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LE BOARD - Incubateur de solopreneurs !

17 KPIs à suivre pour vraiment scaler ton business de freelance

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21min |17/07/2025
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17 KPIs à suivre pour vraiment scaler ton business de freelance

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21min |17/07/2025
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Description

Tu crois que ton chiffre d'affaires est le seul baromètre de ta réussite ? Et si tu passais à côté des vrais indicateurs qui montrent si ton business peut vraiment scaler ?


Dans cet épisode, je t’embarque dans un audit pas comme les autres : oublie le CA et découvre les 17 KPIs qui te disent vraiment si ton business freelance est prêt à grandir.


Je te partage ici mes propres outils de pilotage de croissance, utilisés pour viser les 500K€ de chiffre d'affaires en solo. Du concret, du vécu, et surtout... du scalable.


⚡️ BONUS : rejoins l'Incubateur Solopreneur à moitié prix pour accélérer ta scalabilité dès maintenant : https://leboard.systeme.io/incubateur


📌 Comment savoir si ton personal branding commence à vraiment porter ses fruits ?
📌 Pourquoi tu devrais regarder le ratio “nouveaux clients” vs “clients fidèles” ?
📌 Quelle part de ton chiffre d’affaires est vraiment scalable (et pas juste épuisante) ?
📌 As-tu déjà sécurisé ton revenu des prochains mois ?
📌 Combien de temps passes-tu sur TON business et pas celui des autres ?
📌 Et le plus important : à quelle fréquence dis-tu NON pour dire OUI à ta scalabilité ?


Un épisode ultra complet à écouter avec un carnet et un thé glacé ☀️ pour faire le point sur ton solo business.


💌 Retrouve tous mes tips solopreneur et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


💜 Si ça t’a plu, soutiens le podcast en laissant 5 ⭐ et un avis sur Apple Podcast ou Spotify, ou en partageant sur tes réseaux (je réserve une petite surprise pour chaque avis sympa reçu).


Chaque semaine, retrouve moi un nouvel épisode sur Le Board, le podcast des solopreneurs qui veulent créer un business rentable, scalable et générer des revenus passifs. Un lundi sur deux, tu retrouveras un épisode de Solo Nation, le talk show des solopreneurs que je co-anime avec les queens et les kings du business en ligne pour partager nos coulisses garanties sans bullshit et sans filtre : Aline Bartoli aka The Bboost, Valentine Helsmoortel, aka My Creator Era, Geneviève Gauvin, Hugues Trijasse aka FrenchStartuper, Sarah Zitouni aka Powher ta carrière, Kevin Ghanbarzadeh aka Shaunz, Dimby Rakotomalala, Pauline Clavelloux aka Pauline Saas builder, Océane Sorel aka the french Virologist, Alexandre Mensier, Adrien Tornier, Lucie Carbonne.


Et l’autre semaine, découvre Le Board en solo, où je partage mes stratégies et conseils pour booster ton solobusiness. Ma mission ? T’aider à être plus libre et indépendant.


👋 Je suis Flavie Prévot, solopreneure et créatrice du Board, le premier podcast et incubateur dédié aux solopreneurs en France.

Que tu sois freelance, solopreneur, salarié en side-business ou en pleine transition vers l’indépendance, chaque épisode t’apporte des conseils concrets pour créer et scaler ton activité. Marketing, business en ligne, mindset, productivité, automatisation, génération de revenus passifs… Tout ce qu’il faut pour réussir en solo !


