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La Méthode Rendez-Vous

Ton défi : rester en contact avec chaque membre de ton réseau local !

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37min |01/02/2025
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La Méthode Rendez-Vous

Ton défi : rester en contact avec chaque membre de ton réseau local !

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37min |01/02/2025
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Description

🎙️ Je reçois Régis Minot, inventeur génial qui a conçu l’outil Sarea qui facilite ton networking ! Véritable Géo Trouvetou du numérique, il partage son parcours d’inventeur web, de ses premières expériences dans le design produit à la création d’outils révolutionnant le réseautage et la gestion d’événements.


À travers des anecdotes, il nous raconte comment il a conçu Sarea, une plateforme qui aide les entrepreneurs et clubs d’affaires à maintenir le lien entre leurs membres et à optimiser leurs mises en relation. Passionné par la communauté et le partage, Régis dévoile également sa vision de l’avenir du networking à l’ère du digital et de l’intelligence artificielle.


Comment rester en contact avec chaque membre de son réseau local ? Comment utiliser les outils digitaux pour fluidifier les échanges et maximiser les opportunités ? Régis nous livre des stratégies concrètes et accessibles, prouvant que le réseautage efficace passe avant tout par des outils bien pensés et un véritable esprit collaboratif.


Extraits clés

  1. Une anecdote marquante :
    "J’ai lancé une communauté en ligne sur… les chinchillas ! 3 000 membres, des rencontres partout en France, des recommandations… C’était un vrai club d’affaires avant l’heure, mais pour les passionnés de rongeurs !"

  2. Un conseil inspirant :
    "Dans le réseautage, ma philosophie est simple : donne, patiente, donne encore… et peut-être que tu recevras. C’est en aidant les autres sans attente immédiate qu’on construit un réseau solide."

  3. Une technique de networking :
    "Le QR code est devenu un atout majeur en networking. Avec Saréa, on ne se contente pas d’échanger des cartes de visite : on garde une trace, on sait qui a consulté notre profil, et on peut relancer efficacement nos contacts."


👂Ecoute bien les questions que je pose à mon invité. Elles me permettront de mieux la connaître et d’apprendre à le recommander en tant que nouveau partenaire. 

🎧 Bonne écoute ! 🎧



📚 RESSOURCES

👐 LinkedIn de Régis Minot

🌐 Site web de SAREA


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Transcription

  • Speaker #0

    Rendez-vous,

  • Speaker #1

    le podcast qui fabrique et consolide votre réseau d'apporteurs d'affaires.

  • Speaker #0

    Bonjour Régis !

  • Speaker #1

    Bonjour Jean-Christophe !

  • Speaker #0

    Je suis ravi de t'avoir, on va passer 40 petites minutes ensemble. Je rappelle le concept de l'émission, il y a trois parties, il y a les mêmes quatre. il y aura d'abord ton pitch, ton fameux Elevator pitch, puis après on remontera un peu le temps tes premières expériences professionnelles tes études pour apprendre à te connaître ensuite tu auras ta carte blanche une minute qui va t'appartenir totalement qui en général n'est pas commentée et dans une dernière partie la plus longue du podcast le défi est comment aider notre réseau à nous suivre suivre notre actu, rester en contact, ne pas briser le lien, hyper important dans le monde du networking et de la vie en général. Tisser des liens puissants et apprendre à les entretenir grâce à tes solutions, on en parlera dans la dernière partie. Ok Régis, tu es bien installé, tout va bien ?

  • Speaker #1

    Oui, très bien.

  • Speaker #0

    Ok, et bien c'est parti, commence par te présenter. Allez, à toi Joey.

  • Speaker #1

    Donc je me présente comme inventeur web, c'est-à-dire que je propose des services web pour aider les entreprises. entrepreneurs pour faciliter leur réseautage et la promotion de leurs événements. Et à côté de ça, je développe pas mal de sites, de portails, d'applications web qui, certaines, justement, se transforment en services quand ça intéresse d'autres personnes.

  • Speaker #0

    Oui, tu es un peu le géo-trouve-tout. C'est exactement ça. C'est la ref.

  • Speaker #1

    En fait, je ne sais pas si tu as vu, Founder, qui raconte l'histoire du fondateur de McDonald's, et je le voyais avec ses appareils et tout, et je me disais, c'est ça maintenant, mon personal branding, si on peut dire. Parce que j'ai l'impression que j'ai une idée, je peux la développer, et puis le week-end suivant, ça y est, c'est dans la revue, ça sert, on teste, etc. Donc c'est vraiment ce que j'ai trouvé de mieux pour...

  • Speaker #0

    Je vous trouve tout, la bande à Picsou pour ceux qui n'avaient pas la ref. Alors, remontons un peu le temps, Régis, qu'est-ce que tu as fait comme études ? Tu as fait quel bac ?

  • Speaker #1

    Alors, bac F12, mais c'est vieux. J'ai une formation designer produit, en fait. Je suis dans l'artistique. même si c'est le développement aujourd'hui j'ai vraiment une formation artistique je dessinais en bac F12 on teste tout les matières tous les métiers architecte designer styliste la peinture à l'huile gouache tout y passe pour justement après savoir ce qu'on veut faire t'as vraiment ce côté créatif alors exactement c'est pour ça que quand je me et c'est pour ça je retrouve le terme avec l'inventeur dans le sens où j'ai envie de faire quelque chose je l'imagine je le réalise et l'avantage c'est que Le web, ça va beaucoup plus vite qu'avec du dessin, plus des maquettes, plus des moules, etc. On a une idée, la semaine suivante, on peut la tester.

  • Speaker #0

    Excellent. Quelles étaient tes études après ton bac ?

  • Speaker #1

    BTS d'esthétique industrielle, tout simplement. Puis après, j'ai fait un stage et puis j'ai tout de suite démarré dans la vie active parce qu'en fait, j'ai rejoint des personnes qui avaient monté une association et moi, j'étais à fond dans la 3D à l'époque. Donc, je les ai intéressés dans le sens où... Je participais à eux, ils avaient du graphisme, des pochettes de disques, on faisait des vidéos, un peu de tout. Et puis je faisais la 3D pour aussi bien des animations ou des objets, un monde tout.

  • Speaker #0

    C'est ce qu'on appelle l'impression 3D,

  • Speaker #1

    c'est ça ? Non, l'impression 3D c'est trop récent. Pour utiliser le terme d'origine, c'était l'image de synthèse. Je dessinais des meubles. du matériel industriel pour représenter ce qu'il en était parce que c'était plus compliqué de faire une photo que d'avoir un objet en 3D Et après,

  • Speaker #0

    quelles ont été tes différentes expériences ?

  • Speaker #1

    J'en ai eu plein, si on peut dire que de l'autre côté de l'Atlantique, j'ai eu pas mal d'expériences justement par rapport à ça, j'ai participé à des startups, donc avec les associés on a déjà démarré le premier magazine sur les sports mécaniques sur papier et CD-ROM, c'était la première fois on a été soutenu par Apple à l'époque on a... On avait un carrément un stand. Donc, laisser des ROMs, je ne sais pas si ça nous parle. On ne sait jamais. Ça ressemble à ça. Et justement, après, on a sorti le premier catalogue électronique. Donc ça, en vrai, c'est des ROMs du groupe Gilbert. Alors, c'est Fils Dépôt maintenant. Il y a eu plein de rachats. Donc, c'était 3000 références. Et il y avait la particularité qu'avaient développé mes associés, qui était la recherche au langage naturel. Par rapport à l'IA aujourd'hui, ça fait tellement ridicule. Mais je disais, je veux écrire sur un papier jaune et il me sortait le post-it. Voilà, tout simplement. Donc ça, c'était une innovation. Et puis après, je me suis retrouvé tout seul, on ne va pas rentrer dans le détail. Et j'ai créé RM Design, donc j'ai démarré avec des projets dans la santé. De toute façon, je travaille toujours dans la santé depuis 1998. Par la suite, j'ai retrouvé d'autres associés. J'ai développé le site topfolio.me, qui n'existe plus, qui était un portfolio en 2011 au lancement de l'iPad, qui était un portfolio à la fois on et offline, pour montrer dans une cave ce que tu montrais sur ton ordinateur, sur ton téléphone. Les gens avaient exactement la même chose. Ça, c'était une innovation, mais c'était un peu trop tôt. Et puis, il y a eu d'autres projets depuis, mais sinon, en 2015, on a lancé Flash et moi avec un partenaire. En fait, c'était l'équivalent, même si le nom ne va rien dire, c'était l'équivalent du Réseau Ciné, mais pour le théâtre, tout simplement. C'est-à-dire qu'on avait une page dans laquelle il y avait absolument tout, les témoignages, les avis, la vidéo, tout ce qu'il fallait pour présenter une pièce de théâtre. Pas le spectacle, pas le théâtre lui-même, mais chaque spectacle avait une page. Et on l'avait appelée Flash et moi parce que... On s'était vraiment mis en avance. C'était du QR code partout. C'est-à-dire qu'on avait la possibilité de savoir si la personne avait flashé dans les toilettes, dans l'entrée, dans le métro, à la colonne Maurice, n'importe où, et justement d'avoir quelques pas en retour sur investissement en se disant, tiens, telle affiche, ça vaut le coup. Après, c'était, je le dis, vraiment trop tôt. Donc malheureusement, ça s'est arrêté. Et puis après, j'ai participé à une startup sur le handicap. C'est-à-dire que cause handicap, c'était... Un outil que j'ai totalement refondu, qui était destiné aux référents handicap dans les entreprises, pour justement les accompagner et identifier les personnes qui étaient concernées, donc essentiellement du handicap invisible, et les aider à faire un dossier pour être reconnus pour la suite. Puis ça, avec les associés, ça s'est arrêté, je me suis retrouvé tout seul. Et j'ai lancé Meeting Pack, donc c'est parti d'une idée. Je disais tout à l'heure promotion des événements, c'est-à-dire que c'est un outil qui va permettre de faire la promotion dans le sens où c'est une... page, comme on voit sur d'autres sites, gratuits ou en mode premium, c'est d'avoir une page enrichie dans laquelle on peut présenter les speakers, le lieu, le programme, tout ce qu'on veut. Et après l'événement, parce que ça peut être du présentiel ou du virtuel, on va fidéliser les participants avec un espace sécurisé, dans lequel on va retrouver les replays, les informations, tout ce qui va être diffusé, mais uniquement sur place. Comme ça, ça va permettre de créer justement du réseautage, parce que les participants peuvent échanger entre eux. Ça m'a permis d'ailleurs de rencontrer lors d'Interclub des gens que je n'avais pas pu voir sur le moment. Donc, je les ai relancés par la suite. Et puis, en 2022, j'étais dans un club d'affaires et j'ai conçu Sarrea parce qu'il y avait un vrai besoin.

  • Speaker #0

    On en parlera. Et puis,

  • Speaker #1

    il y a encore eu d'autres choses, mais on va s'arrêter là parce que sinon…

  • Speaker #0

    Tu es vite basculé du côté entrepreneur. Tu étais salarié en même temps.

  • Speaker #1

    Je n'ai jamais été salarié. Quasiment pas, parce que j'ai juste fait un stage. Après, j'étais en association avec les autres. Et puis, non, j'ai toujours été entrepreneur. J'étais associé au début, évidemment. Mais au début, j'étais entrepreneur avec les autres, en étant co-gérant. Et puis après, j'ai tout de suite basculé en étant tout seul. J'ai eu des associés, je suis revenu tout seul. Parce que c'est pas que ça se passait mal, mais il y a eu différentes circonstances. Donc voilà. Et puis aujourd'hui, ça va très bien. Et j'ai tout un réseau autour de moi qui me permet de répondre à un maximum de demandes. aussi bien en direct ou avec des agences. Et puis, via les services, ça me permet justement de toucher d'autres populations ou cibles que je n'aurais pas en direct si j'étais sous-traitant.

  • Speaker #0

    Rendez-vous,

  • Speaker #1

    le podcast.

  • Speaker #0

    Alors, il est temps de passer à ta carte blanche, Régis.

  • Speaker #1

    Alors la carte blanche, je vais te faire rire, en tout cas j'espère, c'est qu'en 2000, j'avais envie d'apprendre le PHP, j'étais déjà passé dans le Flash avant, dans le Flash maintenant on a un peu oublié, parce que j'ai fait beaucoup de Flash, parce qu'à l'époque des CD-ROM c'était Macromag Director, c'est encore plus vieux mais c'était après le Flash, et donc j'ai voulu me lancer dans le PHP, alors c'était vraiment le début, il n'y avait même pas de WordPress à l'époque, et j'ai lancé la communauté ChichiWeb, et la communauté ChichiWeb c'était la communauté... C'était des maîtres de chinchilas. Le chinchila avait pas mal de succès à l'époque. Malheureusement, ça a perdu sa valeur. Donc, c'est pour ça que j'ai envie de le relancer cette année. L'opportunité pour ça. Alors, c'était un truc vraiment... Un club, une communauté vraiment particulière. Bon, il était 3000, donc je faisais le ménage. C'était là, peut-être, s'il y avait des gens qui n'étaient pas là, je les virais, tout simplement. Donc, c'était vraiment 3000 actifs. Et c'était vraiment une communauté. La particularité, c'est que c'était les chinchilas qui avaient la parole. C'est-à-dire que quand tu t'inscrivais, tu t'inscrivais au nom du chinchilla, donc le petit rondeur qui tient tout, qui mange toute la nourriture, et tout le monde se tutoyait, tout le monde échangeait. Alors ça allait plus loin, c'est-à-dire qu'on était déjà dans le parti club d'affaires, si je peux dire, c'est qu'on faisait des chichidés, des chichinites, on se retrouvait au resto, j'ai été invité à Nice, on était invité dans toute la France, c'était vraiment, on sauvait des chinchillas, c'était du délire. Et j'ai même contacté le plus grand éleveur d'Europe, c'est pour ça qu'après j'ai fait une boutique. Quand je lui ai écrit, je l'ai écrit de la part de Snoop et Tofu. Donc, je suis débarqué là-bas et il m'a pris pour un fou. Après, il a vu que c'était tous les deux, c'était un couple normal. Mais il nous l'a dit après, il nous a vraiment pris pour des fous. C'est vrai que ça allait te faire rire.

  • Speaker #0

    Et cette communauté, elle était sur quel support ? Quelle plateforme ?

  • Speaker #1

    C'était PHPNUC.

  • Speaker #0

    C'était un site web que tu avais conçu ?

  • Speaker #1

    Non, non, je n'avais pas conçu. C'était un outil comme on a au WordPress aujourd'hui. C'était à la partie forum, à la partie… En fait, c'était l'équivalent d'un outil communautaire. C'était plus évolué que Facebook, même à l'époque. Mais tu faisais ce que tu voulais, tu rajoutais des modules, tu les développais. Donc, j'avais fait une carte où on voyait tous les chinchis d'art dans toute la France. J'avais une en-cito-chichi, donc il y avait des en-cito-pédis. J'avais carrément 20 personnes, des marraines, parce que c'était essentiellement des femmes. qui m'entouraient et qui accompagnaient. C'est-à-dire que quand tu arrivais sur la communauté, tu étais accompagné, on te guidait, tu étais pris en charge. C'était une vraie communauté. Donc, il y avait de tout, des interviews. Il y avait la totalité de ce que tu peux trouver aujourd'hui sur le réseau, mais dans une communauté dédiée aux fans. Eh bien,

  • Speaker #0

    ok, super. Merci, merci Régis. Et n'hésite pas à expliquer, tu sais, je parlais de PHP, de...

  • Speaker #1

    Excuse-moi, mais j'évite les acronymes parce que sinon on ne comprend rien.

  • Speaker #0

    N'hésite pas à expliquer un petit peu rapidement ce que c'est à chaque fois.

  • Speaker #1

    Tout à fait. PHP, c'est un langage qu'on a derrière WordPress, l'utilisent de PHP, par exemple. Mais tous les outils CMS, essentiellement, sont sur PHP. La majorité des sites, après, il y a d'autres langages, mais c'est du courant.

  • Speaker #0

    Maintenant, on va passer au défi. On donne à ceux qui nous regardent ou à ceux qui nous écoutent comment suivre l'actualité, mais avant, pour rester en contact avec chaque membre de son réseau local, Mais avant, il faut qu'on parle un petit peu de Régis et du réseautage en lui-même, des clubs d'affaires, parce que tu documentes beaucoup sur LinkedIn et on invite d'ailleurs ceux qui nous écoutent à aller cliquer pour découvrir ton profil LinkedIn ou à flasher le QR code pour aller découvrir ce que tu fais. Donc tu partages beaucoup dans tes posts, très souvent des expériences, en club d'affaires notamment. Comment tu as découvert le monde du networking ? C'était dans quel contexte ?

  • Speaker #1

    Alors, évidemment, c'était ChichiWeb dont je viens de parler. C'était une communauté que j'ai créée. Ça, c'est différent, parce que c'est déjà du réseautage, en quelque sorte, parce que j'ai encore des contacts avec des gens de l'époque. Et quand on en reparle, ils se rappellent. Mais sinon, après, ce qui s'est passé, c'est que même si j'ai toujours été dans l'esprit communautaire et toujours à recommandations, à transmettre, à essayer. Dès que j'ai quelqu'un, je le fais travailler dans mon réseau. J'ai rentré dans une nouvelle agence, j'ai fait rentrer des graphistes. Ça, ça a toujours été un état d'esprit. Normalement, ma philosophie, de toute façon, c'est donne, patiente. donne encore, peut-être tu recevras. Donc ça, ça a toujours été mon état d'esprit. Et vis-à-vis de ça, il y a quelques années, une partenaire que j'ai connue dans un espace de coworking, parce que j'ai passé quelques années dans un espace de coworking, c'est comme ça que j'ai connu justement un startup, cause handicap, cette personne me disait, tiens, je vais monter un club, donc Protein pour les citer, et ça serait bien que tu viennes voir. Donc je n'étais vraiment pas très attiré au départ, j'y suis allé pour voir. Et j'ai vraiment été fan de l'état d'esprit où on démarrait 11h30, on échangeait tout, il y avait un pitch et puis après on mangeait ensemble. Après le repas, j'ai tout simplement signé. J'ai démarré comme ça pendant des années. J'ai même invité d'autres personnes, j'ai fait entrer des membres dans le club. Tout a très bien fonctionné. Et un jour, je me suis dit, avant Sarvea, donc l'outil dont je vais vous parler, c'était d'abord un tableau dans le sens où la question des clubs, c'est qu'est-ce que je vais pouvoir dire sur les autres. parce qu'on n'est pas là pour faire... Même si dans certains clubs comme BNZ, c'est très militaire, très scolaire, Protein, c'est plus souple, justement. On n'est pas là pour vendre les autres. Quand tu vas dans un club, tu n'as pas envie de prendre des notes, de savoir ce que fait l'autre. Tu n'es pas là pour vendre. Tu es là pour... Sans parler de te vendre toi, tu es là pour échanger, pour communiquer, recommander, mais de façon opportuniste. Donc, la question, c'est de savoir comment tu vas pouvoir, dans un cocktail, raconter que, tiens, il y a un tel qui est intéressé... qui pourra être aidé parce que tes enfants vont quitter le foyer ou alors tes parents vont en maison de retraite ou je ne sais quoi. Donc, j'avais fait un tableau qui a bien plu. Malheureusement, on n'a pas été rempli, dans lequel je disais, chacun, par rapport aux différentes cibles, famille, entreprise. tout ce qui est possible, vous dites ce que vous pouvez faire. Comme ça, on remplit tous et puis on arrive à savoir avant de partir dans un club, qu'est-ce que je vais pouvoir raconter, si on m'en parle, quelque chose d'approprié.

  • Speaker #0

    Après, je te coupe, mais tu reprendras. Pour que ceux qui nous écoutent comprennent un peu les enjeux, c'est vrai que quand on est dans une communauté, dans un club d'affaires, si on veut que les membres apprennent à se connaître mieux, si on leur donne des outils aussi pour se recommander, Et l'important est d'avoir de la matière pour parler efficacement de nos différents interlocuteurs. C'est ça l'idée en club d'affaires. Ce qu'on cherche, c'est aussi à former nos interlocuteurs pour qu'ils puissent parler de nous efficacement. Et cette situation est longue avant d'arriver à ce que chacun des membres puisse pitcher les uns et les autres. Donc c'est dans ce contexte qu'on... On essaye de trouver des outils facilitants pour aider les membres à se recommander efficacement.

  • Speaker #1

    Exactement. Et justement, le fait est que tu ne vas pas prendre une note parce que dans les clubs, la plupart du temps, les gens se présentent, pas seulement le pitch, c'est-à-dire qu'on a le pitch la plupart des sessions, des réunions, mais on a en plus des présentations un peu plus complètes. Ça peut être un quart d'heure, une demi-heure selon les clubs où là, il y a vraiment quelqu'un qui va s'exposer, qui peut faire une conférence, un atelier, je ne sais quoi. Encore une fois, même si c'est super intéressant, il y a certains métiers qui sont vraiment un peu plus techniques que d'autres. Et puis, il y a aussi des secteurs d'activité où les gens ne savent pas forcément communiquer parce qu'ils n'ont pas été formés pour. Je pense aux avocats, aux notaires, aux comptables. Ça rentre tout de suite dans la technique. Et toi, quand tu n'es pas dans le secteur, tu es un peu perdu. Et comment tu vas pouvoir aller en reparler pour la suite, c'est un peu difficile.

  • Speaker #0

    Oui, donc un outil facilitant cette prise de note, avoir toutes les informations à disposition.

  • Speaker #1

    Exactement. Et le principe, c'est pour ça que j'ai eu l'idée de Saria. Alors Saria, c'est un nom que j'ai trouvé parce que j'ai cherché un peu le terme réseau dans différentes langues et je l'ai trouvé en basque. Je trouve que c'est facile à retenir. J'ai mon Saria, ton Saria, je te le partage. Et le principe, c'est de se dire, entre les deux semaines, justement, entre les deux réunions, deux choses qui m'intéressent, c'est l'actualité de l'autre. Il y en a un qui est passé dans notre club à la télé, ça serait bien de le savoir, parce que comme ça, quand je vais être dans un cocktail, je vais pouvoir en parler. Et puis, l'autre point, et puis surtout le fait est qu'à côté de l'actualité, aujourd'hui, il y a les posts LinkedIn, donc LinkedIn ou d'autres réseaux sociaux. Et puis, la plupart du temps, les gens ont un site Internet qu'ils ne savent pas forcément maintenir selon la taille de l'entreprise, selon les compétences ou je ne sais quoi. Et ils ont besoin, sur leur téléphone, d'avoir quelque chose d'un peu plus sophistiqué que juste un linktree, c'est-à-dire un site dans lequel il y a des liens ou un profil LinkedIn qu'ils ne vont pas forcément mettre à jour ou avec d'autres particularités. Donc, le principe de Saréa, c'est que je vais présenter d'abord la personne parce que je recommande une personne, ce qui fait que je l'ai encore vécu la semaine dernière dans un club, dans une soirée networking. La femme qui avait justement son Saréa a sorti son téléphone plutôt que donné sa carte. et a fait flasher, ça avait la personne qui avait l'emphase qui a récupéré tout de suite les coordonnées. Donc, elle avait les coordonnées, mais elle a pu avoir la personne et derrière, son entreprise, évidemment, et il y a tous les liens comme sur d'autres sites, d'autres cartes de visite. Alors, l'avantage, c'est qu'il n'y a pas de NFC. On peut utiliser avec n'importe quel téléphone. Il faut juste un QR code. Comme je l'ai dit tout à l'heure, j'ai un sacré parcours dans le QR code, mais avec le COVID maintenant et les repas, tout ce qu'on voit dans les restaurants, tout le monde est adepte du QR code. Rendez-vous le podcast.

