Speaker #0Bienvenue dans le podcast Le Bonheur est dans le Foin, le seul podcast qui t'aide à y voir plus clair dans l'alimentation de ton cheval. Moi c'est Audrey, l'hôte de ce podcast, et je suis nutritionniste équin formée à AgroParisTech par l'association française Zootechnie. Je te propose des bilans nutritionnels individualisés ainsi que des formations en ligne pour te permettre de prendre en main facilement l'alimentation de ton compagnon en crinière. La mission de ce podcast, c'est de t'aider à faire des choix éclairés pour l'alimentation de ton cheval en te fournissant... les informations dont tu as besoin pour faire ces choix. Avant de lancer cet épisode, je te rappelle que tu peux t'abonner au podcast depuis ta plateforme d'écoute préférée pour ne louper aucune sortie d'épisode. Tu peux également t'abonner à la newsletter ainsi qu'au compte Instagram afin de recevoir plein de réflexions supplémentaires. Tous les liens sont en description de cet épisode. Je te souhaite une bonne écoute où que tu sois, mais si tu vois ton cheval aujourd'hui, fais-lui plein de gratuits de ma part. Bonjour à toutes et bienvenue dans ce nouvel épisode du podcast Le Bonheur est dans le Foin. Alors aujourd'hui, on va parler de résistance à l'insuline et de l'alimentation du coup des chevaux qui sont résistants à l'insuline. Je tiens à faire deux petits disclaimers avant de commencer cet épisode. Le premier, c'est que cet épisode n'aurait pas été possible sans le groupe Essir. et Kim Cushing Insulin Resistance Group. C'est un groupe qui est géré par le docteur Killen, qui est vétérinaire, qui est américaine, et qui est une véritable mine d'or pour tout ce qui est chevaux cushing et résistants à l'insuline. C'est un groupe qui est du coup en anglais, il y a une formation qui est associée que j'ai suivie, et donc c'est un groupe qui est en anglais, donc si vous avez un cheval qui est cushing ou résistant à l'insuline et que vous avez envie d'améliorer vos connaissances et que vous parlez anglais, n'hésitez pas à aller suivre ce groupe, à aller prendre la formation du Dr Kellen sur les chevaux résistants à l'insuline et les chevaux Cushing. Le deuxième petit disclaimer, c'est que quand même, les chevaux résistants à l'insuline et les chevaux Cushing, alors ce n'est pas un problème qui est récent, au sens où ça existait déjà il y a 15 ans, des chevaux résistants à l'insuline et des chevaux Cushing. Par contre, c'est un problème qu'on prend en charge de manière assez récente. C'est un problème auquel on s'intéresse de manière assez récente. avec cette envie d'avoir nos chevaux qui vivent en bonne santé le plus longtemps possible. Donc du coup, il y a peut-être des choses que je vais dire aujourd'hui, qui sont vraies là en mai 2025, et où peut-être il y aura d'autres recherches qui vont complémenter ce que je vais dire dans les futurs mois, années à venir. Donc du coup, ne prenez pas forcément cet épisode comme ultra acquis, c'est quelque chose qui va évoluer au fur et à mesure du temps. J'ai fait en sorte quand même que ce que je vous dis est normalement le plus vrai possible et d'éliminer les hypothèses qui portent un petit peu à polémique, les hypothèses un peu récentes. Sur la partie alimentation, ça pour le coup, je suis sûre de ce que je vous dis et il ne devrait pas y avoir d'évolution au cours des prochaines années. Par contre, c'est sur la définition de la résistance à l'insuline où on a encore un peu de mal à la poser chez le cheval. même chez l'homme d'ailleurs en fait. Alors on va du coup commencer cet épisode par une définition de la résistance à l'insuline et après on passera à l'alimentation du cheval qui est résistant à l'insuline. Alors le terme résistance à l'insuline c'est un terme qui est rentré dans le langage de propriétaires de chevaux de loisirs qui ont tendance à l'embonpoint. J'ai l'impression de l'entendre un peu à tous les coins de rue, mon cheval est résistant à l'insuline. Je sais pas si c'est une bulle chez moi ou si c'est aussi le cas chez vous. Et je me rends compte que c'est très compliqué de l'expliquer simplement. Alors c'est ce que je vais essayer de faire. J'espère que je relèverai le défi. Donc l'insuline, c'est une hormone. On va commencer vraiment au début. Elle est présente dans l'organisme du cheval et elle circule