🎧 Si tu aimes les podcasts comme Génération Do it Yourself, Tribu Indé, J’peux pas j’ai business, Sans Permission, Marketing Square ou Young, Wild & Freelance, Solo Nation et Le Board devraient te plaire aussi !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Tu penses que ton chiffre d'affaires est le meilleur indicateur de ta réussite ? Faux. Si tu veux savoir si ton business de freelance est scalable, regarde plutôt ces 17 KPIs. Ils sont complètement contre-intuitifs, mais ils sont redoutablement prédictifs. Si tu me découvres avec cet épisode, je suis Flavie Prévost, j'ai créé Le Borde, le premier podcast et le premier incubateur pour solopreneurs de France. Et dans mon podcast, je documente mon chemin vers les 500 000 euros de chiffre d'affaires hors taxes en solo scalable. Et j'enregistre cet épisode en plein été, très exactement... Exactement au milieu de l'année, 6 mois sont écoulés, 50% de ton année en freelance. Et justement, au lieu de faire un bilan boring, un peu pénible, sans péternel qu'on a vu et revu mille fois avec du chiffre d'affaires, je vais te donner les 17 indicateurs à vraiment suivre pour savoir si ton business freelance a du potentiel de croissance élevé. N'oublie pas de t'abonner à ma newsletter, dans laquelle je vais partager mon bilan détaillé avec tous mes chiffres, car moi je pratique le build in public, donc tous mes chiffres depuis le début de l'année. Et reste avec moi jusqu'à la fin de cet épisode parce que j'ai un autre cadeau pour toi. Allez, c'est parti pour les indicateurs que tu n'auras jamais lus dans aucun blog sur le freelancing. KPI numéro 1, nombre de leads entrant. Alors ça, c'est un super indicateur pour savoir si les gens commencent à te connaître, à entendre parler de toi, notamment de ton expertise, notamment par le biais de ton média. Une question que je pose à tous mes clients ou tous mes rendez-vous découvertes, mettons, c'est comment tu as entendu parler de moi ou comment tu as entendu parler du bootcamp ? Grâce à ça, je mesure un petit peu qui parle de moi. Mes anciens clients qui commencent à me recommander, ils m'ont entendu dans telle podcast, ils m'ont lu dans tel newsletter. Parce que plus mon média fait effet boule de neige, plus je vais avoir de la recommandation indirecte qui va revenir vers moi. Ça, c'est un très bon signe de personal branding et que ton travail de construction média et d'autorité porte ses fruits. KPI numéro 2, ton chiffre d'affaires avec tes nouveaux clients versus ton chiffre d'affaires avec tes clients existants. Ça, c'est quelque chose qu'on regarde beaucoup dans le corporate, mais que je trouve qu'on ne regarde pas du tout assez en freelance. Je vois les freelances qui sont toujours en train d'acquérir de nouveaux clients, il faut que je close, il faut que j'ai des nouveaux clients, des nouveaux leads. J'ai envie de leur dire, mais pourquoi tu ne fais pas du business continu avec les clients qui t'ont déjà fait confiance ? Et ça c'est urgent dans ton business model de créer une offre pour la fidélisation de tes clients. Et moi j'ai commencé à le faire à partir de l'année dernière, je commençais à avoir 150 clients je pense dans l'incubateur solopreneur et je me suis dit, pourquoi toujours en acquérir de nouveaux autant que je les rende extrêmement contents de leur expérience Pourquoi ? pour qu'ils restent dans l'incubateur, parce que l'incubateur, c'est un mode de formation illimité pour freelance et solopreneur. Tu peux rester dedans à vie, tu auras toujours des nouveaux lives, toujours des nouvelles formations, toujours des nouveaux conseils. Donc, il n'y a pas besoin que les gens partent. Donc, j'ai qu'à les enchanter et les gens vont rester et ça me fera du business récurrent. Et c'est grâce à ça notamment que j'ai mis le paquet dans l'expérience dans l'incubateur solopreneur, en organisant des challenges ou encore des mois thématiques pour vraiment cranter les compétences. Troisième KPI, ton pourcentage de chiffre d'affaires asynchrone. ou scalable. Je m'explique. C'est bien beau de faire 150 000 euros ou 200 000 euros de chiffre d'affaires, mais si tu vends ton temps, c'est du chiffre d'affaires épuisant, éreintant. Tu vas finir en burn-out dans pas longtemps et surtout, tu n'as aucune capacité de croissance de ton chiffre d'affaires. Tu vas devoir toujours travailler plus pour gagner plus. Je te conseille plutôt de regarder quelle est la proportion de ton chiffre que tu arrives à faire de façon « passive » . Donc là, c'est tout ton chiffre d'affaires diversifié. Au début, tu en as zéro, c'est normal. Moi, la première année où j'ai diversifié, j'ai eu... 10 000 euros de chiffre d'affaires diversifié sur à peu près 100 000 euros. Ça a l'air d'être pas grand-chose, mais en fait, ça me faisait déjà un mois de congé payé. Donc, c'est hyper important de développer l'asynchronicité, c'est-à-dire récupérer de l'argent à d'autres moments où tu travailles. C'est vraiment comme ça que tu vas scaler et ça, c'est très important. Donc moi, fierté de ce début d'année, j'ai fait mon premier mois 100% asynchrone. Alors, ce n'était pas un énorme chiffre d'affaires, c'était 15 000 euros. Mais j'étais hyper fière de moi, quoi. Je n'ai pas eu de travail à faire. plus ce mois-ci pour faire du chiffre d'affaires. C'était du travail d'avant qui avait porté ses fruits et ça m'a bien aidé à prendre des vacances, me reposer un petit peu et surtout préparer la suite. KPI numéro 4. Quel est le pourcentage de ton chiffre d'affaires que tu as déjà sécurisé pour la fin d'année, voire même pour 2026 ? Si tu gères bien ton carnet de commandes, ta visibilité, ton autorité, tu devras avoir un système d'acquisition qui est mieux rodé et qui te permet de savoir à l'avance prédictibilité combien tu vas gagner. Par exemple, tu peux aussi faire des retainers, des abonnements, des contrats annuels, et tout ça, ça va sécuriser ton chiffre d'affaires. Et si tu es sécurisé, pourquoi tu t'arrêtes pas de stresser ? Pourquoi tu t'acceptes encore toutes les missions, même les missions pas chères ? Non, c'est bon, t'en as assez. N'aie pas non plus la peur de manquer en freelance, et garde le temps disponible pour construire tes produits scalables. KPI numéro 5, la LTV, la Lifetime Value. Alors ça, c'est un indicateur qu'on a plutôt dans les SaaS, c'est quelle est la valeur totale, de ton client sur sa durée de vie quand il est chez toi. Mais c'est intéressant aussi quand on est solopreneur. Je vais te donner un exemple. Par exemple, si tu as une newsletter et que cette newsletter te sert à vendre du sponsor. Sponsoring. Eh bien, figure-toi que tu peux calculer la lifetime value d'un subscriber, d'un abonné. C'est-à-dire le temps que va rester ton abonné avant de partir, de quitter ta newsletter, de se désabonner. Et pendant ce temps-là, tu vas faire du sponsoring, divisé par le nombre d'abonnés, ça va te faire un coût par abonné, enfin un gain par abonné. Eh bien, connaître cette métrique-là, c'est intéressant. parce que ça peut t'aider à savoir si ça vaut le coup, par exemple, de faire des pubs pour faire venir de nouveaux abonnés et encaisser encore plus de sponsoring ou pas. Globalement, même un client B2B, il a une LTV. Et c'est très intéressant pour toi de maximiser cette LTV, c'est-à-dire soit garder le client plus longtemps, comme on l'a vu, soit augmenter tes prix parce que c'est très difficile d'acquérir un nouveau client. Alors autant maximiser le profit que tu vas faire avec ce client qui sera d'autant plus enchanté s'il a eu accès à plusieurs produits ou services venant de ta part. KPI numéro 6, pourcentage de ton temps passé sur ton business par rapport au business des autres. Ça c'est très important en freelance parce que souvent tu te fais passer en dernier, t'es vraiment la dernière roue du carrosse et si tu fais ça, t'as jamais le temps de travailler sur la scalabilité de ton business model en fait. Et du coup, t'améliores jamais ton modèle et t'es toujours dans la course de vendre ton temps contre de l'argent. Tu peux savoir ça en traquant ton temps dans Toggle par exemple avec un hashtag ou tout simplement en bloquant tes matinées pour faire du deep work pour toi. Moi, c'est clair, toutes mes matinées sont bloquées pour moi et ensuite les après-midi pour mes clients. Donc, j'ai au moins 50% de mon temps, voire plus, qui est consacré à mon business. KPI numéro 7, nombre d'avis clients récupérés. Alors ça, c'est un peu tricky. Ça dépend si tu fais du B2B ou de la vente de produits en ligne, mais j'ai remarqué que c'est un indicateur qu'on oublie. Or, c'est très important la preuve sociale. Donc, typiquement, moi, j'ai l'incubateur solopreneur. J'ai des nouveaux incubés tous les mois. J'ai envie qu'ils soient enchantés, donc j'ai créé une bonne expérience et tout. Mais j'oublie de demander aux clients de me laisser un avis, j'oublie de demander aux auditeurs de me laisser un avis sur le podcast, j'oublie de te demander de me laisser un avis, de t'abonner à ma chaîne YouTube. Donc c'est vraiment un effort à faire pour collecter cette preuve sociale au fur et à mesure. Et tu verras que cette preuve sociale est hyper importante. Moi aujourd'hui, mes produits du board sont super bien notés sur Trustpilot, ça contribue aussi. et bien sûr au côté ambassadeur de mes clients et donc c'est clé et ça faut que tu ailles les chercher avec les dents à chaque client, à chaque mois qui passe et donc surtout en faire un automatisme. KPI numéro 8, pourcentage de contenu privé versus pourcentage de contenu public. Alors je m'explique, un contenu privé c'est par exemple un email de compte rendu que tu vas envoyer à ton client ou je ne sais pas moi si tu écris sur ton journal intime, je ne sais pas si ça existe encore. Comment s'est passé ton année de solopreneur ou de freelance ? Un contenu public, c'est par exemple une vidéo build in public sur YouTube ou encore un cas client que tu publies sur LinkedIn, un carousel où tu expliques la dernière mission en freelance, qu'est-ce qui s'est passé, qu'est-ce que tu as fait chez le client. La différence entre les deux, c'est que dans un cas, personne ne va voir le travail que tu as fait. Dans l'autre, tout le monde va être témoin de ton bon travail, de ton autorité, de ton expertise et ça va faire caisse de résonance, ça va t'aider à trouver tes futurs clients et à inspirer confiance. Donc l'idéal, c'est de transformer à peu près tous ces contenus privés en contenus publics. Ça ne veut pas dire diffuser la confidentialité, bien sûr, tu ne vas pas non plus diffuser tous tes échanges, mais typiquement, par exemple, moi je peux coacher un de mes alumnis dans mon bootcamp solopreneur qui va avoir un problème que je sais important et urgent pour ma cible. Je vais anonymiser, mais je vais dire comment faire quand on lance un bootcamp et qu'on n'arrive pas à vendre sa première cohorte par exemple. Bon, c'est quelqu'un que j'ai coaché. ce qu'on s'est dit ça restera entre cette personne et moi mais je sais que le sujet il est intéressant pour les autres donc je pourrais très bien en faire un épisode de podcast ou un post-LinkedIn Conseil numéro 9, toujours sur la création de contenu de médias, taux de recyclage de tes contenus. Alors ça, c'est vraiment un conseil que je pourrais écouter. Il y en a dans la liste que je n'applique pas du tout, mais j'adorerais. C'est au lieu de créer, créer, créer, créer tout le temps des trucs nouveaux, pourquoi pas recycler, réangler, re-purposer, comme on dit. Donc par exemple, un épisode de podcast qu'on pourrait transformer en newsletter, en livre blanc, en carousel. En fait, en théorie, un contenu, il pourrait être recyclé. à 600% c'est-à-dire 6 fois quoi donc n'hésite pas à réutiliser quand tu es solo-preneur freelance tu n'as pas beaucoup de temps il faut être malin donc il faut savoir travailler une fois et être payé plusieurs fois c'est ce qu'on appelle les tâches à effet de levier numéro 10 taux de croissance de ta liste email ou encore nombre de téléchargements de tes leads magnet alors ça c'est très important si tu vends des produits Je trouve que c'est important aussi au sens large pour avoir la propriété des données de ton client et notamment l'email et ne pas dépendre des algorithmes pour être distribué auprès de tes clients. On voit que ça peut être dangereux avec des plateformes comme LinkedIn dont le reach baisse. C'est très important d'avoir la main et une des meilleures façons d'avoir la main, c'est de pouvoir envoyer des emails aux clients, des emails intéressants, des emails de nurturing, c'est-à-dire où on va garder le contact