Speaker #0Bienvenue dans La Voix du Cœur, le podcast qui vous reconnecte à votre nature profonde et à la beauté du vivant. Je m'appelle Cécile et depuis des années, je chemine vers plus de paix, de liberté intérieure et d'union entre toutes les dimensions de ma vie. À travers des retraites initiatiques et des accompagnements, je guide les femmes à relier spiritualité et matière pour embrasser tout leur pouvoir créateur et incarner leur couleur unique dans le monde. Dans ce podcast, je vous partage mes explorations intérieures et mes outils concrets de transformation, ainsi que des rencontres avec des personnes inspirantes qui œuvrent pour l'émergence d'une nouvelle conscience. Alors, si vous êtes prêt à réveiller votre flamme intérieure et vous engager sur le chemin d'une vie pleine de sens, vous êtes au bon endroit. Bonjour et bienvenue, je suis très heureuse de vous retrouver aujourd'hui dans ce huitième épisode du podcast La Voix du Coeur qui a pour thème « Et si votre colère était la clé cachée de votre expansion et de celle de votre entreprise ? » Dans cet épisode, j'ai envie de vous inviter à changer de regard sur cette émotion de la colère qui est souvent mal comprise, pour la voir comme une énergie de vie qui est puissante et créatrice et qui peut vraiment être une clé essentielle pour incarner tout votre potentiel et permettre à votre entreprise, à vos projets, d'accéder à un nouveau niveau d'alignement, d'impact et d'expansion. J'observais que souvent, ce qu'on vit derrière des blocages comme la sensation de stagner, d'être figé, de ne pas occuper pleinement sa place, de ne pas oser affirmer sa vérité ou se montrer, ou bien d'avoir peur du regard des autres, c'est une énergie de colère de fond qui n'est pas exprimée. Et dans mon expérience, puis dans l'accompagnement des femmes que je guide, J'ai pu observer que lorsqu'on va se réconcilier profondément avec cette émotion de colère, quand on lui permet de circuler d'une manière saine, on va pouvoir retrouver une grande partie de notre énergie de vie et de notre souveraineté intérieure. Et c'est ça qui nous permet de pouvoir reprendre notre place quand on a pu faire beaucoup de compromis pour s'adapter aux autres, de remettre du mouvement dans ce qui était figé, en redirigeant cette énergie vers une action qui est juste, et puis de réintégrer tout notre pouvoir personnel en posant des limites, en affirmant nos valeurs. Donc c'est ce que je vous propose d'aller explorer aujourd'hui. Donc déjà ce qui est important, ça va être de pouvoir changer de regard sur la colère. Beaucoup de femmes que j'accompagne sur ce chemin initiatique du déploiement de leur entreprise et de qui elles sont profondément dans le monde, ont une relation compliquée avec leur colère. En général il y a cette croyance qui est plus ou moins consciente. que la colère c'est pas vraiment bien, que c'est pas spirituel. Donc très souvent c'est une force qui va être étouffée pour correspondre à l'image de la bonne personne, empathique, qui a l'écoute, qui est toujours bienveillante. Mais parfois, de temps en temps, toute cette colère retenue va nous submerger d'un coup et finit par exploser, en général sur les personnes qu'on aime le plus. Et ça, ça entraîne un flot de jugement, de culpabilité, puis la sensation d'avoir perdu le contrôle. Et très souvent, avec la colère, on va osciller entre ces deux extrêmes qui ne sont pas des expressions saines de la colère. Donc déjà, la colère, qu'est-ce que c'est ? C'est une réponse naturelle de notre système nerveux autonome quand il y a une limite ou un besoin fondamental qui n'a pas été respecté. C'est une émotion qui est là pour nous dire « Hé, là, il y a quelque chose qui ne respecte pas ton intégrité » . Moi, j'aime beaucoup cette vision de la colère comme une gardienne de nos limites. Elle n'est pas là pour détruire, mais pour protéger ce qu'il y a de plus précieux en nous. Imaginez une mère animale qui défend ses petits. Son agressivité, ce n'est pas de la violence gratuite, c'est juste son instinct naturel de protection, pour son territoire, pour ses petits. Et notre colère fonctionne de la même manière. Donc elle est légitime et elle a un rôle fondamental. C'est vraiment une force de vie, une force