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Le Grand Sourire

Hors-Série Le Grand Sourire - La communication média dans le dentaire - Live au Dental Forum 2024

Hors-Série Le Grand Sourire - La communication média dans le dentaire - Live au Dental Forum 2024

32min |29/04/2024
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Transcription

  • Speaker #0

    Le Grand Sourire,

  • Speaker #1

    une émission présentée par Geoffroy Regouby.

  • Speaker #2

    Bienvenue à tous et à toutes dans cette nouvelle émission du Grand Sourire sur Modulus Radio en direct du Dental Forum 2024. Nous sommes au cœur du Parc Floral de Paris, parc floral inauguré en 1969 pour accueillir les Floralises Internationales de Paris. Ce jardin botanique est aménagé sur l'ancien terrain militaire de l'époque napoléonienne, ça date quand même. L'influence des Jeux Olympiques de Tokyo en 1964, 60 ans pile poil, est perceptible dans l'architecture des toitures, des pavillons et des allées couvertes. A la fois plus grand parc horticole de Paris et plus grand terrain de jeu de la capitale, le Parc Floral de Paris c'est quand même. 35 hectares, 7000 variétés de végétaux et 1,5 million de visiteurs par an. On est bien quand même, non ? Pas mal. C'est quand même pas mal. Et c'est dans ce merveilleux lieu que nous accueillons aujourd'hui deux invités dont le talent n'a des calques que leur passion pour leur profession respective. Vincent Malenfer, fondateur du laboratoire Malenfer à Lyon. Salut Vincent. Bonjour. Merci d'être avec nous. Et également Christian Dobus, directeur général France de la société Henri Schein. Bonjour Christian.

  • Speaker #0

    Bonjour Geoffroy.

  • Speaker #2

    Christian, directeur général France. C'est tout nouveau, parce que moi, je vous ai connu quand même, directeur commercial et marketing.

  • Speaker #0

    Ce n'est pas si nouveau que ça, ça ne peut pas y aller à 15 jours.

  • Speaker #2

    Ah, 15 jours. Eh bien, toutes nos félicitations. Bravo, je pense que ça peut s'applaudir quand même. Merci Bravo. On est ravis de vous avoir, Christian, pour cette émission sur la communication. On va parler communication. Et je serai pour ça accompagné de l'expert français, que dis-je, mondial des médias du dentaire, membre de la direction du groupe Parésia, le groupe média essentiellement. dentaire avec des titres tels que Solutions Camille Dentaire, Orthophile, Dentoscope qu'on peut voir aujourd'hui au Dental Forum et puis le site internet Dentaire365 et professionnel de la ComSanté également j'ai noté Mathieu

  • Speaker #1

    Lemoyne Bonjour Geoffroy, bonjour à tous

  • Speaker #2

    Bonjour Mathieu, alors parle-nous un petit peu de Parésia

  • Speaker #1

    Merci à tous d'assister à cette fabuleuse émission bien entourée Parésia, pour ceux qui ne connaissent pas, c'est un groupe de presse historique qui a bientôt 30 ans d'existence qui est Connu en France notamment par Dantoscope que vous pouvez retrouver dans les sacoches qui a édité spécialement pour le Dental Format Nord série.

  • Speaker #2

    Mais Dantoscope, c'est un magazine ? Exactement. C'est un gratuit ?

  • Speaker #1

    Un gratuit, exactement.

  • Speaker #2

    Et sur abonnement ?

  • Speaker #1

    Non, c'est sur abonnement mais il est gratuit.

  • Speaker #2

    Il n'y a pas moins cher que gratuit, c'est parfait. Pourquoi tout le monde n'est pas abonné ?

  • Speaker #1

    Je me pose toujours la question.

  • Speaker #2

    Et tu as aussi le site internet dentaire365.

  • Speaker #1

    Exactement.

  • Speaker #2

    On retrouve quoi sur ce site ?

  • Speaker #1

    Sur ce site, on retrouve toute l'actualité clinique de la profession, que ce soit de la prothèse dentaire, que ce soit des chirurgiens dentistes, mais également des orthodontistes. Donc en fait, on englobe totalement toute la profession de la dentisterie sur un site www.dentaire365.fr.

  • Speaker #2

    Et au-delà de faire partie du comité de direction de cette très belle entreprise média, en quoi tu es professionnel de la ComSanté, toi Mathieu ?

  • Speaker #1

    Sacrée question. Non, sacrée question. Alors en fait, tout simplement, parce qu'aujourd'hui, on voit un mouvement drastique de la communication santé, que ce soit de la part des prothésistes, que ce soit sur les grandes entreprises, comme on le citait tout à l'heure Henri Schein, mais également des laboratoires de prothèses à taille humaine, comme représente aujourd'hui très justement Vincent. Donc, on a un même objectif, c'est d'apporter un soin in fine au patient, mais en passant par les chirurgiens dentistes. Donc, il y a des mécaniques en communication marketing qu'il faut faire, mais qui se différencient par la structure et aussi par ce qu'on peut retrouver, les réseaux sociaux, les campagnes du mailing, la data. Oui,

  • Speaker #2

    c'est ça, on parle très large. Exactement. Du réseau social jusqu'à la com, même pourquoi pas télé d'ailleurs. Exactement. Toi, en tant que professionnel de la com santé, tu peux apporter une discussion sur l'ensemble de ce domaine. Parfaitement. Alors, nous sommes ensemble pour 30 à 40 minutes à cette occasion pour une émission toute particulière, puisqu'il s'agit d'un épisode hors série du Grand Sourire. dont le thème, vous l'avez compris, est la communication médiatique print et digitale pour les laboratoires de prothèses dentaires et pour les industriels du secteur. Comment faire et pourquoi c'est important ? Alors, je vais commencer par une première question pour vous, Vincent. On vous a vu récemment, si vous dites je le connais, je connais sa tête c'est parce qu'en fait, vous l'avez vu à la télé, car de son laboratoire lyonnais que vous avez depuis combien de temps, le laboratoire Malenfer ?

  • Speaker #3

    Oui. Presque 20 ans, oui, effectivement.

  • Speaker #2

    Mais vous ne les faites pas, Vincent ?

  • Speaker #3

    C'est gentil, merci.

  • Speaker #2

    Magnifique émission, le magazine de la santé. Comment vous vous êtes retrouvé à un moment donné à faire ces reportages, le magazine de la santé ? Est-ce que c'est quelque chose qui est payant ? Alors payant financièrement, est-ce que c'est payant dans le sens où ça vous rapporte des choses ? Comment vous vous êtes retrouvé, vous, à Lyon, dans ce magazine de la santé vu par des millions de personnes à la télé ?

  • Speaker #3

    C'est très, très simple. Tout simplement, j'ai été contacté par Laurent Munro, président de l'UNPPD, qui m'a proposé cet exercice, un petit peu délicat, puisqu'on ne maîtrise pas cette communication. C'est vraiment un journaliste qui vient vous rencontrer, qui vient filmer pendant... toute la journée. Et vous vous retrouvez avec une petite séquence de 2 minutes 30. Alors vous avez beau...

  • Speaker #2

    Une journée d'enregistrement.

  • Speaker #3

    Exactement. Extrêmement, forcément, pour mes collaboratrices aussi qui ont été filmées pendant presque une heure et ne pas avoir d'image à la télé, c'était un petit peu dur. On ne maîtrise pas. Effectivement, on ne maîtrise pas du tout la communication, mais on peut quand même orienter le journaliste et lui expliquer toutes les belles valeurs de notre métier.

  • Speaker #2

    Est-ce que c'était intéressant ? Qu'est-ce que vous avez senti à la suite de ce reportage ? Est-ce que c'était intéressant à Lyon, dans votre laboratoire, d'avoir fait cette émission ?

  • Speaker #3

    Déjà, c'est une expérience. Toute expérience est intéressante.

  • Speaker #2

    Ensuite... Il y a eu un retour ? Il y a eu des contacts ? Des gens qui vous ont appelés ?

  • Speaker #3

    Forcément, oui.

  • Speaker #2

    Des clients qui vous ont dit on vous a vu,

  • Speaker #3

    c'est super Bien sûr, bien sûr. Les retours sont considérables quand on pense qu'il y a... à peu près 450 000 téléspectateurs qui ont vu cette émission.

  • Speaker #2

    Plus les replays.

  • Speaker #3

    Exactement, les replays, sans parler de la communication ensuite sur les réseaux sociaux. On a eu beaucoup de patients qu'on a appelés le lendemain au laboratoire. On a voulu savoir où est-ce qu'on pourrait trouver une prothèse de cette qualité. Exactement, où est-ce qu'on pourrait trouver des artisans. Donc, c'est difficile de conseiller, effectivement. On peut dire qu'il y a des artisans de partout en France. qui sont capables de faire ce qu'on fait aujourd'hui.

  • Speaker #2

    Alors, ça s'apparente aux relations presse que fait l'UNPPD. Et donc, effectivement, UNPPD et relations presse, les rédactions appellent l'UNPPD par l'intermédiaire des agences de l'ARP. Et l'UNPPD, à un moment donné, peut dire, oui, à Lyon, on a quelqu'un, c'est un tel, un tel, parce qu'en fonction des cibles. Christian, les relations presse, donc plus logique pour un groupe de la taille d'Henri Schein, j'imagine que vous avez une démarche de relations presse ?

  • Speaker #0

    Oui, nous avons une démarche. Alors de communication plus globalement et pas que et pas spécialement en relation presse. Oui, de communication bien sûr pour être en contact avec nos clients. Mais au-delà de ça, l'ensemble des acteurs qui nous entourent. On est aujourd'hui en plus sur un marché qui bouge beaucoup. Donc c'est important de garder ce fameux contact qui va dans les deux sens d'ailleurs. En tout cas, nous, on essaye de communiquer au maximum.

  • Speaker #2

    Votre cible, Christian, c'est les prothèses dentaires, ça ne va pas être le grand public, donc c'est une communication spécialisée ?

  • Speaker #0

    Alors non, ça ne va pas être le grand public, effectivement. En premier lieu, nos clients, donc prothèses dentaires, nos dentistes, assistantes dentaires, mais au-delà de ça, les médias, les centres de formation et tous les acteurs qui œuvrent avec nous, finalement, pour le développement du marché. et finalement de la filière de soins, parce qu'il ne faut jamais oublier qu'il y a quand même un patient...

  • Speaker #2

    Exactement, un patient au bout de la chaîne. Mathieu, quand on a comme ça des profils complètement différents, vous l'avez dit tout à l'heure, un prothésiste dentaire qui est à un moment donné une petite structure, avec une énorme structure qui est un riche châne, comment à un moment donné la communication peut être pertinente ? Qu'est-ce qu'on peut proposer par l'intermédiaire d'un groupe comme Parisia avec des supports presse, avec des supports internet ? Et plus globalement, en tant qu'expert de la comsanté, qu'est-ce qu'on peut proposer comme type de communication ?

  • Speaker #1

    Ce qui est sûr déjà, c'est que la communication qui a été effectuée pour l'un et pour l'autre ne peut pas être identique. Tout simplement, si on parle de presse, justement, la presse, on le sait, c'est un cours relativement élevé parce que ça reste de la presse.

  • Speaker #0

    C'est vrai.

  • Speaker #1

    Voilà. Et pareil.

  • Speaker #2

    On sent l'expérience. Mais quand vous dites que c'est élevé, c'est-à-dire que là, on est sur de la pub classique, la page de pub.

  • Speaker #1

    Exactement. C'est-à-dire qu'en fait, on est en pleine transition aussi de communication. C'est-à-dire qu'aujourd'hui, on a des dentistes. comme des prothésistes qui sont dans une tranche d'âge qui consomment encore de la publicité papier. Ce qui fait qu'aujourd'hui, pour qu'on existe, pour qu'on ait tiré à 27 000 exemplaires, parce qu'on a encore cette audience qui nous suit et on a aussi des industriels qui nous suivent avec. Donc, ce que je veux dire, c'est que...

  • Speaker #2

    Donc, le papier n'est pas mort, en fait ?

