#29 - Aurélie Tasiemski - Vingt mille lieues sous les mers cover
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La Vie de l'Institut Pasteur de Lille

#29 - Aurélie Tasiemski - Vingt mille lieues sous les mers

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22min |02/04/2024
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Description

Saviez-vous que la recherche dans les fonds marins pouvait aider à trouver de nouveaux traitements pour les maladies humaines de la surface ? Et que les espèces des profondeurs détiennent un système immunitaire différent du nôtre ? Aurélie Tasiemski, enseignante-chercheuse à l’Université de Lille et professeure en biologie des organismes, nous explique l’importance de la recherche fondamentale sur ces « petites bêtes » qui la fascinent.


La biodiversité est une formidable ressource qui aide la communauté scientifique à comprendre comment fonctionne le vivant. « La recherche fondamentale est extrêmement importante ! Lorsque des espèces sous-marines s’éteignent, au bout du compte ça nous prive de clés pour trouver des réponses aux les problèmes de la surface », assure Aurélie. « Il faut prendre le temps d’observer le vivant. Par exemple, si un chercheur ne s’était pas intéressé à un petit vers qui vit sur les côtes bretonnes, notre capacité à réussir les greffes humaines ne serait au même niveau. »


Le métier d’Aurélie Tasiemski ne s’arrête pas là. La scientifique a exploré à plusieurs reprises les fonds marins à des milliers de mètres sous la surface. « On plonge environ 6/7h. On part sur un gros bateau dans lequel est embarqué le sous-marin et quand les conditions de mer sont favorables, on plonge pour réaliser des prélèvements. ». Une aventure encore inimaginable il y a quelques années pour Aurélie. « La première fois que j’ai embarqué, je pensais que ça ne se reproduirait jamais. Je ne voulais pas dormir, pour pouvoir profiter de chaque instant à bord du sous-marin ! C’est vraiment la plus belle chose qui me soit arrivée ! »


Bonne écoute !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Saviez-vous que la recherche dans les fonds marins pouvait aider à trouver de nouveaux traitements pour les maladies humaines de la surface ? Et que les espèces des profondeurs détiennent un système immunitaire différent du nôtre ? Aurélie Tasiemski, enseignante-chercheuse à l’Université de Lille et professeure en biologie des organismes, nous explique l’importance de la recherche fondamentale sur ces « petites bêtes » qui la fascinent.


La biodiversité est une formidable ressource qui aide la communauté scientifique à comprendre comment fonctionne le vivant. « La recherche fondamentale est extrêmement importante ! Lorsque des espèces sous-marines s’éteignent, au bout du compte ça nous prive de clés pour trouver des réponses aux les problèmes de la surface », assure Aurélie. « Il faut prendre le temps d’observer le vivant. Par exemple, si un chercheur ne s’était pas intéressé à un petit vers qui vit sur les côtes bretonnes, notre capacité à réussir les greffes humaines ne serait au même niveau. »


Le métier d’Aurélie Tasiemski ne s’arrête pas là. La scientifique a exploré à plusieurs reprises les fonds marins à des milliers de mètres sous la surface. « On plonge environ 6/7h. On part sur un gros bateau dans lequel est embarqué le sous-marin et quand les conditions de mer sont favorables, on plonge pour réaliser des prélèvements. ». Une aventure encore inimaginable il y a quelques années pour Aurélie. « La première fois que j’ai embarqué, je pensais que ça ne se reproduirait jamais. Je ne voulais pas dormir, pour pouvoir profiter de chaque instant à bord du sous-marin ! C’est vraiment la plus belle chose qui me soit arrivée ! »


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La biodiversité est une formidable ressource qui aide la communauté scientifique à comprendre comment fonctionne le vivant. « La recherche fondamentale est extrêmement importante ! Lorsque des espèces sous-marines s’éteignent, au bout du compte ça nous prive de clés pour trouver des réponses aux les problèmes de la surface », assure Aurélie. « Il faut prendre le temps d’observer le vivant. Par exemple, si un chercheur ne s’était pas intéressé à un petit vers qui vit sur les côtes bretonnes, notre capacité à réussir les greffes humaines ne serait au même niveau. »


Le métier d’Aurélie Tasiemski ne s’arrête pas là. La scientifique a exploré à plusieurs reprises les fonds marins à des milliers de mètres sous la surface. « On plonge environ 6/7h. On part sur un gros bateau dans lequel est embarqué le sous-marin et quand les conditions de mer sont favorables, on plonge pour réaliser des prélèvements. ». Une aventure encore inimaginable il y a quelques années pour Aurélie. « La première fois que j’ai embarqué, je pensais que ça ne se reproduirait jamais. Je ne voulais pas dormir, pour pouvoir profiter de chaque instant à bord du sous-marin ! C’est vraiment la plus belle chose qui me soit arrivée ! »


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La biodiversité est une formidable ressource qui aide la communauté scientifique à comprendre comment fonctionne le vivant. « La recherche fondamentale est extrêmement importante ! Lorsque des espèces sous-marines s’éteignent, au bout du compte ça nous prive de clés pour trouver des réponses aux les problèmes de la surface », assure Aurélie. « Il faut prendre le temps d’observer le vivant. Par exemple, si un chercheur ne s’était pas intéressé à un petit vers qui vit sur les côtes bretonnes, notre capacité à réussir les greffes humaines ne serait au même niveau. »


Le métier d’Aurélie Tasiemski ne s’arrête pas là. La scientifique a exploré à plusieurs reprises les fonds marins à des milliers de mètres sous la surface. « On plonge environ 6/7h. On part sur un gros bateau dans lequel est embarqué le sous-marin et quand les conditions de mer sont favorables, on plonge pour réaliser des prélèvements. ». Une aventure encore inimaginable il y a quelques années pour Aurélie. « La première fois que j’ai embarqué, je pensais que ça ne se reproduirait jamais. Je ne voulais pas dormir, pour pouvoir profiter de chaque instant à bord du sous-marin ! C’est vraiment la plus belle chose qui me soit arrivée ! »


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