Speaker #0Tu pensais peut-être que le plus dur c'était de te lancer en freelance, et si je te disais que c'est pas le plus gros défi qui t'attend ? Le plus gros défi pour moi, c'est la peur d'être entrepreneur. C'est la peur qu'on a tous les jours quand on se lance à son compte, la peur de l'instabilité financière quand on voit son chiffre d'affaires qui fait des montagnes russes comme ça, la peur de manquer de clients, ou la peur de manquer d'argent même quand on a des clients, et surtout la peur que tout notre business s'écroule du jour au lendemain ou se fasse disrupter par l'IA par exemple. Ces peurs, je les connais par cœur parce que je les ai vécues et dans cet épisode, je vais te donner un moyen de les combattre, mais surtout de les apprivoiser pour en faire un levier pour ton activité de freelance. Allez, c'est parti ! Si tu ne me connais pas encore, je m'appelle Flavie Prévost et j'ai créé Le Borde, le premier podcast et le premier incubateur pour solopreneurs de France. Et j'ai passé plus de 13 ans dans le salariat à avoir peur avant d'oser me lancer en freelance. Mais heureusement, depuis 5 ans que je me suis lancée en solopreneur, j'ai construit un système qui me permet de plus avoir la boule au ventre tous les jours. Dans cet épisode, je vais te donner mes méthodes pour combattre les 3 grandes peurs du freelance. Reste bien avec moi jusqu'au bout de l'épisode parce que j'ai un petit cadeau pour toi. Je t'offre un prompt pour travailler aussi sur ces peurs de ton côté. C'est gratuit, je te mets le lien dans la description. Alors la peur numéro 1, c'est la peur de l'instabilité financière, aka les montagnes russes. Ça c'est un choc quand on se lance en freelance, on était habitué à recevoir notre salaire mensuel toujours le même tous les mois avec régularité. Et là, passé l'euphorie du lancement, on se rend compte qu'on commence à avoir peur parce qu'il y a des gros mois quand on signe un client et puis il y a des petits mois, voire même des mois à zéro pour peu que le client nous dise stop ou alors c'est bon la mission est terminée. On n'a pas prospecté pendant qu'on était en mission et boum on se retrouve le bec dans l'eau et on a zéro de chiffre d'affaires. Et là, l'image des montagnes russes convient très bien parce que tu es euphorique dans la montée, tu es excité. Et puis quand tu arrives tout en haut de la montagne, il faut descendre et là, tu commences à flipper. C'est pareil en freelance. Alors comment on fait pour combattre cette peur ? Premièrement, j'ai un truc à te dire qui ne va peut-être pas te faire plaisir, mais qui est important d'intégrer quand tu es freelance. Cette peur, elle ne va jamais complètement partir parce que quand tu es entrepreneur, tu dis au revoir au salaire mensuel du salarié. Si tu veux un salaire qui tombe tous les mois, tu retournes dans le salariat. Quand tu es entrepreneur, tu apprends à vivre avec le risque. Et le risque, c'est des très gros mois, ça c'est un risque positif, et des très petits mois, ça c'est un risque négatif. Et ça finalement, c'est l'addiction la plus dure à combattre quand on est freelance, c'est l'addiction au salaire mensuel. D'ailleurs, c'est aussi pour ça qu'il y a des freelances qui sont un peu salariés déguisés. Ils préfèrent des petits clients qui les payent tous les mois en vendant leur temps. Comme ça, ils s'assurent d'avoir 2-3 000 euros par mois, ils sont contents. mais quand tu fais ça, malheureusement tu n'exploites pas pleinement toutes les possibilités entrepreneuriales d'être freelance. Tu ne vas pas prendre de risques, tu ne vas pas créer une offre, tu ne vas pas aller chercher des plus gros clients. Donc voilà, tant que tu es coincé dans cette peur, tu vas limiter malheureusement tes capacités de freelance. Alors ceci dit, il y a quand même des choses pour atténuer un petit peu les montagnes russes, qu'elles aient moins