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Le fauteuil rose

EP 23 Mes 10 leçcons pour mes 37 ans

EP 23 Mes 10 leçcons pour mes 37 ans

13min |01/07/2025|

3

Play
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13min |01/07/2025|

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Description

Dans cet épisode 23 du Fauteuil Rose, j'ai officiellement 37 en ce 1er juillet et je vous partage 10 clés essentielles que j’ai apprises au fil des années.

Des clés précieuses qui m’ont permis de mieux avancer avec moi-même et d’améliorer ma relation à moi-même.

Cet épisode marque enfin le lancement officiel de la saison 2.


🎙️Le Fauteuil Rose, c’est un podcast qui ne promet pas de réponses toutes faites, mais qui vous accompagne, sincèrement, là où vous en êtes.

Un espace pour ressentir, réfléchir, traverser. Un lieu où la parole est libre, vraie, sans filtre.


On y parle de reconstruction, de sens, de lumière après l’ombre.

Aujourd’hui, le podcast entre dans une nouvelle phase : une série narrative autour de Malou, une histoire que j’ai écrite, refusée par plusieurs maisons d’édition, mais que je choisis de faire vivre autrement — avec ma voix, et avec vous.


Deux fois par semaine, je vous retrouve pour partager mes mots, mes doutes, mes élans.

Ici, on rit, on pleure, on pense, on se relève. Ensemble.


Et si mes mots vous parlent, vous pourrez aussi me lire : mon livre Ose Briller a été publié aux Éditions Les 3 Colonnes.


🪑🩷 Le Fauteuil Rose, c’est un moment à soi, un espace pour se rencontrer autrement.


Un ebook exclusif vous attend, entièrement gratuit. j'y partage mon concept le Déclic du 1%

Ce petit pas qui peut tout débloquer.