avec eux. et pour ça, soit tu peux avoir une newsletter, soit tu peux créer un lit de magnètes. donc un petit outil, un petit produit gratuit que la personne va télécharger en échange de son email. Et ça, moi je ne faisais pas trop gaffe, je regardais juste mon nombre d'abonnés sur ma newsletter, mais c'est très intéressant de regarder d'un mois sur l'autre combien tu as gagné d'abonnés. Et là par exemple cette année, j'ai fait des mois où j'ai gagné genre 100 abonnés, et des mois où j'ai gagné 600 abonnés. Ça me questionne quand même sur quelles sont les actions que j'ai menées, etc. Ça veut dire aussi qu'on peut être... être plus proactif dans la communication de sa newsletter ou de son lead magnet, qui sont souvent des choses qu'on oublie. Comme d'habitude, on se concentre trop sur la production, la création. Je vais écrire ma newsletter ou je vais créer mon e-book, mais pas assez sur la distribution. Et typiquement, un lead magnet, il faudrait en parler idéalement au moins une fois par semaine sur tes réseaux sociaux pour rappeler qu'il existe, donner envie de s'abonner. Et même, moi, ce que j'ai vu, c'est vraiment des gens qui en parlent presque à tout leur contenu. Je pense à un créateur de contenu que j'aime bien qui s'appelle... Olly Richards, c'est un infopreneur millionnaire, etc. Et lui, il a créé une sorte de Google Doc de 100 pages anatomie d'un business à 7 chiffres, je ne sais pas quoi. Et il en parle dans toutes ses vidéos YouTube. Et il a un unique lead magnet. Je pense que du coup, il doit avoir une base email hyper qualifiée. Allez, on a presque fini. On va aborder plutôt la partie organisation de ton travail de solopreneur maintenant. KPI numéro 11, nombre de fois où tu as dit non. Ça, c'est pour les... people pleasers comme moi, moi j'ai vraiment énormément de mal à dire non. Pourtant, comme on dit, choisir c'est préférer. Et donc, si tu ne mets pas la priorité sur la construction de ton business scalable, si tu ne gardes pas du temps libre pour créer ton produit, pour créer ton podcast et tout, ben, tu n'avanceras pas. Donc, il faut dire non aux missions mal rémunérées ou aux missions tout courtes. Tu as déjà assez de chiffre d'affaires, on l'a vu. Il faut dire non à des sollicitations qui ne servent à rien. Il faut dire non aux appels synergie où tu ne sais même pas pourquoi. Je sais pas, cette semaine, ça m'est encore arrivé, j'ai eu un rendez-vous pris de nulle part, que j'ai jamais demandé pour qu'un mec me présente son produit. Je me rappelais pas qu'on ait eu cette conversation, je l'ai supprimé, et j'ai dit écoute, je suis désolée, là je garde mon agenda pour mes rendez-vous de candidature pour le bootcamp. En plus, c'est vrai que j'ai plus de place pour les prendre. Et puis, j'avais besoin de temps aussi pour créer cet épisode. Donc, bah voilà, j'ai décliné, et puis on s'est quitté bons amis, quoi. Bon, évidemment, je me doute bien que tu vas pas avoir un... un time tracker où tu vas noter à chaque fois que tu dis non. Quand je dis pourcentage de fois ou nombre de fois, c'est un peu au feeling aussi. Et souvent, quand je pose cette question aux solopreneurs, les gens savent très bien qu'ils n'ont juste pas du tout assez dit non globalement et qu'ils auraient dû être un petit peu plus avares de leur temps pour le consacrer vraiment à ce qui est nécessaire et stratégique. KPI numéro 12, pourcentage de tes tâches délégables. Alors ça, tu peux le traquer. Moi, je l'ai traqué dans Toggle. que j'utilisais au tout début où j'ai construit mes revenus scalables parce que je traquais mon temps par piliers, donc expertise, médias, produits, communautés, pour voir si j'étais... je passais assez de temps sur chaque truc. Et je traquais mon temps... aussi je m'étais mis un tag, hashtag délégable, où dès que je faisais un truc que je savais que quelqu'un d'autre pourrait faire mieux que moi, j'en typiquement uploadais mon podcast sur mon hébergeur, écrire une légende de podcast, je sais pas moi, déclarer ma TVA, je mettais hashtag délégable. À la fin du mois, j'avais fait ça en janvier, c'était horrible, je me suis rendu compte que le hashtag délégable totalisait plus de 39 heures. 39 heures dans le mois ! Donc c'est presque 10 heures par semaine. Donc là je me suis dit, ah Flav, faut vraiment que tu commences à déléguer. Et c'est là... que j'ai pris l'habitude de commencer à me dire, « Ok, quelle tâche je vais déléguer ? » Donc, je n'ai pas forcément délégué 39 heures d'un coup, mais vraiment, ça m'a ouvert les yeux sur le gain de productivité que je pouvais effectuer. Un peu dans la même veine que la délégation, les agents IA. Combien d'agents IA ou combien de processus automatisés ou augmentés par IA as-tu créé ce mois-ci ? En fait, là, c'est pareil, ça va vite de se laisser prendre au piège de « j'ai pas le temps » . Donc j'avance ma tout doux, mais comme j'avance ma tout doux, je n'ai pas le temps de faire mes agents IA et du coup je ne gagne jamais de temps. Je suis toujours vraiment dans ce cercle vicieux, visselard. Ça m'énerve. C'est pour ça d'ailleurs que j'ai créé SoloSquad, un petit produit, un petit bootcamp ultra rapide pour aider les solopreneurs à créer leurs 4 premiers agents IA. Parce que j'ai bien vu que vous étiez coincés dans le jeu sur travail, donc je n'ai pas le temps de me préparer un système qui sera plus vertueux pour la suite. Donc là, ici, il faut documenter tes process. écrire des SOP, des Standard Operation Procedure, créer des promptes, des agents IA, des GPT Customs, ce que tu veux. Mais bref, arrête de faire les trucs mille fois, les mêmes choses et tout. Essaye de systématiser. Mais pour ça, il faut se garder un petit peu de temps pour le faire. KPI 14, nombre de messages privés ou de messages ou de mails qui te disent merci, ça m'a aidé, merci beaucoup. Alors ça, c'est pour... Celles et ceux qui font des conférences, du réseau, du média. Pourquoi je te dis ça ? Ce n'est pas rémunéré, on va dire un merci, ça ne paye pas les factures, mais c'est un signe, c'est un signal très fort que tu commences à avoir une certaine forme de traction. Que quand tu publies un épisode de podcast, ça fait mouche et que les gens sont trop contents, ils apprennent trop de choses. Que quand tu assistes à une conférence, tu as marqué les esprits, avec peut-être tes insights, tes idées. Et ça, c'est souvent un signe avant-coureur que tu es... pas loin de trouver un produit ou une offre qui va faire mouche. Et moi, par exemple, quand j'ai commencé à parler de ma méthode d'hyper freelance, c'est-à-dire de solopreneur scalable à mes débuts, j'en ai parlé dans plusieurs podcasts et c'est là que j'ai commencé à recevoir des messages « Ah bon, mais comment t'as fait ? Ah, c'est super intéressant ! Ah waouh, quand t'as parlé de tes quatre piliers, ça m'a parlé tout de suite ! » Et là, je me suis dit « Ah, il y a un truc ! » Et j'ai reçu beaucoup plus de messages que pour des épisodes lambda. Donc très bon signal aussi pour toi. Allez, je me dépêche avant que la nuit tombe parce que je vois là sur mon... cadre que le soleil a l'air de se coucher à Nantes. KPI numéro 15, justement, les insights récoltés. Alors les insights, c'est très intéressant, ce sont des petites observations fines sur ton marché, sur ton persona, qui vont t'aider à créer tes futurs produits. C'est peut-être des problèmes que tu repères, des choses que tu vois dans la matrice, des glitchs dans la matrice où tu te dis c'est pas normal que les gens fassent ça, moi je pense qu'ils devraient faire ça. Et ça, c'est des très bon signaux de... consulting que tu peux faire, de produits que tu peux créer. Moi par exemple ce mois-ci j'ai récupéré un insight je me suis dit tiens il y a plein de freelance qui ont peur de devenir solo preneur, qui ont peur de lancer leurs produits parce qu'ils ont peur d'être jugés et je me suis dit tiens en fait le freelance qui devient solo preneur c'est comme un transfuge de classes il quitte sa classe, sa caste d'avant les freelance, il leur dit ciao, ciao bye bye, ciao les nazes, il va dans la caste des solo preneurs Et souvent le transfuge, il y a de la fierté d'avoir réussi, mais il y a aussi de la honte d'avoir quitté sa famille d'avant. Et je me suis dit, tiens, ça c'est un bon insight, il faudra que j'en fasse bon usage, parce que peut-être que justement il y a des alumnis dans mon bootcamp, dans l'incubateur solopreneur, qui sont entre deux eaux, comme ça il faut que je les aide à assumer ce passage, les accompagner là-dedans en termes d'état d'esprit aussi. KPI numéro 16, argent gagné et argent épargné. Alors ça c'est bête, mais quand on est hyper focus, hyper croissance, freelance solopreneur, On pense à son chiffre d'affaires à fond et on oublie un peu parfois de se payer. Moi ça m'est arrivé en tout cas, tu vois, d'optimiser sa paye et aussi de voir comment on va créer de la richesse pour son patrimoine, pour sa famille. Et donc moi par exemple cette année j'ai pris un bilan patrimonial parce que je savais que je faisais de la merde en fait, je regardais mon chiffre d'affaires, mon produit scalable et tout et j'avais oublié de capturer cette richesse pour moi et quand même si on fait cette vie... On se donne les moyens, si on déplafonne ses revenus, c'est pas pour que tout reste dans la société, c'est pour aussi en capter une partie pour notre vie, avoir une vie de rêve, enfin notre rêve à nous. Moi je sais pas si aller faire du surf de temps en temps, c'est simple, mais ça fait plaisir de pouvoir se le permettre plutôt que d'être dans la précarité, ne pas oser partir en vacances parce qu'on compte ses sous. Voilà, donc ne pas oublier aussi de capturer cette valeur pour toi. Allez, le 17ème indicateur, tu l'as bien mérité, ça va être un nombre de choses agréables. qui te tiennent à cœur, que tu as faites dans le mois, dans l'année. Par exemple, moi je compte le nombre de fois où j'ai écrit mes pages du matin. Tous les mois, je dis est-ce que c'est 6 fois, 10 fois, 12 fois, c'est jamais 30 fois. Je préfère te prévenir tout de suite. La vie idéale n'existe pas. Le nombre de livres que j'ai lu dans l'année, de romans et tout, je compte mes pas, je regarde mes pas, je regarde si je suis à 10 000 pas en moyenne ou plutôt à 7 000 pas. C'est un très bon indicateur ça de ma santé mentale et physique. Je regarde le nombre de mercredis que j'ai passé avec mes enfants. Ça je sais maintenant depuis un moment c'est tous et ça ça me fait trop du bien, je suis trop contente de profiter d'eux. Le nombre de sessions de surf, enfin voilà ça c'est mes indicateurs à moi. Et pourquoi c'est clé pour savoir si tu vas scaler ? C'est parce que scaler ça sert à ça. Ça sert à récupérer aussi des points de vie, du temps de vie. Et justement, plus tu vas faire de loisirs, plus tu vas avoir des choses que tu aimes, plus ça va te forcer à changer de système. Tu ne pourras pas être dans le présentéisme, bourré à craquer. Non, tu t'occupes de tes enfants, tu trouves des systèmes pour contourner la vente du temps et pour créer des produits scalables, ça sera une motivation supplémentaire. Parce que voilà, tu ne veux pas juste gagner plus, tu veux vivre mieux. Allez, si tu veux passer à la vitesse supérieure, intégrer ces KPIs dans ton quotidien et te créer ton plan de scalabilité sur mesure. pour dépasser ton plafond de verre en freelance. Exceptionnellement, je vais ouvrir mon incubateur à mi-année et te proposer de t'abonner jusqu'à fin décembre. Je ne fais jamais ça d'habitude parce que c'est un abonnement annuel. Mais là, je me laisse une petite fenêtre pour que tu nous rejoignes si jamais tu me découvres en milieu d'année, tu n'avais pas entendu parler de l'incubateur, tu te dis « c'est trop cool, go ! » Et surtout parce que l'été, c'est le meilleur moment pour scaler. On a le temps, on se repose, les clients nous foutent un peu la paix, donc c'est le moment de rejoindre. un incubateur solopreneur et je te propose un tarif exceptionnel parce que je te le fais à 50% donc seulement 600 euros hors taxes au lieu de 1200 euros hors taxes donc voilà go c'est le moment les places sont hyper limitées je fais ça, ça s'appelle les summer sales uniquement cet été, je te mets les infos en description de cet épisode et je te dis à très vite, on se voit de l'autre côté, côté incubateur pour enclencher ta scalabilité cet été Allez, salut les solos. Merci à vous d'avoir regardé cet épisode jusqu'au bout. Abonne-toi si ça t'a plu. Abonne-toi à ma chaîne, à mon podcast pour avoir plus de contenu sur la scalabilité et surtout très bel été et très belle deuxième moitié d'année. Ciao !