  • Speaker #0

    C'est intéressant ce que tu dis sur le QR code parce que c'était un peu une innovation un peu vieillissante, un peu désuète et qui a été remise complètement au goût du jour grâce à la crise sanitaire. Tu as une explication là-dessus ?

  • Speaker #1

    Déjà, c'est très très vieux parce que c'est Toyota qui l'a lancé, je ne sais plus quelle année, mais je crois que c'est dans les années 90. A l'origine, c'était fait pour référencer les pièces de mécanique pour la traçabilité. Il y avait le QR code sur les pièces et comme ça, ça permettait d'identifier l'origine. Et après, il y a très peu de gens qui s'en sont réveillés. Je l'ai vécu avec Flash et moi, typiquement, on avait une affiche où en fait, ils avaient mis le QR code en bas et c'était masqué par le cadre. Donc, il y a eu pas mal, j'ai testé aussi pas mal de QR code où en fait, ça renvoyait. Ce n'est pas drôle, mais les opérations qui étaient... peu importe le sujet, renvoyer sur des sites pornos, par exemple. Ça, c'est très mauvais. Il y avait eu des diffusions de plaquettes, de flyers, où en fait, le QR code ne fonctionnait pas. Donc, ça a pu détériorer l'image. C'est clair, quand on ne fait pas attention, quand on imprime et on ne teste pas, ça, c'est très important. Le QR code aussi, c'est gratuit déjà. Et puis, tu peux avoir des sites qui vont te le proposer. À ce moment-là, c'est du dynamique. C'est-à-dire qu'on a un lien qui est fixe. Mais ça ne renvoie pas sur le site définitif, ce qui permet justement d'avoir une traçabilité, de se dire, tiens, il y a eu tant de flashages parce qu'on ne va pas aller sur le site, mais on va passer par un lien intermédiaire, un peu comme les raccourcis URL. C'est-à-dire que je flash, je vais sur le site A, qui va me renvoyer sur le site B. Ce qui est le cas de CRR, ça te permet justement de savoir, de changer à n'importe quel moment, même si c'est un seul QR code.

  • Speaker #0

    N'hésitez pas d'ailleurs à le scanner, le QR code.

  • Speaker #1

    Oui, bien sûr. Comme ça, vous pouvez vous inscrire, vous pouvez découvrir Saraya et puis vous inscrire et l'utiliser tout de suite et en profiter. Parce que Saraya, ça peut servir, tout d'abord, c'est un annuaire pour les groupes d'entrepreneurs. Groupe, c'est pour ça que j'utilise le terme. Ça peut être des clubs d'affaires, des assos locales, un espace de coworking, c'est aussi très utile. Voir un club sportif, quel que soit le type de sport. Le but, c'est d'échanger et d'aller un peu plus loin que la carte de visite. La carte de visite, malheureusement, selon les personnes, je la prends et je la mets dans un coin. Je ne vais pas forcément reporter toutes les informations, même si ça peut être très facile. Et puis, si j'utilise des cartes digitales, c'est pareil. S'il n'y a pas forcément toutes les informations, là, j'ai un site qui peut être tout le temps mis à jour parce que ça marche aussi bien sur ordinateur que sur téléphone dans les mêmes circonstances. Et quand je parle de groupe, la problématique de tous les groupes d'entrepreneurs, c'est que les gens remplissent leur fiche. Je suis dans un énorme réseau, là, par exemple, qui a 750 membres. et en fait il n'y a que 250 fiches qui sont visibles parce que les gens ne remplissent pas parce que quel que soit leur réseau la problématique c'est qu'il faut travailler c'est à dire qu'on me demande de remplir une fiche une énième fiche, il va falloir que j'aille copier ce que j'ai mis sur LinkedIn pour le remettre sur le club que je modifie c'est un travail, c'est un travail supplémentaire donc pourquoi j'irais m'embêter pour un club alors que j'ai déjà mon fiche LinkedIn j'ai mon site, ils ont juste à aller voir mon lien prendre ma carte et puis c'est fini alors qu'avec Serria en fait je vais travailler pour moi puisque c'est ma carte de visite c'est mon profil donc je ne vais pas le faire pour les autres je vais d'abord le faire pour moi et les autres vont en profiter c'est ça le printemps c'est l'inverse de l'empathique c'est d'abord moi et les autres après mais tout le monde en profite ça réa ça remplace une carte de visite digitale tu crois ou ça la complète ? alors ça la remplace dans le sens où le but n'est pas que ça soit sur le web c'est que c'est vraiment du local même si techniquement ça peut évidemment être accessible par le web Mais le but, c'est vraiment, je suis dans une soirée, je fais flasher, la personne a toutes les informations. En plus, elle peut même récupérer ma V-card, donc stocker directement l'ensemble des informations sur son téléphone. Comme ça, il n'y a même pas de souci.

  • Speaker #0

    Donc, c'est complémentaire. En fait, c'est aussi une V-card quelque part.

  • Speaker #1

    Voilà, tout à fait. Et puis, avec l'historique, on sait qu'elle l'a dans son historique. Donc, ça ne va pas disparaître.

  • Speaker #0

    Ce qui est super intéressant, c'est qu'on a vu ça avec l'arrivée de la carte de visite digitale, c'est qu'on peut faire vivre des expériences incroyables en réseautage physique. Je m'explique. Qu'est-ce qui se passe avec les cartes de visite papier ? Les cartes de visite papier, ça reste aussi, je pense, quand même important d'en avoir quelques-unes de haute qualité dans son portefeuille parce que ça peut quand même continuer à être très utile dans certains cas. OK, on a sa carte de visite digitale ou on a sa réa, mais pourquoi pas, à l'occasion, dans un ascenseur, filer sa carte de visite ou récupérer celle de quelqu'un quand on n'a pas trop le temps d'échanger. Ça peut nous sauver la vie. Mais là où je voulais en venir, c'était vraiment cette faculté derrière de montrer un outil comme sa réa et de faire vivre en réseautage une expérience. C'est-à-dire, comme tu l'as expliqué, les gens qu'il y a dans mon réseau, tiens, tu devrais... tu devrais contacter un tel de ma part, est-ce que tu veux que je vous connecte ? Ce genre de choses qui, avec une carte de visite papier, n'est pas possible. C'est-à-dire, ah bah tiens, je te donne la carte d'un tel, etc. Donc on a l'occasion, souvent en réseautage, on va d'un contact à un autre, on n'a pas forcément le temps d'approfondir, mais on peut aussi se souvenir plus facilement de la personne parce qu'elle nous a montré son carnet d'adresse. C'est aussi comme ça que tu le penses en réseautage physique.

  • Speaker #1

    Tout à fait. Il y a deux points. Déjà, un, la carte de visite, quand tu la donnes, tu ne sais pas trop ce qu'elle va devenir. Sauf si la personne ne te rappelle, évidemment. Avec Saria, tu as la traçabilité dans le sens où à chaque fois que la personne va revenir sur ton Saria, tu vas avoir une trace dans la base. Donc, tu auras un historique, ce qui fait que le lendemain matin, si justement elle va voir ta page, tu pourras la rappeler ou peu importe l'occasion. Mais en tout cas, tu as un suivi de ta carte, de ce que tu as transcrit. Et l'autre point, c'est que si tu recommandes le Saria d'un autre, c'est pareil, il va savoir ce qui s'est passé, donc ça sera plus facile pour lui de se dire, tiens, en définitive, effectivement, la personne est allée voir mon profil, ça vaut le coup, je la rappelle. Alors que dans une carte de visite, quel que soit le support, même des liens, parce que même les cartes digitales ou les liens raccourcis, tout ce qu'on peut trouver, en fait, on sait que les gens sont allés sur LinkedIn, mais ça s'arrête là. il n'y a pas de suivi. Donc là, on a vraiment, c'est ce qu'on faisait sur Flash et moi, justement, c'est quand on regardait un spectacle, on avait un peu l'équivalent d'un Google Analytics précis pour chaque utilisateur. Donc, on pouvait dire, tiens, l'avis, il est intéressant, le témoignage, ça vaut le coup, etc. Et en plus, une traçabilité de l'un à l'autre, c'est-à-dire que quand je transmettais le Flash et moi à un tiers, il y avait encore le suivi. Et donc, dans Saria, je recommande, je me fais recommander et je vais savoir ce qui se passe. pour pouvoir mieux relancer les gens. Ce que je propose pas mal dans tout ce que je développe, c'est la préparation d'un rendez-vous commercial. C'est-à-dire qu'il y a dans un premier temps un formulaire très basique pour qu'on ait juste le nom, le prénom, entreprise, téléphone, pour que tu puisses te rappeler les gens. Et si tu poses des questions qui vont te permettre d'avoir des réponses, voire de préparer ton entretien en ayant des démos sous la main, c'est un peu plus impactant, je dirais, pendant le rendez-vous parce que tu sais tout de suite quoi lui montrer. Tu n'as pas à chercher... Tiens, il a fait tel secteur d'activité, je vais lui montrer un comparatif.

  • Speaker #0

    Au niveau du modèle économique, comment ça fonctionne, ça réale ?

  • Speaker #1

    C'est zéro frais pour les individus, pour n'importe qui, toi, moi, n'importe quel entrepreneur. Et c'est le club qui va payer. C'est-à-dire qu'à partir de 15 membres, donc tous les clubs, asso, n'importe quoi, n'importe quel type de groupe, en dessous de 15 personnes, c'est zéro frais. Et puis, dès qu'il y a une quinzième personne qui rentre dans le groupe, à ce moment-là, ils ont un abonnement selon des tarifs qui évoluent, avec paiement à l'année où on va gagner deux mois de plus, ou sinon c'est revu à tous les mois, tous les mois, tous les ans, selon la taille du groupe.

  • Speaker #0

    Et pourquoi tu as choisi de commercialiser ça uniquement au club d'affaires et pas au réseauteur en tant qu'individu ?

  • Speaker #1

    Alors ça, j'étais parti justement sur le réseauteur, parce que j'avais été parti sur la recommandation au départ, et je suis très bien coaché. par Pascal Percheron.

  • Speaker #0

    Salut Pascal !

  • Speaker #1

    Qui est ma conseiller de remarquement modèle. Il a tout à fait raison. En fait, les entrepreneurs vont devenir des ambassadeurs parce que quelque part, quelqu'un qui est dans un club, il peut l'être dans un autre, ce qui est mon cas. Il peut l'intéresser. Et puis, le club sportif, c'est un club supplémentaire. Et la plupart des entrepreneurs, je l'espère pour eux, sont aussi dans les clubs sportifs parce qu'il faut vraiment avoir un... Il y a un corps en bonne santé. Je ne vais pas entrer dans une autre application que j'ai développée parce que c'est un autre univers. Mais c'est bien d'être dans différents clubs. Et justement, l'ambassadeur, notre entrepreneur, va pouvoir communiquer en montrant sur Savara. Parce qu'il y a aussi dans Savara, le groupe en lui-même. C'est-à-dire que j'ai les autres membres de mon réseau, de mon club d'affaires, mon espace de co-op, mais je peux rajouter d'autres personnes. Donc, mon plombier, mon voisin. n'importe qui que j'ai envie de recommander parce que c'est pas seulement mon groupe je voudrais bien avoir des gens qui ne veulent pas rentrer dans le groupe ou qui ne sont pas disponibles mais que j'ai quand même envie de présenter lors de soirées de networking rendez-vous

  • Speaker #0

    le podcast alors tu peux nous en dire juste sans trop détailler t'as d'autres applis dans l'univers du networking

  • Speaker #1

    Ce n'est pas forcément le networking, bien que ce soit quand même pensé pour. C'est-à-dire que j'ai démarré un programme d'accompagnement. Pour les cités, ce n'est pas Pineshape, parce que je ne suis pas pâte de fille. Et avec le temps, il y a certaines formes qui apparaissent, même si je ne suis pas devenu énorme. J'ai quand même permis du poids grâce à eux. Et surtout, ce que j'ai apprécié, c'est l'académie, dans le sens où on apprend à comment mieux se nourrir, comment mieux vivre, pour justement aller jusqu'à la mort, évidemment. Et donc ce programme, sans entrer dans le détail, me demandait de remplir un tableau, et puis moi ça ne me convenait pas. Et puis quand on est dans les forces, je me dis que c'est vraiment très difficile de se rappeler ce qu'on est en train de faire. De dire, tiens, je vais noter 10, je vais noter ça, etc. Ton cerveau est ailleurs. Bon, maintenant ça va un peu mieux, mais au début c'était très difficile. Il y avait ça, et puis toute la journée on te demande de boire 2 litres d'eau, alors c'est une horreur, donc il faut noter. J'ai fini par noter au début dans un iPhone et puis après, je me suis dit, bon, je vais développer. Et puis, une semaine plus tard, j'ai lancé une application que j'ai conçue. Et puis, toutes les semaines, je la faisais évoluer au fur et à mesure. Et puis, un mois plus tard, j'ai lancé My Body Club, si ça m'intéresse des gens, qui permet de s'occuper à la fois de l'alimentation, des exercices physiques, tout ce qui concerne la journée. L'hydratation, la marche, le sommeil, tout, on note tout. Et puis après, en un clic, je renvoie tout dans le tableau qu'on m'a demandé. Et ça me permet de voir tous les jours ce qui se passe, d'avoir un suivi. Après, tu partages à ton coach. Et alors, si je parle de réseautage, c'est que l'idée derrière tout ça, c'est de se dire qu'un peu comme dans les clubs, la différence dans les clubs d'affaires, c'est qu'on est tous là justement pour avoir une mixité, pour avoir un mélange.

  • Speaker #0

    de profession qui vont faire que tu vas recommander des gens que tu n'aurais pas dans ton quotidien. Donc le notaire, tu n'en as pas, mais par contre là, tu en as un et justement, tu ne vas pas réduire ta famille. Par contre, dans le cas de la santé, des efforts physiques, des contraintes, c'est différent dans le sens où tu peux difficilement t'identifier à quelqu'un qui n'a pas du tout la même classe sociale, le même revenu, les mêmes contraintes. Si tu as des enfants bas âge alors que tu as des majeurs, tu ne peux pas leur parler de la même façon, tu ne vas pas leur dire… Moi, je m'occupe la nuit, alors qu'eux, ils ne peuvent pas, ils sont en train de changer les couches, ou je ne sais quoi. Donc, l'idée derrière MyBodyClub, c'est pour ça que je l'ai appelé club, c'est que quand il y aura pas mal de monde, je puisse créer des micro-communautés où on a des gens qui se ressemblent. Pour qu'ils puissent se dire, tiens, j'ai fait ça, tu pourrais le faire, parce qu'on est dans les mêmes circonstances pour agir de la même façon.

  • Speaker #1

    C'est intéressant tout ce que tu dis, tout tourne chez toi, il y a une grande appétence pour les communautés. Qu'elle soit virtuelle, qu'elle soit physique. Quelque part, au cœur du web, dans les premiers forums qu'il y a pu avoir il y a 25 ans, peut-être plus, il y avait cet esprit communautaire fort. Je sais que dans les développeurs notamment, il y a des communautés en ligne où il y a beaucoup d'entraide. Ils partagent des expertises techniques, ils s'entraident pour coder, des choses comme ça. Donc, les réseaux sont aussi au cœur du web, mais au cœur de l'individu et au cœur des humains.

  • Speaker #0

    Ah, tout à fait. C'est ça qui est génial avec le web. Et alors maintenant, c'est encore mieux. Justement, j'ai vu un post hier sur l'IA par rapport au diplôme. Et on le sait déjà, à l'AMIT, il y a différentes universités américaines qui diffusent tout en ligne. Donc, n'importe qui dans le monde peut suivre les cours, peut avoir les informations. Et le web, c'est extraordinaire pour ça. Maintenant, il y a l'IA, mais avant, je ne savais pas faire. J'allais chercher, il y avait plein de forêts. Je posais des questions et tu avais les réponses. Et c'est contributif, participatif. Tout le monde échange sans avoir de demande en retour.

  • Speaker #1

    Et l'intelligence artificielle, c'est quelque chose que tu suis actuellement, j'imagine ?

  • Speaker #0

    Depuis le début. J'ai des Ausha GPT comme tout le monde, et je m'en sers quasiment tous les jours. Aussi bien pour revoir mes posts, parce que je ne lui demande pas les posts. Je me suis développé une méthode que j'ai partagée sur Wasquare. Apparemment, il y a d'autres personnes qui l'utilisent. C'est comment écrire des posts tous les jours. Ça, c'est la grosse problématique. Ma méthode, c'est tout simplement d'avoir mon iPhone sous la main en permanence, comme tout le monde. Dès que j'ai une idée qui me vient en tête, que ce soit sous la douche, n'importe où, je la note, tout simplement. Je lis un poste, tiens, telle chose, ou alors je me rappelle d'un souvenir par rapport à mon vécu dans les clubs, je le note. Et puis après, j'ai un tapis de marche, parce que je ne marche pas assez, parce qu'on doit marcher dans le bureau. Et donc, je marche et je réponds en dictée vocale à ma question. Comme ça, j'ai le texte qui est écrit. Après, je le reprends dans Google Docs pour le reformuler. Parce qu'évidemment, en dictée vocale, ce n'est pas parfait, même si c'est l'IA. Donc, je reformule les textes, je les découpe, je rajoute des listes à puces. Je transmets tout dans le chat GPT avec un script que j'ai récupéré sur un expert. Donc, en lui disant ce que je suis, quelle est mon activité, ma cible, etc. Donc, je suis ce programme avec d'abord la question, la participation, ainsi de suite. Et puis, il me fait le texte, il me formate tout avec les puces, tout ce qu'il faut. Et puis après, tout simplement, je lui demande de l'illustrer. Et puis, je n'ai plus qu'à partager en programmant, évidemment, sur l'Indé.

  • Speaker #1

    Tu penses que l'intelligence artificielle va révolutionner notre capacité à networker ? Toi qui es un peu le géotroufe-tout du web et du networking, tu penses qu'il y a des innovations qui vont arriver bientôt ?

  • Speaker #0

    Je ne sais pas trop parce qu'en fait, l'IA, ce qui est intéressant, vis-à-vis du networking, on est quand même dans le local. même s'il y a évidemment des networking virtuels, ou alors se retrouver avec des robots qui vont participer au networking. Alors, est-ce que c'est un plus ou un moins ? Je ne sais pas. Parce que déjà, on voit qu'il y a des communautés qui se créent, Instagram et autres, ça a des influenceurs en IA. C'est une catastrophe pour moi, dans le sens où tu suis les gens qui n'existent pas. D'ailleurs, j'ai vu un post récemment passer là-dessus, où la personne disait qu'il y a une IA qui te vend des voyages. Alors que le voyage, il faut le profiter, il faut le vivre. Là, l'IA, c'est te dire, suivez-moi, regardez tel lieu, allez dans tel hôtel, mais n'allez pas aller, elle n'a pas goûté la nourriture. Donc, c'est un peu bizarre. Et dans le networking, faire rentrer des IA, un peu comme les chatbots, qui répondraient à des questions, qui recommandaient des humains, c'est un peu difficile. Je ne sais pas ce que tu en penses, mais pour moi, ça ne va pas. Par contre, que l'IA nous aide à mieux communiquer, justement, à nous aider sur le pitch, à nous aider à parler des autres, mieux nous présenter. comme je disais tout à l'heure il y a certains secteurs d'activité qui ne savent pas communiquer l'IA peut énormément les aider pour les postes pour tout ce qui est communication externe oui après l'IA au sein d'un espace de networking ça j'ai des doutes

  • Speaker #1

    Bon, écoute, on arrive au terme de cette émission. Allez, encore deux questions pour la terminer. Maintenant que tu as vécu... Non, pardon. Comment on peut t'aider, Régis ? Qu'est-ce que tu cherches comme contact, comme mise en relation ?

  • Speaker #0

    Tous les groupes d'entrepreneurs, quels qu'ils soient. Inscrivez-vous sur Saréa et puis montrez-le à votre animateur, animatrice, responsable, la personne qui va pouvoir tester. Je vais faire des tests justement avec des clubs. Ils m'ont dit, on fait une visio, on regarde ensemble, on teste avec des membres et puis on voit si c'est intéressant ou pas. De toute façon, il faut tester, tout simplement. C'est pour ça que c'est gratuit, 0€ jusqu'à 15€ parce que c'est une motivation dans les deux sens. Si les autres participants ne rentrent pas dans le jeu, ce n'est même pas la peine de continuer.

  • Speaker #1

    Et maintenant que tu as vécu l'expérience du podcast, qui verrais-tu à ta place prochainement ?

  • Speaker #0

    Je vois très bien quelqu'un qui est hyper motivé et très actif, que je connais depuis le début de l'année, même si je le connaissais un peu avant. Parce que j'accompagne le SICFIC, le Syndicat des Consultants Formateurs Indépendants. Donc, ils regroupent tous les formateurs concernés par le réseautage, évidemment, parce que justement, les délégués régionaux ont à cœur la motivation de créer du networking local avec tous les formateurs de leur région. Et je pense qu'il faut que tu vois le président, donc Pascal Develay. qui vient de prendre la nouvelle présidence depuis le début de l'année et qui sera en plus qui a une action commerciale pour vraiment faire bouger les choses et comme c'est un syndicat professionnel attention ils veulent faire bouger les choses par rapport à l'état faire évoluer la profession ok super avec

  • Speaker #1

    plaisir écoute je te souhaite une belle fin de journée Régis à très bientôt merci à toi aussi et puis à bientôt et puis n'hésitez pas à aller découvrir ce que fait Régis Si vous consultez ce podcast sur les plateformes sociales, sur les Spotify, Deezer et compagnie, vous pouvez cliquer sur le lien pour découvrir le travail de Régis. Et si vous regardez ce live en direct, en rediffusion, n'hésitez pas par là à scanner le QR code. Et puis, n'hésitez pas aussi à vous abonner à l'émission et puis à partager aussi ce podcast dans votre réseau pour faire découvrir l'activité de Régis. Allez, à bientôt !

