu'il est en train de créer. Donc ça, ça a été ma grosse difficulté. Ça a été l'âge. Dans le cas avec Referrali, justement, c'est plutôt bien perçu le fait que j'essaie de créer des solutions pour les entrepreneurs quand je suis jeune et que je sais faire bouger un petit peu les choses sur le côté digital. Mais oui, première grosse difficulté, ça a été l'âge et pour des projets comme le tout premier que j'ai eu, ça a été aussi lever des fonds. avec VDFrance, ça a été assez compliqué.

  • Speaker #0

    Et d'où te vient cette fibre pour l'entrepreneuriat parce que t'es quand même tout jeune ? T'es toujours dit qu'un jour, tu me lancerais des projets comme ça.

  • Speaker #1

    J'ai l'histoire. C'est pas l'histoire la plus sexy que tu m'entendes. En fait, j'avais 14 ans et je jouais à GTA V pour ceux qui connaissent.

  • Speaker #0

    D'accord. Un jeu vidéo, tout ça. C'est un truc un peu gore, non ? Où tu écrases les gens, non ?

  • Speaker #1

    Ouais, c'est pas ce que tu fais. Moi, je respecte la circulation, moi, dans GTA V. Y'a pas de... Bon, je jouais à ça, et en fait, j'avais le truc de... Je voulais monter un peu pétance dans le jeu, il fallait acheter des crédits, tout ça, et en fait, j'allais pas mal sur Internet pour taper comment gagner de l'argent sur GTA V. Gagner de l'argent sur GTA V. Et à un moment, je suis tombé... Je pense que j'ai mal cliqué sur un truc, et je suis tombé sur comment gagner de l'argent en ligne. J'arrive sur des vidéos de gourous qui me disent... Il faut faire ça, il faut faire ça. Moi, je suis 14 ans et je suis au monde. Tout le monde fait des trucs de fou. Et moi, je suis là. Et en fait, maintenant, avec du recul, je me rappelle des vidéos que je regardais. Je me rappelle des noms d'entrepreneurs que je regardais qui, aujourd'hui, n'ont pas beaucoup de problèmes parce que c'est des arnaques. Mais en tout cas, ça m'a mis un peu le pied dedans où j'ai commencé à dire, il y a des gens qui font de l'argent en ligne, il y a des gens qui développent des activités, qui font du business. Et en fait, vraiment, j'ai une petite période d'addiction là-dessus. Pendant deux, trois semaines, j'ai passé des heures et des heures sur YouTube, en fait, à regarder ces gars-là. Et petit à petit, ça m'a mené vers le marketing digital où des gens me disaient « Ouais, moi j'ai créé ma marque, j'ai fait mon branding, j'ai fait mon site et tout. » Et en fait, petit à petit, comme ça, le premier pas, c'était ça. La première étape, c'était juste j'ai pas cliqué sur quelque chose et après, je me suis retrouvé dans un univers que je ne connaissais pas du tout à 14 ans. Et après, à côté des cours, je commençais à m'enseigner, à me former, parfois, sur des trucs, encore une fois, qui n'étaient pas top top, avec du recul, où tu te dis « En fait, c'était des gourous et j'étais trop jeune pour me rendre compte que c'était des gourous. » et tu absorbes toutes les informations qu'ils te donnent mais en tout cas je suis très content que j'ai été à 5 mais permis de faire ça les jeux vidéo ne rendent pas violent

  • Speaker #0

    C'est sympa, c'est exceptionnel ce que tu partages. Moi, je suis la génération qui a vu le web, le digital arriver. Et quand j'avais ton âge, c'était un gros gap à franchir. Et là, je vois ma fille qui va se découvrir l'IA, l'intelligence artificielle, et qui va vivre quelque chose de complètement différent de moi, et qui est au même âge, à 10 ans, j'en savais. beaucoup moins parce qu'elle, elle écoute des podcasts. Donc, c'est vraiment un bouleversement de la vie des humains, quoi, avec le digital. C'est exceptionnel. Bon, bref, on ne va pas épiloguer là-dessus. Ce n'est pas le but. Allez, ça fait 15 minutes qu'on est ensemble. Il est grand temps que tu passes à ta carte blanche, Arnaud. C'est à toi de jouer.

  • Speaker #1

    Super, la carte blanche, au début, j'avais parlé du fait que forcément, le réseau, pour se lancer, moi, ça a été super important parce que quand on est jeune, peut-être, pas autant d'expérience que quelqu'un qui a 10 ans d'activité, c'est compliqué de se développer sans réseau. Ça, c'était le premier point. Mais l'autre truc aussi que je retrouve, et peut-être pour parler à des personnes qui ont plus mon âge, peut-être entre 20 et 30 ans aussi, ou sinon des personnes qui sont en reconversion, c'est que souvent, je vois qu'en fait, les gens ont peur de se lancer parce qu'ils disent qu'ils n'ont pas la crédibilité. Et je pense que la crédibilité, on l'obtient aussi en travaillant sur son projet. Simplement, au début, on n'est pas qualifié. Après, on monte en compétence. Moi, c'est vraiment le fait d'être allé aussi vite sur chaque projet. C'était le fait de me dire que la crédibilité va se développer petit à petit. Et j'ai beaucoup d'amis qui hésitent à lancer leur activité. Et je leur dis allez-y parce qu'au début, vous n'allez pas avoir beaucoup de compétences. Et après, vous allez voir vos frères et soeurs de plus en plus qualitatifs.

  • Speaker #0

    Yes. Je pense que s'ils écoutent ce podcast, ça leur donnera peut-être une vision un peu plus précise de ton parcours. Et peut-être que ça les aidera à se déclencher. J'espère. Rendez-vous, le podcast. Allez, on attaque la dernière ligne droite de l'émission. Alors, Réferali, comment fidéliser, gérer ses apporteurs d'affaires au quotidien ? Première question un peu basique, mais elle te vient d'où cette idée d'avoir lancé Réferali ?

  • Speaker #1

    Alors en fait, justement, cette première entreprise, donc FiltiShare, on proposait de l'investissement immobilier. Je me suis dit que parce que j'étais jeune, parce que j'avais du mal à convaincre juste en appel téléphonique, en visio, en parlant à des partenaires, j'avais du mal à convaincre. Je me suis dit, il faut vraiment que je m'entoure de professionnels qui vont pouvoir me recommander. Moi, je me disais, faites-moi bosser. Peu importe, vous voulez prendre une telle commission, il n'y a pas de souci. Faites-moi bosser. Donc en fait, je me suis vraiment mis dans la démarche d'aller présenter ma solution non plus à des clients. mais aller la présenter à des partenaires professionnels qui, au jour le jour, sont en contact avec ma clientèle. Et en fait, de là, j'ai rencontré pas mal d'agents immobiliers, de courtiers, gestionnaires de patrimoine, comptables, enfin, beaucoup de professionnels différents. Les gens adhéraient énormément. Ils disaient, OK, c'est top, je vais parler de toi, je vais t'envoyer des clients, tout ça. Et je voyais que mon activité commençait à se développer, surtout grâce à ça. Le problème, c'était comment rendre ça beaucoup plus tangible, c'est-à-dire faire le tri déjà entre qui est vraiment un apporteur d'affaires proactif et qui ne l'est pas. aussi il y avait tout ce côté qui m'énervait de l'administrative de se renvoyer les contrats tout ça parfois on perd une heure parce qu'il faut refaire le contrat, il faut aller demander la signature pour qu'au final de toute façon il n'y ait aucune recommandation qui en écoule je me suis dit c'est fou, il n'y a pas une solution qui est adaptée pour juste faciliter les échanges entre partenaires entre apporteurs d'affaires et j'ai commencé à en parler autour de moi je dis vous avez aussi ce problème, parce que moi je viens d'arriver c'est même pas un an que je suis dedans donc vous avez ce problème aussi Et tout le monde dit, ouais, c'est vrai que c'est un peu chiant. Il faudrait quelque chose. Et je commence à faire des petites slides de mon côté, à me dire, OK, ça pourrait ressembler à ça, à ça, à ça. Au tout départ, je le mets sur le site web de Retisher, de l'entreprise que j'avais. Je dis, on va faire ça que pour Retisher. Et quand les gens voient cette partie-là du site web, ils me disent, mais tu ne voudrais pas faire un truc pour nous ? Tu ne pourrais pas copier-coller ça pour notre activité ? Et moi, je dis, OK, si vous voulez, je peux préparer ça. Je lance des précommandes. Allez-y, je vous présente mes slides. des slides qui étaient horribles par ailleurs. Je ne sais pas si Jean-Christophe, à l'époque, tu les avais vus, les slides, mais elles étaient horribles. Et en fait, j'ai vu que les gens adhéraient énormément et qu'ils étaient prêts à payer une précommande pour avoir accès à ce genre d'outil. Et qu'au début, je me suis dit que ça n'était que pour l'immobilier. Et finalement, parmi mes premiers clients, j'ai eu des consultants d'entreprise, j'ai eu des coachs. J'ai pu faire plein d'autres mondes, type les opcos, les certifications de calopie, tout ça que je ne connaissais pas du tout. Et en fait, je me suis rendu compte que ce n'était pas un problème qui était propre à l'immobilier. C'était vraiment... tout secteur d'activité qui fonctionne au bouche à oreille, recommandation, rapport d'affaires, mais qui ne peut pas être digitalisé de la même manière que par exemple une banque en ligne qui va partager des liens d'affiliation. en fait c'est que nous on va essayer de proposer une alternative aux liens d'affiliation mais pour des professionnels qui sont dans l'humain donc voilà c'est un peu l'histoire c'est que ça vient d'un besoin que j'avais avec mon ancienne entreprise et j'ai vu que c'était un besoin commun beaucoup de personnes partageaient ce même problème et donc je me suis dit si on est suffisamment je lance la chose donc là quand on enregistre ce podcast on est le 7 novembre 2024 si je ne me trompe pas

  • Speaker #0

    Et c'était quand alors que tu as commencé à bosser là-dessus sur Referally ?

  • Speaker #1

    L'idée, mi-février 2024. L'idée, on a réuni suffisamment de précommandes pour lancer le développement en mi-mars. Donc en un mois, je me suis dit qu'il y avait suffisamment de personnes pour qu'on continue là-dessus. J'ai été en développement pendant 6 mois, 7 mois. En fait, on a lancé l'application en été 2024, fin juillet 2024. Et depuis septembre, ça va beaucoup plus vite parce qu'on a pu faire quelques événements. Typiquement, le salon du courtage à Paris, patrimonia à Lyon, le salon de la gestion de patrimoine. Je peux faire d'autres événements d'entrepreneurs en présentiel. En fait, le problème, c'est que l'application s'est lancée pendant l'été. Du coup, j'ai dû attendre septembre pour vraiment parler autour de moi en présentiel.

  • Speaker #0

    Alors, c'est quoi le modèle économique de Referali ?

  • Speaker #1

    Alors aujourd'hui, on est que sur de l'abonnement. On est que... En fait... On appelle ça un SaaS, un logiciel qu'on commercialise. On ne prend pas de commission sur les commissions, par exemple. C'est une question qui est assez récurrente. On dit, si je paie une commission dans l'apporteur d'affaires, tu vas prendre des frais. Non, on ne prend pas de frais là-dessus. C'est juste sur un logiciel. Donc, on a un bon moment où on accélère en fonction des conditions.

  • Speaker #0

    Donc, on se connecte. Et comment on peut gérer justement ces apporteurs d'affaires ? Parce qu'au quotidien, quand même... Un apporteur d'affaires, il faut le garder sous la main. Un des meilleurs moyens de fidéliser un apporteur d'affaires, c'est quand même de le valoriser et de le rémunérer, comme tu l'as dit, sans trop de difficultés, sans galères. Alors, quel est un peu le parcours de l'utilisateur ?

  • Speaker #1

    Déjà, le premier truc, c'est que, parce que pareil, c'est une question qu'on a pas mal, il y en a qui me disent, est-ce que ça peut venir remplacer ? Enfin, ils ne verbalisent pas comme ça, mais en gros, c'est est-ce que ça peut remplacer l'humain ? Est-ce que juste avec l'application, je peux ajouter des prescripteurs que je ne connais pas ? Il y a des marchés sur LinkedIn, ils ajoutaient ? Je dis dans la théorie, oui. Dans la théorie, c'est des liens, des QR codes, vous pouvez ajouter qui vous voulez. En revanche, c'est toujours complémentaire à l'humain, et je pense que tu vas me rejoindre dessus, c'est que le digital doit se mettre au service de l'humain et pas l'inverse. Donc en fait, ici, c'est de se dire que l'application, c'est offrir une facilité pour ces prescripteurs, ces apporteurs d'affaires, pour nous recommander. En fait, l'intérêt pour la porteur d'affaires, c'est que via l'application, il va y avoir un espace privilégié pour faire de la recommandation. Donc, ce sera beaucoup plus accessible. En quelques secondes, n'importe quel jour, n'importe quelle heure, il peut vous envoyer un contact. L'autre avantage, c'est que la relation professionnelle est recadrée dès le départ avec un contrat qui se signe très facilement. Donc, voilà, ça s'accepte comme une politique de confidentialité, une case à cocher une fois qu'on a bien vu l'ensemble du contrat. Et surtout, le point le plus important, c'est avoir de la transparence sur la recommandation qu'il va vous faire. Donc, en fait... Et s'il se dit, lui, il vous fait de la roco, il veut ensuite avoir toutes les étapes de suivi qui sont importantes pour lui, jusqu'au moment où la commission est payée, s'il y a une commission finale, l'application marche aussi sans commission, mais au moins qu'il soit tenu au courant à chaque étape du process. Donc ça, c'est tout l'intérêt pour l'apporteur d'affaires et tout l'intérêt pour le professionnel qui utilise l'application Referrali avec ses apporteurs d'affaires, c'est de se dire, il va pouvoir fidéliser une communauté de prescripteurs et pouvoir avoir de la visibilité sur qui le recommande. mettre à disposition les documents pour mieux être recommandés, pouvoir relancer un petit peu son réseau une fois par mois, par exemple, avec une notification, et surtout que chaque rencontre puisse découler d'une relation professionnelle apporteur d'affaires avec un simple lien QR code qui vient, dans l'idée, remplacer un petit peu les cartes de visite. En tout cas, c'est le projet à moyen terme.

  • Speaker #0

    Rendez-vous le podcast. C'est ce que tu disais au début, ce n'est pas un moyen de prospection.

  • Speaker #1

    Il y en a qui le font. Il y en a qui le font. Je ne peux pas arrêter là-dessus. J'ai hâte de voir aussi des idées, des manières d'utiliser que je n'avais pas forcément en tête à la base. Par exemple, au tout début... Je ne l'imaginais pas du tout comme un outil vraiment complémentaire à LinkedIn, enfin toujours sur une prospection LinkedIn. Et en fait, on a des utilisateurs qui commencent à faire des campagnes sur LinkedIn où ils vont contacter, je ne sais pas, par exemple, ils sont, on va faire le cas le plus simple, ils sont agents immobiliers ou courtiers. Ils vont aller contacter des professionnels complémentaires à leur activité, par exemple, gestionnaire de patrimoine. des comptables, des décorateurs d'intérieur, dans leur région, ils vont commencer à dire « J'ai vu votre activité sur LinkedIn, moi je fais ça, ça peut être complémentaire. Est-ce que vous serez dispo pour une rencontre en visio ? » On apprend à se connaître. Ils font ça et ensuite, quand ça matche bien, ils partagent leur lien ou leur QR code pour travailler ensemble au sein de Referrali. Il y en a même qui ne font pas l'effort de faire les visios, ils balancent leur lien. Je leur dis qu'il faut voir au niveau des résultats ce que ça donne, mais c'est toujours mieux quand même d'en venir. rencontrer la personne.

  • Speaker #0

    Oui, c'est un peu en mode marketing de l'espoir.

  • Speaker #1

    C'est ça, c'est ça. Il y en a un peu plus en plus.

  • Speaker #0

    Oui, sur du volume, j'imagine que ça marche.

  • Speaker #1

    Sur du volume, oui.

  • Speaker #0

    Mais rien de nouveau. L'échange en amont, forcément. L'exemple que je prends souvent, c'est les séquences de mails automatiques. Ce que tu peux recevoir. Si c'est un illustre inconnu qui t'envoie ça, tu vas vite te désabonner. Si c'est quelqu'un que tu... connais, tu vas plus te demander si tu te désabonnes ou tu vas continuer à consommer ces contenus de temps en temps. C'est un peu ça l'idée. De toute façon, il y a toujours le lien hyper important. C'est le début de tout.

  • Speaker #1

    C'est ça. C'est pour ça que les premières étapes, aujourd'hui, la première chose à faire, c'est de venir ajouter ses anciens clients qui sont satisfaits, parce que c'est les meilleurs apporteurs d'affaires en termes de qualité de recommandation. Et après, ajouter ses partenaires professionnels avec qui on bosse déjà. Ça fait déjà une bonne base pour comprendre comment l'application fonctionne et voir comment ça fait gagner du temps, tout ça. et ensuite une fois qu'on a cette base là pourquoi pas aller chercher de nouveaux prescripteurs de nouveaux apporteurs d'affaires mais je pense que étape par étape encore une fois qu'il faut de l'automatisation sur l'exit et qu'il va être référalité c'est pas moi qui vais me plaindre de ça mais

  • Speaker #0

    je pense qu'il faut différencier le volume et la qualité des apporteurs d'affaires quelque chose qu'on a abordé en préparant cette émission c'est le fait que finalement quand t'es sur Réferrali les gens de ton réseau qui sont là tu les gardes pour toi, c'est vraiment un réseau privé c'est pas public tu vas pas aller faire ton marché dans les apporteurs d'affaires de tous les autres.

  • Speaker #1

    Exactement ça c'était super important dès le début quand j'ai pensé l'application je me suis dit pourquoi pas avoir une partie publique en fait on peut se retrouver les uns les autres, en fait en présentant ça je me suis rendu compte que chaque entrepreneur que je rencontrais me disait non mon réseau c'est mon réseau je suis très heureux de faire de la mise en relation quand c'est adapté en revanche je ne veux pas que tout le monde puisse voir quels apporteurs d'affaires j'ai ajoutés sur ma plateforme, qui sont mes prospects. Les prospects, on n'en parle même pas, mais il faut dire les apporteurs d'affaires, que ce soit aussi quelque chose de très privé. Souvent, je vois comme exemple TrickHunt, on en parlait aussi un petit peu avant, mais TrickHunt qui est une application de partage de dépenses entre amis. Si je ne dis pas de bêtises, c'est un fondateur français et qui m'attend sur l'international. Et en fait, ça a bien marché aussi parce que c'est des réseaux privés de partage de dépenses entre amis. On s'envoie un lien et on fait partie d'un petit groupe qui est réuni pour un but bien précis, une calcul des dépenses entre amis. Dans l'idée, Referally, c'est que ce soit un peu le tricount de l'apport d'affaires. En fait, on est cette petite communauté d'apporteurs d'affaires, de contacts pros et particuliers avec qui on a des missions de recommandation et on peut faire du suivi de dossiers ensemble.

  • Speaker #0

    Pour voir plus globalement, prendre un peu de hauteur par rapport à Referally, comment on gère au quotidien ces apporteurs d'affaires ? Donc, on a la partie référalie, bien sûr, où tu vas pouvoir les fidéliser. Mais toi, comment tu conseilles tes clients ? Parce qu'il y a toute la partie en amont. On parlait de lien d'humain juste avant. Comment tu imbriques référalie dans la fidélisation et la gestion au quotidien de ces apporteurs d'affaires ?

  • Speaker #1

    Oui. Alors déjà, le tout premier truc qu'on fait aujourd'hui, c'est qu'on accompagne chaque utilisateur de la plateforme. Alors, ça fait du boulot, mais en fait, c'est se dire... justement du coup on vient rajouter un outil pour encadrer toutes ces relations professionnelles il faut aussi que l'utilisateur soit ultra bien, enfin, éduqué on va dire, enfin formé sur l'outil on va déjà les accompagner pour mieux comprendre comment ils fonctionnent avec leurs apporteurs d'affaires aujourd'hui si leur objectif c'est plutôt de développer ces réseaux de prescripteurs si c'est plutôt de les centraliser ou de les gérer, ou les trois donc voilà on va faire pas mal d'accompagnement là-dessus et en fait pour vraiment l'utilisation concrète de l'application c'est qu'une fois qu'on a son compte qui est mis en place et ça on le fait avec chaque utilisateur, on a une petite visio, on remplace le compte ensemble. En fait, ils ont juste à partager un lien ou un QR code dès qu'ils sont en contact avec, je ne sais pas, ils viennent de finir une mission avec un client, ils viennent de rencontrer un nouveau partenaire lors d'un événement de networking, qu'ils aient juste à partager le QR code, que ça ne leur prenne pas de temps supplémentaire, parce que je n'ai pas envie de rajouter un deuxième truc à faire, que ce soit vraiment un scan de mon QR code, parce que je pense qu'il peut y avoir des synergies entre nos activités, et si Alainir, tu me recommandais, tu as un espace privilégié dessus. Super. La personne, comme ça, elle scanne le QR code en face, elle est redirigée vers l'application, vers le programme partenaire de la personne qui lui a fait scanner son QR code, et de là, elle a un accès à mon privilégié pour le recommander. C'est vraiment aussi simple que ça, et ensuite...

  • Speaker #0

    Une fois qu'elle fait une recommandation, par exemple, je ne sais pas, un gestionnaire de patrimoine qui va recommander un agent immobilier, une fois que la recommandation est faite, en fait, on a un menu de suivi où l'apporteur d'affaires voit toutes les étapes de suivi qui lui sont fournies. Il voit à quelle étape on en est, à quelle date telle ou telle étape a été franchie. Et du point de vue du professionnel qui a reçu le prospect, c'est exactement la même chose, sauf que lui, il a la possibilité de passer à l'étape suivante. Il dit, ok, tel jour, tel heure, j'ai contacté le prospect, j'ai fait un appel vidéo avec lui, j'ai signé. tel qu'on traite avec lui ça peut je vais dire un mot pas sexy ça peut faire un peu CRM le mot CRM je n'aime pas mais CRM à double entrée en fait où chacun des parties a de la visibilité sur ce qui se passe donc c'est un truc comme ça quand on utilise l'outil mais l'idée c'est que ce soit quand même un gain de temps oui c'est intéressant ce que tu dis parce que un CRM pour ceux qui nous écoutent c'est un logiciel qui

  • Speaker #1

    permet de gérer ses clients et Moi, je ne connais pas de CRM où, justement, il y a une partie gestion des apports d'affaires dedans, il y a classification des contacts, hyper qualifiés. C'est assez rare et je pense que c'est quelque chose qui me manque aujourd'hui et que un référent rallye va peut-être un peu compléter ça. Après, moi, j'avais une autre question. On m'a dit, vraiment, pour fidéliser ces apporteurs d'affaires, on a un référent rallye où on peut avoir d'autres fonctions, mais il y a le côté un peu, il faut savoir... donner ça, le lien référé, tu parlais de QR code mais il faut savoir le donner au bon moment quand même je pense parce que si tu commences à démarcher sur LinkedIn, moi ça me fait penser aux agents immobiliers une profession que je connais à peu près bien, où en fait ils publient sur leur réseau je rémunère mes apporteurs d'affaires et je crois qu'il y a quand même certains messages qu'il ne faut pas faire passer trop tôt c'est plutôt qu'au moment où la relation on a contractualisé ensemble ou alors On a fait du réseau ensemble, on s'entend bien. Il est peut-être temps de passer next step. Ouais, ok, on peut se recommander. On commence déjà peut-être à se faire des mises en relation avant de se recommander. Et puis, boum, on va enclencher, refaire allier. Tant que la relation n'est pas enclenchée, c'est difficile quand même, non ? Tu ne crois pas ?

  • Speaker #0

    Je suis d'accord. C'est pour ça que souvent, je compare une carte de visite. Je leur dis, en fait, vous n'allez pas sortir avec carte de visite avant d'avoir dit bonjour à quelqu'un. Enfin, c'est un peu ça. Souvent, ça vient à la fin d'un échange. Après, quand c'est un client avec qui on a déjà travaillé, quand c'est un professionnel avec qui on a déjà travaillé, forcément, on lui envoie le lien sur WhatsApp que ça n'a pas de choqué. Mais par contre, un événement de networking, je pense que c'est un peu too much d'arriver dès le début et dire bonjour. Ausha sur Eferaly d'ailleurs, parce que comme ça, tu peux m'en commander. C'est un peu le problème. Mais d'ailleurs, à ce sujet justement, vu que j'essaie de pas mal expliquer ça, que c'est plutôt en fin de discussion, que c'est... Comme une carte de visite, en fait, on sort des cartes de visite referralées, où l'idée, c'est de pouvoir taper directement le téléphone de la personne à la fin de l'échange et dire, comme ça, je t'ai ajouté en tant qu'apportant d'affaires, ça retire directement la personne sur une carte de visite virtuelle ou s'ils ont la possibilité de devenir apportant d'affaires. Donc ça, c'est quelque chose qu'on est en train de lancer en ce moment, avec petit exclu.

  • Speaker #1

    Yes, le scoop !

  • Speaker #0

    Mais l'idée, c'est qu'en fait, on puisse présenter les referralées comme une facilité, enfin comme l'étape après une carte de visite. En fait, c'est dire qu'on sera plus tangible parce qu'on a une carte de visite entre les mains, mais que c'est vraiment en fin d'échange.