  • Speaker #1

    Non, loin de là. Ça se voit tout simplement par les chiffres. Mais au-delà de ça, c'est les retours qu'on a de nos lecteurs. Et ce que je veux dire, c'est que si, à Vincent, je lui proposerais une communication... presse, ça serait une mauvaise solution en communication parce que ça ne serait ni adapté à sa structure. Oui,

  • Speaker #2

    on n'est plus sur de l'opportunité à un moment donné, comme ça a été fait, mais pas sur une campagne à faire pour un laboratoire comme le laboratoire dans l'enfer.

  • Speaker #1

    C'est ça, les objectifs d'un laboratoire de prothèse local ou départemental ne vont bien évidemment pas être celles d'Henry Schein France, par exemple. Donc c'est pour ça qu'on va adapter une communication. Après, rien n'empêche de faire aussi travailler avec les laboratoires à taille humaine pour effectivement répondre un petit peu à leurs messages, leurs... leur zone de chalandise finalement. Donc il y a aussi un cumul print, print, digital, qui nous aujourd'hui, auprès d'Henri Chahine France, ou comme autre laboratoire professionnel. d'industrie dentaire, à justement faire un cumul print et digital pour justement...

  • Speaker #2

    Sorgue de package. Exactement. Mais alors du coup, Henri Schein, quand vous avez un groupe comme Parisien en face de vous, qu'est-ce qui est intéressant pour vous en termes de communication ? Comment vous utilisez à un moment donné cette hybridation des médias, que ce soit à la fois l'hybridation du papier où on peut intervenir en rédactionnel, en communicationnel pur avec la pub, et après derrière aussi le média digital, le

  • Speaker #0

    Le côté hybride, évidemment, nous intéresse, parce que je suis tout à fait d'accord, Mathieu, qu'aujourd'hui, le papier reste vivant. Je crois que c'est le bon qualificatif. Et puis, à côté de ça, il y a tout le digital qui se développe et qui le complète. Après, ce qui va nous intéresser particulièrement avec Parésia, c'est justement de pouvoir s'intégrer dans un cadre rédactionnel. Parce que faire de la pub pour de la pub, très bien. mais si ça donne du sens, si ça complète, si ça s'associe au mieux, je dirais aux propos rédactionnels, qui est quand même l'objectif, le cœur de métier, c'est beaucoup mieux. Alors on peut y contribuer en partageant de l'information, et on peut y contribuer aussi tout en faisant de la publicité, parce qu'il y a quand même un côté évidemment commercial pour nous, mais qui soit directement lié avec le sujet traité, la thématique.

  • Speaker #2

    et ça je dois dire qu'avec Parésia il y a toujours cette recherche justement de six un peu de brain content d'apport de certitude qui peut être en termes de com très fort parce que c'est pas juste voilà regarder qui on est acheter notre produit c'est on est un acteur et en tant qu'acteur on vous apporte une information on est là dessus c'est ça Vincent par rapport à justement cette hybridation digitale donc on a compris que la partie papier avait un coût qui était plus difficile d'accès par rapport à un laboratoire de qui n'est pas un laboratoire national, parce que vous travaillez à Lyon, dans une région définie, etc. Mais le site Internet, j'imagine, Mathieu, peut-être que je me trompe, que Vincent aurait intérêt ou pas à communiquer et que ça serait peut-être moins cher, plus approprié, peut-être ciblé. Est-ce que vous avez la possibilité d'avoir à un moment donné une communication qui est faite sur Internet uniquement dans une région donnée ? C'est des choses qui se font ou pas ?

  • Speaker #1

    Oui, en fait, effectivement, le digital serait déjà beaucoup plus approprié à une communication un petit peu plus restreinte. Par contre, il y a la partie print, presse, qui existent, mais il ne faut pas oublier aussi la partie, ce qu'on appelle le service. C'est-à-dire, comme toute société, on ne passe pas uniquement par la presse, parce qu'en fait... Là, ce qui est important de savoir, c'est qu'en fait, il ne faut pas considérer la presse comme 90% d'un budget. On sait très bien que la presse aujourd'hui, par rapport à avant, ce n'est pas un canal d'acquisition où on attend immédiatement un retour sur investissement.

  • Speaker #2

    D'ailleurs, le ROI, le fameux ROI, l'élément qui nous permet de savoir si c'est rentable ou pas dans la presse, il reste quand même un peu flou,

  • Speaker #1

    non ? C'est exactement l'une des objections commerciales majeures qu'on a aujourd'hui. Et on leur dit tout simplement, aujourd'hui, faire une communication print n'a aucune valeur. c'est comme si demain on nous donne 4000 euros, on dit vous perdez 4000 euros. C'est-à-dire qu'il faut avoir une récurrence sur le print, à l'instar du digital ou sur une campagne d'emailing par exemple, une seule campagne, un seul envoi peut justement générer, ne serait-ce que des contacts. Et on l'a vu à l'ADF, on a des sociétés d'usinage qui nous ont fait confiance, ils ont fait, ils ont testé avec nous, et les retours ont été, on a calculé, après bien que ça reste bien spécifique, on a des... sur des retours sur investissement de 11 fois 11 fois 12. Donc, c'est relativement important.

  • Speaker #2

    Vincent, vous aviez fait aussi une opération, un test avec le magazine Capital à un moment donné. Je me souviens, il y a deux, trois ans, sur un public rédactionnel.

  • Speaker #3

    Exactement, oui, c'est du public rédactionnel. Alors après, je pense que pour la communication, il y a plusieurs éléments. La cible, l'objectif, le message et quel média choisir. En l'occurrence, je pense qu'on s'était trompé de média. On s'était trompé de cible. Enfin bref, on testait.

  • Speaker #2

    C'était pas à conclure.

  • Speaker #3

    Exactement, on testait la communication. Et au fil du temps, on a appris finalement par nous-mêmes ce qui est difficile pour les prothésistes. C'est pas leur métier, c'est comme le management. Il y a énormément de choses que finalement le prothésiste apprend par lui-même. Et avoir un support d'une agence de communication, c'est aussi bénéficier de cette expérience et éviter certains écueils. Capital, c'était une erreur.

  • Speaker #2

    C'était une expérience, mais intéressante du coup.

  • Speaker #3

    Une expérience, comme tu le dis, effectivement.

  • Speaker #2

    Christian, comment vous organisez en termes de communication sur la dualité qui existe aujourd'hui en termes de marques avec Zerlux, qui est la marque d'Henry Schein. On communique sur quoi ? Plus sur Zerlux, plus sur Henry Schein, la marque mère, c'est quoi ?

  • Speaker #0

    On a plein de sujets, effectivement. Le fond, en tout cas l'objectif de communication pour nous, c'est de... au-delà de partager de l'information, de la relayer et contribuer finalement à l'information tout simplement du marché et des clients, nous ce qui va nous intéresser c'est de mettre en avant notre différence. et je dirais même nos différences. Et ces différences-là, elles portent sur l'ensemble des services qu'on peut apporter autour d'un produit ou d'un prix. Et c'est vrai que... Sur ce marché d'Enterme et comme tous les autres marchés, il est difficile de faire la part des choses entre des acteurs qui sont sur le web et qui sont des dispenteurs et qui offrent un prix, et ils ont leur raison d'être, et puis d'autres qui cherchent à apporter beaucoup plus parce que les clients ont besoin de plus, de conseils, d'accompagnement, de support technique. de financement. Voilà, c'est toute la palette de services que l'on apporte.

  • Speaker #2

    Vous communiquez beaucoup avec des cas cliniques aussi.

  • Speaker #0

    Effectivement, ça peut être des cas cliniques parce que, encore une fois, le patient est toujours au bout de la chaîne. Mais autour de ça, c'est aussi le besoin propre du client dentiste ou prothésiste sur ce que l'on peut lui apporter, encore une fois, en plus. Et donc, on va construire notre plan média, évidemment, et comme disait Vincent, les cibles, elles sont assez simples pour nous à définir, les médias, et on essaye d'être très diversifiés avec des partenaires comme Parisia et d'autres médias, et puis surtout le message. Et le message, il est concentré sur quels sont les points de différence qui ont le plus de sens et de valeur pour nos clients, comment le communiquer, comment le faire passer très simplement. Et c'est ce sur quoi on travaille tous les jours. Et comme dit Vincent, on se trompe, mais il faut se tromper. c'est en se trompant que justement on peut avancer et avoir les bons messages et le bon feedback de l'audit du marché exactement

  • Speaker #2

    Mathieu est-ce qu'il y a quelque chose de plus intéressant pour un groupe comme Parisien par exemple avec l'ensemble des support prints et du site internet toi en tant qu'expert vous en tant qu'expert de la communication santé est-ce que c'est un laboratoire où il va falloir se creuser la tête justement pour trouver le bon moyen la bonne cible et la façon avec l'adaptation du coup on peut par rapport aux résultats sur des grosses machines comme Parisien ou est-ce que c'est plutôt les grosses entreprises comme E-Shine où là, c'est un peu du velours, on sait, il y a une stratégie aussi qui est réfléchie en amont dans l'entreprise. On voit qu'il y a du contenu et c'est intéressant. Est-ce que c'est vraiment deux sujets complètement séparés ? Est-ce que les deux sont importants ? C'est quoi ?

  • Speaker #1

    En fait, il y a des synergies communes. C'est de servir in fine le patient en bout de chaîne, comme on le disait. Par contre, effectivement, plus on est dans une entreprise restreinte, forcément, plus on est multitâche. Ça, je pense que tout chef d'entreprise, et moins qu'aujourd'hui, on le vit au quotidien. Donc effectivement, on est obligé d'adapter sa structure à sa communication. J'imagine bien que Vincent ne pourra pas communiquer de la même manière qu'Henri Schein. Au-delà de la partie financière, c'est sur une partie stratégique, sur une bande passante mentale aussi qui est importante. Et aussi, on parle de publicité, c'est bien, mais je rejoins effectivement Christian Debus qui parle de cas cliniques. Aujourd'hui, c'est vrai que tous les prothésistes, tous les chirurgiens dentistes pourront le dire, ils sont matraqués de pubs. même en B2C. C'est le cas, là encore, je regardais ce matin.

  • Speaker #2

    B2C, c'est-à-dire de l'entreprise au client.

  • Speaker #1

    Exactement. Moi, je regarde encore aujourd'hui. J'ai reçu 46 mails ce matin. Demain, si je ne lis pas, j'en aurai une centaine, très probablement. Et je ne veux pas savoir la boîte mail de Vincent ou de Christian. Je pense qu'on est sur le double, voire le triple. Mais ce qui veut dire qu'il faut trouver des nouveaux moyens. Et je pense qu'aujourd'hui, le Dental Forum, c'est un moyen aussi de rapprocher la profession des industries, des prothésistes. Et je pense qu'aussi... On a ce pivotement progressif qui s'effectue et on a besoin de se voir. Le fait de voir Christian Debus après la nomination récente, ça fait toujours du bien de revoir l'une des personnes de son équipe, Marion Sebastianelli, avec qui on travaille tous les jours. C'est aussi un plaisir, ça permet de se rapprocher, de comprendre ce qui se passe. Il y a peut-être des choses qui nous échappent. qu'on ne peut pas faire par un mail, qu'on ne peut pas faire via la publicité.

  • Speaker #2

    En fait, ce que vous dites, c'est que la création de la campagne de communication, quelle qu'elle soit, ne peut pas juste être unilatérale, il faut qu'elle soit bilatérale et en construction avec l'ensemble des acteurs. C'est-à-dire qu'en fait, vous nourrissez aussi du besoin et des échanges que vous pourriez avoir demain avec Vincent Malenfer, par exemple. Vous avez écrit sur du plus sur Rishine et c'est ensemble que vous construisez une campagne qui finalement est unique en fonction de chaque client.