  • Speaker #0

    Au revoir, à bientôt.

Description

🎙️ Je reçois Régis Minot, inventeur génial qui a conçu l’outil Sarea qui facilite ton networking ! Véritable Géo Trouvetou du numérique, il partage son parcours d’inventeur web, de ses premières expériences dans le design produit à la création d’outils révolutionnant le réseautage et la gestion d’événements.


À travers des anecdotes, il nous raconte comment il a conçu Sarea, une plateforme qui aide les entrepreneurs et clubs d’affaires à maintenir le lien entre leurs membres et à optimiser leurs mises en relation. Passionné par la communauté et le partage, Régis dévoile également sa vision de l’avenir du networking à l’ère du digital et de l’intelligence artificielle.


Comment rester en contact avec chaque membre de son réseau local ? Comment utiliser les outils digitaux pour fluidifier les échanges et maximiser les opportunités ? Régis nous livre des stratégies concrètes et accessibles, prouvant que le réseautage efficace passe avant tout par des outils bien pensés et un véritable esprit collaboratif.


Extraits clés

  1. Une anecdote marquante :
    "J’ai lancé une communauté en ligne sur… les chinchillas ! 3 000 membres, des rencontres partout en France, des recommandations… C’était un vrai club d’affaires avant l’heure, mais pour les passionnés de rongeurs !"

  2. Un conseil inspirant :
    "Dans le réseautage, ma philosophie est simple : donne, patiente, donne encore… et peut-être que tu recevras. C’est en aidant les autres sans attente immédiate qu’on construit un réseau solide."

  3. Une technique de networking :
    "Le QR code est devenu un atout majeur en networking. Avec Saréa, on ne se contente pas d’échanger des cartes de visite : on garde une trace, on sait qui a consulté notre profil, et on peut relancer efficacement nos contacts."


👂Ecoute bien les questions que je pose à mon invité. Elles me permettront de mieux la connaître et d’apprendre à le recommander en tant que nouveau partenaire. 

🎧 Bonne écoute ! 🎧



📚 RESSOURCES

👐 LinkedIn de Régis Minot

🌐 Site web de SAREA


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Transcription

  • Speaker #0

    Rendez-vous,

  • Speaker #1

    le podcast qui fabrique et consolide votre réseau d'apporteurs d'affaires.

  • Speaker #0

    Bonjour Régis !

  • Speaker #1

    Bonjour Jean-Christophe !

  • Speaker #0

    Je suis ravi de t'avoir, on va passer 40 petites minutes ensemble. Je rappelle le concept de l'émission, il y a trois parties, il y a les mêmes quatre. il y aura d'abord ton pitch, ton fameux Elevator pitch, puis après on remontera un peu le temps tes premières expériences professionnelles tes études pour apprendre à te connaître ensuite tu auras ta carte blanche une minute qui va t'appartenir totalement qui en général n'est pas commentée et dans une dernière partie la plus longue du podcast le défi est comment aider notre réseau à nous suivre suivre notre actu, rester en contact, ne pas briser le lien, hyper important dans le monde du networking et de la vie en général. Tisser des liens puissants et apprendre à les entretenir grâce à tes solutions, on en parlera dans la dernière partie. Ok Régis, tu es bien installé, tout va bien ?

  • Speaker #1

    Oui, très bien.

  • Speaker #0

    Ok, et bien c'est parti, commence par te présenter. Allez, à toi Joey.

  • Speaker #1

    Donc je me présente comme inventeur web, c'est-à-dire que je propose des services web pour aider les entreprises. entrepreneurs pour faciliter leur réseautage et la promotion de leurs événements. Et à côté de ça, je développe pas mal de sites, de portails, d'applications web qui, certaines, justement, se transforment en services quand ça intéresse d'autres personnes.

  • Speaker #0

    Oui, tu es un peu le géo-trouve-tout. C'est exactement ça. C'est la ref.

  • Speaker #1

    En fait, je ne sais pas si tu as vu, Founder, qui raconte l'histoire du fondateur de McDonald's, et je le voyais avec ses appareils et tout, et je me disais, c'est ça maintenant, mon personal branding, si on peut dire. Parce que j'ai l'impression que j'ai une idée, je peux la développer, et puis le week-end suivant, ça y est, c'est dans la revue, ça sert, on teste, etc. Donc c'est vraiment ce que j'ai trouvé de mieux pour...

  • Speaker #0

    Je vous trouve tout, la bande à Picsou pour ceux qui n'avaient pas la ref. Alors, remontons un peu le temps, Régis, qu'est-ce que tu as fait comme études ? Tu as fait quel bac ?

  • Speaker #1

    Alors, bac F12, mais c'est vieux. J'ai une formation designer produit, en fait. Je suis dans l'artistique. même si c'est le développement aujourd'hui j'ai vraiment une formation artistique je dessinais en bac F12 on teste tout les matières tous les métiers architecte designer styliste la peinture à l'huile gouache tout y passe pour justement après savoir ce qu'on veut faire t'as vraiment ce côté créatif alors exactement c'est pour ça que quand je me et c'est pour ça je retrouve le terme avec l'inventeur dans le sens où j'ai envie de faire quelque chose je l'imagine je le réalise et l'avantage c'est que Le web, ça va beaucoup plus vite qu'avec du dessin, plus des maquettes, plus des moules, etc. On a une idée, la semaine suivante, on peut la tester.

  • Speaker #0

    Excellent. Quelles étaient tes études après ton bac ?

  • Speaker #1

    BTS d'esthétique industrielle, tout simplement. Puis après, j'ai fait un stage et puis j'ai tout de suite démarré dans la vie active parce qu'en fait, j'ai rejoint des personnes qui avaient monté une association et moi, j'étais à fond dans la 3D à l'époque. Donc, je les ai intéressés dans le sens où... Je participais à eux, ils avaient du graphisme, des pochettes de disques, on faisait des vidéos, un peu de tout. Et puis je faisais la 3D pour aussi bien des animations ou des objets, un monde tout.

  • Speaker #0

    C'est ce qu'on appelle l'impression 3D,

  • Speaker #1

    c'est ça ? Non, l'impression 3D c'est trop récent. Pour utiliser le terme d'origine, c'était l'image de synthèse. Je dessinais des meubles. du matériel industriel pour représenter ce qu'il en était parce que c'était plus compliqué de faire une photo que d'avoir un objet en 3D Et après,

  • Speaker #0

    quelles ont été tes différentes expériences ?

  • Speaker #1

    J'en ai eu plein, si on peut dire que de l'autre côté de l'Atlantique, j'ai eu pas mal d'expériences justement par rapport à ça, j'ai participé à des startups, donc avec les associés on a déjà démarré le premier magazine sur les sports mécaniques sur papier et CD-ROM, c'était la première fois on a été soutenu par Apple à l'époque on a... On avait un carrément un stand. Donc, laisser des ROMs, je ne sais pas si ça nous parle. On ne sait jamais. Ça ressemble à ça. Et justement, après, on a sorti le premier catalogue électronique. Donc ça, en vrai, c'est des ROMs du groupe Gilbert. Alors, c'est Fils Dépôt maintenant. Il y a eu plein de rachats. Donc, c'était 3000 références. Et il y avait la particularité qu'avaient développé mes associés, qui était la recherche au langage naturel. Par rapport à l'IA aujourd'hui, ça fait tellement ridicule. Mais je disais, je veux écrire sur un papier jaune et il me sortait le post-it. Voilà, tout simplement. Donc ça, c'était une innovation. Et puis après, je me suis retrouvé tout seul, on ne va pas rentrer dans le détail. Et j'ai créé RM Design, donc j'ai démarré avec des projets dans la santé. De toute façon, je travaille toujours dans la santé depuis 1998. Par la suite, j'ai retrouvé d'autres associés. J'ai développé le site topfolio.me, qui n'existe plus, qui était un portfolio en 2011 au lancement de l'iPad, qui était un portfolio à la fois on et offline, pour montrer dans une cave ce que tu montrais sur ton ordinateur, sur ton téléphone. Les gens avaient exactement la même chose. Ça, c'était une innovation, mais c'était un peu trop tôt. Et puis, il y a eu d'autres projets depuis, mais sinon, en 2015, on a lancé Flash et moi avec un partenaire. En fait, c'était l'équivalent, même si le nom ne va rien dire, c'était l'équivalent du Réseau Ciné, mais pour le théâtre, tout simplement. C'est-à-dire qu'on avait une page dans laquelle il y avait absolument tout, les témoignages, les avis, la vidéo, tout ce qu'il fallait pour présenter une pièce de théâtre. Pas le spectacle, pas le théâtre lui-même, mais chaque spectacle avait une page. Et on l'avait appelée Flash et moi parce que... On s'était vraiment mis en avance. C'était du QR code partout. C'est-à-dire qu'on avait la possibilité de savoir si la personne avait flashé dans les toilettes, dans l'entrée, dans le métro, à la colonne Maurice, n'importe où, et justement d'avoir quelques pas en retour sur investissement en se disant, tiens, telle affiche, ça vaut le coup. Après, c'était, je le dis, vraiment trop tôt. Donc malheureusement, ça s'est arrêté. Et puis après, j'ai participé à une startup sur le handicap. C'est-à-dire que cause handicap, c'était... Un outil que j'ai totalement refondu, qui était destiné aux référents handicap dans les entreprises, pour justement les accompagner et identifier les personnes qui étaient concernées, donc essentiellement du handicap invisible, et les aider à faire un dossier pour être reconnus pour la suite. Puis ça, avec les associés, ça s'est arrêté, je me suis retrouvé tout seul. Et j'ai lancé Meeting Pack, donc c'est parti d'une idée. Je disais tout à l'heure promotion des événements, c'est-à-dire que c'est un outil qui va permettre de faire la promotion dans le sens où c'est une... page, comme on voit sur d'autres sites, gratuits ou en mode premium, c'est d'avoir une page enrichie dans laquelle on peut présenter les speakers, le lieu, le programme, tout ce qu'on veut. Et après l'événement, parce que ça peut être du présentiel ou du virtuel, on va fidéliser les participants avec un espace sécurisé, dans lequel on va retrouver les replays, les informations, tout ce qui va être diffusé, mais uniquement sur place. Comme ça, ça va permettre de créer justement du réseautage, parce que les participants peuvent échanger entre eux. Ça m'a permis d'ailleurs de rencontrer lors d'Interclub des gens que je n'avais pas pu voir sur le moment. Donc, je les ai relancés par la suite. Et puis, en 2022, j'étais dans un club d'affaires et j'ai conçu Sarrea parce qu'il y avait un vrai besoin.

  • Speaker #0

    On en parlera. Et puis,

  • Speaker #1

    il y a encore eu d'autres choses, mais on va s'arrêter là parce que sinon…

  • Speaker #0

    Tu es vite basculé du côté entrepreneur. Tu étais salarié en même temps.

  • Speaker #1

    Je n'ai jamais été salarié. Quasiment pas, parce que j'ai juste fait un stage. Après, j'étais en association avec les autres. Et puis, non, j'ai toujours été entrepreneur. J'étais associé au début, évidemment. Mais au début, j'étais entrepreneur avec les autres, en étant co-gérant. Et puis après, j'ai tout de suite basculé en étant tout seul. J'ai eu des associés, je suis revenu tout seul. Parce que c'est pas que ça se passait mal, mais il y a eu différentes circonstances. Donc voilà. Et puis aujourd'hui, ça va très bien. Et j'ai tout un réseau autour de moi qui me permet de répondre à un maximum de demandes. aussi bien en direct ou avec des agences. Et puis, via les services, ça me permet justement de toucher d'autres populations ou cibles que je n'aurais pas en direct si j'étais sous-traitant.

  • Speaker #0

    Rendez-vous,

  • Speaker #1

    le podcast.

  • Speaker #0

    Alors, il est temps de passer à ta carte blanche, Régis.

  • Speaker #1

    Alors la carte blanche, je vais te faire rire, en tout cas j'espère, c'est qu'en 2000, j'avais envie d'apprendre le PHP, j'étais déjà passé dans le Flash avant, dans le Flash maintenant on a un peu oublié, parce que j'ai fait beaucoup de Flash, parce qu'à l'époque des CD-ROM c'était Macromag Director, c'est encore plus vieux mais c'était après le Flash, et donc j'ai voulu me lancer dans le PHP, alors c'était vraiment le début, il n'y avait même pas de WordPress à l'époque, et j'ai lancé la communauté ChichiWeb, et la communauté ChichiWeb c'était la communauté... C'était des maîtres de chinchilas. Le chinchila avait pas mal de succès à l'époque. Malheureusement, ça a perdu sa valeur. Donc, c'est pour ça que j'ai envie de le relancer cette année. L'opportunité pour ça. Alors, c'était un truc vraiment... Un club, une communauté vraiment particulière. Bon, il était 3000, donc je faisais le ménage. C'était là, peut-être, s'il y avait des gens qui n'étaient pas là, je les virais, tout simplement. Donc, c'était vraiment 3000 actifs. Et c'était vraiment une communauté. La particularité, c'est que c'était les chinchilas qui avaient la parole. C'est-à-dire que quand tu t'inscrivais, tu t'inscrivais au nom du chinchilla, donc le petit rondeur qui tient tout, qui mange toute la nourriture, et tout le monde se tutoyait, tout le monde échangeait. Alors ça allait plus loin, c'est-à-dire qu'on était déjà dans le parti club d'affaires, si je peux dire, c'est qu'on faisait des chichidés, des chichinites, on se retrouvait au resto, j'ai été invité à Nice, on était invité dans toute la France, c'était vraiment, on sauvait des chinchillas, c'était du délire. Et j'ai même contacté le plus grand éleveur d'Europe, c'est pour ça qu'après j'ai fait une boutique. Quand je lui ai écrit, je l'ai écrit de la part de Snoop et Tofu. Donc, je suis débarqué là-bas et il m'a pris pour un fou. Après, il a vu que c'était tous les deux, c'était un couple normal. Mais il nous l'a dit après, il nous a vraiment pris pour des fous. C'est vrai que ça allait te faire rire.

  • Speaker #0

    Et cette communauté, elle était sur quel support ? Quelle plateforme ?

  • Speaker #1

    C'était PHPNUC.

  • Speaker #0

    C'était un site web que tu avais conçu ?

  • Speaker #1

    Non, non, je n'avais pas conçu. C'était un outil comme on a au WordPress aujourd'hui. C'était à la partie forum, à la partie… En fait, c'était l'équivalent d'un outil communautaire. C'était plus évolué que Facebook, même à l'époque. Mais tu faisais ce que tu voulais, tu rajoutais des modules, tu les développais. Donc, j'avais fait une carte où on voyait tous les chinchis d'art dans toute la France. J'avais une en-cito-chichi, donc il y avait des en-cito-pédis. J'avais carrément 20 personnes, des marraines, parce que c'était essentiellement des femmes. qui m'entouraient et qui accompagnaient. C'est-à-dire que quand tu arrivais sur la communauté, tu étais accompagné, on te guidait, tu étais pris en charge. C'était une vraie communauté. Donc, il y avait de tout, des interviews. Il y avait la totalité de ce que tu peux trouver aujourd'hui sur le réseau, mais dans une communauté dédiée aux fans. Eh bien,

  • Speaker #0

    ok, super. Merci, merci Régis. Et n'hésite pas à expliquer, tu sais, je parlais de PHP, de...

  • Speaker #1

    Excuse-moi, mais j'évite les acronymes parce que sinon on ne comprend rien.

  • Speaker #0

    N'hésite pas à expliquer un petit peu rapidement ce que c'est à chaque fois.

  • Speaker #1

    Tout à fait. PHP, c'est un langage qu'on a derrière WordPress, l'utilisent de PHP, par exemple. Mais tous les outils CMS, essentiellement, sont sur PHP. La majorité des sites, après, il y a d'autres langages, mais c'est du courant.

  • Speaker #0

    Maintenant, on va passer au défi. On donne à ceux qui nous regardent ou à ceux qui nous écoutent comment suivre l'actualité, mais avant, pour rester en contact avec chaque membre de son réseau local, Mais avant, il faut qu'on parle un petit peu de Régis et du réseautage en lui-même, des clubs d'affaires, parce que tu documentes beaucoup sur LinkedIn et on invite d'ailleurs ceux qui nous écoutent à aller cliquer pour découvrir ton profil LinkedIn ou à flasher le QR code pour aller découvrir ce que tu fais. Donc tu partages beaucoup dans tes posts, très souvent des expériences, en club d'affaires notamment. Comment tu as découvert le monde du networking ? C'était dans quel contexte ?

  • Speaker #1

    Alors, évidemment, c'était ChichiWeb dont je viens de parler. C'était une communauté que j'ai créée. Ça, c'est différent, parce que c'est déjà du réseautage, en quelque sorte, parce que j'ai encore des contacts avec des gens de l'époque. Et quand on en reparle, ils se rappellent. Mais sinon, après, ce qui s'est passé, c'est que même si j'ai toujours été dans l'esprit communautaire et toujours à recommandations, à transmettre, à essayer. Dès que j'ai quelqu'un, je le fais travailler dans mon réseau. J'ai rentré dans une nouvelle agence, j'ai fait rentrer des graphistes. Ça, ça a toujours été un état d'esprit. Normalement, ma philosophie, de toute façon, c'est donne, patiente. donne encore, peut-être tu recevras. Donc ça, ça a toujours été mon état d'esprit. Et vis-à-vis de ça, il y a quelques années, une partenaire que j'ai connue dans un espace de coworking, parce que j'ai passé quelques années dans un espace de coworking, c'est comme ça que j'ai connu justement un startup, cause handicap, cette personne me disait, tiens, je vais monter un club, donc Protein pour les citer, et ça serait bien que tu viennes voir. Donc je n'étais vraiment pas très attiré au départ, j'y suis allé pour voir. Et j'ai vraiment été fan de l'état d'esprit où on démarrait 11h30, on échangeait tout, il y avait un pitch et puis après on mangeait ensemble. Après le repas, j'ai tout simplement signé. J'ai démarré comme ça pendant des années. J'ai même invité d'autres personnes, j'ai fait entrer des membres dans le club. Tout a très bien fonctionné. Et un jour, je me suis dit, avant Sarvea, donc l'outil dont je vais vous parler, c'était d'abord un tableau dans le sens où la question des clubs, c'est qu'est-ce que je vais pouvoir dire sur les autres. parce qu'on n'est pas là pour faire... Même si dans certains clubs comme BNZ, c'est très militaire, très scolaire, Protein, c'est plus souple, justement. On n'est pas là pour vendre les autres. Quand tu vas dans un club, tu n'as pas envie de prendre des notes, de savoir ce que fait l'autre. Tu n'es pas là pour vendre. Tu es là pour... Sans parler de te vendre toi, tu es là pour échanger, pour communiquer, recommander, mais de façon opportuniste. Donc, la question, c'est de savoir comment tu vas pouvoir, dans un cocktail, raconter que, tiens, il y a un tel qui est intéressé... qui pourra être aidé parce que tes enfants vont quitter le foyer ou alors tes parents vont en maison de retraite ou je ne sais quoi. Donc, j'avais fait un tableau qui a bien plu. Malheureusement, on n'a pas été rempli, dans lequel je disais, chacun, par rapport aux différentes cibles, famille, entreprise. tout ce qui est possible, vous dites ce que vous pouvez faire. Comme ça, on remplit tous et puis on arrive à savoir avant de partir dans un club, qu'est-ce que je vais pouvoir raconter, si on m'en parle, quelque chose d'approprié.

  • Speaker #0

    Après, je te coupe, mais tu reprendras. Pour que ceux qui nous écoutent comprennent un peu les enjeux, c'est vrai que quand on est dans une communauté, dans un club d'affaires, si on veut que les membres apprennent à se connaître mieux, si on leur donne des outils aussi pour se recommander, Et l'important est d'avoir de la matière pour parler efficacement de nos différents interlocuteurs. C'est ça l'idée en club d'affaires. Ce qu'on cherche, c'est aussi à former nos interlocuteurs pour qu'ils puissent parler de nous efficacement. Et cette situation est longue avant d'arriver à ce que chacun des membres puisse pitcher les uns et les autres. Donc c'est dans ce contexte qu'on... On essaye de trouver des outils facilitants pour aider les membres à se recommander efficacement.

  • Speaker #1

    Exactement. Et justement, le fait est que tu ne vas pas prendre une note parce que dans les clubs, la plupart du temps, les gens se présentent, pas seulement le pitch, c'est-à-dire qu'on a le pitch la plupart des sessions, des réunions, mais on a en plus des présentations un peu plus complètes. Ça peut être un quart d'heure, une demi-heure selon les clubs où là, il y a vraiment quelqu'un qui va s'exposer, qui peut faire une conférence, un atelier, je ne sais quoi. Encore une fois, même si c'est super intéressant, il y a certains métiers qui sont vraiment un peu plus techniques que d'autres. Et puis, il y a aussi des secteurs d'activité où les gens ne savent pas forcément communiquer parce qu'ils n'ont pas été formés pour. Je pense aux avocats, aux notaires, aux comptables. Ça rentre tout de suite dans la technique. Et toi, quand tu n'es pas dans le secteur, tu es un peu perdu. Et comment tu vas pouvoir aller en reparler pour la suite, c'est un peu difficile.

  • Speaker #0

    Oui, donc un outil facilitant cette prise de note, avoir toutes les informations à disposition.

  • Speaker #1

    Exactement. Et le principe, c'est pour ça que j'ai eu l'idée de Saria. Alors Saria, c'est un nom que j'ai trouvé parce que j'ai cherché un peu le terme réseau dans différentes langues et je l'ai trouvé en basque. Je trouve que c'est facile à retenir. J'ai mon Saria, ton Saria, je te le partage. Et le principe, c'est de se dire, entre les deux semaines, justement, entre les deux réunions, deux choses qui m'intéressent, c'est l'actualité de l'autre. Il y en a un qui est passé dans notre club à la télé, ça serait bien de le savoir, parce que comme ça, quand je vais être dans un cocktail, je vais pouvoir en parler. Et puis, l'autre point, et puis surtout le fait est qu'à côté de l'actualité, aujourd'hui, il y a les posts LinkedIn, donc LinkedIn ou d'autres réseaux sociaux. Et puis, la plupart du temps, les gens ont un site Internet qu'ils ne savent pas forcément maintenir selon la taille de l'entreprise, selon les compétences ou je ne sais quoi. Et ils ont besoin, sur leur téléphone, d'avoir quelque chose d'un peu plus sophistiqué que juste un linktree, c'est-à-dire un site dans lequel il y a des liens ou un profil LinkedIn qu'ils ne vont pas forcément mettre à jour ou avec d'autres particularités. Donc, le principe de Saréa, c'est que je vais présenter d'abord la personne parce que je recommande une personne, ce qui fait que je l'ai encore vécu la semaine dernière dans un club, dans une soirée networking. La femme qui avait justement son Saréa a sorti son téléphone plutôt que donné sa carte. et a fait flasher, ça avait la personne qui avait l'emphase qui a récupéré tout de suite les coordonnées. Donc, elle avait les coordonnées, mais elle a pu avoir la personne et derrière, son entreprise, évidemment, et il y a tous les liens comme sur d'autres sites, d'autres cartes de visite. Alors, l'avantage, c'est qu'il n'y a pas de NFC. On peut utiliser avec n'importe quel téléphone. Il faut juste un QR code. Comme je l'ai dit tout à l'heure, j'ai un sacré parcours dans le QR code, mais avec le COVID maintenant et les repas, tout ce qu'on voit dans les restaurants, tout le monde est adepte du QR code. Rendez-vous le podcast.