  • Speaker #1

    C'est bien joué. La carte de visite connectée est une innovation aussi qui permet de faire vivre en réseautage ou en rencontre des moments assez sympas. Ok, et quels conseils tu donnes pour fidéliser tes clients, faire en sorte que tes clients fidélisent leurs rapporteurs d'affaires ? Tu leur recommandes de faire des déjeuners de temps en temps, de faire des appels, c'est quoi tes stratégies ?

  • Speaker #0

    Moi je suis très appel, je suis très très appel pour le coup, et je le dis à chaque fois que j'ai même un rendez-vous avec quelqu'un qui n'est pas un client, qui n'est pas un partenaire, enfin dès que je suis avec quelqu'un au téléphone, je dis mon téléphone pro et mon perso c'est le même. appelez-moi j'aime quand on m'appelle il y a un truc au copse-sol les gens savent que directement ils peuvent m'appeler que si je ne suis pas dispo je les rappelle dans les 4 minutes qui suivent et en fait moi c'est surtout ce côté disponibilité où je sens que les gens ont davantage envie de bosser avec moi et je pense que c'est pareil pour chaque professionnel en fait c'est quand on se montre disponible c'est dans mes priorités tu m'appelles c'est dans mes priorités parce qu'on a bossé ensemble dans le passé parce qu'on peut bosser ensemble dans le futur je trouve que les gens apprécient bien je fais aussi pas mal de suivi et je pense que chaque professionnel professionnels qui pourraient faire ça c'est vraiment aller pas toutes les semaines mais si t'as pas de nouvelles une fois tous les mois un petit message un petit truc t'as même je sais pas un article moi quand je tombe sur des nouveautés ou intéressantes et j'en ai parlé dans une discussion avec un partenaire ou un client je le renvoie ça permet de maintenir le contact sans être intrusif donc c'est du côté disponibilité et suivi quand c'est adapté après pas le forcer non plus mais

  • Speaker #1

    Il y a des fonctionnalités, pour en revenir à Réferali, qui aident ou suivent comme ça dans l'appli ?

  • Speaker #0

    Oui, alors on a le côté notification, pour l'instant qui est un petit peu impersonnel, dans le sens où on va pouvoir envoyer une notification commune à l'ensemble de son réseau d'apporteurs d'affaires. C'est pour faire gagner du temps aux professionnels, justement en se disant, s'il a 50 apporteurs d'affaires sur l'application, entre des particuliers et des professionnels, en quelques secondes, il va pouvoir envoyer une notification, ça peut être ce qu'ils veulent, ça peut être, n'oubliez pas, vous pouvez m'en commander, ça peut être bonne année, ils mettent la notification qu'ils veulent. Donc ça, c'est pour dire, si vous n'avez pas le temps de... de garder ce contact au moins il y a une petite picture de rappel que vous existiez que vous existiez donc ça ça va être un des moyens l'autre chose c'est quand on met à disposition des documents sur l'application on peut partager des documents avec ses apporteurs d'affaires pour qu'ils nous recommandent un petit peu plus efficacement quand on télécharge un document si on veut ça peut aussi envoyer un petit message en disant voilà Jean-Christophe Lebelec va télécharger un document pour que vous puissiez le recommander à votre target C'est un peu la suite. En fait, c'est toujours assez compliqué d'être dans le suivi et le maintien de la relation sans être intrusif. Il y a des gens, ils ne veulent pas que tu les appelles, ils ne veulent pas que tu leur envoies des emails. Donc, nous, on s'est dit, le côté notification, déjà, c'est un peu plus visible qu'un email, c'est moins intrusif qu'un appel téléphonique. Pour l'instant, on est vraiment là-dessus. Et sur le côté suivi, celle de ces recommandations qui, déjà, rend la chose beaucoup plus tangible pour chaque partie.

  • Speaker #1

    Oui, dans l'appli, il y a aussi la possibilité de faire des partenariats. Tu peux nous en dire plus ? Je dis souvent, moi, que... La suite logique du networking et du réseautage, c'est le partenariat.

  • Speaker #0

    Oui. Alors là-dessus, tu vas me dire si on parle de la même chose, mais en fait, le partenariat dans le sens où il n'y a pas de commission, c'est un échange de mon procédé. C'est ça que tu veux dire ? Oui.

  • Speaker #1

    Après, tu vois, ça peut être de la co-distribution, du co-marketing, de faire la construction. Ce qu'on est en train de faire en ce moment, on fait un live ensemble. C'est aussi une sorte de partenariat, des choses comme ça.

  • Speaker #0

    Déjà, le tout premier point, juste par rapport au côté partenariat, mais d'échange de mon procédé, il y a beaucoup de professionnels qui me demandent si l'application est faite pour eux parce qu'ils n'ont pas d'apporteur d'affaires pour vous parler, c'est que des partenaires où ils ne se donnent pas de commission les uns les autres, c'est juste qu'ils s'envoient des contacts et bossent dessus ensemble. L'outil est carrément fait pour ça. On fait en sorte que l'outil s'adapte à la manière de travailler de chaque professionnel et pas l'inverse. Donc, c'est possible de travailler sans commission via l'application. c'est peut-être la parenthèse partenaire en termes de recommandations maintenant aussi on a développé quelque chose qui s'appelle Referraly Finder c'est vraiment créer tout un écosystème autour de de l'apport d'affaires, enfin des synergies entre professionnels et donc on a l'application Referraly et on a Referraly Finder qui est une fonctionnalité qui est aussi au sein de l'application et qui permet de rencontrer justement des partenaires professionnels si on a un contact pour eux, par exemple demain, toi Jean-Christophe t'as je sais pas, quelqu'un qui cherche à ... refaire son site web. Tu n'as pas forcément un professionnel à lui recommander et pour autant, tu sais que si tu les mets en relation, ça va aussi, tu vois, ça va alimenter un peu ton réseau. Tu as envie d'être la personne qui présente aussi quelqu'un. Nous, en fait, on va faire cet effort de trouver un professionnel qui matche, tu vois, ta requête. Tu veux rencontrer quelqu'un qui est web designer pour un client à toi qui a besoin de refaire son site web, on peut te mettre en contact avec un utilisateur de Viferali ou sinon un utilisateur hors Viferali, mais... qu'on va venir trier sur le volet parce qu'on a forcément notre réputation aussi en jeu là-dedans. Donc, c'est tout de suite pour les partenariats.

  • Speaker #1

    C'est important ce que tu dis parce que dans le réseautage, le networking, il y a plusieurs types de mises en relation. Il y a vraiment la recommandation pure et dure. C'est un peu le graal. Mais avant d'en arriver là, je pense qu'il faut faire beaucoup de mises en relation, rencontrer beaucoup de monde et savoir créer. Et chez moi, ce n'est vraiment pas un maître mot, des synergies, mais vraiment des partenariats, des choses concrètes et pas arriver avec ça. et son couteau dire ouais on fait des synergies coucou on se connecte vraiment un direct bah voilà on fait un live ensemble un truc de concret donc il y a ça il y a plusieurs types de mise en relation et en plus je vais encore plus loin il y a certaines professions où c'est interdit de faire de la recommandation payante enfin de l'apport d'affaires payant je pense notamment aux avocats qui peuvent se faire un peu taper sur les doigts par le bâtonnier s'ils font ça c'est pas le droit de faire de la pub et tout donc Et dernièrement, j'ai recommandé un avocat. Et pour me remercier, il m'a dit, écoute, je ne peux pas te payer pour cette mise en relation, pour cette recommandation. Par contre, je t'invite au resto.

  • Speaker #0

    Oui, c'est pas mal. Il y a les notaires aussi, les experts comptables. C'est toujours un petit peu touchy. Mais oui, ce sont des restos, des cadeaux.

  • Speaker #1

    Ouais, donc du coup, ton appli, et aussi pour ce type de mise en relation, est aussi efficace, c'est cool ça.

  • Speaker #0

    Exactement, ouais. C'est que ça, juste, c'est qu'en fait, dans l'accord de partenariat, c'est bien écrit qu'il n'y a pas de commission, encore plus quand c'est des professionnels réglementés, mais même si tout simplement, on se dit, ah bah non, c'est un échange de bons procédés, moi je ne veux pas qu'on se refile des commissions, on va plutôt s'envoyer du... du business l'un et l'autre, à ce moment-là, c'est écrit pas de commission et dans la description ou même en personne puisqu'encore une fois, c'est le cas en intérêt de l'humain, se dire bon, c'est très bien, on va se remercier quand même en cadeau, en resto. Et même ce que je dis, c'est ce que tu disais avant, mais c'est mieux. Moi, je trouve que les gens bossent mieux comme ça. En fait, le côté commission, c'est si on sait qu'en fait, en face, nous, on va apporter des affaires mais qu'en face, la personne ne peut pas forcément faire pareil. C'est normal que pour trouver un équilibre, il y en a qui disent, ok, il n'y a pas de souci, tu ne peux pas m'envoyer ce que je peux t'envoyer, pourquoi pas travailler sous forme de commission ? Mais je pense qu'à choisir, si c'était possible, tout le monde choisirait plutôt un échange de bons procédés que des commissions.

  • Speaker #1

    On arrive au terme de cet échange. Qu'est-ce qu'on peut souhaiter ? Encore trois questions. Qu'est-ce qu'on peut souhaiter pour la suite, pour Referrali ? C'est quoi les prochaines étapes ?

  • Speaker #0

    Prochaine étape, c'est vraiment de créer tout un écosystème autour de la recommandation, que ce ne soit pas seulement une application, que ce ne soit pas seulement Referrali Finder, pas seulement la carte de visite que je t'ai montrée, la carte connectée. On est aussi en train de créer des réseaux d'affaires Referrali à côté qui sont inclus pour les utilisateurs premium de la plateforme. Donc vraiment, on va dire ma mission, c'est d'aider un peu tous les entrepreneurs à développer leur réseau. Et toi, c'est pareil, c'est aussi ta mission, c'est d'accompagner les professionnels là-dedans. Donc, ce n'est pas qu'on s'arrête juste à l'application, que ce soit vraiment un écosystème vivant qui enveloppe beaucoup de produits, services différents. Le but final est de développer son réseau et simplement développer son activité grâce à son réseau.

  • Speaker #1

    Comment on peut t'aider aujourd'hui ?

  • Speaker #0

    Aujourd'hui, on peut m'aider aussi en me donnant des retours sur l'application parce que, comme vous avez compris, on a lancé il n'y a pas si longtemps finalement. Moi, je suis sur l'application tous les jours, je ne sais pas combien d'heures par jour. mais c'est toujours compliqué d'avoir le recul. Donc, on a des testeurs aussi à droite à Ausha des retours des utilisateurs, mais très heureux d'avoir des retours, que ce soit sur les designs, que ce soit sur les fonctionnalités, comment rendre ça plus intuitif. On en parlait un petit peu avant la peine. Ça, ce serait une manière de m'aider. Et aussi, j'essaie de rentrer plus en contact avec des administrateurs de réseaux d'affaires parce qu'on développe vraiment cette partie-là. Donc, s'il y a des administrateurs de réseaux d'affaires qui m'écoutent, très heureux pour travailler ensemble, mettre Referrali à disposition de réseaux d'affaires. C'est quelque chose pour moi. qu'on va en faire dans les prochaines semaines, prochaines fois.

  • Speaker #1

    J'ai un contact pour toi, on en parle après. Allez, juste avant de te dire au revoir, maintenant que tu as vécu l'expérience du live avec moi, la méthode rendez-vous, le podcast rendez-vous, qui est-ce que tu verrais bien passer dans ce podcast pour le prochain ?

  • Speaker #0

    Mais c'est compliqué parce que c'est ça que j'y ai pensé pendant tout le podcast. Mais non, c'est très dur.

  • Speaker #1

    Je n'aurais pas dû te prévenir. Oui,

  • Speaker #0

    mais tu sais qu'il y a... J'ai des noms en tête, c'est que j'ai tout le monde des noms. Mais en fait, moi, j'aimerais bien peut-être voir des personnes, effectivement, qui viennent tout juste de lancer leur activité. Alors, c'est toujours compliqué parce que s'il faut forcément avoir... Enfin, pour sélectionner, c'est peut-être un peu plus compliqué, mais des gens qui ont lancé leur activité il n'y a pas très longtemps. Et pour parler davantage, justement, de ce qui est compliqué, tu vois, quand on lance l'activité, surtout parce qu'il y a toujours une notion de réseau là-dedans. Tu vois, je l'expliquais un peu au début, moi, c'était que ça, le début de mon activité. donc j'allais dire un type de professionnel ça serait n'importe quel entrepreneur startupper qui aurait lancé son activité il y a moins d'un an ça me plairait beaucoup voir ça et j'ai des contacts pour toi si tu veux faire ça ah t'as vraiment un nom à me lâcher j'ai

  • Speaker #1

    pas de nom ok bon j'insiste pas écoute merci Arnaud d'avoir passé ce moment avec toi merci à toi pour l'invitation à très vite à très très vite

  • Speaker #0

    et puis n'hésitez pas à aller regarder ce que fait Arnaud son profil LinkedIn faire une visio avec lui et puis peut-être pourquoi pas télécharger son appli par la suite et prenez un de tout retour encore merci pour tout Jean-Christophe aussi pour l'aide parce que tu nous as aussi accompagné au tout début des retours sur l'application tu vois qu'on était en précommande donc aussi très reconnaissant de ça et merci pour le live pour lui expliquer un petit peu ce que je faisais et

  • Speaker #1

    longue vie à Réferrali merci salut Arnaud salut C'était Rendez-vous, le podcast qui fabrique et consolide votre réseau d'apporteurs d'affaires.

Description

Arnaud Attencia, jeune entrepreneur de 23 ans est le fondateur de Referaly, une plateforme de gestion et de fidélisation des réseaux d'apporteurs d'affaires. Arnaud partage son parcours, des débuts en Espagne à 17 ans jusqu’à son retour en France. Il nous plonge dans son univers, où la détermination l'ont guidé pour se former en commerce, e-commerce, et blockchain en autodidacte. Entre anecdotes et conseils, il explore avec transparence ses défis en tant que jeune fondateur et les obstacles qu’il a surmontés, en particulier dans la création de solutions pour le développement des réseaux professionnels fondés sur la recommandation.


Extraits :

  1. Sur son apprentissage autodidacte : « Dès mes 17 ans, je me formais en ligne, jonglant entre cours de commerce et e-commerce. J'ai lancé des boutiques, puis je suis devenu consultant tout en continuant à me former en blockchain et finance. Tout ça, c’était des heures de YouTube et des formations achetées en ligne. »

  2. Sur ses débuts en vente et réseau : « En tant que jeune entrepreneur, convaincre n’était pas toujours simple. J’ai vite compris que la recommandation par des professionnels de confiance était primordiale, et j'ai bâti mon réseau en m’entourant de courtiers, de conseillers... Referaly est né de cette expérience. »

  3. Sur sa vision de l’entrepreneuriat : « Mon âge a parfois été un frein, surtout dans des domaines exigeants de la crédibilité comme l'investissement immobilier. Mais j’ai persévéré, en cherchant toujours à me former et à avancer étape par étape, sans attendre d'être “parfaitement prêt”. »
    🎧 Bonne écoute ! 🎧



📚 RESSOURCES

👐 LinkedIn de Arnaud Attencia

🌐 Site web de Referaly


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Transcription

  • Speaker #0

    Rendez-vous, le podcast qui fabrique et consolide votre réseau d'apporteurs d'affaires. On est en direct. Salut Arnaud.

  • Speaker #1

    Salut Jean-Christophe.

  • Speaker #0

    J'espère que tu vas bien, que tu as la patate en cette fin de semaine.

  • Speaker #1

    Ça va super, ça va super. Et toi tu vas bien ?

  • Speaker #0

    Ouais, ouais, ouais, en plein lancement de mon école du réseautage, donc je suis à fond les ballons. Mais bon, c'est pas le sujet, aujourd'hui on va parler de toi, on va parler de Referrali. L'idée c'est de passer un petit moment ensemble, aller jusqu'à 40 minutes, pas plus promis, parce que je sais que t'as plein d'autres choses à faire après. Trois moments qu'on va passer ensemble, tu vas nous dire un petit peu qui tu es professionnellement, d'où tu viens, ce que tu as fait, on peut même remonter un peu. aux études pour voir un petit peu quel est ton parcours, ton cheminement. Tu nous diras aussi pourquoi tu t'es lancé dans l'entrepreneuriat. Et puis après, tu auras une minute de carte blanche. Alors une minute, pas plus. J'insiste parce qu'après au montage, moi, ça me donne un peu trop de travail. Une minute grand maximum sur le sujet. Qui t'est cher ? Pourquoi pas une asso que tu soutiens, une publicité pour ton projet, ton entreprise, ta startup, ton appli. Vraiment ce dont tu veux. ce que tu veux pendant maximum une minute. Et puis après, on essaiera de voir un petit peu comment ces apporteurs d'affaires, on parlera de Referrali, de la genèse du projet, comment c'est devenu finalement une vraie entreprise. Et puis, on parlera un petit peu aussi de comment fidéliser ces apporteurs d'affaires, comment les gérer au quotidien. Et puis voilà, je pense qu'on aura fait un bon tour déjà de ce que tu fais.

  • Speaker #1

    Super, parfait.

  • Speaker #0

    T'es prêt ? Alors, il y a un petit rituel au début de cette émission, c'est toujours la même chose. Je te demande de te présenter Arnaud, ton entreprise, ta boîte, pendant 30 secondes, histoire que ceux qui nous écoutent sachent qui tu es, ce que tu fais. Et puis, ne rentre pas trop dans les détails parce que tu l'as compris, c'est le menu d'après.

  • Speaker #1

    Bien sûr. Je m'appelle Arnaud Tancéa, j'ai 23 ans et j'ai lancé Referally, qui est une plateforme tout simplement de recommandations entre professionnels. c'est globalement pour aller développer centraliser et gérer ces réseaux de prescripteurs d'apporteurs d'affaires qui soient particuliers ou professionnels mais c'est surtout entre professionnels ok bah j'ai hâte d'en savoir plus dis-moi

  • Speaker #0

    si on remontait un peu par le passé alors t'as 23 ans t'es tout jeune je pensais pas que t'étais si jeune j'ai 23 ans je me suis dit je vais lancer la vie yes ok bah c'est super bah remontons alors bon Alors, c'est virulent parce que j'ai souvent des gens qui ont 40 ans, comme mon âge. Alors, c'est rare qu'il y ait des jeunes comme toi. Super. Écoute, je suis ravi, encore plus ravi. Je pensais que tu avais la trentaine, moi. Je t'ai vieilli plus.

  • Speaker #1

    Je te cache un peu. Je ne vais pas mentir.

  • Speaker #0

    Je te cache un peu. Remontons un peu le temps. Alors, quelques années en arrière, tu as fait quoi comme études ?

  • Speaker #1

    En fait, dès que j'ai eu 17 ans, je suis parti en Espagne. Je suis allé vivre six ans en Espagne. Je suis de retour en France depuis six jours. Donc, c'est… Ça a été six ans où j'ai étudié. J'étais dans une école de commerce qui s'appelle USAD, qui est à Barcelone. J'ai fait un bachelor en administration des entreprises. Ça m'a vraiment plu. J'ai toujours essayé de trouver un petit peu des activités à lancer en parallèle. Je n'étais pas le plus scolaire, mais en tout cas, j'aimais bien tenter des projets à droite, à gauche. J'étais dans les e-commerce. J'ai vendu des sites web aussi pendant un petit moment. J'ai été consultant dans les entreprises, mais toujours dans mon expertise, surtout le e-commerce et le côté site web. Et après, j'ai eu une grosse parenthèse dans le monde de la crypto-monnaie où j'ai été analyste en finance et de centraliser. C'était tout ce que je faisais en parallèle de mes études. Et j'étais un petit peu électrique. En fait, j'avais du mal à rester juste focus sur les études. Et après, j'ai décidé de lancer... une première entreprise qui s'appelait Rikisher et ensuite Referrali et c'est aujourd'hui Referrali enfin je suis concentré à 100% sur Referrali et Referrali m'a amené aussi à revenir vivre en France

  • Speaker #0

    Mais alors t'as fait quoi comme bac ?

  • Speaker #1

    J'ai fait un bac S ouais j'ai fait un bac S c'était je crois qu'on était la dernière année avec les bacs S ES et L je crois que maintenant ils ont changé de nom

  • Speaker #0

    C'est là où les cadres à génère prennent un coup de vieux encore C'est pas vrai

  • Speaker #1

    C'était une dernière année, j'étais à Lyon, je suis originaire de Lyon à la base. Et dès que j'ai passé mon bac, je suis parti en Espagne.

  • Speaker #0

    Ok, parce que des origines espagnoles, j'imagine ?

  • Speaker #1

    J'ai une partie de ma famille qui est d'origine catalane. Après, ce n'était pas forcément lié, c'est juste que j'avais envie de voyager un petit peu. Ce n'est pas très loin non plus, Barcelone. Mais c'était avoir envie d'apprendre une nouvelle langue. J'ai déjà appris l'espagnol à l'école, mais je me disais, bon, ce serait sympa de vraiment perfectionner l'espagnol. Et aussi de parler un peu plus anglais. À Barcelone, on parle énormément d'anglais. plus parler anglais qu'espagnol et c'était très sympa 17 ans 17 ans tu t'es un petit peu fait violence quand même c'est un peu stressant mais je me suis dit justement j'étais c'est pas c'est c'est plus simple que si on fait ça peut-être plus tard dans la vie à 30 ans et 40 ans déjà installé je me suis dit j'ai tous mes amis qui partent à l'étudier dans d'autres villes à paris à marseille si je reste à Lyon ça sera un peu un changement un peu similaire que si je partais en Espagne dans le sens où en tout cas en termes de réseau de proches, d'amis tout ça, ça allait beaucoup changer il y a surtout la barre de la langue en fait le côté, bon j'arrive dans un nouveau pays je dois m'habituer à plus parler français et encore, je connais pas mal français à Barcelone dans mon école 25% de français mais ouais

  • Speaker #0

    Et donc, après, c'était un peu l'auberge espagnole, la bonne, c'est un peu les vieilles étudiantes. Tu connais le film ?

  • Speaker #1

    Alors ?

  • Speaker #0

    Tu l'as vu ou pas ?

  • Speaker #1

    Non, je ne l'ai pas vu. Oui,

  • Speaker #0

    tu as raison, j'avais ton âge quand je l'ai vu. Je l'ai peut-être perdu sur le documentaire,

  • Speaker #1

    il a dit que je l'ai vu, mais je ne l'ai pas vu. Mais par contre, pour l'anecdote, j'ai déjà vécu en coloc où mes parents me disaient c'est vraiment l'auberge espagnole, dans le sens où j'ai vécu six mois en coloc, j'avais onze colocs. On était 12 dans l'appartement. Personne venait du même endroit. Il y avait beaucoup de personnes d'Amérique du Sud, donc des Argentins, des Mexicains. C'était assez drôle. On était quelques Européens. Et en fait, vraiment, pour essayer de communiquer les uns avec les autres, on essayait de se rejoindre sur l'espagnol. Mais déjà, même entre l'argentin et l'espagnol, ce n'est pas exactement pareil, au niveau de l'accent, au niveau du vocabulaire. Mais ouais, j'ai vécu quelques anecdotes, quelques situations assez drôles en Espagne.

  • Speaker #0

    qui sera pas de l'opération c'est la vie t'as bien résumé le film en fait ok c'est cool et après bon alors donc l'Espagne le bachelor et puis des premières expériences alors c'était c'est quoi c'était des projets étudiants c'était en alternance ou c'était

  • Speaker #1

    des c'était vraiment à côté en fait même mon école interdisait ça je sais qu'ils parlent pas français donc ils verront pas ça ils interdisaient le fait qu'on travaille à côté ils voulaient qu'on soit 100% sur les études sauf que c'était C'est pas que l'on y est en cours, mais c'est que je me suis dit que ce serait pas mal de mêler la théorie à la pratique. Donc, très rapidement, j'ai lancé des boutiques e-commerce, juste pour comprendre comment fonctionnait le marketing digital, tout ça. J'ai commencé aussi à vendre des sites web en no-code pour des petites entreprises, des PME. Et ensuite, par contre, je me suis formé dans tout ce qui est blockchain. Il y a une petite vague, on est encore dedans en ce moment. petite vague de hype sur la blockchain, sur la crypto-monnaie. Je me suis dit, je vais essayer de me former là-dessus. Donc, j'ai passé un diplôme en ligne. Et ensuite, j'ai postulé pour une boîte pour un travail qui normalement devait être à mi-temps. Finalement, je faisais 40 heures par semaine. À côté, j'avais les cours. À côté, j'avais le permis. À côté, j'avais pas mal de choses. Et au final, ça m'a vraiment plu. Donc, j'ai fait ça pendant plusieurs mois. J'ai fait ça pendant six mois. Et c'était juste avant de partir en échange aux États-Unis. Donc, je savais que ça allait être pour une période assez...

