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3/5 🌟- De DRH salariée à solopreneure à 500K€ : comment Charlène Hemery a trouvé sa niche fertile [Solopreneurs à succès] cover
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LE BOARD - podcast freelance & solopreneur : génère des revenus réguliers et augmente ta liberté d'indépendant (par Flavie Prévot)

3/5 🌟- De DRH salariée à solopreneure à 500K€ : comment Charlène Hemery a trouvé sa niche fertile [Solopreneurs à succès]

3/5 🌟- De DRH salariée à solopreneure à 500K€ : comment Charlène Hemery a trouvé sa niche fertile [Solopreneurs à succès]

12min |26/11/2025
Play
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12min |26/11/2025
Play

Description

Tu vends ton temps en tant que freelance RH et tu rêves de sortir de la rat race ?


Tu te demandes comment transformer ton expertise en un business scalable qui te rapporte sans devoir prospecter ni sacrifier ta liberté ?


Dans ce nouveau format "Dans les coulisses des solopreneurs à succès", je décortique le parcours complet d'un·e entrepreneur·e qui a réussi à créer un vrai solo-business rentable et scalable.


Dans ce deuxième épisode, je reçois Charlène Hemery, ex-DRH en banque qui a créé Talent Catcher, son entreprise spécialisée dans le recrutement inbound.


Aujourd'hui digital nomad à l'île Maurice, elle a transformé son expertise en formations B2B pour recruteurs.


On décortique ensemble son parcours de solopreneure :

📌 Comment trouver sa niche fertile quand on vient du monde RH ?

📌 Comment attirer des grands comptes comme Chanel sans prospecter ?

📌 Comment créer une offre qui se vend à 25K€ dès le premier client ?

📌 Comment écrire un livre pour booster son autorité (et son business) ?

📌 Comment productiviser son expertise avec des formations B2B ?

📌 Comment déléguer intelligemment avec des freelances sans s'associer ?


Un épisode complet pour tous les freelances qui veulent créer un vrai solo-business rentable, scalable et qui leur laisse du temps pour profiter de la vie.


🔗 L'épisode 1 "Solopreneurs à succès"


💌 Retrouve tous mes tips solopreneur et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


💜 Si ça t’a plu, soutiens le podcast en laissant 5 ⭐ et un avis sur Apple Podcast ou Spotify, ou en partageant sur tes réseaux (je réserve une petite surprise pour chaque avis sympa reçu).


Chaque semaine, retrouve moi un nouvel épisode sur Le Board, le podcast des solopreneurs qui veulent créer un business rentable, scalable et générer des revenus passifs. Un lundi sur deux, tu retrouveras un épisode de Solo Nation, le talk show des solopreneurs que je co-anime avec les queens et les kings du business en ligne pour partager nos coulisses garanties sans bullshit et sans filtre : Aline Bartoli aka The Bboost, Valentine Helsmoortel, aka My Creator Era, Geneviève Gauvin, Hugues Trijasse aka FrenchStartuper, Sarah Zitouni aka Powher ta carrière, Kevin Ghanbarzadeh aka Shaunz, Dimby Rakotomalala, Pauline Clavelloux aka Pauline Saas builder, Océane Sorel aka the french Virologist, Alexandre Mensier, Adrien Tornier, Lucie Carbonne.


Et l’autre semaine, découvre Le Board en solo, où je partage mes stratégies et conseils pour booster ton solobusiness. Ma mission ? T’aider à être plus libre et indépendant.


👋 Je suis Flavie Prévot, solopreneure et créatrice du Board, le premier podcast et incubateur dédié aux solopreneurs en France.

Que tu sois freelance, solopreneur, salarié en side-business ou en pleine transition vers l’indépendance, chaque épisode t’apporte des conseils concrets pour créer et scaler ton activité. Marketing, business en ligne, mindset, productivité, automatisation, génération de revenus passifs… Tout ce qu’il faut pour réussir en solo !


🎧 Si tu aimes les podcasts comme Génération Do it Yourself, Tribu Indé, J’peux pas j’ai business, Sans Permission, Marketing Square ou Young, Wild & Freelance, Solo Nation et Le Board devraient te plaire aussi !


Crédits musicaux :

EP03 - DtMF - Bad Bunny


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement, à mon micro, pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors, n'oublie pas de t'abonner à la newsletter pour recevoir les bonus. Alors, Charlène, SoloMedia, c'est quelle stratégie tu as utilisée pour attirer tes clients en automatique ? Donc, en fait, toi, c'est ce que tu appelles Inbound Marketing. Moi, j'appelle ça Media, on va dire, pour simplifier, pour les freelances qui ne sont pas marketeux dans l'âme. C'était quoi les postes que tu faisais pour attirer Chanel et faire 25 000 euros de ventes B2B ?

  • Speaker #1

    Ça a été direct des postes orientés valeur. Je dis poste parce que moi, j'ai de la chance, ma cible RH, il se trouve qu'elle est sur LinkedIn à 100%. Je n'avais pas de questions à me poser sur le canal puisque j'allais leur enseigner à se servir de LinkedIn et qu'en plus, tous les RH sont sur LinkedIn. D'un point de vue canal, j'ai commencé par LinkedIn et c'était assez évident. et dès le début j'ai vraiment créé des des posts et des newsletters full valeur. Je ne me suis pas dit, si je leur donne des trucs gratuitement, qu'est-ce que je vais leur enseigner après ? Vraiment, je n'ai jamais eu ce mindset-là. Et je me disais plus tôt, en fait, l'information existe déjà sur Internet. Il suffit de regarder ce qui se fait côté marketing et de l'appliquer au recrutement. Mais si c'était si simple, les autres le feraient. S'ils ne le font pas, c'est déjà parce qu'ils n'ont pas accès à l'information. Donc moi, je vais leur donner l'information. Je vais essayer de leur montrer effectivement ce que j'ai déjà testé et donc d'apporter ma valeur. Et donc, Là où aujourd'hui, dans ma ligne édito, il y a un peu de lifestyle, de mindset, d'entrepreneuriat, à la base, il n'y en avait pas. C'était vraiment, j'ai publié tous les jours que sur de l'inbound, de recrutement, comment attirer plus facilement, comment repenser ton œuvre d'emploi, etc. C'était full valeur pour les recruteurs.

  • Speaker #0

    C'est super que tu précises parce que ça, c'est comme moi en fait, par rapport à comment j'ai commencé, j'ai pris un peu plus de liberté dans ma ligne édito. Et c'est vrai que les gens, quand ils se comparent à nous aujourd'hui, vont dire « Ah ben ok, moi aussi, je vais faire une photo de surf et puis je vais raconter ma life. » Sauf que non, parce que moi, pareil que toi, j'ai dû faire 2-3 ans de poste sur le freelancing avant de faire des choses un petit peu plus lifestyle. Hyper intéressant. Et est-ce que tu avais un funnel de vente structuré ou c'est juste, je ne sais pas, les gens y commentaient ? Parce que dans l'univers RH aussi, peut-être qu'ils vont lire, mais un peu en secret. Comment ils passaient contact avec toi après ?

  • Speaker #1

    Le funnel n'a pas beaucoup changé. C'était vraiment, on va dire, en début de parcours. pour découverture LinkedIn. Conversion via ma newsletter. Donc, j'ai direct mis en place une newsletter hebdo. Alors, d'abord, je l'ai fait sur LinkedIn et puis après, je me suis dit c'est un peu dangereux d'avoir peut-être toute ton audience à un seul endroit. J'avais pas de moyens de les contacter et tout. Donc, peut-être au bout de neuf mois, je crois que je passe par mail. Je donne d'un point de vue technique, mais je sais que ça peut aider. Et donc... toujours, enfin, j'ai toujours observé, tu vois, ma newsletter est envoyée le jeudi matin, il y avait un pic de réservation la journée du jeudi, donc j'ai toujours attribué la newsletter.

  • Speaker #0

    Donc, c'était un petit peu ça, ouais, découverte via LinkedIn, conversion via la newsletter. T'as combien d'abonnés sur ta newsletter à peu près ? J'en ai 6000. Ouais. Ce qui est beaucoup, quand même, maintenant. Là, tu dois avoir tes pairs aussi, là-dedans. Ouais, exactement. Il y avait, il y a... une grande majorité rage, mais il y a aussi des pertes de la concurrence,

  • Speaker #1

    etc. Qui est là, je fais un petit tri, allez, tous les 3-4 mois à peu près, en termes de... Pour garder une bonne...

  • Speaker #0

    Tu tires les emails perso. Tu gardes que chanel.com.

  • Speaker #1

    Grâce. Plutôt, effectivement, sur le taux d'ouverture, pour essayer d'avoir toujours quelque chose de propre. On est toujours aux alentours de 60% d'ouverture. Donc, en vrai, ça se stabilise bien. Mais j'ai évidemment pas... tout commencé comme ça. Je me rappelle avec Fournière Newsletter, quand je l'ai basculé de LinkedIn, parce que LinkedIn avait massivement poussé la fonctionnalité LinkedIn, donc j'avais plein d'abonnés, enfin, la fonctionnalité Newsletter, j'avais plein d'abonnés sur LinkedIn, mais quand je l'ai passé par mail, j'ai dû recommencer, genre, avec 100 personnes, tu vois, donc... Donc, il n'y a pas de honte.