d'amplitude. D'accord ? Donc avoir des plus petites courbes, il y a plusieurs choses à faire pour ça. Déjà, tu peux travailler ton business model, c'est-à-dire la façon dont tu factures tes clients. Et au lieu d'être payé en fin de mois pour toutes les journées que tu as réalisées au TJM, donc là ça te fait un gros pic, mais ça te fait aussi potentiellement des gros creux et des gros risques d'impayé, tu pourrais pratiquer le paiement à l'avance par exemple, avant une prestation. Tu pourrais pratiquer des accomptes aussi, c'est-à-dire être payé à plusieurs moments dans l'année pour tes missions B2B par exemple. Tu peux aussi pratiquer des abonnements, par exemple abonnement copywriting. abonnement design, abonnement podcast manager, etc. Moi, j'ai plein de freelances que je paye au forfait mensuel. C'est un abonnement. Peu importe le nombre d'heures qu'ils font pour moi, ils font certains livrables. Et donc, ça, ça sécurise leurs revenus, ça lisse leurs revenus. Imagine que tu aies cinq clients par mois à 1 000 euros. S'il y a un client qui te paye en abonnement mensuel sur l'année, ça te fait 1 000 euros sur 5 000 sécurisés. Donc, 20 % de ton chiffre d'affaires qui tombe tous les mois. Donc, tu es moins en risque de te trouver complètement à poil si le marché se retourne. Deuxième chose qu'il faut pour ne plus avoir peur des montagnes russes, c'est faire des plus gros mois parce que tu ne pourras jamais empêcher d'avoir des mois moins bons. Mais si tu montes tes prix, si tu montes ton niveau d'objectif et d'exigence et si tu cherches des plus grosses missions, alors tu vas faire des super mois. Et donc, les mois un peu moins bons, ça va amortir. Tu auras la trésor pour pouvoir les supporter. Troisième technique pour réduire l'incertitude financière, C'est tout simplement de diversifier. Arrête d'avoir un chiffre d'affaires qui dépend à 100% de ton activité freelance, voire même pire, à 100% d'un monoclient, donc d'un client unique qui t'achète toutes tes journées. Parce que si ce client s'en va, c'est la catastrophe. Là, c'est plusieurs mois que tu vas enchaîner à zéro. À la place, je te conseille de diversifier, avoir plusieurs clients, au moins on va dire deux ou trois, mais aussi avoir plusieurs business. Et c'est tout l'enjeu de passer de freelance à solopreneur, c'est que si tu commences à faire un peu d'apport d'affaires, à avoir par exemple une newsletter que tu sponsorises, ou encore avoir un petit produit que tu peux vendre à côté, tu vas vite générer 10, 20, 30% de tes revenus annuels avec autre chose que ton temps, et ces revenus-là, ils continuent de tomber même si tu n'as plus de clients en freelance. Moi, pendant ma première année de freelancing, j'ai pu sponsoriser mon podcast, et ça m'a généré 10% de chiffre d'affaires. Diversifié, ça a l'air de rien 10% mais finalement c'est un mois de vacances, donc voilà, tu pars en congé payé grâce à tes revenus diversifiés de freelance. Donc si tu fais tout ça, tu ne vas pas complètement éliminer la peur, mais tu vas la rendre gérable, tolérable. Tu sais que les gros mois compenseront les petits et que, on va dire, 20% de tes revenus sont sécurisés et ça, déjà, ça détend. Allez, maintenant, je vais t'expliquer comment combattre la deuxième grosse peur des freelances. La deuxième peur des freelances, c'est la peur de manquer. Alors celle-là, elle nous pourrit bien la vie. Parce que déjà, un, on a peur de manquer de clients. Donc on dit oui à tout. On accepte des prix trop bas. On se crame aussi parce qu'on va prendre plus de clients que de jours disponibles pour facturer. Donc on accepte des petites missions, on prend ce qu'on a, on est moins demandeur, on est moins regardant sur les clients, on peut potentiellement avoir des clients toxiques. Donc ça, alerte rouge numéro un, ne vends pas tout ton temps. et ne vends pas tout ton temps au même client. Il