  • Speaker #0

    assez restreinte et voilà mais ça ne m'a vraiment plus je suis encore en contact avec pas mal de personnes dans cette industrie là donc mais si je comprends bien t'as un peu un touche à tout t'aimes bien te former tout seul t'aimes bien passer à l'action de ton côté te former ouais c'est ouais t'as

  • Speaker #1

    bien résumé la chose bah j'ai commencé à 17 ans à me former en ligne ah ouais ouais t'es cette nouvelle génération qui se forme un peu sur Youtube pendant qu'ils sont en cours c'est ça ? sur ULSI mais la première formation que j'ai acheté c'était vraiment distinct j'ai vraiment fait l'effort d'acheter une formation même si bien sûr on peut trouver pas mal d'informations en ligne sur Youtube et tout il y a beaucoup de contenu ça dépend des thématiques mais pour des thématiques comme les commerces il y a beaucoup de contenu en ligne je me suis aussi s'engager sur une formation c'est me dire je vais être rigoureux je vais être ultra discipliné par rapport à cet apprentissage là parce que j'ai envie de rentabiliser aussi un peu mon investissement donc ouais j'ai commencé à 17 ans et là depuis je continue à me former après effectivement il y a certaines thématiques typiquement le no code j'ai pas pris de formation pour en parler c'était vraiment du YouTube c'était Internet YouTube il n'y avait pas de GPT mais voilà

  • Speaker #0

    Rendez-vous, le podcast. Et donc, tu as vite entrepris, en fait. C'est ça, si je comprends bien. Tu as vite retrouvé consultant, à vendre des sites web.

  • Speaker #1

    Exactement. Mais c'est toujours en tant qu'auto-entrepreneur. En fait, j'ai vraiment créé une première entreprise quand j'étais en quatrième année. Donc, les Bachelors en Espagne, je ne sais pas si c'est pareil en France, mais en Espagne, les Bachelors, c'est quatre ans. En fait, en quatrième année, j'avais un projet de fin d'études, on va dire. C'était de pitcher une start-up. donc je fais ce projet de fin d'études c'était sur l'investissement immobilier fractionné, donc en fait aider les gens à investir à partir de petits montants enfin de 1000 euros moi c'était un petit peu comme ce qui se fait en France avec des SCPI, donc c'est de l'investissement immobilier avec des tickets d'entrée beaucoup plus faibles donc j'avais présenté une boîte là-dessus et en fait pendant mon échange aux Etats-Unis, j'étais à Boston, j'ai présenté ça aussi devant un jury, enfin on avait une compétition d'entrepreneuriat, je me lance dedans et j'ai gagné le... Enfin, je ne pouvais pas être sur le podium parce que j'étais un étudiant en échange donc normalement, c'est que les Américains qui sont censés être représentés sur le podium. Par contre, j'ai eu le prix du favori du public et donc je me suis dit ok, les gens accrochent énormément sur l'idée, je vais essayer de la lancer et donc en fait, c'est là où j'ai lancé ma première entreprise qui s'appelle Relatifaire qui est un investissement immobilier fractionné et voilà, qui est une solution maintenant qu'on fait en B2B, enfin, je travaille plus sur cette activité. On a revendu, je ne rentre pas forcément dans les détails, mais on a revendu la partie technique en tout cas des développeurs en Espagne et en Gals. Et voilà, et maintenant du coup je suis sur EFRL.

  • Speaker #0

    Et en tant qu'entrepreneur, c'est quoi les premières difficultés, les premières galères que tu as pu traverser ?

  • Speaker #1

    Moi la toute première, c'était l'âge. Parce qu'en fait, la première chose que je n'ai jamais vendue avec mon... Enfin... avec une entreprise, je veux dire pas en tant qu'auto-entrepreneur, mais vraiment avec une entreprise de t-shirts, c'était de l'investissement que je vendais à des particuliers. Donc ça repose que sur la confiance. Il y a beaucoup de gens qui pourraient penser que j'étais une arnaque ou je sais pas. Donc en fait, avoir en face de quelqu'un d'un peu plus âgé, forcément ça va les rassurer. Sauf que moi, à ce moment-là, j'avais 21 ans, donc j'avais pas envie de brotter à ce moment-là. Et donc il y avait ce problème de, ok, là j'avais été un frein, mais pour cette activité en particulier, c'est d'ailleurs aussi pour ça que je me suis dit que c'était pas forcément... la bonne activité pour moi à ce moment-là parce que ce n'est pas tout d'abord une bonne idée d'être dans l'exécution. C'est aussi parfois tout simplement le profil de l'entrepreneur ne matche pas avec le profil de l'entreprise qu'il est en train de créer. Donc ça, ça a été ma grosse difficulté. Ça a été l'âge. Dans le cas avec Referrali, justement, c'est plutôt bien perçu le fait que j'essaie de créer des solutions pour les entrepreneurs quand je suis jeune et que je sais faire bouger un petit peu les choses sur le côté digital. Mais oui, première grosse difficulté, ça a été l'âge et pour des projets comme le tout premier que j'ai eu, ça a été aussi lever des fonds. avec VDFrance, ça a été assez compliqué.

  • Speaker #0

    Et d'où te vient cette fibre pour l'entrepreneuriat parce que t'es quand même tout jeune ? T'es toujours dit qu'un jour, tu me lancerais des projets comme ça.

  • Speaker #1

    J'ai l'histoire. C'est pas l'histoire la plus sexy que tu m'entendes. En fait, j'avais 14 ans et je jouais à GTA V pour ceux qui connaissent.

  • Speaker #0

    D'accord. Un jeu vidéo, tout ça. C'est un truc un peu gore, non ? Où tu écrases les gens, non ?

  • Speaker #1

    Ouais, c'est pas ce que tu fais. Moi, je respecte la circulation, moi, dans GTA V. Y'a pas de... Bon, je jouais à ça, et en fait, j'avais le truc de... Je voulais monter un peu pétance dans le jeu, il fallait acheter des crédits, tout ça, et en fait, j'allais pas mal sur Internet pour taper comment gagner de l'argent sur GTA V. Gagner de l'argent sur GTA V. Et à un moment, je suis tombé... Je pense que j'ai mal cliqué sur un truc, et je suis tombé sur comment gagner de l'argent en ligne. J'arrive sur des vidéos de gourous qui me disent... Il faut faire ça, il faut faire ça. Moi, je suis 14 ans et je suis au monde. Tout le monde fait des trucs de fou. Et moi, je suis là. Et en fait, maintenant, avec du recul, je me rappelle des vidéos que je regardais. Je me rappelle des noms d'entrepreneurs que je regardais qui, aujourd'hui, n'ont pas beaucoup de problèmes parce que c'est des arnaques. Mais en tout cas, ça m'a mis un peu le pied dedans où j'ai commencé à dire, il y a des gens qui font de l'argent en ligne, il y a des gens qui développent des activités, qui font du business. Et en fait, vraiment, j'ai une petite période d'addiction là-dessus. Pendant deux, trois semaines, j'ai passé des heures et des heures sur YouTube, en fait, à regarder ces gars-là. Et petit à petit, ça m'a mené vers le marketing digital où des gens me disaient « Ouais, moi j'ai créé ma marque, j'ai fait mon branding, j'ai fait mon site et tout. » Et en fait, petit à petit, comme ça, le premier pas, c'était ça. La première étape, c'était juste j'ai pas cliqué sur quelque chose et après, je me suis retrouvé dans un univers que je ne connaissais pas du tout à 14 ans. Et après, à côté des cours, je commençais à m'enseigner, à me former, parfois, sur des trucs, encore une fois, qui n'étaient pas top top, avec du recul, où tu te dis « En fait, c'était des gourous et j'étais trop jeune pour me rendre compte que c'était des gourous. » et tu absorbes toutes les informations qu'ils te donnent mais en tout cas je suis très content que j'ai été à 5 mais permis de faire ça les jeux vidéo ne rendent pas violent

  • Speaker #0

    C'est sympa, c'est exceptionnel ce que tu partages. Moi, je suis la génération qui a vu le web, le digital arriver. Et quand j'avais ton âge, c'était un gros gap à franchir. Et là, je vois ma fille qui va se découvrir l'IA, l'intelligence artificielle, et qui va vivre quelque chose de complètement différent de moi, et qui est au même âge, à 10 ans, j'en savais. beaucoup moins parce qu'elle, elle écoute des podcasts. Donc, c'est vraiment un bouleversement de la vie des humains, quoi, avec le digital. C'est exceptionnel. Bon, bref, on ne va pas épiloguer là-dessus. Ce n'est pas le but. Allez, ça fait 15 minutes qu'on est ensemble. Il est grand temps que tu passes à ta carte blanche, Arnaud. C'est à toi de jouer.

  • Speaker #1

    Super, la carte blanche, au début, j'avais parlé du fait que forcément, le réseau, pour se lancer, moi, ça a été super important parce que quand on est jeune, peut-être, pas autant d'expérience que quelqu'un qui a 10 ans d'activité, c'est compliqué de se développer sans réseau. Ça, c'était le premier point. Mais l'autre truc aussi que je retrouve, et peut-être pour parler à des personnes qui ont plus mon âge, peut-être entre 20 et 30 ans aussi, ou sinon des personnes qui sont en reconversion, c'est que souvent, je vois qu'en fait, les gens ont peur de se lancer parce qu'ils disent qu'ils n'ont pas la crédibilité. Et je pense que la crédibilité, on l'obtient aussi en travaillant sur son projet. Simplement, au début, on n'est pas qualifié. Après, on monte en compétence. Moi, c'est vraiment le fait d'être allé aussi vite sur chaque projet. C'était le fait de me dire que la crédibilité va se développer petit à petit. Et j'ai beaucoup d'amis qui hésitent à lancer leur activité. Et je leur dis allez-y parce qu'au début, vous n'allez pas avoir beaucoup de compétences. Et après, vous allez voir vos frères et soeurs de plus en plus qualitatifs.

  • Speaker #0

    Yes. Je pense que s'ils écoutent ce podcast, ça leur donnera peut-être une vision un peu plus précise de ton parcours. Et peut-être que ça les aidera à se déclencher. J'espère. Rendez-vous, le podcast. Allez, on attaque la dernière ligne droite de l'émission. Alors, Réferali, comment fidéliser, gérer ses apporteurs d'affaires au quotidien ? Première question un peu basique, mais elle te vient d'où cette idée d'avoir lancé Réferali ?

  • Speaker #1

    Alors en fait, justement, cette première entreprise, donc FiltiShare, on proposait de l'investissement immobilier. Je me suis dit que parce que j'étais jeune, parce que j'avais du mal à convaincre juste en appel téléphonique, en visio, en parlant à des partenaires, j'avais du mal à convaincre. Je me suis dit, il faut vraiment que je m'entoure de professionnels qui vont pouvoir me recommander. Moi, je me disais, faites-moi bosser. Peu importe, vous voulez prendre une telle commission, il n'y a pas de souci. Faites-moi bosser. Donc en fait, je me suis vraiment mis dans la démarche d'aller présenter ma solution non plus à des clients. mais aller la présenter à des partenaires professionnels qui, au jour le jour, sont en contact avec ma clientèle. Et en fait, de là, j'ai rencontré pas mal d'agents immobiliers, de courtiers, gestionnaires de patrimoine, comptables, enfin, beaucoup de professionnels différents. Les gens adhéraient énormément. Ils disaient, OK, c'est top, je vais parler de toi, je vais t'envoyer des clients, tout ça. Et je voyais que mon activité commençait à se développer, surtout grâce à ça. Le problème, c'était comment rendre ça beaucoup plus tangible, c'est-à-dire faire le tri déjà entre qui est vraiment un apporteur d'affaires proactif et qui ne l'est pas. aussi il y avait tout ce côté qui m'énervait de l'administrative de se renvoyer les contrats tout ça parfois on perd une heure parce qu'il faut refaire le contrat, il faut aller demander la signature pour qu'au final de toute façon il n'y ait aucune recommandation qui en écoule je me suis dit c'est fou, il n'y a pas une solution qui est adaptée pour juste faciliter les échanges entre partenaires entre apporteurs d'affaires et j'ai commencé à en parler autour de moi je dis vous avez aussi ce problème, parce que moi je viens d'arriver c'est même pas un an que je suis dedans donc vous avez ce problème aussi Et tout le monde dit, ouais, c'est vrai que c'est un peu chiant. Il faudrait quelque chose. Et je commence à faire des petites slides de mon côté, à me dire, OK, ça pourrait ressembler à ça, à ça, à ça. Au tout départ, je le mets sur le site web de Retisher, de l'entreprise que j'avais. Je dis, on va faire ça que pour Retisher. Et quand les gens voient cette partie-là du site web, ils me disent, mais tu ne voudrais pas faire un truc pour nous ? Tu ne pourrais pas copier-coller ça pour notre activité ? Et moi, je dis, OK, si vous voulez, je peux préparer ça. Je lance des précommandes. Allez-y, je vous présente mes slides. des slides qui étaient horribles par ailleurs. Je ne sais pas si Jean-Christophe, à l'époque, tu les avais vus, les slides, mais elles étaient horribles. Et en fait, j'ai vu que les gens adhéraient énormément et qu'ils étaient prêts à payer une précommande pour avoir accès à ce genre d'outil. Et qu'au début, je me suis dit que ça n'était que pour l'immobilier. Et finalement, parmi mes premiers clients, j'ai eu des consultants d'entreprise, j'ai eu des coachs. J'ai pu faire plein d'autres mondes, type les opcos, les certifications de calopie, tout ça que je ne connaissais pas du tout. Et en fait, je me suis rendu compte que ce n'était pas un problème qui était propre à l'immobilier. C'était vraiment... tout secteur d'activité qui fonctionne au bouche à oreille, recommandation, rapport d'affaires, mais qui ne peut pas être digitalisé de la même manière que par exemple une banque en ligne qui va partager des liens d'affiliation. en fait c'est que nous on va essayer de proposer une alternative aux liens d'affiliation mais pour des professionnels qui sont dans l'humain donc voilà c'est un peu l'histoire c'est que ça vient d'un besoin que j'avais avec mon ancienne entreprise et j'ai vu que c'était un besoin commun beaucoup de personnes partageaient ce même problème et donc je me suis dit si on est suffisamment je lance la chose donc là quand on enregistre ce podcast on est le 7 novembre 2024 si je ne me trompe pas

  • Speaker #0

    Et c'était quand alors que tu as commencé à bosser là-dessus sur Referally ?

  • Speaker #1

    L'idée, mi-février 2024. L'idée, on a réuni suffisamment de précommandes pour lancer le développement en mi-mars. Donc en un mois, je me suis dit qu'il y avait suffisamment de personnes pour qu'on continue là-dessus. J'ai été en développement pendant 6 mois, 7 mois. En fait, on a lancé l'application en été 2024, fin juillet 2024. Et depuis septembre, ça va beaucoup plus vite parce qu'on a pu faire quelques événements. Typiquement, le salon du courtage à Paris, patrimonia à Lyon, le salon de la gestion de patrimoine. Je peux faire d'autres événements d'entrepreneurs en présentiel. En fait, le problème, c'est que l'application s'est lancée pendant l'été. Du coup, j'ai dû attendre septembre pour vraiment parler autour de moi en présentiel.

  • Speaker #0

    Alors, c'est quoi le modèle économique de Referali ?

  • Speaker #1

    Alors aujourd'hui, on est que sur de l'abonnement. On est que... En fait... On appelle ça un SaaS, un logiciel qu'on commercialise. On ne prend pas de commission sur les commissions, par exemple. C'est une question qui est assez récurrente. On dit, si je paie une commission dans l'apporteur d'affaires, tu vas prendre des frais. Non, on ne prend pas de frais là-dessus. C'est juste sur un logiciel. Donc, on a un bon moment où on accélère en fonction des conditions.

  • Speaker #0

    Donc, on se connecte. Et comment on peut gérer justement ces apporteurs d'affaires ? Parce qu'au quotidien, quand même... Un apporteur d'affaires, il faut le garder sous la main. Un des meilleurs moyens de fidéliser un apporteur d'affaires, c'est quand même de le valoriser et de le rémunérer, comme tu l'as dit, sans trop de difficultés, sans galères. Alors, quel est un peu le parcours de l'utilisateur ?

  • Speaker #1

    Déjà, le premier truc, c'est que, parce que pareil, c'est une question qu'on a pas mal, il y en a qui me disent, est-ce que ça peut venir remplacer ? Enfin, ils ne verbalisent pas comme ça, mais en gros, c'est est-ce que ça peut remplacer l'humain ? Est-ce que juste avec l'application, je peux ajouter des prescripteurs que je ne connais pas ? Il y a des marchés sur LinkedIn, ils ajoutaient ? Je dis dans la théorie, oui. Dans la théorie, c'est des liens, des QR codes, vous pouvez ajouter qui vous voulez. En revanche, c'est toujours complémentaire à l'humain, et je pense que tu vas me rejoindre dessus, c'est que le digital doit se mettre au service de l'humain et pas l'inverse. Donc en fait, ici, c'est de se dire que l'application, c'est offrir une facilité pour ces prescripteurs, ces apporteurs d'affaires, pour nous recommander. En fait, l'intérêt pour la porteur d'affaires, c'est que via l'application, il va y avoir un espace privilégié pour faire de la recommandation. Donc, ce sera beaucoup plus accessible. En quelques secondes, n'importe quel jour, n'importe quelle heure, il peut vous envoyer un contact. L'autre avantage, c'est que la relation professionnelle est recadrée dès le départ avec un contrat qui se signe très facilement. Donc, voilà, ça s'accepte comme une politique de confidentialité, une case à cocher une fois qu'on a bien vu l'ensemble du contrat. Et surtout, le point le plus important, c'est avoir de la transparence sur la recommandation qu'il va vous faire. Donc, en fait... Et s'il se dit, lui, il vous fait de la roco, il veut ensuite avoir toutes les étapes de suivi qui sont importantes pour lui, jusqu'au moment où la commission est payée, s'il y a une commission finale, l'application marche aussi sans commission, mais au moins qu'il soit tenu au courant à chaque étape du process. Donc ça, c'est tout l'intérêt pour l'apporteur d'affaires et tout l'intérêt pour le professionnel qui utilise l'application Referrali avec ses apporteurs d'affaires, c'est de se dire, il va pouvoir fidéliser une communauté de prescripteurs et pouvoir avoir de la visibilité sur qui le recommande. mettre à disposition les documents pour mieux être recommandés, pouvoir relancer un petit peu son réseau une fois par mois, par exemple, avec une notification, et surtout que chaque rencontre puisse découler d'une relation professionnelle apporteur d'affaires avec un simple lien QR code qui vient, dans l'idée, remplacer un petit peu les cartes de visite. En tout cas, c'est le projet à moyen terme.

  • Speaker #0

    Rendez-vous le podcast. C'est ce que tu disais au début, ce n'est pas un moyen de prospection.

  • Speaker #1

    Il y en a qui le font. Il y en a qui le font. Je ne peux pas arrêter là-dessus. J'ai hâte de voir aussi des idées, des manières d'utiliser que je n'avais pas forcément en tête à la base. Par exemple, au tout début... Je ne l'imaginais pas du tout comme un outil vraiment complémentaire à LinkedIn, enfin toujours sur une prospection LinkedIn. Et en fait, on a des utilisateurs qui commencent à faire des campagnes sur LinkedIn où ils vont contacter, je ne sais pas, par exemple, ils sont, on va faire le cas le plus simple, ils sont agents immobiliers ou courtiers. Ils vont aller contacter des professionnels complémentaires à leur activité, par exemple, gestionnaire de patrimoine. des comptables, des décorateurs d'intérieur, dans leur région, ils vont commencer à dire « J'ai vu votre activité sur LinkedIn, moi je fais ça, ça peut être complémentaire. Est-ce que vous serez dispo pour une rencontre en visio ? » On apprend à se connaître. Ils font ça et ensuite, quand ça matche bien, ils partagent leur lien ou leur QR code pour travailler ensemble au sein de Referrali. Il y en a même qui ne font pas l'effort de faire les visios, ils balancent leur lien. Je leur dis qu'il faut voir au niveau des résultats ce que ça donne, mais c'est toujours mieux quand même d'en venir. rencontrer la personne.

  • Speaker #0

    Oui, c'est un peu en mode marketing de l'espoir.

  • Speaker #1

    C'est ça, c'est ça. Il y en a un peu plus en plus.

  • Speaker #0

    Oui, sur du volume, j'imagine que ça marche.

  • Speaker #1

    Sur du volume, oui.

  • Speaker #0

    Mais rien de nouveau. L'échange en amont, forcément. L'exemple que je prends souvent, c'est les séquences de mails automatiques. Ce que tu peux recevoir. Si c'est un illustre inconnu qui t'envoie ça, tu vas vite te désabonner. Si c'est quelqu'un que tu... connais, tu vas plus te demander si tu te désabonnes ou tu vas continuer à consommer ces contenus de temps en temps. C'est un peu ça l'idée. De toute façon, il y a toujours le lien hyper important. C'est le début de tout.

  • Speaker #1

    C'est ça. C'est pour ça que les premières étapes, aujourd'hui, la première chose à faire, c'est de venir ajouter ses anciens clients qui sont satisfaits, parce que c'est les meilleurs apporteurs d'affaires en termes de qualité de recommandation. Et après, ajouter ses partenaires professionnels avec qui on bosse déjà. Ça fait déjà une bonne base pour comprendre comment l'application fonctionne et voir comment ça fait gagner du temps, tout ça. et ensuite une fois qu'on a cette base là pourquoi pas aller chercher de nouveaux prescripteurs de nouveaux apporteurs d'affaires mais je pense que étape par étape encore une fois qu'il faut de l'automatisation sur l'exit et qu'il va être référalité c'est pas moi qui vais me plaindre de ça mais

  • Speaker #0

    je pense qu'il faut différencier le volume et la qualité des apporteurs d'affaires quelque chose qu'on a abordé en préparant cette émission c'est le fait que finalement quand t'es sur Réferrali les gens de ton réseau qui sont là tu les gardes pour toi, c'est vraiment un réseau privé c'est pas public tu vas pas aller faire ton marché dans les apporteurs d'affaires de tous les autres.

  • Speaker #1

    Exactement ça c'était super important dès le début quand j'ai pensé l'application je me suis dit pourquoi pas avoir une partie publique en fait on peut se retrouver les uns les autres, en fait en présentant ça je me suis rendu compte que chaque entrepreneur que je rencontrais me disait non mon réseau c'est mon réseau je suis très heureux de faire de la mise en relation quand c'est adapté en revanche je ne veux pas que tout le monde puisse voir quels apporteurs d'affaires j'ai ajoutés sur ma plateforme, qui sont mes prospects. Les prospects, on n'en parle même pas, mais il faut dire les apporteurs d'affaires, que ce soit aussi quelque chose de très privé. Souvent, je vois comme exemple TrickHunt, on en parlait aussi un petit peu avant, mais TrickHunt qui est une application de partage de dépenses entre amis. Si je ne dis pas de bêtises, c'est un fondateur français et qui m'attend sur l'international. Et en fait, ça a bien marché aussi parce que c'est des réseaux privés de partage de dépenses entre amis. On s'envoie un lien et on fait partie d'un petit groupe qui est réuni pour un but bien précis, une calcul des dépenses entre amis. Dans l'idée, Referally, c'est que ce soit un peu le tricount de l'apport d'affaires. En fait, on est cette petite communauté d'apporteurs d'affaires, de contacts pros et particuliers avec qui on a des missions de recommandation et on peut faire du suivi de dossiers ensemble.

  • Speaker #0

    Pour voir plus globalement, prendre un peu de hauteur par rapport à Referally, comment on gère au quotidien ces apporteurs d'affaires ? Donc, on a la partie référalie, bien sûr, où tu vas pouvoir les fidéliser. Mais toi, comment tu conseilles tes clients ? Parce qu'il y a toute la partie en amont. On parlait de lien d'humain juste avant. Comment tu imbriques référalie dans la fidélisation et la gestion au quotidien de ces apporteurs d'affaires ?

  • Speaker #1

    Oui. Alors déjà, le tout premier truc qu'on fait aujourd'hui, c'est qu'on accompagne chaque utilisateur de la plateforme. Alors, ça fait du boulot, mais en fait, c'est se dire... justement du coup on vient rajouter un outil pour encadrer toutes ces relations professionnelles il faut aussi que l'utilisateur soit ultra bien, enfin, éduqué on va dire, enfin formé sur l'outil on va déjà les accompagner pour mieux comprendre comment ils fonctionnent avec leurs apporteurs d'affaires aujourd'hui si leur objectif c'est plutôt de développer ces réseaux de prescripteurs si c'est plutôt de les centraliser ou de les gérer, ou les trois donc voilà on va faire pas mal d'accompagnement là-dessus et en fait pour vraiment l'utilisation concrète de l'application c'est qu'une fois qu'on a son compte qui est mis en place et ça on le fait avec chaque utilisateur, on a une petite visio, on remplace le compte ensemble. En fait, ils ont juste à partager un lien ou un QR code dès qu'ils sont en contact avec, je ne sais pas, ils viennent de finir une mission avec un client, ils viennent de rencontrer un nouveau partenaire lors d'un événement de networking, qu'ils aient juste à partager le QR code, que ça ne leur prenne pas de temps supplémentaire, parce que je n'ai pas envie de rajouter un deuxième truc à faire, que ce soit vraiment un scan de mon QR code, parce que je pense qu'il peut y avoir des synergies entre nos activités, et si Alainir, tu me recommandais, tu as un espace privilégié dessus. Super. La personne, comme ça, elle scanne le QR code en face, elle est redirigée vers l'application, vers le programme partenaire de la personne qui lui a fait scanner son QR code, et de là, elle a un accès à mon privilégié pour le recommander. C'est vraiment aussi simple que ça, et ensuite...