Description

Tu crois que ton chiffre d'affaires est le seul baromètre de ta réussite ? Et si tu passais à côté des vrais indicateurs qui montrent si ton business peut vraiment scaler ?


Dans cet épisode, je t’embarque dans un audit pas comme les autres : oublie le CA et découvre les 17 KPIs qui te disent vraiment si ton business freelance est prêt à grandir.


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⚡️ BONUS : rejoins l'Incubateur Solopreneur à moitié prix pour accélérer ta scalabilité dès maintenant : https://leboard.systeme.io/incubateur


📌 Comment savoir si ton personal branding commence à vraiment porter ses fruits ?
📌 Pourquoi tu devrais regarder le ratio “nouveaux clients” vs “clients fidèles” ?
📌 Quelle part de ton chiffre d’affaires est vraiment scalable (et pas juste épuisante) ?
📌 As-tu déjà sécurisé ton revenu des prochains mois ?
📌 Combien de temps passes-tu sur TON business et pas celui des autres ?
📌 Et le plus important : à quelle fréquence dis-tu NON pour dire OUI à ta scalabilité ?


Un épisode ultra complet à écouter avec un carnet et un thé glacé ☀️ pour faire le point sur ton solo business.


💌 Retrouve tous mes tips solopreneur et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


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Chaque semaine, retrouve moi un nouvel épisode sur Le Board, le podcast des solopreneurs qui veulent créer un business rentable, scalable et générer des revenus passifs. Un lundi sur deux, tu retrouveras un épisode de Solo Nation, le talk show des solopreneurs que je co-anime avec les queens et les kings du business en ligne pour partager nos coulisses garanties sans bullshit et sans filtre : Aline Bartoli aka The Bboost, Valentine Helsmoortel, aka My Creator Era, Geneviève Gauvin, Hugues Trijasse aka FrenchStartuper, Sarah Zitouni aka Powher ta carrière, Kevin Ghanbarzadeh aka Shaunz, Dimby Rakotomalala, Pauline Clavelloux aka Pauline Saas builder, Océane Sorel aka the french Virologist, Alexandre Mensier, Adrien Tornier, Lucie Carbonne.


Et l’autre semaine, découvre Le Board en solo, où je partage mes stratégies et conseils pour booster ton solobusiness. Ma mission ? T’aider à être plus libre et indépendant.


👋 Je suis Flavie Prévot, solopreneure et créatrice du Board, le premier podcast et incubateur dédié aux solopreneurs en France.

Que tu sois freelance, solopreneur, salarié en side-business ou en pleine transition vers l’indépendance, chaque épisode t’apporte des conseils concrets pour créer et scaler ton activité. Marketing, business en ligne, mindset, productivité, automatisation, génération de revenus passifs… Tout ce qu’il faut pour réussir en solo !


🎧 Si tu aimes les podcasts comme Génération Do it Yourself, Tribu Indé, J’peux pas j’ai business, Sans Permission, Marketing Square ou Young, Wild & Freelance, Solo Nation et Le Board devraient te plaire aussi !