  • Speaker #0

    C'est intéressant ce que tu dis sur le QR code parce que c'était un peu une innovation un peu vieillissante, un peu désuète et qui a été remise complètement au goût du jour grâce à la crise sanitaire. Tu as une explication là-dessus ?

  • Speaker #1

    Déjà, c'est très très vieux parce que c'est Toyota qui l'a lancé, je ne sais plus quelle année, mais je crois que c'est dans les années 90. A l'origine, c'était fait pour référencer les pièces de mécanique pour la traçabilité. Il y avait le QR code sur les pièces et comme ça, ça permettait d'identifier l'origine. Et après, il y a très peu de gens qui s'en sont réveillés. Je l'ai vécu avec Flash et moi, typiquement, on avait une affiche où en fait, ils avaient mis le QR code en bas et c'était masqué par le cadre. Donc, il y a eu pas mal, j'ai testé aussi pas mal de QR code où en fait, ça renvoyait. Ce n'est pas drôle, mais les opérations qui étaient... peu importe le sujet, renvoyer sur des sites pornos, par exemple. Ça, c'est très mauvais. Il y avait eu des diffusions de plaquettes, de flyers, où en fait, le QR code ne fonctionnait pas. Donc, ça a pu détériorer l'image. C'est clair, quand on ne fait pas attention, quand on imprime et on ne teste pas, ça, c'est très important. Le QR code aussi, c'est gratuit déjà. Et puis, tu peux avoir des sites qui vont te le proposer. À ce moment-là, c'est du dynamique. C'est-à-dire qu'on a un lien qui est fixe. Mais ça ne renvoie pas sur le site définitif, ce qui permet justement d'avoir une traçabilité, de se dire, tiens, il y a eu tant de flashages parce qu'on ne va pas aller sur le site, mais on va passer par un lien intermédiaire, un peu comme les raccourcis URL. C'est-à-dire que je flash, je vais sur le site A, qui va me renvoyer sur le site B. Ce qui est le cas de CRR, ça te permet justement de savoir, de changer à n'importe quel moment, même si c'est un seul QR code.

  • Speaker #0

    N'hésitez pas d'ailleurs à le scanner, le QR code.

  • Speaker #1

    Oui, bien sûr. Comme ça, vous pouvez vous inscrire, vous pouvez découvrir Saraya et puis vous inscrire et l'utiliser tout de suite et en profiter. Parce que Saraya, ça peut servir, tout d'abord, c'est un annuaire pour les groupes d'entrepreneurs. Groupe, c'est pour ça que j'utilise le terme. Ça peut être des clubs d'affaires, des assos locales, un espace de coworking, c'est aussi très utile. Voir un club sportif, quel que soit le type de sport. Le but, c'est d'échanger et d'aller un peu plus loin que la carte de visite. La carte de visite, malheureusement, selon les personnes, je la prends et je la mets dans un coin. Je ne vais pas forcément reporter toutes les informations, même si ça peut être très facile. Et puis, si j'utilise des cartes digitales, c'est pareil. S'il n'y a pas forcément toutes les informations, là, j'ai un site qui peut être tout le temps mis à jour parce que ça marche aussi bien sur ordinateur que sur téléphone dans les mêmes circonstances. Et quand je parle de groupe, la problématique de tous les groupes d'entrepreneurs, c'est que les gens remplissent leur fiche. Je suis dans un énorme réseau, là, par exemple, qui a 750 membres. et en fait il n'y a que 250 fiches qui sont visibles parce que les gens ne remplissent pas parce que quel que soit leur réseau la problématique c'est qu'il faut travailler c'est à dire qu'on me demande de remplir une fiche une énième fiche, il va falloir que j'aille copier ce que j'ai mis sur LinkedIn pour le remettre sur le club que je modifie c'est un travail, c'est un travail supplémentaire donc pourquoi j'irais m'embêter pour un club alors que j'ai déjà mon fiche LinkedIn j'ai mon site, ils ont juste à aller voir mon lien prendre ma carte et puis c'est fini alors qu'avec Serria en fait je vais travailler pour moi puisque c'est ma carte de visite c'est mon profil donc je ne vais pas le faire pour les autres je vais d'abord le faire pour moi et les autres vont en profiter c'est ça le printemps c'est l'inverse de l'empathique c'est d'abord moi et les autres après mais tout le monde en profite ça réa ça remplace une carte de visite digitale tu crois ou ça la complète ? alors ça la remplace dans le sens où le but n'est pas que ça soit sur le web c'est que c'est vraiment du local même si techniquement ça peut évidemment être accessible par le web Mais le but, c'est vraiment, je suis dans une soirée, je fais flasher, la personne a toutes les informations. En plus, elle peut même récupérer ma V-card, donc stocker directement l'ensemble des informations sur son téléphone. Comme ça, il n'y a même pas de souci.

  • Speaker #0

    Donc, c'est complémentaire. En fait, c'est aussi une V-card quelque part.

  • Speaker #1

    Voilà, tout à fait. Et puis, avec l'historique, on sait qu'elle l'a dans son historique. Donc, ça ne va pas disparaître.

  • Speaker #0

    Ce qui est super intéressant, c'est qu'on a vu ça avec l'arrivée de la carte de visite digitale, c'est qu'on peut faire vivre des expériences incroyables en réseautage physique. Je m'explique. Qu'est-ce qui se passe avec les cartes de visite papier ? Les cartes de visite papier, ça reste aussi, je pense, quand même important d'en avoir quelques-unes de haute qualité dans son portefeuille parce que ça peut quand même continuer à être très utile dans certains cas. OK, on a sa carte de visite digitale ou on a sa réa, mais pourquoi pas, à l'occasion, dans un ascenseur, filer sa carte de visite ou récupérer celle de quelqu'un quand on n'a pas trop le temps d'échanger. Ça peut nous sauver la vie. Mais là où je voulais en venir, c'était vraiment cette faculté derrière de montrer un outil comme sa réa et de faire vivre en réseautage une expérience. C'est-à-dire, comme tu l'as expliqué, les gens qu'il y a dans mon réseau, tiens, tu devrais... tu devrais contacter un tel de ma part, est-ce que tu veux que je vous connecte ? Ce genre de choses qui, avec une carte de visite papier, n'est pas possible. C'est-à-dire, ah bah tiens, je te donne la carte d'un tel, etc. Donc on a l'occasion, souvent en réseautage, on va d'un contact à un autre, on n'a pas forcément le temps d'approfondir, mais on peut aussi se souvenir plus facilement de la personne parce qu'elle nous a montré son carnet d'adresse. C'est aussi comme ça que tu le penses en réseautage physique.

  • Speaker #1

    Tout à fait. Il y a deux points. Déjà, un, la carte de visite, quand tu la donnes, tu ne sais pas trop ce qu'elle va devenir. Sauf si la personne ne te rappelle, évidemment. Avec Saria, tu as la traçabilité dans le sens où à chaque fois que la personne va revenir sur ton Saria, tu vas avoir une trace dans la base. Donc, tu auras un historique, ce qui fait que le lendemain matin, si justement elle va voir ta page, tu pourras la rappeler ou peu importe l'occasion. Mais en tout cas, tu as un suivi de ta carte, de ce que tu as transcrit. Et l'autre point, c'est que si tu recommandes le Saria d'un autre, c'est pareil, il va savoir ce qui s'est passé, donc ça sera plus facile pour lui de se dire, tiens, en définitive, effectivement, la personne est allée voir mon profil, ça vaut le coup, je la rappelle. Alors que dans une carte de visite, quel que soit le support, même des liens, parce que même les cartes digitales ou les liens raccourcis, tout ce qu'on peut trouver, en fait, on sait que les gens sont allés sur LinkedIn, mais ça s'arrête là. il n'y a pas de suivi. Donc là, on a vraiment, c'est ce qu'on faisait sur Flash et moi, justement, c'est quand on regardait un spectacle, on avait un peu l'équivalent d'un Google Analytics précis pour chaque utilisateur. Donc, on pouvait dire, tiens, l'avis, il est intéressant, le témoignage, ça vaut le coup, etc. Et en plus, une traçabilité de l'un à l'autre, c'est-à-dire que quand je transmettais le Flash et moi à un tiers, il y avait encore le suivi. Et donc, dans Saria, je recommande, je me fais recommander et je vais savoir ce qui se passe. pour pouvoir mieux relancer les gens. Ce que je propose pas mal dans tout ce que je développe, c'est la préparation d'un rendez-vous commercial. C'est-à-dire qu'il y a dans un premier temps un formulaire très basique pour qu'on ait juste le nom, le prénom, entreprise, téléphone, pour que tu puisses te rappeler les gens. Et si tu poses des questions qui vont te permettre d'avoir des réponses, voire de préparer ton entretien en ayant des démos sous la main, c'est un peu plus impactant, je dirais, pendant le rendez-vous parce que tu sais tout de suite quoi lui montrer. Tu n'as pas à chercher... Tiens, il a fait tel secteur d'activité, je vais lui montrer un comparatif.

  • Speaker #0

    Au niveau du modèle économique, comment ça fonctionne, ça réale ?

  • Speaker #1

    C'est zéro frais pour les individus, pour n'importe qui, toi, moi, n'importe quel entrepreneur. Et c'est le club qui va payer. C'est-à-dire qu'à partir de 15 membres, donc tous les clubs, asso, n'importe quoi, n'importe quel type de groupe, en dessous de 15 personnes, c'est zéro frais. Et puis, dès qu'il y a une quinzième personne qui rentre dans le groupe, à ce moment-là, ils ont un abonnement selon des tarifs qui évoluent, avec paiement à l'année où on va gagner deux mois de plus, ou sinon c'est revu à tous les mois, tous les mois, tous les ans, selon la taille du groupe.

  • Speaker #0

    Et pourquoi tu as choisi de commercialiser ça uniquement au club d'affaires et pas au réseauteur en tant qu'individu ?

  • Speaker #1

    Alors ça, j'étais parti justement sur le réseauteur, parce que j'avais été parti sur la recommandation au départ, et je suis très bien coaché. par Pascal Percheron.

  • Speaker #0

    Salut Pascal !

  • Speaker #1

    Qui est ma conseiller de remarquement modèle. Il a tout à fait raison. En fait, les entrepreneurs vont devenir des ambassadeurs parce que quelque part, quelqu'un qui est dans un club, il peut l'être dans un autre, ce qui est mon cas. Il peut l'intéresser. Et puis, le club sportif, c'est un club supplémentaire. Et la plupart des entrepreneurs, je l'espère pour eux, sont aussi dans les clubs sportifs parce qu'il faut vraiment avoir un... Il y a un corps en bonne santé. Je ne vais pas entrer dans une autre application que j'ai développée parce que c'est un autre univers. Mais c'est bien d'être dans différents clubs. Et justement, l'ambassadeur, notre entrepreneur, va pouvoir communiquer en montrant sur Savara. Parce qu'il y a aussi dans Savara, le groupe en lui-même. C'est-à-dire que j'ai les autres membres de mon réseau, de mon club d'affaires, mon espace de co-op, mais je peux rajouter d'autres personnes. Donc, mon plombier, mon voisin. n'importe qui que j'ai envie de recommander parce que c'est pas seulement mon groupe je voudrais bien avoir des gens qui ne veulent pas rentrer dans le groupe ou qui ne sont pas disponibles mais que j'ai quand même envie de présenter lors de soirées de networking rendez-vous

  • Speaker #0

    le podcast alors tu peux nous en dire juste sans trop détailler t'as d'autres applis dans l'univers du networking

  • Speaker #1

    Ce n'est pas forcément le networking, bien que ce soit quand même pensé pour. C'est-à-dire que j'ai démarré un programme d'accompagnement. Pour les cités, ce n'est pas Pineshape, parce que je ne suis pas pâte de fille. Et avec le temps, il y a certaines formes qui apparaissent, même si je ne suis pas devenu énorme. J'ai quand même permis du poids grâce à eux. Et surtout, ce que j'ai apprécié, c'est l'académie, dans le sens où on apprend à comment mieux se nourrir, comment mieux vivre, pour justement aller jusqu'à la mort, évidemment. Et donc ce programme, sans entrer dans le détail, me demandait de remplir un tableau, et puis moi ça ne me convenait pas. Et puis quand on est dans les forces, je me dis que c'est vraiment très difficile de se rappeler ce qu'on est en train de faire. De dire, tiens, je vais noter 10, je vais noter ça, etc. Ton cerveau est ailleurs. Bon, maintenant ça va un peu mieux, mais au début c'était très difficile. Il y avait ça, et puis toute la journée on te demande de boire 2 litres d'eau, alors c'est une horreur, donc il faut noter. J'ai fini par noter au début dans un iPhone et puis après, je me suis dit, bon, je vais développer. Et puis, une semaine plus tard, j'ai lancé une application que j'ai conçue. Et puis, toutes les semaines, je la faisais évoluer au fur et à mesure. Et puis, un mois plus tard, j'ai lancé My Body Club, si ça m'intéresse des gens, qui permet de s'occuper à la fois de l'alimentation, des exercices physiques, tout ce qui concerne la journée. L'hydratation, la marche, le sommeil, tout, on note tout. Et puis après, en un clic, je renvoie tout dans le tableau qu'on m'a demandé. Et ça me permet de voir tous les jours ce qui se passe, d'avoir un suivi. Après, tu partages à ton coach. Et alors, si je parle de réseautage, c'est que l'idée derrière tout ça, c'est de se dire qu'un peu comme dans les clubs, la différence dans les clubs d'affaires, c'est qu'on est tous là justement pour avoir une mixité, pour avoir un mélange.

  • Speaker #0

    de profession qui vont faire que tu vas recommander des gens que tu n'aurais pas dans ton quotidien. Donc le notaire, tu n'en as pas, mais par contre là, tu en as un et justement, tu ne vas pas réduire ta famille. Par contre, dans le cas de la santé, des efforts physiques, des contraintes, c'est différent dans le sens où tu peux difficilement t'identifier à quelqu'un qui n'a pas du tout la même classe sociale, le même revenu, les mêmes contraintes. Si tu as des enfants bas âge alors que tu as des majeurs, tu ne peux pas leur parler de la même façon, tu ne vas pas leur dire… Moi, je m'occupe la nuit, alors qu'eux, ils ne peuvent pas, ils sont en train de changer les couches, ou je ne sais quoi. Donc, l'idée derrière MyBodyClub, c'est pour ça que je l'ai appelé club, c'est que quand il y aura pas mal de monde, je puisse créer des micro-communautés où on a des gens qui se ressemblent. Pour qu'ils puissent se dire, tiens, j'ai fait ça, tu pourrais le faire, parce qu'on est dans les mêmes circonstances pour agir de la même façon.

  • Speaker #1

    C'est intéressant tout ce que tu dis, tout tourne chez toi, il y a une grande appétence pour les communautés. Qu'elle soit virtuelle, qu'elle soit physique. Quelque part, au cœur du web, dans les premiers forums qu'il y a pu avoir il y a 25 ans, peut-être plus, il y avait cet esprit communautaire fort. Je sais que dans les développeurs notamment, il y a des communautés en ligne où il y a beaucoup d'entraide. Ils partagent des expertises techniques, ils s'entraident pour coder, des choses comme ça. Donc, les réseaux sont aussi au cœur du web, mais au cœur de l'individu et au cœur des humains.

  • Speaker #0

    Ah, tout à fait. C'est ça qui est génial avec le web. Et alors maintenant, c'est encore mieux. Justement, j'ai vu un post hier sur l'IA par rapport au diplôme. Et on le sait déjà, à l'AMIT, il y a différentes universités américaines qui diffusent tout en ligne. Donc, n'importe qui dans le monde peut suivre les cours, peut avoir les informations. Et le web, c'est extraordinaire pour ça. Maintenant, il y a l'IA, mais avant, je ne savais pas faire. J'allais chercher, il y avait plein de forêts. Je posais des questions et tu avais les réponses. Et c'est contributif, participatif. Tout le monde échange sans avoir de demande en retour.

  • Speaker #1

    Et l'intelligence artificielle, c'est quelque chose que tu suis actuellement, j'imagine ?

  • Speaker #0

    Depuis le début. J'ai des Ausha GPT comme tout le monde, et je m'en sers quasiment tous les jours. Aussi bien pour revoir mes posts, parce que je ne lui demande pas les posts. Je me suis développé une méthode que j'ai partagée sur Wasquare. Apparemment, il y a d'autres personnes qui l'utilisent. C'est comment écrire des posts tous les jours. Ça, c'est la grosse problématique. Ma méthode, c'est tout simplement d'avoir mon iPhone sous la main en permanence, comme tout le monde. Dès que j'ai une idée qui me vient en tête, que ce soit sous la douche, n'importe où, je la note, tout simplement. Je lis un poste, tiens, telle chose, ou alors je me rappelle d'un souvenir par rapport à mon vécu dans les clubs, je le note. Et puis après, j'ai un tapis de marche, parce que je ne marche pas assez, parce qu'on doit marcher dans le bureau. Et donc, je marche et je réponds en dictée vocale à ma question. Comme ça, j'ai le texte qui est écrit. Après, je le reprends dans Google Docs pour le reformuler. Parce qu'évidemment, en dictée vocale, ce n'est pas parfait, même si c'est l'IA. Donc, je reformule les textes, je les découpe, je rajoute des listes à puces. Je transmets tout dans le chat GPT avec un script que j'ai récupéré sur un expert. Donc, en lui disant ce que je suis, quelle est mon activité, ma cible, etc. Donc, je suis ce programme avec d'abord la question, la participation, ainsi de suite. Et puis, il me fait le texte, il me formate tout avec les puces, tout ce qu'il faut. Et puis après, tout simplement, je lui demande de l'illustrer. Et puis, je n'ai plus qu'à partager en programmant, évidemment, sur l'Indé.

  • Speaker #1

    Tu penses que l'intelligence artificielle va révolutionner notre capacité à networker ? Toi qui es un peu le géotroufe-tout du web et du networking, tu penses qu'il y a des innovations qui vont arriver bientôt ?

  • Speaker #0

    Je ne sais pas trop parce qu'en fait, l'IA, ce qui est intéressant, vis-à-vis du networking, on est quand même dans le local. même s'il y a évidemment des networking virtuels, ou alors se retrouver avec des robots qui vont participer au networking. Alors, est-ce que c'est un plus ou un moins ? Je ne sais pas. Parce que déjà, on voit qu'il y a des communautés qui se créent, Instagram et autres, ça a des influenceurs en IA. C'est une catastrophe pour moi, dans le sens où tu suis les gens qui n'existent pas. D'ailleurs, j'ai vu un post récemment passer là-dessus, où la personne disait qu'il y a une IA qui te vend des voyages. Alors que le voyage, il faut le profiter, il faut le vivre. Là, l'IA, c'est te dire, suivez-moi, regardez tel lieu, allez dans tel hôtel, mais n'allez pas aller, elle n'a pas goûté la nourriture. Donc, c'est un peu bizarre. Et dans le networking, faire rentrer des IA, un peu comme les chatbots, qui répondraient à des questions, qui recommandaient des humains, c'est un peu difficile. Je ne sais pas ce que tu en penses, mais pour moi, ça ne va pas. Par contre, que l'IA nous aide à mieux communiquer, justement, à nous aider sur le pitch, à nous aider à parler des autres, mieux nous présenter. comme je disais tout à l'heure il y a certains secteurs d'activité qui ne savent pas communiquer l'IA peut énormément les aider pour les postes pour tout ce qui est communication externe oui après l'IA au sein d'un espace de networking ça j'ai des doutes

  • Speaker #1

    Bon, écoute, on arrive au terme de cette émission. Allez, encore deux questions pour la terminer. Maintenant que tu as vécu... Non, pardon. Comment on peut t'aider, Régis ? Qu'est-ce que tu cherches comme contact, comme mise en relation ?

  • Speaker #0

    Tous les groupes d'entrepreneurs, quels qu'ils soient. Inscrivez-vous sur Saréa et puis montrez-le à votre animateur, animatrice, responsable, la personne qui va pouvoir tester. Je vais faire des tests justement avec des clubs. Ils m'ont dit, on fait une visio, on regarde ensemble, on teste avec des membres et puis on voit si c'est intéressant ou pas. De toute façon, il faut tester, tout simplement. C'est pour ça que c'est gratuit, 0€ jusqu'à 15€ parce que c'est une motivation dans les deux sens. Si les autres participants ne rentrent pas dans le jeu, ce n'est même pas la peine de continuer.

  • Speaker #1

    Et maintenant que tu as vécu l'expérience du podcast, qui verrais-tu à ta place prochainement ?

  • Speaker #0

    Je vois très bien quelqu'un qui est hyper motivé et très actif, que je connais depuis le début de l'année, même si je le connaissais un peu avant. Parce que j'accompagne le SICFIC, le Syndicat des Consultants Formateurs Indépendants. Donc, ils regroupent tous les formateurs concernés par le réseautage, évidemment, parce que justement, les délégués régionaux ont à cœur la motivation de créer du networking local avec tous les formateurs de leur région. Et je pense qu'il faut que tu vois le président, donc Pascal Develay. qui vient de prendre la nouvelle présidence depuis le début de l'année et qui sera en plus qui a une action commerciale pour vraiment faire bouger les choses et comme c'est un syndicat professionnel attention ils veulent faire bouger les choses par rapport à l'état faire évoluer la profession ok super avec

  • Speaker #1

    plaisir écoute je te souhaite une belle fin de journée Régis à très bientôt merci à toi aussi et puis à bientôt et puis n'hésitez pas à aller découvrir ce que fait Régis Si vous consultez ce podcast sur les plateformes sociales, sur les Spotify, Deezer et compagnie, vous pouvez cliquer sur le lien pour découvrir le travail de Régis. Et si vous regardez ce live en direct, en rediffusion, n'hésitez pas par là à scanner le QR code. Et puis, n'hésitez pas aussi à vous abonner à l'émission et puis à partager aussi ce podcast dans votre réseau pour faire découvrir l'activité de Régis. Allez, à bientôt !