Envie de le découvrir ? RDV ICI : https://vanessama.gumroad.com/l/objgys


Pour partager ton histoire, contacte-moi : vanessaamacontact@gmail.com



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue à toi dans cet épisode un peu spécial. Pourquoi spécial ? Parce qu'aujourd'hui on est le 1er juillet et j'ai officiellement 37 ans. Et du coup, j'ai ressenti l'envie de poser ici toutes les leçons que j'ai apprises. Alors souvent dans la douleur, mais vraiment parfois aussi dans la joie. Mais tu vois, toujours avec une quête de sens. Alors peut-être que toi qui écoute, tu te reconnaîtras dans ces mots. Maintenant ! il est temps de passer à la leçon numéro 1. Tu ne peux pas sauver tout le monde. J'ai longtemps eu cette conviction que c'était mon rôle d'aider, de porter et de réparer les autres. Je pensais que ma valeur passait obligatoirement par là. Être indispensable, être celle qui comprend, qui sauve. Mais je me suis heurtée à une réalité beaucoup plus complexe. Certaines personnes n'ont pas envie d'être aidées, pas envie de changer. Et ce n'est pas un échec de ta part de ne pas réussir à les aider. C'est simplement leur histoire. Et quand tu comprends ça, quand tu comprends que tu peux tendre la main, mais tu ne peux pas forcer l'autre à la saisir. Alors aujourd'hui, j'accepte que parfois, la meilleure façon d'aider, c'est de respecter la distance et de ne plus confondre l'amour et le besoin d'exister à travers l'autre. Et surtout, j'ai compris que je devais d'abord m'aider et me sauver moi avant d'aider qui que ce soit. Cela vaut pour toi aussi qui écoute. La leçon numéro 2. Personne n'est responsable de ton bonheur. J'ai longtemps attendu que les autres remplissent mes manques. Je croyais que c'était le rôle, par exemple de mon mari, de me rendre heureuse, de combler ce vide intérieur. Puis j'ai compris que personne ne peut porter ce poids-là à ma place. Et t'imagines le poids que tu mets sur cette personne-là ? Tu lui dis que c'est elle qui doit être responsable de ton bonheur, qu'elle ne te rend pas heureuse. Non ! Tu as le droit de ne pas te sentir heureux dans ta relation, tu as le droit de ne pas te sentir heureux où tu vis, il n'y a pas de souci. Mais ce n'est pas l'autre de porter cette responsabilité sur ses épaules. Le bonheur, c'est un choix qu'on fait chaque jour, c'est un travail patient et quotidien, c'est apprendre à se connaître, à s'aimer sans aucune condition. Et le jour où j'ai cessé d'attendre qu'on me donne ce que je ne me donnais pas à moi-même, je t'assure que j'ai ressenti une liberté. que je n'avais jamais connu. Alors oui, c'est un chemin qui est exigeant, mais profondément libérateur. Alors si tu attends que quelqu'un te rende heureux, heureuse, tu es dans la mauvaise direction. Recentre-toi sur toi-même. Voilà pour la leçon numéro 2. La leçon numéro 3. Eh bien, j'ai compris que l'échec, finalement, ce n'est pas un ennemi. Je crois que, finalement, la peur de l'échec, elle est universelle. Je pense qu'on l'a tout. On a... tous cette peur-là. On imagine la honte, le regard des autres, le sentiment d'être moins que rien. Mais si on regarde de plus près, ce n'est pas l'échec qui nous fait peur, c'est l'idée qu'on se fait de ce qu'il se dira sur nous. Or l'échec ne définit rien d'autre qu'une expérience. Cela fait partie du processus. C'est souvent après un échec que naît la plus grande force, la plus belle histoire et le plus beau projet. Et il n'y a rien de plus puissant. qu'une personne qui comprend qu'elle n'a plus rien à perdre, seulement tout à apprendre. Voilà pour la leçon numéro 3 que j'ai appris. La leçon numéro 4, tu es ce que tu te racontes. J'ai passé des années à me répéter que j'étais invisible, pas assez bien, pas à ma place. Je croyais que ces pensées étaient la réalité, mais elles n'étaient que des histoires que je me suis racontées. Le jour où j'ai commencé à changer mon dialogue intérieur, je te garantis que j'ai vu ma vie se transformer. Se dire qu'on est capable, se dire qu'on est digne d'être aimé, se dire qu'on est à la bonne place, ce ne sont pas des formules magiques, mais des graines que tu vas planter et qui vont finir par pousser. Donc il est temps pour toi de changer impérativement ton discours intérieur. Voilà pour la leçon numéro 4 que j'ai apprise. La leçon numéro 5. Pas de plan B. C'est vraiment une leçon qui a été pour moi très importante. Parce qu'on croit souvent qu'avoir un plan B, c'est être prudent. Mais pour moi, c'est une façon de ne pas s'engager totalement dans son plan A. Parce que tu imagines, si tu as un plan A, tu as un plan B, tu as un plan C, tu as un plan qui reprend toutes les lettres de l'alphabet. Ton cerveau, il ne comprend plus rien. Il sait, finalement, la seule chose qu'il sait, c'est qu'il n'a pas besoin de s'engager. à 100 000 % sur le plan A. Et ça, c'est vraiment une leçon qui a été pour moi très très importante. Parce que la détermination que tu vas mettre dans ton plan A ne sera absolument pas la même si tu as le plan A, le plan B, le plan qui reprend toutes les lettres de l'alphabet. Donc c'est pour ça. Si ton but, c'est de faire tel projet, tu testes toutes les façons possibles d'arriver à ce plan A. Tu échoues, tu recommences. Tu échoues, tu recommences différemment. encore et encore et tu verras qu'à force et ben ça va te rapporter quelque chose les fruits de ton labeur vont être là mais vraiment pas de plan b et ça honnêtement j'ai vraiment mis très longtemps à le comprendre c'est vraiment une leçon qui est très importante pour moi je l'espère et je l'espère aussi qu'elle résonne pour toi voilà pour la leçon numéro 5 la leçon numéro 6 la dépression peut-elle devenir un tournant ? Eh bien, je te dis que oui. Alors certes, je souhaite cette souffrance-là à personne. Mais personnellement, je dois être honnête, ma dépression a été la période la plus révélatrice de ma vie. Alors oui, je n'aurais pas pu faire cet épisode de podcast et parler de ça il y a encore un an ou deux, même peut-être huit mois en arrière. Mais aujourd'hui, avec le recul, mes accompagnements avec une mentor, avec une psychologue, j'ai compris à quel point J'avais besoin d'atterrir tout en bas parce que j'avais énormément de choses à comprendre sur moi. J'avais énormément de choses à guérir, j'avais des traumas à guérir. Et si je n'avais pas fait cette dépression, finalement peut-être qu'aujourd'hui ça serait encore pire. Vraiment, vraiment, vraiment. Donc la dépression pour moi, elle a été révélatrice. Parce que grâce à ça, j'ai pu me reconstruire autrement. J'ai pu pardonner à des personnes qui m'ont fait beaucoup de mal, pas pour leur pardonner à elles. mais pour me pardonner à moi et pour pouvoir avancer et guérir mes traumas aussi. Donc, avec plus de douceur et plus d'authenticité, embrasse tes périodes sombres, aussi difficiles soient-elles. Voilà pour la leçon numéro 6. La leçon numéro 7, la relation la plus précieuse est celle que tu vas entretenir avec toi-même. On parle sans cesse des relations aux autres. L'amour, l'amitié, la famille, mais la plus importante, c'est celle qu'on va entretenir avec nous-mêmes. Et j'ai découvert qu'on peut vivre entouré, mais pour autant se sentir seul. Et si on ne se connaît pas et si on ne s'accepte pas, ça va être encore pire. Donc cultiver cette relation avec soi-même m'a permis de poser des limites et de savoir ce que je voulais et ce que je ne voulais plus. Et de ne plus avoir peur de décevoir. parce que je me respectais enfin. Voilà pour la leçon numéro 7. Leçon numéro 8. Cessez de se mentir. Combien de fois j'ai dit « ça va » alors que j'avais envie, mais d'hurler, je vous assure, j'avais envie d'hurler, de pleurer. Combien de fois j'ai accepté des situations qui ne me convenaient pas, par peur du conflit ou par peur du jugement. Mais aujourd'hui, je choisis d'être vrai, même si c'est inconfortable, de dire non, de dire stop, de dire... ça ne va pas, ça ne me convient pas. Mais c'est se respecter et c'est ouvrir la porte à des relations plus saines et beaucoup plus sincères. Voilà pour la leçon numéro 8. La leçon numéro 9. Le succès, ce n'est pas un succès vide de sens. Pour être honnête, j'ai trop souvent pensé que le succès, c'était avoir un compte bancaire rempli, être connu, être célèbre, être une personnalité publique. C'était ça le succès pour moi, c'était ça la définition du succès pour moi. Et puis finalement, je me suis rendu compte, avec mon introspection, avec ma dépression, avec toute mon histoire, qu'en fait le succès, c'est quand tu réalises les choses que tu veux pour ta propre vie, quand tu comprends que tu as déjà une chance immense d'être sur cette terre. Bien entendu qu'avoir un compte bancaire bien rempli, être connu, être célèbre, tu peux le mériter, tu peux le vouloir. Mais il ne faut pas que ça soit un succès vide de sens. Il faut que tu comprennes pourquoi tu veux tout cela. Et moi, j'ai fini par comprendre que le succès, c'est de mener la vie que j'ai envie de mener. Qu'elle me plaise à moi et à moi seulement. Pas simplement par intérêt. Et ça, c'est une clé qui est vraiment, vraiment importante. Leçon numéro 10. Chaque expérience m'a guidée vers ma place. J'ai fait... Beaucoup de métiers. J'ai été... caissière, je ne l'ai pas fait longtemps, peut-être un mois, mais il fait partie de mon expérience. Femme de ménage, ambulancière, secrétaire, j'ai travaillé pour un grand groupe, pour un grand cabinet de notaires, j'étais agent d'accueil. J'ai travaillé en temps commercial, vraiment j'ai fait beaucoup de travail. Il y en a qui, tu vois, c'était vraiment des taffes alimentaires, il fallait que je travaille. Il y en a d'autres, dans tous les cas, ça a toujours été des travails alimentaires, mais il y en a qui étaient, on va dire, un peu mieux gradés que d'autres. Mais c'est une chaîne. Juste pour la métaphore, après je fermerai cette parenthèse, tu vas dans une clinique, dans un hôpital, tu as la femme de ménage, tu as l'aide-soignante, tu as l'infirmière, tu as le médecin. Si tu enlèves une seule personne à cette chaîne, c'est le bordel. Je ferme la parenthèse. J'espère que vous avez compris la métaphore. Et finalement, tous ces métiers que j'ai faits, chacun m'a montré ce que je voulais, mais surtout ce que je ne voulais plus. Je sais désormais que je veux être libre. écrire, raconter des histoires, inspirer. Et je crois profondément que chaque étape, même la plus ingrate, a été un passage obligé pour moi, pour avoir cette certitude, pour me comprendre, pour me connaître, pour commencer en bas et pour arriver en haut. Et pour après, tu vois, continuer, comme les battements du cœur. Parce que si c'est linéaire, c'est que tu n'es plus de ce monde. Donc il faut que ça soit, tu vois, un petit peu les montagnes russes. Et aujourd'hui, je te garantis que j'ai la certitude de savoir. enfin ce que je veux faire de ma vie. Toutes mes expériences passées ont eu un but bien précis. Aussi bien mes échecs que mes victoires, aussi bien mes doutes que tout autre chose. Tout ce que j'ai pu vivre et ressentir, aujourd'hui j'ai compris enfin où est ma place en tant que femme, en tant qu'épouse et en tant que maman. Et j'ai surtout compris que ma place professionnelle était justement dans la relation à soi. à travers mon podcast, mes livres et mes futures conférences. Je ne me considère pas du tout comme une coach. Alors, moi j'adore les coachs de vie, tous les coachs, moi j'aime bien. C'est juste que moi personnellement, faire du one-to-one, je ne me sens pas. J'ai eu affaire à une mentor et je vous assure que ma mentor, elle fait un travail remarquable, un travail vraiment formidable. Mais je n'aurais pas la patience de faire ça. Et surtout, je suis quelqu'un d'hypersensible. Donc, je ne me sens pas prête à coacher one to one. J'ai voulu me lancer dans... Si vous entendez peut-être d'anciens épisodes à moi, je vais vous dire, je suis coach wellness. C'est des choses que je pensais qui étaient faites pour moi. Peut-être que c'est fait pour moi. Mais à l'instant, en tout cas, où là, je fais cet épisode de podcast, pour moi, ce qui me fait sens, c'est mes épisodes de podcast. Vous donner de la valeur gratuitement. Faire mes livres. J'ai écrit un livre. Continuer d'écrire. Vous parler de l'histoire de Malou prochainement et faire mes futures conférences. Pourquoi pas j'organiserai des ateliers, des choses comme ça, mais en tout cas pas de coaching one to one. Et quand tu comprends que ta place, elle est enfin là, tu as réussi à transformer ta propre relation avec toi-même, c'est juste formidable. Moi ce que je veux, c'est vous aider à mieux vous comprendre et à transformer votre propre relation à vous-même. Je te motive à créer ta propre discipline. Voilà pour la leçon numéro 10. Ces 10 leçons sont mes propres vérités. Elles n'ont pas pour vocation à être universelles, à parler à tout le monde, à inspirer tout le monde. Non, elles sont les miennes. Et si ça résonne pour toi, si ça peut t'inspirer à faire un pas vers ta propre vérité, alors cet épisode, en plus d'être le jour de mon anniversaire, il aura eu un réel sens. Je te remercie de m'avoir écouté, on se retrouve très très bientôt.