  • Speaker #0

    Une fois qu'elle fait une recommandation, par exemple, je ne sais pas, un gestionnaire de patrimoine qui va recommander un agent immobilier, une fois que la recommandation est faite, en fait, on a un menu de suivi où l'apporteur d'affaires voit toutes les étapes de suivi qui lui sont fournies. Il voit à quelle étape on en est, à quelle date telle ou telle étape a été franchie. Et du point de vue du professionnel qui a reçu le prospect, c'est exactement la même chose, sauf que lui, il a la possibilité de passer à l'étape suivante. Il dit, ok, tel jour, tel heure, j'ai contacté le prospect, j'ai fait un appel vidéo avec lui, j'ai signé. tel qu'on traite avec lui ça peut je vais dire un mot pas sexy ça peut faire un peu CRM le mot CRM je n'aime pas mais CRM à double entrée en fait où chacun des parties a de la visibilité sur ce qui se passe donc c'est un truc comme ça quand on utilise l'outil mais l'idée c'est que ce soit quand même un gain de temps oui c'est intéressant ce que tu dis parce que un CRM pour ceux qui nous écoutent c'est un logiciel qui

  • Speaker #1

    permet de gérer ses clients et Moi, je ne connais pas de CRM où, justement, il y a une partie gestion des apports d'affaires dedans, il y a classification des contacts, hyper qualifiés. C'est assez rare et je pense que c'est quelque chose qui me manque aujourd'hui et que un référent rallye va peut-être un peu compléter ça. Après, moi, j'avais une autre question. On m'a dit, vraiment, pour fidéliser ces apporteurs d'affaires, on a un référent rallye où on peut avoir d'autres fonctions, mais il y a le côté un peu, il faut savoir... donner ça, le lien référé, tu parlais de QR code mais il faut savoir le donner au bon moment quand même je pense parce que si tu commences à démarcher sur LinkedIn, moi ça me fait penser aux agents immobiliers une profession que je connais à peu près bien, où en fait ils publient sur leur réseau je rémunère mes apporteurs d'affaires et je crois qu'il y a quand même certains messages qu'il ne faut pas faire passer trop tôt c'est plutôt qu'au moment où la relation on a contractualisé ensemble ou alors On a fait du réseau ensemble, on s'entend bien. Il est peut-être temps de passer next step. Ouais, ok, on peut se recommander. On commence déjà peut-être à se faire des mises en relation avant de se recommander. Et puis, boum, on va enclencher, refaire allier. Tant que la relation n'est pas enclenchée, c'est difficile quand même, non ? Tu ne crois pas ?

  • Speaker #0

    Je suis d'accord. C'est pour ça que souvent, je compare une carte de visite. Je leur dis, en fait, vous n'allez pas sortir avec carte de visite avant d'avoir dit bonjour à quelqu'un. Enfin, c'est un peu ça. Souvent, ça vient à la fin d'un échange. Après, quand c'est un client avec qui on a déjà travaillé, quand c'est un professionnel avec qui on a déjà travaillé, forcément, on lui envoie le lien sur WhatsApp que ça n'a pas de choqué. Mais par contre, un événement de networking, je pense que c'est un peu too much d'arriver dès le début et dire bonjour. Ausha sur Eferaly d'ailleurs, parce que comme ça, tu peux m'en commander. C'est un peu le problème. Mais d'ailleurs, à ce sujet justement, vu que j'essaie de pas mal expliquer ça, que c'est plutôt en fin de discussion, que c'est... Comme une carte de visite, en fait, on sort des cartes de visite referralées, où l'idée, c'est de pouvoir taper directement le téléphone de la personne à la fin de l'échange et dire, comme ça, je t'ai ajouté en tant qu'apportant d'affaires, ça retire directement la personne sur une carte de visite virtuelle ou s'ils ont la possibilité de devenir apportant d'affaires. Donc ça, c'est quelque chose qu'on est en train de lancer en ce moment, avec petit exclu.

  • Speaker #1

    Yes, le scoop !

  • Speaker #0

    Mais l'idée, c'est qu'en fait, on puisse présenter les referralées comme une facilité, enfin comme l'étape après une carte de visite. En fait, c'est dire qu'on sera plus tangible parce qu'on a une carte de visite entre les mains, mais que c'est vraiment en fin d'échange.

  • Speaker #1

    C'est bien joué. La carte de visite connectée est une innovation aussi qui permet de faire vivre en réseautage ou en rencontre des moments assez sympas. Ok, et quels conseils tu donnes pour fidéliser tes clients, faire en sorte que tes clients fidélisent leurs rapporteurs d'affaires ? Tu leur recommandes de faire des déjeuners de temps en temps, de faire des appels, c'est quoi tes stratégies ?

  • Speaker #0

    Moi je suis très appel, je suis très très appel pour le coup, et je le dis à chaque fois que j'ai même un rendez-vous avec quelqu'un qui n'est pas un client, qui n'est pas un partenaire, enfin dès que je suis avec quelqu'un au téléphone, je dis mon téléphone pro et mon perso c'est le même. appelez-moi j'aime quand on m'appelle il y a un truc au copse-sol les gens savent que directement ils peuvent m'appeler que si je ne suis pas dispo je les rappelle dans les 4 minutes qui suivent et en fait moi c'est surtout ce côté disponibilité où je sens que les gens ont davantage envie de bosser avec moi et je pense que c'est pareil pour chaque professionnel en fait c'est quand on se montre disponible c'est dans mes priorités tu m'appelles c'est dans mes priorités parce qu'on a bossé ensemble dans le passé parce qu'on peut bosser ensemble dans le futur je trouve que les gens apprécient bien je fais aussi pas mal de suivi et je pense que chaque professionnel professionnels qui pourraient faire ça c'est vraiment aller pas toutes les semaines mais si t'as pas de nouvelles une fois tous les mois un petit message un petit truc t'as même je sais pas un article moi quand je tombe sur des nouveautés ou intéressantes et j'en ai parlé dans une discussion avec un partenaire ou un client je le renvoie ça permet de maintenir le contact sans être intrusif donc c'est du côté disponibilité et suivi quand c'est adapté après pas le forcer non plus mais

  • Speaker #1

    Il y a des fonctionnalités, pour en revenir à Réferali, qui aident ou suivent comme ça dans l'appli ?

  • Speaker #0

    Oui, alors on a le côté notification, pour l'instant qui est un petit peu impersonnel, dans le sens où on va pouvoir envoyer une notification commune à l'ensemble de son réseau d'apporteurs d'affaires. C'est pour faire gagner du temps aux professionnels, justement en se disant, s'il a 50 apporteurs d'affaires sur l'application, entre des particuliers et des professionnels, en quelques secondes, il va pouvoir envoyer une notification, ça peut être ce qu'ils veulent, ça peut être, n'oubliez pas, vous pouvez m'en commander, ça peut être bonne année, ils mettent la notification qu'ils veulent. Donc ça, c'est pour dire, si vous n'avez pas le temps de... de garder ce contact au moins il y a une petite picture de rappel que vous existiez que vous existiez donc ça ça va être un des moyens l'autre chose c'est quand on met à disposition des documents sur l'application on peut partager des documents avec ses apporteurs d'affaires pour qu'ils nous recommandent un petit peu plus efficacement quand on télécharge un document si on veut ça peut aussi envoyer un petit message en disant voilà Jean-Christophe Lebelec va télécharger un document pour que vous puissiez le recommander à votre target C'est un peu la suite. En fait, c'est toujours assez compliqué d'être dans le suivi et le maintien de la relation sans être intrusif. Il y a des gens, ils ne veulent pas que tu les appelles, ils ne veulent pas que tu leur envoies des emails. Donc, nous, on s'est dit, le côté notification, déjà, c'est un peu plus visible qu'un email, c'est moins intrusif qu'un appel téléphonique. Pour l'instant, on est vraiment là-dessus. Et sur le côté suivi, celle de ces recommandations qui, déjà, rend la chose beaucoup plus tangible pour chaque partie.

  • Speaker #1

    Oui, dans l'appli, il y a aussi la possibilité de faire des partenariats. Tu peux nous en dire plus ? Je dis souvent, moi, que... La suite logique du networking et du réseautage, c'est le partenariat.

  • Speaker #0

    Oui. Alors là-dessus, tu vas me dire si on parle de la même chose, mais en fait, le partenariat dans le sens où il n'y a pas de commission, c'est un échange de mon procédé. C'est ça que tu veux dire ? Oui.

  • Speaker #1

    Après, tu vois, ça peut être de la co-distribution, du co-marketing, de faire la construction. Ce qu'on est en train de faire en ce moment, on fait un live ensemble. C'est aussi une sorte de partenariat, des choses comme ça.

  • Speaker #0

    Déjà, le tout premier point, juste par rapport au côté partenariat, mais d'échange de mon procédé, il y a beaucoup de professionnels qui me demandent si l'application est faite pour eux parce qu'ils n'ont pas d'apporteur d'affaires pour vous parler, c'est que des partenaires où ils ne se donnent pas de commission les uns les autres, c'est juste qu'ils s'envoient des contacts et bossent dessus ensemble. L'outil est carrément fait pour ça. On fait en sorte que l'outil s'adapte à la manière de travailler de chaque professionnel et pas l'inverse. Donc, c'est possible de travailler sans commission via l'application. c'est peut-être la parenthèse partenaire en termes de recommandations maintenant aussi on a développé quelque chose qui s'appelle Referraly Finder c'est vraiment créer tout un écosystème autour de de l'apport d'affaires, enfin des synergies entre professionnels et donc on a l'application Referraly et on a Referraly Finder qui est une fonctionnalité qui est aussi au sein de l'application et qui permet de rencontrer justement des partenaires professionnels si on a un contact pour eux, par exemple demain, toi Jean-Christophe t'as je sais pas, quelqu'un qui cherche à ... refaire son site web. Tu n'as pas forcément un professionnel à lui recommander et pour autant, tu sais que si tu les mets en relation, ça va aussi, tu vois, ça va alimenter un peu ton réseau. Tu as envie d'être la personne qui présente aussi quelqu'un. Nous, en fait, on va faire cet effort de trouver un professionnel qui matche, tu vois, ta requête. Tu veux rencontrer quelqu'un qui est web designer pour un client à toi qui a besoin de refaire son site web, on peut te mettre en contact avec un utilisateur de Viferali ou sinon un utilisateur hors Viferali, mais... qu'on va venir trier sur le volet parce qu'on a forcément notre réputation aussi en jeu là-dedans. Donc, c'est tout de suite pour les partenariats.

  • Speaker #1

    C'est important ce que tu dis parce que dans le réseautage, le networking, il y a plusieurs types de mises en relation. Il y a vraiment la recommandation pure et dure. C'est un peu le graal. Mais avant d'en arriver là, je pense qu'il faut faire beaucoup de mises en relation, rencontrer beaucoup de monde et savoir créer. Et chez moi, ce n'est vraiment pas un maître mot, des synergies, mais vraiment des partenariats, des choses concrètes et pas arriver avec ça. et son couteau dire ouais on fait des synergies coucou on se connecte vraiment un direct bah voilà on fait un live ensemble un truc de concret donc il y a ça il y a plusieurs types de mise en relation et en plus je vais encore plus loin il y a certaines professions où c'est interdit de faire de la recommandation payante enfin de l'apport d'affaires payant je pense notamment aux avocats qui peuvent se faire un peu taper sur les doigts par le bâtonnier s'ils font ça c'est pas le droit de faire de la pub et tout donc Et dernièrement, j'ai recommandé un avocat. Et pour me remercier, il m'a dit, écoute, je ne peux pas te payer pour cette mise en relation, pour cette recommandation. Par contre, je t'invite au resto.

  • Speaker #0

    Oui, c'est pas mal. Il y a les notaires aussi, les experts comptables. C'est toujours un petit peu touchy. Mais oui, ce sont des restos, des cadeaux.

  • Speaker #1

    Ouais, donc du coup, ton appli, et aussi pour ce type de mise en relation, est aussi efficace, c'est cool ça.

  • Speaker #0

    Exactement, ouais. C'est que ça, juste, c'est qu'en fait, dans l'accord de partenariat, c'est bien écrit qu'il n'y a pas de commission, encore plus quand c'est des professionnels réglementés, mais même si tout simplement, on se dit, ah bah non, c'est un échange de bons procédés, moi je ne veux pas qu'on se refile des commissions, on va plutôt s'envoyer du... du business l'un et l'autre, à ce moment-là, c'est écrit pas de commission et dans la description ou même en personne puisqu'encore une fois, c'est le cas en intérêt de l'humain, se dire bon, c'est très bien, on va se remercier quand même en cadeau, en resto. Et même ce que je dis, c'est ce que tu disais avant, mais c'est mieux. Moi, je trouve que les gens bossent mieux comme ça. En fait, le côté commission, c'est si on sait qu'en fait, en face, nous, on va apporter des affaires mais qu'en face, la personne ne peut pas forcément faire pareil. C'est normal que pour trouver un équilibre, il y en a qui disent, ok, il n'y a pas de souci, tu ne peux pas m'envoyer ce que je peux t'envoyer, pourquoi pas travailler sous forme de commission ? Mais je pense qu'à choisir, si c'était possible, tout le monde choisirait plutôt un échange de bons procédés que des commissions.

  • Speaker #1

    On arrive au terme de cet échange. Qu'est-ce qu'on peut souhaiter ? Encore trois questions. Qu'est-ce qu'on peut souhaiter pour la suite, pour Referrali ? C'est quoi les prochaines étapes ?

  • Speaker #0

    Prochaine étape, c'est vraiment de créer tout un écosystème autour de la recommandation, que ce ne soit pas seulement une application, que ce ne soit pas seulement Referrali Finder, pas seulement la carte de visite que je t'ai montrée, la carte connectée. On est aussi en train de créer des réseaux d'affaires Referrali à côté qui sont inclus pour les utilisateurs premium de la plateforme. Donc vraiment, on va dire ma mission, c'est d'aider un peu tous les entrepreneurs à développer leur réseau. Et toi, c'est pareil, c'est aussi ta mission, c'est d'accompagner les professionnels là-dedans. Donc, ce n'est pas qu'on s'arrête juste à l'application, que ce soit vraiment un écosystème vivant qui enveloppe beaucoup de produits, services différents. Le but final est de développer son réseau et simplement développer son activité grâce à son réseau.

  • Speaker #1

    Comment on peut t'aider aujourd'hui ?

  • Speaker #0

    Aujourd'hui, on peut m'aider aussi en me donnant des retours sur l'application parce que, comme vous avez compris, on a lancé il n'y a pas si longtemps finalement. Moi, je suis sur l'application tous les jours, je ne sais pas combien d'heures par jour. mais c'est toujours compliqué d'avoir le recul. Donc, on a des testeurs aussi à droite à Ausha des retours des utilisateurs, mais très heureux d'avoir des retours, que ce soit sur les designs, que ce soit sur les fonctionnalités, comment rendre ça plus intuitif. On en parlait un petit peu avant la peine. Ça, ce serait une manière de m'aider. Et aussi, j'essaie de rentrer plus en contact avec des administrateurs de réseaux d'affaires parce qu'on développe vraiment cette partie-là. Donc, s'il y a des administrateurs de réseaux d'affaires qui m'écoutent, très heureux pour travailler ensemble, mettre Referrali à disposition de réseaux d'affaires. C'est quelque chose pour moi. qu'on va en faire dans les prochaines semaines, prochaines fois.

  • Speaker #1

    J'ai un contact pour toi, on en parle après. Allez, juste avant de te dire au revoir, maintenant que tu as vécu l'expérience du live avec moi, la méthode rendez-vous, le podcast rendez-vous, qui est-ce que tu verrais bien passer dans ce podcast pour le prochain ?

  • Speaker #0

    Mais c'est compliqué parce que c'est ça que j'y ai pensé pendant tout le podcast. Mais non, c'est très dur.

  • Speaker #1

    Je n'aurais pas dû te prévenir. Oui,

  • Speaker #0

    mais tu sais qu'il y a... J'ai des noms en tête, c'est que j'ai tout le monde des noms. Mais en fait, moi, j'aimerais bien peut-être voir des personnes, effectivement, qui viennent tout juste de lancer leur activité. Alors, c'est toujours compliqué parce que s'il faut forcément avoir... Enfin, pour sélectionner, c'est peut-être un peu plus compliqué, mais des gens qui ont lancé leur activité il n'y a pas très longtemps. Et pour parler davantage, justement, de ce qui est compliqué, tu vois, quand on lance l'activité, surtout parce qu'il y a toujours une notion de réseau là-dedans. Tu vois, je l'expliquais un peu au début, moi, c'était que ça, le début de mon activité. donc j'allais dire un type de professionnel ça serait n'importe quel entrepreneur startupper qui aurait lancé son activité il y a moins d'un an ça me plairait beaucoup voir ça et j'ai des contacts pour toi si tu veux faire ça ah t'as vraiment un nom à me lâcher j'ai

  • Speaker #1

    pas de nom ok bon j'insiste pas écoute merci Arnaud d'avoir passé ce moment avec toi merci à toi pour l'invitation à très vite à très très vite

  • Speaker #0

    et puis n'hésitez pas à aller regarder ce que fait Arnaud son profil LinkedIn faire une visio avec lui et puis peut-être pourquoi pas télécharger son appli par la suite et prenez un de tout retour encore merci pour tout Jean-Christophe aussi pour l'aide parce que tu nous as aussi accompagné au tout début des retours sur l'application tu vois qu'on était en précommande donc aussi très reconnaissant de ça et merci pour le live pour lui expliquer un petit peu ce que je faisais et

  • Speaker #1

    longue vie à Réferrali merci salut Arnaud salut C'était Rendez-vous, le podcast qui fabrique et consolide votre réseau d'apporteurs d'affaires.

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Description

Arnaud Attencia, jeune entrepreneur de 23 ans est le fondateur de Referaly, une plateforme de gestion et de fidélisation des réseaux d'apporteurs d'affaires. Arnaud partage son parcours, des débuts en Espagne à 17 ans jusqu’à son retour en France. Il nous plonge dans son univers, où la détermination l'ont guidé pour se former en commerce, e-commerce, et blockchain en autodidacte. Entre anecdotes et conseils, il explore avec transparence ses défis en tant que jeune fondateur et les obstacles qu’il a surmontés, en particulier dans la création de solutions pour le développement des réseaux professionnels fondés sur la recommandation.


Extraits :

  1. Sur son apprentissage autodidacte : « Dès mes 17 ans, je me formais en ligne, jonglant entre cours de commerce et e-commerce. J'ai lancé des boutiques, puis je suis devenu consultant tout en continuant à me former en blockchain et finance. Tout ça, c’était des heures de YouTube et des formations achetées en ligne. »

  2. Sur ses débuts en vente et réseau : « En tant que jeune entrepreneur, convaincre n’était pas toujours simple. J’ai vite compris que la recommandation par des professionnels de confiance était primordiale, et j'ai bâti mon réseau en m’entourant de courtiers, de conseillers... Referaly est né de cette expérience. »

  3. Sur sa vision de l’entrepreneuriat : « Mon âge a parfois été un frein, surtout dans des domaines exigeants de la crédibilité comme l'investissement immobilier. Mais j’ai persévéré, en cherchant toujours à me former et à avancer étape par étape, sans attendre d'être “parfaitement prêt”. »
    🎧 Bonne écoute ! 🎧



📚 RESSOURCES

👐 LinkedIn de Arnaud Attencia

🌐 Site web de Referaly


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Transcription

  • Speaker #0

    Rendez-vous, le podcast qui fabrique et consolide votre réseau d'apporteurs d'affaires. On est en direct. Salut Arnaud.

  • Speaker #1

    Salut Jean-Christophe.

  • Speaker #0

    J'espère que tu vas bien, que tu as la patate en cette fin de semaine.

  • Speaker #1

    Ça va super, ça va super. Et toi tu vas bien ?

  • Speaker #0

    Ouais, ouais, ouais, en plein lancement de mon école du réseautage, donc je suis à fond les ballons. Mais bon, c'est pas le sujet, aujourd'hui on va parler de toi, on va parler de Referrali. L'idée c'est de passer un petit moment ensemble, aller jusqu'à 40 minutes, pas plus promis, parce que je sais que t'as plein d'autres choses à faire après. Trois moments qu'on va passer ensemble, tu vas nous dire un petit peu qui tu es professionnellement, d'où tu viens, ce que tu as fait, on peut même remonter un peu. aux études pour voir un petit peu quel est ton parcours, ton cheminement. Tu nous diras aussi pourquoi tu t'es lancé dans l'entrepreneuriat. Et puis après, tu auras une minute de carte blanche. Alors une minute, pas plus. J'insiste parce qu'après au montage, moi, ça me donne un peu trop de travail. Une minute grand maximum sur le sujet. Qui t'est cher ? Pourquoi pas une asso que tu soutiens, une publicité pour ton projet, ton entreprise, ta startup, ton appli. Vraiment ce dont tu veux. ce que tu veux pendant maximum une minute. Et puis après, on essaiera de voir un petit peu comment ces apporteurs d'affaires, on parlera de Referrali, de la genèse du projet, comment c'est devenu finalement une vraie entreprise. Et puis, on parlera un petit peu aussi de comment fidéliser ces apporteurs d'affaires, comment les gérer au quotidien. Et puis voilà, je pense qu'on aura fait un bon tour déjà de ce que tu fais.

  • Speaker #1

    Super, parfait.

  • Speaker #0

    T'es prêt ? Alors, il y a un petit rituel au début de cette émission, c'est toujours la même chose. Je te demande de te présenter Arnaud, ton entreprise, ta boîte, pendant 30 secondes, histoire que ceux qui nous écoutent sachent qui tu es, ce que tu fais. Et puis, ne rentre pas trop dans les détails parce que tu l'as compris, c'est le menu d'après.

  • Speaker #1

    Bien sûr. Je m'appelle Arnaud Tancéa, j'ai 23 ans et j'ai lancé Referally, qui est une plateforme tout simplement de recommandations entre professionnels. c'est globalement pour aller développer centraliser et gérer ces réseaux de prescripteurs d'apporteurs d'affaires qui soient particuliers ou professionnels mais c'est surtout entre professionnels ok bah j'ai hâte d'en savoir plus dis-moi

  • Speaker #0

    si on remontait un peu par le passé alors t'as 23 ans t'es tout jeune je pensais pas que t'étais si jeune j'ai 23 ans je me suis dit je vais lancer la vie yes ok bah c'est super bah remontons alors bon Alors, c'est virulent parce que j'ai souvent des gens qui ont 40 ans, comme mon âge. Alors, c'est rare qu'il y ait des jeunes comme toi. Super. Écoute, je suis ravi, encore plus ravi. Je pensais que tu avais la trentaine, moi. Je t'ai vieilli plus.

  • Speaker #1

    Je te cache un peu. Je ne vais pas mentir.

  • Speaker #0

    Je te cache un peu. Remontons un peu le temps. Alors, quelques années en arrière, tu as fait quoi comme études ?

  • Speaker #1

    En fait, dès que j'ai eu 17 ans, je suis parti en Espagne. Je suis allé vivre six ans en Espagne. Je suis de retour en France depuis six jours. Donc, c'est… Ça a été six ans où j'ai étudié. J'étais dans une école de commerce qui s'appelle USAD, qui est à Barcelone. J'ai fait un bachelor en administration des entreprises. Ça m'a vraiment plu. J'ai toujours essayé de trouver un petit peu des activités à lancer en parallèle. Je n'étais pas le plus scolaire, mais en tout cas, j'aimais bien tenter des projets à droite, à gauche. J'étais dans les e-commerce. J'ai vendu des sites web aussi pendant un petit moment. J'ai été consultant dans les entreprises, mais toujours dans mon expertise, surtout le e-commerce et le côté site web. Et après, j'ai eu une grosse parenthèse dans le monde de la crypto-monnaie où j'ai été analyste en finance et de centraliser. C'était tout ce que je faisais en parallèle de mes études. Et j'étais un petit peu électrique. En fait, j'avais du mal à rester juste focus sur les études. Et après, j'ai décidé de lancer... une première entreprise qui s'appelait Rikisher et ensuite Referrali et c'est aujourd'hui Referrali enfin je suis concentré à 100% sur Referrali et Referrali m'a amené aussi à revenir vivre en France

  • Speaker #0

    Mais alors t'as fait quoi comme bac ?

  • Speaker #1

    J'ai fait un bac S ouais j'ai fait un bac S c'était je crois qu'on était la dernière année avec les bacs S ES et L je crois que maintenant ils ont changé de nom

  • Speaker #0

    C'est là où les cadres à génère prennent un coup de vieux encore C'est pas vrai

  • Speaker #1

    C'était une dernière année, j'étais à Lyon, je suis originaire de Lyon à la base. Et dès que j'ai passé mon bac, je suis parti en Espagne.

  • Speaker #0

    Ok, parce que des origines espagnoles, j'imagine ?

  • Speaker #1

    J'ai une partie de ma famille qui est d'origine catalane. Après, ce n'était pas forcément lié, c'est juste que j'avais envie de voyager un petit peu. Ce n'est pas très loin non plus, Barcelone. Mais c'était avoir envie d'apprendre une nouvelle langue. J'ai déjà appris l'espagnol à l'école, mais je me disais, bon, ce serait sympa de vraiment perfectionner l'espagnol. Et aussi de parler un peu plus anglais. À Barcelone, on parle énormément d'anglais. plus parler anglais qu'espagnol et c'était très sympa 17 ans 17 ans tu t'es un petit peu fait violence quand même c'est un peu stressant mais je me suis dit justement j'étais c'est pas c'est c'est plus simple que si on fait ça peut-être plus tard dans la vie à 30 ans et 40 ans déjà installé je me suis dit j'ai tous mes amis qui partent à l'étudier dans d'autres villes à paris à marseille si je reste à Lyon ça sera un peu un changement un peu similaire que si je partais en Espagne dans le sens où en tout cas en termes de réseau de proches, d'amis tout ça, ça allait beaucoup changer il y a surtout la barre de la langue en fait le côté, bon j'arrive dans un nouveau pays je dois m'habituer à plus parler français et encore, je connais pas mal français à Barcelone dans mon école 25% de français mais ouais

  • Speaker #0

    Et donc, après, c'était un peu l'auberge espagnole, la bonne, c'est un peu les vieilles étudiantes. Tu connais le film ?

