Speaker #0Bienvenue dans le podcast Le Bonheur est dans le Foin, le seul podcast qui t'aide à y voir plus clair dans l'alimentation de ton cheval. Moi c'est Audrey, l'hôte de ce podcast, et je suis nutritionniste équin formée à AgroParisTech par l'association française Zootechnie. Je te propose des bilans nutritionnels individualisés ainsi que des formations en ligne pour te permettre de prendre en main facilement l'alimentation de ton compagnon en crinière. La mission de ce podcast, c'est de t'aider à faire des choix éclairés pour l'alimentation de ton cheval en te fournissant les informations dont tu as besoin pour faire ces choix. Avant de lancer cet épisode, je te rappelle que tu peux t'abonner au podcast depuis ta plateforme d'écoute préférée pour ne louper aucune sortie d'épisode. Tu peux également t'abonner à la newsletter ainsi qu'au compte Instagram afin de recevoir plein de réflexions supplémentaires. Tous les liens sont en description de cet épisode. Je te souhaite une bonne écoute où que tu sois, mais si tu vois ton cheval aujourd'hui, fais-lui plein de gratuits de ma part. Bonjour et bienvenue dans ce nouvel épisode du podcast Le Bonheur est dans le Foin. On va s'éloigner un petit peu du sujet alimentation et aller vers un autre de mes sujets préférés. Enfin, ouais, si, j'aime beaucoup mais parce que j'aime pas ce que ça fait. On va parler santé mentale. On va parler de santé mentale et du coup, on va parler de toi, de moi, de nous. On va parler des propriétaires qui ont envie de tout bien faire. On a déjà un petit peu parlé dans l'épisode 29 sur le fait de faire ses propres choix sans culpabiliser. Mais aujourd'hui, du coup, j'ai envie de vous parler, de chercher à répondre à la question de est-ce que à force de tout faire pour son cheval, on ne finirait pas par s'oublier en fait ? Et je rappelle un peu le but de ce podcast et donc de cet épisode, c'est qu'il n'y a pas de jugement, il n'y a pas de recette miracle. Cet épisode, ça va être un espace pour réfléchir ensemble et réfléchir à la question de à partir de quand. Est-ce qu'on en fait trop ? Moi aussi, ça m'est arrivé d'en faire trop, de me tuer. Alors, je me tue surtout la santé financière, moi, avec Whisper. Mais aussi la santé mentale, de mettre en place plein de choses, notamment l'année dernière, quand il a fait son entorse, de me dire, je vais mettre plein de choses en place pour pouvoir l'aider. Et où en fait, ouais, c'est très bien, Whisper va mieux. Mais moi, je me suis vraiment flinguée la santé mentale. Je me suis vraiment tué, la santé mentale, ouais, ouais, on n'est pas passé loin de me tuer tout court. On n'est vraiment pas passé loin à un moment donné tellement je n'en pouvais plus de la pression que j'avais autour de mon cheval. On est très nombreuses à être confrontées à des problèmes de santé de notre cheval et auxquels on va répondre avec beaucoup de dévouement, allant jusqu'au sacrifice. Donc aujourd'hui... j'ai envie qu'on se pose la question de à quel moment est-ce qu'on en fait trop. Le but, enfin les symptômes, on va direct attaquer dans le cœur du sujet quels sont les symptômes qui montrent qu'on en fait trop. Le plus gros symptôme ça va être une fatigue chronique. C'est le fait d'être épuisé de dormir beaucoup trop ou justement de dormir plus du tout tellement on angoisse. Mais c'est des symptômes qui vont être liés au sommeil, à la qualité de notre sommeil et à la qualité de notre fatigue. cette fatigue va faire que potentiellement on va faire moins d'autres activités qu'on aime normalement. Par exemple, on va faire moins de sport, moins voir nos amis, moins faire de cheval. Il y a moins de plaisir qui est partagé avec d'autres personnes. Il y a même moins de plaisir tout court. Il y a moins de plaisir qui est partagé avec notre cheval. Et