  • Speaker #0

    Rappelez-vous que 100 personnes deviennent 6 000 hyper qualifiées. Après, moi, c'est pareil. J'ai commencé avec 20 personnes, dont ma mère et mes potes qui étaient salariés, qui s'en foutaient de ma Newsletter solo-preneur, et maintenant, les 10 000.

  • Speaker #1

    Bien joué, Flavie.

  • Speaker #0

    Trop bien. Donc, il y avait un lien vers ton Calendly ou un truc comme ça sur la newsletter. Oui, je variais un petit peu les calls to action, mais globalement, c'était souvent ça. Souvent, un lien vers mon Calendly. Et après, c'est encore le cas. À 90 % de mes contrats, on les close en un rendez-vous. Donc, il y a vraiment le rendez-vous qui n'est même pas vraiment un rendez-vous de closing. En in-band, quand c'est vraiment full in-band,

  • Speaker #1

    in-contact, ils savent déjà très bien ce que je propose. ils savent qu'ils veulent bosser avec moi et c'est plutôt les modalités, puis vérifier que d'un point de vue budgétaire, ça passe. Il y a quelques entreprises pour lesquelles, effectivement, il y a un R2, il y a besoin d'un deuxième rendez-vous. Et souvent, je dirais 80-90%,

  • Speaker #0

    ça se close en un call de 35-40 minutes. C'est génial et c'est la force de l'organique, c'est la force du média. Moi, c'est pareil. Je ne fais pas beaucoup de calls, mais des fois, quand je recrute pour mon bootcamp, c'est bon pour maintenant. Les gens se sont auto-closés. Ils ont déjà écouté tous les épisodes qui concernent la scalabilité. Ils veulent déjà bosser avec moi. Ils savent le prix, ils savent les dates. Donc, clairement, il n'y a pas de taux de déperdition énorme. Trop cool. Et alors, cette année, je l'ai reçu dans ma boîte aux lettres. Et d'ailleurs, je l'ai filé à mon mec qui va le filer à son DRH, parce que c'est une grosse boîte allemande. Donc, je vais t'envoyer du bise un petit peu, Charlène. T'as lancé ton livre, t'as écrit ton livre, Recruter sans chasser, qui est magnifique. Je vais montrer un petit peu des images, là, à l'écran, sur YouTube. Écrire un livre, c'est un énorme chantier, quand on est expert. Alors, je me doute bien que tu l'as fait pour des raisons de branding, de prix, d'autorité, mais quand même, là, j'ai besoin de te poser des questions. Comment tu l'utilises, justement, dans ton funnel ? Combien de temps ça t'a pris ? C'était quoi ta stratégie avec ce livre, aussi ?

  • Speaker #1

    Yes ! beaucoup de questions, c'est un projet que j'avais depuis longtemps mais aussi un petit peu par ego juste parce que j'adore écrire, j'adore lire et que je me disais bon ça serait quand même cool d'avoir un livre et puis c'est vrai que dans le B2B on va pas se le cacher, c'est quand même une preuve, le fait d'avoir un livre donc voilà, je le repoussais un peu parce qu'effectivement ça prenait du temps que c'était pas ma prio et que honnêtement j'ai de la chance je t'ai partagé les chiffres d'avoir une croissance assez naturelle sans avoir changé la stratégie. Néanmoins, Karim, avec qui je l'ai écrit, m'a contacté, m'a dit « J'ai déjà écrit un bouquin en maison d'édition, j'ai envie d'en refaire un à destination des recruteurs, cette fois-ci en auto-édition pour maximiser la rentabilité, on pourra en parler, et puis aussi avoir vraiment la liberté d'expression. Et donc, j'aimerais l'écrire avec toi parce que c'est toi qui touche le plus des recruteurs, j'aimerais toute la dimension, une bande et tout. » Donc, on est parti dans cette aventure il y a... un an. Il fait 400 pages, 400 pages, mais avec beaucoup d'exemples, d'ailleurs, beaucoup de posts ou de contenus créés par les entreprises pour illustrer tout ça et montrer que ce n'est pas juste des grands conseils, que c'est applicable. Donc, ces 400 pages n'est pas que de la rédaction. Ça m'a pris à peu près, je dirais, un mois de focus. C'est d'ailleurs comme ça que j'ai découvert Maurice. Je suis venue l'été dernier, juillet 2024. That's for Javier. un mois et demi à Maurice et c'était vraiment le but d'écrire mon livre. Ça a été tout à fait réalisable à raison, je ne sais pas, peut-être de 5 heures par jour à peu près. Et après, par contre, c'est pour ça que je décris ça. C'est parce que j'ai cru que c'était terminé mais ça ne faisait que commencer le travail du livre. Écrire, c'est vraiment la première partie et la partie la plus fun pour moi qui aime écrire. Mais après, il a fallu, effectivement, illustrer par des exemples, mais illustrer le livre aussi puisqu'on ne voulait pas que ce soit 400 pages boring. quoi donc je vais le montrer Je ne sais pas si on a réussi, mais en tout cas, on a vraiment voulu que ce soit agréable à lire, qu'il y ait aussi une logique un peu pédagogique, tu vois, comme je suis dans mes formations, que tu ne dis pas plein d'infos, que tu ne saches pas quoi appliquer, mais que ce soit étape par étape et tout ça. Et puis après, il a payé à lui, donc à chaque fois, il y a, je crois, 150 entreprises qui sont citées dans le livre. Donc, à chaque fois, recueillir les droits des entreprises, etc. Donc, en vrai, on l'a vraiment fait en transparence avec les entreprises qu'on citait. et c'est C'est une bonne stratégie dans le sens où c'est des ambassadeurs. On a des entreprises qui nous ont commandé 30 livres pour leur équipe.

  • Speaker #0

    Mais non, j'adore !

  • Speaker #1

    Ouais, donc genre incroyable. Et puis, on a eu le lendemain de notre sortie, je crois qu'il y avait 40 postes à LinkedIn sur le livre. Ça a fonctionné, mais ça a demandé vraiment beaucoup de temps. Évidemment, il y a des entreprises, des grands noms, où ils ont voulu faire valider au juridique, etc. Donc, ça ne faisait que commencer. Et donc, tout ça pour te dire que j'ai commencé à l'écrire en juillet 2024 et il est sorti en septembre 2025. Il devait être prêt, je crois, en mai. Mais ce n'était pas vraiment la meilleure période pour sortir un livre RH, alors que les vacances allaient arriver. Mais voilà, donc neuf mois quand même de travail à raison de plusieurs heures par semaine quand même.

  • Speaker #0

    Mais gros chantier, bravo à vous deux. En tout cas, c'est hyper intéressant. Et par exemple, tu avais organisé un cocktail pour le lancement de ton livre. Je trouve ça trop smart. Du coup, ce genre de truc, je suis curieuse, ça t'a fait du business derrière, j'imagine, aussi d'avoir tout un tas de personnes pour le lancement de ton livre.

  • Speaker #1

    Carrément. En plus, on a la chance avec Karim d'avoir vraiment une audience croisée. Déjà, Karim, il a 100 000 abonnés sur LinkedIn. C'est plutôt des candidats et même les clients. Tu vois, par exemple, je te parlais tout à l'heure de Chanel. Lui, il bosse avec Dior. moi je travaille avec eux 15 banques populaires et caisses d'épargne, lui, il travaille avec BNP. Donc, tu vois, on avait plein de complémentarités où nos audiences ont eu ce croisé, où j'ai dû rencontrer, tu vois, aussi de potentiels clients pour demain. Et c'est sûr et certain, vraiment, déjà, le mois de septembre était assez fou en termes de business et depuis la sortie du livre, mais ça n'arrête pas, vraiment. Et on le cite souvent et même ici, à Maurice, tu vois, j'ai fait un événement recrutement la semaine dernière et je pense que... 40 fois au moins dans la soirée, on m'a parlé du livre, etc. Donc c'est sûr. Après, j'ai bien conscience qu'il y a un boom, tu vois, au lancement et que ça va se calmer et tout ça. Sauf si on gamifie tout ça et on redonne de l'élan au livre durant l'année. Mais effectivement, c'est assez incroyable en termes d'opportunités. Et en plus, tu vois, je me disais, bon, comme il est auto-édité, peut-être que ça aura moins de valeur perçue. Et à vrai dire, non. Franchement, on a de très bons retours et on sent ... C'est un élément de réassurance sur nos procès.