  • Speaker #1

    En fait, progressivement, on co-brand une campagne. Finalement, avant de poser de la pub, on dit détaché, tout achète pas. C'est de la communication. Il y a 20 ans, aujourd'hui, quand on a une société qui vient nous voir, c'est qu'on leur dit il y a une partie commerciale, certes, mais aussi une partie clinique. Nous aussi, on a besoin d'un support clinique pour asseoir la notoriété de Dantoscope. bien qu'elle est aujourd'hui plus approuvée. Mais on continue à nourrir ce magazine-là par de l'apport clinique et aujourd'hui, tout le monde joue le jeu, donc c'est pour ça qu'on existe encore.

  • Speaker #2

    Donc en fait, ça veut dire, Mathieu, que tout acteur du secteur de l'univers de la prothèse dentaire, qu'il soit grand groupe ou laboratoire de toute taille, n'a rien à perdre à venir vous voir et dire, voilà, discutons, alors que ça soit à l'occasion d'un forum de l'ADF ou autre, mais discutons et voyons si ça peut donner quelque chose. Donc en fait, vous contactez directement via le site internet où on va donner vos coordonnées, évidemment, à la fin de l'émission. pour dire, moi j'ai un laboratoire, j'ai 3 salariés, j'ai 50 salariés, est-ce que j'ai quelque chose à faire ?

  • Speaker #1

    Bien sûr, et bien heureusement qu'on ne laisse pas la place qu'aux grandes entreprises, tout le monde a sa place en communication. Et c'est vrai qu'on a toujours cet esprit très élitiste de la presse, des plus gros médias, mais il y a de la place pour tout le monde. C'est pour ça qu'on est aussi amené à créer des offres. beaucoup plus large qu'auparavant. On n'est pas plus simplement sur de la page simple, on est vraiment sur un panel de services. Et je dis bien services.

  • Speaker #2

    Ça va même au-delà, parce qu'on n'a de limite que l'imagination. Au final, ce que vous avez fait, Mathieu, avec le groupe parisien à l'ADF, par exemple, vous avez créé un studio TV à part entière en proposant à un moment donné aux personnes qui étaient déjà... ou pas cliente de chez Paris Air, de dire, ben voilà, il y a un studio TV, on peut enregistrer une interview, et cette interview sera diffusée à un moment donné sur le site, sur les réseaux, sur YouTube, etc. Et vous avez eu à la fois des grands groupes. Et vous avez eu aussi des toutes petites structures qui vous ont accompagné,

  • Speaker #1

    je pense,

  • Speaker #2

    on peut le citer, parce que c'est un de vos clients, à Jean-Cyx, par exemple, qui est présent d'ailleurs, pas dans Talfora, mais à la JNAD, J'en ai nationalisé un instant en terre aujourd'hui, et qui, à un moment donné, vient et communique par l'intermédiaire de Parisien.

  • Speaker #1

    Parfaitement, mais c'est exactement ça. On a autant les grandes structures qui ont forcément un besoin de plus de notoriété que ces entreprises beaucoup plus petites qui ont besoin vraiment d'un retour sur investissement beaucoup plus direct. Mais voilà, c'est-à-dire qu'aujourd'hui, on est, pour ne pas dire le premier, l'un des plus grands groupes en France, Benelux, de la présentère, et on s'adapte absolument à tout type d'entreprise, et c'est ça qui fait la force d'un groupe aujourd'hui, c'est savoir se réinventer.

  • Speaker #2

    Vincent, en dehors de ces deux expériences, une que vous avez... fait de vous-même et une autre qui vous est arrivée, et on a vu que cette deuxième expérience, qui est le magazine de la santé, était une expérience très positive. Est-ce que vous avez une stratégie de communication média ? Alors, quand je dis média, c'est tout média. Ça peut être le site Internet, le petit site Internet aussi local, je ne sais pas, ou le soutien à un club de sport. Est-ce que vous avez des bonnes pratiques ou des choses ?

  • Speaker #3

    L'engagement, oui. Ça fait partie de la communication. Alors, on ne soutient pas un club de sport, mais on soutient une école. et c'est tout aussi important on peut la citer c'est des partenaires aussi oui effectivement l'académie d'Arventer l'académie d'Arventer effectivement voilà on soutient cette école et on pousse les jeunes aussi vers ce métier et c'est une forme d'engagement mais une forme de communication aussi exact on l'oublie peu en fait on l'oublie trop c'est à dire qu'en fait il faut être malin et c'est ce que vous dites dans

  • Speaker #2

    la communication et à un moment donné ne pas se dire la communication c'est du papier c'est du digital point barre et voilà mais c'est aussi d'autres choses et cet engagement que vous avez auprès de la caméra inventaire est un engagement sincère que vous faites depuis des années mais c'est aussi une forme de visibilité par rapport à des futurs professionnels à un moment donné

  • Speaker #3

    Exactement, c'est un engagement vis-à-vis d'une profession il y a plein de manières de s'engager vis-à-vis d'une profession ici vous avez par exemple le sourire je choisis le sourire made in France dont vous faites partie également ? Alors pas encore mais je pense que je vais en faire partie à l'occasion de ce dental parce que je pense que c'est une cause importante et ça fait partie de l'engagement et de la communication donc en fait quand on est une petite structure ça fait partie des choses qu'on peut faire aussi et au final qui coûte du temps de

  • Speaker #2

    l'investissement de temps mais pas tant d'argent finalement que ça

  • Speaker #3

    non non non juste un engagement sur cette partie

  • Speaker #2

    Christian les prochaines les prochaines grandes communications en reshine en cours c'est quoi on est plus sur du du nouveau qu'on a jamais vu on est sur du média digital on est plus sur du print on est plutôt sur l'hybridation sur l'ensemble dans la continuité est-ce qu'il y a des choses de nouvelles qui vont arriver

  • Speaker #0

    Rien de révolutionnaire. Effectivement, on a au fil du temps des nouvelles solutions qui arrivent. On présente d'ailleurs aujourd'hui... Parce que la notion de solution, ce n'est pas forcément un produit en tant que tel ou un service. C'est vraiment répondre à un besoin. Là, j'en veux pour exemple, aujourd'hui, on présente une solution d'impression 3D par microfusion où on propose avec un partenaire une solution où le client va payer l'usage. et non pas ni l'investissement de la machine ni les consommables. Donc, pour nous, c'est ça l'innovation, en fait. C'est la façon dont on apporte la capacité pour nos clients à produire et, en tout cas, à répondre à leurs clients. Maintenant, pour revenir à votre question, Geoffroy, on a effectivement le plan média, on a parlé de print, on a parlé de digital, et aujourd'hui, c'est encore plus facile de le dire. La base, c'est quand même les relations qu'on a avec... en présentiel, on parle de figital, donc ok du digital. Le figital ? Oui, le figital, bien sûr. Mais j'y tiens absolument. Et dans un groupe comme le nôtre, Henri Schein, il y a toujours cette volonté d'investir beaucoup dans le digital et d'être à la pointe. Et franchement, en toute humilité, je ne pense pas qu'on y soit aujourd'hui. Mais peu importe. Parce que la chance, c'est aussi d'être sur des micro-marchés, mais sur petits, nos marchés. Donc, profitons-en. pour voir au maximum nos clients et nos partenaires. Ça passe par les salons, ça passe par nos équipes sur le terrain avant tout. Et vraiment, ça,

  • Speaker #2

    c'est important de le tenir. Et l'engagement, vous avez aussi, par rapport à ce que disait Vincent, vous avez dit auprès des écoles, parce que vous êtes aussi un partenaire de la camionnette en terre, vous êtes très présent à cette future génération de prothésistes. Et ça, c'est une possibilité importante.

  • Speaker #0

    Et là, c'est presque aussi de notre rôle et même notre devoir aussi de faire ça. Et puis, c'est très intéressant d'être en contact avec les étudiants futurs prothésistes, bien sûr, ou assistantes dentaires, parce que c'est autant de sources d'informations sur la façon dont nous devons nous adapter et évoluer pour mieux leur répondre. Donc voilà, en tout cas, j'insiste bien là-dessus, même s'il faut communiquer et nous investissons en la matière, qu'on ne perde pas cette relation humaine qui est là. qui est essentiel et qu'on peut avoir au jour le jour avec Vincent, par exemple.

  • Speaker #2

    Justement, Mathieu, nous sommes au Dental Forum. C'est le lieu de rencontre des prothésistes dentaires. Il y a, pendant ces trois jours, énormément de laboratoires présents. Comment un groupe comme Parisien peut parler à ces petites structures, comme celle de Vincent, par exemple, qui sont là aujourd'hui, très nombreuses ? Est-ce qu'il y a une manière de leur parler collectivement ? des solutions pour leur dire, voilà, là, ils nous écoutent. Voilà, vous pouvez venir nous voir en parlant de ça, de ça, de ça. Qu'est-ce que vous diriez ?

  • Speaker #1

    Finalement, sur cet aspect-là, si on revient sur la partie scientifique, la mécanique, elle est la même. elle est la même, c'est-à-dire qu'ils ont un savoir-faire et ils méritent d'avoir un savoir-faire. Les grands groupes ont un savoir-faire plus collectif, forcément, ne serait-ce que par la ressource de l'entité. Mais finalement, la mécanique, elle est la même. C'est-à-dire que nous, on est un tiers de confiance. Donc c'est-à-dire que ce soit un prothésiste de chez Henry Schein France, et un prothésiste de chez Vincent, ce sont des prothésistes. Donc ils font le même métier. ils ne sont peut-être pas des mêmes échos, mais ils font le même métier et ils doivent servir.

  • Speaker #0

    On n'a pas de prothésistes.

  • Speaker #3

    D'anciens prothésistes.

  • Speaker #2

    Il y a des prothésistes, mais ils ne sont plus à la cheville.

  • Speaker #0

    Exactement.

  • Speaker #1

    Mais finalement, la finalité est la même. C'est-à-dire que s'ils ont un message à faire passer... quels qu'ils soient, nos magazines sont ouverts aussi.

  • Speaker #2

    Mais ça fait... Enfin, je pense que ça fait un peu peur. C'est-à-dire que les petits structures ont un peu peur. On se dit, ben non, on ne peut pas y aller. Ce n'est pas pour moi du tout, en fait. Est-ce qu'il y a des logiques aussi ? Est-ce que vous conseilleriez de venir individuellement ou venir avec des logiques de regroupement ? Vincent a parlé du Sourire Made in France. C'est un regroupement de prothèses dentaires, voilà, par exemple.

  • Speaker #1

    Oui, ça peut être une des solutions. En fait, je pense qu'il y a toujours, en fait, une marche à franchir. C'est un peu comme l'investissement. C'est comme dans la vie de tous les jours, il y a toujours cette petite chose qui dit j'ai peur de le faire Parce qu'on se dit souvent...

  • Speaker #2

    C'est l'inconnu aussi.

  • Speaker #1

    C'est l'inconnu qui fait peur, mais c'est humain, c'est psychologique. Donc il faut tout simplement... Maintenant aussi, ces moments-là sont aussi bons à ce que je leur dise clairement. N'hésitez pas, venez nous voir. Vous avez un savoir-faire et vous méritez d'être publié sur un magazine comme Tentoscope.

  • Speaker #2

    Ok, voilà,

  • Speaker #1

    il faut passer le cap.

  • Speaker #2

    Et les regroupements, parce que je pense, en regardant Vincent, je pense à Lyon, il y a une énergie incroyable dans cette ville avec des prothèses dentaires qui se sont regroupées, ils sont un certain nombre sur l'égide de Vincent Malenfer, on pense aussi à Christophe Cosaillan, on pense aussi à Romain Schiafoloni et bien d'autres, et qui se sont rassemblés, qui se retrouvent et qui sont en fait des prothèses dentaires. qui échangent, qui réfléchissent en problématiques communes. Ces regroupements-là, ça peut être intéressant de dire on peut proposer une communication globale sur la prothèse en terre dans une ville.

  • Speaker #1

    Le sourire made in France est l'exemple parfait. Et ça serait complètement opportun pour tous, effectivement, de discuter, de voir comment collectivement, on peut faire porter un message, porter un apport, enfin pousser un apport scientifique.