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  • Speaker #0

    Tu penses que ton chiffre d'affaires est le meilleur indicateur de ta réussite ? Faux. Si tu veux savoir si ton business de freelance est scalable, regarde plutôt ces 17 KPIs. Ils sont complètement contre-intuitifs, mais ils sont redoutablement prédictifs. Si tu me découvres avec cet épisode, je suis Flavie Prévost, j'ai créé Le Borde, le premier podcast et le premier incubateur pour solopreneurs de France. Et dans mon podcast, je documente mon chemin vers les 500 000 euros de chiffre d'affaires hors taxes en solo scalable. Et j'enregistre cet épisode en plein été, très exactement... Exactement au milieu de l'année, 6 mois sont écoulés, 50% de ton année en freelance. Et justement, au lieu de faire un bilan boring, un peu pénible, sans péternel qu'on a vu et revu mille fois avec du chiffre d'affaires, je vais te donner les 17 indicateurs à vraiment suivre pour savoir si ton business freelance a du potentiel de croissance élevé. N'oublie pas de t'abonner à ma newsletter, dans laquelle je vais partager mon bilan détaillé avec tous mes chiffres, car moi je pratique le build in public, donc tous mes chiffres depuis le début de l'année. Et reste avec moi jusqu'à la fin de cet épisode parce que j'ai un autre cadeau pour toi. Allez, c'est parti pour les indicateurs que tu n'auras jamais lus dans aucun blog sur le freelancing. KPI numéro 1, nombre de leads entrant. Alors ça, c'est un super indicateur pour savoir si les gens commencent à te connaître, à entendre parler de toi, notamment de ton expertise, notamment par le biais de ton média. Une question que je pose à tous mes clients ou tous mes rendez-vous découvertes, mettons, c'est comment tu as entendu parler de moi ou comment tu as entendu parler du bootcamp ? Grâce à ça, je mesure un petit peu qui parle de moi. Mes anciens clients qui commencent à me recommander, ils m'ont entendu dans telle podcast, ils m'ont lu dans tel newsletter. Parce que plus mon média fait effet boule de neige, plus je vais avoir de la recommandation indirecte qui va revenir vers moi. Ça, c'est un très bon signe de personal branding et que ton travail de construction média et d'autorité porte ses fruits. KPI numéro 2, ton chiffre d'affaires avec tes nouveaux clients versus ton chiffre d'affaires avec tes clients existants. Ça, c'est quelque chose qu'on regarde beaucoup dans le corporate, mais que je trouve qu'on ne regarde pas du tout assez en freelance. Je vois les freelances qui sont toujours en train d'acquérir de nouveaux clients, il faut que je close, il faut que j'ai des nouveaux clients, des nouveaux leads. J'ai envie de leur dire, mais pourquoi tu ne fais pas du business continu avec les clients qui t'ont déjà fait confiance ? Et ça c'est urgent dans ton business model de créer une offre pour la fidélisation de tes clients. Et moi j'ai commencé à le faire à partir de l'année dernière, je commençais à avoir 150 clients je pense dans l'incubateur solopreneur et je me suis dit, pourquoi toujours en acquérir de nouveaux autant que je les rende extrêmement contents de leur expérience Pourquoi ? pour qu'ils restent dans l'incubateur, parce que l'incubateur, c'est un mode de formation illimité pour freelance et solopreneur. Tu peux rester dedans à vie, tu auras toujours des nouveaux lives, toujours des nouvelles formations, toujours des nouveaux conseils. Donc, il n'y a pas besoin que les gens partent. Donc, j'ai qu'à les enchanter et les gens vont rester et ça me fera du business récurrent. Et c'est grâce à ça notamment que j'ai mis le paquet dans l'expérience dans l'incubateur solopreneur, en organisant des challenges ou encore des mois thématiques pour vraiment cranter les compétences. Troisième KPI, ton pourcentage de chiffre d'affaires asynchrone. ou scalable. Je m'explique. C'est bien beau de faire 150 000 euros ou 200 000 euros de chiffre d'affaires, mais si tu vends ton temps, c'est du chiffre d'affaires épuisant, éreintant. Tu vas finir en burn-out dans pas longtemps et surtout, tu n'as aucune capacité de croissance de ton chiffre d'affaires. Tu vas devoir toujours travailler plus pour gagner plus. Je te conseille plutôt de regarder quelle est la proportion de ton chiffre que tu arrives à faire de façon « passive » . Donc là, c'est tout ton chiffre d'affaires diversifié. Au début, tu en as zéro, c'est normal. Moi, la première année où j'ai diversifié, j'ai eu... 10 000 euros de chiffre d'affaires diversifié sur à peu près 100 000 euros. Ça a l'air d'être pas grand-chose, mais en fait, ça me faisait déjà un mois de congé payé. Donc, c'est hyper important de développer l'asynchronicité, c'est-à-dire récupérer de l'argent à d'autres moments où tu travailles. C'est vraiment comme ça que tu vas scaler et ça, c'est très important. Donc moi, fierté de ce début d'année, j'ai fait mon premier mois 100% asynchrone. Alors, ce n'était pas un énorme chiffre d'affaires, c'était 15 000 euros. Mais j'étais hyper fière de moi, quoi. Je n'ai pas eu de travail à faire. plus ce mois-ci pour faire du chiffre d'affaires. C'était du travail d'avant qui avait porté ses fruits et ça m'a bien aidé à prendre des vacances, me reposer un petit peu et surtout préparer la suite. KPI numéro 4. Quel est le pourcentage de ton chiffre d'affaires que tu as déjà sécurisé pour la fin d'année, voire même pour 2026 ? Si tu gères bien ton carnet de commandes, ta visibilité, ton autorité, tu devras avoir un système d'acquisition qui est mieux rodé et qui te permet de savoir à l'avance prédictibilité combien tu vas gagner. Par exemple, tu peux aussi faire des retainers, des abonnements, des contrats annuels, et tout ça, ça va sécuriser ton chiffre d'affaires. Et si tu es sécurisé, pourquoi tu t'arrêtes pas de stresser ? Pourquoi tu t'acceptes encore toutes les missions, même les missions pas chères ? Non, c'est bon, t'en as assez. N'aie pas non plus la peur de manquer en freelance, et garde le temps disponible pour construire tes produits scalables. KPI numéro 5, la LTV, la Lifetime Value. Alors ça, c'est un indicateur qu'on a plutôt dans les SaaS, c'est quelle est la valeur totale, de ton client sur sa durée de vie quand il est chez toi. Mais c'est intéressant aussi quand on est solopreneur. Je vais te donner un exemple. Par exemple, si tu as une newsletter et que cette newsletter te sert à vendre du sponsor. Sponsoring. Eh bien, figure-toi que tu peux calculer la lifetime value d'un subscriber, d'un abonné. C'est-à-dire le temps que va rester ton abonné avant de partir, de quitter ta newsletter, de se désabonner. Et pendant ce temps-là, tu vas faire du sponsoring, divisé par le nombre d'abonnés, ça va te faire un coût par abonné, enfin un gain par abonné. Eh bien, connaître cette métrique-là, c'est intéressant. parce que ça peut t'aider à savoir si ça vaut le coup, par exemple, de faire des pubs pour faire venir de nouveaux abonnés et encaisser encore plus de sponsoring ou pas. Globalement, même un client B2B, il a une LTV. Et c'est très intéressant pour toi de maximiser cette LTV, c'est-à-dire soit garder le client plus longtemps, comme on l'a vu, soit augmenter tes prix parce que c'est très difficile d'acquérir un nouveau client. Alors autant maximiser le profit que tu vas faire avec ce client qui sera d'autant plus enchanté s'il a eu accès à plusieurs produits ou services venant de ta part. KPI numéro 6, pourcentage de ton temps passé sur ton business par rapport au business des autres. Ça c'est très important en freelance parce que souvent tu te fais passer en dernier, t'es vraiment la dernière roue du carrosse et si tu fais ça, t'as jamais le temps de travailler sur la scalabilité de ton business model en fait. Et du coup, t'améliores jamais ton modèle et t'es toujours dans la course de vendre ton temps contre de l'argent. Tu peux savoir ça en traquant ton temps dans Toggle par exemple avec un hashtag ou tout simplement en bloquant tes matinées pour faire du deep work pour toi. Moi, c'est clair, toutes mes matinées sont bloquées pour moi et ensuite les après-midi pour mes clients. Donc, j'ai au moins 50% de mon temps, voire plus, qui est consacré à mon business. KPI numéro 7, nombre d'avis clients récupérés. Alors ça, c'est un peu tricky. Ça dépend si tu fais du B2B ou de la vente de produits en ligne, mais j'ai remarqué que c'est un indicateur qu'on oublie. Or, c'est très important la preuve sociale. Donc, typiquement, moi, j'ai l'incubateur solopreneur. J'ai des nouveaux incubés tous les mois. J'ai envie qu'ils soient enchantés, donc j'ai créé une bonne expérience et tout. Mais j'oublie de demander aux clients de me laisser un avis, j'oublie de demander aux auditeurs de me laisser un avis sur le podcast, j'oublie de te demander de me laisser un avis, de t'abonner à ma chaîne YouTube. Donc c'est vraiment un effort à faire pour collecter cette preuve sociale au fur et à mesure. Et tu verras que cette preuve sociale est hyper importante. Moi aujourd'hui, mes produits du board sont super bien notés sur Trustpilot, ça contribue aussi. et bien sûr au côté ambassadeur de mes clients et donc c'est clé et ça faut que tu ailles les chercher avec les dents à chaque client, à chaque mois qui passe et donc surtout en faire un automatisme. KPI numéro 8, pourcentage de contenu privé versus pourcentage de contenu public. Alors je m'explique, un contenu privé c'est par exemple un email de compte rendu que tu vas envoyer à ton client ou je ne sais pas moi si tu écris sur ton journal intime, je ne sais pas si ça existe encore. Comment s'est passé ton année de solopreneur ou de freelance ? Un contenu public, c'est par exemple une vidéo build in public sur YouTube ou encore un cas client que tu publies sur LinkedIn, un carousel où tu expliques la dernière mission en freelance, qu'est-ce qui s'est passé, qu'est-ce que tu as fait chez le client. La différence entre les deux, c'est que dans un cas, personne ne va voir le travail que tu as fait. Dans l'autre, tout le monde va être témoin de ton bon travail, de ton autorité, de ton expertise et ça va faire caisse de résonance, ça va t'aider à trouver tes futurs clients et à inspirer confiance. Donc l'idéal, c'est de transformer à peu près tous ces contenus privés en contenus publics. Ça ne veut pas dire diffuser la confidentialité, bien sûr, tu ne vas pas non plus diffuser tous tes échanges, mais typiquement, par exemple, moi je peux coacher un de mes alumnis dans mon bootcamp solopreneur qui va avoir un problème que je sais important et urgent pour ma cible. Je vais anonymiser, mais je vais dire comment faire quand on lance un bootcamp et qu'on n'arrive pas à vendre sa première cohorte par exemple. Bon, c'est quelqu'un que j'ai coaché. ce qu'on s'est dit ça restera entre cette personne et moi mais je sais que le sujet il est intéressant pour les autres donc je pourrais très bien en faire un épisode de podcast ou un post-LinkedIn Conseil numéro 9, toujours sur la création de contenu de médias, taux de recyclage de tes contenus. Alors ça, c'est vraiment un conseil que je pourrais écouter. Il y en a dans la liste que je n'applique pas du tout, mais j'adorerais. C'est au lieu de créer, créer, créer, créer tout le temps des trucs nouveaux, pourquoi pas recycler, réangler, re-purposer, comme on dit. Donc par exemple, un épisode de podcast qu'on pourrait transformer en newsletter, en livre blanc, en carousel. En fait, en théorie, un contenu, il pourrait être recyclé. à 600% c'est-à-dire 6 fois quoi donc n'hésite pas à réutiliser quand tu es solo-preneur freelance tu n'as pas beaucoup de temps il faut être malin donc il faut savoir travailler une fois et être payé plusieurs fois c'est ce qu'on appelle les tâches à effet de levier numéro 10 taux de croissance de ta liste email ou encore nombre de téléchargements de tes leads magnet alors ça c'est très important si tu vends des produits Je trouve que c'est important aussi au sens large pour avoir la propriété des données de ton client et notamment l'email et ne pas dépendre des algorithmes pour être distribué auprès de tes clients. On voit que ça peut être dangereux avec des plateformes comme LinkedIn dont le reach baisse. C'est très important d'avoir la main et une des meilleures façons d'avoir la main, c'est de pouvoir envoyer des emails aux clients, des emails intéressants, des emails de nurturing, c'est-à-dire où on va garder le contact avec eux. et pour ça, soit tu peux avoir une newsletter, soit tu peux créer un lit de magnètes. donc un petit outil, un petit produit gratuit que la personne va télécharger en échange de son email. Et ça, moi je ne faisais pas trop gaffe, je regardais juste mon nombre d'abonnés sur ma newsletter, mais c'est très intéressant de regarder d'un mois sur l'autre combien tu as gagné d'abonnés. Et là par exemple cette année, j'ai fait des mois où j'ai gagné genre 100 abonnés, et des mois où j'ai gagné 600 abonnés. Ça me questionne quand même sur quelles sont les actions que j'ai menées, etc. Ça veut dire aussi qu'on peut être... être plus proactif dans la communication de sa newsletter ou de son lead magnet, qui sont souvent des choses qu'on oublie. Comme d'habitude, on se concentre trop sur la production, la création. Je vais écrire ma newsletter ou je vais créer mon e-book, mais pas assez sur la distribution. Et typiquement, un lead magnet, il faudrait en parler idéalement au moins une fois par semaine sur tes réseaux sociaux pour rappeler qu'il existe, donner envie de s'abonner. Et même, moi, ce que j'ai vu, c'est vraiment des gens qui en parlent presque à tout leur contenu. Je pense à un créateur de contenu que j'aime bien qui s'appelle... Olly Richards, c'est un infopreneur millionnaire, etc. Et lui, il a créé une sorte de Google Doc de 100 pages anatomie d'un business à 7 chiffres, je ne sais pas quoi. Et il en parle dans toutes ses vidéos YouTube. Et il a un unique lead magnet. Je pense que du coup, il doit avoir une base email hyper qualifiée. Allez, on a presque fini. On va aborder plutôt la partie organisation de ton travail de solopreneur maintenant. KPI numéro 11, nombre de fois où tu as dit non. Ça, c'est pour les... people pleasers comme moi, moi j'ai vraiment énormément de mal à dire non. Pourtant, comme on dit, choisir c'est préférer. Et donc, si tu ne mets pas la priorité sur la construction de ton business scalable, si tu ne gardes pas du temps libre pour créer ton produit, pour créer ton podcast et tout, ben, tu n'avanceras pas. Donc, il faut dire non aux missions mal rémunérées ou aux missions tout courtes. Tu as déjà assez de chiffre d'affaires, on l'a vu. Il faut dire non à des sollicitations qui ne servent à rien. Il faut dire non aux appels synergie où tu ne sais même pas pourquoi. Je sais pas, cette semaine, ça m'est encore arrivé, j'ai eu un rendez-vous pris de nulle part, que j'ai jamais demandé pour qu'un mec me présente son produit. Je me rappelais pas qu'on ait eu cette conversation, je l'ai supprimé, et j'ai dit écoute, je suis désolée, là je garde mon agenda pour mes rendez-vous de candidature pour le bootcamp. En plus, c'est vrai que j'ai plus de place pour les prendre. Et puis, j'avais besoin de temps aussi pour créer cet épisode. Donc, bah voilà, j'ai décliné, et puis on s'est quitté bons amis, quoi. Bon, évidemment, je me doute bien que tu vas pas avoir un... un time tracker où tu vas noter à chaque fois que tu dis non. Quand je dis pourcentage de fois ou nombre de fois, c'est un peu au feeling aussi. Et souvent, quand je pose cette question aux solopreneurs, les gens savent très bien qu'ils n'ont juste pas du tout assez dit non globalement et qu'ils auraient dû être un petit peu plus avares de leur temps pour le consacrer vraiment à ce qui est nécessaire et stratégique. KPI numéro 12, pourcentage de tes tâches délégables. Alors ça, tu peux le traquer. Moi, je l'ai traqué dans Toggle. que j'utilisais au tout début où j'ai construit mes revenus scalables parce que je traquais mon temps par piliers, donc expertise, médias, produits, communautés, pour voir si j'étais... je passais assez de temps sur chaque truc. Et je traquais mon temps... aussi je m'étais mis un tag, hashtag délégable, où dès que je faisais un truc que je savais que quelqu'un d'autre pourrait faire mieux que moi, j'en typiquement uploadais mon podcast sur mon hébergeur, écrire une légende de podcast, je sais pas moi, déclarer ma TVA, je mettais hashtag délégable. À la fin du mois, j'avais fait ça en janvier, c'était horrible, je me suis rendu compte que le hashtag délégable totalisait plus de 39 heures. 39 heures dans le mois ! Donc c'est presque 10 heures par semaine. Donc là je me suis dit, ah Flav, faut vraiment que tu commences à déléguer. Et c'est là... que j'ai pris l'habitude de commencer à me dire, « Ok, quelle tâche je vais déléguer ? » Donc, je n'ai pas forcément délégué 39 heures d'un coup, mais vraiment, ça m'a ouvert les yeux sur le gain de productivité que je pouvais effectuer. Un peu dans la même veine que la délégation, les agents IA. Combien d'agents IA ou combien de processus automatisés ou augmentés par IA as-tu créé ce mois-ci ? En fait, là, c'est pareil, ça va vite de se laisser prendre au piège de « j'ai pas le temps » . Donc j'avance ma tout doux, mais comme j'avance ma tout doux, je n'ai pas le temps de faire mes agents IA et du coup je ne gagne jamais de temps. Je suis toujours vraiment dans ce cercle vicieux, visselard. Ça m'énerve. C'est pour ça d'ailleurs que j'ai créé SoloSquad, un petit produit, un petit bootcamp ultra rapide pour aider les solopreneurs à créer leurs 4 premiers agents IA. Parce que j'ai bien vu que vous étiez coincés dans le jeu sur travail, donc je n'ai pas le temps de me préparer un système qui sera plus vertueux pour la suite. Donc là, ici, il faut documenter tes process. écrire des SOP, des Standard Operation Procedure, créer des promptes, des agents IA, des GPT Customs, ce que tu veux. Mais bref, arrête de faire les trucs mille fois, les mêmes choses et tout. Essaye de systématiser. Mais pour ça, il faut se garder un petit peu de temps pour le faire. KPI 14, nombre de messages privés ou de messages ou de mails qui te disent merci, ça m'a aidé, merci beaucoup. Alors ça, c'est pour... Celles et ceux qui font des conférences, du réseau, du média. Pourquoi je te dis ça ? Ce n'est pas rémunéré, on va dire un merci, ça ne paye pas les factures, mais c'est un signe, c'est un signal très fort que tu commences à avoir une certaine forme de traction. Que quand tu publies un épisode de podcast, ça fait mouche et que les gens sont trop contents, ils apprennent trop de choses. Que quand tu assistes à une conférence, tu as marqué les esprits, avec peut-être tes insights, tes idées. Et ça, c'est souvent un signe avant-coureur que tu es... pas loin de trouver un produit ou une offre qui va faire mouche. Et moi, par exemple, quand j'ai commencé à parler de ma méthode d'hyper freelance, c'est-à-dire de solopreneur scalable à mes débuts, j'en ai parlé dans plusieurs podcasts et c'est là que j'ai commencé à recevoir des messages « Ah bon, mais comment t'as fait ? Ah, c'est super intéressant ! Ah waouh, quand t'as parlé de tes quatre piliers, ça m'a parlé tout de suite ! » Et là, je me suis dit « Ah, il y a un truc ! » Et j'ai reçu beaucoup plus de messages que pour des épisodes lambda. Donc très bon signal aussi pour toi. Allez, je me dépêche avant que la nuit tombe parce que je vois là sur mon... cadre que le soleil a l'air de se coucher à Nantes. KPI numéro 15, justement, les insights récoltés. Alors les insights, c'est très intéressant, ce sont des petites observations fines sur ton marché, sur ton persona, qui vont t'aider à créer tes futurs produits. C'est peut-être des problèmes que tu repères, des choses que tu vois dans la matrice, des glitchs dans la matrice où tu te dis c'est pas normal que les gens fassent ça, moi je pense qu'ils devraient faire ça. Et ça, c'est des très bon signaux de... consulting que tu peux faire, de produits que tu peux créer. Moi par exemple ce mois-ci j'ai récupéré un insight je me suis dit tiens il y a plein de freelance qui ont peur de devenir solo preneur, qui ont peur de lancer leurs produits parce qu'ils ont peur d'être jugés et je me suis dit tiens en fait le freelance qui devient solo preneur c'est comme un transfuge de classes il quitte sa classe, sa caste d'avant les freelance, il leur dit ciao, ciao bye bye, ciao les nazes, il va dans la caste des solo preneurs Et souvent le transfuge, il y a de la fierté d'avoir réussi, mais il y a aussi de la honte d'avoir quitté sa famille d'avant. Et je me suis dit, tiens, ça c'est un bon insight, il faudra que j'en fasse bon usage, parce que peut-être que justement il y a des alumnis dans mon bootcamp, dans l'incubateur solopreneur, qui sont entre deux eaux, comme ça il faut que je les aide à assumer ce passage, les accompagner là-dedans en termes d'état d'esprit aussi. KPI numéro 16, argent gagné et argent épargné. Alors ça c'est bête, mais quand on est hyper focus, hyper croissance, freelance solopreneur, On pense à son chiffre d'affaires à fond et on oublie un peu parfois de se payer. Moi ça m'est arrivé en tout cas, tu vois, d'optimiser sa paye et aussi de voir comment on va créer de la richesse pour son patrimoine, pour sa famille. Et donc moi par exemple cette année j'ai pris un bilan patrimonial parce que je savais que je faisais de la merde en fait, je regardais mon chiffre d'affaires, mon produit scalable et tout et j'avais oublié de capturer cette richesse pour moi et quand même si on fait cette vie... On se donne les moyens, si on déplafonne ses revenus, c'est pas pour que tout reste dans la société, c'est pour aussi en capter une partie pour notre vie, avoir une vie de rêve, enfin notre rêve à nous. Moi je sais pas si aller faire du surf de temps en temps, c'est simple, mais ça fait plaisir de pouvoir se le permettre plutôt que d'être dans la précarité, ne pas oser partir en vacances parce qu'on compte ses sous. Voilà, donc ne pas oublier aussi de capturer cette valeur pour toi. Allez, le 17ème indicateur, tu l'as bien mérité, ça va être un nombre de choses agréables. qui te tiennent à cœur, que tu as faites dans le mois, dans l'année. Par exemple, moi je compte le nombre de fois où j'ai écrit mes pages du matin. Tous les mois, je dis est-ce que c'est 6 fois, 10 fois, 12 fois, c'est jamais 30 fois. Je préfère te prévenir tout de suite. La vie idéale n'existe pas. Le nombre de livres que j'ai lu dans l'année, de romans et tout, je compte mes pas, je regarde mes pas, je regarde si je suis à 10 000 pas en moyenne ou plutôt à 7 000 pas. C'est un très bon indicateur ça de ma santé mentale et physique. Je regarde le nombre de mercredis que j'ai passé avec mes enfants. Ça je sais maintenant depuis un moment c'est tous et ça ça me fait trop du bien, je suis trop contente de profiter d'eux. Le nombre de sessions de surf, enfin voilà ça c'est mes indicateurs à moi. Et pourquoi c'est clé pour savoir si tu vas scaler ? C'est parce que scaler ça sert à ça. Ça sert à récupérer aussi des points de vie, du temps de vie. Et justement, plus tu vas faire de loisirs, plus tu vas avoir des choses que tu aimes, plus ça va te forcer à changer de système. Tu ne pourras pas être dans le présentéisme, bourré à craquer. Non, tu t'occupes de tes enfants, tu trouves des systèmes pour contourner la vente du temps et pour créer des produits scalables, ça sera une motivation supplémentaire. Parce que voilà, tu ne veux pas juste gagner plus, tu veux vivre mieux. Allez, si tu veux passer à la vitesse supérieure, intégrer ces KPIs dans ton quotidien et te créer ton plan de scalabilité sur mesure. pour dépasser ton plafond de verre en freelance. Exceptionnellement, je vais ouvrir mon incubateur à mi-année et te proposer de t'abonner jusqu'à fin décembre. Je ne fais jamais ça d'habitude parce que c'est un abonnement annuel. Mais là, je me laisse une petite fenêtre pour que tu nous rejoignes si jamais tu me découvres en milieu d'année, tu n'avais pas entendu parler de l'incubateur, tu te dis « c'est trop cool, go ! » Et surtout parce que l'été, c'est le meilleur moment pour scaler. On a le temps, on se repose, les clients nous foutent un peu la paix, donc c'est le moment de rejoindre. un incubateur solopreneur et je te propose un tarif exceptionnel parce que je te le fais à 50% donc seulement 600 euros hors taxes au lieu de 1200 euros hors taxes donc voilà go c'est le moment les places sont hyper limitées je fais ça, ça s'appelle les summer sales uniquement cet été, je te mets les infos en description de cet épisode et je te dis à très vite, on se voit de l'autre côté, côté incubateur pour enclencher ta scalabilité cet été Allez, salut les solos. Merci à vous d'avoir regardé cet épisode jusqu'au bout. Abonne-toi si ça t'a plu. Abonne-toi à ma chaîne, à mon podcast pour avoir plus de contenu sur la scalabilité et surtout très bel été et très belle deuxième moitié d'année. Ciao !