  • Speaker #0

    Génial. Surtout que toi, vous avez une grosse audience. Ce n'est pas comme si vous étiez des nobodes qui sortaient un livre auto-édité. Là, ce serait peut-être un peu différent. Je trouve ça hyper smart. Je connaissais déjà le cas d'usage en B2B. Tu sais, d'envoyer ton livre aux gens que tu veux closer. Ça peut peut-être être aussi une piste. Peut-être que tu l'as déjà fait. Toi, tu as juste payé un peu plus cher en frais de port que si moi, j'envoie le mien. Il est un peu fat, ton livre. Il est un peu fat. Il est hyper beau. Donc, c'est bien. En fait, un métier relativement simple. Enfin, simple, ce n'est pas pour du tout discréditer parce qu'il faut de la discipline, mais on voit bien LinkedIn, email et livre. En résumant, je pense que tu as dû réutiliser aussi tes années à créer du contenu sur LinkedIn pour avoir la pratique de l'écriture. Donc, hyper cool. Et je trouve que c'est bien parce que des fois, les gens se font une montagne du média alors que ça peut juste être aussi simple que ça et de le faire avec régularité pendant plusieurs années pour booster. Bon, mais trop bien, Charlène. Ce que je te propose, c'est qu'on rentre dans le détail maintenant de commentaires. productiviser ton expertise, donc ces fameux ateliers pour les recruteurs. Et tu vas nous raconter comment tu l'as transformé en une formation. Et d'ailleurs, tu dis « on » , donc j'aimerais bien savoir un petit peu quel état parle là-dedans. Est-ce que tu t'es libérée du temps grâce à ça ? Qui organise ces formations pour te permettre de faire aussi autant de chiffre d'affaires ? C'est parti pour la partie produits.

Description

Tu vends ton temps en tant que freelance RH et tu rêves de sortir de la rat race ?


Tu te demandes comment transformer ton expertise en un business scalable qui te rapporte sans devoir prospecter ni sacrifier ta liberté ?


Dans ce nouveau format "Dans les coulisses des solopreneurs à succès", je décortique le parcours complet d'un·e entrepreneur·e qui a réussi à créer un vrai solo-business rentable et scalable.


Dans ce deuxième épisode, je reçois Charlène Hemery, ex-DRH en banque qui a créé Talent Catcher, son entreprise spécialisée dans le recrutement inbound.


Aujourd'hui digital nomad à l'île Maurice, elle a transformé son expertise en formations B2B pour recruteurs.


On décortique ensemble son parcours de solopreneure :

📌 Comment trouver sa niche fertile quand on vient du monde RH ?

📌 Comment attirer des grands comptes comme Chanel sans prospecter ?

📌 Comment créer une offre qui se vend à 25K€ dès le premier client ?

📌 Comment écrire un livre pour booster son autorité (et son business) ?

📌 Comment productiviser son expertise avec des formations B2B ?

📌 Comment déléguer intelligemment avec des freelances sans s'associer ?


Un épisode complet pour tous les freelances qui veulent créer un vrai solo-business rentable, scalable et qui leur laisse du temps pour profiter de la vie.


🔗 L'épisode 1 "Solopreneurs à succès"


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Chaque semaine, retrouve moi un nouvel épisode sur Le Board, le podcast des solopreneurs qui veulent créer un business rentable, scalable et générer des revenus passifs. Un lundi sur deux, tu retrouveras un épisode de Solo Nation, le talk show des solopreneurs que je co-anime avec les queens et les kings du business en ligne pour partager nos coulisses garanties sans bullshit et sans filtre : Aline Bartoli aka The Bboost, Valentine Helsmoortel, aka My Creator Era, Geneviève Gauvin, Hugues Trijasse aka FrenchStartuper, Sarah Zitouni aka Powher ta carrière, Kevin Ghanbarzadeh aka Shaunz, Dimby Rakotomalala, Pauline Clavelloux aka Pauline Saas builder, Océane Sorel aka the french Virologist, Alexandre Mensier, Adrien Tornier, Lucie Carbonne.


Et l’autre semaine, découvre Le Board en solo, où je partage mes stratégies et conseils pour booster ton solobusiness. Ma mission ? T’aider à être plus libre et indépendant.


👋 Je suis Flavie Prévot, solopreneure et créatrice du Board, le premier podcast et incubateur dédié aux solopreneurs en France.

Que tu sois freelance, solopreneur, salarié en side-business ou en pleine transition vers l’indépendance, chaque épisode t’apporte des conseils concrets pour créer et scaler ton activité. Marketing, business en ligne, mindset, productivité, automatisation, génération de revenus passifs… Tout ce qu’il faut pour réussir en solo !


🎧 Si tu aimes les podcasts comme Génération Do it Yourself, Tribu Indé, J’peux pas j’ai business, Sans Permission, Marketing Square ou Young, Wild & Freelance, Solo Nation et Le Board devraient te plaire aussi !


Crédits musicaux :

EP03 - DtMF - Bad Bunny


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement, à mon micro, pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors, n'oublie pas de t'abonner à la newsletter pour recevoir les bonus. Alors, Charlène, SoloMedia, c'est quelle stratégie tu as utilisée pour attirer tes clients en automatique ? Donc, en fait, toi, c'est ce que tu appelles Inbound Marketing. Moi, j'appelle ça Media, on va dire, pour simplifier, pour les freelances qui ne sont pas marketeux dans l'âme. C'était quoi les postes que tu faisais pour attirer Chanel et faire 25 000 euros de ventes B2B ?

  • Speaker #1

    Ça a été direct des postes orientés valeur. Je dis poste parce que moi, j'ai de la chance, ma cible RH, il se trouve qu'elle est sur LinkedIn à 100%. Je n'avais pas de questions à me poser sur le canal puisque j'allais leur enseigner à se servir de LinkedIn et qu'en plus, tous les RH sont sur LinkedIn. D'un point de vue canal, j'ai commencé par LinkedIn et c'était assez évident. et dès le début j'ai vraiment créé des des posts et des newsletters full valeur. Je ne me suis pas dit, si je leur donne des trucs gratuitement, qu'est-ce que je vais leur enseigner après ? Vraiment, je n'ai jamais eu ce mindset-là. Et je me disais plus tôt, en fait, l'information existe déjà sur Internet. Il suffit de regarder ce qui se fait côté marketing et de l'appliquer au recrutement. Mais si c'était si simple, les autres le feraient. S'ils ne le font pas, c'est déjà parce qu'ils n'ont pas accès à l'information. Donc moi, je vais leur donner l'information. Je vais essayer de leur montrer effectivement ce que j'ai déjà testé et donc d'apporter ma valeur. Et donc, Là où aujourd'hui, dans ma ligne édito, il y a un peu de lifestyle, de mindset, d'entrepreneuriat, à la base, il n'y en avait pas. C'était vraiment, j'ai publié tous les jours que sur de l'inbound, de recrutement, comment attirer plus facilement, comment repenser ton œuvre d'emploi, etc. C'était full valeur pour les recruteurs.

  • Speaker #0

    C'est super que tu précises parce que ça, c'est comme moi en fait, par rapport à comment j'ai commencé, j'ai pris un peu plus de liberté dans ma ligne édito. Et c'est vrai que les gens, quand ils se comparent à nous aujourd'hui, vont dire « Ah ben ok, moi aussi, je vais faire une photo de surf et puis je vais raconter ma life. » Sauf que non, parce que moi, pareil que toi, j'ai dû faire 2-3 ans de poste sur le freelancing avant de faire des choses un petit peu plus lifestyle. Hyper intéressant. Et est-ce que tu avais un funnel de vente structuré ou c'est juste, je ne sais pas, les gens y commentaient ? Parce que dans l'univers RH aussi, peut-être qu'ils vont lire, mais un peu en secret. Comment ils passaient contact avec toi après ?

  • Speaker #1

    Le funnel n'a pas beaucoup changé. C'était vraiment, on va dire, en début de parcours. pour découverture LinkedIn. Conversion via ma newsletter. Donc, j'ai direct mis en place une newsletter hebdo. Alors, d'abord, je l'ai fait sur LinkedIn et puis après, je me suis dit c'est un peu dangereux d'avoir peut-être toute ton audience à un seul endroit. J'avais pas de moyens de les contacter et tout. Donc, peut-être au bout de neuf mois, je crois que je passe par mail. Je donne d'un point de vue technique, mais je sais que ça peut aider. Et donc... toujours, enfin, j'ai toujours observé, tu vois, ma newsletter est envoyée le jeudi matin, il y avait un pic de réservation la journée du jeudi, donc j'ai toujours attribué la newsletter.

  • Speaker #0

    Donc, c'était un petit peu ça, ouais, découverte via LinkedIn, conversion via la newsletter. T'as combien d'abonnés sur ta newsletter à peu près ? J'en ai 6000. Ouais. Ce qui est beaucoup, quand même, maintenant. Là, tu dois avoir tes pairs aussi, là-dedans. Ouais, exactement. Il y avait, il y a... une grande majorité rage, mais il y a aussi des pertes de la concurrence,

  • Speaker #1

    etc. Qui est là, je fais un petit tri, allez, tous les 3-4 mois à peu près, en termes de... Pour garder une bonne...

  • Speaker #0

    Tu tires les emails perso. Tu gardes que chanel.com.