ça, c'est un des gros signes pour moi. C'est quand vous avez de moins en moins. envie de passer du temps avec votre cheval, que là, c'est un énorme red flag. C'est d'aller au cheval juste pour faire les soins. Ça, c'est vraiment à se dire, ok, la tête que j'en fais trop, en fait. Si mon cheval a vraiment besoin de moi pour ça, il y a peut-être un gros problème. Et cette fatigue chronique et cette perte de plaisir, ça peut aller jusqu'à avoir des idées noires, à se dire, en fait, à quoi ça sert que je continue ? Toute ma vie n'est que fatigue et difficulté, à quoi ça me sert de continuer à vivre ? Bon là, clairement, urgence psychiatrique, mais ça peut aller jusqu'à... En fait, on va avoir tous les symptômes de la dépression, de perte de partage social, perte de plaisir social, se couper de ses amis, se couper de ses autres passions. Ça peut être un bon baromètre de se dire, est-ce que je vois toujours autant mes amis ? Ou pas. Est-ce que je fais toujours autant les autres activités qui me plaisent ou pas ? Est-ce que je ne vis plus que pour mon cheval ? Là, c'est qu'on en fait trop. Il peut aussi y avoir le sentiment de culpabilité dès qu'on lève le pied. C'est le « je vous vois, je suis pareil » . Ce côté de « mince, il y a un jour où je n'ai pas été voir mon cheval. Je suis une mauvaise propriétaire. Il va se blesser, il va mal vivre, il va peut-être mourir mon cheval. » Parce que je n'y ai pas été pendant une journée. Parce que j'y étais un peu moins souvent. Par exemple, moi je vais voir mon cheval trois fois par semaine. J'y étais qu'une fois par semaine. Oh là là, peut-être que mon cheval... J'ai beaucoup de culpabilité à y aller moins de trois fois par semaine. Je sais que c'est une grosse charge mentale que moi je me mets. Il y en a qui y vont tous les jours. Et cette culpabilité, dès qu'on n'y va pas un jour, ou cette culpabilité dès qu'on part en vacances. De se dire, je ne devrais pas partir en vacances. pour m'occuper de mon cheval. J'ai une amie qui me l'a dit l'autre jour, j'ai annulé mes vacances l'année dernière parce qu'il fallait que je m'occupe de mon cheval. Ok ! Là, c'était peut-être un red flag qu'on en a fait trop. Et souvent, ce côté « on en a fait trop » arrive avec un sentiment qu'il est impossible de déléguer quoi que ce soit. De « je ne peux pas confier ça, je suis obligée de faire cette tâche, je ne peux pas la confier à quelqu'un d'autre parce que ce quelqu'un d'autre va mal la faire » . Des fois, c'est vrai. Des fois, ce n'est pas très vrai quand même. Et cette impossibilité de déléguer quoi que ce soit pour notre cheval, même à des professionnels, par exemple, reconnus, là aussi, c'est un signe qu'on en fait trop. Donc, si tu te reconnais dans un de ces signes, c'est peut-être que tu portes un peu trop de poids toute seule sur tes épaules et le poids du bien-être de ton cheval. Alors, c'est... On est beaucoup, on est beaucoup à ressentir ça. Et entre guillemets, c'est normal parce qu'on entretient notre mythe de la cavalière parfaite, de la cavalière qui doit tout savoir. On a cette surcharge d'informations qu'on revoit dans les réseaux sociaux. On a la peur d'être jugé par notre entourage, par nos proches, qu'ils soient cavaliers ou non, parce que notre proche, ça peut aussi être dans l'écurie. Et ça, moi, je l'ai vécu, la peur d'être jugée dans l'écurie, de se dire, en fait, si je ne fais pas ça, on va dire de moi que je suis une mauvaise propriétaire. Il y a des cas où on l'a vraiment dit. On m'a vraiment dit, tu n'as pas fait X ou Y, tu es une mauvaise propriétaire, je refuse de voir ton cheval souffrir, quoi. Non, mais attends, j'ai juste pas fait exactement comme quoi toi, t'aurais voulu. Mais il peut y avoir cette peur d'être jugée. ou ce jugement, et dans ce cas, il faut peut-être changer