vaut mieux dire non à une mission un peu red flag, prix trop bas, client trop, casse-bonbons, etc., que de te bourrer à craquer de clients. Je te rappelle l'arithmétique simple du freelance. Vaut mieux un client à 10 000 euros que 10 clients à 1 000 euros. Tu auras beaucoup moins de relations clients et d'emmerdes à gérer comme ça. Ce que je voulais te dire aussi sur cette peur, c'est que quand on gratte un peu, on se rend compte que cette peur de manquer de clients et donc de manquer d'argent, elle ne part jamais. J'ai accompagné plus de 350 freelances dans l'incubateur Solopreneur et ce que je constate, c'est que même s'ils font un gros chiffre d'affaires, ils ont toujours cette peur de manquer. Par exemple, je pense à une freelance qui faisait 250 000 euros de chiffre d'affaires par an et qui continuait à dire oui à de nouvelles missions, à ne pas prendre de vacances, ne pas prendre de week-end, etc. Alors forcément, elle n'avait pas le temps de créer un produit, de diversifier ses revenus, etc. Donc à force de dire oui pour le chiffre d'affaires, elle se mettait en risque sur le reste de son activité. Donc cette peur du manque, il faut que tu la combattes à tout prix pour ne pas te cramer et pour ne pas prendre de mauvaises décisions dans ton business. Alors comment on fait ? On avait fait cet épisode avec Marie dans lequel on décortiquait le problème du rapport à l'argent pour les freelances. Et en fait, la peur du manque, elle est présente chez quasiment tous les freelances. Et tant que tu ne l'as pas combattue, tu peux faire 10 cas par mois, 20 cas par mois, 30 cas par mois, ça ne sera jamais assez. Ensuite, astuce numéro 2 pour combattre la peur du manque, crée ton média. J'en parle souvent dans ma méthode des quatre piliers de la scalabilité. Quand tu crées ton média pour te faire connaître, devenir visible de tes clients cibles, tu vas attirer un flux continu de missions qualifiées, de prospects intéressants sans avoir à forcer, sans avoir à prospecter. Donc oui, c'est un peu de temps entre guillemets perdu que tu ne vas pas facturer, mais demain, ça va t'apporter énormément, ça va t'apporter un flux de clients continu qui va énormément te rassurer. Donc même si tu pars en vacances, même si t'es malade, même si tu dis fuck un client parce que t'en as marre, eh ben t'auras toujours des prospects qui vont arriver grâce à ton média. Bon et la troisième astuce pour plus avoir peur de manquer, c'est bien sûr encore de diversifier en solopreneur. Quand t'es freelance et que 100% de ton chiffre d'affaires dépend de tes missions clients, forcément si un client se barre, ben t'es catastrophé. Alors que si t'as 30% de tes revenus qui sont générés par une formation en ligne que tu vends à d'autres clients, et bain-de-tain. un peu moins de pression sur ton activité number one de freelance. Donc devenir solopreneur, c'est un peu comme quand tu fais des placements financiers. Si tu as tout ton argent sur ton compte courant et qu'il y a une fraude et qu'on te le vole, eh bien, c'est la merde. Si par contre, tu as placé ton argent dans plein de supports, actions, obligations, etc., tu es beaucoup plus sécurisé. C'est la même image, en fait, entre le freelance et le solopreneur. Le freelance, il place tout son avenir dans les mains d'un ou deux clients. Alors que le solopreneur, il va diversifier et s'assurer qu'il n'a pas tous ses oeufs dans le même panier, qu'il a plusieurs sources de revenus. Comme ça, il ne manquera jamais d'argent. Allez, tu es prêt pour combattre la troisième peur ? Troisième peur majeure des freelances, la peur que tout s'écroule demain, la peur que tout s'arrête. Un client qui te dit stop du jour au lendemain, l'IA qui arrive et qui disrupte complètement ton marché. On le voit en ce moment d'ailleurs, c'est la panique chez les marketeux, les ghostwriters. les développeurs même. Alors