motrice, qui nous permet de poser nos limites, d'affirmer nos besoins, et de transformer tout ce qui ne nous convient plus. La plupart du temps, la colère ressentie n'est pas vraiment en lien direct avec l'événement dans le présent, mais c'est l'expression de colère non exprimée dans le passé. Et c'est pour ça que l'intensité de notre colère peut parfois nous sembler disproportionnée par rapport à l'événement qui l'a déclenché. Et c'est pour ça qu'il y a souvent beaucoup de confusion autour de la colère qui peut être associée à de la violence, à une énergie qui prend le contrôle sur nous. Mais la colère en elle-même, ce n'est pas le problème. Le problème, ça va être la colère qui est réprimée ou mal canalisée, ça va être aussi toute l'histoire qu'on va se raconter sur elle, les jugements et puis la peur de la ressentir. Et très souvent, on ne se rend même pas compte qu'on ressent de la colère. Au fil de la journée par exemple, il peut y avoir plein de petits moments où on va éprouver un peu d'agacement, un peu de frustration. Mais c'est des sensations qui peuvent presque passer inaperçues parce qu'au lieu de les ressentir pleinement dans notre corps, on a tendance, on a l'habitude de les rationaliser, d'analyser, d'essayer de comprendre pourquoi et puis de se faire un peu des nœuds dans la tête. Mais vous le savez, notre mental, il adore nous raconter des histoires. Il va vite chercher un coupable, rejouer en boucle ce qui s'est passé. Il va nous rappeler pourquoi cette personne nous a blessés. Puis il nous fait vite rentrer dans ce jeu de cette fameuse posture de la victime. Et tout ça, c'est comme une stratégie finalement pour réprimer beaucoup d'énergie de colère qui va alors déborder de manière un peu dramatique quand il va y avoir un trop-plein. Et donc il y a plusieurs raisons de pourquoi la colère est comme interdite et réprimée. déjà il y a un aspect sociétal parce qu'elle est mal vue, elle n'est pas vraiment encouragée dans notre société, puis il y a vraiment un manque d'éducation émotionnelle. La plupart d'entre nous, on n'a pas eu des modèles d'une expression saine de la colère. On a grandi entouré de personnes qui étaient plutôt dans une expression, on va dire immature de leur propre colère, c'est-à-dire soit en l'exprimant d'une manière disproportionnée, en la déchargeant sur les autres, ou bien alors en l'ignorant complètement et en faisant comme si elle n'existait pas. Et en tant qu'enfant, on a rarement eu l'espace et la sécurité nécessaires pour exprimer librement notre colère. Dans de nombreuses familles encore, la colère de l'enfant est jugée comme inacceptable. Puis on entend des phrases comme « non, crie pas, calme-toi, sois sage, sois gentille » . Et donc inconsciemment, on apprend que la colère, ce n'est pas une bonne chose, que ce n'est pas bienvenu. Et ça, ça a un impact très fort quand on est enfant parce qu'en tant qu'enfant, on a deux besoins qui sont fondamentaux. C'est le besoin d'attachement, c'est-à-dire de se sentir en lien avec les personnes qui prennent soin de nous, nos parents en général, et puis le besoin d'authenticité, c'est-à-dire être en contact avec nos émotions, nos besoins et exprimer qui on est. Et s'il y a un conflit entre les deux, un enfant va toujours préserver l'attachement parce que pour un petit enfant, c'est un besoin vital, même si cela va au détriment de son authenticité. Et donc en d'autres termes, si quand un enfant vit de la colère par exemple, S'il voit que sa maman se sent mal, peut-être qu'elle va l'ignorer, qu'elle va le punir, le juger, le rejeter, il va choisir instinctivement d'étouffer petit à petit sa colère pour préserver le lien avec sa maman. Et donc tout ça, ça fait qu'aujourd'hui en tant qu'adulte, notre corps et notamment notre système nerveux peut vraiment avoir intégré cette émotion de colère comme un véritable danger. Et ça c'est vraiment important déjà de pouvoir le ressentir puis le conscientiser dans notre corps. de corps, que cette émotion de colère peut être vécue comme quelque chose de dangereux. Et c'est cela qui fait qu'on va pouvoir vivre beaucoup de culpabilité dès qu'on ressent de la colère, qu'on va mettre en place tout un tas de stratégies de fuite et que finalement on va