d'écurie, ou la peur d'être jugée. Alors, c'est vrai que nos entourages non équitants portent un peu moins ce jugement sur nous. Par contre, l'entourage non équitant peut nous forcer à tirer sur la corde à des moments où il n'y en aurait pas besoin. Par exemple, de se dire, je vais quand même, ça je l'ai aussi vu, je vais aller à la soirée avec mes potes, et après. je passerai à l'écurie faire les soins pour mon cheval. Donc du coup, on fait les deux. On combine la soirée avec les potes pour éviter de se faire juger par les potes parce qu'on a encore annulé la soirée parce qu'on s'occupe de notre cheval. Mais on va quand même à l'écurie après à 23h minuit. Juste histoire d'être sûre. Et cette histoire d'être sûre, elle vient aussi avec le besoin de contrôler pour se rassurer. On a besoin de vérifier que tout va bien. On a besoin de vérifier que telle ou telle tâche a été bien faite. On a besoin de vérifier que notre cheval va bien, on a plein de besoins de contrôle qu'on fait passer pour le fait de se rassurer. Et en effet, de contrôler, ça a tendance à rassurer, mais il ne faut pas tomber dans de l'hyper contrôle, de ne pas faire confiance à une personne pour curer les pieds de mon cheval, de se dire qu'elle va mal curer les pieds de mon cheval. À un moment donné, curer les pieds de mon cheval, ce n'est pas compliqué. On n'a peut-être pas besoin de contrôler à quel point les pieds ont été bien curés. distribuer une ration de nourriture, c'est peut-être pas compliqué non plus. Donc on a, dans beaucoup de cas, pas forcément besoin d'autant de contrôle pour se rassurer. On a vu du coup les signes qui montrent qu'on en fait trop, et je vous ai un peu expliqué pourquoi est-ce qu'on tombe dans ce piège. Et du coup, je vais vous inviter à prendre un peu de recul, à faire le tri, et on va voir. comment rééquilibrer ça. rééquilibrer ce côté j'en fais trop sans injonction, bien évidemment. Alors, je rappelle ici que je ne suis absolument pas psy ou coach ou quoi que ce soit. L'idée, c'est encore une fois de créer un espace pour réfléchir. Je ne suis absolument pas là pour vous dire qu'est-ce qu'il faut faire absolument. Il n'y a pas d'injonction dans ce que je vais vous dire. Et justement, le premier point que je vais vous dire, c'est de se faire aider par un psychologue. de se faire aider par un psy, et notamment sur la peur d'être jugé ou le besoin de contrôle. Ça, c'est des sujets qui peuvent totalement être abordés avec un psychologue. Et quand on est en état de, entre guillemets, burn-out équin, quand on en fait trop pour notre cheval, les prises en charge avec un psy sont aussi très bénéfiques. De plus en plus de psychologues sont sensibilisés aux problèmes des personnes qui ont des animaux de compagnie. Et nos chevaux sont pour nous des animaux de compagnie. On ne va pas se mentir, si tu écoutes ce podcast et que tu considères ton cheval comme un animal de compagnie, les psychologues sont de plus en plus à l'aise avec le fait de parler de la charge mentale que peut représenter un animal de compagnie. Donc n'hésitez vraiment pas à en parler à un psychologue. Ensuite, ça va être important de prendre du temps pour toi, sans ton cheval. justement, on parlait du fait de se couper de ses amis, de faire moins de choses qu'on aime. Ça peut être des moments de remettre, justement, de dire oui à cette soirée que tes potes te demandent depuis longtemps ou de dire, en fait, ça fait très longtemps que je n'ai pas lu un bouquin plaisir. Donc, je vais me lire un roman. Ça va faire du bien. Prendre un petit peu de temps pour toi, sans ton cheval, de faire des activités qui te font plaisir à toi, mais qui n'impliquent pas ton cheval. Ça peut être une... Bonne idée pour rééquilibrer sans forcément culpabiliser. Ça va permettre de faire quelque chose, entre