dans le sang. L'organisme, elle est créée, enfin l'insuline, est créée par le pancréas. Et elle permet de gérer le taux de sucre dans le sang du cheval en faisant traverser la membrane cellulaire aux glucides. Les glucides... passent donc du sang du cheval aux cellules où ils sont utilisés. S'il y a assez de glucides dans les cellules, les glucides circulant dans le sang sont stockés par le foie et le tissu adipeux, donc le gras. Pour reprendre, les glucides, c'est une sorte de sucre, dont on va reparler plus tard. Donc, un cheval qui a un fonctionnement normal, plus il y a de glucides dans son sang, plus il y a d'insuline qui est sécrétée, plus les glucides sont utilisés par les cellules. Et s'il y a assez de glucides dans les cellules, Il n'y a plus de passage de glucides du sang vers les cellules, et donc il y a un stockage dans le foie ou le gras. Quand il y a une résistance à l'insuline, qui s'appelle aussi insulino-résistance, il y a un dérèglement dans le fonctionnement de l'insuline, qui est encore mal connu, même chez l'humain, ce fonctionnement n'est pas vraiment encore ultra connu. Mais ce qu'on sait, c'est que ça résulte dans le fait que l'insuline n'est pas vraiment reconnue par les cellules. En conséquence, le pancréas émet des... taux d'insuline plus élevé jusqu'à ce que le taux de glucose dans le sang se normalise. On est obligé de monter plus en force, si on peut illustrer le truc, monter plus en force, de crier plus fort en termes d'insuline. Le corps, le pancréas va hausser la voix en termes d'insuline pour que les cellules se mettent à utiliser les glucides qui sont présents dans le sang. Et donc du coup, cette étape, l'insuline permet le passage du glucose du sang vers les cellules, il se fait moins bien et il se fait avec... En fait, il y a besoin de plus d'insuline pour qu'il se passe. Ce qui va avoir comme conséquence que les glucides, enfin le glucose et les glucides, au lieu d'être utilisés par les cellules, ils vont prendre, entre guillemets, la voie de secours, qui est le stockage des glucides dans le foie et le tissu adipeux. ils ne sont pas utilisés, ils vont être stockés. Parce que les cellules ne comprennent pas le message de l'insuline, et donc du coup, elles ne vont pas utiliser ce glucose. À la question, pourquoi est-ce qu'il y a cette augmentation d'insuline dans le sang, et donc pourquoi est-ce qu'il y a une résistance à l'insuline, eh bien on ne sait pas trop. On ne sait pas trop, soit c'est un problème au niveau des cellules musculaires, qui ne reconnaissent pas bien l'insuline, soit c'est peut-être un problème dans l'évacuation de l'insuline qui ne se fait pas bien, et donc les cellules musculaires s'habituent à un taux d'insuline trop élevé, et donc les cellules musculaires ont entre guillemets l'habitude qu'on leur crie dessus en termes d'insuline, ont l'habitude qu'on leur crie dessus en termes d'insuline, et donc se disent juste, en fait elle est en train de me gueuler dessus, mais c'est comme si elle parlait classiquement. C'est un peu l'image des personnes qui vont rappeler leur chien, et où en fait, il va falloir qu'elles hurlent sur leur chien « reviens ! » pour que le chien revienne, parce que c'est ce qui... On n'arrive plus après à parler correctement à notre chien parce qu'en fait, il s'est habitué à ce qu'on élève la voix. Par contre, il est important de comprendre qu'avoir une insuline élevée, ça ne veut pas nécessairement dire qu'il y a une résistance à l'insuline. Ça peut être juste le premier maillon de la chaîne qui cause la résistance à l'insuline. Voilà, c'est vu qu'il y a peut-être, enfin, il y a l'hypothèse qu'en fait, la résistance à l'insuline... l'élévation du taux d'insuline est causée par un problème d'évacuation, non pas un problème de sécrétion, mais un problème de vidange de l'insuline par le corps, peut-être que l'insuline élevée, ça ne veut pas dire qu'il y a déjà une résistance à l'insuline, ça veut peut-être juste dire que c'est le premier maillon qui va causer la résistance à l'insuline. Dans tous les cas, ça va mener aux mêmes conclusions chez nous, parce qu'un cheval qui a de l'insuline élevée, c'est un facteur de risque de fourbure. et un facteur potentiellement de résistance à l'insuline. Résistance à l'insuline qui va causer des fourbures, je vais en parler