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    Tu penses que ton chiffre d'affaires est le meilleur indicateur de ta réussite ? Faux. Si tu veux savoir si ton business de freelance est scalable, regarde plutôt ces 17 KPIs. Ils sont complètement contre-intuitifs, mais ils sont redoutablement prédictifs. Si tu me découvres avec cet épisode, je suis Flavie Prévost, j'ai créé Le Borde, le premier podcast et le premier incubateur pour solopreneurs de France. Et dans mon podcast, je documente mon chemin vers les 500 000 euros de chiffre d'affaires hors taxes en solo scalable. Et j'enregistre cet épisode en plein été, très exactement... Exactement au milieu de l'année, 6 mois sont écoulés, 50% de ton année en freelance. Et justement, au lieu de faire un bilan boring, un peu pénible, sans péternel qu'on a vu et revu mille fois avec du chiffre d'affaires, je vais te donner les 17 indicateurs à vraiment suivre pour savoir si ton business freelance a du potentiel de croissance élevé. 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Parce que plus mon média fait effet boule de neige, plus je vais avoir de la recommandation indirecte qui va revenir vers moi. Ça, c'est un très bon signe de personal branding et que ton travail de construction média et d'autorité porte ses fruits. KPI numéro 2, ton chiffre d'affaires avec tes nouveaux clients versus ton chiffre d'affaires avec tes clients existants. Ça, c'est quelque chose qu'on regarde beaucoup dans le corporate, mais que je trouve qu'on ne regarde pas du tout assez en freelance. Je vois les freelances qui sont toujours en train d'acquérir de nouveaux clients, il faut que je close, il faut que j'ai des nouveaux clients, des nouveaux leads. J'ai envie de leur dire, mais pourquoi tu ne fais pas du business continu avec les clients qui t'ont déjà fait confiance ? Et ça c'est urgent dans ton business model de créer une offre pour la fidélisation de tes clients. Et moi j'ai commencé à le faire à partir de l'année dernière, je commençais à avoir 150 clients je pense dans l'incubateur solopreneur et je me suis dit, pourquoi toujours en acquérir de nouveaux autant que je les rende extrêmement contents de leur expérience Pourquoi ? pour qu'ils restent dans l'incubateur, parce que l'incubateur, c'est un mode de formation illimité pour freelance et solopreneur. Tu peux rester dedans à vie, tu auras toujours des nouveaux lives, toujours des nouvelles formations, toujours des nouveaux conseils. Donc, il n'y a pas besoin que les gens partent. Donc, j'ai qu'à les enchanter et les gens vont rester et ça me fera du business récurrent. Et c'est grâce à ça notamment que j'ai mis le paquet dans l'expérience dans l'incubateur solopreneur, en organisant des challenges ou encore des mois thématiques pour vraiment cranter les compétences. Troisième KPI, ton pourcentage de chiffre d'affaires asynchrone. ou scalable. Je m'explique. C'est bien beau de faire 150 000 euros ou 200 000 euros de chiffre d'affaires, mais si tu vends ton temps, c'est du chiffre d'affaires épuisant, éreintant. Tu vas finir en burn-out dans pas longtemps et surtout, tu n'as aucune capacité de croissance de ton chiffre d'affaires. Tu vas devoir toujours travailler plus pour gagner plus. Je te conseille plutôt de regarder quelle est la proportion de ton chiffre que tu arrives à faire de façon « passive » . Donc là, c'est tout ton chiffre d'affaires diversifié. Au début, tu en as zéro, c'est normal. Moi, la première année où j'ai diversifié, j'ai eu... 10 000 euros de chiffre d'affaires diversifié sur à peu près 100 000 euros. Ça a l'air d'être pas grand-chose, mais en fait, ça me faisait déjà un mois de congé payé. Donc, c'est hyper important de développer l'asynchronicité, c'est-à-dire récupérer de l'argent à d'autres moments où tu travailles. C'est vraiment comme ça que tu vas scaler et ça, c'est très important. Donc moi, fierté de ce début d'année, j'ai fait mon premier mois 100% asynchrone. Alors, ce n'était pas un énorme chiffre d'affaires, c'était 15 000 euros. Mais j'étais hyper fière de moi, quoi. Je n'ai pas eu de travail à faire. plus ce mois-ci pour faire du chiffre d'affaires. C'était du travail d'avant qui avait porté ses fruits et ça m'a bien aidé à prendre des vacances, me reposer un petit peu et surtout préparer la suite. KPI numéro 4. Quel est le pourcentage de ton chiffre d'affaires que tu as déjà sécurisé pour la fin d'année, voire même pour 2026 ? Si tu gères bien ton carnet de commandes, ta visibilité, ton autorité, tu devras avoir un système d'acquisition qui est mieux rodé et qui te permet de savoir à l'avance prédictibilité combien tu vas gagner. Par exemple, tu peux aussi faire des retainers, des abonnements, des contrats annuels, et tout ça, ça va sécuriser ton chiffre d'affaires. Et si tu es sécurisé, pourquoi tu t'arrêtes pas de stresser ? Pourquoi tu t'acceptes encore toutes les missions, même les missions pas chères ? Non, c'est bon, t'en as assez. N'aie pas non plus la peur de manquer en freelance, et garde le temps disponible pour construire tes produits scalables. KPI numéro 5, la LTV, la Lifetime Value. Alors ça, c'est un indicateur qu'on a plutôt dans les SaaS, c'est quelle est la valeur totale, de ton client sur sa durée de vie quand il est chez toi. Mais c'est intéressant aussi quand on est solopreneur. Je vais te donner un exemple. Par exemple, si tu as une newsletter et que cette newsletter te sert à vendre du sponsor. Sponsoring. Eh bien, figure-toi que tu peux calculer la lifetime value d'un subscriber, d'un abonné. C'est-à-dire le temps que va rester ton abonné avant de partir, de quitter ta newsletter, de se désabonner. Et pendant ce temps-là, tu vas faire du sponsoring, divisé par le nombre d'abonnés, ça va te faire un coût par abonné, enfin un gain par abonné. Eh bien, connaître cette métrique-là, c'est intéressant. parce que ça peut t'aider à savoir si ça vaut le coup, par exemple, de faire des pubs pour faire venir de nouveaux abonnés et encaisser encore plus de sponsoring ou pas. Globalement, même un client B2B, il a une LTV. Et c'est très intéressant pour toi de maximiser cette LTV, c'est-à-dire soit garder le client plus longtemps, comme on l'a vu, soit augmenter tes prix parce que c'est très difficile d'acquérir un nouveau client. Alors autant maximiser le profit que tu vas faire avec ce client qui sera d'autant plus enchanté s'il a eu accès à plusieurs produits ou services venant de ta part. KPI numéro 6, pourcentage de ton temps passé sur ton business par rapport au business des autres. Ça c'est très important en freelance parce que souvent tu te fais passer en dernier, t'es vraiment la dernière roue du carrosse et si tu fais ça, t'as jamais le temps de travailler sur la scalabilité de ton business model en fait. Et du coup, t'améliores jamais ton modèle et t'es toujours dans la course de vendre ton temps contre de l'argent. Tu peux savoir ça en traquant ton temps dans Toggle par exemple avec un hashtag ou tout simplement en bloquant tes matinées pour faire du deep work pour toi. Moi, c'est clair, toutes mes matinées sont bloquées pour moi et ensuite les après-midi pour mes clients. Donc, j'ai au moins 50% de mon temps, voire plus, qui est consacré à mon business. KPI numéro 7, nombre d'avis clients récupérés. Alors ça, c'est un peu tricky. Ça dépend si tu fais du B2B ou de la vente de produits en ligne, mais j'ai remarqué que c'est un indicateur qu'on oublie. Or, c'est très important la preuve sociale. Donc, typiquement, moi, j'ai l'incubateur solopreneur. J'ai des nouveaux incubés tous les mois. J'ai envie qu'ils soient enchantés, donc j'ai créé une bonne expérience et tout. Mais j'oublie de demander aux clients de me laisser un avis, j'oublie de demander aux auditeurs de me laisser un avis sur le podcast, j'oublie de te demander de me laisser un avis, de t'abonner à ma chaîne YouTube. Donc c'est vraiment un effort à faire pour collecter cette preuve sociale au fur et à mesure. Et tu verras que cette preuve sociale est hyper importante. Moi aujourd'hui, mes produits du board sont super bien notés sur Trustpilot, ça contribue aussi. et bien sûr au côté ambassadeur de mes clients et donc c'est clé et ça faut que tu ailles les chercher avec les dents à chaque client, à chaque mois qui passe et donc surtout en faire un automatisme. KPI numéro 8, pourcentage de contenu privé versus pourcentage de contenu public. Alors je m'explique, un contenu privé c'est par exemple un email de compte rendu que tu vas envoyer à ton client ou je ne sais pas moi si tu écris sur ton journal intime, je ne sais pas si ça existe encore. Comment s'est passé ton année de solopreneur ou de freelance ? Un contenu public, c'est par exemple une vidéo build in public sur YouTube ou encore un cas client que tu publies sur LinkedIn, un carousel où tu expliques la dernière mission en freelance, qu'est-ce qui s'est passé, qu'est-ce que tu as fait chez le client. La différence entre les deux, c'est que dans un cas, personne ne va voir le travail que tu as fait. Dans l'autre, tout le monde va être témoin de ton bon travail, de ton autorité, de ton expertise et ça va faire caisse de résonance, ça va t'aider à trouver tes futurs clients et à inspirer confiance. Donc l'idéal, c'est de transformer à peu près tous ces contenus privés en contenus publics. Ça ne veut pas dire diffuser la confidentialité, bien sûr, tu ne vas pas non plus diffuser tous tes échanges, mais typiquement, par exemple, moi je peux coacher un de mes alumnis dans mon bootcamp solopreneur qui va avoir un problème que je sais important et urgent pour ma cible. Je vais anonymiser, mais je vais dire comment faire quand on lance un bootcamp et qu'on n'arrive pas à vendre sa première cohorte par exemple. Bon, c'est quelqu'un que j'ai coaché. ce qu'on s'est dit ça restera entre cette personne et moi mais je sais que le sujet il est intéressant pour les autres donc je pourrais très bien en faire un épisode de podcast ou un post-LinkedIn Conseil numéro 9, toujours sur la création de contenu de médias, taux de recyclage de tes contenus. Alors ça, c'est vraiment un conseil que je pourrais écouter. Il y en a dans la liste que je n'applique pas du tout, mais j'adorerais. C'est au lieu de créer, créer, créer, créer tout le temps des trucs nouveaux, pourquoi pas recycler, réangler, re-purposer, comme on dit. Donc par exemple, un épisode de podcast qu'on pourrait transformer en newsletter, en livre blanc, en carousel. En fait, en théorie, un contenu, il pourrait être recyclé. à 600% c'est-à-dire 6 fois quoi donc n'hésite pas à réutiliser quand tu es solo-preneur freelance tu n'as pas beaucoup de temps il faut être malin donc il faut savoir travailler une fois et être payé plusieurs fois c'est ce qu'on appelle les tâches à effet de levier numéro 10 taux de croissance de ta liste email ou encore nombre de téléchargements de tes leads magnet alors ça c'est très important si tu vends des produits Je trouve que c'est important aussi au sens large pour avoir la propriété des données de ton client et notamment l'email et ne pas dépendre des algorithmes pour être distribué auprès de tes clients. On voit que ça peut être dangereux avec des plateformes comme LinkedIn dont le reach baisse. C'est très important d'avoir la main et une des meilleures façons d'avoir la main, c'est de pouvoir envoyer des emails aux clients, des emails intéressants, des emails de nurturing, c'est-à-dire où on va garder le contact avec eux. et pour ça, soit tu peux avoir une newsletter, soit tu peux créer un lit de magnètes. donc un petit outil, un petit produit gratuit que la personne va télécharger en échange de son email. Et ça, moi je ne faisais pas trop gaffe, je regardais juste mon nombre d'abonnés sur ma newsletter, mais c'est très intéressant de regarder d'un mois sur l'autre combien tu as gagné d'abonnés. Et là par exemple cette année, j'ai fait des mois où j'ai gagné genre 100 abonnés, et des mois où j'ai gagné 600 abonnés. Ça me questionne quand même sur quelles sont les actions que j'ai menées, etc. Ça veut dire aussi qu'on peut être... être plus proactif dans la communication de sa newsletter ou de son lead magnet, qui sont souvent des choses qu'on oublie. Comme d'habitude, on se concentre trop sur la production, la création. Je vais écrire ma newsletter ou je vais créer mon e-book, mais pas assez sur la distribution. Et typiquement, un lead magnet, il faudrait en parler idéalement au moins une fois par semaine sur tes réseaux sociaux pour rappeler qu'il existe, donner envie de s'abonner. Et même, moi, ce que j'ai vu, c'est vraiment des gens qui en parlent presque à tout leur contenu. Je pense à un créateur de contenu que j'aime bien qui s'appelle... Olly Richards, c'est un infopreneur millionnaire, etc. Et lui, il a créé une sorte de Google Doc de 100 pages anatomie d'un business à 7 chiffres, je ne sais pas quoi. Et il en parle dans toutes ses vidéos YouTube. Et il a un unique lead magnet. Je pense que du coup, il doit avoir une base email hyper qualifiée. Allez, on a presque fini. On va aborder plutôt la partie organisation de ton travail de solopreneur maintenant. KPI numéro 11, nombre de fois où tu as dit non. Ça, c'est pour les... people pleasers comme moi, moi j'ai vraiment énormément de mal à dire non. Pourtant, comme on dit, choisir c'est préférer. Et donc, si tu ne mets pas la priorité sur la construction de ton business scalable, si tu ne gardes pas du temps libre pour créer ton produit, pour créer ton podcast et tout, ben, tu n'avanceras pas. Donc, il faut dire non aux missions mal rémunérées ou aux missions tout courtes. Tu as déjà assez de chiffre d'affaires, on l'a vu. Il faut dire non à des sollicitations qui ne servent à rien. Il faut dire non aux appels synergie où tu ne sais même pas pourquoi. Je sais pas, cette semaine, ça m'est encore arrivé, j'ai eu un rendez-vous pris de nulle part, que j'ai jamais demandé pour qu'un mec me présente son produit. Je me rappelais pas qu'on ait eu cette conversation, je l'ai supprimé, et j'ai dit écoute, je suis désolée, là je garde mon agenda pour mes rendez-vous de candidature pour le bootcamp. En plus, c'est vrai que j'ai plus de place pour les prendre. Et puis, j'avais besoin de temps aussi pour créer cet épisode. Donc, bah voilà, j'ai décliné, et puis on s'est quitté bons amis, quoi. Bon, évidemment, je me doute bien que tu vas pas avoir un... un time tracker où tu vas noter à chaque fois que tu dis non. Quand je dis pourcentage de fois ou nombre de fois, c'est un peu au feeling aussi. Et souvent, quand je pose cette question aux solopreneurs, les gens savent très bien qu'ils n'ont juste pas du tout assez dit non globalement et qu'ils auraient dû être un petit peu plus avares de leur temps pour le consacrer vraiment à ce qui est nécessaire et stratégique. KPI numéro 12, pourcentage de tes tâches délégables. Alors ça, tu peux le traquer. Moi, je l'ai traqué dans Toggle. que j'utilisais au tout début où j'ai construit mes revenus scalables parce que je traquais mon temps par piliers, donc expertise, médias, produits, communautés, pour voir si j'étais... je passais assez de temps sur chaque truc. Et je traquais mon temps... aussi je m'étais mis un tag, hashtag délégable, où dès que je faisais un truc que je savais que quelqu'un d'autre pourrait faire mieux que moi, j'en typiquement uploadais mon podcast sur mon hébergeur, écrire une légende de podcast, je sais pas moi, déclarer ma TVA, je mettais hashtag délégable. À la fin du mois, j'avais fait ça en janvier, c'était horrible, je me suis rendu compte que le hashtag délégable totalisait plus de 39 heures. 39 heures dans le mois ! Donc c'est presque 10 heures par semaine. Donc là je me suis dit, ah Flav, faut vraiment que tu commences à déléguer. Et c'est là... que j'ai pris l'habitude de commencer à me dire, « Ok, quelle tâche je vais déléguer ? » Donc, je n'ai pas forcément délégué 39 heures d'un coup, mais vraiment, ça m'a ouvert les yeux sur le gain de productivité que je pouvais effectuer. Un peu dans la même veine que la délégation, les agents IA. Combien d'agents IA ou combien de processus automatisés ou augmentés par IA as-tu créé ce mois-ci ? En fait, là, c'est pareil, ça va vite de se laisser prendre au piège de « j'ai pas le temps » . Donc j'avance ma tout doux, mais comme j'avance ma tout doux, je n'ai pas le temps de faire mes agents IA et du coup je ne gagne jamais de temps. Je suis toujours vraiment dans ce cercle vicieux, visselard. Ça m'énerve. C'est pour ça d'ailleurs que j'ai créé SoloSquad, un petit produit, un petit bootcamp ultra rapide pour aider les solopreneurs à créer leurs 4 premiers agents IA. Parce que j'ai bien vu que vous étiez coincés dans le jeu sur travail, donc je n'ai pas le temps de me préparer un système qui sera plus vertueux pour la suite. Donc là, ici, il faut documenter tes process. écrire des SOP, des Standard Operation Procedure, créer des promptes, des agents IA, des GPT Customs, ce que tu veux. Mais bref, arrête de faire les trucs mille fois, les mêmes choses et tout. Essaye de systématiser. Mais pour ça, il faut se garder un petit peu de temps pour le faire. KPI 14, nombre de messages privés ou de messages ou de mails qui te disent merci, ça m'a aidé, merci beaucoup. Alors ça, c'est pour... Celles et ceux qui font des conférences, du réseau, du média. Pourquoi je te dis ça ? Ce n'est pas rémunéré, on va dire un merci, ça ne paye pas les factures, mais c'est un signe, c'est un signal très fort que tu commences à avoir une certaine forme de traction. Que quand tu publies un épisode de podcast, ça fait mouche et que les gens sont trop contents, ils apprennent trop de choses. Que quand tu assistes à une conférence, tu as marqué les esprits, avec peut-être tes insights, tes idées. Et ça, c'est souvent un signe avant-coureur que tu es... pas loin de trouver un produit ou une offre qui va faire mouche. Et moi, par exemple, quand j'ai commencé à parler de ma méthode d'hyper freelance, c'est-à-dire de solopreneur scalable à mes débuts, j'en ai parlé dans plusieurs podcasts et c'est là que j'ai commencé à recevoir des messages « Ah bon, mais comment t'as fait ? Ah, c'est super intéressant ! Ah waouh, quand t'as parlé de tes quatre piliers, ça m'a parlé tout de suite ! » Et là, je me suis dit « Ah, il y a un truc ! » Et j'ai reçu beaucoup plus de messages que pour des épisodes lambda. Donc très bon signal aussi pour toi. Allez, je me dépêche avant que la nuit tombe parce que je vois là sur mon... cadre que le soleil a l'air de se coucher à Nantes. KPI numéro 15, justement, les insights récoltés. Alors les insights, c'est très intéressant, ce sont des petites observations fines sur ton marché, sur ton persona, qui vont t'aider à créer tes futurs produits. C'est peut-être des problèmes que tu repères, des choses que tu vois dans la matrice, des glitchs dans la matrice où tu te dis c'est pas normal que les gens fassent ça, moi je pense qu'ils devraient faire ça. Et ça, c'est des très bon signaux de... consulting que tu peux faire, de produits que tu peux créer. Moi par exemple ce mois-ci j'ai récupéré un insight je me suis dit tiens il y a plein de freelance qui ont peur de devenir solo preneur, qui ont peur de lancer leurs produits parce qu'ils ont peur d'être jugés et je me suis dit tiens en fait le freelance qui devient solo preneur c'est comme un transfuge de classes il quitte sa classe, sa caste d'avant les freelance, il leur dit ciao, ciao bye bye, ciao les nazes, il va dans la caste des solo preneurs Et souvent le transfuge, il y a de la fierté d'avoir réussi, mais il y a aussi de la honte d'avoir quitté sa famille d'avant. Et je me suis dit, tiens, ça c'est un bon insight, il faudra que j'en fasse bon usage, parce que peut-être que justement il y a des alumnis dans mon bootcamp, dans l'incubateur solopreneur, qui sont entre deux eaux, comme ça il faut que je les aide à assumer ce passage, les accompagner là-dedans en termes d'état d'esprit aussi. KPI numéro 16, argent gagné et argent épargné. Alors ça c'est bête, mais quand on est hyper focus, hyper croissance, freelance solopreneur, On pense à son chiffre d'affaires à fond et on oublie un peu parfois de se payer. Moi ça m'est arrivé en tout cas, tu vois, d'optimiser sa paye et aussi de voir comment on va créer de la richesse pour son patrimoine, pour sa famille. Et donc moi par exemple cette année j'ai pris un bilan patrimonial parce que je savais que je faisais de la merde en fait, je regardais mon chiffre d'affaires, mon produit scalable et tout et j'avais oublié de capturer cette richesse pour moi et quand même si on fait cette vie... On se donne les moyens, si on déplafonne ses revenus, c'est pas pour que tout reste dans la société, c'est pour aussi en capter une partie pour notre vie, avoir une vie de rêve, enfin notre rêve à nous. Moi je sais pas si aller faire du surf de temps en temps, c'est simple, mais ça fait plaisir de pouvoir se le permettre plutôt que d'être dans la précarité, ne pas oser partir en vacances parce qu'on compte ses sous. Voilà, donc ne pas oublier aussi de capturer cette valeur pour toi. Allez, le 17ème indicateur, tu l'as bien mérité, ça va être un nombre de choses agréables. qui te tiennent à cœur, que tu as faites dans le mois, dans l'année. Par exemple, moi je compte le nombre de fois où j'ai écrit mes pages du matin. Tous les mois, je dis est-ce que c'est 6 fois, 10 fois, 12 fois, c'est jamais 30 fois. Je préfère te prévenir tout de suite. La vie idéale n'existe pas. Le nombre de livres que j'ai lu dans l'année, de romans et tout, je compte mes pas, je regarde mes pas, je regarde si je suis à 10 000 pas en moyenne ou plutôt à 7 000 pas. C'est un très bon indicateur ça de ma santé mentale et physique. Je regarde le nombre de mercredis que j'ai passé avec mes enfants. Ça je sais maintenant depuis un moment c'est tous et ça ça me fait trop du bien, je suis trop contente de profiter d'eux. Le nombre de sessions de surf, enfin voilà ça c'est mes indicateurs à moi. Et pourquoi c'est clé pour savoir si tu vas scaler ? C'est parce que scaler ça sert à ça. Ça sert à récupérer aussi des points de vie, du temps de vie. Et justement, plus tu vas faire de loisirs, plus tu vas avoir des choses que tu aimes, plus ça va te forcer à changer de système. Tu ne pourras pas être dans le présentéisme, bourré à craquer. Non, tu t'occupes de tes enfants, tu trouves des systèmes pour contourner la vente du temps et pour créer des produits scalables, ça sera une motivation supplémentaire. Parce que voilà, tu ne veux pas juste gagner plus, tu veux vivre mieux. Allez, si tu veux passer à la vitesse supérieure, intégrer ces KPIs dans ton quotidien et te créer ton plan de scalabilité sur mesure. pour dépasser ton plafond de verre en freelance. Exceptionnellement, je vais ouvrir mon incubateur à mi-année et te proposer de t'abonner jusqu'à fin décembre. Je ne fais jamais ça d'habitude parce que c'est un abonnement annuel. Mais là, je me laisse une petite fenêtre pour que tu nous rejoignes si jamais tu me découvres en milieu d'année, tu n'avais pas entendu parler de l'incubateur, tu te dis « c'est trop cool, go ! » Et surtout parce que l'été, c'est le meilleur moment pour scaler. On a le temps, on se repose, les clients nous foutent un peu la paix, donc c'est le moment de rejoindre. un incubateur solopreneur et je te propose un tarif exceptionnel parce que je te le fais à 50% donc seulement 600 euros hors taxes au lieu de 1200 euros hors taxes donc voilà go c'est le moment les places sont hyper limitées je fais ça, ça s'appelle les summer sales uniquement cet été, je te mets les infos en description de cet épisode et je te dis à très vite, on se voit de l'autre côté, côté incubateur pour enclencher ta scalabilité cet été Allez, salut les solos. Merci à vous d'avoir regardé cet épisode jusqu'au bout. Abonne-toi si ça t'a plu. Abonne-toi à ma chaîne, à mon podcast pour avoir plus de contenu sur la scalabilité et surtout très bel été et très belle deuxième moitié d'année. Ciao !