  • Speaker #2

    donc oui parfaitement en fait quand je vous écoute en fait tout est possible en fait tout est possible et ça fait pas un peu père noël quand même parce que ça veut dire là vous êtes en train de nous dire bah oui si j'ai deux salariés je peux venir voir Mathieu Lemoyne il va me trouver une solution c'est vraiment ça alors en fait c'est que la problématique chez les prothésistes et comme on disait tout

  • Speaker #1

    à l'heure avec Vincent et Christian il y a encore tout à faire aujourd'hui notamment dans la prothèse tout est à faire chez les orthodontistes chez les chirurgiens orthodontistes on y est déjà depuis longtemps donc aujourd'hui, on est au début de quelque chose. Et donc, nous, on vient aussi, comme je le disais, comme un tiers de confiance.

  • Speaker #2

    Pour les accompagner, pour les conseiller.

  • Speaker #1

    Exactement.

  • Speaker #2

    Eh bien, formidable. Mathieu, si on veut vous contacter, si on a envie de venir vous voir, je suis prothésiste dentaire, j'ai un labo, j'ai trois salariés, j'en ai 40 salariés. Je n'ai pas encore communiqué dans les médias et je ne pensais pas que je pouvais le faire. Comment je fais ?

  • Speaker #1

    Il suffit de faire quelques mètres, venir à la...

  • Speaker #2

    Alors, pour ceux qui nous écoutent là, mais ceux qui nous écoutent sur Modulus en rediffusion. Eh bien,

  • Speaker #1

    écoutez... Je suis extrêmement présent sur les réseaux sociaux, notamment LinkedIn. Je sais qu'il y a beaucoup de personnes qui me suivent dessus. Donc sur LinkedIn, Mathieu Lemoyne, vous pouvez me suivre.

  • Speaker #2

    Comment vous écrivez Lemoyne ?

  • Speaker #1

    Lemoyne, c'est breton, c'est L-E plus loin M-O-I-N-E-G. Ou tout simplement, contactez le groupe de presse Parisia. vous me demandez, bien évidemment, je vous répondrai avec grand plaisir.

  • Speaker #2

    Donc, ne serait-ce que pour avoir conseil, il faut discuter et échanger.

  • Speaker #1

    Exactement.

  • Speaker #2

    Et tout simplement, sans engagement outre mesure, mais de voir ce qui peut être fait.

  • Speaker #1

    Je suis assez ouvert à la discussion. Je pense que les gens qui me connaissent le savent, donc venez, je ne mords pas.

  • Speaker #2

    Vincent, mot de la fin ?

  • Speaker #1

    Difficile Difficile

  • Speaker #3

    Difficile Mais je pense que Mathieu a raison En termes de communication en prothèse dentaire Tout est à faire Autant côté industriel Je pense que c'est déjà quelque chose qui est déjà mis en place Et déjà rodé Pour les prothèses dentaires C'est une nouvelle voie peut-être Peut-être avec Mathieu Peut-être avec d'autres Mais en tout cas il commence à y avoir une prise de conscience Et là on est dans une période Qui est une période un petit peu Atonique Le marché de la prothèse dentaire est un petit peu mou, tout le monde cherche des solutions, et peut-être que c'est la communication.

  • Speaker #2

    Peut-être que c'en est une.

  • Speaker #0

    formidable Christian un petit mot de la fin une deuxième fin ben profitons de l'instant de ces deux jours pour qu'est-ce que vous avez dit le fi la fi ah le figitol le figitol ah j'ai appris un mot j'adore profitons justement du fi et de ces deux jours de salon pour communiquer et échanger mais aussi pour être source d'inspiration sur les futures communications Parce que c'est en écoutant les attentes, les perceptions, qu'on définit mieux tout le plan média que l'on peut construire derrière.

  • Speaker #2

    Mathieu, le mot de la fin.

  • Speaker #1

    Vous me croyez, Geoffroy, si je vous dis que je n'en ai pas. Non, merci à tous, en tout cas, d'avoir suivi cette émission. Merci, Geoffroy. Merci, Christian. Et encore, félicitations pour cette fabuleuse nomination. Vincent, merci infiniment. Je pense qu'il y a des solutions à tout. Sans être un père Noël, il faut tout simplement être ouvert à la discussion.

  • Speaker #2

    Et venir vous voir, Mathieu Lemoyne, sur LinkedIn, sur les réseaux sociaux et le groupe Parisia sur Internet.

  • Speaker #1

    Exactement.

  • Speaker #2

    Dans Terre 365 et dans Toscope. formidable et bien super vous allez retrouver cette émission dans les jours qui viennent sur Modulus alors est-ce qu'il y a ma directrice des programmes qui est là ah bah oui Laura là-bas voilà Laura est-ce que tu peux nous dire quand est-ce que diffuser l'émission s'il te plaît c'est quel jour on peut réécouter l'émission tous les lundis à 18h tous les mercredis à 8h30 et puis tous les samedis à 10h et bien c'est formidable merci Laura et Modulus c'est une équipe c'est aussi Julien Ferru notre producteur exécutif Lucas qui est notre ingénieur magnifique et puis ils avaient promis d'être bons ils ont été excellents nos deux invités monsieur Christian Dobus directeur général de Enriching France félicitations encore Christian pour cette belle nomination évidemment méritée et puis Vincent Vincent Malenfer du laboratoire Malenfer prothésiste de qualité on peut les appeler très fort merci merci à tous et bon Dantel Forum merci à tous

Transcription

  • Speaker #0

    Le Grand Sourire,

  • Speaker #1

    une émission présentée par Geoffroy Regouby.

  • Speaker #2

    Bienvenue à tous et à toutes dans cette nouvelle émission du Grand Sourire sur Modulus Radio en direct du Dental Forum 2024. Nous sommes au cœur du Parc Floral de Paris, parc floral inauguré en 1969 pour accueillir les Floralises Internationales de Paris. Ce jardin botanique est aménagé sur l'ancien terrain militaire de l'époque napoléonienne, ça date quand même. L'influence des Jeux Olympiques de Tokyo en 1964, 60 ans pile poil, est perceptible dans l'architecture des toitures, des pavillons et des allées couvertes. A la fois plus grand parc horticole de Paris et plus grand terrain de jeu de la capitale, le Parc Floral de Paris c'est quand même. 35 hectares, 7000 variétés de végétaux et 1,5 million de visiteurs par an. On est bien quand même, non ? Pas mal. C'est quand même pas mal. Et c'est dans ce merveilleux lieu que nous accueillons aujourd'hui deux invités dont le talent n'a des calques que leur passion pour leur profession respective. Vincent Malenfer, fondateur du laboratoire Malenfer à Lyon. Salut Vincent. Bonjour. Merci d'être avec nous. Et également Christian Dobus, directeur général France de la société Henri Schein. Bonjour Christian.

  • Speaker #0

    Bonjour Geoffroy.

  • Speaker #2

    Christian, directeur général France. C'est tout nouveau, parce que moi, je vous ai connu quand même, directeur commercial et marketing.

  • Speaker #0

    Ce n'est pas si nouveau que ça, ça ne peut pas y aller à 15 jours.

  • Speaker #2

    Ah, 15 jours. Eh bien, toutes nos félicitations. Bravo, je pense que ça peut s'applaudir quand même. Merci Bravo. On est ravis de vous avoir, Christian, pour cette émission sur la communication. On va parler communication. Et je serai pour ça accompagné de l'expert français, que dis-je, mondial des médias du dentaire, membre de la direction du groupe Parésia, le groupe média essentiellement. dentaire avec des titres tels que Solutions Camille Dentaire, Orthophile, Dentoscope qu'on peut voir aujourd'hui au Dental Forum et puis le site internet Dentaire365 et professionnel de la ComSanté également j'ai noté Mathieu

  • Speaker #1

    Lemoyne Bonjour Geoffroy, bonjour à tous

  • Speaker #2

    Bonjour Mathieu, alors parle-nous un petit peu de Parésia

  • Speaker #1

    Merci à tous d'assister à cette fabuleuse émission bien entourée Parésia, pour ceux qui ne connaissent pas, c'est un groupe de presse historique qui a bientôt 30 ans d'existence qui est Connu en France notamment par Dantoscope que vous pouvez retrouver dans les sacoches qui a édité spécialement pour le Dental Format Nord série.

  • Speaker #2

    Mais Dantoscope, c'est un magazine ? Exactement. C'est un gratuit ?

  • Speaker #1

    Un gratuit, exactement.

  • Speaker #2

    Et sur abonnement ?

  • Speaker #1

    Non, c'est sur abonnement mais il est gratuit.

  • Speaker #2

    Il n'y a pas moins cher que gratuit, c'est parfait. Pourquoi tout le monde n'est pas abonné ?

  • Speaker #1

    Je me pose toujours la question.

  • Speaker #2

    Et tu as aussi le site internet dentaire365.

  • Speaker #1

    Exactement.

  • Speaker #2

    On retrouve quoi sur ce site ?

  • Speaker #1

    Sur ce site, on retrouve toute l'actualité clinique de la profession, que ce soit de la prothèse dentaire, que ce soit des chirurgiens dentistes, mais également des orthodontistes. Donc en fait, on englobe totalement toute la profession de la dentisterie sur un site www.dentaire365.fr.

  • Speaker #2

    Et au-delà de faire partie du comité de direction de cette très belle entreprise média, en quoi tu es professionnel de la ComSanté, toi Mathieu ?

  • Speaker #1

    Sacrée question. Non, sacrée question. Alors en fait, tout simplement, parce qu'aujourd'hui, on voit un mouvement drastique de la communication santé, que ce soit de la part des prothésistes, que ce soit sur les grandes entreprises, comme on le citait tout à l'heure Henri Schein, mais également des laboratoires de prothèses à taille humaine, comme représente aujourd'hui très justement Vincent. Donc, on a un même objectif, c'est d'apporter un soin in fine au patient, mais en passant par les chirurgiens dentistes. Donc, il y a des mécaniques en communication marketing qu'il faut faire, mais qui se différencient par la structure et aussi par ce qu'on peut retrouver, les réseaux sociaux, les campagnes du mailing, la data. Oui,

  • Speaker #2

    c'est ça, on parle très large. Exactement. Du réseau social jusqu'à la com, même pourquoi pas télé d'ailleurs. Exactement. Toi, en tant que professionnel de la com santé, tu peux apporter une discussion sur l'ensemble de ce domaine. Parfaitement. Alors, nous sommes ensemble pour 30 à 40 minutes à cette occasion pour une émission toute particulière, puisqu'il s'agit d'un épisode hors série du Grand Sourire. dont le thème, vous l'avez compris, est la communication médiatique print et digitale pour les laboratoires de prothèses dentaires et pour les industriels du secteur. Comment faire et pourquoi c'est important ? Alors, je vais commencer par une première question pour vous, Vincent. On vous a vu récemment, si vous dites je le connais, je connais sa tête c'est parce qu'en fait, vous l'avez vu à la télé, car de son laboratoire lyonnais que vous avez depuis combien de temps, le laboratoire Malenfer ?

  • Speaker #3

    Oui. Presque 20 ans, oui, effectivement.

  • Speaker #2

    Mais vous ne les faites pas, Vincent ?

  • Speaker #3

    C'est gentil, merci.

  • Speaker #2

    Magnifique émission, le magazine de la santé. Comment vous vous êtes retrouvé à un moment donné à faire ces reportages, le magazine de la santé ? Est-ce que c'est quelque chose qui est payant ? Alors payant financièrement, est-ce que c'est payant dans le sens où ça vous rapporte des choses ? Comment vous vous êtes retrouvé, vous, à Lyon, dans ce magazine de la santé vu par des millions de personnes à la télé ?

  • Speaker #3

    C'est très, très simple. Tout simplement, j'ai été contacté par Laurent Munro, président de l'UNPPD, qui m'a proposé cet exercice, un petit peu délicat, puisqu'on ne maîtrise pas cette communication. C'est vraiment un journaliste qui vient vous rencontrer, qui vient filmer pendant... toute la journée. Et vous vous retrouvez avec une petite séquence de 2 minutes 30. Alors vous avez beau...