  • Speaker #1

    Alors ?

  • Speaker #0

    Tu l'as vu ou pas ?

  • Speaker #1

    Non, je ne l'ai pas vu. Oui,

  • Speaker #0

    tu as raison, j'avais ton âge quand je l'ai vu. Je l'ai peut-être perdu sur le documentaire,

  • Speaker #1

    il a dit que je l'ai vu, mais je ne l'ai pas vu. Mais par contre, pour l'anecdote, j'ai déjà vécu en coloc où mes parents me disaient c'est vraiment l'auberge espagnole, dans le sens où j'ai vécu six mois en coloc, j'avais onze colocs. On était 12 dans l'appartement. Personne venait du même endroit. Il y avait beaucoup de personnes d'Amérique du Sud, donc des Argentins, des Mexicains. C'était assez drôle. On était quelques Européens. Et en fait, vraiment, pour essayer de communiquer les uns avec les autres, on essayait de se rejoindre sur l'espagnol. Mais déjà, même entre l'argentin et l'espagnol, ce n'est pas exactement pareil, au niveau de l'accent, au niveau du vocabulaire. Mais ouais, j'ai vécu quelques anecdotes, quelques situations assez drôles en Espagne.

  • Speaker #0

    qui sera pas de l'opération c'est la vie t'as bien résumé le film en fait ok c'est cool et après bon alors donc l'Espagne le bachelor et puis des premières expériences alors c'était c'est quoi c'était des projets étudiants c'était en alternance ou c'était

  • Speaker #1

    des c'était vraiment à côté en fait même mon école interdisait ça je sais qu'ils parlent pas français donc ils verront pas ça ils interdisaient le fait qu'on travaille à côté ils voulaient qu'on soit 100% sur les études sauf que c'était C'est pas que l'on y est en cours, mais c'est que je me suis dit que ce serait pas mal de mêler la théorie à la pratique. Donc, très rapidement, j'ai lancé des boutiques e-commerce, juste pour comprendre comment fonctionnait le marketing digital, tout ça. J'ai commencé aussi à vendre des sites web en no-code pour des petites entreprises, des PME. Et ensuite, par contre, je me suis formé dans tout ce qui est blockchain. Il y a une petite vague, on est encore dedans en ce moment. petite vague de hype sur la blockchain, sur la crypto-monnaie. Je me suis dit, je vais essayer de me former là-dessus. Donc, j'ai passé un diplôme en ligne. Et ensuite, j'ai postulé pour une boîte pour un travail qui normalement devait être à mi-temps. Finalement, je faisais 40 heures par semaine. À côté, j'avais les cours. À côté, j'avais le permis. À côté, j'avais pas mal de choses. Et au final, ça m'a vraiment plu. Donc, j'ai fait ça pendant plusieurs mois. J'ai fait ça pendant six mois. Et c'était juste avant de partir en échange aux États-Unis. Donc, je savais que ça allait être pour une période assez...

  • Speaker #0

    assez restreinte et voilà mais ça ne m'a vraiment plus je suis encore en contact avec pas mal de personnes dans cette industrie là donc mais si je comprends bien t'as un peu un touche à tout t'aimes bien te former tout seul t'aimes bien passer à l'action de ton côté te former ouais c'est ouais t'as

  • Speaker #1

    bien résumé la chose bah j'ai commencé à 17 ans à me former en ligne ah ouais ouais t'es cette nouvelle génération qui se forme un peu sur Youtube pendant qu'ils sont en cours c'est ça ? sur ULSI mais la première formation que j'ai acheté c'était vraiment distinct j'ai vraiment fait l'effort d'acheter une formation même si bien sûr on peut trouver pas mal d'informations en ligne sur Youtube et tout il y a beaucoup de contenu ça dépend des thématiques mais pour des thématiques comme les commerces il y a beaucoup de contenu en ligne je me suis aussi s'engager sur une formation c'est me dire je vais être rigoureux je vais être ultra discipliné par rapport à cet apprentissage là parce que j'ai envie de rentabiliser aussi un peu mon investissement donc ouais j'ai commencé à 17 ans et là depuis je continue à me former après effectivement il y a certaines thématiques typiquement le no code j'ai pas pris de formation pour en parler c'était vraiment du YouTube c'était Internet YouTube il n'y avait pas de GPT mais voilà

  • Speaker #0

    Rendez-vous, le podcast. Et donc, tu as vite entrepris, en fait. C'est ça, si je comprends bien. Tu as vite retrouvé consultant, à vendre des sites web.

  • Speaker #1

    Exactement. Mais c'est toujours en tant qu'auto-entrepreneur. En fait, j'ai vraiment créé une première entreprise quand j'étais en quatrième année. Donc, les Bachelors en Espagne, je ne sais pas si c'est pareil en France, mais en Espagne, les Bachelors, c'est quatre ans. En fait, en quatrième année, j'avais un projet de fin d'études, on va dire. C'était de pitcher une start-up. donc je fais ce projet de fin d'études c'était sur l'investissement immobilier fractionné, donc en fait aider les gens à investir à partir de petits montants enfin de 1000 euros moi c'était un petit peu comme ce qui se fait en France avec des SCPI, donc c'est de l'investissement immobilier avec des tickets d'entrée beaucoup plus faibles donc j'avais présenté une boîte là-dessus et en fait pendant mon échange aux Etats-Unis, j'étais à Boston, j'ai présenté ça aussi devant un jury, enfin on avait une compétition d'entrepreneuriat, je me lance dedans et j'ai gagné le... Enfin, je ne pouvais pas être sur le podium parce que j'étais un étudiant en échange donc normalement, c'est que les Américains qui sont censés être représentés sur le podium. Par contre, j'ai eu le prix du favori du public et donc je me suis dit ok, les gens accrochent énormément sur l'idée, je vais essayer de la lancer et donc en fait, c'est là où j'ai lancé ma première entreprise qui s'appelle Relatifaire qui est un investissement immobilier fractionné et voilà, qui est une solution maintenant qu'on fait en B2B, enfin, je travaille plus sur cette activité. On a revendu, je ne rentre pas forcément dans les détails, mais on a revendu la partie technique en tout cas des développeurs en Espagne et en Gals. Et voilà, et maintenant du coup je suis sur EFRL.

  • Speaker #0

    Et en tant qu'entrepreneur, c'est quoi les premières difficultés, les premières galères que tu as pu traverser ?

  • Speaker #1

    Moi la toute première, c'était l'âge. Parce qu'en fait, la première chose que je n'ai jamais vendue avec mon... Enfin... avec une entreprise, je veux dire pas en tant qu'auto-entrepreneur, mais vraiment avec une entreprise de t-shirts, c'était de l'investissement que je vendais à des particuliers. Donc ça repose que sur la confiance. Il y a beaucoup de gens qui pourraient penser que j'étais une arnaque ou je sais pas. Donc en fait, avoir en face de quelqu'un d'un peu plus âgé, forcément ça va les rassurer. Sauf que moi, à ce moment-là, j'avais 21 ans, donc j'avais pas envie de brotter à ce moment-là. Et donc il y avait ce problème de, ok, là j'avais été un frein, mais pour cette activité en particulier, c'est d'ailleurs aussi pour ça que je me suis dit que c'était pas forcément... la bonne activité pour moi à ce moment-là parce que ce n'est pas tout d'abord une bonne idée d'être dans l'exécution. C'est aussi parfois tout simplement le profil de l'entrepreneur ne matche pas avec le profil de l'entreprise qu'il est en train de créer. Donc ça, ça a été ma grosse difficulté. Ça a été l'âge. Dans le cas avec Referrali, justement, c'est plutôt bien perçu le fait que j'essaie de créer des solutions pour les entrepreneurs quand je suis jeune et que je sais faire bouger un petit peu les choses sur le côté digital. Mais oui, première grosse difficulté, ça a été l'âge et pour des projets comme le tout premier que j'ai eu, ça a été aussi lever des fonds. avec VDFrance, ça a été assez compliqué.

  • Speaker #0

    Et d'où te vient cette fibre pour l'entrepreneuriat parce que t'es quand même tout jeune ? T'es toujours dit qu'un jour, tu me lancerais des projets comme ça.

  • Speaker #1

    J'ai l'histoire. C'est pas l'histoire la plus sexy que tu m'entendes. En fait, j'avais 14 ans et je jouais à GTA V pour ceux qui connaissent.

  • Speaker #0

    D'accord. Un jeu vidéo, tout ça. C'est un truc un peu gore, non ? Où tu écrases les gens, non ?

  • Speaker #1

    Ouais, c'est pas ce que tu fais. Moi, je respecte la circulation, moi, dans GTA V. Y'a pas de... Bon, je jouais à ça, et en fait, j'avais le truc de... Je voulais monter un peu pétance dans le jeu, il fallait acheter des crédits, tout ça, et en fait, j'allais pas mal sur Internet pour taper comment gagner de l'argent sur GTA V. Gagner de l'argent sur GTA V. Et à un moment, je suis tombé... Je pense que j'ai mal cliqué sur un truc, et je suis tombé sur comment gagner de l'argent en ligne. J'arrive sur des vidéos de gourous qui me disent... Il faut faire ça, il faut faire ça. Moi, je suis 14 ans et je suis au monde. Tout le monde fait des trucs de fou. Et moi, je suis là. Et en fait, maintenant, avec du recul, je me rappelle des vidéos que je regardais. Je me rappelle des noms d'entrepreneurs que je regardais qui, aujourd'hui, n'ont pas beaucoup de problèmes parce que c'est des arnaques. Mais en tout cas, ça m'a mis un peu le pied dedans où j'ai commencé à dire, il y a des gens qui font de l'argent en ligne, il y a des gens qui développent des activités, qui font du business. Et en fait, vraiment, j'ai une petite période d'addiction là-dessus. Pendant deux, trois semaines, j'ai passé des heures et des heures sur YouTube, en fait, à regarder ces gars-là. Et petit à petit, ça m'a mené vers le marketing digital où des gens me disaient « Ouais, moi j'ai créé ma marque, j'ai fait mon branding, j'ai fait mon site et tout. » Et en fait, petit à petit, comme ça, le premier pas, c'était ça. La première étape, c'était juste j'ai pas cliqué sur quelque chose et après, je me suis retrouvé dans un univers que je ne connaissais pas du tout à 14 ans. Et après, à côté des cours, je commençais à m'enseigner, à me former, parfois, sur des trucs, encore une fois, qui n'étaient pas top top, avec du recul, où tu te dis « En fait, c'était des gourous et j'étais trop jeune pour me rendre compte que c'était des gourous. » et tu absorbes toutes les informations qu'ils te donnent mais en tout cas je suis très content que j'ai été à 5 mais permis de faire ça les jeux vidéo ne rendent pas violent

  • Speaker #0

    C'est sympa, c'est exceptionnel ce que tu partages. Moi, je suis la génération qui a vu le web, le digital arriver. Et quand j'avais ton âge, c'était un gros gap à franchir. Et là, je vois ma fille qui va se découvrir l'IA, l'intelligence artificielle, et qui va vivre quelque chose de complètement différent de moi, et qui est au même âge, à 10 ans, j'en savais. beaucoup moins parce qu'elle, elle écoute des podcasts. Donc, c'est vraiment un bouleversement de la vie des humains, quoi, avec le digital. C'est exceptionnel. Bon, bref, on ne va pas épiloguer là-dessus. Ce n'est pas le but. Allez, ça fait 15 minutes qu'on est ensemble. Il est grand temps que tu passes à ta carte blanche, Arnaud. C'est à toi de jouer.

  • Speaker #1

    Super, la carte blanche, au début, j'avais parlé du fait que forcément, le réseau, pour se lancer, moi, ça a été super important parce que quand on est jeune, peut-être, pas autant d'expérience que quelqu'un qui a 10 ans d'activité, c'est compliqué de se développer sans réseau. Ça, c'était le premier point. Mais l'autre truc aussi que je retrouve, et peut-être pour parler à des personnes qui ont plus mon âge, peut-être entre 20 et 30 ans aussi, ou sinon des personnes qui sont en reconversion, c'est que souvent, je vois qu'en fait, les gens ont peur de se lancer parce qu'ils disent qu'ils n'ont pas la crédibilité. Et je pense que la crédibilité, on l'obtient aussi en travaillant sur son projet. Simplement, au début, on n'est pas qualifié. Après, on monte en compétence. Moi, c'est vraiment le fait d'être allé aussi vite sur chaque projet. C'était le fait de me dire que la crédibilité va se développer petit à petit. Et j'ai beaucoup d'amis qui hésitent à lancer leur activité. Et je leur dis allez-y parce qu'au début, vous n'allez pas avoir beaucoup de compétences. Et après, vous allez voir vos frères et soeurs de plus en plus qualitatifs.

  • Speaker #0

    Yes. Je pense que s'ils écoutent ce podcast, ça leur donnera peut-être une vision un peu plus précise de ton parcours. Et peut-être que ça les aidera à se déclencher. J'espère. Rendez-vous, le podcast. Allez, on attaque la dernière ligne droite de l'émission. Alors, Réferali, comment fidéliser, gérer ses apporteurs d'affaires au quotidien ? Première question un peu basique, mais elle te vient d'où cette idée d'avoir lancé Réferali ?

  • Speaker #1

    Alors en fait, justement, cette première entreprise, donc FiltiShare, on proposait de l'investissement immobilier. Je me suis dit que parce que j'étais jeune, parce que j'avais du mal à convaincre juste en appel téléphonique, en visio, en parlant à des partenaires, j'avais du mal à convaincre. Je me suis dit, il faut vraiment que je m'entoure de professionnels qui vont pouvoir me recommander. Moi, je me disais, faites-moi bosser. Peu importe, vous voulez prendre une telle commission, il n'y a pas de souci. Faites-moi bosser. Donc en fait, je me suis vraiment mis dans la démarche d'aller présenter ma solution non plus à des clients. mais aller la présenter à des partenaires professionnels qui, au jour le jour, sont en contact avec ma clientèle. Et en fait, de là, j'ai rencontré pas mal d'agents immobiliers, de courtiers, gestionnaires de patrimoine, comptables, enfin, beaucoup de professionnels différents. Les gens adhéraient énormément. Ils disaient, OK, c'est top, je vais parler de toi, je vais t'envoyer des clients, tout ça. Et je voyais que mon activité commençait à se développer, surtout grâce à ça. Le problème, c'était comment rendre ça beaucoup plus tangible, c'est-à-dire faire le tri déjà entre qui est vraiment un apporteur d'affaires proactif et qui ne l'est pas. aussi il y avait tout ce côté qui m'énervait de l'administrative de se renvoyer les contrats tout ça parfois on perd une heure parce qu'il faut refaire le contrat, il faut aller demander la signature pour qu'au final de toute façon il n'y ait aucune recommandation qui en écoule je me suis dit c'est fou, il n'y a pas une solution qui est adaptée pour juste faciliter les échanges entre partenaires entre apporteurs d'affaires et j'ai commencé à en parler autour de moi je dis vous avez aussi ce problème, parce que moi je viens d'arriver c'est même pas un an que je suis dedans donc vous avez ce problème aussi Et tout le monde dit, ouais, c'est vrai que c'est un peu chiant. Il faudrait quelque chose. Et je commence à faire des petites slides de mon côté, à me dire, OK, ça pourrait ressembler à ça, à ça, à ça. Au tout départ, je le mets sur le site web de Retisher, de l'entreprise que j'avais. Je dis, on va faire ça que pour Retisher. Et quand les gens voient cette partie-là du site web, ils me disent, mais tu ne voudrais pas faire un truc pour nous ? Tu ne pourrais pas copier-coller ça pour notre activité ? Et moi, je dis, OK, si vous voulez, je peux préparer ça. Je lance des précommandes. Allez-y, je vous présente mes slides. des slides qui étaient horribles par ailleurs. Je ne sais pas si Jean-Christophe, à l'époque, tu les avais vus, les slides, mais elles étaient horribles. Et en fait, j'ai vu que les gens adhéraient énormément et qu'ils étaient prêts à payer une précommande pour avoir accès à ce genre d'outil. Et qu'au début, je me suis dit que ça n'était que pour l'immobilier. Et finalement, parmi mes premiers clients, j'ai eu des consultants d'entreprise, j'ai eu des coachs. J'ai pu faire plein d'autres mondes, type les opcos, les certifications de calopie, tout ça que je ne connaissais pas du tout. Et en fait, je me suis rendu compte que ce n'était pas un problème qui était propre à l'immobilier. C'était vraiment... tout secteur d'activité qui fonctionne au bouche à oreille, recommandation, rapport d'affaires, mais qui ne peut pas être digitalisé de la même manière que par exemple une banque en ligne qui va partager des liens d'affiliation. en fait c'est que nous on va essayer de proposer une alternative aux liens d'affiliation mais pour des professionnels qui sont dans l'humain donc voilà c'est un peu l'histoire c'est que ça vient d'un besoin que j'avais avec mon ancienne entreprise et j'ai vu que c'était un besoin commun beaucoup de personnes partageaient ce même problème et donc je me suis dit si on est suffisamment je lance la chose donc là quand on enregistre ce podcast on est le 7 novembre 2024 si je ne me trompe pas

  • Speaker #0

    Et c'était quand alors que tu as commencé à bosser là-dessus sur Referally ?

  • Speaker #1

    L'idée, mi-février 2024. L'idée, on a réuni suffisamment de précommandes pour lancer le développement en mi-mars. Donc en un mois, je me suis dit qu'il y avait suffisamment de personnes pour qu'on continue là-dessus. J'ai été en développement pendant 6 mois, 7 mois. En fait, on a lancé l'application en été 2024, fin juillet 2024. Et depuis septembre, ça va beaucoup plus vite parce qu'on a pu faire quelques événements. Typiquement, le salon du courtage à Paris, patrimonia à Lyon, le salon de la gestion de patrimoine. Je peux faire d'autres événements d'entrepreneurs en présentiel. En fait, le problème, c'est que l'application s'est lancée pendant l'été. Du coup, j'ai dû attendre septembre pour vraiment parler autour de moi en présentiel.

  • Speaker #0

    Alors, c'est quoi le modèle économique de Referali ?

  • Speaker #1

    Alors aujourd'hui, on est que sur de l'abonnement. On est que... En fait... On appelle ça un SaaS, un logiciel qu'on commercialise. On ne prend pas de commission sur les commissions, par exemple. C'est une question qui est assez récurrente. On dit, si je paie une commission dans l'apporteur d'affaires, tu vas prendre des frais. Non, on ne prend pas de frais là-dessus. C'est juste sur un logiciel. Donc, on a un bon moment où on accélère en fonction des conditions.

  • Speaker #0

    Donc, on se connecte. Et comment on peut gérer justement ces apporteurs d'affaires ? Parce qu'au quotidien, quand même... Un apporteur d'affaires, il faut le garder sous la main. Un des meilleurs moyens de fidéliser un apporteur d'affaires, c'est quand même de le valoriser et de le rémunérer, comme tu l'as dit, sans trop de difficultés, sans galères. Alors, quel est un peu le parcours de l'utilisateur ?

  • Speaker #1

    Déjà, le premier truc, c'est que, parce que pareil, c'est une question qu'on a pas mal, il y en a qui me disent, est-ce que ça peut venir remplacer ? Enfin, ils ne verbalisent pas comme ça, mais en gros, c'est est-ce que ça peut remplacer l'humain ? Est-ce que juste avec l'application, je peux ajouter des prescripteurs que je ne connais pas ? Il y a des marchés sur LinkedIn, ils ajoutaient ? Je dis dans la théorie, oui. Dans la théorie, c'est des liens, des QR codes, vous pouvez ajouter qui vous voulez. En revanche, c'est toujours complémentaire à l'humain, et je pense que tu vas me rejoindre dessus, c'est que le digital doit se mettre au service de l'humain et pas l'inverse. Donc en fait, ici, c'est de se dire que l'application, c'est offrir une facilité pour ces prescripteurs, ces apporteurs d'affaires, pour nous recommander. En fait, l'intérêt pour la porteur d'affaires, c'est que via l'application, il va y avoir un espace privilégié pour faire de la recommandation. Donc, ce sera beaucoup plus accessible. En quelques secondes, n'importe quel jour, n'importe quelle heure, il peut vous envoyer un contact. L'autre avantage, c'est que la relation professionnelle est recadrée dès le départ avec un contrat qui se signe très facilement. Donc, voilà, ça s'accepte comme une politique de confidentialité, une case à cocher une fois qu'on a bien vu l'ensemble du contrat. Et surtout, le point le plus important, c'est avoir de la transparence sur la recommandation qu'il va vous faire. Donc, en fait... Et s'il se dit, lui, il vous fait de la roco, il veut ensuite avoir toutes les étapes de suivi qui sont importantes pour lui, jusqu'au moment où la commission est payée, s'il y a une commission finale, l'application marche aussi sans commission, mais au moins qu'il soit tenu au courant à chaque étape du process. Donc ça, c'est tout l'intérêt pour l'apporteur d'affaires et tout l'intérêt pour le professionnel qui utilise l'application Referrali avec ses apporteurs d'affaires, c'est de se dire, il va pouvoir fidéliser une communauté de prescripteurs et pouvoir avoir de la visibilité sur qui le recommande. mettre à disposition les documents pour mieux être recommandés, pouvoir relancer un petit peu son réseau une fois par mois, par exemple, avec une notification, et surtout que chaque rencontre puisse découler d'une relation professionnelle apporteur d'affaires avec un simple lien QR code qui vient, dans l'idée, remplacer un petit peu les cartes de visite. En tout cas, c'est le projet à moyen terme.

  • Speaker #0

    Rendez-vous le podcast. C'est ce que tu disais au début, ce n'est pas un moyen de prospection.

  • Speaker #1

    Il y en a qui le font. Il y en a qui le font. Je ne peux pas arrêter là-dessus. J'ai hâte de voir aussi des idées, des manières d'utiliser que je n'avais pas forcément en tête à la base. Par exemple, au tout début... Je ne l'imaginais pas du tout comme un outil vraiment complémentaire à LinkedIn, enfin toujours sur une prospection LinkedIn. Et en fait, on a des utilisateurs qui commencent à faire des campagnes sur LinkedIn où ils vont contacter, je ne sais pas, par exemple, ils sont, on va faire le cas le plus simple, ils sont agents immobiliers ou courtiers. Ils vont aller contacter des professionnels complémentaires à leur activité, par exemple, gestionnaire de patrimoine. des comptables, des décorateurs d'intérieur, dans leur région, ils vont commencer à dire « J'ai vu votre activité sur LinkedIn, moi je fais ça, ça peut être complémentaire. Est-ce que vous serez dispo pour une rencontre en visio ? » On apprend à se connaître. Ils font ça et ensuite, quand ça matche bien, ils partagent leur lien ou leur QR code pour travailler ensemble au sein de Referrali. Il y en a même qui ne font pas l'effort de faire les visios, ils balancent leur lien. Je leur dis qu'il faut voir au niveau des résultats ce que ça donne, mais c'est toujours mieux quand même d'en venir. rencontrer la personne.

  • Speaker #0

    Oui, c'est un peu en mode marketing de l'espoir.

  • Speaker #1

    C'est ça, c'est ça. Il y en a un peu plus en plus.

  • Speaker #0

    Oui, sur du volume, j'imagine que ça marche.

  • Speaker #1

    Sur du volume, oui.

  • Speaker #0

    Mais rien de nouveau. L'échange en amont, forcément. L'exemple que je prends souvent, c'est les séquences de mails automatiques. Ce que tu peux recevoir. Si c'est un illustre inconnu qui t'envoie ça, tu vas vite te désabonner. Si c'est quelqu'un que tu... connais, tu vas plus te demander si tu te désabonnes ou tu vas continuer à consommer ces contenus de temps en temps. C'est un peu ça l'idée. De toute façon, il y a toujours le lien hyper important. C'est le début de tout.

  • Speaker #1

    C'est ça. C'est pour ça que les premières étapes, aujourd'hui, la première chose à faire, c'est de venir ajouter ses anciens clients qui sont satisfaits, parce que c'est les meilleurs apporteurs d'affaires en termes de qualité de recommandation. Et après, ajouter ses partenaires professionnels avec qui on bosse déjà. Ça fait déjà une bonne base pour comprendre comment l'application fonctionne et voir comment ça fait gagner du temps, tout ça. et ensuite une fois qu'on a cette base là pourquoi pas aller chercher de nouveaux prescripteurs de nouveaux apporteurs d'affaires mais je pense que étape par étape encore une fois qu'il faut de l'automatisation sur l'exit et qu'il va être référalité c'est pas moi qui vais me plaindre de ça mais

  • Speaker #0

    je pense qu'il faut différencier le volume et la qualité des apporteurs d'affaires quelque chose qu'on a abordé en préparant cette émission c'est le fait que finalement quand t'es sur Réferrali les gens de ton réseau qui sont là tu les gardes pour toi, c'est vraiment un réseau privé c'est pas public tu vas pas aller faire ton marché dans les apporteurs d'affaires de tous les autres.