Description

Dans cet épisode 23 du Fauteuil Rose, j'ai officiellement 37 en ce 1er juillet et je vous partage 10 clés essentielles que j’ai apprises au fil des années.

Des clés précieuses qui m’ont permis de mieux avancer avec moi-même et d’améliorer ma relation à moi-même.

Cet épisode marque enfin le lancement officiel de la saison 2.


🎙️Le Fauteuil Rose, c’est un podcast qui ne promet pas de réponses toutes faites, mais qui vous accompagne, sincèrement, là où vous en êtes.

Un espace pour ressentir, réfléchir, traverser. Un lieu où la parole est libre, vraie, sans filtre.


On y parle de reconstruction, de sens, de lumière après l’ombre.

Aujourd’hui, le podcast entre dans une nouvelle phase : une série narrative autour de Malou, une histoire que j’ai écrite, refusée par plusieurs maisons d’édition, mais que je choisis de faire vivre autrement — avec ma voix, et avec vous.


Deux fois par semaine, je vous retrouve pour partager mes mots, mes doutes, mes élans.

Ici, on rit, on pleure, on pense, on se relève. Ensemble.


Et si mes mots vous parlent, vous pourrez aussi me lire : mon livre Ose Briller a été publié aux Éditions Les 3 Colonnes.


🪑🩷 Le Fauteuil Rose, c’est un moment à soi, un espace pour se rencontrer autrement.


Un ebook exclusif vous attend, entièrement gratuit. j'y partage mon concept le Déclic du 1%

Ce petit pas qui peut tout débloquer.