  • Speaker #2

    Une journée d'enregistrement.

  • Speaker #3

    Exactement. Extrêmement, forcément, pour mes collaboratrices aussi qui ont été filmées pendant presque une heure et ne pas avoir d'image à la télé, c'était un petit peu dur. On ne maîtrise pas. Effectivement, on ne maîtrise pas du tout la communication, mais on peut quand même orienter le journaliste et lui expliquer toutes les belles valeurs de notre métier.

  • Speaker #2

    Est-ce que c'était intéressant ? Qu'est-ce que vous avez senti à la suite de ce reportage ? Est-ce que c'était intéressant à Lyon, dans votre laboratoire, d'avoir fait cette émission ?

  • Speaker #3

    Déjà, c'est une expérience. Toute expérience est intéressante.

  • Speaker #2

    Ensuite... Il y a eu un retour ? Il y a eu des contacts ? Des gens qui vous ont appelés ?

  • Speaker #3

    Forcément, oui.

  • Speaker #2

    Des clients qui vous ont dit on vous a vu,

  • Speaker #3

    c'est super Bien sûr, bien sûr. Les retours sont considérables quand on pense qu'il y a... à peu près 450 000 téléspectateurs qui ont vu cette émission.

  • Speaker #2

    Plus les replays.

  • Speaker #3

    Exactement, les replays, sans parler de la communication ensuite sur les réseaux sociaux. On a eu beaucoup de patients qu'on a appelés le lendemain au laboratoire. On a voulu savoir où est-ce qu'on pourrait trouver une prothèse de cette qualité. Exactement, où est-ce qu'on pourrait trouver des artisans. Donc, c'est difficile de conseiller, effectivement. On peut dire qu'il y a des artisans de partout en France. qui sont capables de faire ce qu'on fait aujourd'hui.

  • Speaker #2

    Alors, ça s'apparente aux relations presse que fait l'UNPPD. Et donc, effectivement, UNPPD et relations presse, les rédactions appellent l'UNPPD par l'intermédiaire des agences de l'ARP. Et l'UNPPD, à un moment donné, peut dire, oui, à Lyon, on a quelqu'un, c'est un tel, un tel, parce qu'en fonction des cibles. Christian, les relations presse, donc plus logique pour un groupe de la taille d'Henri Schein, j'imagine que vous avez une démarche de relations presse ?

  • Speaker #0

    Oui, nous avons une démarche. Alors de communication plus globalement et pas que et pas spécialement en relation presse. Oui, de communication bien sûr pour être en contact avec nos clients. Mais au-delà de ça, l'ensemble des acteurs qui nous entourent. On est aujourd'hui en plus sur un marché qui bouge beaucoup. Donc c'est important de garder ce fameux contact qui va dans les deux sens d'ailleurs. En tout cas, nous, on essaye de communiquer au maximum.

  • Speaker #2

    Votre cible, Christian, c'est les prothèses dentaires, ça ne va pas être le grand public, donc c'est une communication spécialisée ?

  • Speaker #0

    Alors non, ça ne va pas être le grand public, effectivement. En premier lieu, nos clients, donc prothèses dentaires, nos dentistes, assistantes dentaires, mais au-delà de ça, les médias, les centres de formation et tous les acteurs qui œuvrent avec nous, finalement, pour le développement du marché. et finalement de la filière de soins, parce qu'il ne faut jamais oublier qu'il y a quand même un patient...

  • Speaker #2

    Exactement, un patient au bout de la chaîne. Mathieu, quand on a comme ça des profils complètement différents, vous l'avez dit tout à l'heure, un prothésiste dentaire qui est à un moment donné une petite structure, avec une énorme structure qui est un riche châne, comment à un moment donné la communication peut être pertinente ? Qu'est-ce qu'on peut proposer par l'intermédiaire d'un groupe comme Parisia avec des supports presse, avec des supports internet ? Et plus globalement, en tant qu'expert de la comsanté, qu'est-ce qu'on peut proposer comme type de communication ?

  • Speaker #1

    Ce qui est sûr déjà, c'est que la communication qui a été effectuée pour l'un et pour l'autre ne peut pas être identique. Tout simplement, si on parle de presse, justement, la presse, on le sait, c'est un cours relativement élevé parce que ça reste de la presse.

  • Speaker #0

    C'est vrai.

  • Speaker #1

    Voilà. Et pareil.

  • Speaker #2

    On sent l'expérience. Mais quand vous dites que c'est élevé, c'est-à-dire que là, on est sur de la pub classique, la page de pub.

  • Speaker #1

    Exactement. C'est-à-dire qu'en fait, on est en pleine transition aussi de communication. C'est-à-dire qu'aujourd'hui, on a des dentistes. comme des prothésistes qui sont dans une tranche d'âge qui consomment encore de la publicité papier. Ce qui fait qu'aujourd'hui, pour qu'on existe, pour qu'on ait tiré à 27 000 exemplaires, parce qu'on a encore cette audience qui nous suit et on a aussi des industriels qui nous suivent avec. Donc, ce que je veux dire, c'est que...

  • Speaker #2

    Donc, le papier n'est pas mort, en fait ?

  • Speaker #1

    Non, loin de là. Ça se voit tout simplement par les chiffres. Mais au-delà de ça, c'est les retours qu'on a de nos lecteurs. Et ce que je veux dire, c'est que si, à Vincent, je lui proposerais une communication... presse, ça serait une mauvaise solution en communication parce que ça ne serait ni adapté à sa structure. Oui,

  • Speaker #2

    on n'est plus sur de l'opportunité à un moment donné, comme ça a été fait, mais pas sur une campagne à faire pour un laboratoire comme le laboratoire dans l'enfer.

  • Speaker #1

    C'est ça, les objectifs d'un laboratoire de prothèse local ou départemental ne vont bien évidemment pas être celles d'Henry Schein France, par exemple. Donc c'est pour ça qu'on va adapter une communication. Après, rien n'empêche de faire aussi travailler avec les laboratoires à taille humaine pour effectivement répondre un petit peu à leurs messages, leurs... leur zone de chalandise finalement. Donc il y a aussi un cumul print, print, digital, qui nous aujourd'hui, auprès d'Henri Chahine France, ou comme autre laboratoire professionnel. d'industrie dentaire, à justement faire un cumul print et digital pour justement...

  • Speaker #2

    Sorgue de package. Exactement. Mais alors du coup, Henri Schein, quand vous avez un groupe comme Parisien en face de vous, qu'est-ce qui est intéressant pour vous en termes de communication ? Comment vous utilisez à un moment donné cette hybridation des médias, que ce soit à la fois l'hybridation du papier où on peut intervenir en rédactionnel, en communicationnel pur avec la pub, et après derrière aussi le média digital, le

  • Speaker #0

    Le côté hybride, évidemment, nous intéresse, parce que je suis tout à fait d'accord, Mathieu, qu'aujourd'hui, le papier reste vivant. Je crois que c'est le bon qualificatif. Et puis, à côté de ça, il y a tout le digital qui se développe et qui le complète. Après, ce qui va nous intéresser particulièrement avec Parésia, c'est justement de pouvoir s'intégrer dans un cadre rédactionnel. Parce que faire de la pub pour de la pub, très bien. mais si ça donne du sens, si ça complète, si ça s'associe au mieux, je dirais aux propos rédactionnels, qui est quand même l'objectif, le cœur de métier, c'est beaucoup mieux. Alors on peut y contribuer en partageant de l'information, et on peut y contribuer aussi tout en faisant de la publicité, parce qu'il y a quand même un côté évidemment commercial pour nous, mais qui soit directement lié avec le sujet traité, la thématique.

  • Speaker #2

    et ça je dois dire qu'avec Parésia il y a toujours cette recherche justement de six un peu de brain content d'apport de certitude qui peut être en termes de com très fort parce que c'est pas juste voilà regarder qui on est acheter notre produit c'est on est un acteur et en tant qu'acteur on vous apporte une information on est là dessus c'est ça Vincent par rapport à justement cette hybridation digitale donc on a compris que la partie papier avait un coût qui était plus difficile d'accès par rapport à un laboratoire de qui n'est pas un laboratoire national, parce que vous travaillez à Lyon, dans une région définie, etc. Mais le site Internet, j'imagine, Mathieu, peut-être que je me trompe, que Vincent aurait intérêt ou pas à communiquer et que ça serait peut-être moins cher, plus approprié, peut-être ciblé. Est-ce que vous avez la possibilité d'avoir à un moment donné une communication qui est faite sur Internet uniquement dans une région donnée ? C'est des choses qui se font ou pas ?

  • Speaker #1

    Oui, en fait, effectivement, le digital serait déjà beaucoup plus approprié à une communication un petit peu plus restreinte. Par contre, il y a la partie print, presse, qui existent, mais il ne faut pas oublier aussi la partie, ce qu'on appelle le service. C'est-à-dire, comme toute société, on ne passe pas uniquement par la presse, parce qu'en fait... Là, ce qui est important de savoir, c'est qu'en fait, il ne faut pas considérer la presse comme 90% d'un budget. On sait très bien que la presse aujourd'hui, par rapport à avant, ce n'est pas un canal d'acquisition où on attend immédiatement un retour sur investissement.

  • Speaker #2

    D'ailleurs, le ROI, le fameux ROI, l'élément qui nous permet de savoir si c'est rentable ou pas dans la presse, il reste quand même un peu flou,

  • Speaker #1

    non ? C'est exactement l'une des objections commerciales majeures qu'on a aujourd'hui. Et on leur dit tout simplement, aujourd'hui, faire une communication print n'a aucune valeur. c'est comme si demain on nous donne 4000 euros, on dit vous perdez 4000 euros. C'est-à-dire qu'il faut avoir une récurrence sur le print, à l'instar du digital ou sur une campagne d'emailing par exemple, une seule campagne, un seul envoi peut justement générer, ne serait-ce que des contacts. Et on l'a vu à l'ADF, on a des sociétés d'usinage qui nous ont fait confiance, ils ont fait, ils ont testé avec nous, et les retours ont été, on a calculé, après bien que ça reste bien spécifique, on a des... sur des retours sur investissement de 11 fois 11 fois 12. Donc, c'est relativement important.

  • Speaker #2

    Vincent, vous aviez fait aussi une opération, un test avec le magazine Capital à un moment donné. Je me souviens, il y a deux, trois ans, sur un public rédactionnel.

  • Speaker #3

    Exactement, oui, c'est du public rédactionnel. Alors après, je pense que pour la communication, il y a plusieurs éléments. La cible, l'objectif, le message et quel média choisir. En l'occurrence, je pense qu'on s'était trompé de média. On s'était trompé de cible. Enfin bref, on testait.

  • Speaker #2

    C'était pas à conclure.

  • Speaker #3

    Exactement, on testait la communication. Et au fil du temps, on a appris finalement par nous-mêmes ce qui est difficile pour les prothésistes. C'est pas leur métier, c'est comme le management. Il y a énormément de choses que finalement le prothésiste apprend par lui-même. Et avoir un support d'une agence de communication, c'est aussi bénéficier de cette expérience et éviter certains écueils. Capital, c'était une erreur.

  • Speaker #2

    C'était une expérience, mais intéressante du coup.

  • Speaker #3

    Une expérience, comme tu le dis, effectivement.

  • Speaker #2

    Christian, comment vous organisez en termes de communication sur la dualité qui existe aujourd'hui en termes de marques avec Zerlux, qui est la marque d'Henry Schein. On communique sur quoi ? Plus sur Zerlux, plus sur Henry Schein, la marque mère, c'est quoi ?