Description

Tu crois que ton chiffre d'affaires est le seul baromètre de ta réussite ? Et si tu passais à côté des vrais indicateurs qui montrent si ton business peut vraiment scaler ?


Dans cet épisode, je t’embarque dans un audit pas comme les autres : oublie le CA et découvre les 17 KPIs qui te disent vraiment si ton business freelance est prêt à grandir.


Je te partage ici mes propres outils de pilotage de croissance, utilisés pour viser les 500K€ de chiffre d'affaires en solo. Du concret, du vécu, et surtout... du scalable.


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📌 Comment savoir si ton personal branding commence à vraiment porter ses fruits ?
📌 Pourquoi tu devrais regarder le ratio “nouveaux clients” vs “clients fidèles” ?
📌 Quelle part de ton chiffre d’affaires est vraiment scalable (et pas juste épuisante) ?
📌 As-tu déjà sécurisé ton revenu des prochains mois ?
📌 Combien de temps passes-tu sur TON business et pas celui des autres ?
📌 Et le plus important : à quelle fréquence dis-tu NON pour dire OUI à ta scalabilité ?


Un épisode ultra complet à écouter avec un carnet et un thé glacé ☀️ pour faire le point sur ton solo business.


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Et l’autre semaine, découvre Le Board en solo, où je partage mes stratégies et conseils pour booster ton solobusiness. Ma mission ? T’aider à être plus libre et indépendant.


👋 Je suis Flavie Prévot, solopreneure et créatrice du Board, le premier podcast et incubateur dédié aux solopreneurs en France.