  • Speaker #1

    Grâce. Plutôt, effectivement, sur le taux d'ouverture, pour essayer d'avoir toujours quelque chose de propre. On est toujours aux alentours de 60% d'ouverture. Donc, en vrai, ça se stabilise bien. Mais j'ai évidemment pas... tout commencé comme ça. Je me rappelle avec Fournière Newsletter, quand je l'ai basculé de LinkedIn, parce que LinkedIn avait massivement poussé la fonctionnalité LinkedIn, donc j'avais plein d'abonnés, enfin, la fonctionnalité Newsletter, j'avais plein d'abonnés sur LinkedIn, mais quand je l'ai passé par mail, j'ai dû recommencer, genre, avec 100 personnes, tu vois, donc... Donc, il n'y a pas de honte.

  • Speaker #0

    Rappelez-vous que 100 personnes deviennent 6 000 hyper qualifiées. Après, moi, c'est pareil. J'ai commencé avec 20 personnes, dont ma mère et mes potes qui étaient salariés, qui s'en foutaient de ma Newsletter solo-preneur, et maintenant, les 10 000.

  • Speaker #1

    Bien joué, Flavie.

  • Speaker #0

    Trop bien. Donc, il y avait un lien vers ton Calendly ou un truc comme ça sur la newsletter. Oui, je variais un petit peu les calls to action, mais globalement, c'était souvent ça. Souvent, un lien vers mon Calendly. Et après, c'est encore le cas. À 90 % de mes contrats, on les close en un rendez-vous. Donc, il y a vraiment le rendez-vous qui n'est même pas vraiment un rendez-vous de closing. En in-band, quand c'est vraiment full in-band,

  • Speaker #1

    in-contact, ils savent déjà très bien ce que je propose. ils savent qu'ils veulent bosser avec moi et c'est plutôt les modalités, puis vérifier que d'un point de vue budgétaire, ça passe. Il y a quelques entreprises pour lesquelles, effectivement, il y a un R2, il y a besoin d'un deuxième rendez-vous. Et souvent, je dirais 80-90%,

  • Speaker #0

    ça se close en un call de 35-40 minutes. C'est génial et c'est la force de l'organique, c'est la force du média. Moi, c'est pareil. Je ne fais pas beaucoup de calls, mais des fois, quand je recrute pour mon bootcamp, c'est bon pour maintenant. Les gens se sont auto-closés. Ils ont déjà écouté tous les épisodes qui concernent la scalabilité. Ils veulent déjà bosser avec moi. Ils savent le prix, ils savent les dates. Donc, clairement, il n'y a pas de taux de déperdition énorme. Trop cool. Et alors, cette année, je l'ai reçu dans ma boîte aux lettres. Et d'ailleurs, je l'ai filé à mon mec qui va le filer à son DRH, parce que c'est une grosse boîte allemande. Donc, je vais t'envoyer du bise un petit peu, Charlène. T'as lancé ton livre, t'as écrit ton livre, Recruter sans chasser, qui est magnifique. Je vais montrer un petit peu des images, là, à l'écran, sur YouTube. Écrire un livre, c'est un énorme chantier, quand on est expert. Alors, je me doute bien que tu l'as fait pour des raisons de branding, de prix, d'autorité, mais quand même, là, j'ai besoin de te poser des questions. Comment tu l'utilises, justement, dans ton funnel ? Combien de temps ça t'a pris ? C'était quoi ta stratégie avec ce livre, aussi ?

  • Speaker #1

    Yes ! beaucoup de questions, c'est un projet que j'avais depuis longtemps mais aussi un petit peu par ego juste parce que j'adore écrire, j'adore lire et que je me disais bon ça serait quand même cool d'avoir un livre et puis c'est vrai que dans le B2B on va pas se le cacher, c'est quand même une preuve, le fait d'avoir un livre donc voilà, je le repoussais un peu parce qu'effectivement ça prenait du temps que c'était pas ma prio et que honnêtement j'ai de la chance je t'ai partagé les chiffres d'avoir une croissance assez naturelle sans avoir changé la stratégie. Néanmoins, Karim, avec qui je l'ai écrit, m'a contacté, m'a dit « J'ai déjà écrit un bouquin en maison d'édition, j'ai envie d'en refaire un à destination des recruteurs, cette fois-ci en auto-édition pour maximiser la rentabilité, on pourra en parler, et puis aussi avoir vraiment la liberté d'expression. Et donc, j'aimerais l'écrire avec toi parce que c'est toi qui touche le plus des recruteurs, j'aimerais toute la dimension, une bande et tout. » Donc, on est parti dans cette aventure il y a... un an. Il fait 400 pages, 400 pages, mais avec beaucoup d'exemples, d'ailleurs, beaucoup de posts ou de contenus créés par les entreprises pour illustrer tout ça et montrer que ce n'est pas juste des grands conseils, que c'est applicable. Donc, ces 400 pages n'est pas que de la rédaction. Ça m'a pris à peu près, je dirais, un mois de focus. C'est d'ailleurs comme ça que j'ai découvert Maurice. Je suis venue l'été dernier, juillet 2024. That's for Javier. un mois et demi à Maurice et c'était vraiment le but d'écrire mon livre. Ça a été tout à fait réalisable à raison, je ne sais pas, peut-être de 5 heures par jour à peu près. Et après, par contre, c'est pour ça que je décris ça. C'est parce que j'ai cru que c'était terminé mais ça ne faisait que commencer le travail du livre. Écrire, c'est vraiment la première partie et la partie la plus fun pour moi qui aime écrire. Mais après, il a fallu, effectivement, illustrer par des exemples, mais illustrer le livre aussi puisqu'on ne voulait pas que ce soit 400 pages boring. quoi donc je vais le montrer Je ne sais pas si on a réussi, mais en tout cas, on a vraiment voulu que ce soit agréable à lire, qu'il y ait aussi une logique un peu pédagogique, tu vois, comme je suis dans mes formations, que tu ne dis pas plein d'infos, que tu ne saches pas quoi appliquer, mais que ce soit étape par étape et tout ça. Et puis après, il a payé à lui, donc à chaque fois, il y a, je crois, 150 entreprises qui sont citées dans le livre. Donc, à chaque fois, recueillir les droits des entreprises, etc. Donc, en vrai, on l'a vraiment fait en transparence avec les entreprises qu'on citait. et c'est C'est une bonne stratégie dans le sens où c'est des ambassadeurs. On a des entreprises qui nous ont commandé 30 livres pour leur équipe.

  • Speaker #0

    Mais non, j'adore !

  • Speaker #1

    Ouais, donc genre incroyable. Et puis, on a eu le lendemain de notre sortie, je crois qu'il y avait 40 postes à LinkedIn sur le livre. Ça a fonctionné, mais ça a demandé vraiment beaucoup de temps. Évidemment, il y a des entreprises, des grands noms, où ils ont voulu faire valider au juridique, etc. Donc, ça ne faisait que commencer. Et donc, tout ça pour te dire que j'ai commencé à l'écrire en juillet 2024 et il est sorti en septembre 2025. Il devait être prêt, je crois, en mai. Mais ce n'était pas vraiment la meilleure période pour sortir un livre RH, alors que les vacances allaient arriver. Mais voilà, donc neuf mois quand même de travail à raison de plusieurs heures par semaine quand même.

  • Speaker #0

    Mais gros chantier, bravo à vous deux. En tout cas, c'est hyper intéressant. Et par exemple, tu avais organisé un cocktail pour le lancement de ton livre. Je trouve ça trop smart. Du coup, ce genre de truc, je suis curieuse, ça t'a fait du business derrière, j'imagine, aussi d'avoir tout un tas de personnes pour le lancement de ton livre.

  • Speaker #1

    Carrément. En plus, on a la chance avec Karim d'avoir vraiment une audience croisée. Déjà, Karim, il a 100 000 abonnés sur LinkedIn. C'est plutôt des candidats et même les clients. Tu vois, par exemple, je te parlais tout à l'heure de Chanel. Lui, il bosse avec Dior. moi je travaille avec eux 15 banques populaires et caisses d'épargne, lui, il travaille avec BNP. Donc, tu vois, on avait plein de complémentarités où nos audiences ont eu ce croisé, où j'ai dû rencontrer, tu vois, aussi de potentiels clients pour demain. Et c'est sûr et certain, vraiment, déjà, le mois de septembre était assez fou en termes de business et depuis la sortie du livre, mais ça n'arrête pas, vraiment. Et on le cite souvent et même ici, à Maurice, tu vois, j'ai fait un événement recrutement la semaine dernière et je pense que... 40 fois au moins dans la soirée, on m'a parlé du livre, etc. Donc c'est sûr. Après, j'ai bien conscience qu'il y a un boom, tu vois, au lancement et que ça va se calmer et tout ça. Sauf si on gamifie tout ça et on redonne de l'élan au livre durant l'année. Mais effectivement, c'est assez incroyable en termes d'opportunités. Et en plus, tu vois, je me disais, bon, comme il est auto-édité, peut-être que ça aura moins de valeur perçue. Et à vrai dire, non. Franchement, on a de très bons retours et on sent ... C'est un élément de réassurance sur nos procès.