Envie de le découvrir ? RDV ICI : https://vanessama.gumroad.com/l/objgys


Pour partager ton histoire, contacte-moi : vanessaamacontact@gmail.com



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue à toi dans cet épisode un peu spécial. Pourquoi spécial ? Parce qu'aujourd'hui on est le 1er juillet et j'ai officiellement 37 ans. Et du coup, j'ai ressenti l'envie de poser ici toutes les leçons que j'ai apprises. Alors souvent dans la douleur, mais vraiment parfois aussi dans la joie. Mais tu vois, toujours avec une quête de sens. Alors peut-être que toi qui écoute, tu te reconnaîtras dans ces mots. Maintenant ! il est temps de passer à la leçon numéro 1. Tu ne peux pas sauver tout le monde. J'ai longtemps eu cette conviction que c'était mon rôle d'aider, de porter et de réparer les autres. Je pensais que ma valeur passait obligatoirement par là. Être indispensable, être celle qui comprend, qui sauve. Mais je me suis heurtée à une réalité beaucoup plus complexe. Certaines personnes n'ont pas envie d'être aidées, pas envie de changer. Et ce n'est pas un échec de ta part de ne pas réussir à les aider. C'est simplement leur histoire. Et quand tu comprends ça, quand tu comprends que tu peux tendre la main, mais tu ne peux pas forcer l'autre à la saisir. Alors aujourd'hui, j'accepte que parfois, la meilleure façon d'aider, c'est de respecter la distance et de ne plus confondre l'amour et le besoin d'exister à travers l'autre. Et surtout, j'ai compris que je devais d'abord m'aider et me sauver moi avant d'aider qui que ce soit. Cela vaut pour toi aussi qui écoute. La leçon numéro 2. Personne n'est responsable de ton bonheur. J'ai longtemps attendu que les autres remplissent mes manques. Je croyais que c'était le rôle, par exemple de mon mari, de me rendre heureuse, de combler ce vide intérieur. Puis j'ai compris que personne ne peut porter ce poids-là à ma place. Et t'imagines le poids que tu mets sur cette personne-là ? Tu lui dis que c'est elle qui doit être responsable de ton bonheur, qu'elle ne te rend pas heureuse. Non ! Tu as le droit de ne pas te sentir heureux dans ta relation, tu as le droit de ne pas te sentir heureux où tu vis, il n'y a pas de souci. Mais ce n'est pas l'autre de porter cette responsabilité sur ses épaules. Le bonheur, c'est un choix qu'on fait chaque jour, c'est un travail patient et quotidien, c'est apprendre à se connaître, à s'aimer sans aucune condition. Et le jour où j'ai cessé d'attendre qu'on me donne ce que je ne me donnais pas à moi-même, je t'assure que j'ai ressenti une liberté. que je n'avais jamais connu. Alors oui, c'est un chemin qui est exigeant, mais profondément libérateur. Alors si tu attends que quelqu'un te rende heureux, heureuse, tu es dans la mauvaise direction. Recentre-toi sur toi-même. Voilà pour la leçon numéro 2. La leçon numéro 3. Eh bien, j'ai compris que l'échec, finalement, ce n'est pas un ennemi. Je crois que, finalement, la peur de l'échec, elle est universelle. Je pense qu'on l'a tout. On a... tous cette peur-là. On imagine la honte, le regard des autres, le sentiment d'être moins que rien. Mais si on regarde de plus près, ce n'est pas l'échec qui nous fait peur, c'est l'idée qu'on se fait de ce qu'il se dira sur nous. Or l'échec ne définit rien d'autre qu'une expérience. Cela fait partie du processus. C'est souvent après un échec que naît la plus grande force, la plus belle histoire et le plus beau projet. Et il n'y a rien de plus puissant. qu'une personne qui comprend qu'elle n'a plus rien à perdre, seulement tout à apprendre. Voilà pour la leçon numéro 3 que j'ai appris. La leçon numéro 4, tu es ce que tu te racontes. J'ai passé des années à me répéter que j'étais invisible, pas assez bien, pas à ma place. Je croyais que ces pensées étaient la réalité, mais elles n'étaient que des histoires que je me suis racontées. Le jour où j'ai commencé à changer mon dialogue intérieur, je te garantis que j'ai vu ma vie se transformer. Se dire qu'on est capable, se dire qu'on est digne d'être aimé, se dire qu'on est à la bonne place, ce ne sont pas des formules magiques, mais des graines que tu vas planter et qui vont finir par pousser. Donc il est temps pour toi de changer impérativement ton discours intérieur. Voilà pour la leçon numéro 4 que j'ai apprise. La leçon numéro 5. Pas de plan B. C'est vraiment une leçon qui a été pour moi très importante. Parce qu'on croit souvent qu'avoir un plan B, c'est être prudent. Mais pour moi, c'est une façon de ne pas s'engager totalement dans son plan A. Parce que tu imagines, si tu as un plan A, tu as un plan B, tu as un plan C, tu as un plan qui reprend toutes les lettres de l'alphabet. Ton cerveau, il ne comprend plus rien. Il sait, finalement, la seule chose qu'il sait, c'est qu'il n'a pas besoin de s'engager. à 100 000 % sur le plan A. Et ça, c'est vraiment une leçon qui a été pour moi très très importante. Parce que la détermination que tu vas mettre dans ton plan A ne sera absolument pas la même si tu as le plan A, le plan B, le plan qui reprend toutes les lettres de l'alphabet. Donc c'est pour ça. Si ton but, c'est de faire tel projet, tu testes toutes les façons possibles d'arriver à ce plan A. Tu échoues, tu recommences. Tu échoues, tu recommences différemment. encore et encore et tu verras qu'à force et ben ça va te rapporter quelque chose les fruits de ton labeur vont être là mais vraiment pas de plan b et ça honnêtement j'ai vraiment mis très longtemps à le comprendre c'est vraiment une leçon qui est très importante pour moi je l'espère et je l'espère aussi qu'elle résonne pour toi voilà pour la leçon numéro 5 la leçon numéro 6 la dépression peut-elle devenir un tournant ? Eh bien, je te dis que oui. Alors certes, je souhaite cette souffrance-là à personne. Mais personnellement, je dois être honnête, ma dépression a été la période la plus révélatrice de ma vie. Alors oui, je n'aurais pas pu faire cet épisode de podcast et parler de ça il y a encore un an ou deux, même peut-être huit mois en arrière. Mais aujourd'hui, avec le recul, mes accompagnements avec une mentor, avec une psychologue, j'ai compris à quel point J'avais besoin d'atterrir tout en bas parce que j'avais énormément de choses à comprendre sur moi. J'avais énormément de choses à guérir, j'avais des traumas à guérir. Et si je n'avais pas fait cette dépression, finalement peut-être qu'aujourd'hui ça serait encore pire. Vraiment, vraiment, vraiment. Donc la dépression pour moi, elle a été révélatrice. Parce que grâce à ça, j'ai pu me reconstruire autrement. J'ai pu pardonner à des personnes qui m'ont fait beaucoup de mal, pas pour leur pardonner à elles. mais pour me pardonner à moi et pour pouvoir avancer et guérir mes traumas aussi. Donc, avec plus de douceur et plus d'authenticité, embrasse tes périodes sombres, aussi difficiles soient-elles. Voilà pour la leçon numéro 6. La leçon numéro 7, la relation la plus précieuse est celle que tu vas entretenir avec toi-même. On parle sans cesse des relations aux autres. L'amour, l'amitié, la famille, mais la plus importante, c'est celle qu'on va entretenir avec nous-mêmes. Et j'ai découvert qu'on peut vivre entouré, mais pour autant se sentir seul. Et si on ne se connaît pas et si on ne s'accepte pas, ça va être encore pire. Donc cultiver cette relation avec soi-même m'a permis de poser des limites et de savoir ce que je voulais et ce que je ne voulais plus. Et de ne plus avoir peur de décevoir. parce que je me respectais enfin. Voilà pour la leçon numéro 7. Leçon numéro 8. Cessez de se mentir. Combien de fois j'ai dit « ça va » alors que j'avais envie, mais d'hurler, je vous assure, j'avais envie d'hurler, de pleurer. Combien de fois j'ai accepté des situations qui ne me convenaient pas, par peur du conflit ou par peur du jugement. Mais aujourd'hui, je choisis d'être vrai, même si c'est inconfortable, de dire non, de dire stop, de dire... ça ne va pas, ça ne me convient pas. Mais c'est se respecter et c'est ouvrir la porte à des relations plus saines et beaucoup plus sincères. Voilà pour la leçon numéro 8. La leçon numéro 9. Le succès, ce n'est pas un succès vide de sens. Pour être honnête, j'ai trop souvent pensé que le succès, c'était avoir un compte bancaire rempli, être connu, être célèbre, être une personnalité publique. C'était ça le succès pour moi, c'était ça la définition du succès pour moi. Et puis finalement, je me suis rendu compte, avec mon introspection, avec ma dépression, avec toute mon histoire, qu'en fait le succès, c'est quand tu réalises les choses que tu veux pour ta propre vie, quand tu comprends que tu as déjà une chance immense d'être sur cette terre. Bien entendu qu'avoir un compte bancaire bien rempli, être connu, être célèbre, tu peux le mériter, tu peux le vouloir. Mais il ne faut pas que ça soit un succès vide de sens. Il faut que tu comprennes pourquoi tu veux tout cela. Et moi, j'ai fini par comprendre que le succès, c'est de mener la vie que j'ai envie de mener. Qu'elle me plaise à moi et à moi seulement. Pas simplement par intérêt. Et ça, c'est une clé qui est vraiment, vraiment importante. Leçon numéro 10. Chaque expérience m'a guidée vers ma place. J'ai fait... Beaucoup de métiers. J'ai été... caissière, je ne l'ai pas fait longtemps, peut-être un mois, mais il fait partie de mon expérience. Femme de ménage, ambulancière, secrétaire, j'ai travaillé pour un grand groupe, pour un grand cabinet de notaires, j'étais agent d'accueil. J'ai travaillé en temps commercial, vraiment j'ai fait beaucoup de travail. Il y en a qui, tu vois, c'était vraiment des taffes alimentaires, il fallait que je travaille. Il y en a d'autres, dans tous les cas, ça a toujours été des travails alimentaires, mais il y en a qui étaient, on va dire, un peu mieux gradés que d'autres. Mais c'est une chaîne. Juste pour la métaphore, après je fermerai cette parenthèse, tu vas dans une clinique, dans un hôpital, tu as la femme de ménage, tu as l'aide-soignante, tu as l'infirmière, tu as le médecin. Si tu enlèves une seule personne à cette chaîne, c'est le bordel. Je ferme la parenthèse. J'espère que vous avez compris la métaphore. Et finalement, tous ces métiers que j'ai faits, chacun m'a montré ce que je voulais, mais surtout ce que je ne voulais plus. Je sais désormais que je veux être libre. écrire, raconter des histoires, inspirer. Et je crois profondément que chaque étape, même la plus ingrate, a été un passage obligé pour moi, pour avoir cette certitude, pour me comprendre, pour me connaître, pour commencer en bas et pour arriver en haut. Et pour après, tu vois, continuer, comme les battements du cœur. Parce que si c'est linéaire, c'est que tu n'es plus de ce monde. Donc il faut que ça soit, tu vois, un petit peu les montagnes russes. Et aujourd'hui, je te garantis que j'ai la certitude de savoir. enfin ce que je veux faire de ma vie. Toutes mes expériences passées ont eu un but bien précis. Aussi bien mes échecs que mes victoires, aussi bien mes doutes que tout autre chose. Tout ce que j'ai pu vivre et ressentir, aujourd'hui j'ai compris enfin où est ma place en tant que femme, en tant qu'épouse et en tant que maman. Et j'ai surtout compris que ma place professionnelle était justement dans la relation à soi. à travers mon podcast, mes livres et mes futures conférences. Je ne me considère pas du tout comme une coach. Alors, moi j'adore les coachs de vie, tous les coachs, moi j'aime bien. C'est juste que moi personnellement, faire du one-to-one, je ne me sens pas. J'ai eu affaire à une mentor et je vous assure que ma mentor, elle fait un travail remarquable, un travail vraiment formidable. Mais je n'aurais pas la patience de faire ça. Et surtout, je suis quelqu'un d'hypersensible. Donc, je ne me sens pas prête à coacher one to one. J'ai voulu me lancer dans... Si vous entendez peut-être d'anciens épisodes à moi, je vais vous dire, je suis coach wellness. C'est des choses que je pensais qui étaient faites pour moi. Peut-être que c'est fait pour moi. Mais à l'instant, en tout cas, où là, je fais cet épisode de podcast, pour moi, ce qui me fait sens, c'est mes épisodes de podcast. Vous donner de la valeur gratuitement. Faire mes livres. J'ai écrit un livre. Continuer d'écrire. Vous parler de l'histoire de Malou prochainement et faire mes futures conférences. Pourquoi pas j'organiserai des ateliers, des choses comme ça, mais en tout cas pas de coaching one to one. Et quand tu comprends que ta place, elle est enfin là, tu as réussi à transformer ta propre relation avec toi-même, c'est juste formidable. Moi ce que je veux, c'est vous aider à mieux vous comprendre et à transformer votre propre relation à vous-même. Je te motive à créer ta propre discipline. Voilà pour la leçon numéro 10. Ces 10 leçons sont mes propres vérités. Elles n'ont pas pour vocation à être universelles, à parler à tout le monde, à inspirer tout le monde. Non, elles sont les miennes. Et si ça résonne pour toi, si ça peut t'inspirer à faire un pas vers ta propre vérité, alors cet épisode, en plus d'être le jour de mon anniversaire, il aura eu un réel sens. Je te remercie de m'avoir écouté, on se retrouve très très bientôt.