  • Speaker #0

    On a plein de sujets, effectivement. Le fond, en tout cas l'objectif de communication pour nous, c'est de... au-delà de partager de l'information, de la relayer et contribuer finalement à l'information tout simplement du marché et des clients, nous ce qui va nous intéresser c'est de mettre en avant notre différence. et je dirais même nos différences. Et ces différences-là, elles portent sur l'ensemble des services qu'on peut apporter autour d'un produit ou d'un prix. Et c'est vrai que... Sur ce marché d'Enterme et comme tous les autres marchés, il est difficile de faire la part des choses entre des acteurs qui sont sur le web et qui sont des dispenteurs et qui offrent un prix, et ils ont leur raison d'être, et puis d'autres qui cherchent à apporter beaucoup plus parce que les clients ont besoin de plus, de conseils, d'accompagnement, de support technique. de financement. Voilà, c'est toute la palette de services que l'on apporte.

  • Speaker #2

    Vous communiquez beaucoup avec des cas cliniques aussi.

  • Speaker #0

    Effectivement, ça peut être des cas cliniques parce que, encore une fois, le patient est toujours au bout de la chaîne. Mais autour de ça, c'est aussi le besoin propre du client dentiste ou prothésiste sur ce que l'on peut lui apporter, encore une fois, en plus. Et donc, on va construire notre plan média, évidemment, et comme disait Vincent, les cibles, elles sont assez simples pour nous à définir, les médias, et on essaye d'être très diversifiés avec des partenaires comme Parisia et d'autres médias, et puis surtout le message. Et le message, il est concentré sur quels sont les points de différence qui ont le plus de sens et de valeur pour nos clients, comment le communiquer, comment le faire passer très simplement. Et c'est ce sur quoi on travaille tous les jours. Et comme dit Vincent, on se trompe, mais il faut se tromper. c'est en se trompant que justement on peut avancer et avoir les bons messages et le bon feedback de l'audit du marché exactement

  • Speaker #2

    Mathieu est-ce qu'il y a quelque chose de plus intéressant pour un groupe comme Parisien par exemple avec l'ensemble des support prints et du site internet toi en tant qu'expert vous en tant qu'expert de la communication santé est-ce que c'est un laboratoire où il va falloir se creuser la tête justement pour trouver le bon moyen la bonne cible et la façon avec l'adaptation du coup on peut par rapport aux résultats sur des grosses machines comme Parisien ou est-ce que c'est plutôt les grosses entreprises comme E-Shine où là, c'est un peu du velours, on sait, il y a une stratégie aussi qui est réfléchie en amont dans l'entreprise. On voit qu'il y a du contenu et c'est intéressant. Est-ce que c'est vraiment deux sujets complètement séparés ? Est-ce que les deux sont importants ? C'est quoi ?

  • Speaker #1

    En fait, il y a des synergies communes. C'est de servir in fine le patient en bout de chaîne, comme on le disait. Par contre, effectivement, plus on est dans une entreprise restreinte, forcément, plus on est multitâche. Ça, je pense que tout chef d'entreprise, et moins qu'aujourd'hui, on le vit au quotidien. Donc effectivement, on est obligé d'adapter sa structure à sa communication. J'imagine bien que Vincent ne pourra pas communiquer de la même manière qu'Henri Schein. Au-delà de la partie financière, c'est sur une partie stratégique, sur une bande passante mentale aussi qui est importante. Et aussi, on parle de publicité, c'est bien, mais je rejoins effectivement Christian Debus qui parle de cas cliniques. Aujourd'hui, c'est vrai que tous les prothésistes, tous les chirurgiens dentistes pourront le dire, ils sont matraqués de pubs. même en B2C. C'est le cas, là encore, je regardais ce matin.

  • Speaker #2

    B2C, c'est-à-dire de l'entreprise au client.

  • Speaker #1

    Exactement. Moi, je regarde encore aujourd'hui. J'ai reçu 46 mails ce matin. Demain, si je ne lis pas, j'en aurai une centaine, très probablement. Et je ne veux pas savoir la boîte mail de Vincent ou de Christian. Je pense qu'on est sur le double, voire le triple. Mais ce qui veut dire qu'il faut trouver des nouveaux moyens. Et je pense qu'aujourd'hui, le Dental Forum, c'est un moyen aussi de rapprocher la profession des industries, des prothésistes. Et je pense qu'aussi... On a ce pivotement progressif qui s'effectue et on a besoin de se voir. Le fait de voir Christian Debus après la nomination récente, ça fait toujours du bien de revoir l'une des personnes de son équipe, Marion Sebastianelli, avec qui on travaille tous les jours. C'est aussi un plaisir, ça permet de se rapprocher, de comprendre ce qui se passe. Il y a peut-être des choses qui nous échappent. qu'on ne peut pas faire par un mail, qu'on ne peut pas faire via la publicité.

  • Speaker #2

    En fait, ce que vous dites, c'est que la création de la campagne de communication, quelle qu'elle soit, ne peut pas juste être unilatérale, il faut qu'elle soit bilatérale et en construction avec l'ensemble des acteurs. C'est-à-dire qu'en fait, vous nourrissez aussi du besoin et des échanges que vous pourriez avoir demain avec Vincent Malenfer, par exemple. Vous avez écrit sur du plus sur Rishine et c'est ensemble que vous construisez une campagne qui finalement est unique en fonction de chaque client.

  • Speaker #1

    En fait, progressivement, on co-brand une campagne. Finalement, avant de poser de la pub, on dit détaché, tout achète pas. C'est de la communication. Il y a 20 ans, aujourd'hui, quand on a une société qui vient nous voir, c'est qu'on leur dit il y a une partie commerciale, certes, mais aussi une partie clinique. Nous aussi, on a besoin d'un support clinique pour asseoir la notoriété de Dantoscope. bien qu'elle est aujourd'hui plus approuvée. Mais on continue à nourrir ce magazine-là par de l'apport clinique et aujourd'hui, tout le monde joue le jeu, donc c'est pour ça qu'on existe encore.

  • Speaker #2

    Donc en fait, ça veut dire, Mathieu, que tout acteur du secteur de l'univers de la prothèse dentaire, qu'il soit grand groupe ou laboratoire de toute taille, n'a rien à perdre à venir vous voir et dire, voilà, discutons, alors que ça soit à l'occasion d'un forum de l'ADF ou autre, mais discutons et voyons si ça peut donner quelque chose. Donc en fait, vous contactez directement via le site internet où on va donner vos coordonnées, évidemment, à la fin de l'émission. pour dire, moi j'ai un laboratoire, j'ai 3 salariés, j'ai 50 salariés, est-ce que j'ai quelque chose à faire ?

  • Speaker #1

    Bien sûr, et bien heureusement qu'on ne laisse pas la place qu'aux grandes entreprises, tout le monde a sa place en communication. Et c'est vrai qu'on a toujours cet esprit très élitiste de la presse, des plus gros médias, mais il y a de la place pour tout le monde. C'est pour ça qu'on est aussi amené à créer des offres. beaucoup plus large qu'auparavant. On n'est pas plus simplement sur de la page simple, on est vraiment sur un panel de services. Et je dis bien services.

  • Speaker #2

    Ça va même au-delà, parce qu'on n'a de limite que l'imagination. Au final, ce que vous avez fait, Mathieu, avec le groupe parisien à l'ADF, par exemple, vous avez créé un studio TV à part entière en proposant à un moment donné aux personnes qui étaient déjà... ou pas cliente de chez Paris Air, de dire, ben voilà, il y a un studio TV, on peut enregistrer une interview, et cette interview sera diffusée à un moment donné sur le site, sur les réseaux, sur YouTube, etc. Et vous avez eu à la fois des grands groupes. Et vous avez eu aussi des toutes petites structures qui vous ont accompagné,

  • Speaker #1

    je pense,

  • Speaker #2

    on peut le citer, parce que c'est un de vos clients, à Jean-Cyx, par exemple, qui est présent d'ailleurs, pas dans Talfora, mais à la JNAD, J'en ai nationalisé un instant en terre aujourd'hui, et qui, à un moment donné, vient et communique par l'intermédiaire de Parisien.

  • Speaker #1

    Parfaitement, mais c'est exactement ça. On a autant les grandes structures qui ont forcément un besoin de plus de notoriété que ces entreprises beaucoup plus petites qui ont besoin vraiment d'un retour sur investissement beaucoup plus direct. Mais voilà, c'est-à-dire qu'aujourd'hui, on est, pour ne pas dire le premier, l'un des plus grands groupes en France, Benelux, de la présentère, et on s'adapte absolument à tout type d'entreprise, et c'est ça qui fait la force d'un groupe aujourd'hui, c'est savoir se réinventer.

  • Speaker #2

    Vincent, en dehors de ces deux expériences, une que vous avez... fait de vous-même et une autre qui vous est arrivée, et on a vu que cette deuxième expérience, qui est le magazine de la santé, était une expérience très positive. Est-ce que vous avez une stratégie de communication média ? Alors, quand je dis média, c'est tout média. Ça peut être le site Internet, le petit site Internet aussi local, je ne sais pas, ou le soutien à un club de sport. Est-ce que vous avez des bonnes pratiques ou des choses ?

  • Speaker #3

    L'engagement, oui. Ça fait partie de la communication. Alors, on ne soutient pas un club de sport, mais on soutient une école. et c'est tout aussi important on peut la citer c'est des partenaires aussi oui effectivement l'académie d'Arventer l'académie d'Arventer effectivement voilà on soutient cette école et on pousse les jeunes aussi vers ce métier et c'est une forme d'engagement mais une forme de communication aussi exact on l'oublie peu en fait on l'oublie trop c'est à dire qu'en fait il faut être malin et c'est ce que vous dites dans

  • Speaker #2

    la communication et à un moment donné ne pas se dire la communication c'est du papier c'est du digital point barre et voilà mais c'est aussi d'autres choses et cet engagement que vous avez auprès de la caméra inventaire est un engagement sincère que vous faites depuis des années mais c'est aussi une forme de visibilité par rapport à des futurs professionnels à un moment donné

  • Speaker #3

    Exactement, c'est un engagement vis-à-vis d'une profession il y a plein de manières de s'engager vis-à-vis d'une profession ici vous avez par exemple le sourire je choisis le sourire made in France dont vous faites partie également ? Alors pas encore mais je pense que je vais en faire partie à l'occasion de ce dental parce que je pense que c'est une cause importante et ça fait partie de l'engagement et de la communication donc en fait quand on est une petite structure ça fait partie des choses qu'on peut faire aussi et au final qui coûte du temps de

  • Speaker #2

    l'investissement de temps mais pas tant d'argent finalement que ça

  • Speaker #3

    non non non juste un engagement sur cette partie

  • Speaker #2

    Christian les prochaines les prochaines grandes communications en reshine en cours c'est quoi on est plus sur du du nouveau qu'on a jamais vu on est sur du média digital on est plus sur du print on est plutôt sur l'hybridation sur l'ensemble dans la continuité est-ce qu'il y a des choses de nouvelles qui vont arriver

  • Speaker #0

    Rien de révolutionnaire. Effectivement, on a au fil du temps des nouvelles solutions qui arrivent. On présente d'ailleurs aujourd'hui... Parce que la notion de solution, ce n'est pas forcément un produit en tant que tel ou un service. C'est vraiment répondre à un besoin. Là, j'en veux pour exemple, aujourd'hui, on présente une solution d'impression 3D par microfusion où on propose avec un partenaire une solution où le client va payer l'usage. et non pas ni l'investissement de la machine ni les consommables. Donc, pour nous, c'est ça l'innovation, en fait. C'est la façon dont on apporte la capacité pour nos clients à produire et, en tout cas, à répondre à leurs clients. Maintenant, pour revenir à votre question, Geoffroy, on a effectivement le plan média, on a parlé de print, on a parlé de digital, et aujourd'hui, c'est encore plus facile de le dire. La base, c'est quand même les relations qu'on a avec... en présentiel, on parle de figital, donc ok du digital. Le figital ? Oui, le figital, bien sûr. Mais j'y tiens absolument. Et dans un groupe comme le nôtre, Henri Schein, il y a toujours cette volonté d'investir beaucoup dans le digital et d'être à la pointe. Et franchement, en toute humilité, je ne pense pas qu'on y soit aujourd'hui. Mais peu importe. Parce que la chance, c'est aussi d'être sur des micro-marchés, mais sur petits, nos marchés. Donc, profitons-en. pour voir au maximum nos clients et nos partenaires. Ça passe par les salons, ça passe par nos équipes sur le terrain avant tout. Et vraiment, ça,

  • Speaker #2

    c'est important de le tenir. Et l'engagement, vous avez aussi, par rapport à ce que disait Vincent, vous avez dit auprès des écoles, parce que vous êtes aussi un partenaire de la camionnette en terre, vous êtes très présent à cette future génération de prothésistes. Et ça, c'est une possibilité importante.