  • Speaker #1

    Exactement ça c'était super important dès le début quand j'ai pensé l'application je me suis dit pourquoi pas avoir une partie publique en fait on peut se retrouver les uns les autres, en fait en présentant ça je me suis rendu compte que chaque entrepreneur que je rencontrais me disait non mon réseau c'est mon réseau je suis très heureux de faire de la mise en relation quand c'est adapté en revanche je ne veux pas que tout le monde puisse voir quels apporteurs d'affaires j'ai ajoutés sur ma plateforme, qui sont mes prospects. Les prospects, on n'en parle même pas, mais il faut dire les apporteurs d'affaires, que ce soit aussi quelque chose de très privé. Souvent, je vois comme exemple TrickHunt, on en parlait aussi un petit peu avant, mais TrickHunt qui est une application de partage de dépenses entre amis. Si je ne dis pas de bêtises, c'est un fondateur français et qui m'attend sur l'international. Et en fait, ça a bien marché aussi parce que c'est des réseaux privés de partage de dépenses entre amis. On s'envoie un lien et on fait partie d'un petit groupe qui est réuni pour un but bien précis, une calcul des dépenses entre amis. Dans l'idée, Referally, c'est que ce soit un peu le tricount de l'apport d'affaires. En fait, on est cette petite communauté d'apporteurs d'affaires, de contacts pros et particuliers avec qui on a des missions de recommandation et on peut faire du suivi de dossiers ensemble.

  • Speaker #0

    Pour voir plus globalement, prendre un peu de hauteur par rapport à Referally, comment on gère au quotidien ces apporteurs d'affaires ? Donc, on a la partie référalie, bien sûr, où tu vas pouvoir les fidéliser. Mais toi, comment tu conseilles tes clients ? Parce qu'il y a toute la partie en amont. On parlait de lien d'humain juste avant. Comment tu imbriques référalie dans la fidélisation et la gestion au quotidien de ces apporteurs d'affaires ?

  • Speaker #1

    Oui. Alors déjà, le tout premier truc qu'on fait aujourd'hui, c'est qu'on accompagne chaque utilisateur de la plateforme. Alors, ça fait du boulot, mais en fait, c'est se dire... justement du coup on vient rajouter un outil pour encadrer toutes ces relations professionnelles il faut aussi que l'utilisateur soit ultra bien, enfin, éduqué on va dire, enfin formé sur l'outil on va déjà les accompagner pour mieux comprendre comment ils fonctionnent avec leurs apporteurs d'affaires aujourd'hui si leur objectif c'est plutôt de développer ces réseaux de prescripteurs si c'est plutôt de les centraliser ou de les gérer, ou les trois donc voilà on va faire pas mal d'accompagnement là-dessus et en fait pour vraiment l'utilisation concrète de l'application c'est qu'une fois qu'on a son compte qui est mis en place et ça on le fait avec chaque utilisateur, on a une petite visio, on remplace le compte ensemble. En fait, ils ont juste à partager un lien ou un QR code dès qu'ils sont en contact avec, je ne sais pas, ils viennent de finir une mission avec un client, ils viennent de rencontrer un nouveau partenaire lors d'un événement de networking, qu'ils aient juste à partager le QR code, que ça ne leur prenne pas de temps supplémentaire, parce que je n'ai pas envie de rajouter un deuxième truc à faire, que ce soit vraiment un scan de mon QR code, parce que je pense qu'il peut y avoir des synergies entre nos activités, et si Alainir, tu me recommandais, tu as un espace privilégié dessus. Super. La personne, comme ça, elle scanne le QR code en face, elle est redirigée vers l'application, vers le programme partenaire de la personne qui lui a fait scanner son QR code, et de là, elle a un accès à mon privilégié pour le recommander. C'est vraiment aussi simple que ça, et ensuite...

  • Speaker #0

    Une fois qu'elle fait une recommandation, par exemple, je ne sais pas, un gestionnaire de patrimoine qui va recommander un agent immobilier, une fois que la recommandation est faite, en fait, on a un menu de suivi où l'apporteur d'affaires voit toutes les étapes de suivi qui lui sont fournies. Il voit à quelle étape on en est, à quelle date telle ou telle étape a été franchie. Et du point de vue du professionnel qui a reçu le prospect, c'est exactement la même chose, sauf que lui, il a la possibilité de passer à l'étape suivante. Il dit, ok, tel jour, tel heure, j'ai contacté le prospect, j'ai fait un appel vidéo avec lui, j'ai signé. tel qu'on traite avec lui ça peut je vais dire un mot pas sexy ça peut faire un peu CRM le mot CRM je n'aime pas mais CRM à double entrée en fait où chacun des parties a de la visibilité sur ce qui se passe donc c'est un truc comme ça quand on utilise l'outil mais l'idée c'est que ce soit quand même un gain de temps oui c'est intéressant ce que tu dis parce que un CRM pour ceux qui nous écoutent c'est un logiciel qui

  • Speaker #1

    permet de gérer ses clients et Moi, je ne connais pas de CRM où, justement, il y a une partie gestion des apports d'affaires dedans, il y a classification des contacts, hyper qualifiés. C'est assez rare et je pense que c'est quelque chose qui me manque aujourd'hui et que un référent rallye va peut-être un peu compléter ça. Après, moi, j'avais une autre question. On m'a dit, vraiment, pour fidéliser ces apporteurs d'affaires, on a un référent rallye où on peut avoir d'autres fonctions, mais il y a le côté un peu, il faut savoir... donner ça, le lien référé, tu parlais de QR code mais il faut savoir le donner au bon moment quand même je pense parce que si tu commences à démarcher sur LinkedIn, moi ça me fait penser aux agents immobiliers une profession que je connais à peu près bien, où en fait ils publient sur leur réseau je rémunère mes apporteurs d'affaires et je crois qu'il y a quand même certains messages qu'il ne faut pas faire passer trop tôt c'est plutôt qu'au moment où la relation on a contractualisé ensemble ou alors On a fait du réseau ensemble, on s'entend bien. Il est peut-être temps de passer next step. Ouais, ok, on peut se recommander. On commence déjà peut-être à se faire des mises en relation avant de se recommander. Et puis, boum, on va enclencher, refaire allier. Tant que la relation n'est pas enclenchée, c'est difficile quand même, non ? Tu ne crois pas ?

  • Speaker #0

    Je suis d'accord. C'est pour ça que souvent, je compare une carte de visite. Je leur dis, en fait, vous n'allez pas sortir avec carte de visite avant d'avoir dit bonjour à quelqu'un. Enfin, c'est un peu ça. Souvent, ça vient à la fin d'un échange. Après, quand c'est un client avec qui on a déjà travaillé, quand c'est un professionnel avec qui on a déjà travaillé, forcément, on lui envoie le lien sur WhatsApp que ça n'a pas de choqué. Mais par contre, un événement de networking, je pense que c'est un peu too much d'arriver dès le début et dire bonjour. Ausha sur Eferaly d'ailleurs, parce que comme ça, tu peux m'en commander. C'est un peu le problème. Mais d'ailleurs, à ce sujet justement, vu que j'essaie de pas mal expliquer ça, que c'est plutôt en fin de discussion, que c'est... Comme une carte de visite, en fait, on sort des cartes de visite referralées, où l'idée, c'est de pouvoir taper directement le téléphone de la personne à la fin de l'échange et dire, comme ça, je t'ai ajouté en tant qu'apportant d'affaires, ça retire directement la personne sur une carte de visite virtuelle ou s'ils ont la possibilité de devenir apportant d'affaires. Donc ça, c'est quelque chose qu'on est en train de lancer en ce moment, avec petit exclu.

  • Speaker #1

    Yes, le scoop !

  • Speaker #0

    Mais l'idée, c'est qu'en fait, on puisse présenter les referralées comme une facilité, enfin comme l'étape après une carte de visite. En fait, c'est dire qu'on sera plus tangible parce qu'on a une carte de visite entre les mains, mais que c'est vraiment en fin d'échange.

  • Speaker #1

    C'est bien joué. La carte de visite connectée est une innovation aussi qui permet de faire vivre en réseautage ou en rencontre des moments assez sympas. Ok, et quels conseils tu donnes pour fidéliser tes clients, faire en sorte que tes clients fidélisent leurs rapporteurs d'affaires ? Tu leur recommandes de faire des déjeuners de temps en temps, de faire des appels, c'est quoi tes stratégies ?

  • Speaker #0

    Moi je suis très appel, je suis très très appel pour le coup, et je le dis à chaque fois que j'ai même un rendez-vous avec quelqu'un qui n'est pas un client, qui n'est pas un partenaire, enfin dès que je suis avec quelqu'un au téléphone, je dis mon téléphone pro et mon perso c'est le même. appelez-moi j'aime quand on m'appelle il y a un truc au copse-sol les gens savent que directement ils peuvent m'appeler que si je ne suis pas dispo je les rappelle dans les 4 minutes qui suivent et en fait moi c'est surtout ce côté disponibilité où je sens que les gens ont davantage envie de bosser avec moi et je pense que c'est pareil pour chaque professionnel en fait c'est quand on se montre disponible c'est dans mes priorités tu m'appelles c'est dans mes priorités parce qu'on a bossé ensemble dans le passé parce qu'on peut bosser ensemble dans le futur je trouve que les gens apprécient bien je fais aussi pas mal de suivi et je pense que chaque professionnel professionnels qui pourraient faire ça c'est vraiment aller pas toutes les semaines mais si t'as pas de nouvelles une fois tous les mois un petit message un petit truc t'as même je sais pas un article moi quand je tombe sur des nouveautés ou intéressantes et j'en ai parlé dans une discussion avec un partenaire ou un client je le renvoie ça permet de maintenir le contact sans être intrusif donc c'est du côté disponibilité et suivi quand c'est adapté après pas le forcer non plus mais

  • Speaker #1

    Il y a des fonctionnalités, pour en revenir à Réferali, qui aident ou suivent comme ça dans l'appli ?

  • Speaker #0

    Oui, alors on a le côté notification, pour l'instant qui est un petit peu impersonnel, dans le sens où on va pouvoir envoyer une notification commune à l'ensemble de son réseau d'apporteurs d'affaires. C'est pour faire gagner du temps aux professionnels, justement en se disant, s'il a 50 apporteurs d'affaires sur l'application, entre des particuliers et des professionnels, en quelques secondes, il va pouvoir envoyer une notification, ça peut être ce qu'ils veulent, ça peut être, n'oubliez pas, vous pouvez m'en commander, ça peut être bonne année, ils mettent la notification qu'ils veulent. Donc ça, c'est pour dire, si vous n'avez pas le temps de... de garder ce contact au moins il y a une petite picture de rappel que vous existiez que vous existiez donc ça ça va être un des moyens l'autre chose c'est quand on met à disposition des documents sur l'application on peut partager des documents avec ses apporteurs d'affaires pour qu'ils nous recommandent un petit peu plus efficacement quand on télécharge un document si on veut ça peut aussi envoyer un petit message en disant voilà Jean-Christophe Lebelec va télécharger un document pour que vous puissiez le recommander à votre target C'est un peu la suite. En fait, c'est toujours assez compliqué d'être dans le suivi et le maintien de la relation sans être intrusif. Il y a des gens, ils ne veulent pas que tu les appelles, ils ne veulent pas que tu leur envoies des emails. Donc, nous, on s'est dit, le côté notification, déjà, c'est un peu plus visible qu'un email, c'est moins intrusif qu'un appel téléphonique. Pour l'instant, on est vraiment là-dessus. Et sur le côté suivi, celle de ces recommandations qui, déjà, rend la chose beaucoup plus tangible pour chaque partie.

  • Speaker #1

    Oui, dans l'appli, il y a aussi la possibilité de faire des partenariats. Tu peux nous en dire plus ? Je dis souvent, moi, que... La suite logique du networking et du réseautage, c'est le partenariat.

  • Speaker #0

    Oui. Alors là-dessus, tu vas me dire si on parle de la même chose, mais en fait, le partenariat dans le sens où il n'y a pas de commission, c'est un échange de mon procédé. C'est ça que tu veux dire ? Oui.

  • Speaker #1

    Après, tu vois, ça peut être de la co-distribution, du co-marketing, de faire la construction. Ce qu'on est en train de faire en ce moment, on fait un live ensemble. C'est aussi une sorte de partenariat, des choses comme ça.

  • Speaker #0

    Déjà, le tout premier point, juste par rapport au côté partenariat, mais d'échange de mon procédé, il y a beaucoup de professionnels qui me demandent si l'application est faite pour eux parce qu'ils n'ont pas d'apporteur d'affaires pour vous parler, c'est que des partenaires où ils ne se donnent pas de commission les uns les autres, c'est juste qu'ils s'envoient des contacts et bossent dessus ensemble. L'outil est carrément fait pour ça. On fait en sorte que l'outil s'adapte à la manière de travailler de chaque professionnel et pas l'inverse. Donc, c'est possible de travailler sans commission via l'application. c'est peut-être la parenthèse partenaire en termes de recommandations maintenant aussi on a développé quelque chose qui s'appelle Referraly Finder c'est vraiment créer tout un écosystème autour de de l'apport d'affaires, enfin des synergies entre professionnels et donc on a l'application Referraly et on a Referraly Finder qui est une fonctionnalité qui est aussi au sein de l'application et qui permet de rencontrer justement des partenaires professionnels si on a un contact pour eux, par exemple demain, toi Jean-Christophe t'as je sais pas, quelqu'un qui cherche à ... refaire son site web. Tu n'as pas forcément un professionnel à lui recommander et pour autant, tu sais que si tu les mets en relation, ça va aussi, tu vois, ça va alimenter un peu ton réseau. Tu as envie d'être la personne qui présente aussi quelqu'un. Nous, en fait, on va faire cet effort de trouver un professionnel qui matche, tu vois, ta requête. Tu veux rencontrer quelqu'un qui est web designer pour un client à toi qui a besoin de refaire son site web, on peut te mettre en contact avec un utilisateur de Viferali ou sinon un utilisateur hors Viferali, mais... qu'on va venir trier sur le volet parce qu'on a forcément notre réputation aussi en jeu là-dedans. Donc, c'est tout de suite pour les partenariats.

  • Speaker #1

    C'est important ce que tu dis parce que dans le réseautage, le networking, il y a plusieurs types de mises en relation. Il y a vraiment la recommandation pure et dure. C'est un peu le graal. Mais avant d'en arriver là, je pense qu'il faut faire beaucoup de mises en relation, rencontrer beaucoup de monde et savoir créer. Et chez moi, ce n'est vraiment pas un maître mot, des synergies, mais vraiment des partenariats, des choses concrètes et pas arriver avec ça. et son couteau dire ouais on fait des synergies coucou on se connecte vraiment un direct bah voilà on fait un live ensemble un truc de concret donc il y a ça il y a plusieurs types de mise en relation et en plus je vais encore plus loin il y a certaines professions où c'est interdit de faire de la recommandation payante enfin de l'apport d'affaires payant je pense notamment aux avocats qui peuvent se faire un peu taper sur les doigts par le bâtonnier s'ils font ça c'est pas le droit de faire de la pub et tout donc Et dernièrement, j'ai recommandé un avocat. Et pour me remercier, il m'a dit, écoute, je ne peux pas te payer pour cette mise en relation, pour cette recommandation. Par contre, je t'invite au resto.

  • Speaker #0

    Oui, c'est pas mal. Il y a les notaires aussi, les experts comptables. C'est toujours un petit peu touchy. Mais oui, ce sont des restos, des cadeaux.

  • Speaker #1

    Ouais, donc du coup, ton appli, et aussi pour ce type de mise en relation, est aussi efficace, c'est cool ça.

  • Speaker #0

    Exactement, ouais. C'est que ça, juste, c'est qu'en fait, dans l'accord de partenariat, c'est bien écrit qu'il n'y a pas de commission, encore plus quand c'est des professionnels réglementés, mais même si tout simplement, on se dit, ah bah non, c'est un échange de bons procédés, moi je ne veux pas qu'on se refile des commissions, on va plutôt s'envoyer du... du business l'un et l'autre, à ce moment-là, c'est écrit pas de commission et dans la description ou même en personne puisqu'encore une fois, c'est le cas en intérêt de l'humain, se dire bon, c'est très bien, on va se remercier quand même en cadeau, en resto. Et même ce que je dis, c'est ce que tu disais avant, mais c'est mieux. Moi, je trouve que les gens bossent mieux comme ça. En fait, le côté commission, c'est si on sait qu'en fait, en face, nous, on va apporter des affaires mais qu'en face, la personne ne peut pas forcément faire pareil. C'est normal que pour trouver un équilibre, il y en a qui disent, ok, il n'y a pas de souci, tu ne peux pas m'envoyer ce que je peux t'envoyer, pourquoi pas travailler sous forme de commission ? Mais je pense qu'à choisir, si c'était possible, tout le monde choisirait plutôt un échange de bons procédés que des commissions.

  • Speaker #1

    On arrive au terme de cet échange. Qu'est-ce qu'on peut souhaiter ? Encore trois questions. Qu'est-ce qu'on peut souhaiter pour la suite, pour Referrali ? C'est quoi les prochaines étapes ?

  • Speaker #0

    Prochaine étape, c'est vraiment de créer tout un écosystème autour de la recommandation, que ce ne soit pas seulement une application, que ce ne soit pas seulement Referrali Finder, pas seulement la carte de visite que je t'ai montrée, la carte connectée. On est aussi en train de créer des réseaux d'affaires Referrali à côté qui sont inclus pour les utilisateurs premium de la plateforme. Donc vraiment, on va dire ma mission, c'est d'aider un peu tous les entrepreneurs à développer leur réseau. Et toi, c'est pareil, c'est aussi ta mission, c'est d'accompagner les professionnels là-dedans. Donc, ce n'est pas qu'on s'arrête juste à l'application, que ce soit vraiment un écosystème vivant qui enveloppe beaucoup de produits, services différents. Le but final est de développer son réseau et simplement développer son activité grâce à son réseau.

  • Speaker #1

    Comment on peut t'aider aujourd'hui ?

  • Speaker #0

    Aujourd'hui, on peut m'aider aussi en me donnant des retours sur l'application parce que, comme vous avez compris, on a lancé il n'y a pas si longtemps finalement. Moi, je suis sur l'application tous les jours, je ne sais pas combien d'heures par jour. mais c'est toujours compliqué d'avoir le recul. Donc, on a des testeurs aussi à droite à Ausha des retours des utilisateurs, mais très heureux d'avoir des retours, que ce soit sur les designs, que ce soit sur les fonctionnalités, comment rendre ça plus intuitif. On en parlait un petit peu avant la peine. Ça, ce serait une manière de m'aider. Et aussi, j'essaie de rentrer plus en contact avec des administrateurs de réseaux d'affaires parce qu'on développe vraiment cette partie-là. Donc, s'il y a des administrateurs de réseaux d'affaires qui m'écoutent, très heureux pour travailler ensemble, mettre Referrali à disposition de réseaux d'affaires. C'est quelque chose pour moi. qu'on va en faire dans les prochaines semaines, prochaines fois.

  • Speaker #1

    J'ai un contact pour toi, on en parle après. Allez, juste avant de te dire au revoir, maintenant que tu as vécu l'expérience du live avec moi, la méthode rendez-vous, le podcast rendez-vous, qui est-ce que tu verrais bien passer dans ce podcast pour le prochain ?

  • Speaker #0

    Mais c'est compliqué parce que c'est ça que j'y ai pensé pendant tout le podcast. Mais non, c'est très dur.

  • Speaker #1

    Je n'aurais pas dû te prévenir. Oui,

  • Speaker #0

    mais tu sais qu'il y a... J'ai des noms en tête, c'est que j'ai tout le monde des noms. Mais en fait, moi, j'aimerais bien peut-être voir des personnes, effectivement, qui viennent tout juste de lancer leur activité. Alors, c'est toujours compliqué parce que s'il faut forcément avoir... Enfin, pour sélectionner, c'est peut-être un peu plus compliqué, mais des gens qui ont lancé leur activité il n'y a pas très longtemps. Et pour parler davantage, justement, de ce qui est compliqué, tu vois, quand on lance l'activité, surtout parce qu'il y a toujours une notion de réseau là-dedans. Tu vois, je l'expliquais un peu au début, moi, c'était que ça, le début de mon activité. donc j'allais dire un type de professionnel ça serait n'importe quel entrepreneur startupper qui aurait lancé son activité il y a moins d'un an ça me plairait beaucoup voir ça et j'ai des contacts pour toi si tu veux faire ça ah t'as vraiment un nom à me lâcher j'ai

  • Speaker #1

    pas de nom ok bon j'insiste pas écoute merci Arnaud d'avoir passé ce moment avec toi merci à toi pour l'invitation à très vite à très très vite

  • Speaker #0

    et puis n'hésitez pas à aller regarder ce que fait Arnaud son profil LinkedIn faire une visio avec lui et puis peut-être pourquoi pas télécharger son appli par la suite et prenez un de tout retour encore merci pour tout Jean-Christophe aussi pour l'aide parce que tu nous as aussi accompagné au tout début des retours sur l'application tu vois qu'on était en précommande donc aussi très reconnaissant de ça et merci pour le live pour lui expliquer un petit peu ce que je faisais et

  • Speaker #1

    longue vie à Réferrali merci salut Arnaud salut C'était Rendez-vous, le podcast qui fabrique et consolide votre réseau d'apporteurs d'affaires.

Description

Arnaud Attencia, jeune entrepreneur de 23 ans est le fondateur de Referaly, une plateforme de gestion et de fidélisation des réseaux d'apporteurs d'affaires. Arnaud partage son parcours, des débuts en Espagne à 17 ans jusqu’à son retour en France. Il nous plonge dans son univers, où la détermination l'ont guidé pour se former en commerce, e-commerce, et blockchain en autodidacte. Entre anecdotes et conseils, il explore avec transparence ses défis en tant que jeune fondateur et les obstacles qu’il a surmontés, en particulier dans la création de solutions pour le développement des réseaux professionnels fondés sur la recommandation.


Extraits :

  1. Sur son apprentissage autodidacte : « Dès mes 17 ans, je me formais en ligne, jonglant entre cours de commerce et e-commerce. J'ai lancé des boutiques, puis je suis devenu consultant tout en continuant à me former en blockchain et finance. Tout ça, c’était des heures de YouTube et des formations achetées en ligne. »

  2. Sur ses débuts en vente et réseau : « En tant que jeune entrepreneur, convaincre n’était pas toujours simple. J’ai vite compris que la recommandation par des professionnels de confiance était primordiale, et j'ai bâti mon réseau en m’entourant de courtiers, de conseillers... Referaly est né de cette expérience. »

  3. Sur sa vision de l’entrepreneuriat : « Mon âge a parfois été un frein, surtout dans des domaines exigeants de la crédibilité comme l'investissement immobilier. Mais j’ai persévéré, en cherchant toujours à me former et à avancer étape par étape, sans attendre d'être “parfaitement prêt”. »
    🎧 Bonne écoute ! 🎧



📚 RESSOURCES

👐 LinkedIn de Arnaud Attencia

🌐 Site web de Referaly


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Transcription

  • Speaker #0

    Rendez-vous, le podcast qui fabrique et consolide votre réseau d'apporteurs d'affaires. On est en direct. Salut Arnaud.

  • Speaker #1

    Salut Jean-Christophe.

  • Speaker #0

    J'espère que tu vas bien, que tu as la patate en cette fin de semaine.

  • Speaker #1

    Ça va super, ça va super. Et toi tu vas bien ?

  • Speaker #0

    Ouais, ouais, ouais, en plein lancement de mon école du réseautage, donc je suis à fond les ballons. Mais bon, c'est pas le sujet, aujourd'hui on va parler de toi, on va parler de Referrali. L'idée c'est de passer un petit moment ensemble, aller jusqu'à 40 minutes, pas plus promis, parce que je sais que t'as plein d'autres choses à faire après. Trois moments qu'on va passer ensemble, tu vas nous dire un petit peu qui tu es professionnellement, d'où tu viens, ce que tu as fait, on peut même remonter un peu. aux études pour voir un petit peu quel est ton parcours, ton cheminement. Tu nous diras aussi pourquoi tu t'es lancé dans l'entrepreneuriat. Et puis après, tu auras une minute de carte blanche. Alors une minute, pas plus. J'insiste parce qu'après au montage, moi, ça me donne un peu trop de travail. Une minute grand maximum sur le sujet. Qui t'est cher ? Pourquoi pas une asso que tu soutiens, une publicité pour ton projet, ton entreprise, ta startup, ton appli. Vraiment ce dont tu veux. ce que tu veux pendant maximum une minute. Et puis après, on essaiera de voir un petit peu comment ces apporteurs d'affaires, on parlera de Referrali, de la genèse du projet, comment c'est devenu finalement une vraie entreprise. Et puis, on parlera un petit peu aussi de comment fidéliser ces apporteurs d'affaires, comment les gérer au quotidien. Et puis voilà, je pense qu'on aura fait un bon tour déjà de ce que tu fais.

  • Speaker #1

    Super, parfait.

  • Speaker #0

    T'es prêt ? Alors, il y a un petit rituel au début de cette émission, c'est toujours la même chose. Je te demande de te présenter Arnaud, ton entreprise, ta boîte, pendant 30 secondes, histoire que ceux qui nous écoutent sachent qui tu es, ce que tu fais. Et puis, ne rentre pas trop dans les détails parce que tu l'as compris, c'est le menu d'après.