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Dans cet épisode 23 du Fauteuil Rose, j'ai officiellement 37 en ce 1er juillet et je vous partage 10 clés essentielles que j’ai apprises au fil des années.

Des clés précieuses qui m’ont permis de mieux avancer avec moi-même et d’améliorer ma relation à moi-même.

Cet épisode marque enfin le lancement officiel de la saison 2.


🎙️Le Fauteuil Rose, c’est un podcast qui ne promet pas de réponses toutes faites, mais qui vous accompagne, sincèrement, là où vous en êtes.

Un espace pour ressentir, réfléchir, traverser. Un lieu où la parole est libre, vraie, sans filtre.


On y parle de reconstruction, de sens, de lumière après l’ombre.

Aujourd’hui, le podcast entre dans une nouvelle phase : une série narrative autour de Malou, une histoire que j’ai écrite, refusée par plusieurs maisons d’édition, mais que je choisis de faire vivre autrement — avec ma voix, et avec vous.


Deux fois par semaine, je vous retrouve pour partager mes mots, mes doutes, mes élans.

Ici, on rit, on pleure, on pense, on se relève. Ensemble.


Et si mes mots vous parlent, vous pourrez aussi me lire : mon livre Ose Briller a été publié aux Éditions Les 3 Colonnes.


🪑🩷 Le Fauteuil Rose, c’est un moment à soi, un espace pour se rencontrer autrement.


Un ebook exclusif vous attend, entièrement gratuit. j'y partage mon concept le Déclic du 1%

Ce petit pas qui peut tout débloquer.