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Transcription

  • Speaker #0

    Tu penses que ton chiffre d'affaires est le meilleur indicateur de ta réussite ? Faux. Si tu veux savoir si ton business de freelance est scalable, regarde plutôt ces 17 KPIs. Ils sont complètement contre-intuitifs, mais ils sont redoutablement prédictifs. Si tu me découvres avec cet épisode, je suis Flavie Prévost, j'ai créé Le Borde, le premier podcast et le premier incubateur pour solopreneurs de France. Et dans mon podcast, je documente mon chemin vers les 500 000 euros de chiffre d'affaires hors taxes en solo scalable. Et j'enregistre cet épisode en plein été, très exactement... Exactement au milieu de l'année, 6 mois sont écoulés, 50% de ton année en freelance. Et justement, au lieu de faire un bilan boring, un peu pénible, sans péternel qu'on a vu et revu mille fois avec du chiffre d'affaires, je vais te donner les 17 indicateurs à vraiment suivre pour savoir si ton business freelance a du potentiel de croissance élevé. N'oublie pas de t'abonner à ma newsletter, dans laquelle je vais partager mon bilan détaillé avec tous mes chiffres, car moi je pratique le build in public, donc tous mes chiffres depuis le début de l'année. Et reste avec moi jusqu'à la fin de cet épisode parce que j'ai un autre cadeau pour toi. Allez, c'est parti pour les indicateurs que tu n'auras jamais lus dans aucun blog sur le freelancing. KPI numéro 1, nombre de leads entrant. Alors ça, c'est un super indicateur pour savoir si les gens commencent à te connaître, à entendre parler de toi, notamment de ton expertise, notamment par le biais de ton média. Une question que je pose à tous mes clients ou tous mes rendez-vous découvertes, mettons, c'est comment tu as entendu parler de moi ou comment tu as entendu parler du bootcamp ? Grâce à ça, je mesure un petit peu qui parle de moi. Mes anciens clients qui commencent à me recommander, ils m'ont entendu dans telle podcast, ils m'ont lu dans tel newsletter. Parce que plus mon média fait effet boule de neige, plus je vais avoir de la recommandation indirecte qui va revenir vers moi. Ça, c'est un très bon signe de personal branding et que ton travail de construction média et d'autorité porte ses fruits. KPI numéro 2, ton chiffre d'affaires avec tes nouveaux clients versus ton chiffre d'affaires avec tes clients existants. Ça, c'est quelque chose qu'on regarde beaucoup dans le corporate, mais que je trouve qu'on ne regarde pas du tout assez en freelance. Je vois les freelances qui sont toujours en train d'acquérir de nouveaux clients, il faut que je close, il faut que j'ai des nouveaux clients, des nouveaux leads. J'ai envie de leur dire, mais pourquoi tu ne fais pas du business continu avec les clients qui t'ont déjà fait confiance ? Et ça c'est urgent dans ton business model de créer une offre pour la fidélisation de tes clients. Et moi j'ai commencé à le faire à partir de l'année dernière, je commençais à avoir 150 clients je pense dans l'incubateur solopreneur et je me suis dit, pourquoi toujours en acquérir de nouveaux autant que je les rende extrêmement contents de leur expérience Pourquoi ? pour qu'ils restent dans l'incubateur, parce que l'incubateur, c'est un mode de formation illimité pour freelance et solopreneur. Tu peux rester dedans à vie, tu auras toujours des nouveaux lives, toujours des nouvelles formations, toujours des nouveaux conseils. Donc, il n'y a pas besoin que les gens partent. Donc, j'ai qu'à les enchanter et les gens vont rester et ça me fera du business récurrent. Et c'est grâce à ça notamment que j'ai mis le paquet dans l'expérience dans l'incubateur solopreneur, en organisant des challenges ou encore des mois thématiques pour vraiment cranter les compétences. Troisième KPI, ton pourcentage de chiffre d'affaires asynchrone. ou scalable. Je m'explique. C'est bien beau de faire 150 000 euros ou 200 000 euros de chiffre d'affaires, mais si tu vends ton temps, c'est du chiffre d'affaires épuisant, éreintant. Tu vas finir en burn-out dans pas longtemps et surtout, tu n'as aucune capacité de croissance de ton chiffre d'affaires. Tu vas devoir toujours travailler plus pour gagner plus. Je te conseille plutôt de regarder quelle est la proportion de ton chiffre que tu arrives à faire de façon « passive » . Donc là, c'est tout ton chiffre d'affaires diversifié. Au début, tu en as zéro, c'est normal. Moi, la première année où j'ai diversifié, j'ai eu... 10 000 euros de chiffre d'affaires diversifié sur à peu près 100 000 euros. Ça a l'air d'être pas grand-chose, mais en fait, ça me faisait déjà un mois de congé payé. Donc, c'est hyper important de développer l'asynchronicité, c'est-à-dire récupérer de l'argent à d'autres moments où tu travailles. C'est vraiment comme ça que tu vas scaler et ça, c'est très important. Donc moi, fierté de ce début d'année, j'ai fait mon premier mois 100% asynchrone. Alors, ce n'était pas un énorme chiffre d'affaires, c'était 15 000 euros. Mais j'étais hyper fière de moi, quoi. Je n'ai pas eu de travail à faire. plus ce mois-ci pour faire du chiffre d'affaires. C'était du travail d'avant qui avait porté ses fruits et ça m'a bien aidé à prendre des vacances, me reposer un petit peu et surtout préparer la suite. KPI numéro 4. Quel est le pourcentage de ton chiffre d'affaires que tu as déjà sécurisé pour la fin d'année, voire même pour 2026 ? Si tu gères bien ton carnet de commandes, ta visibilité, ton autorité, tu devras avoir un système d'acquisition qui est mieux rodé et qui te permet de savoir à l'avance prédictibilité combien tu vas gagner. Par exemple, tu peux aussi faire des retainers, des abonnements, des contrats annuels, et tout ça, ça va sécuriser ton chiffre d'affaires. Et si tu es sécurisé, pourquoi tu t'arrêtes pas de stresser ? Pourquoi tu t'acceptes encore toutes les missions, même les missions pas chères ? Non, c'est bon, t'en as assez. N'aie pas non plus la peur de manquer en freelance, et garde le temps disponible pour construire tes produits scalables. KPI numéro 5, la LTV, la Lifetime Value. Alors ça, c'est un indicateur qu'on a plutôt dans les SaaS, c'est quelle est la valeur totale, de ton client sur sa durée de vie quand il est chez toi. Mais c'est intéressant aussi quand on est solopreneur. Je vais te donner un exemple. Par exemple, si tu as une newsletter et que cette newsletter te sert à vendre du sponsor. Sponsoring. Eh bien, figure-toi que tu peux calculer la lifetime value d'un subscriber, d'un abonné. C'est-à-dire le temps que va rester ton abonné avant de partir, de quitter ta newsletter, de se désabonner. Et pendant ce temps-là, tu vas faire du sponsoring, divisé par le nombre d'abonnés, ça va te faire un coût par abonné, enfin un gain par abonné. Eh bien, connaître cette métrique-là, c'est intéressant. parce que ça peut t'aider à savoir si ça vaut le coup, par exemple, de faire des pubs pour faire venir de nouveaux abonnés et encaisser encore plus de sponsoring ou pas. Globalement, même un client B2B, il a une LTV. Et c'est très intéressant pour toi de maximiser cette LTV, c'est-à-dire soit garder le client plus longtemps, comme on l'a vu, soit augmenter tes prix parce que c'est très difficile d'acquérir un nouveau client. Alors autant maximiser le profit que tu vas faire avec ce client qui sera d'autant plus enchanté s'il a eu accès à plusieurs produits ou services venant de ta part. KPI numéro 6, pourcentage de ton temps passé sur ton business par rapport au business des autres. Ça c'est très important en freelance parce que souvent tu te fais passer en dernier, t'es vraiment la dernière roue du carrosse et si tu fais ça, t'as jamais le temps de travailler sur la scalabilité de ton business model en fait. Et du coup, t'améliores jamais ton modèle et t'es toujours dans la course de vendre ton temps contre de l'argent. Tu peux savoir ça en traquant ton temps dans Toggle par exemple avec un hashtag ou tout simplement en bloquant tes matinées pour faire du deep work pour toi. Moi, c'est clair, toutes mes matinées sont bloquées pour moi et ensuite les après-midi pour mes clients. Donc, j'ai au moins 50% de mon temps, voire plus, qui est consacré à mon business. KPI numéro 7, nombre d'avis clients récupérés. Alors ça, c'est un peu tricky. Ça dépend si tu fais du B2B ou de la vente de produits en ligne, mais j'ai remarqué que c'est un indicateur qu'on oublie. Or, c'est très important la preuve sociale. Donc, typiquement, moi, j'ai l'incubateur solopreneur. J'ai des nouveaux incubés tous les mois. J'ai envie qu'ils soient enchantés, donc j'ai créé une bonne expérience et tout. Mais j'oublie de demander aux clients de me laisser un avis, j'oublie de demander aux auditeurs de me laisser un avis sur le podcast, j'oublie de te demander de me laisser un avis, de t'abonner à ma chaîne YouTube. Donc c'est vraiment un effort à faire pour collecter cette preuve sociale au fur et à mesure. Et tu verras que cette preuve sociale est hyper importante. Moi aujourd'hui, mes produits du board sont super bien notés sur Trustpilot, ça contribue aussi. et bien sûr au côté ambassadeur de mes clients et donc c'est clé et ça faut que tu ailles les chercher avec les dents à chaque client, à chaque mois qui passe et donc surtout en faire un automatisme. KPI numéro 8, pourcentage de contenu privé versus pourcentage de contenu public. Alors je m'explique, un contenu privé c'est par exemple un email de compte rendu que tu vas envoyer à ton client ou je ne sais pas moi si tu écris sur ton journal intime, je ne sais pas si ça existe encore. Comment s'est passé ton année de solopreneur ou de freelance ? Un contenu public, c'est par exemple une vidéo build in public sur YouTube ou encore un cas client que tu publies sur LinkedIn, un carousel où tu expliques la dernière mission en freelance, qu'est-ce qui s'est passé, qu'est-ce que tu as fait chez le client. La différence entre les deux, c'est que dans un cas, personne ne va voir le travail que tu as fait. Dans l'autre, tout le monde va être témoin de ton bon travail, de ton autorité, de ton expertise et ça va faire caisse de résonance, ça va t'aider à trouver tes futurs clients et à inspirer confiance. Donc l'idéal, c'est de transformer à peu près tous ces contenus privés en contenus publics. Ça ne veut pas dire diffuser la confidentialité, bien sûr, tu ne vas pas non plus diffuser tous tes échanges, mais typiquement, par exemple, moi je peux coacher un de mes alumnis dans mon bootcamp solopreneur qui va avoir un problème que je sais important et urgent pour ma cible. Je vais anonymiser, mais je vais dire comment faire quand on lance un bootcamp et qu'on n'arrive pas à vendre sa première cohorte par exemple. Bon, c'est quelqu'un que j'ai coaché. ce qu'on s'est dit ça restera entre cette personne et moi mais je sais que le sujet il est intéressant pour les autres donc je pourrais très bien en faire un épisode de podcast ou un post-LinkedIn Conseil numéro 9, toujours sur la création de contenu de médias, taux de recyclage de tes contenus. Alors ça, c'est vraiment un conseil que je pourrais écouter. Il y en a dans la liste que je n'applique pas du tout, mais j'adorerais. C'est au lieu de créer, créer, créer, créer tout le temps des trucs nouveaux, pourquoi pas recycler, réangler, re-purposer, comme on dit. Donc par exemple, un épisode de podcast qu'on pourrait transformer en newsletter, en livre blanc, en carousel. En fait, en théorie, un contenu, il pourrait être recyclé. à 600% c'est-à-dire 6 fois quoi donc n'hésite pas à réutiliser quand tu es solo-preneur freelance tu n'as pas beaucoup de temps il faut être malin donc il faut savoir travailler une fois et être payé plusieurs fois c'est ce qu'on appelle les tâches à effet de levier numéro 10 taux de croissance de ta liste email ou encore nombre de téléchargements de tes leads magnet alors ça c'est très important si tu vends des produits Je trouve que c'est important aussi au sens large pour avoir la propriété des données de ton client et notamment l'email et ne pas dépendre des algorithmes pour être distribué auprès de tes clients. On voit que ça peut être dangereux avec des plateformes comme LinkedIn dont le reach baisse. C'est très important d'avoir la main et une des meilleures façons d'avoir la main, c'est de pouvoir envoyer des emails aux clients, des emails intéressants, des emails de nurturing, c'est-à-dire où on va garder le contact avec eux. et pour ça, soit tu peux avoir une newsletter, soit tu peux créer un lit de magnètes. donc un petit outil, un petit produit gratuit que la personne va télécharger en échange de son email. Et ça, moi je ne faisais pas trop gaffe, je regardais juste mon nombre d'abonnés sur ma newsletter, mais c'est très intéressant de regarder d'un mois sur l'autre combien tu as gagné d'abonnés. Et là par exemple cette année, j'ai fait des mois où j'ai gagné genre 100 abonnés, et des mois où j'ai gagné 600 abonnés. Ça me questionne quand même sur quelles sont les actions que j'ai menées, etc. Ça veut dire aussi qu'on peut être... être plus proactif dans la communication de sa newsletter ou de son lead magnet, qui sont souvent des choses qu'on oublie. Comme d'habitude, on se concentre trop sur la production, la création. Je vais écrire ma newsletter ou je vais créer mon e-book, mais pas assez sur la distribution. Et typiquement, un lead magnet, il faudrait en parler idéalement au moins une fois par semaine sur tes réseaux sociaux pour rappeler qu'il existe, donner envie de s'abonner. Et même, moi, ce que j'ai vu, c'est vraiment des gens qui en parlent presque à tout leur contenu. Je pense à un créateur de contenu que j'aime bien qui s'appelle... Olly Richards, c'est un infopreneur millionnaire, etc. Et lui, il a créé une sorte de Google Doc de 100 pages anatomie d'un business à 7 chiffres, je ne sais pas quoi. Et il en parle dans toutes ses vidéos YouTube. Et il a un unique lead magnet. Je pense que du coup, il doit avoir une base email hyper qualifiée. Allez, on a presque fini. On va aborder plutôt la partie organisation de ton travail de solopreneur maintenant. KPI numéro 11, nombre de fois où tu as dit non. Ça, c'est pour les... people pleasers comme moi, moi j'ai vraiment énormément de mal à dire non. Pourtant, comme on dit, choisir c'est préférer. Et donc, si tu ne mets pas la priorité sur la construction de ton business scalable, si tu ne gardes pas du temps libre pour créer ton produit, pour créer ton podcast et tout, ben, tu n'avanceras pas. Donc, il faut dire non aux missions mal rémunérées ou aux missions tout courtes. Tu as déjà assez de chiffre d'affaires, on l'a vu. Il faut dire non à des sollicitations qui ne servent à rien. Il faut dire non aux appels synergie où tu ne sais même pas pourquoi. Je sais pas, cette semaine, ça m'est encore arrivé, j'ai eu un rendez-vous pris de nulle part, que j'ai jamais demandé pour qu'un mec me présente son produit. Je me rappelais pas qu'on ait eu cette conversation, je l'ai supprimé, et j'ai dit écoute, je suis désolée, là je garde mon agenda pour mes rendez-vous de candidature pour le bootcamp. En plus, c'est vrai que j'ai plus de place pour les prendre. Et puis, j'avais besoin de temps aussi pour créer cet épisode. Donc, bah voilà, j'ai décliné, et puis on s'est quitté bons amis, quoi. Bon, évidemment, je me doute bien que tu vas pas avoir un... un time tracker où tu vas noter à chaque fois que tu dis non. Quand je dis pourcentage de fois ou nombre de fois, c'est un peu au feeling aussi. Et souvent, quand je pose cette question aux solopreneurs, les gens savent très bien qu'ils n'ont juste pas du tout assez dit non globalement et qu'ils auraient dû être un petit peu plus avares de leur temps pour le consacrer vraiment à ce qui est nécessaire et stratégique. KPI numéro 12, pourcentage de tes tâches délégables. Alors ça, tu peux le traquer. Moi, je l'ai traqué dans Toggle. que j'utilisais au tout début où j'ai construit mes revenus scalables parce que je traquais mon temps par piliers, donc expertise, médias, produits, communautés, pour voir si j'étais... je passais assez de temps sur chaque truc. Et je traquais mon temps... aussi je m'étais mis un tag, hashtag délégable, où dès que je faisais un truc que je savais que quelqu'un d'autre pourrait faire mieux que moi, j'en typiquement uploadais mon podcast sur mon hébergeur, écrire une légende de podcast, je sais pas moi, déclarer ma TVA, je mettais hashtag délégable. À la fin du mois, j'avais fait ça en janvier, c'était horrible, je me suis rendu compte que le hashtag délégable totalisait plus de 39 heures. 39 heures dans le mois ! Donc c'est presque 10 heures par semaine. Donc là je me suis dit, ah Flav, faut vraiment que tu commences à déléguer. Et c'est là... que j'ai pris l'habitude de commencer à me dire, « Ok, quelle tâche je vais déléguer ? » Donc, je n'ai pas forcément délégué 39 heures d'un coup, mais vraiment, ça m'a ouvert les yeux sur le gain de productivité que je pouvais effectuer. Un peu dans la même veine que la délégation, les agents IA. Combien d'agents IA ou combien de processus automatisés ou augmentés par IA as-tu créé ce mois-ci ? En fait, là, c'est pareil, ça va vite de se laisser prendre au piège de « j'ai pas le temps » . Donc j'avance ma tout doux, mais comme j'avance ma tout doux, je n'ai pas le temps de faire mes agents IA et du coup je ne gagne jamais de temps. Je suis toujours vraiment dans ce cercle vicieux, visselard. Ça m'énerve. C'est pour ça d'ailleurs que j'ai créé SoloSquad, un petit produit, un petit bootcamp ultra rapide pour aider les solopreneurs à créer leurs 4 premiers agents IA. Parce que j'ai bien vu que vous étiez coincés dans le jeu sur travail, donc je n'ai pas le temps de me préparer un système qui sera plus vertueux pour la suite. Donc là, ici, il faut documenter tes process. écrire des SOP, des Standard Operation Procedure, créer des promptes, des agents IA, des GPT Customs, ce que tu veux. Mais bref, arrête de faire les trucs mille fois, les mêmes choses et tout. Essaye de systématiser. Mais pour ça, il faut se garder un petit peu de temps pour le faire. KPI 14, nombre de messages privés ou de messages ou de mails qui te disent merci, ça m'a aidé, merci beaucoup. Alors ça, c'est pour... Celles et ceux qui font des conférences, du réseau, du média. Pourquoi je te dis ça ? Ce n'est pas rémunéré, on va dire un merci, ça ne paye pas les factures, mais c'est un signe, c'est un signal très fort que tu commences à avoir une certaine forme de traction. Que quand tu publies un épisode de podcast, ça fait mouche et que les gens sont trop contents, ils apprennent trop de choses. Que quand tu assistes à une conférence, tu as marqué les esprits, avec peut-être tes insights, tes idées. Et ça, c'est souvent un signe avant-coureur que tu es... pas loin de trouver un produit ou une offre qui va faire mouche. Et moi, par exemple, quand j'ai commencé à parler de ma méthode d'hyper freelance, c'est-à-dire de solopreneur scalable à mes débuts, j'en ai parlé dans plusieurs podcasts et c'est là que j'ai commencé à recevoir des messages « Ah bon, mais comment t'as fait ? Ah, c'est super intéressant ! Ah waouh, quand t'as parlé de tes quatre piliers, ça m'a parlé tout de suite ! » Et là, je me suis dit « Ah, il y a un truc ! » Et j'ai reçu beaucoup plus de messages que pour des épisodes lambda. Donc très bon signal aussi pour toi. Allez, je me dépêche avant que la nuit tombe parce que je vois là sur mon... cadre que le soleil a l'air de se coucher à Nantes. KPI numéro 15, justement, les insights récoltés. Alors les insights, c'est très intéressant, ce sont des petites observations fines sur ton marché, sur ton persona, qui vont t'aider à créer tes futurs produits. C'est peut-être des problèmes que tu repères, des choses que tu vois dans la matrice, des glitchs dans la matrice où tu te dis c'est pas normal que les gens fassent ça, moi je pense qu'ils devraient faire ça. Et ça, c'est des très bon signaux de... consulting que tu peux faire, de produits que tu peux créer. Moi par exemple ce mois-ci j'ai récupéré un insight je me suis dit tiens il y a plein de freelance qui ont peur de devenir solo preneur, qui ont peur de lancer leurs produits parce qu'ils ont peur d'être jugés et je me suis dit tiens en fait le freelance qui devient solo preneur c'est comme un transfuge de classes il quitte sa classe, sa caste d'avant les freelance, il leur dit ciao, ciao bye bye, ciao les nazes, il va dans la caste des solo preneurs Et souvent le transfuge, il y a de la fierté d'avoir réussi, mais il y a aussi de la honte d'avoir quitté sa famille d'avant. Et je me suis dit, tiens, ça c'est un bon insight, il faudra que j'en fasse bon usage, parce que peut-être que justement il y a des alumnis dans mon bootcamp, dans l'incubateur solopreneur, qui sont entre deux eaux, comme ça il faut que je les aide à assumer ce passage, les accompagner là-dedans en termes d'état d'esprit aussi. KPI numéro 16, argent gagné et argent épargné. Alors ça c'est bête, mais quand on est hyper focus, hyper croissance, freelance solopreneur, On pense à son chiffre d'affaires à fond et on oublie un peu parfois de se payer. Moi ça m'est arrivé en tout cas, tu vois, d'optimiser sa paye et aussi de voir comment on va créer de la richesse pour son patrimoine, pour sa famille. Et donc moi par exemple cette année j'ai pris un bilan patrimonial parce que je savais que je faisais de la merde en fait, je regardais mon chiffre d'affaires, mon produit scalable et tout et j'avais oublié de capturer cette richesse pour moi et quand même si on fait cette vie... On se donne les moyens, si on déplafonne ses revenus, c'est pas pour que tout reste dans la société, c'est pour aussi en capter une partie pour notre vie, avoir une vie de rêve, enfin notre rêve à nous. Moi je sais pas si aller faire du surf de temps en temps, c'est simple, mais ça fait plaisir de pouvoir se le permettre plutôt que d'être dans la précarité, ne pas oser partir en vacances parce qu'on compte ses sous. Voilà, donc ne pas oublier aussi de capturer cette valeur pour toi. Allez, le 17ème indicateur, tu l'as bien mérité, ça va être un nombre de choses agréables. qui te tiennent à cœur, que tu as faites dans le mois, dans l'année. Par exemple, moi je compte le nombre de fois où j'ai écrit mes pages du matin. Tous les mois, je dis est-ce que c'est 6 fois, 10 fois, 12 fois, c'est jamais 30 fois. Je préfère te prévenir tout de suite. La vie idéale n'existe pas. Le nombre de livres que j'ai lu dans l'année, de romans et tout, je compte mes pas, je regarde mes pas, je regarde si je suis à 10 000 pas en moyenne ou plutôt à 7 000 pas. C'est un très bon indicateur ça de ma santé mentale et physique. Je regarde le nombre de mercredis que j'ai passé avec mes enfants. Ça je sais maintenant depuis un moment c'est tous et ça ça me fait trop du bien, je suis trop contente de profiter d'eux. Le nombre de sessions de surf, enfin voilà ça c'est mes indicateurs à moi. Et pourquoi c'est clé pour savoir si tu vas scaler ? C'est parce que scaler ça sert à ça. Ça sert à récupérer aussi des points de vie, du temps de vie. Et justement, plus tu vas faire de loisirs, plus tu vas avoir des choses que tu aimes, plus ça va te forcer à changer de système. Tu ne pourras pas être dans le présentéisme, bourré à craquer. Non, tu t'occupes de tes enfants, tu trouves des systèmes pour contourner la vente du temps et pour créer des produits scalables, ça sera une motivation supplémentaire. Parce que voilà, tu ne veux pas juste gagner plus, tu veux vivre mieux. Allez, si tu veux passer à la vitesse supérieure, intégrer ces KPIs dans ton quotidien et te créer ton plan de scalabilité sur mesure. pour dépasser ton plafond de verre en freelance. Exceptionnellement, je vais ouvrir mon incubateur à mi-année et te proposer de t'abonner jusqu'à fin décembre. Je ne fais jamais ça d'habitude parce que c'est un abonnement annuel. Mais là, je me laisse une petite fenêtre pour que tu nous rejoignes si jamais tu me découvres en milieu d'année, tu n'avais pas entendu parler de l'incubateur, tu te dis « c'est trop cool, go ! » Et surtout parce que l'été, c'est le meilleur moment pour scaler. On a le temps, on se repose, les clients nous foutent un peu la paix, donc c'est le moment de rejoindre. un incubateur solopreneur et je te propose un tarif exceptionnel parce que je te le fais à 50% donc seulement 600 euros hors taxes au lieu de 1200 euros hors taxes donc voilà go c'est le moment les places sont hyper limitées je fais ça, ça s'appelle les summer sales uniquement cet été, je te mets les infos en description de cet épisode et je te dis à très vite, on se voit de l'autre côté, côté incubateur pour enclencher ta scalabilité cet été Allez, salut les solos. Merci à vous d'avoir regardé cet épisode jusqu'au bout. Abonne-toi si ça t'a plu. Abonne-toi à ma chaîne, à mon podcast pour avoir plus de contenu sur la scalabilité et surtout très bel été et très belle deuxième moitié d'année. Ciao !

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