guillemets, mais pas pour son cheval. Et un des points clés aussi, c'est de se demander où est le, entre guillemets, vrai problème. Est-ce que le problème qu'on voit, c'est le cœur du problème ou pas ? Par exemple, si ton cheval est en surpoids, dans une herbe très riche et qu'il enchaîne fourbure sur fourbure, en effet, il va s'épuiser. Enfin, il va t'épuiser. tu vas t'épuiser, c'est logique. Si ton cheval à un moment donné a des gros problèmes de santé, c'est un moment donné, c'est un moment où tu vas fatiguer, où il va falloir plus de temps, être plus disponible pour ton cheval, donc tu vas te fatiguer pendant ce temps. Par contre, il va falloir régler le cœur du problème, ou au moins trouver une solution qui permet de moins se prendre la tête, au moins temporairement. Si je reprends mon cheval qui est en surpoids dans une herbe trop riche, peut-être que la solution, c'est de le sortir de spray, de le mettre en paddock, de gérer ce surpoids et de se faire aider pour gérer le surpoids. Maintenant, si la pension ne propose pas d'autres solutions, peut-être que pour régler le vrai problème, ça va être de changer la pension. C'est peut-être ça, le vrai cœur du problème. Peut-être que c'est de mettre un panier antifourbure au cheval. Mais il va falloir trouver... le vrai problème. Et c'est vrai que moi, des fois, je vois des gens qui s'épuisent comme pas possible, mais parce qu'en fait, la pension n'est absolument pas adaptée à leur cheval. La pension n'est absolument pas adaptée à leur cheval et ces propriétaires vont s'épuiser à gérer tous les problèmes de santé de leur cheval, alors que le cœur du problème, il est sur la pension. Donc en fait, on aura tout le temps des problèmes. C'est pas une critique pour les pensions, c'est juste trouver l'endroit qui est adapté à votre cheval. Typiquement, moi j'ai un cheval qui a les pieds sensibles, le mettre en paddock paradise sur du sol, sur de la grave calcaire qui est très dure, ça va être une prise de tête monstrueuse, il va falloir que je colle des semelles, enfin, il va falloir peut-être que je colle des semelles au plus derrière de mon cheval, il va falloir que je fasse venir le maréchal, il va falloir que je mette beaucoup de compléments en place pour qu'il aille bien, il va peut-être moins marcher, donc il va prendre du poids, etc. Donc c'est pas du tout une solution. La solution, c'est de sortir mon cheval du sol qui lui fait mal aux pieds. Donc je vous invite vraiment à chercher le vrai problème, entre guillemets, qui fait que vous êtes en surcharge pour votre cheval. Ensuite, pour se rééquilibrer sans culpabiliser, il va falloir aussi accepter qu'on ne sait pas tout. Et donc du coup, s'entourer de ressources fiables et bienveillantes. Je reprends par exemple de penser et réfléchir à son choix de pension. Les ressources fiables et bienveillantes, le gérant de pension est la première personne normalement fiable et bienveillante que vous devriez côtoyer. S'entourer de professionnels qui sont bienveillants, s'entourer d'amis cavalières qui sont bienveillantes et qui sont fiables et qui sont constantes, qui ne vont pas péter un plomb pour n'importe quoi, qui ne vont pas vous juger non plus. C'est la base de la bienveillance. qui ne vont pas vous juger et qui vont vous aider, qui vont vous soutenir pour votre cheval. Et donc, s'autoriser à dire, en fait, là, je ne sais pas, et s'autoriser à dire, j'ai besoin d'aide. S'autoriser à dire, justement, à nos ressources fiables et bienveillantes, le gérant de pension, le vétérinaire, des amis, notre conjoint, la famille, de dire, là, en fait, je suis perdue, j'ai besoin d'aide. je suis en train de couler pour mon cheval, j'ai besoin d'une bouée pour sortir la tête de l'eau. Ça va vous permettre de pouvoir faire une pause pour mieux