  • Speaker #0

    Et là, c'est presque aussi de notre rôle et même notre devoir aussi de faire ça. Et puis, c'est très intéressant d'être en contact avec les étudiants futurs prothésistes, bien sûr, ou assistantes dentaires, parce que c'est autant de sources d'informations sur la façon dont nous devons nous adapter et évoluer pour mieux leur répondre. Donc voilà, en tout cas, j'insiste bien là-dessus, même s'il faut communiquer et nous investissons en la matière, qu'on ne perde pas cette relation humaine qui est là. qui est essentiel et qu'on peut avoir au jour le jour avec Vincent, par exemple.

  • Speaker #2

    Justement, Mathieu, nous sommes au Dental Forum. C'est le lieu de rencontre des prothésistes dentaires. Il y a, pendant ces trois jours, énormément de laboratoires présents. Comment un groupe comme Parisien peut parler à ces petites structures, comme celle de Vincent, par exemple, qui sont là aujourd'hui, très nombreuses ? Est-ce qu'il y a une manière de leur parler collectivement ? des solutions pour leur dire, voilà, là, ils nous écoutent. Voilà, vous pouvez venir nous voir en parlant de ça, de ça, de ça. Qu'est-ce que vous diriez ?

  • Speaker #1

    Finalement, sur cet aspect-là, si on revient sur la partie scientifique, la mécanique, elle est la même. elle est la même, c'est-à-dire qu'ils ont un savoir-faire et ils méritent d'avoir un savoir-faire. Les grands groupes ont un savoir-faire plus collectif, forcément, ne serait-ce que par la ressource de l'entité. Mais finalement, la mécanique, elle est la même. C'est-à-dire que nous, on est un tiers de confiance. Donc c'est-à-dire que ce soit un prothésiste de chez Henry Schein France, et un prothésiste de chez Vincent, ce sont des prothésistes. Donc ils font le même métier. ils ne sont peut-être pas des mêmes échos, mais ils font le même métier et ils doivent servir.

  • Speaker #0

    On n'a pas de prothésistes.

  • Speaker #3

    D'anciens prothésistes.

  • Speaker #2

    Il y a des prothésistes, mais ils ne sont plus à la cheville.

  • Speaker #0

    Exactement.

  • Speaker #1

    Mais finalement, la finalité est la même. C'est-à-dire que s'ils ont un message à faire passer... quels qu'ils soient, nos magazines sont ouverts aussi.

  • Speaker #2

    Mais ça fait... Enfin, je pense que ça fait un peu peur. C'est-à-dire que les petits structures ont un peu peur. On se dit, ben non, on ne peut pas y aller. Ce n'est pas pour moi du tout, en fait. Est-ce qu'il y a des logiques aussi ? Est-ce que vous conseilleriez de venir individuellement ou venir avec des logiques de regroupement ? Vincent a parlé du Sourire Made in France. C'est un regroupement de prothèses dentaires, voilà, par exemple.

  • Speaker #1

    Oui, ça peut être une des solutions. En fait, je pense qu'il y a toujours, en fait, une marche à franchir. C'est un peu comme l'investissement. C'est comme dans la vie de tous les jours, il y a toujours cette petite chose qui dit j'ai peur de le faire Parce qu'on se dit souvent...

  • Speaker #2

    C'est l'inconnu aussi.

  • Speaker #1

    C'est l'inconnu qui fait peur, mais c'est humain, c'est psychologique. Donc il faut tout simplement... Maintenant aussi, ces moments-là sont aussi bons à ce que je leur dise clairement. N'hésitez pas, venez nous voir. Vous avez un savoir-faire et vous méritez d'être publié sur un magazine comme Tentoscope.

  • Speaker #2

    Ok, voilà,

  • Speaker #1

    il faut passer le cap.

  • Speaker #2

    Et les regroupements, parce que je pense, en regardant Vincent, je pense à Lyon, il y a une énergie incroyable dans cette ville avec des prothèses dentaires qui se sont regroupées, ils sont un certain nombre sur l'égide de Vincent Malenfer, on pense aussi à Christophe Cosaillan, on pense aussi à Romain Schiafoloni et bien d'autres, et qui se sont rassemblés, qui se retrouvent et qui sont en fait des prothèses dentaires. qui échangent, qui réfléchissent en problématiques communes. Ces regroupements-là, ça peut être intéressant de dire on peut proposer une communication globale sur la prothèse en terre dans une ville.

  • Speaker #1

    Le sourire made in France est l'exemple parfait. Et ça serait complètement opportun pour tous, effectivement, de discuter, de voir comment collectivement, on peut faire porter un message, porter un apport, enfin pousser un apport scientifique.

  • Speaker #2

    donc oui parfaitement en fait quand je vous écoute en fait tout est possible en fait tout est possible et ça fait pas un peu père noël quand même parce que ça veut dire là vous êtes en train de nous dire bah oui si j'ai deux salariés je peux venir voir Mathieu Lemoyne il va me trouver une solution c'est vraiment ça alors en fait c'est que la problématique chez les prothésistes et comme on disait tout

  • Speaker #1

    à l'heure avec Vincent et Christian il y a encore tout à faire aujourd'hui notamment dans la prothèse tout est à faire chez les orthodontistes chez les chirurgiens orthodontistes on y est déjà depuis longtemps donc aujourd'hui, on est au début de quelque chose. Et donc, nous, on vient aussi, comme je le disais, comme un tiers de confiance.

  • Speaker #2

    Pour les accompagner, pour les conseiller.

  • Speaker #1

    Exactement.

  • Speaker #2

    Eh bien, formidable. Mathieu, si on veut vous contacter, si on a envie de venir vous voir, je suis prothésiste dentaire, j'ai un labo, j'ai trois salariés, j'en ai 40 salariés. Je n'ai pas encore communiqué dans les médias et je ne pensais pas que je pouvais le faire. Comment je fais ?

  • Speaker #1

    Il suffit de faire quelques mètres, venir à la...

  • Speaker #2

    Alors, pour ceux qui nous écoutent là, mais ceux qui nous écoutent sur Modulus en rediffusion. Eh bien,

  • Speaker #1

    écoutez... Je suis extrêmement présent sur les réseaux sociaux, notamment LinkedIn. Je sais qu'il y a beaucoup de personnes qui me suivent dessus. Donc sur LinkedIn, Mathieu Lemoyne, vous pouvez me suivre.

  • Speaker #2

    Comment vous écrivez Lemoyne ?

  • Speaker #1

    Lemoyne, c'est breton, c'est L-E plus loin M-O-I-N-E-G. Ou tout simplement, contactez le groupe de presse Parisia. vous me demandez, bien évidemment, je vous répondrai avec grand plaisir.

  • Speaker #2

    Donc, ne serait-ce que pour avoir conseil, il faut discuter et échanger.

  • Speaker #1

    Exactement.

  • Speaker #2

    Et tout simplement, sans engagement outre mesure, mais de voir ce qui peut être fait.

  • Speaker #1

    Je suis assez ouvert à la discussion. Je pense que les gens qui me connaissent le savent, donc venez, je ne mords pas.

  • Speaker #2

    Vincent, mot de la fin ?

  • Speaker #1

    Difficile Difficile

  • Speaker #3

    Difficile Mais je pense que Mathieu a raison En termes de communication en prothèse dentaire Tout est à faire Autant côté industriel Je pense que c'est déjà quelque chose qui est déjà mis en place Et déjà rodé Pour les prothèses dentaires C'est une nouvelle voie peut-être Peut-être avec Mathieu Peut-être avec d'autres Mais en tout cas il commence à y avoir une prise de conscience Et là on est dans une période Qui est une période un petit peu Atonique Le marché de la prothèse dentaire est un petit peu mou, tout le monde cherche des solutions, et peut-être que c'est la communication.

  • Speaker #2

    Peut-être que c'en est une.

  • Speaker #0

    formidable Christian un petit mot de la fin une deuxième fin ben profitons de l'instant de ces deux jours pour qu'est-ce que vous avez dit le fi la fi ah le figitol le figitol ah j'ai appris un mot j'adore profitons justement du fi et de ces deux jours de salon pour communiquer et échanger mais aussi pour être source d'inspiration sur les futures communications Parce que c'est en écoutant les attentes, les perceptions, qu'on définit mieux tout le plan média que l'on peut construire derrière.

  • Speaker #2

    Mathieu, le mot de la fin.

  • Speaker #1

    Vous me croyez, Geoffroy, si je vous dis que je n'en ai pas. Non, merci à tous, en tout cas, d'avoir suivi cette émission. Merci, Geoffroy. Merci, Christian. Et encore, félicitations pour cette fabuleuse nomination. Vincent, merci infiniment. Je pense qu'il y a des solutions à tout. Sans être un père Noël, il faut tout simplement être ouvert à la discussion.

  • Speaker #2

    Et venir vous voir, Mathieu Lemoyne, sur LinkedIn, sur les réseaux sociaux et le groupe Parisia sur Internet.

  • Speaker #1

    Exactement.

  • Speaker #2

    Dans Terre 365 et dans Toscope. formidable et bien super vous allez retrouver cette émission dans les jours qui viennent sur Modulus alors est-ce qu'il y a ma directrice des programmes qui est là ah bah oui Laura là-bas voilà Laura est-ce que tu peux nous dire quand est-ce que diffuser l'émission s'il te plaît c'est quel jour on peut réécouter l'émission tous les lundis à 18h tous les mercredis à 8h30 et puis tous les samedis à 10h et bien c'est formidable merci Laura et Modulus c'est une équipe c'est aussi Julien Ferru notre producteur exécutif Lucas qui est notre ingénieur magnifique et puis ils avaient promis d'être bons ils ont été excellents nos deux invités monsieur Christian Dobus directeur général de Enriching France félicitations encore Christian pour cette belle nomination évidemment méritée et puis Vincent Vincent Malenfer du laboratoire Malenfer prothésiste de qualité on peut les appeler très fort merci merci à tous et bon Dantel Forum merci à tous

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Transcription

  • Speaker #0

    Le Grand Sourire,

  • Speaker #1

    une émission présentée par Geoffroy Regouby.

  • Speaker #2

    Bienvenue à tous et à toutes dans cette nouvelle émission du Grand Sourire sur Modulus Radio en direct du Dental Forum 2024. Nous sommes au cœur du Parc Floral de Paris, parc floral inauguré en 1969 pour accueillir les Floralises Internationales de Paris. Ce jardin botanique est aménagé sur l'ancien terrain militaire de l'époque napoléonienne, ça date quand même. L'influence des Jeux Olympiques de Tokyo en 1964, 60 ans pile poil, est perceptible dans l'architecture des toitures, des pavillons et des allées couvertes. A la fois plus grand parc horticole de Paris et plus grand terrain de jeu de la capitale, le Parc Floral de Paris c'est quand même. 35 hectares, 7000 variétés de végétaux et 1,5 million de visiteurs par an. On est bien quand même, non ? Pas mal. C'est quand même pas mal. Et c'est dans ce merveilleux lieu que nous accueillons aujourd'hui deux invités dont le talent n'a des calques que leur passion pour leur profession respective. Vincent Malenfer, fondateur du laboratoire Malenfer à Lyon. Salut Vincent. Bonjour. Merci d'être avec nous. Et également Christian Dobus, directeur général France de la société Henri Schein. Bonjour Christian.

  • Speaker #0

    Bonjour Geoffroy.

  • Speaker #2

    Christian, directeur général France. C'est tout nouveau, parce que moi, je vous ai connu quand même, directeur commercial et marketing.