comment faire pour que cette incertitude quotidienne et cette incertitude aussi par rapport à l'avenir, la crise, les guerres, etc., ne mine pas ton moral de freelance ? Bon alors là-dessus, j'ai deux réponses. La première, elle est un peu philosophique. La deuxième, elle est très pratique. Philosophiquement, si tu es entrepreneur, tu dois aimer et embrasser l'incertitude. C'est ta qualité principale en fait. Les salariés, ils ont besoin d'un cadre, qu'on leur dise quoi faire. Dans un certain contexte, ils sont payés, etc. Alors que si tu es entrepreneur, tu es libre. Mais du coup, tu dois aussi gérer toutes les conséquences de cette liberté, c'est-à-dire la peur qui va avec. Il y a une fable de La Fontaine d'ailleurs, Le Chien et le Loup, qui est super intéressante sur la différence entre la servitude et la liberté. Et voilà, en gros, je te la résume. Le loup arrive, il voit un chien qui est bien grassouillé et tout, qui a l'air bien portant, et il lui dit, « Ben dis donc, Le loup, il est famélique, lui, il n'a pas mangé depuis des jours. Il dit, ça a l'air pas mal d'être un chien et tout, qu'est-ce que tu dois faire ? Oh, pas grand-chose, je dois aboyer un petit peu pour protéger mon maître, etc. C'est cool, on mange bien, j'ai de la pâté tous les jours. Et puis après, le loup, il voit la marque du collier comme ça sur le cou pelé du chien et il dit, mais c'est quoi ça ? Ah ben ça, c'est mon collier, je suis attachée à ma niche. Et à ce moment-là, le loup se rend compte que peu importe s'il meurt de faim, mais il ne voudra jamais être attaché et sacrifier sa liberté. C'est un peu pareil pour l'entrepreneur versus le salarié. Tous les entrepreneurs, tous les freelances vont connaître des périodes de vaches maigres un petit peu dans leur activité. Et les accepter à l'avance, c'est aussi faire la paix avec cette incertitude et te dire que tu sauras toujours t'en sortir. Et pourquoi tu vas toujours t'en sortir ? C'est parce que quand tu es entrepreneur, tu développes une qualité qui est Merci. incroyable je trouve, c'est la capacité à créer de l'argent. Tu vas apprendre avec tes propres mains, ton propre cerveau, à générer des revenus pour toi. Et cette compétence-là, elle va te permettre de t'en sortir, même si le marché se retourne, même s'il y a un changement dans les tendances clients, ça sera toujours une compétence très utile pour ton avenir. Bon, et puis deuxième réponse très pratique à cette peur que demain tout s'arrête, il faut que tu construises du capital. Alors, je vois beaucoup trop de freelances qui enchaînent l'émission client, mais l'émission client, c'est du travail, c'est des heures de travail pour tes clients, et quand tu trouves un nouveau client, il faut tout recommencer à zéro. C'est comme construire un beau château de sable, et après la marée arrive, et elle te bouffe ton château de sable. Alors que si tu construis des actifs, comme par exemple une offre, un produit scalable, ou encore un média pour faire connaître ton activité, je ne sais pas, moi par exemple, tu écris un livre, ou tu crées ta chaîne YouTube, par exemple, d'experts, et ces actifs vont prendre de la valeur dans le temps. Par exemple, moi aujourd'hui, si j'ai envie d'arrêter mon activité, je peux très bien revendre ma newsletter avec 10 000 abonnés. Ça intéressera sans doute une marque ou un média qui veut viser une clientèle de freelance ou de solopreneur. Je peux revendre mes produits ou mon incubateur qui génère du chiffre d'affaires tous les mois. Quelqu'un pourrait le gérer à ma place. Donc j'ai construit des choses qui sont propriétaires, donc j'ai travaillé pour moi. pas que pour mes clients, et des choses qui vont pouvoir me rapporter maintenant, mais aussi dans le futur. L'avantage de ça en plus, c'est que si demain tu dois changer de marché, je ne sais pas, admettons que moi j'en ai marre du freelancing, je pense