  • Speaker #0

    Génial. Surtout que toi, vous avez une grosse audience. Ce n'est pas comme si vous étiez des nobodes qui sortaient un livre auto-édité. Là, ce serait peut-être un peu différent. Je trouve ça hyper smart. Je connaissais déjà le cas d'usage en B2B. Tu sais, d'envoyer ton livre aux gens que tu veux closer. Ça peut peut-être être aussi une piste. Peut-être que tu l'as déjà fait. Toi, tu as juste payé un peu plus cher en frais de port que si moi, j'envoie le mien. Il est un peu fat, ton livre. Il est un peu fat. Il est hyper beau. Donc, c'est bien. En fait, un métier relativement simple. Enfin, simple, ce n'est pas pour du tout discréditer parce qu'il faut de la discipline, mais on voit bien LinkedIn, email et livre. En résumant, je pense que tu as dû réutiliser aussi tes années à créer du contenu sur LinkedIn pour avoir la pratique de l'écriture. Donc, hyper cool. Et je trouve que c'est bien parce que des fois, les gens se font une montagne du média alors que ça peut juste être aussi simple que ça et de le faire avec régularité pendant plusieurs années pour booster. Bon, mais trop bien, Charlène. Ce que je te propose, c'est qu'on rentre dans le détail maintenant de commentaires. productiviser ton expertise, donc ces fameux ateliers pour les recruteurs. Et tu vas nous raconter comment tu l'as transformé en une formation. Et d'ailleurs, tu dis « on » , donc j'aimerais bien savoir un petit peu quel état parle là-dedans. Est-ce que tu t'es libérée du temps grâce à ça ? Qui organise ces formations pour te permettre de faire aussi autant de chiffre d'affaires ? C'est parti pour la partie produits.

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Description

Tu vends ton temps en tant que freelance RH et tu rêves de sortir de la rat race ?


Tu te demandes comment transformer ton expertise en un business scalable qui te rapporte sans devoir prospecter ni sacrifier ta liberté ?


Dans ce nouveau format "Dans les coulisses des solopreneurs à succès", je décortique le parcours complet d'un·e entrepreneur·e qui a réussi à créer un vrai solo-business rentable et scalable.


Dans ce deuxième épisode, je reçois Charlène Hemery, ex-DRH en banque qui a créé Talent Catcher, son entreprise spécialisée dans le recrutement inbound.


Aujourd'hui digital nomad à l'île Maurice, elle a transformé son expertise en formations B2B pour recruteurs.


On décortique ensemble son parcours de solopreneure :

📌 Comment trouver sa niche fertile quand on vient du monde RH ?

📌 Comment attirer des grands comptes comme Chanel sans prospecter ?

📌 Comment créer une offre qui se vend à 25K€ dès le premier client ?

📌 Comment écrire un livre pour booster son autorité (et son business) ?

📌 Comment productiviser son expertise avec des formations B2B ?

📌 Comment déléguer intelligemment avec des freelances sans s'associer ?


Un épisode complet pour tous les freelances qui veulent créer un vrai solo-business rentable, scalable et qui leur laisse du temps pour profiter de la vie.


🔗 L'épisode 1 "Solopreneurs à succès"


💌 Retrouve tous mes tips solopreneur et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


💜 Si ça t’a plu, soutiens le podcast en laissant 5 ⭐ et un avis sur Apple Podcast ou Spotify, ou en partageant sur tes réseaux (je réserve une petite surprise pour chaque avis sympa reçu).


Chaque semaine, retrouve moi un nouvel épisode sur Le Board, le podcast des solopreneurs qui veulent créer un business rentable, scalable et générer des revenus passifs. Un lundi sur deux, tu retrouveras un épisode de Solo Nation, le talk show des solopreneurs que je co-anime avec les queens et les kings du business en ligne pour partager nos coulisses garanties sans bullshit et sans filtre : Aline Bartoli aka The Bboost, Valentine Helsmoortel, aka My Creator Era, Geneviève Gauvin, Hugues Trijasse aka FrenchStartuper, Sarah Zitouni aka Powher ta carrière, Kevin Ghanbarzadeh aka Shaunz, Dimby Rakotomalala, Pauline Clavelloux aka Pauline Saas builder, Océane Sorel aka the french Virologist, Alexandre Mensier, Adrien Tornier, Lucie Carbonne.


Et l’autre semaine, découvre Le Board en solo, où je partage mes stratégies et conseils pour booster ton solobusiness. Ma mission ? T’aider à être plus libre et indépendant.


👋 Je suis Flavie Prévot, solopreneure et créatrice du Board, le premier podcast et incubateur dédié aux solopreneurs en France.

Que tu sois freelance, solopreneur, salarié en side-business ou en pleine transition vers l’indépendance, chaque épisode t’apporte des conseils concrets pour créer et scaler ton activité. Marketing, business en ligne, mindset, productivité, automatisation, génération de revenus passifs… Tout ce qu’il faut pour réussir en solo !


🎧 Si tu aimes les podcasts comme Génération Do it Yourself, Tribu Indé, J’peux pas j’ai business, Sans Permission, Marketing Square ou Young, Wild & Freelance, Solo Nation et Le Board devraient te plaire aussi !


Crédits musicaux :

EP03 - DtMF - Bad Bunny


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement, à mon micro, pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors, n'oublie pas de t'abonner à la newsletter pour recevoir les bonus. Alors, Charlène, SoloMedia, c'est quelle stratégie tu as utilisée pour attirer tes clients en automatique ? Donc, en fait, toi, c'est ce que tu appelles Inbound Marketing. Moi, j'appelle ça Media, on va dire, pour simplifier, pour les freelances qui ne sont pas marketeux dans l'âme. C'était quoi les postes que tu faisais pour attirer Chanel et faire 25 000 euros de ventes B2B ?

  • Speaker #1

    Ça a été direct des postes orientés valeur. Je dis poste parce que moi, j'ai de la chance, ma cible RH, il se trouve qu'elle est sur LinkedIn à 100%. Je n'avais pas de questions à me poser sur le canal puisque j'allais leur enseigner à se servir de LinkedIn et qu'en plus, tous les RH sont sur LinkedIn. D'un point de vue canal, j'ai commencé par LinkedIn et c'était assez évident. et dès le début j'ai vraiment créé des des posts et des newsletters full valeur. Je ne me suis pas dit, si je leur donne des trucs gratuitement, qu'est-ce que je vais leur enseigner après ? Vraiment, je n'ai jamais eu ce mindset-là. Et je me disais plus tôt, en fait, l'information existe déjà sur Internet. Il suffit de regarder ce qui se fait côté marketing et de l'appliquer au recrutement. Mais si c'était si simple, les autres le feraient. S'ils ne le font pas, c'est déjà parce qu'ils n'ont pas accès à l'information. Donc moi, je vais leur donner l'information. Je vais essayer de leur montrer effectivement ce que j'ai déjà testé et donc d'apporter ma valeur. Et donc, Là où aujourd'hui, dans ma ligne édito, il y a un peu de lifestyle, de mindset, d'entrepreneuriat, à la base, il n'y en avait pas. C'était vraiment, j'ai publié tous les jours que sur de l'inbound, de recrutement, comment attirer plus facilement, comment repenser ton œuvre d'emploi, etc. C'était full valeur pour les recruteurs.

  • Speaker #0

    C'est super que tu précises parce que ça, c'est comme moi en fait, par rapport à comment j'ai commencé, j'ai pris un peu plus de liberté dans ma ligne édito. Et c'est vrai que les gens, quand ils se comparent à nous aujourd'hui, vont dire « Ah ben ok, moi aussi, je vais faire une photo de surf et puis je vais raconter ma life. » Sauf que non, parce que moi, pareil que toi, j'ai dû faire 2-3 ans de poste sur le freelancing avant de faire des choses un petit peu plus lifestyle. Hyper intéressant. Et est-ce que tu avais un funnel de vente structuré ou c'est juste, je ne sais pas, les gens y commentaient ? Parce que dans l'univers RH aussi, peut-être qu'ils vont lire, mais un peu en secret. Comment ils passaient contact avec toi après ?

  • Speaker #1

    Le funnel n'a pas beaucoup changé. C'était vraiment, on va dire, en début de parcours. pour découverture LinkedIn. Conversion via ma newsletter. Donc, j'ai direct mis en place une newsletter hebdo. Alors, d'abord, je l'ai fait sur LinkedIn et puis après, je me suis dit c'est un peu dangereux d'avoir peut-être toute ton audience à un seul endroit. J'avais pas de moyens de les contacter et tout. Donc, peut-être au bout de neuf mois, je crois que je passe par mail. Je donne d'un point de vue technique, mais je sais que ça peut aider. Et donc... toujours, enfin, j'ai toujours observé, tu vois, ma newsletter est envoyée le jeudi matin, il y avait un pic de réservation la journée du jeudi, donc j'ai toujours attribué la newsletter.