  • Speaker #0

    Au revoir, à bientôt.

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Description

🎙️ Je reçois Régis Minot, inventeur génial qui a conçu l’outil Sarea qui facilite ton networking ! Véritable Géo Trouvetou du numérique, il partage son parcours d’inventeur web, de ses premières expériences dans le design produit à la création d’outils révolutionnant le réseautage et la gestion d’événements.


À travers des anecdotes, il nous raconte comment il a conçu Sarea, une plateforme qui aide les entrepreneurs et clubs d’affaires à maintenir le lien entre leurs membres et à optimiser leurs mises en relation. Passionné par la communauté et le partage, Régis dévoile également sa vision de l’avenir du networking à l’ère du digital et de l’intelligence artificielle.


Comment rester en contact avec chaque membre de son réseau local ? Comment utiliser les outils digitaux pour fluidifier les échanges et maximiser les opportunités ? Régis nous livre des stratégies concrètes et accessibles, prouvant que le réseautage efficace passe avant tout par des outils bien pensés et un véritable esprit collaboratif.


Extraits clés

  1. Une anecdote marquante :
    "J’ai lancé une communauté en ligne sur… les chinchillas ! 3 000 membres, des rencontres partout en France, des recommandations… C’était un vrai club d’affaires avant l’heure, mais pour les passionnés de rongeurs !"

  2. Un conseil inspirant :
    "Dans le réseautage, ma philosophie est simple : donne, patiente, donne encore… et peut-être que tu recevras. C’est en aidant les autres sans attente immédiate qu’on construit un réseau solide."

  3. Une technique de networking :
    "Le QR code est devenu un atout majeur en networking. Avec Saréa, on ne se contente pas d’échanger des cartes de visite : on garde une trace, on sait qui a consulté notre profil, et on peut relancer efficacement nos contacts."


👂Ecoute bien les questions que je pose à mon invité. Elles me permettront de mieux la connaître et d’apprendre à le recommander en tant que nouveau partenaire. 

🎧 Bonne écoute ! 🎧



📚 RESSOURCES

👐 LinkedIn de Régis Minot

🌐 Site web de SAREA


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Transcription

  • Speaker #0

    Rendez-vous,

  • Speaker #1

    le podcast qui fabrique et consolide votre réseau d'apporteurs d'affaires.

  • Speaker #0

    Bonjour Régis !

  • Speaker #1

    Bonjour Jean-Christophe !

  • Speaker #0

    Je suis ravi de t'avoir, on va passer 40 petites minutes ensemble. Je rappelle le concept de l'émission, il y a trois parties, il y a les mêmes quatre. il y aura d'abord ton pitch, ton fameux Elevator pitch, puis après on remontera un peu le temps tes premières expériences professionnelles tes études pour apprendre à te connaître ensuite tu auras ta carte blanche une minute qui va t'appartenir totalement qui en général n'est pas commentée et dans une dernière partie la plus longue du podcast le défi est comment aider notre réseau à nous suivre suivre notre actu, rester en contact, ne pas briser le lien, hyper important dans le monde du networking et de la vie en général. Tisser des liens puissants et apprendre à les entretenir grâce à tes solutions, on en parlera dans la dernière partie. Ok Régis, tu es bien installé, tout va bien ?

  • Speaker #1

    Oui, très bien.

  • Speaker #0

    Ok, et bien c'est parti, commence par te présenter. Allez, à toi Joey.

  • Speaker #1

    Donc je me présente comme inventeur web, c'est-à-dire que je propose des services web pour aider les entreprises. entrepreneurs pour faciliter leur réseautage et la promotion de leurs événements. Et à côté de ça, je développe pas mal de sites, de portails, d'applications web qui, certaines, justement, se transforment en services quand ça intéresse d'autres personnes.

  • Speaker #0

    Oui, tu es un peu le géo-trouve-tout. C'est exactement ça. C'est la ref.

  • Speaker #1

    En fait, je ne sais pas si tu as vu, Founder, qui raconte l'histoire du fondateur de McDonald's, et je le voyais avec ses appareils et tout, et je me disais, c'est ça maintenant, mon personal branding, si on peut dire. Parce que j'ai l'impression que j'ai une idée, je peux la développer, et puis le week-end suivant, ça y est, c'est dans la revue, ça sert, on teste, etc. Donc c'est vraiment ce que j'ai trouvé de mieux pour...

  • Speaker #0

    Je vous trouve tout, la bande à Picsou pour ceux qui n'avaient pas la ref. Alors, remontons un peu le temps, Régis, qu'est-ce que tu as fait comme études ? Tu as fait quel bac ?

  • Speaker #1

    Alors, bac F12, mais c'est vieux. J'ai une formation designer produit, en fait. Je suis dans l'artistique. même si c'est le développement aujourd'hui j'ai vraiment une formation artistique je dessinais en bac F12 on teste tout les matières tous les métiers architecte designer styliste la peinture à l'huile gouache tout y passe pour justement après savoir ce qu'on veut faire t'as vraiment ce côté créatif alors exactement c'est pour ça que quand je me et c'est pour ça je retrouve le terme avec l'inventeur dans le sens où j'ai envie de faire quelque chose je l'imagine je le réalise et l'avantage c'est que Le web, ça va beaucoup plus vite qu'avec du dessin, plus des maquettes, plus des moules, etc. On a une idée, la semaine suivante, on peut la tester.

  • Speaker #0

    Excellent. Quelles étaient tes études après ton bac ?

  • Speaker #1

    BTS d'esthétique industrielle, tout simplement. Puis après, j'ai fait un stage et puis j'ai tout de suite démarré dans la vie active parce qu'en fait, j'ai rejoint des personnes qui avaient monté une association et moi, j'étais à fond dans la 3D à l'époque. Donc, je les ai intéressés dans le sens où... Je participais à eux, ils avaient du graphisme, des pochettes de disques, on faisait des vidéos, un peu de tout. Et puis je faisais la 3D pour aussi bien des animations ou des objets, un monde tout.

  • Speaker #0

    C'est ce qu'on appelle l'impression 3D,

  • Speaker #1

    c'est ça ? Non, l'impression 3D c'est trop récent. Pour utiliser le terme d'origine, c'était l'image de synthèse. Je dessinais des meubles. du matériel industriel pour représenter ce qu'il en était parce que c'était plus compliqué de faire une photo que d'avoir un objet en 3D Et après,

  • Speaker #0

    quelles ont été tes différentes expériences ?

  • Speaker #1

    J'en ai eu plein, si on peut dire que de l'autre côté de l'Atlantique, j'ai eu pas mal d'expériences justement par rapport à ça, j'ai participé à des startups, donc avec les associés on a déjà démarré le premier magazine sur les sports mécaniques sur papier et CD-ROM, c'était la première fois on a été soutenu par Apple à l'époque on a... On avait un carrément un stand. Donc, laisser des ROMs, je ne sais pas si ça nous parle. On ne sait jamais. Ça ressemble à ça. Et justement, après, on a sorti le premier catalogue électronique. Donc ça, en vrai, c'est des ROMs du groupe Gilbert. Alors, c'est Fils Dépôt maintenant. Il y a eu plein de rachats. Donc, c'était 3000 références. Et il y avait la particularité qu'avaient développé mes associés, qui était la recherche au langage naturel. Par rapport à l'IA aujourd'hui, ça fait tellement ridicule. Mais je disais, je veux écrire sur un papier jaune et il me sortait le post-it. Voilà, tout simplement. Donc ça, c'était une innovation. Et puis après, je me suis retrouvé tout seul, on ne va pas rentrer dans le détail. Et j'ai créé RM Design, donc j'ai démarré avec des projets dans la santé. De toute façon, je travaille toujours dans la santé depuis 1998. Par la suite, j'ai retrouvé d'autres associés. J'ai développé le site topfolio.me, qui n'existe plus, qui était un portfolio en 2011 au lancement de l'iPad, qui était un portfolio à la fois on et offline, pour montrer dans une cave ce que tu montrais sur ton ordinateur, sur ton téléphone. Les gens avaient exactement la même chose. Ça, c'était une innovation, mais c'était un peu trop tôt. Et puis, il y a eu d'autres projets depuis, mais sinon, en 2015, on a lancé Flash et moi avec un partenaire. En fait, c'était l'équivalent, même si le nom ne va rien dire, c'était l'équivalent du Réseau Ciné, mais pour le théâtre, tout simplement. C'est-à-dire qu'on avait une page dans laquelle il y avait absolument tout, les témoignages, les avis, la vidéo, tout ce qu'il fallait pour présenter une pièce de théâtre. Pas le spectacle, pas le théâtre lui-même, mais chaque spectacle avait une page. Et on l'avait appelée Flash et moi parce que... On s'était vraiment mis en avance. C'était du QR code partout. C'est-à-dire qu'on avait la possibilité de savoir si la personne avait flashé dans les toilettes, dans l'entrée, dans le métro, à la colonne Maurice, n'importe où, et justement d'avoir quelques pas en retour sur investissement en se disant, tiens, telle affiche, ça vaut le coup. Après, c'était, je le dis, vraiment trop tôt. Donc malheureusement, ça s'est arrêté. Et puis après, j'ai participé à une startup sur le handicap. C'est-à-dire que cause handicap, c'était... Un outil que j'ai totalement refondu, qui était destiné aux référents handicap dans les entreprises, pour justement les accompagner et identifier les personnes qui étaient concernées, donc essentiellement du handicap invisible, et les aider à faire un dossier pour être reconnus pour la suite. Puis ça, avec les associés, ça s'est arrêté, je me suis retrouvé tout seul. Et j'ai lancé Meeting Pack, donc c'est parti d'une idée. Je disais tout à l'heure promotion des événements, c'est-à-dire que c'est un outil qui va permettre de faire la promotion dans le sens où c'est une... page, comme on voit sur d'autres sites, gratuits ou en mode premium, c'est d'avoir une page enrichie dans laquelle on peut présenter les speakers, le lieu, le programme, tout ce qu'on veut. Et après l'événement, parce que ça peut être du présentiel ou du virtuel, on va fidéliser les participants avec un espace sécurisé, dans lequel on va retrouver les replays, les informations, tout ce qui va être diffusé, mais uniquement sur place. Comme ça, ça va permettre de créer justement du réseautage, parce que les participants peuvent échanger entre eux. Ça m'a permis d'ailleurs de rencontrer lors d'Interclub des gens que je n'avais pas pu voir sur le moment. Donc, je les ai relancés par la suite. Et puis, en 2022, j'étais dans un club d'affaires et j'ai conçu Sarrea parce qu'il y avait un vrai besoin.

  • Speaker #0

    On en parlera. Et puis,

  • Speaker #1

    il y a encore eu d'autres choses, mais on va s'arrêter là parce que sinon…

  • Speaker #0

    Tu es vite basculé du côté entrepreneur. Tu étais salarié en même temps.

  • Speaker #1

    Je n'ai jamais été salarié. Quasiment pas, parce que j'ai juste fait un stage. Après, j'étais en association avec les autres. Et puis, non, j'ai toujours été entrepreneur. J'étais associé au début, évidemment. Mais au début, j'étais entrepreneur avec les autres, en étant co-gérant. Et puis après, j'ai tout de suite basculé en étant tout seul. J'ai eu des associés, je suis revenu tout seul. Parce que c'est pas que ça se passait mal, mais il y a eu différentes circonstances. Donc voilà. Et puis aujourd'hui, ça va très bien. Et j'ai tout un réseau autour de moi qui me permet de répondre à un maximum de demandes. aussi bien en direct ou avec des agences. Et puis, via les services, ça me permet justement de toucher d'autres populations ou cibles que je n'aurais pas en direct si j'étais sous-traitant.

  • Speaker #0

    Rendez-vous,

  • Speaker #1

    le podcast.

  • Speaker #0

    Alors, il est temps de passer à ta carte blanche, Régis.

  • Speaker #1

    Alors la carte blanche, je vais te faire rire, en tout cas j'espère, c'est qu'en 2000, j'avais envie d'apprendre le PHP, j'étais déjà passé dans le Flash avant, dans le Flash maintenant on a un peu oublié, parce que j'ai fait beaucoup de Flash, parce qu'à l'époque des CD-ROM c'était Macromag Director, c'est encore plus vieux mais c'était après le Flash, et donc j'ai voulu me lancer dans le PHP, alors c'était vraiment le début, il n'y avait même pas de WordPress à l'époque, et j'ai lancé la communauté ChichiWeb, et la communauté ChichiWeb c'était la communauté... C'était des maîtres de chinchilas. Le chinchila avait pas mal de succès à l'époque. Malheureusement, ça a perdu sa valeur. Donc, c'est pour ça que j'ai envie de le relancer cette année. L'opportunité pour ça. Alors, c'était un truc vraiment... Un club, une communauté vraiment particulière. Bon, il était 3000, donc je faisais le ménage. C'était là, peut-être, s'il y avait des gens qui n'étaient pas là, je les virais, tout simplement. Donc, c'était vraiment 3000 actifs. Et c'était vraiment une communauté. La particularité, c'est que c'était les chinchilas qui avaient la parole. C'est-à-dire que quand tu t'inscrivais, tu t'inscrivais au nom du chinchilla, donc le petit rondeur qui tient tout, qui mange toute la nourriture, et tout le monde se tutoyait, tout le monde échangeait. Alors ça allait plus loin, c'est-à-dire qu'on était déjà dans le parti club d'affaires, si je peux dire, c'est qu'on faisait des chichidés, des chichinites, on se retrouvait au resto, j'ai été invité à Nice, on était invité dans toute la France, c'était vraiment, on sauvait des chinchillas, c'était du délire. Et j'ai même contacté le plus grand éleveur d'Europe, c'est pour ça qu'après j'ai fait une boutique. Quand je lui ai écrit, je l'ai écrit de la part de Snoop et Tofu. Donc, je suis débarqué là-bas et il m'a pris pour un fou. Après, il a vu que c'était tous les deux, c'était un couple normal. Mais il nous l'a dit après, il nous a vraiment pris pour des fous. C'est vrai que ça allait te faire rire.

  • Speaker #0

    Et cette communauté, elle était sur quel support ? Quelle plateforme ?

  • Speaker #1

    C'était PHPNUC.

  • Speaker #0

    C'était un site web que tu avais conçu ?

  • Speaker #1

    Non, non, je n'avais pas conçu. C'était un outil comme on a au WordPress aujourd'hui. C'était à la partie forum, à la partie… En fait, c'était l'équivalent d'un outil communautaire. C'était plus évolué que Facebook, même à l'époque. Mais tu faisais ce que tu voulais, tu rajoutais des modules, tu les développais. Donc, j'avais fait une carte où on voyait tous les chinchis d'art dans toute la France. J'avais une en-cito-chichi, donc il y avait des en-cito-pédis. J'avais carrément 20 personnes, des marraines, parce que c'était essentiellement des femmes. qui m'entouraient et qui accompagnaient. C'est-à-dire que quand tu arrivais sur la communauté, tu étais accompagné, on te guidait, tu étais pris en charge. C'était une vraie communauté. Donc, il y avait de tout, des interviews. Il y avait la totalité de ce que tu peux trouver aujourd'hui sur le réseau, mais dans une communauté dédiée aux fans. Eh bien,

  • Speaker #0

    ok, super. Merci, merci Régis. Et n'hésite pas à expliquer, tu sais, je parlais de PHP, de...

  • Speaker #1

    Excuse-moi, mais j'évite les acronymes parce que sinon on ne comprend rien.

  • Speaker #0

    N'hésite pas à expliquer un petit peu rapidement ce que c'est à chaque fois.

  • Speaker #1

    Tout à fait. PHP, c'est un langage qu'on a derrière WordPress, l'utilisent de PHP, par exemple. Mais tous les outils CMS, essentiellement, sont sur PHP. La majorité des sites, après, il y a d'autres langages, mais c'est du courant.

  • Speaker #0

    Maintenant, on va passer au défi. On donne à ceux qui nous regardent ou à ceux qui nous écoutent comment suivre l'actualité, mais avant, pour rester en contact avec chaque membre de son réseau local, Mais avant, il faut qu'on parle un petit peu de Régis et du réseautage en lui-même, des clubs d'affaires, parce que tu documentes beaucoup sur LinkedIn et on invite d'ailleurs ceux qui nous écoutent à aller cliquer pour découvrir ton profil LinkedIn ou à flasher le QR code pour aller découvrir ce que tu fais. Donc tu partages beaucoup dans tes posts, très souvent des expériences, en club d'affaires notamment. Comment tu as découvert le monde du networking ? C'était dans quel contexte ?

  • Speaker #1

    Alors, évidemment, c'était ChichiWeb dont je viens de parler. C'était une communauté que j'ai créée. Ça, c'est différent, parce que c'est déjà du réseautage, en quelque sorte, parce que j'ai encore des contacts avec des gens de l'époque. Et quand on en reparle, ils se rappellent. Mais sinon, après, ce qui s'est passé, c'est que même si j'ai toujours été dans l'esprit communautaire et toujours à recommandations, à transmettre, à essayer. Dès que j'ai quelqu'un, je le fais travailler dans mon réseau. J'ai rentré dans une nouvelle agence, j'ai fait rentrer des graphistes. Ça, ça a toujours été un état d'esprit. Normalement, ma philosophie, de toute façon, c'est donne, patiente. donne encore, peut-être tu recevras. Donc ça, ça a toujours été mon état d'esprit. Et vis-à-vis de ça, il y a quelques années, une partenaire que j'ai connue dans un espace de coworking, parce que j'ai passé quelques années dans un espace de coworking, c'est comme ça que j'ai connu justement un startup, cause handicap, cette personne me disait, tiens, je vais monter un club, donc Protein pour les citer, et ça serait bien que tu viennes voir. Donc je n'étais vraiment pas très attiré au départ, j'y suis allé pour voir. Et j'ai vraiment été fan de l'état d'esprit où on démarrait 11h30, on échangeait tout, il y avait un pitch et puis après on mangeait ensemble. Après le repas, j'ai tout simplement signé. J'ai démarré comme ça pendant des années. J'ai même invité d'autres personnes, j'ai fait entrer des membres dans le club. Tout a très bien fonctionné. Et un jour, je me suis dit, avant Sarvea, donc l'outil dont je vais vous parler, c'était d'abord un tableau dans le sens où la question des clubs, c'est qu'est-ce que je vais pouvoir dire sur les autres. parce qu'on n'est pas là pour faire... Même si dans certains clubs comme BNZ, c'est très militaire, très scolaire, Protein, c'est plus souple, justement. On n'est pas là pour vendre les autres. Quand tu vas dans un club, tu n'as pas envie de prendre des notes, de savoir ce que fait l'autre. Tu n'es pas là pour vendre. Tu es là pour... Sans parler de te vendre toi, tu es là pour échanger, pour communiquer, recommander, mais de façon opportuniste. Donc, la question, c'est de savoir comment tu vas pouvoir, dans un cocktail, raconter que, tiens, il y a un tel qui est intéressé... qui pourra être aidé parce que tes enfants vont quitter le foyer ou alors tes parents vont en maison de retraite ou je ne sais quoi. Donc, j'avais fait un tableau qui a bien plu. Malheureusement, on n'a pas été rempli, dans lequel je disais, chacun, par rapport aux différentes cibles, famille, entreprise. tout ce qui est possible, vous dites ce que vous pouvez faire. Comme ça, on remplit tous et puis on arrive à savoir avant de partir dans un club, qu'est-ce que je vais pouvoir raconter, si on m'en parle, quelque chose d'approprié.

  • Speaker #0

    Après, je te coupe, mais tu reprendras. Pour que ceux qui nous écoutent comprennent un peu les enjeux, c'est vrai que quand on est dans une communauté, dans un club d'affaires, si on veut que les membres apprennent à se connaître mieux, si on leur donne des outils aussi pour se recommander, Et l'important est d'avoir de la matière pour parler efficacement de nos différents interlocuteurs. C'est ça l'idée en club d'affaires. Ce qu'on cherche, c'est aussi à former nos interlocuteurs pour qu'ils puissent parler de nous efficacement. Et cette situation est longue avant d'arriver à ce que chacun des membres puisse pitcher les uns et les autres. Donc c'est dans ce contexte qu'on... On essaye de trouver des outils facilitants pour aider les membres à se recommander efficacement.

  • Speaker #1

    Exactement. Et justement, le fait est que tu ne vas pas prendre une note parce que dans les clubs, la plupart du temps, les gens se présentent, pas seulement le pitch, c'est-à-dire qu'on a le pitch la plupart des sessions, des réunions, mais on a en plus des présentations un peu plus complètes. Ça peut être un quart d'heure, une demi-heure selon les clubs où là, il y a vraiment quelqu'un qui va s'exposer, qui peut faire une conférence, un atelier, je ne sais quoi. Encore une fois, même si c'est super intéressant, il y a certains métiers qui sont vraiment un peu plus techniques que d'autres. Et puis, il y a aussi des secteurs d'activité où les gens ne savent pas forcément communiquer parce qu'ils n'ont pas été formés pour. Je pense aux avocats, aux notaires, aux comptables. Ça rentre tout de suite dans la technique. Et toi, quand tu n'es pas dans le secteur, tu es un peu perdu. Et comment tu vas pouvoir aller en reparler pour la suite, c'est un peu difficile.

  • Speaker #0

    Oui, donc un outil facilitant cette prise de note, avoir toutes les informations à disposition.

  • Speaker #1

    Exactement. Et le principe, c'est pour ça que j'ai eu l'idée de Saria. Alors Saria, c'est un nom que j'ai trouvé parce que j'ai cherché un peu le terme réseau dans différentes langues et je l'ai trouvé en basque. Je trouve que c'est facile à retenir. J'ai mon Saria, ton Saria, je te le partage. Et le principe, c'est de se dire, entre les deux semaines, justement, entre les deux réunions, deux choses qui m'intéressent, c'est l'actualité de l'autre. Il y en a un qui est passé dans notre club à la télé, ça serait bien de le savoir, parce que comme ça, quand je vais être dans un cocktail, je vais pouvoir en parler. Et puis, l'autre point, et puis surtout le fait est qu'à côté de l'actualité, aujourd'hui, il y a les posts LinkedIn, donc LinkedIn ou d'autres réseaux sociaux. Et puis, la plupart du temps, les gens ont un site Internet qu'ils ne savent pas forcément maintenir selon la taille de l'entreprise, selon les compétences ou je ne sais quoi. Et ils ont besoin, sur leur téléphone, d'avoir quelque chose d'un peu plus sophistiqué que juste un linktree, c'est-à-dire un site dans lequel il y a des liens ou un profil LinkedIn qu'ils ne vont pas forcément mettre à jour ou avec d'autres particularités. Donc, le principe de Saréa, c'est que je vais présenter d'abord la personne parce que je recommande une personne, ce qui fait que je l'ai encore vécu la semaine dernière dans un club, dans une soirée networking. La femme qui avait justement son Saréa a sorti son téléphone plutôt que donné sa carte. et a fait flasher, ça avait la personne qui avait l'emphase qui a récupéré tout de suite les coordonnées. Donc, elle avait les coordonnées, mais elle a pu avoir la personne et derrière, son entreprise, évidemment, et il y a tous les liens comme sur d'autres sites, d'autres cartes de visite. Alors, l'avantage, c'est qu'il n'y a pas de NFC. On peut utiliser avec n'importe quel téléphone. Il faut juste un QR code. Comme je l'ai dit tout à l'heure, j'ai un sacré parcours dans le QR code, mais avec le COVID maintenant et les repas, tout ce qu'on voit dans les restaurants, tout le monde est adepte du QR code. Rendez-vous le podcast.