retenir et diluer un peu ce feu intérieur et puis rester souvent dans un état de figement et pas aller au bout de nos élans de vie puis de la réalisation des projets qui nous tiennent vraiment à cœur. Et ce qui me semble important de vous partager aussi c'est que La colère, c'est aussi une énergie qui est essentielle et puis nécessaire pour pouvoir guérir des traumatismes. En tout cas, selon la vision de Peter Levin, le fondateur de la Somatic Experiencing, avec laquelle je raisonne beaucoup, qui dit qu'un traumatisme, ce n'est pas l'événement en lui-même, mais c'est l'impact qu'il laisse en nous. Et donc, il définit le traumatisme comme un figement qui va durer au-delà du temps nécessaire. C'est-à-dire une énergie de défense qui n'a pas pu être mobilisée et qui reste figée dans le corps. Pour comprendre un petit peu mieux, par exemple si un animal perçoit une menace, son système nerveux va d'abord activer une réponse instinctive de fuite ou de lutte. Donc à un niveau physiologique, c'est le système nerveux sympathique qui s'active pour aller dans la réponse de fuite ou de combat. Et ça en général c'est ce qui se passe quand on ressent de la colère. Le corps va libérer plein d'hormones dans le corps. d'adrénaline, de cortisol, le rythme cardiaque s'accélère, les muscles se mettent en tension, puis la tension se focalise pour pouvoir fuir ou attaquer. Mais si un animal ne peut faire ni l'un ni l'autre, il va rentrer dans un état de sidération, son système nerveux va se figer. Par exemple, c'est la souris qui va faire la morte dans la bouche du chat. Mais une fois que le danger est passé, par exemple que le chat l'a laissé tranquille et puis est reparti, L'animal va naturellement décharger toute l'énergie de stress accumulée en se mettant soit à trembler, soit à secouer son corps, soit en se mettant à courir dans tous les sens, dans le cas d'une souris par exemple. Et donc c'est ça qui lui permet de revenir dans un état de régulation, d'équilibre. Mais chez nous les êtres humains, ça ne se passe pas tout à fait comme ça. Pourtant ça devrait, on est câblé de la même manière, on a le même système nerveux que les animaux, mais souvent ce processus va être interrompu par notre cerveau rationnel, puis par les habitudes qu'on a dans notre société. Et donc tout au long de notre vie, on vit plein de traumatismes, que ce soit des petits ou grands. En tout cas, il y a plein de fois où il y a cette réponse d'attaque ou de fuite qui ne peut pas être utilisée, aller jusqu'au bout, et donc qui fait qu'on va rentrer dans un état de sidération, de figement. Mais ce qui est important de comprendre, c'est que pour sortir de ce figement, pour revenir dans un état de régulation, on a besoin de repasser par l'état d'activation, fuite ou combat. Et donc c'est là que l'énergie de colère intervient, et souvent c'est ça qui bloque, parce que, comme on le disait, cette énergie de colère est souvent... perçu par le corps comme quelque chose de dangereux, de pas acceptable. Et donc c'est ça qui va faire qu'on va rester dans le figement, que l'énergie reste bloquée dans le système nerveux. Et c'est ça qui au fil des années va pouvoir se traduire par du stress chronique, des tensions musculaires, de l'anxiété, et plus globalement une impression d'être bloquée dans sa vie. Donc c'est pour cela que c'est d'autant plus essentiel de se réconcilier avec cette émotion de colère. Je ne vais pas... aller dans les détails aujourd'hui sur ce sujet, il y aurait beaucoup beaucoup de choses à dire. Si vous êtes intéressé, je vous invite vraiment à lire le magnifique livre de Peter Levin qui s'appelle Réveiller le tigre. Alors maintenant, comment on fait pour exprimer sa colère de manière saine et puis libérer tout ce potentiel de vie et d'énergie en soi ? Déjà, ce qui est important, c'est de pouvoir reconnaître que votre colère est légitime. que vous avez le droit de ressentir de la colère, même s'il n'y a pas une raison entre guillemets valable. Et puis le fait que vous ressentiez de la colère, ça ne veut absolument rien dire sur vous, ça ne veut rien dire sur votre valeur, c'est pas mal, c'est pas un manque de spiritualité ou d'ouverture, c'est juste une réaction biologique de votre corps qui a une bonne raison