  • Speaker #1

    Bien sûr. Je m'appelle Arnaud Tancéa, j'ai 23 ans et j'ai lancé Referally, qui est une plateforme tout simplement de recommandations entre professionnels. c'est globalement pour aller développer centraliser et gérer ces réseaux de prescripteurs d'apporteurs d'affaires qui soient particuliers ou professionnels mais c'est surtout entre professionnels ok bah j'ai hâte d'en savoir plus dis-moi

  • Speaker #0

    si on remontait un peu par le passé alors t'as 23 ans t'es tout jeune je pensais pas que t'étais si jeune j'ai 23 ans je me suis dit je vais lancer la vie yes ok bah c'est super bah remontons alors bon Alors, c'est virulent parce que j'ai souvent des gens qui ont 40 ans, comme mon âge. Alors, c'est rare qu'il y ait des jeunes comme toi. Super. Écoute, je suis ravi, encore plus ravi. Je pensais que tu avais la trentaine, moi. Je t'ai vieilli plus.

  • Speaker #1

    Je te cache un peu. Je ne vais pas mentir.

  • Speaker #0

    Je te cache un peu. Remontons un peu le temps. Alors, quelques années en arrière, tu as fait quoi comme études ?

  • Speaker #1

    En fait, dès que j'ai eu 17 ans, je suis parti en Espagne. Je suis allé vivre six ans en Espagne. Je suis de retour en France depuis six jours. Donc, c'est… Ça a été six ans où j'ai étudié. J'étais dans une école de commerce qui s'appelle USAD, qui est à Barcelone. J'ai fait un bachelor en administration des entreprises. Ça m'a vraiment plu. J'ai toujours essayé de trouver un petit peu des activités à lancer en parallèle. Je n'étais pas le plus scolaire, mais en tout cas, j'aimais bien tenter des projets à droite, à gauche. J'étais dans les e-commerce. J'ai vendu des sites web aussi pendant un petit moment. J'ai été consultant dans les entreprises, mais toujours dans mon expertise, surtout le e-commerce et le côté site web. Et après, j'ai eu une grosse parenthèse dans le monde de la crypto-monnaie où j'ai été analyste en finance et de centraliser. C'était tout ce que je faisais en parallèle de mes études. Et j'étais un petit peu électrique. En fait, j'avais du mal à rester juste focus sur les études. Et après, j'ai décidé de lancer... une première entreprise qui s'appelait Rikisher et ensuite Referrali et c'est aujourd'hui Referrali enfin je suis concentré à 100% sur Referrali et Referrali m'a amené aussi à revenir vivre en France

  • Speaker #0

    Mais alors t'as fait quoi comme bac ?

  • Speaker #1

    J'ai fait un bac S ouais j'ai fait un bac S c'était je crois qu'on était la dernière année avec les bacs S ES et L je crois que maintenant ils ont changé de nom

  • Speaker #0

    C'est là où les cadres à génère prennent un coup de vieux encore C'est pas vrai

  • Speaker #1

    C'était une dernière année, j'étais à Lyon, je suis originaire de Lyon à la base. Et dès que j'ai passé mon bac, je suis parti en Espagne.

  • Speaker #0

    Ok, parce que des origines espagnoles, j'imagine ?

  • Speaker #1

    J'ai une partie de ma famille qui est d'origine catalane. Après, ce n'était pas forcément lié, c'est juste que j'avais envie de voyager un petit peu. Ce n'est pas très loin non plus, Barcelone. Mais c'était avoir envie d'apprendre une nouvelle langue. J'ai déjà appris l'espagnol à l'école, mais je me disais, bon, ce serait sympa de vraiment perfectionner l'espagnol. Et aussi de parler un peu plus anglais. À Barcelone, on parle énormément d'anglais. plus parler anglais qu'espagnol et c'était très sympa 17 ans 17 ans tu t'es un petit peu fait violence quand même c'est un peu stressant mais je me suis dit justement j'étais c'est pas c'est c'est plus simple que si on fait ça peut-être plus tard dans la vie à 30 ans et 40 ans déjà installé je me suis dit j'ai tous mes amis qui partent à l'étudier dans d'autres villes à paris à marseille si je reste à Lyon ça sera un peu un changement un peu similaire que si je partais en Espagne dans le sens où en tout cas en termes de réseau de proches, d'amis tout ça, ça allait beaucoup changer il y a surtout la barre de la langue en fait le côté, bon j'arrive dans un nouveau pays je dois m'habituer à plus parler français et encore, je connais pas mal français à Barcelone dans mon école 25% de français mais ouais

  • Speaker #0

    Et donc, après, c'était un peu l'auberge espagnole, la bonne, c'est un peu les vieilles étudiantes. Tu connais le film ?

  • Speaker #1

    Alors ?

  • Speaker #0

    Tu l'as vu ou pas ?

  • Speaker #1

    Non, je ne l'ai pas vu. Oui,

  • Speaker #0

    tu as raison, j'avais ton âge quand je l'ai vu. Je l'ai peut-être perdu sur le documentaire,

  • Speaker #1

    il a dit que je l'ai vu, mais je ne l'ai pas vu. Mais par contre, pour l'anecdote, j'ai déjà vécu en coloc où mes parents me disaient c'est vraiment l'auberge espagnole, dans le sens où j'ai vécu six mois en coloc, j'avais onze colocs. On était 12 dans l'appartement. Personne venait du même endroit. Il y avait beaucoup de personnes d'Amérique du Sud, donc des Argentins, des Mexicains. C'était assez drôle. On était quelques Européens. Et en fait, vraiment, pour essayer de communiquer les uns avec les autres, on essayait de se rejoindre sur l'espagnol. Mais déjà, même entre l'argentin et l'espagnol, ce n'est pas exactement pareil, au niveau de l'accent, au niveau du vocabulaire. Mais ouais, j'ai vécu quelques anecdotes, quelques situations assez drôles en Espagne.

  • Speaker #0

    qui sera pas de l'opération c'est la vie t'as bien résumé le film en fait ok c'est cool et après bon alors donc l'Espagne le bachelor et puis des premières expériences alors c'était c'est quoi c'était des projets étudiants c'était en alternance ou c'était

  • Speaker #1

    des c'était vraiment à côté en fait même mon école interdisait ça je sais qu'ils parlent pas français donc ils verront pas ça ils interdisaient le fait qu'on travaille à côté ils voulaient qu'on soit 100% sur les études sauf que c'était C'est pas que l'on y est en cours, mais c'est que je me suis dit que ce serait pas mal de mêler la théorie à la pratique. Donc, très rapidement, j'ai lancé des boutiques e-commerce, juste pour comprendre comment fonctionnait le marketing digital, tout ça. J'ai commencé aussi à vendre des sites web en no-code pour des petites entreprises, des PME. Et ensuite, par contre, je me suis formé dans tout ce qui est blockchain. Il y a une petite vague, on est encore dedans en ce moment. petite vague de hype sur la blockchain, sur la crypto-monnaie. Je me suis dit, je vais essayer de me former là-dessus. Donc, j'ai passé un diplôme en ligne. Et ensuite, j'ai postulé pour une boîte pour un travail qui normalement devait être à mi-temps. Finalement, je faisais 40 heures par semaine. À côté, j'avais les cours. À côté, j'avais le permis. À côté, j'avais pas mal de choses. Et au final, ça m'a vraiment plu. Donc, j'ai fait ça pendant plusieurs mois. J'ai fait ça pendant six mois. Et c'était juste avant de partir en échange aux États-Unis. Donc, je savais que ça allait être pour une période assez...

  • Speaker #0

    assez restreinte et voilà mais ça ne m'a vraiment plus je suis encore en contact avec pas mal de personnes dans cette industrie là donc mais si je comprends bien t'as un peu un touche à tout t'aimes bien te former tout seul t'aimes bien passer à l'action de ton côté te former ouais c'est ouais t'as

  • Speaker #1

    bien résumé la chose bah j'ai commencé à 17 ans à me former en ligne ah ouais ouais t'es cette nouvelle génération qui se forme un peu sur Youtube pendant qu'ils sont en cours c'est ça ? sur ULSI mais la première formation que j'ai acheté c'était vraiment distinct j'ai vraiment fait l'effort d'acheter une formation même si bien sûr on peut trouver pas mal d'informations en ligne sur Youtube et tout il y a beaucoup de contenu ça dépend des thématiques mais pour des thématiques comme les commerces il y a beaucoup de contenu en ligne je me suis aussi s'engager sur une formation c'est me dire je vais être rigoureux je vais être ultra discipliné par rapport à cet apprentissage là parce que j'ai envie de rentabiliser aussi un peu mon investissement donc ouais j'ai commencé à 17 ans et là depuis je continue à me former après effectivement il y a certaines thématiques typiquement le no code j'ai pas pris de formation pour en parler c'était vraiment du YouTube c'était Internet YouTube il n'y avait pas de GPT mais voilà

  • Speaker #0

    Rendez-vous, le podcast. Et donc, tu as vite entrepris, en fait. C'est ça, si je comprends bien. Tu as vite retrouvé consultant, à vendre des sites web.

  • Speaker #1

    Exactement. Mais c'est toujours en tant qu'auto-entrepreneur. En fait, j'ai vraiment créé une première entreprise quand j'étais en quatrième année. Donc, les Bachelors en Espagne, je ne sais pas si c'est pareil en France, mais en Espagne, les Bachelors, c'est quatre ans. En fait, en quatrième année, j'avais un projet de fin d'études, on va dire. C'était de pitcher une start-up. donc je fais ce projet de fin d'études c'était sur l'investissement immobilier fractionné, donc en fait aider les gens à investir à partir de petits montants enfin de 1000 euros moi c'était un petit peu comme ce qui se fait en France avec des SCPI, donc c'est de l'investissement immobilier avec des tickets d'entrée beaucoup plus faibles donc j'avais présenté une boîte là-dessus et en fait pendant mon échange aux Etats-Unis, j'étais à Boston, j'ai présenté ça aussi devant un jury, enfin on avait une compétition d'entrepreneuriat, je me lance dedans et j'ai gagné le... Enfin, je ne pouvais pas être sur le podium parce que j'étais un étudiant en échange donc normalement, c'est que les Américains qui sont censés être représentés sur le podium. Par contre, j'ai eu le prix du favori du public et donc je me suis dit ok, les gens accrochent énormément sur l'idée, je vais essayer de la lancer et donc en fait, c'est là où j'ai lancé ma première entreprise qui s'appelle Relatifaire qui est un investissement immobilier fractionné et voilà, qui est une solution maintenant qu'on fait en B2B, enfin, je travaille plus sur cette activité. On a revendu, je ne rentre pas forcément dans les détails, mais on a revendu la partie technique en tout cas des développeurs en Espagne et en Gals. Et voilà, et maintenant du coup je suis sur EFRL.

  • Speaker #0

    Et en tant qu'entrepreneur, c'est quoi les premières difficultés, les premières galères que tu as pu traverser ?

  • Speaker #1

    Moi la toute première, c'était l'âge. Parce qu'en fait, la première chose que je n'ai jamais vendue avec mon... Enfin... avec une entreprise, je veux dire pas en tant qu'auto-entrepreneur, mais vraiment avec une entreprise de t-shirts, c'était de l'investissement que je vendais à des particuliers. Donc ça repose que sur la confiance. Il y a beaucoup de gens qui pourraient penser que j'étais une arnaque ou je sais pas. Donc en fait, avoir en face de quelqu'un d'un peu plus âgé, forcément ça va les rassurer. Sauf que moi, à ce moment-là, j'avais 21 ans, donc j'avais pas envie de brotter à ce moment-là. Et donc il y avait ce problème de, ok, là j'avais été un frein, mais pour cette activité en particulier, c'est d'ailleurs aussi pour ça que je me suis dit que c'était pas forcément... la bonne activité pour moi à ce moment-là parce que ce n'est pas tout d'abord une bonne idée d'être dans l'exécution. C'est aussi parfois tout simplement le profil de l'entrepreneur ne matche pas avec le profil de l'entreprise qu'il est en train de créer. Donc ça, ça a été ma grosse difficulté. Ça a été l'âge. Dans le cas avec Referrali, justement, c'est plutôt bien perçu le fait que j'essaie de créer des solutions pour les entrepreneurs quand je suis jeune et que je sais faire bouger un petit peu les choses sur le côté digital. Mais oui, première grosse difficulté, ça a été l'âge et pour des projets comme le tout premier que j'ai eu, ça a été aussi lever des fonds. avec VDFrance, ça a été assez compliqué.

  • Speaker #0

    Et d'où te vient cette fibre pour l'entrepreneuriat parce que t'es quand même tout jeune ? T'es toujours dit qu'un jour, tu me lancerais des projets comme ça.

  • Speaker #1

    J'ai l'histoire. C'est pas l'histoire la plus sexy que tu m'entendes. En fait, j'avais 14 ans et je jouais à GTA V pour ceux qui connaissent.

  • Speaker #0

    D'accord. Un jeu vidéo, tout ça. C'est un truc un peu gore, non ? Où tu écrases les gens, non ?

  • Speaker #1

    Ouais, c'est pas ce que tu fais. Moi, je respecte la circulation, moi, dans GTA V. Y'a pas de... Bon, je jouais à ça, et en fait, j'avais le truc de... Je voulais monter un peu pétance dans le jeu, il fallait acheter des crédits, tout ça, et en fait, j'allais pas mal sur Internet pour taper comment gagner de l'argent sur GTA V. Gagner de l'argent sur GTA V. Et à un moment, je suis tombé... Je pense que j'ai mal cliqué sur un truc, et je suis tombé sur comment gagner de l'argent en ligne. J'arrive sur des vidéos de gourous qui me disent... Il faut faire ça, il faut faire ça. Moi, je suis 14 ans et je suis au monde. Tout le monde fait des trucs de fou. Et moi, je suis là. Et en fait, maintenant, avec du recul, je me rappelle des vidéos que je regardais. Je me rappelle des noms d'entrepreneurs que je regardais qui, aujourd'hui, n'ont pas beaucoup de problèmes parce que c'est des arnaques. Mais en tout cas, ça m'a mis un peu le pied dedans où j'ai commencé à dire, il y a des gens qui font de l'argent en ligne, il y a des gens qui développent des activités, qui font du business. Et en fait, vraiment, j'ai une petite période d'addiction là-dessus. Pendant deux, trois semaines, j'ai passé des heures et des heures sur YouTube, en fait, à regarder ces gars-là. Et petit à petit, ça m'a mené vers le marketing digital où des gens me disaient « Ouais, moi j'ai créé ma marque, j'ai fait mon branding, j'ai fait mon site et tout. » Et en fait, petit à petit, comme ça, le premier pas, c'était ça. La première étape, c'était juste j'ai pas cliqué sur quelque chose et après, je me suis retrouvé dans un univers que je ne connaissais pas du tout à 14 ans. Et après, à côté des cours, je commençais à m'enseigner, à me former, parfois, sur des trucs, encore une fois, qui n'étaient pas top top, avec du recul, où tu te dis « En fait, c'était des gourous et j'étais trop jeune pour me rendre compte que c'était des gourous. » et tu absorbes toutes les informations qu'ils te donnent mais en tout cas je suis très content que j'ai été à 5 mais permis de faire ça les jeux vidéo ne rendent pas violent

  • Speaker #0

    C'est sympa, c'est exceptionnel ce que tu partages. Moi, je suis la génération qui a vu le web, le digital arriver. Et quand j'avais ton âge, c'était un gros gap à franchir. Et là, je vois ma fille qui va se découvrir l'IA, l'intelligence artificielle, et qui va vivre quelque chose de complètement différent de moi, et qui est au même âge, à 10 ans, j'en savais. beaucoup moins parce qu'elle, elle écoute des podcasts. Donc, c'est vraiment un bouleversement de la vie des humains, quoi, avec le digital. C'est exceptionnel. Bon, bref, on ne va pas épiloguer là-dessus. Ce n'est pas le but. Allez, ça fait 15 minutes qu'on est ensemble. Il est grand temps que tu passes à ta carte blanche, Arnaud. C'est à toi de jouer.

  • Speaker #1

    Super, la carte blanche, au début, j'avais parlé du fait que forcément, le réseau, pour se lancer, moi, ça a été super important parce que quand on est jeune, peut-être, pas autant d'expérience que quelqu'un qui a 10 ans d'activité, c'est compliqué de se développer sans réseau. Ça, c'était le premier point. Mais l'autre truc aussi que je retrouve, et peut-être pour parler à des personnes qui ont plus mon âge, peut-être entre 20 et 30 ans aussi, ou sinon des personnes qui sont en reconversion, c'est que souvent, je vois qu'en fait, les gens ont peur de se lancer parce qu'ils disent qu'ils n'ont pas la crédibilité. Et je pense que la crédibilité, on l'obtient aussi en travaillant sur son projet. Simplement, au début, on n'est pas qualifié. Après, on monte en compétence. Moi, c'est vraiment le fait d'être allé aussi vite sur chaque projet. C'était le fait de me dire que la crédibilité va se développer petit à petit. Et j'ai beaucoup d'amis qui hésitent à lancer leur activité. Et je leur dis allez-y parce qu'au début, vous n'allez pas avoir beaucoup de compétences. Et après, vous allez voir vos frères et soeurs de plus en plus qualitatifs.

  • Speaker #0

    Yes. Je pense que s'ils écoutent ce podcast, ça leur donnera peut-être une vision un peu plus précise de ton parcours. Et peut-être que ça les aidera à se déclencher. J'espère. Rendez-vous, le podcast. Allez, on attaque la dernière ligne droite de l'émission. Alors, Réferali, comment fidéliser, gérer ses apporteurs d'affaires au quotidien ? Première question un peu basique, mais elle te vient d'où cette idée d'avoir lancé Réferali ?

  • Speaker #1

    Alors en fait, justement, cette première entreprise, donc FiltiShare, on proposait de l'investissement immobilier. Je me suis dit que parce que j'étais jeune, parce que j'avais du mal à convaincre juste en appel téléphonique, en visio, en parlant à des partenaires, j'avais du mal à convaincre. Je me suis dit, il faut vraiment que je m'entoure de professionnels qui vont pouvoir me recommander. Moi, je me disais, faites-moi bosser. Peu importe, vous voulez prendre une telle commission, il n'y a pas de souci. Faites-moi bosser. Donc en fait, je me suis vraiment mis dans la démarche d'aller présenter ma solution non plus à des clients. mais aller la présenter à des partenaires professionnels qui, au jour le jour, sont en contact avec ma clientèle. Et en fait, de là, j'ai rencontré pas mal d'agents immobiliers, de courtiers, gestionnaires de patrimoine, comptables, enfin, beaucoup de professionnels différents. Les gens adhéraient énormément. Ils disaient, OK, c'est top, je vais parler de toi, je vais t'envoyer des clients, tout ça. Et je voyais que mon activité commençait à se développer, surtout grâce à ça. Le problème, c'était comment rendre ça beaucoup plus tangible, c'est-à-dire faire le tri déjà entre qui est vraiment un apporteur d'affaires proactif et qui ne l'est pas. aussi il y avait tout ce côté qui m'énervait de l'administrative de se renvoyer les contrats tout ça parfois on perd une heure parce qu'il faut refaire le contrat, il faut aller demander la signature pour qu'au final de toute façon il n'y ait aucune recommandation qui en écoule je me suis dit c'est fou, il n'y a pas une solution qui est adaptée pour juste faciliter les échanges entre partenaires entre apporteurs d'affaires et j'ai commencé à en parler autour de moi je dis vous avez aussi ce problème, parce que moi je viens d'arriver c'est même pas un an que je suis dedans donc vous avez ce problème aussi Et tout le monde dit, ouais, c'est vrai que c'est un peu chiant. Il faudrait quelque chose. Et je commence à faire des petites slides de mon côté, à me dire, OK, ça pourrait ressembler à ça, à ça, à ça. Au tout départ, je le mets sur le site web de Retisher, de l'entreprise que j'avais. Je dis, on va faire ça que pour Retisher. Et quand les gens voient cette partie-là du site web, ils me disent, mais tu ne voudrais pas faire un truc pour nous ? Tu ne pourrais pas copier-coller ça pour notre activité ? Et moi, je dis, OK, si vous voulez, je peux préparer ça. Je lance des précommandes. Allez-y, je vous présente mes slides. des slides qui étaient horribles par ailleurs. Je ne sais pas si Jean-Christophe, à l'époque, tu les avais vus, les slides, mais elles étaient horribles. Et en fait, j'ai vu que les gens adhéraient énormément et qu'ils étaient prêts à payer une précommande pour avoir accès à ce genre d'outil. Et qu'au début, je me suis dit que ça n'était que pour l'immobilier. Et finalement, parmi mes premiers clients, j'ai eu des consultants d'entreprise, j'ai eu des coachs. J'ai pu faire plein d'autres mondes, type les opcos, les certifications de calopie, tout ça que je ne connaissais pas du tout. Et en fait, je me suis rendu compte que ce n'était pas un problème qui était propre à l'immobilier. C'était vraiment... tout secteur d'activité qui fonctionne au bouche à oreille, recommandation, rapport d'affaires, mais qui ne peut pas être digitalisé de la même manière que par exemple une banque en ligne qui va partager des liens d'affiliation. en fait c'est que nous on va essayer de proposer une alternative aux liens d'affiliation mais pour des professionnels qui sont dans l'humain donc voilà c'est un peu l'histoire c'est que ça vient d'un besoin que j'avais avec mon ancienne entreprise et j'ai vu que c'était un besoin commun beaucoup de personnes partageaient ce même problème et donc je me suis dit si on est suffisamment je lance la chose donc là quand on enregistre ce podcast on est le 7 novembre 2024 si je ne me trompe pas

  • Speaker #0

    Et c'était quand alors que tu as commencé à bosser là-dessus sur Referally ?

  • Speaker #1

    L'idée, mi-février 2024. L'idée, on a réuni suffisamment de précommandes pour lancer le développement en mi-mars. Donc en un mois, je me suis dit qu'il y avait suffisamment de personnes pour qu'on continue là-dessus. J'ai été en développement pendant 6 mois, 7 mois. En fait, on a lancé l'application en été 2024, fin juillet 2024. Et depuis septembre, ça va beaucoup plus vite parce qu'on a pu faire quelques événements. Typiquement, le salon du courtage à Paris, patrimonia à Lyon, le salon de la gestion de patrimoine. Je peux faire d'autres événements d'entrepreneurs en présentiel. En fait, le problème, c'est que l'application s'est lancée pendant l'été. Du coup, j'ai dû attendre septembre pour vraiment parler autour de moi en présentiel.

  • Speaker #0

    Alors, c'est quoi le modèle économique de Referali ?

  • Speaker #1

    Alors aujourd'hui, on est que sur de l'abonnement. On est que... En fait... On appelle ça un SaaS, un logiciel qu'on commercialise. On ne prend pas de commission sur les commissions, par exemple. C'est une question qui est assez récurrente. On dit, si je paie une commission dans l'apporteur d'affaires, tu vas prendre des frais. Non, on ne prend pas de frais là-dessus. C'est juste sur un logiciel. Donc, on a un bon moment où on accélère en fonction des conditions.

  • Speaker #0

    Donc, on se connecte. Et comment on peut gérer justement ces apporteurs d'affaires ? Parce qu'au quotidien, quand même... Un apporteur d'affaires, il faut le garder sous la main. Un des meilleurs moyens de fidéliser un apporteur d'affaires, c'est quand même de le valoriser et de le rémunérer, comme tu l'as dit, sans trop de difficultés, sans galères. Alors, quel est un peu le parcours de l'utilisateur ?

  • Speaker #1

    Déjà, le premier truc, c'est que, parce que pareil, c'est une question qu'on a pas mal, il y en a qui me disent, est-ce que ça peut venir remplacer ? Enfin, ils ne verbalisent pas comme ça, mais en gros, c'est est-ce que ça peut remplacer l'humain ? Est-ce que juste avec l'application, je peux ajouter des prescripteurs que je ne connais pas ? Il y a des marchés sur LinkedIn, ils ajoutaient ? Je dis dans la théorie, oui. Dans la théorie, c'est des liens, des QR codes, vous pouvez ajouter qui vous voulez. En revanche, c'est toujours complémentaire à l'humain, et je pense que tu vas me rejoindre dessus, c'est que le digital doit se mettre au service de l'humain et pas l'inverse. Donc en fait, ici, c'est de se dire que l'application, c'est offrir une facilité pour ces prescripteurs, ces apporteurs d'affaires, pour nous recommander. En fait, l'intérêt pour la porteur d'affaires, c'est que via l'application, il va y avoir un espace privilégié pour faire de la recommandation. Donc, ce sera beaucoup plus accessible. En quelques secondes, n'importe quel jour, n'importe quelle heure, il peut vous envoyer un contact. L'autre avantage, c'est que la relation professionnelle est recadrée dès le départ avec un contrat qui se signe très facilement. Donc, voilà, ça s'accepte comme une politique de confidentialité, une case à cocher une fois qu'on a bien vu l'ensemble du contrat. Et surtout, le point le plus important, c'est avoir de la transparence sur la recommandation qu'il va vous faire. Donc, en fait... Et s'il se dit, lui, il vous fait de la roco, il veut ensuite avoir toutes les étapes de suivi qui sont importantes pour lui, jusqu'au moment où la commission est payée, s'il y a une commission finale, l'application marche aussi sans commission, mais au moins qu'il soit tenu au courant à chaque étape du process. Donc ça, c'est tout l'intérêt pour l'apporteur d'affaires et tout l'intérêt pour le professionnel qui utilise l'application Referrali avec ses apporteurs d'affaires, c'est de se dire, il va pouvoir fidéliser une communauté de prescripteurs et pouvoir avoir de la visibilité sur qui le recommande. mettre à disposition les documents pour mieux être recommandés, pouvoir relancer un petit peu son réseau une fois par mois, par exemple, avec une notification, et surtout que chaque rencontre puisse découler d'une relation professionnelle apporteur d'affaires avec un simple lien QR code qui vient, dans l'idée, remplacer un petit peu les cartes de visite. En tout cas, c'est le projet à moyen terme.