  • Speaker #0

    C'est intéressant ce que tu dis sur le QR code parce que c'était un peu une innovation un peu vieillissante, un peu désuète et qui a été remise complètement au goût du jour grâce à la crise sanitaire. Tu as une explication là-dessus ?

  • Speaker #1

    Déjà, c'est très très vieux parce que c'est Toyota qui l'a lancé, je ne sais plus quelle année, mais je crois que c'est dans les années 90. A l'origine, c'était fait pour référencer les pièces de mécanique pour la traçabilité. Il y avait le QR code sur les pièces et comme ça, ça permettait d'identifier l'origine. Et après, il y a très peu de gens qui s'en sont réveillés. Je l'ai vécu avec Flash et moi, typiquement, on avait une affiche où en fait, ils avaient mis le QR code en bas et c'était masqué par le cadre. Donc, il y a eu pas mal, j'ai testé aussi pas mal de QR code où en fait, ça renvoyait. Ce n'est pas drôle, mais les opérations qui étaient... peu importe le sujet, renvoyer sur des sites pornos, par exemple. Ça, c'est très mauvais. Il y avait eu des diffusions de plaquettes, de flyers, où en fait, le QR code ne fonctionnait pas. Donc, ça a pu détériorer l'image. C'est clair, quand on ne fait pas attention, quand on imprime et on ne teste pas, ça, c'est très important. Le QR code aussi, c'est gratuit déjà. Et puis, tu peux avoir des sites qui vont te le proposer. À ce moment-là, c'est du dynamique. C'est-à-dire qu'on a un lien qui est fixe. Mais ça ne renvoie pas sur le site définitif, ce qui permet justement d'avoir une traçabilité, de se dire, tiens, il y a eu tant de flashages parce qu'on ne va pas aller sur le site, mais on va passer par un lien intermédiaire, un peu comme les raccourcis URL. C'est-à-dire que je flash, je vais sur le site A, qui va me renvoyer sur le site B. Ce qui est le cas de CRR, ça te permet justement de savoir, de changer à n'importe quel moment, même si c'est un seul QR code.

  • Speaker #0

    N'hésitez pas d'ailleurs à le scanner, le QR code.

  • Speaker #1

    Oui, bien sûr. Comme ça, vous pouvez vous inscrire, vous pouvez découvrir Saraya et puis vous inscrire et l'utiliser tout de suite et en profiter. Parce que Saraya, ça peut servir, tout d'abord, c'est un annuaire pour les groupes d'entrepreneurs. Groupe, c'est pour ça que j'utilise le terme. Ça peut être des clubs d'affaires, des assos locales, un espace de coworking, c'est aussi très utile. Voir un club sportif, quel que soit le type de sport. Le but, c'est d'échanger et d'aller un peu plus loin que la carte de visite. La carte de visite, malheureusement, selon les personnes, je la prends et je la mets dans un coin. Je ne vais pas forcément reporter toutes les informations, même si ça peut être très facile. Et puis, si j'utilise des cartes digitales, c'est pareil. S'il n'y a pas forcément toutes les informations, là, j'ai un site qui peut être tout le temps mis à jour parce que ça marche aussi bien sur ordinateur que sur téléphone dans les mêmes circonstances. Et quand je parle de groupe, la problématique de tous les groupes d'entrepreneurs, c'est que les gens remplissent leur fiche. Je suis dans un énorme réseau, là, par exemple, qui a 750 membres. et en fait il n'y a que 250 fiches qui sont visibles parce que les gens ne remplissent pas parce que quel que soit leur réseau la problématique c'est qu'il faut travailler c'est à dire qu'on me demande de remplir une fiche une énième fiche, il va falloir que j'aille copier ce que j'ai mis sur LinkedIn pour le remettre sur le club que je modifie c'est un travail, c'est un travail supplémentaire donc pourquoi j'irais m'embêter pour un club alors que j'ai déjà mon fiche LinkedIn j'ai mon site, ils ont juste à aller voir mon lien prendre ma carte et puis c'est fini alors qu'avec Serria en fait je vais travailler pour moi puisque c'est ma carte de visite c'est mon profil donc je ne vais pas le faire pour les autres je vais d'abord le faire pour moi et les autres vont en profiter c'est ça le printemps c'est l'inverse de l'empathique c'est d'abord moi et les autres après mais tout le monde en profite ça réa ça remplace une carte de visite digitale tu crois ou ça la complète ? alors ça la remplace dans le sens où le but n'est pas que ça soit sur le web c'est que c'est vraiment du local même si techniquement ça peut évidemment être accessible par le web Mais le but, c'est vraiment, je suis dans une soirée, je fais flasher, la personne a toutes les informations. En plus, elle peut même récupérer ma V-card, donc stocker directement l'ensemble des informations sur son téléphone. Comme ça, il n'y a même pas de souci.

  • Speaker #0

    Donc, c'est complémentaire. En fait, c'est aussi une V-card quelque part.

  • Speaker #1

    Voilà, tout à fait. Et puis, avec l'historique, on sait qu'elle l'a dans son historique. Donc, ça ne va pas disparaître.

  • Speaker #0

    Ce qui est super intéressant, c'est qu'on a vu ça avec l'arrivée de la carte de visite digitale, c'est qu'on peut faire vivre des expériences incroyables en réseautage physique. Je m'explique. Qu'est-ce qui se passe avec les cartes de visite papier ? Les cartes de visite papier, ça reste aussi, je pense, quand même important d'en avoir quelques-unes de haute qualité dans son portefeuille parce que ça peut quand même continuer à être très utile dans certains cas. OK, on a sa carte de visite digitale ou on a sa réa, mais pourquoi pas, à l'occasion, dans un ascenseur, filer sa carte de visite ou récupérer celle de quelqu'un quand on n'a pas trop le temps d'échanger. Ça peut nous sauver la vie. Mais là où je voulais en venir, c'était vraiment cette faculté derrière de montrer un outil comme sa réa et de faire vivre en réseautage une expérience. C'est-à-dire, comme tu l'as expliqué, les gens qu'il y a dans mon réseau, tiens, tu devrais... tu devrais contacter un tel de ma part, est-ce que tu veux que je vous connecte ? Ce genre de choses qui, avec une carte de visite papier, n'est pas possible. C'est-à-dire, ah bah tiens, je te donne la carte d'un tel, etc. Donc on a l'occasion, souvent en réseautage, on va d'un contact à un autre, on n'a pas forcément le temps d'approfondir, mais on peut aussi se souvenir plus facilement de la personne parce qu'elle nous a montré son carnet d'adresse. C'est aussi comme ça que tu le penses en réseautage physique.

  • Speaker #1

    Tout à fait. Il y a deux points. Déjà, un, la carte de visite, quand tu la donnes, tu ne sais pas trop ce qu'elle va devenir. Sauf si la personne ne te rappelle, évidemment. Avec Saria, tu as la traçabilité dans le sens où à chaque fois que la personne va revenir sur ton Saria, tu vas avoir une trace dans la base. Donc, tu auras un historique, ce qui fait que le lendemain matin, si justement elle va voir ta page, tu pourras la rappeler ou peu importe l'occasion. Mais en tout cas, tu as un suivi de ta carte, de ce que tu as transcrit. Et l'autre point, c'est que si tu recommandes le Saria d'un autre, c'est pareil, il va savoir ce qui s'est passé, donc ça sera plus facile pour lui de se dire, tiens, en définitive, effectivement, la personne est allée voir mon profil, ça vaut le coup, je la rappelle. Alors que dans une carte de visite, quel que soit le support, même des liens, parce que même les cartes digitales ou les liens raccourcis, tout ce qu'on peut trouver, en fait, on sait que les gens sont allés sur LinkedIn, mais ça s'arrête là. il n'y a pas de suivi. Donc là, on a vraiment, c'est ce qu'on faisait sur Flash et moi, justement, c'est quand on regardait un spectacle, on avait un peu l'équivalent d'un Google Analytics précis pour chaque utilisateur. Donc, on pouvait dire, tiens, l'avis, il est intéressant, le témoignage, ça vaut le coup, etc. Et en plus, une traçabilité de l'un à l'autre, c'est-à-dire que quand je transmettais le Flash et moi à un tiers, il y avait encore le suivi. Et donc, dans Saria, je recommande, je me fais recommander et je vais savoir ce qui se passe. pour pouvoir mieux relancer les gens. Ce que je propose pas mal dans tout ce que je développe, c'est la préparation d'un rendez-vous commercial. C'est-à-dire qu'il y a dans un premier temps un formulaire très basique pour qu'on ait juste le nom, le prénom, entreprise, téléphone, pour que tu puisses te rappeler les gens. Et si tu poses des questions qui vont te permettre d'avoir des réponses, voire de préparer ton entretien en ayant des démos sous la main, c'est un peu plus impactant, je dirais, pendant le rendez-vous parce que tu sais tout de suite quoi lui montrer. Tu n'as pas à chercher... Tiens, il a fait tel secteur d'activité, je vais lui montrer un comparatif.

  • Speaker #0

    Au niveau du modèle économique, comment ça fonctionne, ça réale ?

  • Speaker #1

    C'est zéro frais pour les individus, pour n'importe qui, toi, moi, n'importe quel entrepreneur. Et c'est le club qui va payer. C'est-à-dire qu'à partir de 15 membres, donc tous les clubs, asso, n'importe quoi, n'importe quel type de groupe, en dessous de 15 personnes, c'est zéro frais. Et puis, dès qu'il y a une quinzième personne qui rentre dans le groupe, à ce moment-là, ils ont un abonnement selon des tarifs qui évoluent, avec paiement à l'année où on va gagner deux mois de plus, ou sinon c'est revu à tous les mois, tous les mois, tous les ans, selon la taille du groupe.

  • Speaker #0

    Et pourquoi tu as choisi de commercialiser ça uniquement au club d'affaires et pas au réseauteur en tant qu'individu ?

  • Speaker #1

    Alors ça, j'étais parti justement sur le réseauteur, parce que j'avais été parti sur la recommandation au départ, et je suis très bien coaché. par Pascal Percheron.

  • Speaker #0

    Salut Pascal !

  • Speaker #1

    Qui est ma conseiller de remarquement modèle. Il a tout à fait raison. En fait, les entrepreneurs vont devenir des ambassadeurs parce que quelque part, quelqu'un qui est dans un club, il peut l'être dans un autre, ce qui est mon cas. Il peut l'intéresser. Et puis, le club sportif, c'est un club supplémentaire. Et la plupart des entrepreneurs, je l'espère pour eux, sont aussi dans les clubs sportifs parce qu'il faut vraiment avoir un... Il y a un corps en bonne santé. Je ne vais pas entrer dans une autre application que j'ai développée parce que c'est un autre univers. Mais c'est bien d'être dans différents clubs. Et justement, l'ambassadeur, notre entrepreneur, va pouvoir communiquer en montrant sur Savara. Parce qu'il y a aussi dans Savara, le groupe en lui-même. C'est-à-dire que j'ai les autres membres de mon réseau, de mon club d'affaires, mon espace de co-op, mais je peux rajouter d'autres personnes. Donc, mon plombier, mon voisin. n'importe qui que j'ai envie de recommander parce que c'est pas seulement mon groupe je voudrais bien avoir des gens qui ne veulent pas rentrer dans le groupe ou qui ne sont pas disponibles mais que j'ai quand même envie de présenter lors de soirées de networking rendez-vous

  • Speaker #0

    le podcast alors tu peux nous en dire juste sans trop détailler t'as d'autres applis dans l'univers du networking

  • Speaker #1

    Ce n'est pas forcément le networking, bien que ce soit quand même pensé pour. C'est-à-dire que j'ai démarré un programme d'accompagnement. Pour les cités, ce n'est pas Pineshape, parce que je ne suis pas pâte de fille. Et avec le temps, il y a certaines formes qui apparaissent, même si je ne suis pas devenu énorme. J'ai quand même permis du poids grâce à eux. Et surtout, ce que j'ai apprécié, c'est l'académie, dans le sens où on apprend à comment mieux se nourrir, comment mieux vivre, pour justement aller jusqu'à la mort, évidemment. Et donc ce programme, sans entrer dans le détail, me demandait de remplir un tableau, et puis moi ça ne me convenait pas. Et puis quand on est dans les forces, je me dis que c'est vraiment très difficile de se rappeler ce qu'on est en train de faire. De dire, tiens, je vais noter 10, je vais noter ça, etc. Ton cerveau est ailleurs. Bon, maintenant ça va un peu mieux, mais au début c'était très difficile. Il y avait ça, et puis toute la journée on te demande de boire 2 litres d'eau, alors c'est une horreur, donc il faut noter. J'ai fini par noter au début dans un iPhone et puis après, je me suis dit, bon, je vais développer. Et puis, une semaine plus tard, j'ai lancé une application que j'ai conçue. Et puis, toutes les semaines, je la faisais évoluer au fur et à mesure. Et puis, un mois plus tard, j'ai lancé My Body Club, si ça m'intéresse des gens, qui permet de s'occuper à la fois de l'alimentation, des exercices physiques, tout ce qui concerne la journée. L'hydratation, la marche, le sommeil, tout, on note tout. Et puis après, en un clic, je renvoie tout dans le tableau qu'on m'a demandé. Et ça me permet de voir tous les jours ce qui se passe, d'avoir un suivi. Après, tu partages à ton coach. Et alors, si je parle de réseautage, c'est que l'idée derrière tout ça, c'est de se dire qu'un peu comme dans les clubs, la différence dans les clubs d'affaires, c'est qu'on est tous là justement pour avoir une mixité, pour avoir un mélange.

  • Speaker #0

    de profession qui vont faire que tu vas recommander des gens que tu n'aurais pas dans ton quotidien. Donc le notaire, tu n'en as pas, mais par contre là, tu en as un et justement, tu ne vas pas réduire ta famille. Par contre, dans le cas de la santé, des efforts physiques, des contraintes, c'est différent dans le sens où tu peux difficilement t'identifier à quelqu'un qui n'a pas du tout la même classe sociale, le même revenu, les mêmes contraintes. Si tu as des enfants bas âge alors que tu as des majeurs, tu ne peux pas leur parler de la même façon, tu ne vas pas leur dire… Moi, je m'occupe la nuit, alors qu'eux, ils ne peuvent pas, ils sont en train de changer les couches, ou je ne sais quoi. Donc, l'idée derrière MyBodyClub, c'est pour ça que je l'ai appelé club, c'est que quand il y aura pas mal de monde, je puisse créer des micro-communautés où on a des gens qui se ressemblent. Pour qu'ils puissent se dire, tiens, j'ai fait ça, tu pourrais le faire, parce qu'on est dans les mêmes circonstances pour agir de la même façon.

  • Speaker #1

    C'est intéressant tout ce que tu dis, tout tourne chez toi, il y a une grande appétence pour les communautés. Qu'elle soit virtuelle, qu'elle soit physique. Quelque part, au cœur du web, dans les premiers forums qu'il y a pu avoir il y a 25 ans, peut-être plus, il y avait cet esprit communautaire fort. Je sais que dans les développeurs notamment, il y a des communautés en ligne où il y a beaucoup d'entraide. Ils partagent des expertises techniques, ils s'entraident pour coder, des choses comme ça. Donc, les réseaux sont aussi au cœur du web, mais au cœur de l'individu et au cœur des humains.

  • Speaker #0

    Ah, tout à fait. C'est ça qui est génial avec le web. Et alors maintenant, c'est encore mieux. Justement, j'ai vu un post hier sur l'IA par rapport au diplôme. Et on le sait déjà, à l'AMIT, il y a différentes universités américaines qui diffusent tout en ligne. Donc, n'importe qui dans le monde peut suivre les cours, peut avoir les informations. Et le web, c'est extraordinaire pour ça. Maintenant, il y a l'IA, mais avant, je ne savais pas faire. J'allais chercher, il y avait plein de forêts. Je posais des questions et tu avais les réponses. Et c'est contributif, participatif. Tout le monde échange sans avoir de demande en retour.

  • Speaker #1

    Et l'intelligence artificielle, c'est quelque chose que tu suis actuellement, j'imagine ?

  • Speaker #0

    Depuis le début. J'ai des Ausha GPT comme tout le monde, et je m'en sers quasiment tous les jours. Aussi bien pour revoir mes posts, parce que je ne lui demande pas les posts. Je me suis développé une méthode que j'ai partagée sur Wasquare. Apparemment, il y a d'autres personnes qui l'utilisent. C'est comment écrire des posts tous les jours. Ça, c'est la grosse problématique. Ma méthode, c'est tout simplement d'avoir mon iPhone sous la main en permanence, comme tout le monde. Dès que j'ai une idée qui me vient en tête, que ce soit sous la douche, n'importe où, je la note, tout simplement. Je lis un poste, tiens, telle chose, ou alors je me rappelle d'un souvenir par rapport à mon vécu dans les clubs, je le note. Et puis après, j'ai un tapis de marche, parce que je ne marche pas assez, parce qu'on doit marcher dans le bureau. Et donc, je marche et je réponds en dictée vocale à ma question. Comme ça, j'ai le texte qui est écrit. Après, je le reprends dans Google Docs pour le reformuler. Parce qu'évidemment, en dictée vocale, ce n'est pas parfait, même si c'est l'IA. Donc, je reformule les textes, je les découpe, je rajoute des listes à puces. Je transmets tout dans le chat GPT avec un script que j'ai récupéré sur un expert. Donc, en lui disant ce que je suis, quelle est mon activité, ma cible, etc. Donc, je suis ce programme avec d'abord la question, la participation, ainsi de suite. Et puis, il me fait le texte, il me formate tout avec les puces, tout ce qu'il faut. Et puis après, tout simplement, je lui demande de l'illustrer. Et puis, je n'ai plus qu'à partager en programmant, évidemment, sur l'Indé.

  • Speaker #1

    Tu penses que l'intelligence artificielle va révolutionner notre capacité à networker ? Toi qui es un peu le géotroufe-tout du web et du networking, tu penses qu'il y a des innovations qui vont arriver bientôt ?

  • Speaker #0

    Je ne sais pas trop parce qu'en fait, l'IA, ce qui est intéressant, vis-à-vis du networking, on est quand même dans le local. même s'il y a évidemment des networking virtuels, ou alors se retrouver avec des robots qui vont participer au networking. Alors, est-ce que c'est un plus ou un moins ? Je ne sais pas. Parce que déjà, on voit qu'il y a des communautés qui se créent, Instagram et autres, ça a des influenceurs en IA. C'est une catastrophe pour moi, dans le sens où tu suis les gens qui n'existent pas. D'ailleurs, j'ai vu un post récemment passer là-dessus, où la personne disait qu'il y a une IA qui te vend des voyages. Alors que le voyage, il faut le profiter, il faut le vivre. Là, l'IA, c'est te dire, suivez-moi, regardez tel lieu, allez dans tel hôtel, mais n'allez pas aller, elle n'a pas goûté la nourriture. Donc, c'est un peu bizarre. Et dans le networking, faire rentrer des IA, un peu comme les chatbots, qui répondraient à des questions, qui recommandaient des humains, c'est un peu difficile. Je ne sais pas ce que tu en penses, mais pour moi, ça ne va pas. Par contre, que l'IA nous aide à mieux communiquer, justement, à nous aider sur le pitch, à nous aider à parler des autres, mieux nous présenter. comme je disais tout à l'heure il y a certains secteurs d'activité qui ne savent pas communiquer l'IA peut énormément les aider pour les postes pour tout ce qui est communication externe oui après l'IA au sein d'un espace de networking ça j'ai des doutes

  • Speaker #1

    Bon, écoute, on arrive au terme de cette émission. Allez, encore deux questions pour la terminer. Maintenant que tu as vécu... Non, pardon. Comment on peut t'aider, Régis ? Qu'est-ce que tu cherches comme contact, comme mise en relation ?

  • Speaker #0

    Tous les groupes d'entrepreneurs, quels qu'ils soient. Inscrivez-vous sur Saréa et puis montrez-le à votre animateur, animatrice, responsable, la personne qui va pouvoir tester. Je vais faire des tests justement avec des clubs. Ils m'ont dit, on fait une visio, on regarde ensemble, on teste avec des membres et puis on voit si c'est intéressant ou pas. De toute façon, il faut tester, tout simplement. C'est pour ça que c'est gratuit, 0€ jusqu'à 15€ parce que c'est une motivation dans les deux sens. Si les autres participants ne rentrent pas dans le jeu, ce n'est même pas la peine de continuer.

  • Speaker #1

    Et maintenant que tu as vécu l'expérience du podcast, qui verrais-tu à ta place prochainement ?

  • Speaker #0

    Je vois très bien quelqu'un qui est hyper motivé et très actif, que je connais depuis le début de l'année, même si je le connaissais un peu avant. Parce que j'accompagne le SICFIC, le Syndicat des Consultants Formateurs Indépendants. Donc, ils regroupent tous les formateurs concernés par le réseautage, évidemment, parce que justement, les délégués régionaux ont à cœur la motivation de créer du networking local avec tous les formateurs de leur région. Et je pense qu'il faut que tu vois le président, donc Pascal Develay. qui vient de prendre la nouvelle présidence depuis le début de l'année et qui sera en plus qui a une action commerciale pour vraiment faire bouger les choses et comme c'est un syndicat professionnel attention ils veulent faire bouger les choses par rapport à l'état faire évoluer la profession ok super avec

  • Speaker #1

    plaisir écoute je te souhaite une belle fin de journée Régis à très bientôt merci à toi aussi et puis à bientôt et puis n'hésitez pas à aller découvrir ce que fait Régis Si vous consultez ce podcast sur les plateformes sociales, sur les Spotify, Deezer et compagnie, vous pouvez cliquer sur le lien pour découvrir le travail de Régis. Et si vous regardez ce live en direct, en rediffusion, n'hésitez pas par là à scanner le QR code. Et puis, n'hésitez pas aussi à vous abonner à l'émission et puis à partager aussi ce podcast dans votre réseau pour faire découvrir l'activité de Régis. Allez, à bientôt !