Envie de le découvrir ? RDV ICI : https://vanessama.gumroad.com/l/objgys


Pour partager ton histoire, contacte-moi : vanessaamacontact@gmail.com



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue à toi dans cet épisode un peu spécial. Pourquoi spécial ? Parce qu'aujourd'hui on est le 1er juillet et j'ai officiellement 37 ans. Et du coup, j'ai ressenti l'envie de poser ici toutes les leçons que j'ai apprises. Alors souvent dans la douleur, mais vraiment parfois aussi dans la joie. Mais tu vois, toujours avec une quête de sens. Alors peut-être que toi qui écoute, tu te reconnaîtras dans ces mots. Maintenant ! il est temps de passer à la leçon numéro 1. Tu ne peux pas sauver tout le monde. J'ai longtemps eu cette conviction que c'était mon rôle d'aider, de porter et de réparer les autres. Je pensais que ma valeur passait obligatoirement par là. Être indispensable, être celle qui comprend, qui sauve. Mais je me suis heurtée à une réalité beaucoup plus complexe. Certaines personnes n'ont pas envie d'être aidées, pas envie de changer. Et ce n'est pas un échec de ta part de ne pas réussir à les aider. C'est simplement leur histoire. Et quand tu comprends ça, quand tu comprends que tu peux tendre la main, mais tu ne peux pas forcer l'autre à la saisir. Alors aujourd'hui, j'accepte que parfois, la meilleure façon d'aider, c'est de respecter la distance et de ne plus confondre l'amour et le besoin d'exister à travers l'autre. Et surtout, j'ai compris que je devais d'abord m'aider et me sauver moi avant d'aider qui que ce soit. Cela vaut pour toi aussi qui écoute. La leçon numéro 2. Personne n'est responsable de ton bonheur. J'ai longtemps attendu que les autres remplissent mes manques. Je croyais que c'était le rôle, par exemple de mon mari, de me rendre heureuse, de combler ce vide intérieur. Puis j'ai compris que personne ne peut porter ce poids-là à ma place. Et t'imagines le poids que tu mets sur cette personne-là ? Tu lui dis que c'est elle qui doit être responsable de ton bonheur, qu'elle ne te rend pas heureuse. Non ! Tu as le droit de ne pas te sentir heureux dans ta relation, tu as le droit de ne pas te sentir heureux où tu vis, il n'y a pas de souci. Mais ce n'est pas l'autre de porter cette responsabilité sur ses épaules. Le bonheur, c'est un choix qu'on fait chaque jour, c'est un travail patient et quotidien, c'est apprendre à se connaître, à s'aimer sans aucune condition. Et le jour où j'ai cessé d'attendre qu'on me donne ce que je ne me donnais pas à moi-même, je t'assure que j'ai ressenti une liberté. que je n'avais jamais connu. Alors oui, c'est un chemin qui est exigeant, mais profondément libérateur. Alors si tu attends que quelqu'un te rende heureux, heureuse, tu es dans la mauvaise direction. Recentre-toi sur toi-même. Voilà pour la leçon numéro 2. La leçon numéro 3. Eh bien, j'ai compris que l'échec, finalement, ce n'est pas un ennemi. Je crois que, finalement, la peur de l'échec, elle est universelle. Je pense qu'on l'a tout. On a... tous cette peur-là. On imagine la honte, le regard des autres, le sentiment d'être moins que rien. Mais si on regarde de plus près, ce n'est pas l'échec qui nous fait peur, c'est l'idée qu'on se fait de ce qu'il se dira sur nous. Or l'échec ne définit rien d'autre qu'une expérience. Cela fait partie du processus. C'est souvent après un échec que naît la plus grande force, la plus belle histoire et le plus beau projet. Et il n'y a rien de plus puissant. qu'une personne qui comprend qu'elle n'a plus rien à perdre, seulement tout à apprendre. Voilà pour la leçon numéro 3 que j'ai appris. La leçon numéro 4, tu es ce que tu te racontes. J'ai passé des années à me répéter que j'étais invisible, pas assez bien, pas à ma place. Je croyais que ces pensées étaient la réalité, mais elles n'étaient que des histoires que je me suis racontées. Le jour où j'ai commencé à changer mon dialogue intérieur, je te garantis que j'ai vu ma vie se transformer. Se dire qu'on est capable, se dire qu'on est digne d'être aimé, se dire qu'on est à la bonne place, ce ne sont pas des formules magiques, mais des graines que tu vas planter et qui vont finir par pousser. Donc il est temps pour toi de changer impérativement ton discours intérieur. Voilà pour la leçon numéro 4 que j'ai apprise. La leçon numéro 5. Pas de plan B. C'est vraiment une leçon qui a été pour moi très importante. Parce qu'on croit souvent qu'avoir un plan B, c'est être prudent. Mais pour moi, c'est une façon de ne pas s'engager totalement dans son plan A. Parce que tu imagines, si tu as un plan A, tu as un plan B, tu as un plan C, tu as un plan qui reprend toutes les lettres de l'alphabet. Ton cerveau, il ne comprend plus rien. Il sait, finalement, la seule chose qu'il sait, c'est qu'il n'a pas besoin de s'engager. à 100 000 % sur le plan A. Et ça, c'est vraiment une leçon qui a été pour moi très très importante. Parce que la détermination que tu vas mettre dans ton plan A ne sera absolument pas la même si tu as le plan A, le plan B, le plan qui reprend toutes les lettres de l'alphabet. Donc c'est pour ça. Si ton but, c'est de faire tel projet, tu testes toutes les façons possibles d'arriver à ce plan A. Tu échoues, tu recommences. Tu échoues, tu recommences différemment. encore et encore et tu verras qu'à force et ben ça va te rapporter quelque chose les fruits de ton labeur vont être là mais vraiment pas de plan b et ça honnêtement j'ai vraiment mis très longtemps à le comprendre c'est vraiment une leçon qui est très importante pour moi je l'espère et je l'espère aussi qu'elle résonne pour toi voilà pour la leçon numéro 5 la leçon numéro 6 la dépression peut-elle devenir un tournant ? Eh bien, je te dis que oui. Alors certes, je souhaite cette souffrance-là à personne. Mais personnellement, je dois être honnête, ma dépression a été la période la plus révélatrice de ma vie. Alors oui, je n'aurais pas pu faire cet épisode de podcast et parler de ça il y a encore un an ou deux, même peut-être huit mois en arrière. Mais aujourd'hui, avec le recul, mes accompagnements avec une mentor, avec une psychologue, j'ai compris à quel point J'avais besoin d'atterrir tout en bas parce que j'avais énormément de choses à comprendre sur moi. J'avais énormément de choses à guérir, j'avais des traumas à guérir. Et si je n'avais pas fait cette dépression, finalement peut-être qu'aujourd'hui ça serait encore pire. Vraiment, vraiment, vraiment. Donc la dépression pour moi, elle a été révélatrice. Parce que grâce à ça, j'ai pu me reconstruire autrement. J'ai pu pardonner à des personnes qui m'ont fait beaucoup de mal, pas pour leur pardonner à elles. mais pour me pardonner à moi et pour pouvoir avancer et guérir mes traumas aussi. Donc, avec plus de douceur et plus d'authenticité, embrasse tes périodes sombres, aussi difficiles soient-elles. Voilà pour la leçon numéro 6. La leçon numéro 7, la relation la plus précieuse est celle que tu vas entretenir avec toi-même. On parle sans cesse des relations aux autres. L'amour, l'amitié, la famille, mais la plus importante, c'est celle qu'on va entretenir avec nous-mêmes. Et j'ai découvert qu'on peut vivre entouré, mais pour autant se sentir seul. Et si on ne se connaît pas et si on ne s'accepte pas, ça va être encore pire. Donc cultiver cette relation avec soi-même m'a permis de poser des limites et de savoir ce que je voulais et ce que je ne voulais plus. Et de ne plus avoir peur de décevoir. parce que je me respectais enfin. Voilà pour la leçon numéro 7. Leçon numéro 8. Cessez de se mentir. Combien de fois j'ai dit « ça va » alors que j'avais envie, mais d'hurler, je vous assure, j'avais envie d'hurler, de pleurer. Combien de fois j'ai accepté des situations qui ne me convenaient pas, par peur du conflit ou par peur du jugement. Mais aujourd'hui, je choisis d'être vrai, même si c'est inconfortable, de dire non, de dire stop, de dire... ça ne va pas, ça ne me convient pas. Mais c'est se respecter et c'est ouvrir la porte à des relations plus saines et beaucoup plus sincères. Voilà pour la leçon numéro 8. La leçon numéro 9. Le succès, ce n'est pas un succès vide de sens. Pour être honnête, j'ai trop souvent pensé que le succès, c'était avoir un compte bancaire rempli, être connu, être célèbre, être une personnalité publique. C'était ça le succès pour moi, c'était ça la définition du succès pour moi. Et puis finalement, je me suis rendu compte, avec mon introspection, avec ma dépression, avec toute mon histoire, qu'en fait le succès, c'est quand tu réalises les choses que tu veux pour ta propre vie, quand tu comprends que tu as déjà une chance immense d'être sur cette terre. Bien entendu qu'avoir un compte bancaire bien rempli, être connu, être célèbre, tu peux le mériter, tu peux le vouloir. Mais il ne faut pas que ça soit un succès vide de sens. Il faut que tu comprennes pourquoi tu veux tout cela. Et moi, j'ai fini par comprendre que le succès, c'est de mener la vie que j'ai envie de mener. Qu'elle me plaise à moi et à moi seulement. Pas simplement par intérêt. Et ça, c'est une clé qui est vraiment, vraiment importante. Leçon numéro 10. Chaque expérience m'a guidée vers ma place. J'ai fait... Beaucoup de métiers. J'ai été... caissière, je ne l'ai pas fait longtemps, peut-être un mois, mais il fait partie de mon expérience. Femme de ménage, ambulancière, secrétaire, j'ai travaillé pour un grand groupe, pour un grand cabinet de notaires, j'étais agent d'accueil. J'ai travaillé en temps commercial, vraiment j'ai fait beaucoup de travail. Il y en a qui, tu vois, c'était vraiment des taffes alimentaires, il fallait que je travaille. Il y en a d'autres, dans tous les cas, ça a toujours été des travails alimentaires, mais il y en a qui étaient, on va dire, un peu mieux gradés que d'autres. Mais c'est une chaîne. Juste pour la métaphore, après je fermerai cette parenthèse, tu vas dans une clinique, dans un hôpital, tu as la femme de ménage, tu as l'aide-soignante, tu as l'infirmière, tu as le médecin. Si tu enlèves une seule personne à cette chaîne, c'est le bordel. Je ferme la parenthèse. J'espère que vous avez compris la métaphore. Et finalement, tous ces métiers que j'ai faits, chacun m'a montré ce que je voulais, mais surtout ce que je ne voulais plus. Je sais désormais que je veux être libre. écrire, raconter des histoires, inspirer. Et je crois profondément que chaque étape, même la plus ingrate, a été un passage obligé pour moi, pour avoir cette certitude, pour me comprendre, pour me connaître, pour commencer en bas et pour arriver en haut. Et pour après, tu vois, continuer, comme les battements du cœur. Parce que si c'est linéaire, c'est que tu n'es plus de ce monde. Donc il faut que ça soit, tu vois, un petit peu les montagnes russes. Et aujourd'hui, je te garantis que j'ai la certitude de savoir. enfin ce que je veux faire de ma vie. Toutes mes expériences passées ont eu un but bien précis. Aussi bien mes échecs que mes victoires, aussi bien mes doutes que tout autre chose. Tout ce que j'ai pu vivre et ressentir, aujourd'hui j'ai compris enfin où est ma place en tant que femme, en tant qu'épouse et en tant que maman. Et j'ai surtout compris que ma place professionnelle était justement dans la relation à soi. à travers mon podcast, mes livres et mes futures conférences. Je ne me considère pas du tout comme une coach. Alors, moi j'adore les coachs de vie, tous les coachs, moi j'aime bien. C'est juste que moi personnellement, faire du one-to-one, je ne me sens pas. J'ai eu affaire à une mentor et je vous assure que ma mentor, elle fait un travail remarquable, un travail vraiment formidable. Mais je n'aurais pas la patience de faire ça. Et surtout, je suis quelqu'un d'hypersensible. Donc, je ne me sens pas prête à coacher one to one. J'ai voulu me lancer dans... Si vous entendez peut-être d'anciens épisodes à moi, je vais vous dire, je suis coach wellness. C'est des choses que je pensais qui étaient faites pour moi. Peut-être que c'est fait pour moi. Mais à l'instant, en tout cas, où là, je fais cet épisode de podcast, pour moi, ce qui me fait sens, c'est mes épisodes de podcast. Vous donner de la valeur gratuitement. Faire mes livres. J'ai écrit un livre. Continuer d'écrire. Vous parler de l'histoire de Malou prochainement et faire mes futures conférences. Pourquoi pas j'organiserai des ateliers, des choses comme ça, mais en tout cas pas de coaching one to one. Et quand tu comprends que ta place, elle est enfin là, tu as réussi à transformer ta propre relation avec toi-même, c'est juste formidable. Moi ce que je veux, c'est vous aider à mieux vous comprendre et à transformer votre propre relation à vous-même. Je te motive à créer ta propre discipline. Voilà pour la leçon numéro 10. Ces 10 leçons sont mes propres vérités. Elles n'ont pas pour vocation à être universelles, à parler à tout le monde, à inspirer tout le monde. Non, elles sont les miennes. Et si ça résonne pour toi, si ça peut t'inspirer à faire un pas vers ta propre vérité, alors cet épisode, en plus d'être le jour de mon anniversaire, il aura eu un réel sens. Je te remercie de m'avoir écouté, on se retrouve très très bientôt.