d'être là, que ce soit pour une raison qui est dans le présent ou bien dans le passé. Et pour des personnes qui ont vraiment du mal, à pouvoir rentrer en contact avec cette émotion. Et ce n'est pas parce qu'elles ont du mal, parce qu'elles ont un problème, c'est vraiment un mécanisme de protection, de survie, que l'intelligence de la vie en nous a mis en place dans notre système. Moi j'aime bien proposer cette pratique du carnet de la colère. Je vais proposer d'écrire tous les jours dans un carnet qui est dédié à ça, tout ce qui va vous faire ressentir de la colère, même si c'est juste un tout petit peu. petit peu d'agacement ou de frustration, même si ça peut sembler insignifiant. Le but de cette pratique, ça ne va pas du tout être d'intellectualiser cette émotion de colère, mais de vous autoriser à la ressentir sans la juger et du coup à lui faire sentir que c'est ok, qu'elle a le droit d'être là. Et puis après, la grande clé pour moi, ça va être vraiment de ressentir dans le corps cette colère comme une énergie de vie qui cherche à circuler. Et trop souvent, on va essayer de calmer en faisant de la respiration, de la méditation, alors que c'est une énergie brute, c'est une énergie de vie qui a juste besoin d'être vécue, d'être pleinement ressentie et d'être pleinement accueillie dans le corps. Moi, j'aime bien dire qu'il n'y a pas quelque chose à faire avec les émotions, il y a juste à les vivre. Mais ça, on ne va pas le faire n'importe comment, parce que quand on commence à réouvrir la porte à l'expression de cette énergie de colère, ça peut être parfois très impressionnant. Et il y a souvent une grande... peur de faire du mal, de perdre le contrôle si on laisse cette colère s'exprimer. Moi j'entends souvent chez les femmes que j'accompagne, mais si je laisse sortir cette énergie, je pourrais tout casser autour de moi. Et c'est normal parce que c'est important de comprendre qu'on a en nous des quantités de colère stockées dans le corps qui sont juste énormes en fait. Imaginez que c'est toutes les fois dans votre vie où vous n'avez pas pu dire non. Que c'est toutes ces injustices que vous avez encaissées en silence, toutes les paroles que vous avez ravalées, toutes les fois où vous n'avez pas été entendue et j'en passe. Et donc ça, à un niveau physiologique, c'est ça qui se traduit par du figement, l'état de sidération dans le système nerveux. Donc c'est pour ça que c'est vraiment important, quand on travaille avec cette énergie de la colère, d'y aller avec beaucoup de douceur et beaucoup de sécurité. Parce que c'est un endroit qui est très sensible. Et que s'il y a trop d'activation, le système nerveux peut vite retourner dans le figement et on va se redissocier du corps. C'est pour ça que pour moi ce n'est pas vraiment utile ni nécessaire d'aller dans des expressions un peu cathartiques de la colère, de crier dans tous les sens pendant des heures. Ça peut peut-être faire du bien sur le moment, mais ça peut surtout faire qu'on peut se dissocier encore plus de notre corps parce qu'on va sortir de notre fenêtre de tolérance. de la zone où on peut ressentir les sensations, les émotions sans être submergé. Donc ce qui va être important ça va être d'abord vraiment renforcer le sentiment de sécurité dans le corps puis d'y aller vraiment pas à pas pour petit à petit augmenter sa capacité à ressentir de l'intensité dans le corps. Et ça c'est vraiment un des axes central dans les retraites que je propose par exemple. Donc l'idée ça va de pouvoir faire l'expérience dans le corps qu'aujourd'hui dans le présent c'est sécure de ressentir de la colère et puis de laisser le corps se mettre en mouvement. Et ce qui va être important, c'est de donner un but, une direction, comme une orientation à cette énergie de colère. Parce que si on va trop dans une expression désorganisée de la colère, on va juste renforcer notre impuissance. Donc si vous sentez qu'il y a beaucoup d'activation de colère dans votre corps, moi je vais vous inviter vraiment à ressentir, à venir en contact, et puis à aller dans des mouvements spontanés, de décharge, des mouvements qui sont... des mouvements archaïques qui sont inscrits dans le corps, mais d'une manière qui va être structurée, qui a un rythme