juste après. Mais donc le meilleur moyen de gérer un taux d'insuline élevé, on va gérer le taux d'insuline élevé comme on va gérer une résistance à l'insuline. Et c'est après le suivi vétérinaire et le suivi du taux d'insuline de votre cheval qui va vous dire, ok, est-ce qu'il y a eu ponctuellement... un peu d'insuline qui a été élevé ? Ou est-ce que c'est récurrent que le taux d'insuline soit élevé ? Si c'est récurrent que le taux d'insuline soit élevé, là on va parler en effet potentiellement de résistance à l'insuline. Mais si vous faites un test et que sur un test, vous avez une insuline qui est un peu élevée, ce n'est peut-être pas forcément une résistance à l'insuline. Mais dans les deux cas, la prise en charge va être la même parce que la prise en charge va avoir comme but d'abaisser les taux d'insuline dans le corps de votre cheval. Donc, même si on ne connaît pas exactement le fonctionnement de l'insulino-résistance, de la résistance à l'insuline, on connaît très bien ses effets. L'individu, chevalouillement, devient de plus en plus gras, ça dérègle de plus en plus son mécanisme d'assimilation de l'insuline et du glucose, et on est du coup sur un cercle vicieux qui, chez nos chevaux, peut mener à la résistance à l'insuline, un syndrome métabolique équin, des fourbures. des difficultés mélocomotrices et tout ce qu'on y connaît de la résistance à l'insuline. Donc du coup, maintenant qu'on a défini la résistance à l'insuline, passons à la manière dont on va nourrir un cheval qui est résistant à l'insuline. L'objectif, il est simple. Ça va être de contrer la prise de gras. Ça va être de faire perdre du poids à votre cheval pour pouvoir lui permettre d'avoir un taux d'insuline qui redevient normal et diminuer le stockage du glucose dans le gras. qui dérègle encore plus le mécanisme de l'insuline. Ça va être de rompre le cercle vicieux. Pour rompre ce cercle vicieux, on peut avoir de la médicamentation et on peut avoir l'alimentation. Dans tous les cas, on va prendre les deux. Donc, le premier objectif, c'est de diminuer la prise de gras, de faire perdre du poids à votre cheval. Là encore, on va prendre un exemple avec les humains. Ça va être le même mécanisme pour les humains. On va parler de déficit calorique et de limitation des sucres et de l'amidon. Quand je parle du coup sucre, je parle glucides, je parle glucose. C'est un raccourci que je fais de parler des deux mêmes. Donc vous avez compris que dans le sang de notre cheval résistant à l'insuline, il y a déjà trop de glucose et de glucides. Donc du coup... L'intérêt de l'alimentation, ça va être de ne pas en rajouter. C'est vraiment le premier point à faire attention, de ne pas rajouter de glucides dans l'organisme de notre cheval. Donc les glucides, on est sur, quand vous allez lire une étiquette, vous allez lire la partie sucre et la partie amidon. Donc ça, vous allez chercher des aliments qui sont les plus pauvres possibles. Et en plus, notre cheval, il a la chance d'avoir un système digestif qui lui permet en fait de faire fermenter les fibres. dans le gros intestin. Et ces produits de fermentation, ils sont ensuite extraits par le corps et ils peuvent être reconvertis en à peu près tous les types de sucre dont notre cheval a besoin, dont le glucose. Ils peuvent être soit convertis en graisse, soit en glucose, une fois à l'intérieur du corps. Donc ça élimine en fait le besoin d'aliments riches en glucides et en glucose et d'aliments... riche en graisse chez notre cheval. Donc du coup, ça ne sert à rien de lui donner du glucose, des glucides et du gras dans son alimentation. Parce que c'est déjà la fermentation des fibres qui va lui permettre d'obtenir ça. Donc, en fournissant des calories à notre cheval sous forme de fibres fermentissibles, il y a peu ou pas de pic de glucose dans le sang qui est associé à la consommation alimentaire. Et donc, le foie va pouvoir contrôler les taux de glucose dans le sang de manière plus simple, plus facile pour lui, en libérant du glucose uniquement quand et si c'est nécessaire pour maintenir des taux sanguins qui sont normaux. Donc du coup, c'est ce qu'on va chercher à limiter chez notre cheval. On va limiter les alimentations qui vont créer des pics de glucose. On va éviter ça. Donc on va éviter les aliments qui sont riches. en sucre et