  • Speaker #0

    Donc, c'était un petit peu ça, ouais, découverte via LinkedIn, conversion via la newsletter. T'as combien d'abonnés sur ta newsletter à peu près ? J'en ai 6000. Ouais. Ce qui est beaucoup, quand même, maintenant. Là, tu dois avoir tes pairs aussi, là-dedans. Ouais, exactement. Il y avait, il y a... une grande majorité rage, mais il y a aussi des pertes de la concurrence,

  • Speaker #1

    etc. Qui est là, je fais un petit tri, allez, tous les 3-4 mois à peu près, en termes de... Pour garder une bonne...

  • Speaker #0

    Tu tires les emails perso. Tu gardes que chanel.com.

  • Speaker #1

    Grâce. Plutôt, effectivement, sur le taux d'ouverture, pour essayer d'avoir toujours quelque chose de propre. On est toujours aux alentours de 60% d'ouverture. Donc, en vrai, ça se stabilise bien. Mais j'ai évidemment pas... tout commencé comme ça. Je me rappelle avec Fournière Newsletter, quand je l'ai basculé de LinkedIn, parce que LinkedIn avait massivement poussé la fonctionnalité LinkedIn, donc j'avais plein d'abonnés, enfin, la fonctionnalité Newsletter, j'avais plein d'abonnés sur LinkedIn, mais quand je l'ai passé par mail, j'ai dû recommencer, genre, avec 100 personnes, tu vois, donc... Donc, il n'y a pas de honte.

  • Speaker #0

    Rappelez-vous que 100 personnes deviennent 6 000 hyper qualifiées. Après, moi, c'est pareil. J'ai commencé avec 20 personnes, dont ma mère et mes potes qui étaient salariés, qui s'en foutaient de ma Newsletter solo-preneur, et maintenant, les 10 000.

  • Speaker #1

    Bien joué, Flavie.

  • Speaker #0

    Trop bien. Donc, il y avait un lien vers ton Calendly ou un truc comme ça sur la newsletter. Oui, je variais un petit peu les calls to action, mais globalement, c'était souvent ça. Souvent, un lien vers mon Calendly. Et après, c'est encore le cas. À 90 % de mes contrats, on les close en un rendez-vous. Donc, il y a vraiment le rendez-vous qui n'est même pas vraiment un rendez-vous de closing. En in-band, quand c'est vraiment full in-band,

  • Speaker #1

    in-contact, ils savent déjà très bien ce que je propose. ils savent qu'ils veulent bosser avec moi et c'est plutôt les modalités, puis vérifier que d'un point de vue budgétaire, ça passe. Il y a quelques entreprises pour lesquelles, effectivement, il y a un R2, il y a besoin d'un deuxième rendez-vous. Et souvent, je dirais 80-90%,

  • Speaker #0

    ça se close en un call de 35-40 minutes. C'est génial et c'est la force de l'organique, c'est la force du média. Moi, c'est pareil. Je ne fais pas beaucoup de calls, mais des fois, quand je recrute pour mon bootcamp, c'est bon pour maintenant. Les gens se sont auto-closés. Ils ont déjà écouté tous les épisodes qui concernent la scalabilité. Ils veulent déjà bosser avec moi. Ils savent le prix, ils savent les dates. Donc, clairement, il n'y a pas de taux de déperdition énorme. Trop cool. Et alors, cette année, je l'ai reçu dans ma boîte aux lettres. Et d'ailleurs, je l'ai filé à mon mec qui va le filer à son DRH, parce que c'est une grosse boîte allemande. Donc, je vais t'envoyer du bise un petit peu, Charlène. T'as lancé ton livre, t'as écrit ton livre, Recruter sans chasser, qui est magnifique. Je vais montrer un petit peu des images, là, à l'écran, sur YouTube. Écrire un livre, c'est un énorme chantier, quand on est expert. Alors, je me doute bien que tu l'as fait pour des raisons de branding, de prix, d'autorité, mais quand même, là, j'ai besoin de te poser des questions. Comment tu l'utilises, justement, dans ton funnel ? Combien de temps ça t'a pris ? C'était quoi ta stratégie avec ce livre, aussi ?

  • Speaker #1

    Yes ! beaucoup de questions, c'est un projet que j'avais depuis longtemps mais aussi un petit peu par ego juste parce que j'adore écrire, j'adore lire et que je me disais bon ça serait quand même cool d'avoir un livre et puis c'est vrai que dans le B2B on va pas se le cacher, c'est quand même une preuve, le fait d'avoir un livre donc voilà, je le repoussais un peu parce qu'effectivement ça prenait du temps que c'était pas ma prio et que honnêtement j'ai de la chance je t'ai partagé les chiffres d'avoir une croissance assez naturelle sans avoir changé la stratégie. Néanmoins, Karim, avec qui je l'ai écrit, m'a contacté, m'a dit « J'ai déjà écrit un bouquin en maison d'édition, j'ai envie d'en refaire un à destination des recruteurs, cette fois-ci en auto-édition pour maximiser la rentabilité, on pourra en parler, et puis aussi avoir vraiment la liberté d'expression. Et donc, j'aimerais l'écrire avec toi parce que c'est toi qui touche le plus des recruteurs, j'aimerais toute la dimension, une bande et tout. » Donc, on est parti dans cette aventure il y a... un an. Il fait 400 pages, 400 pages, mais avec beaucoup d'exemples, d'ailleurs, beaucoup de posts ou de contenus créés par les entreprises pour illustrer tout ça et montrer que ce n'est pas juste des grands conseils, que c'est applicable. Donc, ces 400 pages n'est pas que de la rédaction. Ça m'a pris à peu près, je dirais, un mois de focus. C'est d'ailleurs comme ça que j'ai découvert Maurice. Je suis venue l'été dernier, juillet 2024. That's for Javier. un mois et demi à Maurice et c'était vraiment le but d'écrire mon livre. Ça a été tout à fait réalisable à raison, je ne sais pas, peut-être de 5 heures par jour à peu près. Et après, par contre, c'est pour ça que je décris ça. C'est parce que j'ai cru que c'était terminé mais ça ne faisait que commencer le travail du livre. Écrire, c'est vraiment la première partie et la partie la plus fun pour moi qui aime écrire. Mais après, il a fallu, effectivement, illustrer par des exemples, mais illustrer le livre aussi puisqu'on ne voulait pas que ce soit 400 pages boring. quoi donc je vais le montrer Je ne sais pas si on a réussi, mais en tout cas, on a vraiment voulu que ce soit agréable à lire, qu'il y ait aussi une logique un peu pédagogique, tu vois, comme je suis dans mes formations, que tu ne dis pas plein d'infos, que tu ne saches pas quoi appliquer, mais que ce soit étape par étape et tout ça. Et puis après, il a payé à lui, donc à chaque fois, il y a, je crois, 150 entreprises qui sont citées dans le livre. Donc, à chaque fois, recueillir les droits des entreprises, etc. Donc, en vrai, on l'a vraiment fait en transparence avec les entreprises qu'on citait. et c'est C'est une bonne stratégie dans le sens où c'est des ambassadeurs. On a des entreprises qui nous ont commandé 30 livres pour leur équipe.

  • Speaker #0

    Mais non, j'adore !

  • Speaker #1

    Ouais, donc genre incroyable. Et puis, on a eu le lendemain de notre sortie, je crois qu'il y avait 40 postes à LinkedIn sur le livre. Ça a fonctionné, mais ça a demandé vraiment beaucoup de temps. Évidemment, il y a des entreprises, des grands noms, où ils ont voulu faire valider au juridique, etc. Donc, ça ne faisait que commencer. Et donc, tout ça pour te dire que j'ai commencé à l'écrire en juillet 2024 et il est sorti en septembre 2025. Il devait être prêt, je crois, en mai. Mais ce n'était pas vraiment la meilleure période pour sortir un livre RH, alors que les vacances allaient arriver. Mais voilà, donc neuf mois quand même de travail à raison de plusieurs heures par semaine quand même.

  • Speaker #0

    Mais gros chantier, bravo à vous deux. En tout cas, c'est hyper intéressant. Et par exemple, tu avais organisé un cocktail pour le lancement de ton livre. Je trouve ça trop smart. Du coup, ce genre de truc, je suis curieuse, ça t'a fait du business derrière, j'imagine, aussi d'avoir tout un tas de personnes pour le lancement de ton livre.

  • Speaker #1

    Carrément. En plus, on a la chance avec Karim d'avoir vraiment une audience croisée. Déjà, Karim, il a 100 000 abonnés sur LinkedIn. C'est plutôt des candidats et même les clients. Tu vois, par exemple, je te parlais tout à l'heure de Chanel. Lui, il bosse avec Dior. moi je travaille avec eux 15 banques populaires et caisses d'épargne, lui, il travaille avec BNP. Donc, tu vois, on avait plein de complémentarités où nos audiences ont eu ce croisé, où j'ai dû rencontrer, tu vois, aussi de potentiels clients pour demain. Et c'est sûr et certain, vraiment, déjà, le mois de septembre était assez fou en termes de business et depuis la sortie du livre, mais ça n'arrête pas, vraiment. Et on le cite souvent et même ici, à Maurice, tu vois, j'ai fait un événement recrutement la semaine dernière et je pense que... 40 fois au moins dans la soirée, on m'a parlé du livre, etc. Donc c'est sûr. Après, j'ai bien conscience qu'il y a un boom, tu vois, au lancement et que ça va se calmer et tout ça. Sauf si on gamifie tout ça et on redonne de l'élan au livre durant l'année. Mais effectivement, c'est assez incroyable en termes d'opportunités. Et en plus, tu vois, je me disais, bon, comme il est auto-édité, peut-être que ça aura moins de valeur perçue. Et à vrai dire, non. Franchement, on a de très bons retours et on sent ... C'est un élément de réassurance sur nos procès.