Description

Dans cet épisode 23 du Fauteuil Rose, j'ai officiellement 37 en ce 1er juillet et je vous partage 10 clés essentielles que j’ai apprises au fil des années.

Des clés précieuses qui m’ont permis de mieux avancer avec moi-même et d’améliorer ma relation à moi-même.

Cet épisode marque enfin le lancement officiel de la saison 2.


🎙️Le Fauteuil Rose, c’est un podcast qui ne promet pas de réponses toutes faites, mais qui vous accompagne, sincèrement, là où vous en êtes.

Un espace pour ressentir, réfléchir, traverser. Un lieu où la parole est libre, vraie, sans filtre.


On y parle de reconstruction, de sens, de lumière après l’ombre.

Aujourd’hui, le podcast entre dans une nouvelle phase : une série narrative autour de Malou, une histoire que j’ai écrite, refusée par plusieurs maisons d’édition, mais que je choisis de faire vivre autrement — avec ma voix, et avec vous.


Deux fois par semaine, je vous retrouve pour partager mes mots, mes doutes, mes élans.

Ici, on rit, on pleure, on pense, on se relève. Ensemble.


Et si mes mots vous parlent, vous pourrez aussi me lire : mon livre Ose Briller a été publié aux Éditions Les 3 Colonnes.


🪑🩷 Le Fauteuil Rose, c’est un moment à soi, un espace pour se rencontrer autrement.


Un ebook exclusif vous attend, entièrement gratuit. j'y partage mon concept le Déclic du 1%

Ce petit pas qui peut tout débloquer.