qui est comme ordonné. Ça, ça peut être des mouvements comme marcher de manière très rythmée, ou alors laisser secouer le corps, comme du shaking. On va pouvoir aussi émettre des sons, des sons plutôt graves comme des grognements, des soupirs, taper des mains, taper des pieds dans le sol, ou dire non, Ou alors des mots qui vous viendraient comme j'ai le droit, j'existe. Ou bien alors des mouvements par exemple où on va repousser le mur avec les mains, qu'on peut faire aussi par exemple avec un partenaire. Et le plus important dans tous ces mouvements, ça va être vraiment de le faire d'une manière qui vous permette de sentir votre puissance, de sentir de la sécurité dans votre corps, de sentir les limites de votre corps, vos os, vos muscles, de sentir vraiment que vous êtes... présent, ici, maintenant, en sécurité, dans la connexion avec la Terre. Et donc le but après ce genre de pratique, c'est vraiment de pouvoir ressentir de la force, de la puissance dans votre corps, de l'énergie. Et souvent, ce qu'on appelait colère, ça peut vraiment se transformer en autre chose, en de la chaleur, en de la force, de l'intensité. Dans les retraites, les personnes témoignent souvent qu'elles retrouvent beaucoup de joie, de joie de vivre. Aujourd'hui, pour moi... et même dans notre famille c'est vraiment devenu quelque chose de naturel, de quotidien qu'on peut faire tous les jours. Mais c'est vrai qu'on n'a pas l'habitude au début, ça peut être bien de pouvoir être accompagné et puis de le faire vraiment dans un cadre très sécure. Donc vous l'avez compris, la colère ce n'est ni une ennemie, ni un problème, mais c'est vraiment une force de vie, c'est un feu intérieur qui nous invite à nous affirmer, à poser nos limites, à prendre... pleinement notre place. Et le fait de réautoriser cette force animale, sauvage, instinctive en nous, ça nous permet de récupérer beaucoup d'énergie, de vie pure et puis de retrouver beaucoup de joie, d'élan créateur, de spontanéité. Et la colère pour moi c'est vraiment une puissance créatrice et qui peut vraiment avoir un grand impact dans votre activité, dans vos projets parce que quand vous la réintégrer, c'est ça qui va vous permettre de poser des limites claires. d'assumer votre posture de guide et puis du coup d'attirer des clients qui sont vraiment engagés c'est ça qui vous permet d'affirmer votre vérité d'oser exprimer pleinement votre message mais d'honorer aussi toute la valeur de votre travail sans culpabilité et puis de prendre des décisions audacieuses qui vont vraiment soutenir de votre vision donc j'en profite pour faire une petite annonce si vous sentez que ce feu a vraiment besoin d'être réveillé en vous que vous avez envie d'oser plus d'incarner pleinement votre puissance et puis de vous sentir libre d'être totalement vous-même, je vous invite à nous rejoindre pour la retraite Impulsion qui a lieu début mai. C'est une retraite initiatique de 4 jours qui se passe en Ardèche avec cette intention de réveiller ce feu sacré en vous et puis de pouvoir manifester avec confiance ce qui vibre au plus profond de votre être, notamment avec un travail très profond sur l'énergie de la colère. Vous pouvez retrouver toutes les infos dans la description de l'épisode. Et si vous écoutez cet épisode plus tard, il y aura d'autres retraites. Ce thème de la colère s'est toujours abordé d'une manière ou d'une autre, de toute façon, dans toutes les retraites. N'hésitez pas à me partager en commentaire vos ressentis ou les questions que cet épisode aura pu faire émerger en vous. C'est toujours une grande joie de vous lire et puis de vous répondre. Je vous souhaite vraiment tout le meilleur et puis je vous dis à très bientôt. Merci pour votre écoute. Si vous avez envie d'aller plus loin, je vous donne rendez-vous sur mon site internet Terra Home. Le lien est en description. Vous retrouverez plusieurs ressources offertes pour vous reconnecter à votre essence. et révélez votre puissance intérieure. Si vous avez envie de soutenir la diffusion de ce podcast, je vous invite à me laisser 5 étoiles sur votre plateforme d'écoute et un petit mot dans la partie notes et avis d'Apple Podcast. Je serai ravie de vous lire et je vous dis à très bientôt pour un nouvel épisode.