  • Speaker #0

    Génial. Surtout que toi, vous avez une grosse audience. Ce n'est pas comme si vous étiez des nobodes qui sortaient un livre auto-édité. Là, ce serait peut-être un peu différent. Je trouve ça hyper smart. Je connaissais déjà le cas d'usage en B2B. Tu sais, d'envoyer ton livre aux gens que tu veux closer. Ça peut peut-être être aussi une piste. Peut-être que tu l'as déjà fait. Toi, tu as juste payé un peu plus cher en frais de port que si moi, j'envoie le mien. Il est un peu fat, ton livre. Il est un peu fat. Il est hyper beau. Donc, c'est bien. En fait, un métier relativement simple. Enfin, simple, ce n'est pas pour du tout discréditer parce qu'il faut de la discipline, mais on voit bien LinkedIn, email et livre. En résumant, je pense que tu as dû réutiliser aussi tes années à créer du contenu sur LinkedIn pour avoir la pratique de l'écriture. Donc, hyper cool. Et je trouve que c'est bien parce que des fois, les gens se font une montagne du média alors que ça peut juste être aussi simple que ça et de le faire avec régularité pendant plusieurs années pour booster. Bon, mais trop bien, Charlène. Ce que je te propose, c'est qu'on rentre dans le détail maintenant de commentaires. productiviser ton expertise, donc ces fameux ateliers pour les recruteurs. Et tu vas nous raconter comment tu l'as transformé en une formation. Et d'ailleurs, tu dis « on » , donc j'aimerais bien savoir un petit peu quel état parle là-dedans. Est-ce que tu t'es libérée du temps grâce à ça ? Qui organise ces formations pour te permettre de faire aussi autant de chiffre d'affaires ? C'est parti pour la partie produits.

Description

Tu vends ton temps en tant que freelance RH et tu rêves de sortir de la rat race ?


Tu te demandes comment transformer ton expertise en un business scalable qui te rapporte sans devoir prospecter ni sacrifier ta liberté ?


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Dans ce deuxième épisode, je reçois Charlène Hemery, ex-DRH en banque qui a créé Talent Catcher, son entreprise spécialisée dans le recrutement inbound.


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📌 Comment créer une offre qui se vend à 25K€ dès le premier client ?

📌 Comment écrire un livre pour booster son autorité (et son business) ?

📌 Comment productiviser son expertise avec des formations B2B ?

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  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement, à mon micro, pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors, n'oublie pas de t'abonner à la newsletter pour recevoir les bonus. Alors, Charlène, SoloMedia, c'est quelle stratégie tu as utilisée pour attirer tes clients en automatique ? Donc, en fait, toi, c'est ce que tu appelles Inbound Marketing. Moi, j'appelle ça Media, on va dire, pour simplifier, pour les freelances qui ne sont pas marketeux dans l'âme. C'était quoi les postes que tu faisais pour attirer Chanel et faire 25 000 euros de ventes B2B ?

  • Speaker #1

    Ça a été direct des postes orientés valeur. Je dis poste parce que moi, j'ai de la chance, ma cible RH, il se trouve qu'elle est sur LinkedIn à 100%. Je n'avais pas de questions à me poser sur le canal puisque j'allais leur enseigner à se servir de LinkedIn et qu'en plus, tous les RH sont sur LinkedIn. D'un point de vue canal, j'ai commencé par LinkedIn et c'était assez évident. et dès le début j'ai vraiment créé des des posts et des newsletters full valeur. Je ne me suis pas dit, si je leur donne des trucs gratuitement, qu'est-ce que je vais leur enseigner après ? Vraiment, je n'ai jamais eu ce mindset-là. Et je me disais plus tôt, en fait, l'information existe déjà sur Internet. Il suffit de regarder ce qui se fait côté marketing et de l'appliquer au recrutement. Mais si c'était si simple, les autres le feraient. S'ils ne le font pas, c'est déjà parce qu'ils n'ont pas accès à l'information. Donc moi, je vais leur donner l'information. Je vais essayer de leur montrer effectivement ce que j'ai déjà testé et donc d'apporter ma valeur. Et donc, Là où aujourd'hui, dans ma ligne édito, il y a un peu de lifestyle, de mindset, d'entrepreneuriat, à la base, il n'y en avait pas. C'était vraiment, j'ai publié tous les jours que sur de l'inbound, de recrutement, comment attirer plus facilement, comment repenser ton œuvre d'emploi, etc. C'était full valeur pour les recruteurs.

  • Speaker #0

    C'est super que tu précises parce que ça, c'est comme moi en fait, par rapport à comment j'ai commencé, j'ai pris un peu plus de liberté dans ma ligne édito. Et c'est vrai que les gens, quand ils se comparent à nous aujourd'hui, vont dire « Ah ben ok, moi aussi, je vais faire une photo de surf et puis je vais raconter ma life. » Sauf que non, parce que moi, pareil que toi, j'ai dû faire 2-3 ans de poste sur le freelancing avant de faire des choses un petit peu plus lifestyle. Hyper intéressant. Et est-ce que tu avais un funnel de vente structuré ou c'est juste, je ne sais pas, les gens y commentaient ? Parce que dans l'univers RH aussi, peut-être qu'ils vont lire, mais un peu en secret. Comment ils passaient contact avec toi après ?

  • Speaker #1

    Le funnel n'a pas beaucoup changé. C'était vraiment, on va dire, en début de parcours. pour découverture LinkedIn. Conversion via ma newsletter. Donc, j'ai direct mis en place une newsletter hebdo. Alors, d'abord, je l'ai fait sur LinkedIn et puis après, je me suis dit c'est un peu dangereux d'avoir peut-être toute ton audience à un seul endroit. J'avais pas de moyens de les contacter et tout. Donc, peut-être au bout de neuf mois, je crois que je passe par mail. Je donne d'un point de vue technique, mais je sais que ça peut aider. Et donc... toujours, enfin, j'ai toujours observé, tu vois, ma newsletter est envoyée le jeudi matin, il y avait un pic de réservation la journée du jeudi, donc j'ai toujours attribué la newsletter.

  • Speaker #0

    Donc, c'était un petit peu ça, ouais, découverte via LinkedIn, conversion via la newsletter. T'as combien d'abonnés sur ta newsletter à peu près ? J'en ai 6000. Ouais. Ce qui est beaucoup, quand même, maintenant. Là, tu dois avoir tes pairs aussi, là-dedans. Ouais, exactement. Il y avait, il y a... une grande majorité rage, mais il y a aussi des pertes de la concurrence,

  • Speaker #1

    etc. Qui est là, je fais un petit tri, allez, tous les 3-4 mois à peu près, en termes de... Pour garder une bonne...

  • Speaker #0

    Tu tires les emails perso. Tu gardes que chanel.com.

  • Speaker #1

    Grâce. Plutôt, effectivement, sur le taux d'ouverture, pour essayer d'avoir toujours quelque chose de propre. On est toujours aux alentours de 60% d'ouverture. Donc, en vrai, ça se stabilise bien. Mais j'ai évidemment pas... tout commencé comme ça. Je me rappelle avec Fournière Newsletter, quand je l'ai basculé de LinkedIn, parce que LinkedIn avait massivement poussé la fonctionnalité LinkedIn, donc j'avais plein d'abonnés, enfin, la fonctionnalité Newsletter, j'avais plein d'abonnés sur LinkedIn, mais quand je l'ai passé par mail, j'ai dû recommencer, genre, avec 100 personnes, tu vois, donc... Donc, il n'y a pas de honte.

  • Speaker #0

    Rappelez-vous que 100 personnes deviennent 6 000 hyper qualifiées. Après, moi, c'est pareil. J'ai commencé avec 20 personnes, dont ma mère et mes potes qui étaient salariés, qui s'en foutaient de ma Newsletter solo-preneur, et maintenant, les 10 000.

  • Speaker #1

    Bien joué, Flavie.