en amidon. Je vous le remets de manière simple. Pour un cheval résistant à l'insuline, on va limiter le plus possible les sucres et l'amidon. On va avoir une alimentation la plus basée sur des fibres possibles. Même si les fibres peuvent contenir du sucre, enfin on ne va pas se mentir, notre foin contient du sucre, notre herbe contient du sucre, mais on va essayer de limiter les apports supplémentaires. Donc ça c'est pour la partie ne pas rajouter trop de sucre. de glucides, de glucose dans l'alimentation de notre cheval. Pour la partie limitation de l'apport en calories. On l'a vu que les calories à préférer pour notre cheval, c'est celles qui sont issues des fibres fermentatibles, donc celles issues du fourrage, du foin, de l'herbe. Et pour réduire les calories que notre cheval ingère, on va avoir plusieurs solutions. On peut avoir de peser le foin, on peut avoir de mettre un panier de pâturage. Il faut savoir que si vous allez peser le foin, c'est très bien de peser le foin pour un cheval résistant à l'insuline, parce que ça va vous permettre de limiter... Vous allez jouer sur les deux rôles. Vous allez jouer sur les apports en calories, vous allez diminuer la quantité de calories que votre cheval mange, si vous diminuez la quantité de foin, et vous allez aussi limiter un peu la quantité de sucre, parce que dans notre foin, on a du sucre. Mais par contre, il faut... pas trop réduire les apports en fourrage et les apports en calories. Parce que de trop réduire ou de réduire trop brutalement les apports en calories, ça ne va faire qu'aggraver la résistance à l'insuline. Parce qu'en fait, le corps de notre cheval va passer de « j'ai beaucoup de glucose, donc c'est bon, je suis bien, je suis content, je produis beaucoup d'insuline » à « mince, je manque de glucose » . Et quelle est la manière d'apporter plus de glucose ? aux cellules de notre cheval, c'est de produire encore plus d'insuline. Donc si les cellules de notre cheval viennent à manquer de glucose, en fait, le corps de notre cheval va produire plus d'insuline pour faire passer plus de glucose vers les cellules de notre cheval. Donc, non. C'est l'effet inverse de ce qu'on recherche. Donc c'est très intéressant de faire maigrir les chevaux cushing, les chevaux résistant à l'insuline. Ouh là là, j'ai dit cushing, mais c'est résistant à l'insuline, mais bon, le cushing, on est à peu près sur un truc équivalent. Donc les chevaux résistants à l'insuline, c'est intéressant de les faire maigrir, mais pas trop vite. On vise en fait une perte de poids de 1 à 2% de poids par semaine et pas plus. Sinon c'est trop rapide et ça va mettre le corps du cheval en état d'alerte, ce qui va lui faire augmenter la quantité d'insuline qui est produite, ce qui n'est pas du tout ce qu'on recherche. Et bien évidemment, en termes d'alimentation, on va quand même toujours prendre en compte l'équilibrage des minéraux. qui est important pour tous les chevaux, mais aussi particulièrement pour les chevaux dont on va avoir tendance à réduire les apports en calories. Très souvent, une réduction des apports en calories, ça va être aussi synonyme de réduction des apports en minéraux et en protéines. Parce qu'on va réduire les quantités. Donc en fait, on va réduire les quantités d'aliments qui est moins... On veut réduire les quantités de calories qui est ingérées par notre cheval, mais du coup, on va avoir tendance à réduire la quantité d'aliments. qui mangeaient pas mal de cheval, et ce qui va avoir comme conséquence de réduire tous les autres apports aussi, les protéines et les minéraux notamment. Donc on tient attention à ces chevaux, on fait attention à ces chevaux, à leur apporter, à diminuer la quantité de calories, mais à conserver les apports en minéraux et en protéines. Pour les minéraux et protéines, on en a déjà beaucoup parlé dans différents épisodes de ce podcast. Donc je ne vais pas insister dessus, mais là où j'insiste, c'est vraiment si vous voulez faire perdre du poids à votre cheval, c'est très important de diminuer les quantités de calories, donc les unités fourragères qu'on va faire consommer à notre cheval, mais par contre de ne pas diminuer les quantités de protéines et de minéraux et de vitamines. Donc l'alimentation de nos chevaux résistants à l'insuline, si on peut la résumer en trois