  • Speaker #0

    Au revoir, à bientôt.

Description

🎙️ Je reçois Régis Minot, inventeur génial qui a conçu l’outil Sarea qui facilite ton networking ! Véritable Géo Trouvetou du numérique, il partage son parcours d’inventeur web, de ses premières expériences dans le design produit à la création d’outils révolutionnant le réseautage et la gestion d’événements.


À travers des anecdotes, il nous raconte comment il a conçu Sarea, une plateforme qui aide les entrepreneurs et clubs d’affaires à maintenir le lien entre leurs membres et à optimiser leurs mises en relation. Passionné par la communauté et le partage, Régis dévoile également sa vision de l’avenir du networking à l’ère du digital et de l’intelligence artificielle.


Comment rester en contact avec chaque membre de son réseau local ? Comment utiliser les outils digitaux pour fluidifier les échanges et maximiser les opportunités ? Régis nous livre des stratégies concrètes et accessibles, prouvant que le réseautage efficace passe avant tout par des outils bien pensés et un véritable esprit collaboratif.


Extraits clés

  1. Une anecdote marquante :
    "J’ai lancé une communauté en ligne sur… les chinchillas ! 3 000 membres, des rencontres partout en France, des recommandations… C’était un vrai club d’affaires avant l’heure, mais pour les passionnés de rongeurs !"

  2. Un conseil inspirant :
    "Dans le réseautage, ma philosophie est simple : donne, patiente, donne encore… et peut-être que tu recevras. C’est en aidant les autres sans attente immédiate qu’on construit un réseau solide."

  3. Une technique de networking :
    "Le QR code est devenu un atout majeur en networking. Avec Saréa, on ne se contente pas d’échanger des cartes de visite : on garde une trace, on sait qui a consulté notre profil, et on peut relancer efficacement nos contacts."


👂Ecoute bien les questions que je pose à mon invité. Elles me permettront de mieux la connaître et d’apprendre à le recommander en tant que nouveau partenaire. 

🎧 Bonne écoute ! 🎧



📚 RESSOURCES

👐 LinkedIn de Régis Minot

🌐 Site web de SAREA


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Transcription

  • Speaker #0

    Rendez-vous,

  • Speaker #1

    le podcast qui fabrique et consolide votre réseau d'apporteurs d'affaires.

  • Speaker #0

    Bonjour Régis !

  • Speaker #1

    Bonjour Jean-Christophe !

  • Speaker #0

    Je suis ravi de t'avoir, on va passer 40 petites minutes ensemble. Je rappelle le concept de l'émission, il y a trois parties, il y a les mêmes quatre. il y aura d'abord ton pitch, ton fameux Elevator pitch, puis après on remontera un peu le temps tes premières expériences professionnelles tes études pour apprendre à te connaître ensuite tu auras ta carte blanche une minute qui va t'appartenir totalement qui en général n'est pas commentée et dans une dernière partie la plus longue du podcast le défi est comment aider notre réseau à nous suivre suivre notre actu, rester en contact, ne pas briser le lien, hyper important dans le monde du networking et de la vie en général. Tisser des liens puissants et apprendre à les entretenir grâce à tes solutions, on en parlera dans la dernière partie. Ok Régis, tu es bien installé, tout va bien ?

  • Speaker #1

    Oui, très bien.

  • Speaker #0

    Ok, et bien c'est parti, commence par te présenter. Allez, à toi Joey.

  • Speaker #1

    Donc je me présente comme inventeur web, c'est-à-dire que je propose des services web pour aider les entreprises. entrepreneurs pour faciliter leur réseautage et la promotion de leurs événements. Et à côté de ça, je développe pas mal de sites, de portails, d'applications web qui, certaines, justement, se transforment en services quand ça intéresse d'autres personnes.

  • Speaker #0

    Oui, tu es un peu le géo-trouve-tout. C'est exactement ça. C'est la ref.

  • Speaker #1

    En fait, je ne sais pas si tu as vu, Founder, qui raconte l'histoire du fondateur de McDonald's, et je le voyais avec ses appareils et tout, et je me disais, c'est ça maintenant, mon personal branding, si on peut dire. Parce que j'ai l'impression que j'ai une idée, je peux la développer, et puis le week-end suivant, ça y est, c'est dans la revue, ça sert, on teste, etc. Donc c'est vraiment ce que j'ai trouvé de mieux pour...

  • Speaker #0

    Je vous trouve tout, la bande à Picsou pour ceux qui n'avaient pas la ref. Alors, remontons un peu le temps, Régis, qu'est-ce que tu as fait comme études ? Tu as fait quel bac ?

  • Speaker #1

    Alors, bac F12, mais c'est vieux. J'ai une formation designer produit, en fait. Je suis dans l'artistique. même si c'est le développement aujourd'hui j'ai vraiment une formation artistique je dessinais en bac F12 on teste tout les matières tous les métiers architecte designer styliste la peinture à l'huile gouache tout y passe pour justement après savoir ce qu'on veut faire t'as vraiment ce côté créatif alors exactement c'est pour ça que quand je me et c'est pour ça je retrouve le terme avec l'inventeur dans le sens où j'ai envie de faire quelque chose je l'imagine je le réalise et l'avantage c'est que Le web, ça va beaucoup plus vite qu'avec du dessin, plus des maquettes, plus des moules, etc. On a une idée, la semaine suivante, on peut la tester.

  • Speaker #0

    Excellent. Quelles étaient tes études après ton bac ?

  • Speaker #1

    BTS d'esthétique industrielle, tout simplement. Puis après, j'ai fait un stage et puis j'ai tout de suite démarré dans la vie active parce qu'en fait, j'ai rejoint des personnes qui avaient monté une association et moi, j'étais à fond dans la 3D à l'époque. Donc, je les ai intéressés dans le sens où... Je participais à eux, ils avaient du graphisme, des pochettes de disques, on faisait des vidéos, un peu de tout. Et puis je faisais la 3D pour aussi bien des animations ou des objets, un monde tout.

  • Speaker #0

    C'est ce qu'on appelle l'impression 3D,

  • Speaker #1

    c'est ça ? Non, l'impression 3D c'est trop récent. Pour utiliser le terme d'origine, c'était l'image de synthèse. Je dessinais des meubles. du matériel industriel pour représenter ce qu'il en était parce que c'était plus compliqué de faire une photo que d'avoir un objet en 3D Et après,

  • Speaker #0

    quelles ont été tes différentes expériences ?

  • Speaker #1

    J'en ai eu plein, si on peut dire que de l'autre côté de l'Atlantique, j'ai eu pas mal d'expériences justement par rapport à ça, j'ai participé à des startups, donc avec les associés on a déjà démarré le premier magazine sur les sports mécaniques sur papier et CD-ROM, c'était la première fois on a été soutenu par Apple à l'époque on a... On avait un carrément un stand. Donc, laisser des ROMs, je ne sais pas si ça nous parle. On ne sait jamais. Ça ressemble à ça. Et justement, après, on a sorti le premier catalogue électronique. Donc ça, en vrai, c'est des ROMs du groupe Gilbert. Alors, c'est Fils Dépôt maintenant. Il y a eu plein de rachats. Donc, c'était 3000 références. Et il y avait la particularité qu'avaient développé mes associés, qui était la recherche au langage naturel. Par rapport à l'IA aujourd'hui, ça fait tellement ridicule. Mais je disais, je veux écrire sur un papier jaune et il me sortait le post-it. Voilà, tout simplement. Donc ça, c'était une innovation. Et puis après, je me suis retrouvé tout seul, on ne va pas rentrer dans le détail. Et j'ai créé RM Design, donc j'ai démarré avec des projets dans la santé. De toute façon, je travaille toujours dans la santé depuis 1998. Par la suite, j'ai retrouvé d'autres associés. J'ai développé le site topfolio.me, qui n'existe plus, qui était un portfolio en 2011 au lancement de l'iPad, qui était un portfolio à la fois on et offline, pour montrer dans une cave ce que tu montrais sur ton ordinateur, sur ton téléphone. Les gens avaient exactement la même chose. Ça, c'était une innovation, mais c'était un peu trop tôt. Et puis, il y a eu d'autres projets depuis, mais sinon, en 2015, on a lancé Flash et moi avec un partenaire. En fait, c'était l'équivalent, même si le nom ne va rien dire, c'était l'équivalent du Réseau Ciné, mais pour le théâtre, tout simplement. C'est-à-dire qu'on avait une page dans laquelle il y avait absolument tout, les témoignages, les avis, la vidéo, tout ce qu'il fallait pour présenter une pièce de théâtre. Pas le spectacle, pas le théâtre lui-même, mais chaque spectacle avait une page. Et on l'avait appelée Flash et moi parce que... On s'était vraiment mis en avance. C'était du QR code partout. C'est-à-dire qu'on avait la possibilité de savoir si la personne avait flashé dans les toilettes, dans l'entrée, dans le métro, à la colonne Maurice, n'importe où, et justement d'avoir quelques pas en retour sur investissement en se disant, tiens, telle affiche, ça vaut le coup. Après, c'était, je le dis, vraiment trop tôt. Donc malheureusement, ça s'est arrêté. Et puis après, j'ai participé à une startup sur le handicap. C'est-à-dire que cause handicap, c'était... Un outil que j'ai totalement refondu, qui était destiné aux référents handicap dans les entreprises, pour justement les accompagner et identifier les personnes qui étaient concernées, donc essentiellement du handicap invisible, et les aider à faire un dossier pour être reconnus pour la suite. Puis ça, avec les associés, ça s'est arrêté, je me suis retrouvé tout seul. Et j'ai lancé Meeting Pack, donc c'est parti d'une idée. Je disais tout à l'heure promotion des événements, c'est-à-dire que c'est un outil qui va permettre de faire la promotion dans le sens où c'est une... page, comme on voit sur d'autres sites, gratuits ou en mode premium, c'est d'avoir une page enrichie dans laquelle on peut présenter les speakers, le lieu, le programme, tout ce qu'on veut. Et après l'événement, parce que ça peut être du présentiel ou du virtuel, on va fidéliser les participants avec un espace sécurisé, dans lequel on va retrouver les replays, les informations, tout ce qui va être diffusé, mais uniquement sur place. Comme ça, ça va permettre de créer justement du réseautage, parce que les participants peuvent échanger entre eux. Ça m'a permis d'ailleurs de rencontrer lors d'Interclub des gens que je n'avais pas pu voir sur le moment. Donc, je les ai relancés par la suite. Et puis, en 2022, j'étais dans un club d'affaires et j'ai conçu Sarrea parce qu'il y avait un vrai besoin.

  • Speaker #0

    On en parlera. Et puis,

  • Speaker #1

    il y a encore eu d'autres choses, mais on va s'arrêter là parce que sinon…

  • Speaker #0

    Tu es vite basculé du côté entrepreneur. Tu étais salarié en même temps.

  • Speaker #1

    Je n'ai jamais été salarié. Quasiment pas, parce que j'ai juste fait un stage. Après, j'étais en association avec les autres. Et puis, non, j'ai toujours été entrepreneur. J'étais associé au début, évidemment. Mais au début, j'étais entrepreneur avec les autres, en étant co-gérant. Et puis après, j'ai tout de suite basculé en étant tout seul. J'ai eu des associés, je suis revenu tout seul. Parce que c'est pas que ça se passait mal, mais il y a eu différentes circonstances. Donc voilà. Et puis aujourd'hui, ça va très bien. Et j'ai tout un réseau autour de moi qui me permet de répondre à un maximum de demandes. aussi bien en direct ou avec des agences. Et puis, via les services, ça me permet justement de toucher d'autres populations ou cibles que je n'aurais pas en direct si j'étais sous-traitant.

  • Speaker #0

    Rendez-vous,

  • Speaker #1

    le podcast.

  • Speaker #0

    Alors, il est temps de passer à ta carte blanche, Régis.

  • Speaker #1

    Alors la carte blanche, je vais te faire rire, en tout cas j'espère, c'est qu'en 2000, j'avais envie d'apprendre le PHP, j'étais déjà passé dans le Flash avant, dans le Flash maintenant on a un peu oublié, parce que j'ai fait beaucoup de Flash, parce qu'à l'époque des CD-ROM c'était Macromag Director, c'est encore plus vieux mais c'était après le Flash, et donc j'ai voulu me lancer dans le PHP, alors c'était vraiment le début, il n'y avait même pas de WordPress à l'époque, et j'ai lancé la communauté ChichiWeb, et la communauté ChichiWeb c'était la communauté... C'était des maîtres de chinchilas. Le chinchila avait pas mal de succès à l'époque. Malheureusement, ça a perdu sa valeur. Donc, c'est pour ça que j'ai envie de le relancer cette année. L'opportunité pour ça. Alors, c'était un truc vraiment... Un club, une communauté vraiment particulière. Bon, il était 3000, donc je faisais le ménage. C'était là, peut-être, s'il y avait des gens qui n'étaient pas là, je les virais, tout simplement. Donc, c'était vraiment 3000 actifs. Et c'était vraiment une communauté. La particularité, c'est que c'était les chinchilas qui avaient la parole. C'est-à-dire que quand tu t'inscrivais, tu t'inscrivais au nom du chinchilla, donc le petit rondeur qui tient tout, qui mange toute la nourriture, et tout le monde se tutoyait, tout le monde échangeait. Alors ça allait plus loin, c'est-à-dire qu'on était déjà dans le parti club d'affaires, si je peux dire, c'est qu'on faisait des chichidés, des chichinites, on se retrouvait au resto, j'ai été invité à Nice, on était invité dans toute la France, c'était vraiment, on sauvait des chinchillas, c'était du délire. Et j'ai même contacté le plus grand éleveur d'Europe, c'est pour ça qu'après j'ai fait une boutique. Quand je lui ai écrit, je l'ai écrit de la part de Snoop et Tofu. Donc, je suis débarqué là-bas et il m'a pris pour un fou. Après, il a vu que c'était tous les deux, c'était un couple normal. Mais il nous l'a dit après, il nous a vraiment pris pour des fous. C'est vrai que ça allait te faire rire.

  • Speaker #0

    Et cette communauté, elle était sur quel support ? Quelle plateforme ?

  • Speaker #1

    C'était PHPNUC.

  • Speaker #0

    C'était un site web que tu avais conçu ?

  • Speaker #1

    Non, non, je n'avais pas conçu. C'était un outil comme on a au WordPress aujourd'hui. C'était à la partie forum, à la partie… En fait, c'était l'équivalent d'un outil communautaire. C'était plus évolué que Facebook, même à l'époque. Mais tu faisais ce que tu voulais, tu rajoutais des modules, tu les développais. Donc, j'avais fait une carte où on voyait tous les chinchis d'art dans toute la France. J'avais une en-cito-chichi, donc il y avait des en-cito-pédis. J'avais carrément 20 personnes, des marraines, parce que c'était essentiellement des femmes. qui m'entouraient et qui accompagnaient. C'est-à-dire que quand tu arrivais sur la communauté, tu étais accompagné, on te guidait, tu étais pris en charge. C'était une vraie communauté. Donc, il y avait de tout, des interviews. Il y avait la totalité de ce que tu peux trouver aujourd'hui sur le réseau, mais dans une communauté dédiée aux fans. Eh bien,

  • Speaker #0

    ok, super. Merci, merci Régis. Et n'hésite pas à expliquer, tu sais, je parlais de PHP, de...

  • Speaker #1

    Excuse-moi, mais j'évite les acronymes parce que sinon on ne comprend rien.

  • Speaker #0

    N'hésite pas à expliquer un petit peu rapidement ce que c'est à chaque fois.

  • Speaker #1

    Tout à fait. PHP, c'est un langage qu'on a derrière WordPress, l'utilisent de PHP, par exemple. Mais tous les outils CMS, essentiellement, sont sur PHP. La majorité des sites, après, il y a d'autres langages, mais c'est du courant.

  • Speaker #0

    Maintenant, on va passer au défi. On donne à ceux qui nous regardent ou à ceux qui nous écoutent comment suivre l'actualité, mais avant, pour rester en contact avec chaque membre de son réseau local, Mais avant, il faut qu'on parle un petit peu de Régis et du réseautage en lui-même, des clubs d'affaires, parce que tu documentes beaucoup sur LinkedIn et on invite d'ailleurs ceux qui nous écoutent à aller cliquer pour découvrir ton profil LinkedIn ou à flasher le QR code pour aller découvrir ce que tu fais. Donc tu partages beaucoup dans tes posts, très souvent des expériences, en club d'affaires notamment. Comment tu as découvert le monde du networking ? C'était dans quel contexte ?

  • Speaker #1

    Alors, évidemment, c'était ChichiWeb dont je viens de parler. C'était une communauté que j'ai créée. Ça, c'est différent, parce que c'est déjà du réseautage, en quelque sorte, parce que j'ai encore des contacts avec des gens de l'époque. Et quand on en reparle, ils se rappellent. Mais sinon, après, ce qui s'est passé, c'est que même si j'ai toujours été dans l'esprit communautaire et toujours à recommandations, à transmettre, à essayer. Dès que j'ai quelqu'un, je le fais travailler dans mon réseau. J'ai rentré dans une nouvelle agence, j'ai fait rentrer des graphistes. Ça, ça a toujours été un état d'esprit. Normalement, ma philosophie, de toute façon, c'est donne, patiente. donne encore, peut-être tu recevras. Donc ça, ça a toujours été mon état d'esprit. Et vis-à-vis de ça, il y a quelques années, une partenaire que j'ai connue dans un espace de coworking, parce que j'ai passé quelques années dans un espace de coworking, c'est comme ça que j'ai connu justement un startup, cause handicap, cette personne me disait, tiens, je vais monter un club, donc Protein pour les citer, et ça serait bien que tu viennes voir. Donc je n'étais vraiment pas très attiré au départ, j'y suis allé pour voir. Et j'ai vraiment été fan de l'état d'esprit où on démarrait 11h30, on échangeait tout, il y avait un pitch et puis après on mangeait ensemble. Après le repas, j'ai tout simplement signé. J'ai démarré comme ça pendant des années. J'ai même invité d'autres personnes, j'ai fait entrer des membres dans le club. Tout a très bien fonctionné. Et un jour, je me suis dit, avant Sarvea, donc l'outil dont je vais vous parler, c'était d'abord un tableau dans le sens où la question des clubs, c'est qu'est-ce que je vais pouvoir dire sur les autres. parce qu'on n'est pas là pour faire... Même si dans certains clubs comme BNZ, c'est très militaire, très scolaire, Protein, c'est plus souple, justement. On n'est pas là pour vendre les autres. Quand tu vas dans un club, tu n'as pas envie de prendre des notes, de savoir ce que fait l'autre. Tu n'es pas là pour vendre. Tu es là pour... Sans parler de te vendre toi, tu es là pour échanger, pour communiquer, recommander, mais de façon opportuniste. Donc, la question, c'est de savoir comment tu vas pouvoir, dans un cocktail, raconter que, tiens, il y a un tel qui est intéressé... qui pourra être aidé parce que tes enfants vont quitter le foyer ou alors tes parents vont en maison de retraite ou je ne sais quoi. Donc, j'avais fait un tableau qui a bien plu. Malheureusement, on n'a pas été rempli, dans lequel je disais, chacun, par rapport aux différentes cibles, famille, entreprise. tout ce qui est possible, vous dites ce que vous pouvez faire. Comme ça, on remplit tous et puis on arrive à savoir avant de partir dans un club, qu'est-ce que je vais pouvoir raconter, si on m'en parle, quelque chose d'approprié.

  • Speaker #0

    Après, je te coupe, mais tu reprendras. Pour que ceux qui nous écoutent comprennent un peu les enjeux, c'est vrai que quand on est dans une communauté, dans un club d'affaires, si on veut que les membres apprennent à se connaître mieux, si on leur donne des outils aussi pour se recommander, Et l'important est d'avoir de la matière pour parler efficacement de nos différents interlocuteurs. C'est ça l'idée en club d'affaires. Ce qu'on cherche, c'est aussi à former nos interlocuteurs pour qu'ils puissent parler de nous efficacement. Et cette situation est longue avant d'arriver à ce que chacun des membres puisse pitcher les uns et les autres. Donc c'est dans ce contexte qu'on... On essaye de trouver des outils facilitants pour aider les membres à se recommander efficacement.

  • Speaker #1

    Exactement. Et justement, le fait est que tu ne vas pas prendre une note parce que dans les clubs, la plupart du temps, les gens se présentent, pas seulement le pitch, c'est-à-dire qu'on a le pitch la plupart des sessions, des réunions, mais on a en plus des présentations un peu plus complètes. Ça peut être un quart d'heure, une demi-heure selon les clubs où là, il y a vraiment quelqu'un qui va s'exposer, qui peut faire une conférence, un atelier, je ne sais quoi. Encore une fois, même si c'est super intéressant, il y a certains métiers qui sont vraiment un peu plus techniques que d'autres. Et puis, il y a aussi des secteurs d'activité où les gens ne savent pas forcément communiquer parce qu'ils n'ont pas été formés pour. Je pense aux avocats, aux notaires, aux comptables. Ça rentre tout de suite dans la technique. Et toi, quand tu n'es pas dans le secteur, tu es un peu perdu. Et comment tu vas pouvoir aller en reparler pour la suite, c'est un peu difficile.

  • Speaker #0

    Oui, donc un outil facilitant cette prise de note, avoir toutes les informations à disposition.

  • Speaker #1

    Exactement. Et le principe, c'est pour ça que j'ai eu l'idée de Saria. Alors Saria, c'est un nom que j'ai trouvé parce que j'ai cherché un peu le terme réseau dans différentes langues et je l'ai trouvé en basque. Je trouve que c'est facile à retenir. J'ai mon Saria, ton Saria, je te le partage. Et le principe, c'est de se dire, entre les deux semaines, justement, entre les deux réunions, deux choses qui m'intéressent, c'est l'actualité de l'autre. Il y en a un qui est passé dans notre club à la télé, ça serait bien de le savoir, parce que comme ça, quand je vais être dans un cocktail, je vais pouvoir en parler. Et puis, l'autre point, et puis surtout le fait est qu'à côté de l'actualité, aujourd'hui, il y a les posts LinkedIn, donc LinkedIn ou d'autres réseaux sociaux. Et puis, la plupart du temps, les gens ont un site Internet qu'ils ne savent pas forcément maintenir selon la taille de l'entreprise, selon les compétences ou je ne sais quoi. Et ils ont besoin, sur leur téléphone, d'avoir quelque chose d'un peu plus sophistiqué que juste un linktree, c'est-à-dire un site dans lequel il y a des liens ou un profil LinkedIn qu'ils ne vont pas forcément mettre à jour ou avec d'autres particularités. Donc, le principe de Saréa, c'est que je vais présenter d'abord la personne parce que je recommande une personne, ce qui fait que je l'ai encore vécu la semaine dernière dans un club, dans une soirée networking. La femme qui avait justement son Saréa a sorti son téléphone plutôt que donné sa carte. et a fait flasher, ça avait la personne qui avait l'emphase qui a récupéré tout de suite les coordonnées. Donc, elle avait les coordonnées, mais elle a pu avoir la personne et derrière, son entreprise, évidemment, et il y a tous les liens comme sur d'autres sites, d'autres cartes de visite. Alors, l'avantage, c'est qu'il n'y a pas de NFC. On peut utiliser avec n'importe quel téléphone. Il faut juste un QR code. Comme je l'ai dit tout à l'heure, j'ai un sacré parcours dans le QR code, mais avec le COVID maintenant et les repas, tout ce qu'on voit dans les restaurants, tout le monde est adepte du QR code. Rendez-vous le podcast.