  • Speaker #0

    Rendez-vous le podcast. C'est ce que tu disais au début, ce n'est pas un moyen de prospection.

  • Speaker #1

    Il y en a qui le font. Il y en a qui le font. Je ne peux pas arrêter là-dessus. J'ai hâte de voir aussi des idées, des manières d'utiliser que je n'avais pas forcément en tête à la base. Par exemple, au tout début... Je ne l'imaginais pas du tout comme un outil vraiment complémentaire à LinkedIn, enfin toujours sur une prospection LinkedIn. Et en fait, on a des utilisateurs qui commencent à faire des campagnes sur LinkedIn où ils vont contacter, je ne sais pas, par exemple, ils sont, on va faire le cas le plus simple, ils sont agents immobiliers ou courtiers. Ils vont aller contacter des professionnels complémentaires à leur activité, par exemple, gestionnaire de patrimoine. des comptables, des décorateurs d'intérieur, dans leur région, ils vont commencer à dire « J'ai vu votre activité sur LinkedIn, moi je fais ça, ça peut être complémentaire. Est-ce que vous serez dispo pour une rencontre en visio ? » On apprend à se connaître. Ils font ça et ensuite, quand ça matche bien, ils partagent leur lien ou leur QR code pour travailler ensemble au sein de Referrali. Il y en a même qui ne font pas l'effort de faire les visios, ils balancent leur lien. Je leur dis qu'il faut voir au niveau des résultats ce que ça donne, mais c'est toujours mieux quand même d'en venir. rencontrer la personne.

  • Speaker #0

    Oui, c'est un peu en mode marketing de l'espoir.

  • Speaker #1

    C'est ça, c'est ça. Il y en a un peu plus en plus.

  • Speaker #0

    Oui, sur du volume, j'imagine que ça marche.

  • Speaker #1

    Sur du volume, oui.

  • Speaker #0

    Mais rien de nouveau. L'échange en amont, forcément. L'exemple que je prends souvent, c'est les séquences de mails automatiques. Ce que tu peux recevoir. Si c'est un illustre inconnu qui t'envoie ça, tu vas vite te désabonner. Si c'est quelqu'un que tu... connais, tu vas plus te demander si tu te désabonnes ou tu vas continuer à consommer ces contenus de temps en temps. C'est un peu ça l'idée. De toute façon, il y a toujours le lien hyper important. C'est le début de tout.

  • Speaker #1

    C'est ça. C'est pour ça que les premières étapes, aujourd'hui, la première chose à faire, c'est de venir ajouter ses anciens clients qui sont satisfaits, parce que c'est les meilleurs apporteurs d'affaires en termes de qualité de recommandation. Et après, ajouter ses partenaires professionnels avec qui on bosse déjà. Ça fait déjà une bonne base pour comprendre comment l'application fonctionne et voir comment ça fait gagner du temps, tout ça. et ensuite une fois qu'on a cette base là pourquoi pas aller chercher de nouveaux prescripteurs de nouveaux apporteurs d'affaires mais je pense que étape par étape encore une fois qu'il faut de l'automatisation sur l'exit et qu'il va être référalité c'est pas moi qui vais me plaindre de ça mais

  • Speaker #0

    je pense qu'il faut différencier le volume et la qualité des apporteurs d'affaires quelque chose qu'on a abordé en préparant cette émission c'est le fait que finalement quand t'es sur Réferrali les gens de ton réseau qui sont là tu les gardes pour toi, c'est vraiment un réseau privé c'est pas public tu vas pas aller faire ton marché dans les apporteurs d'affaires de tous les autres.

  • Speaker #1

    Exactement ça c'était super important dès le début quand j'ai pensé l'application je me suis dit pourquoi pas avoir une partie publique en fait on peut se retrouver les uns les autres, en fait en présentant ça je me suis rendu compte que chaque entrepreneur que je rencontrais me disait non mon réseau c'est mon réseau je suis très heureux de faire de la mise en relation quand c'est adapté en revanche je ne veux pas que tout le monde puisse voir quels apporteurs d'affaires j'ai ajoutés sur ma plateforme, qui sont mes prospects. Les prospects, on n'en parle même pas, mais il faut dire les apporteurs d'affaires, que ce soit aussi quelque chose de très privé. Souvent, je vois comme exemple TrickHunt, on en parlait aussi un petit peu avant, mais TrickHunt qui est une application de partage de dépenses entre amis. Si je ne dis pas de bêtises, c'est un fondateur français et qui m'attend sur l'international. Et en fait, ça a bien marché aussi parce que c'est des réseaux privés de partage de dépenses entre amis. On s'envoie un lien et on fait partie d'un petit groupe qui est réuni pour un but bien précis, une calcul des dépenses entre amis. Dans l'idée, Referally, c'est que ce soit un peu le tricount de l'apport d'affaires. En fait, on est cette petite communauté d'apporteurs d'affaires, de contacts pros et particuliers avec qui on a des missions de recommandation et on peut faire du suivi de dossiers ensemble.

  • Speaker #0

    Pour voir plus globalement, prendre un peu de hauteur par rapport à Referally, comment on gère au quotidien ces apporteurs d'affaires ? Donc, on a la partie référalie, bien sûr, où tu vas pouvoir les fidéliser. Mais toi, comment tu conseilles tes clients ? Parce qu'il y a toute la partie en amont. On parlait de lien d'humain juste avant. Comment tu imbriques référalie dans la fidélisation et la gestion au quotidien de ces apporteurs d'affaires ?

  • Speaker #1

    Oui. Alors déjà, le tout premier truc qu'on fait aujourd'hui, c'est qu'on accompagne chaque utilisateur de la plateforme. Alors, ça fait du boulot, mais en fait, c'est se dire... justement du coup on vient rajouter un outil pour encadrer toutes ces relations professionnelles il faut aussi que l'utilisateur soit ultra bien, enfin, éduqué on va dire, enfin formé sur l'outil on va déjà les accompagner pour mieux comprendre comment ils fonctionnent avec leurs apporteurs d'affaires aujourd'hui si leur objectif c'est plutôt de développer ces réseaux de prescripteurs si c'est plutôt de les centraliser ou de les gérer, ou les trois donc voilà on va faire pas mal d'accompagnement là-dessus et en fait pour vraiment l'utilisation concrète de l'application c'est qu'une fois qu'on a son compte qui est mis en place et ça on le fait avec chaque utilisateur, on a une petite visio, on remplace le compte ensemble. En fait, ils ont juste à partager un lien ou un QR code dès qu'ils sont en contact avec, je ne sais pas, ils viennent de finir une mission avec un client, ils viennent de rencontrer un nouveau partenaire lors d'un événement de networking, qu'ils aient juste à partager le QR code, que ça ne leur prenne pas de temps supplémentaire, parce que je n'ai pas envie de rajouter un deuxième truc à faire, que ce soit vraiment un scan de mon QR code, parce que je pense qu'il peut y avoir des synergies entre nos activités, et si Alainir, tu me recommandais, tu as un espace privilégié dessus. Super. La personne, comme ça, elle scanne le QR code en face, elle est redirigée vers l'application, vers le programme partenaire de la personne qui lui a fait scanner son QR code, et de là, elle a un accès à mon privilégié pour le recommander. C'est vraiment aussi simple que ça, et ensuite...

  • Speaker #0

    Une fois qu'elle fait une recommandation, par exemple, je ne sais pas, un gestionnaire de patrimoine qui va recommander un agent immobilier, une fois que la recommandation est faite, en fait, on a un menu de suivi où l'apporteur d'affaires voit toutes les étapes de suivi qui lui sont fournies. Il voit à quelle étape on en est, à quelle date telle ou telle étape a été franchie. Et du point de vue du professionnel qui a reçu le prospect, c'est exactement la même chose, sauf que lui, il a la possibilité de passer à l'étape suivante. Il dit, ok, tel jour, tel heure, j'ai contacté le prospect, j'ai fait un appel vidéo avec lui, j'ai signé. tel qu'on traite avec lui ça peut je vais dire un mot pas sexy ça peut faire un peu CRM le mot CRM je n'aime pas mais CRM à double entrée en fait où chacun des parties a de la visibilité sur ce qui se passe donc c'est un truc comme ça quand on utilise l'outil mais l'idée c'est que ce soit quand même un gain de temps oui c'est intéressant ce que tu dis parce que un CRM pour ceux qui nous écoutent c'est un logiciel qui

  • Speaker #1

    permet de gérer ses clients et Moi, je ne connais pas de CRM où, justement, il y a une partie gestion des apports d'affaires dedans, il y a classification des contacts, hyper qualifiés. C'est assez rare et je pense que c'est quelque chose qui me manque aujourd'hui et que un référent rallye va peut-être un peu compléter ça. Après, moi, j'avais une autre question. On m'a dit, vraiment, pour fidéliser ces apporteurs d'affaires, on a un référent rallye où on peut avoir d'autres fonctions, mais il y a le côté un peu, il faut savoir... donner ça, le lien référé, tu parlais de QR code mais il faut savoir le donner au bon moment quand même je pense parce que si tu commences à démarcher sur LinkedIn, moi ça me fait penser aux agents immobiliers une profession que je connais à peu près bien, où en fait ils publient sur leur réseau je rémunère mes apporteurs d'affaires et je crois qu'il y a quand même certains messages qu'il ne faut pas faire passer trop tôt c'est plutôt qu'au moment où la relation on a contractualisé ensemble ou alors On a fait du réseau ensemble, on s'entend bien. Il est peut-être temps de passer next step. Ouais, ok, on peut se recommander. On commence déjà peut-être à se faire des mises en relation avant de se recommander. Et puis, boum, on va enclencher, refaire allier. Tant que la relation n'est pas enclenchée, c'est difficile quand même, non ? Tu ne crois pas ?

  • Speaker #0

    Je suis d'accord. C'est pour ça que souvent, je compare une carte de visite. Je leur dis, en fait, vous n'allez pas sortir avec carte de visite avant d'avoir dit bonjour à quelqu'un. Enfin, c'est un peu ça. Souvent, ça vient à la fin d'un échange. Après, quand c'est un client avec qui on a déjà travaillé, quand c'est un professionnel avec qui on a déjà travaillé, forcément, on lui envoie le lien sur WhatsApp que ça n'a pas de choqué. Mais par contre, un événement de networking, je pense que c'est un peu too much d'arriver dès le début et dire bonjour. Ausha sur Eferaly d'ailleurs, parce que comme ça, tu peux m'en commander. C'est un peu le problème. Mais d'ailleurs, à ce sujet justement, vu que j'essaie de pas mal expliquer ça, que c'est plutôt en fin de discussion, que c'est... Comme une carte de visite, en fait, on sort des cartes de visite referralées, où l'idée, c'est de pouvoir taper directement le téléphone de la personne à la fin de l'échange et dire, comme ça, je t'ai ajouté en tant qu'apportant d'affaires, ça retire directement la personne sur une carte de visite virtuelle ou s'ils ont la possibilité de devenir apportant d'affaires. Donc ça, c'est quelque chose qu'on est en train de lancer en ce moment, avec petit exclu.

  • Speaker #1

    Yes, le scoop !

  • Speaker #0

    Mais l'idée, c'est qu'en fait, on puisse présenter les referralées comme une facilité, enfin comme l'étape après une carte de visite. En fait, c'est dire qu'on sera plus tangible parce qu'on a une carte de visite entre les mains, mais que c'est vraiment en fin d'échange.

  • Speaker #1

    C'est bien joué. La carte de visite connectée est une innovation aussi qui permet de faire vivre en réseautage ou en rencontre des moments assez sympas. Ok, et quels conseils tu donnes pour fidéliser tes clients, faire en sorte que tes clients fidélisent leurs rapporteurs d'affaires ? Tu leur recommandes de faire des déjeuners de temps en temps, de faire des appels, c'est quoi tes stratégies ?

  • Speaker #0

    Moi je suis très appel, je suis très très appel pour le coup, et je le dis à chaque fois que j'ai même un rendez-vous avec quelqu'un qui n'est pas un client, qui n'est pas un partenaire, enfin dès que je suis avec quelqu'un au téléphone, je dis mon téléphone pro et mon perso c'est le même. appelez-moi j'aime quand on m'appelle il y a un truc au copse-sol les gens savent que directement ils peuvent m'appeler que si je ne suis pas dispo je les rappelle dans les 4 minutes qui suivent et en fait moi c'est surtout ce côté disponibilité où je sens que les gens ont davantage envie de bosser avec moi et je pense que c'est pareil pour chaque professionnel en fait c'est quand on se montre disponible c'est dans mes priorités tu m'appelles c'est dans mes priorités parce qu'on a bossé ensemble dans le passé parce qu'on peut bosser ensemble dans le futur je trouve que les gens apprécient bien je fais aussi pas mal de suivi et je pense que chaque professionnel professionnels qui pourraient faire ça c'est vraiment aller pas toutes les semaines mais si t'as pas de nouvelles une fois tous les mois un petit message un petit truc t'as même je sais pas un article moi quand je tombe sur des nouveautés ou intéressantes et j'en ai parlé dans une discussion avec un partenaire ou un client je le renvoie ça permet de maintenir le contact sans être intrusif donc c'est du côté disponibilité et suivi quand c'est adapté après pas le forcer non plus mais

  • Speaker #1

    Il y a des fonctionnalités, pour en revenir à Réferali, qui aident ou suivent comme ça dans l'appli ?

  • Speaker #0

    Oui, alors on a le côté notification, pour l'instant qui est un petit peu impersonnel, dans le sens où on va pouvoir envoyer une notification commune à l'ensemble de son réseau d'apporteurs d'affaires. C'est pour faire gagner du temps aux professionnels, justement en se disant, s'il a 50 apporteurs d'affaires sur l'application, entre des particuliers et des professionnels, en quelques secondes, il va pouvoir envoyer une notification, ça peut être ce qu'ils veulent, ça peut être, n'oubliez pas, vous pouvez m'en commander, ça peut être bonne année, ils mettent la notification qu'ils veulent. Donc ça, c'est pour dire, si vous n'avez pas le temps de... de garder ce contact au moins il y a une petite picture de rappel que vous existiez que vous existiez donc ça ça va être un des moyens l'autre chose c'est quand on met à disposition des documents sur l'application on peut partager des documents avec ses apporteurs d'affaires pour qu'ils nous recommandent un petit peu plus efficacement quand on télécharge un document si on veut ça peut aussi envoyer un petit message en disant voilà Jean-Christophe Lebelec va télécharger un document pour que vous puissiez le recommander à votre target C'est un peu la suite. En fait, c'est toujours assez compliqué d'être dans le suivi et le maintien de la relation sans être intrusif. Il y a des gens, ils ne veulent pas que tu les appelles, ils ne veulent pas que tu leur envoies des emails. Donc, nous, on s'est dit, le côté notification, déjà, c'est un peu plus visible qu'un email, c'est moins intrusif qu'un appel téléphonique. Pour l'instant, on est vraiment là-dessus. Et sur le côté suivi, celle de ces recommandations qui, déjà, rend la chose beaucoup plus tangible pour chaque partie.

  • Speaker #1

    Oui, dans l'appli, il y a aussi la possibilité de faire des partenariats. Tu peux nous en dire plus ? Je dis souvent, moi, que... La suite logique du networking et du réseautage, c'est le partenariat.

  • Speaker #0

    Oui. Alors là-dessus, tu vas me dire si on parle de la même chose, mais en fait, le partenariat dans le sens où il n'y a pas de commission, c'est un échange de mon procédé. C'est ça que tu veux dire ? Oui.

  • Speaker #1

    Après, tu vois, ça peut être de la co-distribution, du co-marketing, de faire la construction. Ce qu'on est en train de faire en ce moment, on fait un live ensemble. C'est aussi une sorte de partenariat, des choses comme ça.

  • Speaker #0

    Déjà, le tout premier point, juste par rapport au côté partenariat, mais d'échange de mon procédé, il y a beaucoup de professionnels qui me demandent si l'application est faite pour eux parce qu'ils n'ont pas d'apporteur d'affaires pour vous parler, c'est que des partenaires où ils ne se donnent pas de commission les uns les autres, c'est juste qu'ils s'envoient des contacts et bossent dessus ensemble. L'outil est carrément fait pour ça. On fait en sorte que l'outil s'adapte à la manière de travailler de chaque professionnel et pas l'inverse. Donc, c'est possible de travailler sans commission via l'application. c'est peut-être la parenthèse partenaire en termes de recommandations maintenant aussi on a développé quelque chose qui s'appelle Referraly Finder c'est vraiment créer tout un écosystème autour de de l'apport d'affaires, enfin des synergies entre professionnels et donc on a l'application Referraly et on a Referraly Finder qui est une fonctionnalité qui est aussi au sein de l'application et qui permet de rencontrer justement des partenaires professionnels si on a un contact pour eux, par exemple demain, toi Jean-Christophe t'as je sais pas, quelqu'un qui cherche à ... refaire son site web. Tu n'as pas forcément un professionnel à lui recommander et pour autant, tu sais que si tu les mets en relation, ça va aussi, tu vois, ça va alimenter un peu ton réseau. Tu as envie d'être la personne qui présente aussi quelqu'un. Nous, en fait, on va faire cet effort de trouver un professionnel qui matche, tu vois, ta requête. Tu veux rencontrer quelqu'un qui est web designer pour un client à toi qui a besoin de refaire son site web, on peut te mettre en contact avec un utilisateur de Viferali ou sinon un utilisateur hors Viferali, mais... qu'on va venir trier sur le volet parce qu'on a forcément notre réputation aussi en jeu là-dedans. Donc, c'est tout de suite pour les partenariats.

  • Speaker #1

    C'est important ce que tu dis parce que dans le réseautage, le networking, il y a plusieurs types de mises en relation. Il y a vraiment la recommandation pure et dure. C'est un peu le graal. Mais avant d'en arriver là, je pense qu'il faut faire beaucoup de mises en relation, rencontrer beaucoup de monde et savoir créer. Et chez moi, ce n'est vraiment pas un maître mot, des synergies, mais vraiment des partenariats, des choses concrètes et pas arriver avec ça. et son couteau dire ouais on fait des synergies coucou on se connecte vraiment un direct bah voilà on fait un live ensemble un truc de concret donc il y a ça il y a plusieurs types de mise en relation et en plus je vais encore plus loin il y a certaines professions où c'est interdit de faire de la recommandation payante enfin de l'apport d'affaires payant je pense notamment aux avocats qui peuvent se faire un peu taper sur les doigts par le bâtonnier s'ils font ça c'est pas le droit de faire de la pub et tout donc Et dernièrement, j'ai recommandé un avocat. Et pour me remercier, il m'a dit, écoute, je ne peux pas te payer pour cette mise en relation, pour cette recommandation. Par contre, je t'invite au resto.

  • Speaker #0

    Oui, c'est pas mal. Il y a les notaires aussi, les experts comptables. C'est toujours un petit peu touchy. Mais oui, ce sont des restos, des cadeaux.

  • Speaker #1

    Ouais, donc du coup, ton appli, et aussi pour ce type de mise en relation, est aussi efficace, c'est cool ça.

  • Speaker #0

    Exactement, ouais. C'est que ça, juste, c'est qu'en fait, dans l'accord de partenariat, c'est bien écrit qu'il n'y a pas de commission, encore plus quand c'est des professionnels réglementés, mais même si tout simplement, on se dit, ah bah non, c'est un échange de bons procédés, moi je ne veux pas qu'on se refile des commissions, on va plutôt s'envoyer du... du business l'un et l'autre, à ce moment-là, c'est écrit pas de commission et dans la description ou même en personne puisqu'encore une fois, c'est le cas en intérêt de l'humain, se dire bon, c'est très bien, on va se remercier quand même en cadeau, en resto. Et même ce que je dis, c'est ce que tu disais avant, mais c'est mieux. Moi, je trouve que les gens bossent mieux comme ça. En fait, le côté commission, c'est si on sait qu'en fait, en face, nous, on va apporter des affaires mais qu'en face, la personne ne peut pas forcément faire pareil. C'est normal que pour trouver un équilibre, il y en a qui disent, ok, il n'y a pas de souci, tu ne peux pas m'envoyer ce que je peux t'envoyer, pourquoi pas travailler sous forme de commission ? Mais je pense qu'à choisir, si c'était possible, tout le monde choisirait plutôt un échange de bons procédés que des commissions.

  • Speaker #1

    On arrive au terme de cet échange. Qu'est-ce qu'on peut souhaiter ? Encore trois questions. Qu'est-ce qu'on peut souhaiter pour la suite, pour Referrali ? C'est quoi les prochaines étapes ?

  • Speaker #0

    Prochaine étape, c'est vraiment de créer tout un écosystème autour de la recommandation, que ce ne soit pas seulement une application, que ce ne soit pas seulement Referrali Finder, pas seulement la carte de visite que je t'ai montrée, la carte connectée. On est aussi en train de créer des réseaux d'affaires Referrali à côté qui sont inclus pour les utilisateurs premium de la plateforme. Donc vraiment, on va dire ma mission, c'est d'aider un peu tous les entrepreneurs à développer leur réseau. Et toi, c'est pareil, c'est aussi ta mission, c'est d'accompagner les professionnels là-dedans. Donc, ce n'est pas qu'on s'arrête juste à l'application, que ce soit vraiment un écosystème vivant qui enveloppe beaucoup de produits, services différents. Le but final est de développer son réseau et simplement développer son activité grâce à son réseau.

  • Speaker #1

    Comment on peut t'aider aujourd'hui ?

  • Speaker #0

    Aujourd'hui, on peut m'aider aussi en me donnant des retours sur l'application parce que, comme vous avez compris, on a lancé il n'y a pas si longtemps finalement. Moi, je suis sur l'application tous les jours, je ne sais pas combien d'heures par jour. mais c'est toujours compliqué d'avoir le recul. Donc, on a des testeurs aussi à droite à Ausha des retours des utilisateurs, mais très heureux d'avoir des retours, que ce soit sur les designs, que ce soit sur les fonctionnalités, comment rendre ça plus intuitif. On en parlait un petit peu avant la peine. Ça, ce serait une manière de m'aider. Et aussi, j'essaie de rentrer plus en contact avec des administrateurs de réseaux d'affaires parce qu'on développe vraiment cette partie-là. Donc, s'il y a des administrateurs de réseaux d'affaires qui m'écoutent, très heureux pour travailler ensemble, mettre Referrali à disposition de réseaux d'affaires. C'est quelque chose pour moi. qu'on va en faire dans les prochaines semaines, prochaines fois.

  • Speaker #1

    J'ai un contact pour toi, on en parle après. Allez, juste avant de te dire au revoir, maintenant que tu as vécu l'expérience du live avec moi, la méthode rendez-vous, le podcast rendez-vous, qui est-ce que tu verrais bien passer dans ce podcast pour le prochain ?

  • Speaker #0

    Mais c'est compliqué parce que c'est ça que j'y ai pensé pendant tout le podcast. Mais non, c'est très dur.

  • Speaker #1

    Je n'aurais pas dû te prévenir. Oui,

  • Speaker #0

    mais tu sais qu'il y a... J'ai des noms en tête, c'est que j'ai tout le monde des noms. Mais en fait, moi, j'aimerais bien peut-être voir des personnes, effectivement, qui viennent tout juste de lancer leur activité. Alors, c'est toujours compliqué parce que s'il faut forcément avoir... Enfin, pour sélectionner, c'est peut-être un peu plus compliqué, mais des gens qui ont lancé leur activité il n'y a pas très longtemps. Et pour parler davantage, justement, de ce qui est compliqué, tu vois, quand on lance l'activité, surtout parce qu'il y a toujours une notion de réseau là-dedans. Tu vois, je l'expliquais un peu au début, moi, c'était que ça, le début de mon activité. donc j'allais dire un type de professionnel ça serait n'importe quel entrepreneur startupper qui aurait lancé son activité il y a moins d'un an ça me plairait beaucoup voir ça et j'ai des contacts pour toi si tu veux faire ça ah t'as vraiment un nom à me lâcher j'ai

  • Speaker #1

    pas de nom ok bon j'insiste pas écoute merci Arnaud d'avoir passé ce moment avec toi merci à toi pour l'invitation à très vite à très très vite

  • Speaker #0

    et puis n'hésitez pas à aller regarder ce que fait Arnaud son profil LinkedIn faire une visio avec lui et puis peut-être pourquoi pas télécharger son appli par la suite et prenez un de tout retour encore merci pour tout Jean-Christophe aussi pour l'aide parce que tu nous as aussi accompagné au tout début des retours sur l'application tu vois qu'on était en précommande donc aussi très reconnaissant de ça et merci pour le live pour lui expliquer un petit peu ce que je faisais et

  • Speaker #1

    longue vie à Réferrali merci salut Arnaud salut C'était Rendez-vous, le podcast qui fabrique et consolide votre réseau d'apporteurs d'affaires.

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