Envie de le découvrir ? RDV ICI : https://vanessama.gumroad.com/l/objgys


Pour partager ton histoire, contacte-moi : vanessaamacontact@gmail.com



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue à toi dans cet épisode un peu spécial. Pourquoi spécial ? Parce qu'aujourd'hui on est le 1er juillet et j'ai officiellement 37 ans. Et du coup, j'ai ressenti l'envie de poser ici toutes les leçons que j'ai apprises. Alors souvent dans la douleur, mais vraiment parfois aussi dans la joie. Mais tu vois, toujours avec une quête de sens. Alors peut-être que toi qui écoute, tu te reconnaîtras dans ces mots. Maintenant ! il est temps de passer à la leçon numéro 1. Tu ne peux pas sauver tout le monde. J'ai longtemps eu cette conviction que c'était mon rôle d'aider, de porter et de réparer les autres. Je pensais que ma valeur passait obligatoirement par là. Être indispensable, être celle qui comprend, qui sauve. Mais je me suis heurtée à une réalité beaucoup plus complexe. Certaines personnes n'ont pas envie d'être aidées, pas envie de changer. Et ce n'est pas un échec de ta part de ne pas réussir à les aider. C'est simplement leur histoire. Et quand tu comprends ça, quand tu comprends que tu peux tendre la main, mais tu ne peux pas forcer l'autre à la saisir. Alors aujourd'hui, j'accepte que parfois, la meilleure façon d'aider, c'est de respecter la distance et de ne plus confondre l'amour et le besoin d'exister à travers l'autre. Et surtout, j'ai compris que je devais d'abord m'aider et me sauver moi avant d'aider qui que ce soit. Cela vaut pour toi aussi qui écoute. La leçon numéro 2. Personne n'est responsable de ton bonheur. J'ai longtemps attendu que les autres remplissent mes manques. Je croyais que c'était le rôle, par exemple de mon mari, de me rendre heureuse, de combler ce vide intérieur. Puis j'ai compris que personne ne peut porter ce poids-là à ma place. Et t'imagines le poids que tu mets sur cette personne-là ? Tu lui dis que c'est elle qui doit être responsable de ton bonheur, qu'elle ne te rend pas heureuse. Non ! Tu as le droit de ne pas te sentir heureux dans ta relation, tu as le droit de ne pas te sentir heureux où tu vis, il n'y a pas de souci. Mais ce n'est pas l'autre de porter cette responsabilité sur ses épaules. Le bonheur, c'est un choix qu'on fait chaque jour, c'est un travail patient et quotidien, c'est apprendre à se connaître, à s'aimer sans aucune condition. Et le jour où j'ai cessé d'attendre qu'on me donne ce que je ne me donnais pas à moi-même, je t'assure que j'ai ressenti une liberté. que je n'avais jamais connu. Alors oui, c'est un chemin qui est exigeant, mais profondément libérateur. Alors si tu attends que quelqu'un te rende heureux, heureuse, tu es dans la mauvaise direction. Recentre-toi sur toi-même. Voilà pour la leçon numéro 2. La leçon numéro 3. Eh bien, j'ai compris que l'échec, finalement, ce n'est pas un ennemi. Je crois que, finalement, la peur de l'échec, elle est universelle. Je pense qu'on l'a tout. On a... tous cette peur-là. On imagine la honte, le regard des autres, le sentiment d'être moins que rien. Mais si on regarde de plus près, ce n'est pas l'échec qui nous fait peur, c'est l'idée qu'on se fait de ce qu'il se dira sur nous. Or l'échec ne définit rien d'autre qu'une expérience. Cela fait partie du processus. C'est souvent après un échec que naît la plus grande force, la plus belle histoire et le plus beau projet. Et il n'y a rien de plus puissant. qu'une personne qui comprend qu'elle n'a plus rien à perdre, seulement tout à apprendre. Voilà pour la leçon numéro 3 que j'ai appris. La leçon numéro 4, tu es ce que tu te racontes. J'ai passé des années à me répéter que j'étais invisible, pas assez bien, pas à ma place. Je croyais que ces pensées étaient la réalité, mais elles n'étaient que des histoires que je me suis racontées. Le jour où j'ai commencé à changer mon dialogue intérieur, je te garantis que j'ai vu ma vie se transformer. Se dire qu'on est capable, se dire qu'on est digne d'être aimé, se dire qu'on est à la bonne place, ce ne sont pas des formules magiques, mais des graines que tu vas planter et qui vont finir par pousser. Donc il est temps pour toi de changer impérativement ton discours intérieur. Voilà pour la leçon numéro 4 que j'ai apprise. La leçon numéro 5. Pas de plan B. C'est vraiment une leçon qui a été pour moi très importante. Parce qu'on croit souvent qu'avoir un plan B, c'est être prudent. Mais pour moi, c'est une façon de ne pas s'engager totalement dans son plan A. Parce que tu imagines, si tu as un plan A, tu as un plan B, tu as un plan C, tu as un plan qui reprend toutes les lettres de l'alphabet. Ton cerveau, il ne comprend plus rien. Il sait, finalement, la seule chose qu'il sait, c'est qu'il n'a pas besoin de s'engager. à 100 000 % sur le plan A. Et ça, c'est vraiment une leçon qui a été pour moi très très importante. Parce que la détermination que tu vas mettre dans ton plan A ne sera absolument pas la même si tu as le plan A, le plan B, le plan qui reprend toutes les lettres de l'alphabet. Donc c'est pour ça. Si ton but, c'est de faire tel projet, tu testes toutes les façons possibles d'arriver à ce plan A. Tu échoues, tu recommences. Tu échoues, tu recommences différemment. encore et encore et tu verras qu'à force et ben ça va te rapporter quelque chose les fruits de ton labeur vont être là mais vraiment pas de plan b et ça honnêtement j'ai vraiment mis très longtemps à le comprendre c'est vraiment une leçon qui est très importante pour moi je l'espère et je l'espère aussi qu'elle résonne pour toi voilà pour la leçon numéro 5 la leçon numéro 6 la dépression peut-elle devenir un tournant ? Eh bien, je te dis que oui. Alors certes, je souhaite cette souffrance-là à personne. Mais personnellement, je dois être honnête, ma dépression a été la période la plus révélatrice de ma vie. Alors oui, je n'aurais pas pu faire cet épisode de podcast et parler de ça il y a encore un an ou deux, même peut-être huit mois en arrière. Mais aujourd'hui, avec le recul, mes accompagnements avec une mentor, avec une psychologue, j'ai compris à quel point J'avais besoin d'atterrir tout en bas parce que j'avais énormément de choses à comprendre sur moi. J'avais énormément de choses à guérir, j'avais des traumas à guérir. Et si je n'avais pas fait cette dépression, finalement peut-être qu'aujourd'hui ça serait encore pire. Vraiment, vraiment, vraiment. Donc la dépression pour moi, elle a été révélatrice. Parce que grâce à ça, j'ai pu me reconstruire autrement. J'ai pu pardonner à des personnes qui m'ont fait beaucoup de mal, pas pour leur pardonner à elles. mais pour me pardonner à moi et pour pouvoir avancer et guérir mes traumas aussi. Donc, avec plus de douceur et plus d'authenticité, embrasse tes périodes sombres, aussi difficiles soient-elles. Voilà pour la leçon numéro 6. La leçon numéro 7, la relation la plus précieuse est celle que tu vas entretenir avec toi-même. On parle sans cesse des relations aux autres. L'amour, l'amitié, la famille, mais la plus importante, c'est celle qu'on va entretenir avec nous-mêmes. Et j'ai découvert qu'on peut vivre entouré, mais pour autant se sentir seul. Et si on ne se connaît pas et si on ne s'accepte pas, ça va être encore pire. Donc cultiver cette relation avec soi-même m'a permis de poser des limites et de savoir ce que je voulais et ce que je ne voulais plus. Et de ne plus avoir peur de décevoir. parce que je me respectais enfin. Voilà pour la leçon numéro 7. Leçon numéro 8. Cessez de se mentir. Combien de fois j'ai dit « ça va » alors que j'avais envie, mais d'hurler, je vous assure, j'avais envie d'hurler, de pleurer. Combien de fois j'ai accepté des situations qui ne me convenaient pas, par peur du conflit ou par peur du jugement. Mais aujourd'hui, je choisis d'être vrai, même si c'est inconfortable, de dire non, de dire stop, de dire... ça ne va pas, ça ne me convient pas. Mais c'est se respecter et c'est ouvrir la porte à des relations plus saines et beaucoup plus sincères. Voilà pour la leçon numéro 8. La leçon numéro 9. Le succès, ce n'est pas un succès vide de sens. Pour être honnête, j'ai trop souvent pensé que le succès, c'était avoir un compte bancaire rempli, être connu, être célèbre, être une personnalité publique. C'était ça le succès pour moi, c'était ça la définition du succès pour moi. Et puis finalement, je me suis rendu compte, avec mon introspection, avec ma dépression, avec toute mon histoire, qu'en fait le succès, c'est quand tu réalises les choses que tu veux pour ta propre vie, quand tu comprends que tu as déjà une chance immense d'être sur cette terre. Bien entendu qu'avoir un compte bancaire bien rempli, être connu, être célèbre, tu peux le mériter, tu peux le vouloir. Mais il ne faut pas que ça soit un succès vide de sens. Il faut que tu comprennes pourquoi tu veux tout cela. Et moi, j'ai fini par comprendre que le succès, c'est de mener la vie que j'ai envie de mener. Qu'elle me plaise à moi et à moi seulement. Pas simplement par intérêt. Et ça, c'est une clé qui est vraiment, vraiment importante. Leçon numéro 10. Chaque expérience m'a guidée vers ma place. J'ai fait... Beaucoup de métiers. J'ai été... caissière, je ne l'ai pas fait longtemps, peut-être un mois, mais il fait partie de mon expérience. Femme de ménage, ambulancière, secrétaire, j'ai travaillé pour un grand groupe, pour un grand cabinet de notaires, j'étais agent d'accueil. J'ai travaillé en temps commercial, vraiment j'ai fait beaucoup de travail. Il y en a qui, tu vois, c'était vraiment des taffes alimentaires, il fallait que je travaille. Il y en a d'autres, dans tous les cas, ça a toujours été des travails alimentaires, mais il y en a qui étaient, on va dire, un peu mieux gradés que d'autres. Mais c'est une chaîne. Juste pour la métaphore, après je fermerai cette parenthèse, tu vas dans une clinique, dans un hôpital, tu as la femme de ménage, tu as l'aide-soignante, tu as l'infirmière, tu as le médecin. Si tu enlèves une seule personne à cette chaîne, c'est le bordel. Je ferme la parenthèse. J'espère que vous avez compris la métaphore. Et finalement, tous ces métiers que j'ai faits, chacun m'a montré ce que je voulais, mais surtout ce que je ne voulais plus. Je sais désormais que je veux être libre. écrire, raconter des histoires, inspirer. Et je crois profondément que chaque étape, même la plus ingrate, a été un passage obligé pour moi, pour avoir cette certitude, pour me comprendre, pour me connaître, pour commencer en bas et pour arriver en haut. Et pour après, tu vois, continuer, comme les battements du cœur. Parce que si c'est linéaire, c'est que tu n'es plus de ce monde. Donc il faut que ça soit, tu vois, un petit peu les montagnes russes. Et aujourd'hui, je te garantis que j'ai la certitude de savoir. enfin ce que je veux faire de ma vie. Toutes mes expériences passées ont eu un but bien précis. Aussi bien mes échecs que mes victoires, aussi bien mes doutes que tout autre chose. Tout ce que j'ai pu vivre et ressentir, aujourd'hui j'ai compris enfin où est ma place en tant que femme, en tant qu'épouse et en tant que maman. Et j'ai surtout compris que ma place professionnelle était justement dans la relation à soi. à travers mon podcast, mes livres et mes futures conférences. Je ne me considère pas du tout comme une coach. Alors, moi j'adore les coachs de vie, tous les coachs, moi j'aime bien. C'est juste que moi personnellement, faire du one-to-one, je ne me sens pas. J'ai eu affaire à une mentor et je vous assure que ma mentor, elle fait un travail remarquable, un travail vraiment formidable. Mais je n'aurais pas la patience de faire ça. Et surtout, je suis quelqu'un d'hypersensible. Donc, je ne me sens pas prête à coacher one to one. J'ai voulu me lancer dans... Si vous entendez peut-être d'anciens épisodes à moi, je vais vous dire, je suis coach wellness. C'est des choses que je pensais qui étaient faites pour moi. Peut-être que c'est fait pour moi. Mais à l'instant, en tout cas, où là, je fais cet épisode de podcast, pour moi, ce qui me fait sens, c'est mes épisodes de podcast. Vous donner de la valeur gratuitement. Faire mes livres. J'ai écrit un livre. Continuer d'écrire. Vous parler de l'histoire de Malou prochainement et faire mes futures conférences. Pourquoi pas j'organiserai des ateliers, des choses comme ça, mais en tout cas pas de coaching one to one. Et quand tu comprends que ta place, elle est enfin là, tu as réussi à transformer ta propre relation avec toi-même, c'est juste formidable. Moi ce que je veux, c'est vous aider à mieux vous comprendre et à transformer votre propre relation à vous-même. Je te motive à créer ta propre discipline. Voilà pour la leçon numéro 10. Ces 10 leçons sont mes propres vérités. Elles n'ont pas pour vocation à être universelles, à parler à tout le monde, à inspirer tout le monde. Non, elles sont les miennes. Et si ça résonne pour toi, si ça peut t'inspirer à faire un pas vers ta propre vérité, alors cet épisode, en plus d'être le jour de mon anniversaire, il aura eu un réel sens. Je te remercie de m'avoir écouté, on se retrouve très très bientôt.

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