  • Speaker #0

    C'est intéressant ce que tu dis sur le QR code parce que c'était un peu une innovation un peu vieillissante, un peu désuète et qui a été remise complètement au goût du jour grâce à la crise sanitaire. Tu as une explication là-dessus ?

  • Speaker #1

    Déjà, c'est très très vieux parce que c'est Toyota qui l'a lancé, je ne sais plus quelle année, mais je crois que c'est dans les années 90. A l'origine, c'était fait pour référencer les pièces de mécanique pour la traçabilité. Il y avait le QR code sur les pièces et comme ça, ça permettait d'identifier l'origine. Et après, il y a très peu de gens qui s'en sont réveillés. Je l'ai vécu avec Flash et moi, typiquement, on avait une affiche où en fait, ils avaient mis le QR code en bas et c'était masqué par le cadre. Donc, il y a eu pas mal, j'ai testé aussi pas mal de QR code où en fait, ça renvoyait. Ce n'est pas drôle, mais les opérations qui étaient... peu importe le sujet, renvoyer sur des sites pornos, par exemple. Ça, c'est très mauvais. Il y avait eu des diffusions de plaquettes, de flyers, où en fait, le QR code ne fonctionnait pas. Donc, ça a pu détériorer l'image. C'est clair, quand on ne fait pas attention, quand on imprime et on ne teste pas, ça, c'est très important. Le QR code aussi, c'est gratuit déjà. Et puis, tu peux avoir des sites qui vont te le proposer. À ce moment-là, c'est du dynamique. C'est-à-dire qu'on a un lien qui est fixe. Mais ça ne renvoie pas sur le site définitif, ce qui permet justement d'avoir une traçabilité, de se dire, tiens, il y a eu tant de flashages parce qu'on ne va pas aller sur le site, mais on va passer par un lien intermédiaire, un peu comme les raccourcis URL. C'est-à-dire que je flash, je vais sur le site A, qui va me renvoyer sur le site B. Ce qui est le cas de CRR, ça te permet justement de savoir, de changer à n'importe quel moment, même si c'est un seul QR code.

  • Speaker #0

    N'hésitez pas d'ailleurs à le scanner, le QR code.

  • Speaker #1

    Oui, bien sûr. Comme ça, vous pouvez vous inscrire, vous pouvez découvrir Saraya et puis vous inscrire et l'utiliser tout de suite et en profiter. Parce que Saraya, ça peut servir, tout d'abord, c'est un annuaire pour les groupes d'entrepreneurs. Groupe, c'est pour ça que j'utilise le terme. Ça peut être des clubs d'affaires, des assos locales, un espace de coworking, c'est aussi très utile. Voir un club sportif, quel que soit le type de sport. Le but, c'est d'échanger et d'aller un peu plus loin que la carte de visite. La carte de visite, malheureusement, selon les personnes, je la prends et je la mets dans un coin. Je ne vais pas forcément reporter toutes les informations, même si ça peut être très facile. Et puis, si j'utilise des cartes digitales, c'est pareil. S'il n'y a pas forcément toutes les informations, là, j'ai un site qui peut être tout le temps mis à jour parce que ça marche aussi bien sur ordinateur que sur téléphone dans les mêmes circonstances. Et quand je parle de groupe, la problématique de tous les groupes d'entrepreneurs, c'est que les gens remplissent leur fiche. Je suis dans un énorme réseau, là, par exemple, qui a 750 membres. et en fait il n'y a que 250 fiches qui sont visibles parce que les gens ne remplissent pas parce que quel que soit leur réseau la problématique c'est qu'il faut travailler c'est à dire qu'on me demande de remplir une fiche une énième fiche, il va falloir que j'aille copier ce que j'ai mis sur LinkedIn pour le remettre sur le club que je modifie c'est un travail, c'est un travail supplémentaire donc pourquoi j'irais m'embêter pour un club alors que j'ai déjà mon fiche LinkedIn j'ai mon site, ils ont juste à aller voir mon lien prendre ma carte et puis c'est fini alors qu'avec Serria en fait je vais travailler pour moi puisque c'est ma carte de visite c'est mon profil donc je ne vais pas le faire pour les autres je vais d'abord le faire pour moi et les autres vont en profiter c'est ça le printemps c'est l'inverse de l'empathique c'est d'abord moi et les autres après mais tout le monde en profite ça réa ça remplace une carte de visite digitale tu crois ou ça la complète ? alors ça la remplace dans le sens où le but n'est pas que ça soit sur le web c'est que c'est vraiment du local même si techniquement ça peut évidemment être accessible par le web Mais le but, c'est vraiment, je suis dans une soirée, je fais flasher, la personne a toutes les informations. En plus, elle peut même récupérer ma V-card, donc stocker directement l'ensemble des informations sur son téléphone. Comme ça, il n'y a même pas de souci.

  • Speaker #0

    Donc, c'est complémentaire. En fait, c'est aussi une V-card quelque part.

  • Speaker #1

    Voilà, tout à fait. Et puis, avec l'historique, on sait qu'elle l'a dans son historique. Donc, ça ne va pas disparaître.

  • Speaker #0

    Ce qui est super intéressant, c'est qu'on a vu ça avec l'arrivée de la carte de visite digitale, c'est qu'on peut faire vivre des expériences incroyables en réseautage physique. Je m'explique. Qu'est-ce qui se passe avec les cartes de visite papier ? Les cartes de visite papier, ça reste aussi, je pense, quand même important d'en avoir quelques-unes de haute qualité dans son portefeuille parce que ça peut quand même continuer à être très utile dans certains cas. OK, on a sa carte de visite digitale ou on a sa réa, mais pourquoi pas, à l'occasion, dans un ascenseur, filer sa carte de visite ou récupérer celle de quelqu'un quand on n'a pas trop le temps d'échanger. Ça peut nous sauver la vie. Mais là où je voulais en venir, c'était vraiment cette faculté derrière de montrer un outil comme sa réa et de faire vivre en réseautage une expérience. C'est-à-dire, comme tu l'as expliqué, les gens qu'il y a dans mon réseau, tiens, tu devrais... tu devrais contacter un tel de ma part, est-ce que tu veux que je vous connecte ? Ce genre de choses qui, avec une carte de visite papier, n'est pas possible. C'est-à-dire, ah bah tiens, je te donne la carte d'un tel, etc. Donc on a l'occasion, souvent en réseautage, on va d'un contact à un autre, on n'a pas forcément le temps d'approfondir, mais on peut aussi se souvenir plus facilement de la personne parce qu'elle nous a montré son carnet d'adresse. C'est aussi comme ça que tu le penses en réseautage physique.

  • Speaker #1

    Tout à fait. Il y a deux points. Déjà, un, la carte de visite, quand tu la donnes, tu ne sais pas trop ce qu'elle va devenir. Sauf si la personne ne te rappelle, évidemment. Avec Saria, tu as la traçabilité dans le sens où à chaque fois que la personne va revenir sur ton Saria, tu vas avoir une trace dans la base. Donc, tu auras un historique, ce qui fait que le lendemain matin, si justement elle va voir ta page, tu pourras la rappeler ou peu importe l'occasion. Mais en tout cas, tu as un suivi de ta carte, de ce que tu as transcrit. Et l'autre point, c'est que si tu recommandes le Saria d'un autre, c'est pareil, il va savoir ce qui s'est passé, donc ça sera plus facile pour lui de se dire, tiens, en définitive, effectivement, la personne est allée voir mon profil, ça vaut le coup, je la rappelle. Alors que dans une carte de visite, quel que soit le support, même des liens, parce que même les cartes digitales ou les liens raccourcis, tout ce qu'on peut trouver, en fait, on sait que les gens sont allés sur LinkedIn, mais ça s'arrête là. il n'y a pas de suivi. Donc là, on a vraiment, c'est ce qu'on faisait sur Flash et moi, justement, c'est quand on regardait un spectacle, on avait un peu l'équivalent d'un Google Analytics précis pour chaque utilisateur. Donc, on pouvait dire, tiens, l'avis, il est intéressant, le témoignage, ça vaut le coup, etc. Et en plus, une traçabilité de l'un à l'autre, c'est-à-dire que quand je transmettais le Flash et moi à un tiers, il y avait encore le suivi. Et donc, dans Saria, je recommande, je me fais recommander et je vais savoir ce qui se passe. pour pouvoir mieux relancer les gens. Ce que je propose pas mal dans tout ce que je développe, c'est la préparation d'un rendez-vous commercial. C'est-à-dire qu'il y a dans un premier temps un formulaire très basique pour qu'on ait juste le nom, le prénom, entreprise, téléphone, pour que tu puisses te rappeler les gens. Et si tu poses des questions qui vont te permettre d'avoir des réponses, voire de préparer ton entretien en ayant des démos sous la main, c'est un peu plus impactant, je dirais, pendant le rendez-vous parce que tu sais tout de suite quoi lui montrer. Tu n'as pas à chercher... Tiens, il a fait tel secteur d'activité, je vais lui montrer un comparatif.

  • Speaker #0

    Au niveau du modèle économique, comment ça fonctionne, ça réale ?

  • Speaker #1

    C'est zéro frais pour les individus, pour n'importe qui, toi, moi, n'importe quel entrepreneur. Et c'est le club qui va payer. C'est-à-dire qu'à partir de 15 membres, donc tous les clubs, asso, n'importe quoi, n'importe quel type de groupe, en dessous de 15 personnes, c'est zéro frais. Et puis, dès qu'il y a une quinzième personne qui rentre dans le groupe, à ce moment-là, ils ont un abonnement selon des tarifs qui évoluent, avec paiement à l'année où on va gagner deux mois de plus, ou sinon c'est revu à tous les mois, tous les mois, tous les ans, selon la taille du groupe.

  • Speaker #0

    Et pourquoi tu as choisi de commercialiser ça uniquement au club d'affaires et pas au réseauteur en tant qu'individu ?

  • Speaker #1

    Alors ça, j'étais parti justement sur le réseauteur, parce que j'avais été parti sur la recommandation au départ, et je suis très bien coaché. par Pascal Percheron.

  • Speaker #0

    Salut Pascal !

  • Speaker #1

    Qui est ma conseiller de remarquement modèle. Il a tout à fait raison. En fait, les entrepreneurs vont devenir des ambassadeurs parce que quelque part, quelqu'un qui est dans un club, il peut l'être dans un autre, ce qui est mon cas. Il peut l'intéresser. Et puis, le club sportif, c'est un club supplémentaire. Et la plupart des entrepreneurs, je l'espère pour eux, sont aussi dans les clubs sportifs parce qu'il faut vraiment avoir un... Il y a un corps en bonne santé. Je ne vais pas entrer dans une autre application que j'ai développée parce que c'est un autre univers. Mais c'est bien d'être dans différents clubs. Et justement, l'ambassadeur, notre entrepreneur, va pouvoir communiquer en montrant sur Savara. Parce qu'il y a aussi dans Savara, le groupe en lui-même. C'est-à-dire que j'ai les autres membres de mon réseau, de mon club d'affaires, mon espace de co-op, mais je peux rajouter d'autres personnes. Donc, mon plombier, mon voisin. n'importe qui que j'ai envie de recommander parce que c'est pas seulement mon groupe je voudrais bien avoir des gens qui ne veulent pas rentrer dans le groupe ou qui ne sont pas disponibles mais que j'ai quand même envie de présenter lors de soirées de networking rendez-vous

  • Speaker #0

    le podcast alors tu peux nous en dire juste sans trop détailler t'as d'autres applis dans l'univers du networking

  • Speaker #1

    Ce n'est pas forcément le networking, bien que ce soit quand même pensé pour. C'est-à-dire que j'ai démarré un programme d'accompagnement. Pour les cités, ce n'est pas Pineshape, parce que je ne suis pas pâte de fille. Et avec le temps, il y a certaines formes qui apparaissent, même si je ne suis pas devenu énorme. J'ai quand même permis du poids grâce à eux. Et surtout, ce que j'ai apprécié, c'est l'académie, dans le sens où on apprend à comment mieux se nourrir, comment mieux vivre, pour justement aller jusqu'à la mort, évidemment. Et donc ce programme, sans entrer dans le détail, me demandait de remplir un tableau, et puis moi ça ne me convenait pas. Et puis quand on est dans les forces, je me dis que c'est vraiment très difficile de se rappeler ce qu'on est en train de faire. De dire, tiens, je vais noter 10, je vais noter ça, etc. Ton cerveau est ailleurs. Bon, maintenant ça va un peu mieux, mais au début c'était très difficile. Il y avait ça, et puis toute la journée on te demande de boire 2 litres d'eau, alors c'est une horreur, donc il faut noter. J'ai fini par noter au début dans un iPhone et puis après, je me suis dit, bon, je vais développer. Et puis, une semaine plus tard, j'ai lancé une application que j'ai conçue. Et puis, toutes les semaines, je la faisais évoluer au fur et à mesure. Et puis, un mois plus tard, j'ai lancé My Body Club, si ça m'intéresse des gens, qui permet de s'occuper à la fois de l'alimentation, des exercices physiques, tout ce qui concerne la journée. L'hydratation, la marche, le sommeil, tout, on note tout. Et puis après, en un clic, je renvoie tout dans le tableau qu'on m'a demandé. Et ça me permet de voir tous les jours ce qui se passe, d'avoir un suivi. Après, tu partages à ton coach. Et alors, si je parle de réseautage, c'est que l'idée derrière tout ça, c'est de se dire qu'un peu comme dans les clubs, la différence dans les clubs d'affaires, c'est qu'on est tous là justement pour avoir une mixité, pour avoir un mélange.

  • Speaker #0

    de profession qui vont faire que tu vas recommander des gens que tu n'aurais pas dans ton quotidien. Donc le notaire, tu n'en as pas, mais par contre là, tu en as un et justement, tu ne vas pas réduire ta famille. Par contre, dans le cas de la santé, des efforts physiques, des contraintes, c'est différent dans le sens où tu peux difficilement t'identifier à quelqu'un qui n'a pas du tout la même classe sociale, le même revenu, les mêmes contraintes. Si tu as des enfants bas âge alors que tu as des majeurs, tu ne peux pas leur parler de la même façon, tu ne vas pas leur dire… Moi, je m'occupe la nuit, alors qu'eux, ils ne peuvent pas, ils sont en train de changer les couches, ou je ne sais quoi. Donc, l'idée derrière MyBodyClub, c'est pour ça que je l'ai appelé club, c'est que quand il y aura pas mal de monde, je puisse créer des micro-communautés où on a des gens qui se ressemblent. Pour qu'ils puissent se dire, tiens, j'ai fait ça, tu pourrais le faire, parce qu'on est dans les mêmes circonstances pour agir de la même façon.

  • Speaker #1

    C'est intéressant tout ce que tu dis, tout tourne chez toi, il y a une grande appétence pour les communautés. Qu'elle soit virtuelle, qu'elle soit physique. Quelque part, au cœur du web, dans les premiers forums qu'il y a pu avoir il y a 25 ans, peut-être plus, il y avait cet esprit communautaire fort. Je sais que dans les développeurs notamment, il y a des communautés en ligne où il y a beaucoup d'entraide. Ils partagent des expertises techniques, ils s'entraident pour coder, des choses comme ça. Donc, les réseaux sont aussi au cœur du web, mais au cœur de l'individu et au cœur des humains.

  • Speaker #0

    Ah, tout à fait. C'est ça qui est génial avec le web. Et alors maintenant, c'est encore mieux. Justement, j'ai vu un post hier sur l'IA par rapport au diplôme. Et on le sait déjà, à l'AMIT, il y a différentes universités américaines qui diffusent tout en ligne. Donc, n'importe qui dans le monde peut suivre les cours, peut avoir les informations. Et le web, c'est extraordinaire pour ça. Maintenant, il y a l'IA, mais avant, je ne savais pas faire. J'allais chercher, il y avait plein de forêts. Je posais des questions et tu avais les réponses. Et c'est contributif, participatif. Tout le monde échange sans avoir de demande en retour.

  • Speaker #1

    Et l'intelligence artificielle, c'est quelque chose que tu suis actuellement, j'imagine ?

  • Speaker #0

    Depuis le début. J'ai des Ausha GPT comme tout le monde, et je m'en sers quasiment tous les jours. Aussi bien pour revoir mes posts, parce que je ne lui demande pas les posts. Je me suis développé une méthode que j'ai partagée sur Wasquare. Apparemment, il y a d'autres personnes qui l'utilisent. C'est comment écrire des posts tous les jours. Ça, c'est la grosse problématique. Ma méthode, c'est tout simplement d'avoir mon iPhone sous la main en permanence, comme tout le monde. Dès que j'ai une idée qui me vient en tête, que ce soit sous la douche, n'importe où, je la note, tout simplement. Je lis un poste, tiens, telle chose, ou alors je me rappelle d'un souvenir par rapport à mon vécu dans les clubs, je le note. Et puis après, j'ai un tapis de marche, parce que je ne marche pas assez, parce qu'on doit marcher dans le bureau. Et donc, je marche et je réponds en dictée vocale à ma question. Comme ça, j'ai le texte qui est écrit. Après, je le reprends dans Google Docs pour le reformuler. Parce qu'évidemment, en dictée vocale, ce n'est pas parfait, même si c'est l'IA. Donc, je reformule les textes, je les découpe, je rajoute des listes à puces. Je transmets tout dans le chat GPT avec un script que j'ai récupéré sur un expert. Donc, en lui disant ce que je suis, quelle est mon activité, ma cible, etc. Donc, je suis ce programme avec d'abord la question, la participation, ainsi de suite. Et puis, il me fait le texte, il me formate tout avec les puces, tout ce qu'il faut. Et puis après, tout simplement, je lui demande de l'illustrer. Et puis, je n'ai plus qu'à partager en programmant, évidemment, sur l'Indé.

  • Speaker #1

    Tu penses que l'intelligence artificielle va révolutionner notre capacité à networker ? Toi qui es un peu le géotroufe-tout du web et du networking, tu penses qu'il y a des innovations qui vont arriver bientôt ?

  • Speaker #0

    Je ne sais pas trop parce qu'en fait, l'IA, ce qui est intéressant, vis-à-vis du networking, on est quand même dans le local. même s'il y a évidemment des networking virtuels, ou alors se retrouver avec des robots qui vont participer au networking. Alors, est-ce que c'est un plus ou un moins ? Je ne sais pas. Parce que déjà, on voit qu'il y a des communautés qui se créent, Instagram et autres, ça a des influenceurs en IA. C'est une catastrophe pour moi, dans le sens où tu suis les gens qui n'existent pas. D'ailleurs, j'ai vu un post récemment passer là-dessus, où la personne disait qu'il y a une IA qui te vend des voyages. Alors que le voyage, il faut le profiter, il faut le vivre. Là, l'IA, c'est te dire, suivez-moi, regardez tel lieu, allez dans tel hôtel, mais n'allez pas aller, elle n'a pas goûté la nourriture. Donc, c'est un peu bizarre. Et dans le networking, faire rentrer des IA, un peu comme les chatbots, qui répondraient à des questions, qui recommandaient des humains, c'est un peu difficile. Je ne sais pas ce que tu en penses, mais pour moi, ça ne va pas. Par contre, que l'IA nous aide à mieux communiquer, justement, à nous aider sur le pitch, à nous aider à parler des autres, mieux nous présenter. comme je disais tout à l'heure il y a certains secteurs d'activité qui ne savent pas communiquer l'IA peut énormément les aider pour les postes pour tout ce qui est communication externe oui après l'IA au sein d'un espace de networking ça j'ai des doutes

  • Speaker #1

    Bon, écoute, on arrive au terme de cette émission. Allez, encore deux questions pour la terminer. Maintenant que tu as vécu... Non, pardon. Comment on peut t'aider, Régis ? Qu'est-ce que tu cherches comme contact, comme mise en relation ?

  • Speaker #0

    Tous les groupes d'entrepreneurs, quels qu'ils soient. Inscrivez-vous sur Saréa et puis montrez-le à votre animateur, animatrice, responsable, la personne qui va pouvoir tester. Je vais faire des tests justement avec des clubs. Ils m'ont dit, on fait une visio, on regarde ensemble, on teste avec des membres et puis on voit si c'est intéressant ou pas. De toute façon, il faut tester, tout simplement. C'est pour ça que c'est gratuit, 0€ jusqu'à 15€ parce que c'est une motivation dans les deux sens. Si les autres participants ne rentrent pas dans le jeu, ce n'est même pas la peine de continuer.

  • Speaker #1

    Et maintenant que tu as vécu l'expérience du podcast, qui verrais-tu à ta place prochainement ?

  • Speaker #0

    Je vois très bien quelqu'un qui est hyper motivé et très actif, que je connais depuis le début de l'année, même si je le connaissais un peu avant. Parce que j'accompagne le SICFIC, le Syndicat des Consultants Formateurs Indépendants. Donc, ils regroupent tous les formateurs concernés par le réseautage, évidemment, parce que justement, les délégués régionaux ont à cœur la motivation de créer du networking local avec tous les formateurs de leur région. Et je pense qu'il faut que tu vois le président, donc Pascal Develay. qui vient de prendre la nouvelle présidence depuis le début de l'année et qui sera en plus qui a une action commerciale pour vraiment faire bouger les choses et comme c'est un syndicat professionnel attention ils veulent faire bouger les choses par rapport à l'état faire évoluer la profession ok super avec

  • Speaker #1

    plaisir écoute je te souhaite une belle fin de journée Régis à très bientôt merci à toi aussi et puis à bientôt et puis n'hésitez pas à aller découvrir ce que fait Régis Si vous consultez ce podcast sur les plateformes sociales, sur les Spotify, Deezer et compagnie, vous pouvez cliquer sur le lien pour découvrir le travail de Régis. Et si vous regardez ce live en direct, en rediffusion, n'hésitez pas par là à scanner le QR code. Et puis, n'hésitez pas aussi à vous abonner à l'émission et puis à partager aussi ce podcast dans votre réseau pour faire découvrir l'activité de Régis. Allez, à bientôt !

  • Speaker #0

    Au revoir, à bientôt.

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