points, limiter les sucres et l'amidon, en général pas plus de 10% de sucre et d'amidon dans l'alimentation de notre cheval, créer un déficit calorique, donc limiter la prise de calories de nos chevaux, souvent en passant par une restriction de la quantité de fibres qui est consommée par nos chevaux, mais sans diminuer les quantités de protéines, minéraux et de vitamines qui sont indispensables à nos chevaux. Ça c'est pour la partie alimentation. Je vais faire un dernier petit point sur les chevaux résistants à l'insuline, qui n'est pas d'alimentation, qui n'est pas de définition, qui est le mouvement. Pour créer un déficit calorique, on a deux solutions. Soit on va limiter l'alimentation, c'est la solution la plus facile, soit on va augmenter la consommation de calories par l'organisme. Donc on va faire faire plus de sport à nos chevaux. Et les chevaux résistants à l'insuline, je vous parle d'alimentation, mais l'équilibré physique de vos chevaux est également un des gros points à prendre en compte si vous voulez aider vos chevaux résistants à l'insuline à mieux vivre dans leur corps. Il va falloir prendre en charge l'alimentation, mais il va aussi falloir prendre en charge le mouvement et faire bouger vos chevaux résistants à l'insuline. Et là, je parle de chevaux qui sont diagnostiques et résistants à l'insuline, mais... C'est également le cas pour des chevaux qui ne sont pas encore résistants à l'insuline, on va dire, mais qui pourraient bien le devenir. Donc nos chevaux en surpoids, on va pouvoir y adapter les mêmes choses, donc l'alimentation et le mouvement. Et vraiment, quand on parle alimentation, on parle mouvement en même temps, c'est quasi indissociable. Les deux sont indissociables. Quand on va parler alimentation, on va aussi parler exercice physique. Et quand on va parler exercice physique de qualité, on va parler alimentation. Voilà donc pour cet épisode de podcast sur l'alimentation des chevaux résistants à l'insuline. J'espère que vous y avez appris des choses. Je vous annonce, je profite de cet épisode de podcast pour vous annoncer que pendant un certain temps, je vais faire des épisodes de podcast qu'une fois toutes les deux semaines. Actuellement, l'épisode de podcast, il y a un épisode par semaine. Je vais essayer de faire un épisode toutes les deux semaines pour pouvoir vous faire des épisodes qui sont encore... plus qualitatif, et aussi, parce que je vous l'avais dit en début de ce podcast, épisode 0, ce podcast est amené à être maintenu jusqu'à ce que, entre guillemets, il y ait assez de demandes d'un point de vue alimentation que j'arrive à en vivre mieux. Et là, on est un peu dans le cas-là. On est dans le cas où j'ai de plus en plus de demandes pour des bilans nutritionnels, pour des accompagnements, des formations en ligne, et j'en suis plus que ravie. Mais du coup, d'un point de vue pro, je préfère bien m'occuper des clientes que j'ai. Je préfère m'occuper d'elles et continuer à vous apporter quand même des connaissances. Mais je focalise plus sur les clientes qui ont un accompagnement individuel. Donc c'est le moment où je vous rappelle qu'en fait, il est toujours possible de prendre un accompagnement individuel avec moi pour vous occuper de l'alimentation de vos chevaux et d'avoir des suivis vraiment particuliers. Là, pour les chevaux, on va reprendre l'exemple des chevaux résistants à l'insuline. Je vous ai donné les caractéristiques principales à prendre en charge, mais par contre, dans les cas individuels, en général, on a d'autres pathologies qui viennent s'y mettre. On a les contraintes de l'humain, on a les contraintes de la pension, on a les contraintes du fourrage qui est donné. Et donc du coup, pour bien prendre tout ça en charge d'un point de vue individuel, parce que c'est ce que je préfère, je vais focaliser un peu plus sur mes clientes en bilan nutritionnel et en accompagnement en ligne. Et donc, passez ce podcast à un épisode toutes les deux semaines. Donc, je vous remercie énormément pour la confiance que vous m'accordez. Et je vous dis donc à très vite, mais pas trop vite. Donc je vous dis donc à dans deux semaines pour un prochain épisode de podcast pour toujours vous aider à mieux nourrir vos chevaux selon les différentes pathologies qu'ils ont. À très vite, donc, pour un prochain épisode.