  • Speaker #0

    Trop bien. Donc, il y avait un lien vers ton Calendly ou un truc comme ça sur la newsletter. Oui, je variais un petit peu les calls to action, mais globalement, c'était souvent ça. Souvent, un lien vers mon Calendly. Et après, c'est encore le cas. À 90 % de mes contrats, on les close en un rendez-vous. Donc, il y a vraiment le rendez-vous qui n'est même pas vraiment un rendez-vous de closing. En in-band, quand c'est vraiment full in-band,

  • Speaker #1

    in-contact, ils savent déjà très bien ce que je propose. ils savent qu'ils veulent bosser avec moi et c'est plutôt les modalités, puis vérifier que d'un point de vue budgétaire, ça passe. Il y a quelques entreprises pour lesquelles, effectivement, il y a un R2, il y a besoin d'un deuxième rendez-vous. Et souvent, je dirais 80-90%,

  • Speaker #0

    ça se close en un call de 35-40 minutes. C'est génial et c'est la force de l'organique, c'est la force du média. Moi, c'est pareil. Je ne fais pas beaucoup de calls, mais des fois, quand je recrute pour mon bootcamp, c'est bon pour maintenant. Les gens se sont auto-closés. Ils ont déjà écouté tous les épisodes qui concernent la scalabilité. Ils veulent déjà bosser avec moi. Ils savent le prix, ils savent les dates. Donc, clairement, il n'y a pas de taux de déperdition énorme. Trop cool. Et alors, cette année, je l'ai reçu dans ma boîte aux lettres. Et d'ailleurs, je l'ai filé à mon mec qui va le filer à son DRH, parce que c'est une grosse boîte allemande. Donc, je vais t'envoyer du bise un petit peu, Charlène. T'as lancé ton livre, t'as écrit ton livre, Recruter sans chasser, qui est magnifique. Je vais montrer un petit peu des images, là, à l'écran, sur YouTube. Écrire un livre, c'est un énorme chantier, quand on est expert. Alors, je me doute bien que tu l'as fait pour des raisons de branding, de prix, d'autorité, mais quand même, là, j'ai besoin de te poser des questions. Comment tu l'utilises, justement, dans ton funnel ? Combien de temps ça t'a pris ? C'était quoi ta stratégie avec ce livre, aussi ?

  • Speaker #1

    Yes ! beaucoup de questions, c'est un projet que j'avais depuis longtemps mais aussi un petit peu par ego juste parce que j'adore écrire, j'adore lire et que je me disais bon ça serait quand même cool d'avoir un livre et puis c'est vrai que dans le B2B on va pas se le cacher, c'est quand même une preuve, le fait d'avoir un livre donc voilà, je le repoussais un peu parce qu'effectivement ça prenait du temps que c'était pas ma prio et que honnêtement j'ai de la chance je t'ai partagé les chiffres d'avoir une croissance assez naturelle sans avoir changé la stratégie. Néanmoins, Karim, avec qui je l'ai écrit, m'a contacté, m'a dit « J'ai déjà écrit un bouquin en maison d'édition, j'ai envie d'en refaire un à destination des recruteurs, cette fois-ci en auto-édition pour maximiser la rentabilité, on pourra en parler, et puis aussi avoir vraiment la liberté d'expression. Et donc, j'aimerais l'écrire avec toi parce que c'est toi qui touche le plus des recruteurs, j'aimerais toute la dimension, une bande et tout. » Donc, on est parti dans cette aventure il y a... un an. Il fait 400 pages, 400 pages, mais avec beaucoup d'exemples, d'ailleurs, beaucoup de posts ou de contenus créés par les entreprises pour illustrer tout ça et montrer que ce n'est pas juste des grands conseils, que c'est applicable. Donc, ces 400 pages n'est pas que de la rédaction. Ça m'a pris à peu près, je dirais, un mois de focus. C'est d'ailleurs comme ça que j'ai découvert Maurice. Je suis venue l'été dernier, juillet 2024. That's for Javier. un mois et demi à Maurice et c'était vraiment le but d'écrire mon livre. Ça a été tout à fait réalisable à raison, je ne sais pas, peut-être de 5 heures par jour à peu près. Et après, par contre, c'est pour ça que je décris ça. C'est parce que j'ai cru que c'était terminé mais ça ne faisait que commencer le travail du livre. Écrire, c'est vraiment la première partie et la partie la plus fun pour moi qui aime écrire. Mais après, il a fallu, effectivement, illustrer par des exemples, mais illustrer le livre aussi puisqu'on ne voulait pas que ce soit 400 pages boring. quoi donc je vais le montrer Je ne sais pas si on a réussi, mais en tout cas, on a vraiment voulu que ce soit agréable à lire, qu'il y ait aussi une logique un peu pédagogique, tu vois, comme je suis dans mes formations, que tu ne dis pas plein d'infos, que tu ne saches pas quoi appliquer, mais que ce soit étape par étape et tout ça. Et puis après, il a payé à lui, donc à chaque fois, il y a, je crois, 150 entreprises qui sont citées dans le livre. Donc, à chaque fois, recueillir les droits des entreprises, etc. Donc, en vrai, on l'a vraiment fait en transparence avec les entreprises qu'on citait. et c'est C'est une bonne stratégie dans le sens où c'est des ambassadeurs. On a des entreprises qui nous ont commandé 30 livres pour leur équipe.

  • Speaker #0

    Mais non, j'adore !

  • Speaker #1

    Ouais, donc genre incroyable. Et puis, on a eu le lendemain de notre sortie, je crois qu'il y avait 40 postes à LinkedIn sur le livre. Ça a fonctionné, mais ça a demandé vraiment beaucoup de temps. Évidemment, il y a des entreprises, des grands noms, où ils ont voulu faire valider au juridique, etc. Donc, ça ne faisait que commencer. Et donc, tout ça pour te dire que j'ai commencé à l'écrire en juillet 2024 et il est sorti en septembre 2025. Il devait être prêt, je crois, en mai. Mais ce n'était pas vraiment la meilleure période pour sortir un livre RH, alors que les vacances allaient arriver. Mais voilà, donc neuf mois quand même de travail à raison de plusieurs heures par semaine quand même.

  • Speaker #0

    Mais gros chantier, bravo à vous deux. En tout cas, c'est hyper intéressant. Et par exemple, tu avais organisé un cocktail pour le lancement de ton livre. Je trouve ça trop smart. Du coup, ce genre de truc, je suis curieuse, ça t'a fait du business derrière, j'imagine, aussi d'avoir tout un tas de personnes pour le lancement de ton livre.

  • Speaker #1

    Carrément. En plus, on a la chance avec Karim d'avoir vraiment une audience croisée. Déjà, Karim, il a 100 000 abonnés sur LinkedIn. C'est plutôt des candidats et même les clients. Tu vois, par exemple, je te parlais tout à l'heure de Chanel. Lui, il bosse avec Dior. moi je travaille avec eux 15 banques populaires et caisses d'épargne, lui, il travaille avec BNP. Donc, tu vois, on avait plein de complémentarités où nos audiences ont eu ce croisé, où j'ai dû rencontrer, tu vois, aussi de potentiels clients pour demain. Et c'est sûr et certain, vraiment, déjà, le mois de septembre était assez fou en termes de business et depuis la sortie du livre, mais ça n'arrête pas, vraiment. Et on le cite souvent et même ici, à Maurice, tu vois, j'ai fait un événement recrutement la semaine dernière et je pense que... 40 fois au moins dans la soirée, on m'a parlé du livre, etc. Donc c'est sûr. Après, j'ai bien conscience qu'il y a un boom, tu vois, au lancement et que ça va se calmer et tout ça. Sauf si on gamifie tout ça et on redonne de l'élan au livre durant l'année. Mais effectivement, c'est assez incroyable en termes d'opportunités. Et en plus, tu vois, je me disais, bon, comme il est auto-édité, peut-être que ça aura moins de valeur perçue. Et à vrai dire, non. Franchement, on a de très bons retours et on sent ... C'est un élément de réassurance sur nos procès.

  • Speaker #0

    Génial. Surtout que toi, vous avez une grosse audience. Ce n'est pas comme si vous étiez des nobodes qui sortaient un livre auto-édité. Là, ce serait peut-être un peu différent. Je trouve ça hyper smart. Je connaissais déjà le cas d'usage en B2B. Tu sais, d'envoyer ton livre aux gens que tu veux closer. Ça peut peut-être être aussi une piste. Peut-être que tu l'as déjà fait. Toi, tu as juste payé un peu plus cher en frais de port que si moi, j'envoie le mien. Il est un peu fat, ton livre. Il est un peu fat. Il est hyper beau. Donc, c'est bien. En fait, un métier relativement simple. Enfin, simple, ce n'est pas pour du tout discréditer parce qu'il faut de la discipline, mais on voit bien LinkedIn, email et livre. En résumant, je pense que tu as dû réutiliser aussi tes années à créer du contenu sur LinkedIn pour avoir la pratique de l'écriture. Donc, hyper cool. Et je trouve que c'est bien parce que des fois, les gens se font une montagne du média alors que ça peut juste être aussi simple que ça et de le faire avec régularité pendant plusieurs années pour booster. Bon, mais trop bien, Charlène. Ce que je te propose, c'est qu'on rentre dans le détail maintenant de commentaires. productiviser ton expertise, donc ces fameux ateliers pour les recruteurs. Et tu vas nous raconter comment tu l'as transformé en une formation. Et d'ailleurs, tu dis « on » , donc j'aimerais bien savoir un petit peu quel état parle là-dedans. Est-ce que tu t'es libérée du temps grâce à ça ? Qui organise ces formations pour te permettre de faire aussi autant de chiffre d'affaires ? C'est parti pour la partie produits.

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