que ça n'arrivera jamais, mais bon, on ne sait jamais de quoi demain est fait, et j'ai envie de me lancer par exemple dans les cours de surf, eh bien, toutes les compétences que j'aurais créées en construisant mon média, mon produit, ma communauté, je vais pouvoir les réutiliser dans mon nouveau domaine, le surf, et donc j'irai beaucoup plus vite pour... construire des revenus dans ce nouveau marché que ce que j'ai fait quand je me suis lancée au tout début, il y a 5 ans. Voilà, donc tes compétences de freelance ne sont jamais perdues, elles t'aideront à te retourner pour pivoter, changer de marché, te former, changer de compétences, mais surtout, utilise-les pour te construire aussi des actifs et pas juste travailler pour tes clients. C'est comme ça que tu vas te mettre en sécurité pour l'avenir. Ces trois peurs, l'instabilité, le manque et l'incertitude, tu pourras jamais complètement les annuler, mais j'espère que ces techniques t'ont donné des moyens de les apprivoiser. En fait, les techniques que je t'ai montrées, c'est un peu comme une assurance vie entrepreneuriale. Je reprends l'exemple des finances. Quand tu places des fonds sur une assurance vie, ça ne t'empêche pas de mourir, tu es d'accord ? Alors, pourquoi ça s'appelle assurance vie ? C'est juste que tu es plus serein sur ce qui va se passer si jamais tu décèdes et tu vas pouvoir apporter un capital à tes enfants, etc. C'est pareil avec l'idée de passer de freelance à solopreneur. Quand tu es solopreneur, tu construis un capital qui, si demain ton marché ne va pas bien, ton activité s'écroule, etc., va t'aider à te retourner. Donc ça n'empêche pas complètement l'échec, mais ça te permettra de te retourner beaucoup plus vite et de relancer rapidement un autre business qui fera que tu ne seras jamais en risque financier. Tes revenus diversifiés, tes produits scalables, ton média pour devenir visible, tout ça, c'est tes filets de sécurité de freelance. il faut absolument que tu commences à les construire dès maintenant. Un peu comme on dit, préparer sa retraite, ça commence dès qu'on commence à travailler. Bon et surtout, j'en ai pas parlé, mais ces peurs, elles sont renforcées par une sorte de chambre d'écho qui est que quand on est seul avec ses peurs, tout seul face à son Mac, ben on commence à gamberger, on commence à les amplifier, on commence à flipper. Donc ne reste pas seul. Il faut que tu t'entoures d'autres freelances et d'autres solopreneurs comme toi pour te sentir moins seule, pour aussi pouvoir parler de ces peurs et pour avoir un cadre dans lequel tu vas oser plus facilement tester toutes ces techniques que je te donne dans le podcast et aussi expérimenter, te planter et tu verras d'ailleurs que tu vas te planter mais qu'il n'y a pas mort d'homme en fait, tout va bien se passer donc ce cadre, je l'ai créé pour toi, ça s'appelle l'incubateur solopreneur ça fait 3 ans maintenant que ce produit existe et j'ai formé plus de 350 freelances, en ce moment où j'enregistre cette vidéo, on est 275 incubés abonnés à l'année des Merci. pères comme toi qui veulent sécuriser leurs revenus de freelance. Donc viens, rejoins-nous. Tu vas trouver des potes, des buddies. Tu vas trouver aussi toutes mes méthodes, mes templates et mes techniques pour sécuriser ton avenir de freelance. Et surtout, tu vas trouver un cadre sympa pour oser te lancer, oser tester sans jugement et sans avoir peur d'échouer. Merci d'avoir écouté cet épisode. N'oublie pas de faire l'exercice avec le prompt « Combattre ses peurs de freelance » que je te mets en descriptif de l'épisode. et de t'abonner à ma chaîne YouTube, le Porn Media et à mon podcast sur toutes les plateformes d'écoute. Allez, dis-moi quelle est ta plus grande peur en freelance et comment tu comptes la combattre cette année. Et je te retrouve bientôt dans de prochains épisodes sur le podcast. Salut les solos !