repartir du coup. Et des fois ces pauses elles sont indispensables. Donc du coup si on récapitule pour se rééquilibrer quand on en fait trop pour son cheval, premier point c'est de se faire aider par un psychologue. Deuxième point. c'est de résoudre le vrai problème de mon cheval, ou de moi. Le troisième point, c'est d'accepter qu'on ne sait pas tout, et donc de s'entourer de personnes qui sont fiables et bienveillantes, et auxquelles on peut dire, en fait, je suis perdue, là, j'ai besoin d'aide. Ce qui va permettre de faire des pauses et de prendre du temps pour soi. Et donc, d'en faire un peu moins pour son cheval, d'en faire un peu plus pour toi. Et vraiment, je vois énormément de cavalières qui... qui ont du mal, ou en fait leur cheval est chouchouté comme pas possible, mais elles ont vraiment du mal à prendre du temps pour elles. Alors cet épisode de podcast se voulait comme un espace de réflexion, une petite bulle pour vous permettre de prendre du recul, de se questionner, de réfléchir et d'avancer, ensuite sur le fait d'en faire trop avec ton cheval. Et c'est exactement aussi... l'objectif de la cavalcade. La cavalcade, c'est un sommet virtuel qui dure 4 jours du 4 au 7 septembre où il y aura 8 professionnels qui donneront 8 conférences autour d'un même thème qui sera prendre soin de soi autant que de son cheval. Donc on parlera alimentation, on parlera environnement, on parlera mouvement et on parlera émotion avec ces 8 professionnels. La cavalcade, c'est un espace Merci. qui se veut sans jugement, sans injonction, qui permet de prendre du recul, de te conforter potentiellement dans ce que tu sais, de t'apprendre de nouvelles connaissances pour prendre soin de ton cheval tout en prenant soin de toi. S'il te plaît ! Ça va être un moment pour prendre du recul, pour faire le tri et pour retrouver confiance dans ce que tu fais avec ton cheval, de reposer des bases solides, comme dit, l'environnement, l'alimentation, le mouvement et les émotions. Il y aura du coup plusieurs personnes, et donc toi tu auras le droit de piocher en fait ce qui est utile, ce que tu as envie de mettre en place, une étape à la fois. Durant ces quatre jours, il y aura donc des conférences en direct, les replays sont disponibles pour celles qui manquent le temps, pour celles qui en font peut-être déjà beaucoup. Et les places sont disponibles dès maintenant sur mon site internet, donc murmure-animal.com. Les places sont disponibles, donc il y a deux accès. L'accès balade au pas qui regroupe toutes les conférences en direct et leurs replays pendant 8 jours. Et l'accès au galop, donc il y a tous les directs, les replays pendant 4 mois. Et des fiches de synthèse. justement pour celles qui ont un peu moins le temps des fiches résumées de chaque conférence et aussi la possibilité de poser des questions personnalisées dans un épisode de podcast qu'on enregistrera avec les intervenantes et ces épisodes de podcast seront disponibles uniquement pour celles qui ont pris l'accès au galop je le répète ce sera des épisodes de podcast qui ne seront pas publics, qui seront disponibles uniquement pour celles qui ont pris l'accès au galop pour qu'elles puissent poser leurs questions sur leurs cheval. Donc si c'est un sujet qui te parle et que tu veux t'offrir un vrai temps d'exploration et de recul, la K-Walkan, elle est pensée pour toi. Il n'y a pas de pression, il n'y a pas d'injonction. Il y a juste un cadre doux et clair pour avancer à ton rythme, pour prendre soin de toi autant que tu prends soin de ton cheval. Je te le rappelle que si ça t'intéresse, toutes les informations et les inscriptions sont sur mon site internet murmure-animal.com slash cavalcade ou en description de cet épisode. Je te dis à très vite pour un prochain épisode ou pour la cavalcade. Bonne journée !