  • Speaker #0

    Ce n'est pas si nouveau que ça, ça ne peut pas y aller à 15 jours.

  • Speaker #2

    Ah, 15 jours. Eh bien, toutes nos félicitations. Bravo, je pense que ça peut s'applaudir quand même. Merci Bravo. On est ravis de vous avoir, Christian, pour cette émission sur la communication. On va parler communication. Et je serai pour ça accompagné de l'expert français, que dis-je, mondial des médias du dentaire, membre de la direction du groupe Parésia, le groupe média essentiellement. dentaire avec des titres tels que Solutions Camille Dentaire, Orthophile, Dentoscope qu'on peut voir aujourd'hui au Dental Forum et puis le site internet Dentaire365 et professionnel de la ComSanté également j'ai noté Mathieu

  • Speaker #1

    Lemoyne Bonjour Geoffroy, bonjour à tous

  • Speaker #2

    Bonjour Mathieu, alors parle-nous un petit peu de Parésia

  • Speaker #1

    Merci à tous d'assister à cette fabuleuse émission bien entourée Parésia, pour ceux qui ne connaissent pas, c'est un groupe de presse historique qui a bientôt 30 ans d'existence qui est Connu en France notamment par Dantoscope que vous pouvez retrouver dans les sacoches qui a édité spécialement pour le Dental Format Nord série.

  • Speaker #2

    Mais Dantoscope, c'est un magazine ? Exactement. C'est un gratuit ?

  • Speaker #1

    Un gratuit, exactement.

  • Speaker #2

    Et sur abonnement ?

  • Speaker #1

    Non, c'est sur abonnement mais il est gratuit.

  • Speaker #2

    Il n'y a pas moins cher que gratuit, c'est parfait. Pourquoi tout le monde n'est pas abonné ?

  • Speaker #1

    Je me pose toujours la question.

  • Speaker #2

    Et tu as aussi le site internet dentaire365.

  • Speaker #1

    Exactement.

  • Speaker #2

    On retrouve quoi sur ce site ?

  • Speaker #1

    Sur ce site, on retrouve toute l'actualité clinique de la profession, que ce soit de la prothèse dentaire, que ce soit des chirurgiens dentistes, mais également des orthodontistes. Donc en fait, on englobe totalement toute la profession de la dentisterie sur un site www.dentaire365.fr.

  • Speaker #2

    Et au-delà de faire partie du comité de direction de cette très belle entreprise média, en quoi tu es professionnel de la ComSanté, toi Mathieu ?

  • Speaker #1

    Sacrée question. Non, sacrée question. Alors en fait, tout simplement, parce qu'aujourd'hui, on voit un mouvement drastique de la communication santé, que ce soit de la part des prothésistes, que ce soit sur les grandes entreprises, comme on le citait tout à l'heure Henri Schein, mais également des laboratoires de prothèses à taille humaine, comme représente aujourd'hui très justement Vincent. Donc, on a un même objectif, c'est d'apporter un soin in fine au patient, mais en passant par les chirurgiens dentistes. Donc, il y a des mécaniques en communication marketing qu'il faut faire, mais qui se différencient par la structure et aussi par ce qu'on peut retrouver, les réseaux sociaux, les campagnes du mailing, la data. Oui,

  • Speaker #2

    c'est ça, on parle très large. Exactement. Du réseau social jusqu'à la com, même pourquoi pas télé d'ailleurs. Exactement. Toi, en tant que professionnel de la com santé, tu peux apporter une discussion sur l'ensemble de ce domaine. Parfaitement. Alors, nous sommes ensemble pour 30 à 40 minutes à cette occasion pour une émission toute particulière, puisqu'il s'agit d'un épisode hors série du Grand Sourire. dont le thème, vous l'avez compris, est la communication médiatique print et digitale pour les laboratoires de prothèses dentaires et pour les industriels du secteur. Comment faire et pourquoi c'est important ? Alors, je vais commencer par une première question pour vous, Vincent. On vous a vu récemment, si vous dites je le connais, je connais sa tête c'est parce qu'en fait, vous l'avez vu à la télé, car de son laboratoire lyonnais que vous avez depuis combien de temps, le laboratoire Malenfer ?

  • Speaker #3

    Oui. Presque 20 ans, oui, effectivement.

  • Speaker #2

    Mais vous ne les faites pas, Vincent ?

  • Speaker #3

    C'est gentil, merci.

  • Speaker #2

    Magnifique émission, le magazine de la santé. Comment vous vous êtes retrouvé à un moment donné à faire ces reportages, le magazine de la santé ? Est-ce que c'est quelque chose qui est payant ? Alors payant financièrement, est-ce que c'est payant dans le sens où ça vous rapporte des choses ? Comment vous vous êtes retrouvé, vous, à Lyon, dans ce magazine de la santé vu par des millions de personnes à la télé ?

  • Speaker #3

    C'est très, très simple. Tout simplement, j'ai été contacté par Laurent Munro, président de l'UNPPD, qui m'a proposé cet exercice, un petit peu délicat, puisqu'on ne maîtrise pas cette communication. C'est vraiment un journaliste qui vient vous rencontrer, qui vient filmer pendant... toute la journée. Et vous vous retrouvez avec une petite séquence de 2 minutes 30. Alors vous avez beau...

  • Speaker #2

    Une journée d'enregistrement.

  • Speaker #3

    Exactement. Extrêmement, forcément, pour mes collaboratrices aussi qui ont été filmées pendant presque une heure et ne pas avoir d'image à la télé, c'était un petit peu dur. On ne maîtrise pas. Effectivement, on ne maîtrise pas du tout la communication, mais on peut quand même orienter le journaliste et lui expliquer toutes les belles valeurs de notre métier.

  • Speaker #2

    Est-ce que c'était intéressant ? Qu'est-ce que vous avez senti à la suite de ce reportage ? Est-ce que c'était intéressant à Lyon, dans votre laboratoire, d'avoir fait cette émission ?

  • Speaker #3

    Déjà, c'est une expérience. Toute expérience est intéressante.

  • Speaker #2

    Ensuite... Il y a eu un retour ? Il y a eu des contacts ? Des gens qui vous ont appelés ?

  • Speaker #3

    Forcément, oui.

  • Speaker #2

    Des clients qui vous ont dit on vous a vu,

  • Speaker #3

    c'est super Bien sûr, bien sûr. Les retours sont considérables quand on pense qu'il y a... à peu près 450 000 téléspectateurs qui ont vu cette émission.

  • Speaker #2

    Plus les replays.

  • Speaker #3

    Exactement, les replays, sans parler de la communication ensuite sur les réseaux sociaux. On a eu beaucoup de patients qu'on a appelés le lendemain au laboratoire. On a voulu savoir où est-ce qu'on pourrait trouver une prothèse de cette qualité. Exactement, où est-ce qu'on pourrait trouver des artisans. Donc, c'est difficile de conseiller, effectivement. On peut dire qu'il y a des artisans de partout en France. qui sont capables de faire ce qu'on fait aujourd'hui.

  • Speaker #2

    Alors, ça s'apparente aux relations presse que fait l'UNPPD. Et donc, effectivement, UNPPD et relations presse, les rédactions appellent l'UNPPD par l'intermédiaire des agences de l'ARP. Et l'UNPPD, à un moment donné, peut dire, oui, à Lyon, on a quelqu'un, c'est un tel, un tel, parce qu'en fonction des cibles. Christian, les relations presse, donc plus logique pour un groupe de la taille d'Henri Schein, j'imagine que vous avez une démarche de relations presse ?

  • Speaker #0

    Oui, nous avons une démarche. Alors de communication plus globalement et pas que et pas spécialement en relation presse. Oui, de communication bien sûr pour être en contact avec nos clients. Mais au-delà de ça, l'ensemble des acteurs qui nous entourent. On est aujourd'hui en plus sur un marché qui bouge beaucoup. Donc c'est important de garder ce fameux contact qui va dans les deux sens d'ailleurs. En tout cas, nous, on essaye de communiquer au maximum.

  • Speaker #2

    Votre cible, Christian, c'est les prothèses dentaires, ça ne va pas être le grand public, donc c'est une communication spécialisée ?

  • Speaker #0

    Alors non, ça ne va pas être le grand public, effectivement. En premier lieu, nos clients, donc prothèses dentaires, nos dentistes, assistantes dentaires, mais au-delà de ça, les médias, les centres de formation et tous les acteurs qui œuvrent avec nous, finalement, pour le développement du marché. et finalement de la filière de soins, parce qu'il ne faut jamais oublier qu'il y a quand même un patient...

  • Speaker #2

    Exactement, un patient au bout de la chaîne. Mathieu, quand on a comme ça des profils complètement différents, vous l'avez dit tout à l'heure, un prothésiste dentaire qui est à un moment donné une petite structure, avec une énorme structure qui est un riche châne, comment à un moment donné la communication peut être pertinente ? Qu'est-ce qu'on peut proposer par l'intermédiaire d'un groupe comme Parisia avec des supports presse, avec des supports internet ? Et plus globalement, en tant qu'expert de la comsanté, qu'est-ce qu'on peut proposer comme type de communication ?

  • Speaker #1

    Ce qui est sûr déjà, c'est que la communication qui a été effectuée pour l'un et pour l'autre ne peut pas être identique. Tout simplement, si on parle de presse, justement, la presse, on le sait, c'est un cours relativement élevé parce que ça reste de la presse.

  • Speaker #0

    C'est vrai.

  • Speaker #1

    Voilà. Et pareil.

  • Speaker #2

    On sent l'expérience. Mais quand vous dites que c'est élevé, c'est-à-dire que là, on est sur de la pub classique, la page de pub.

  • Speaker #1

    Exactement. C'est-à-dire qu'en fait, on est en pleine transition aussi de communication. C'est-à-dire qu'aujourd'hui, on a des dentistes. comme des prothésistes qui sont dans une tranche d'âge qui consomment encore de la publicité papier. Ce qui fait qu'aujourd'hui, pour qu'on existe, pour qu'on ait tiré à 27 000 exemplaires, parce qu'on a encore cette audience qui nous suit et on a aussi des industriels qui nous suivent avec. Donc, ce que je veux dire, c'est que...

  • Speaker #2

    Donc, le papier n'est pas mort, en fait ?

  • Speaker #1

    Non, loin de là. Ça se voit tout simplement par les chiffres. Mais au-delà de ça, c'est les retours qu'on a de nos lecteurs. Et ce que je veux dire, c'est que si, à Vincent, je lui proposerais une communication... presse, ça serait une mauvaise solution en communication parce que ça ne serait ni adapté à sa structure. Oui,

  • Speaker #2

    on n'est plus sur de l'opportunité à un moment donné, comme ça a été fait, mais pas sur une campagne à faire pour un laboratoire comme le laboratoire dans l'enfer.

  • Speaker #1

    C'est ça, les objectifs d'un laboratoire de prothèse local ou départemental ne vont bien évidemment pas être celles d'Henry Schein France, par exemple. Donc c'est pour ça qu'on va adapter une communication. Après, rien n'empêche de faire aussi travailler avec les laboratoires à taille humaine pour effectivement répondre un petit peu à leurs messages, leurs... leur zone de chalandise finalement. Donc il y a aussi un cumul print, print, digital, qui nous aujourd'hui, auprès d'Henri Chahine France, ou comme autre laboratoire professionnel. d'industrie dentaire, à justement faire un cumul print et digital pour justement...

  • Speaker #2

    Sorgue de package. Exactement. Mais alors du coup, Henri Schein, quand vous avez un groupe comme Parisien en face de vous, qu'est-ce qui est intéressant pour vous en termes de communication ? Comment vous utilisez à un moment donné cette hybridation des médias, que ce soit à la fois l'hybridation du papier où on peut intervenir en rédactionnel, en communicationnel pur avec la pub, et après derrière aussi le média digital, le

  • Speaker #0

    Le côté hybride, évidemment, nous intéresse, parce que je suis tout à fait d'accord, Mathieu, qu'aujourd'hui, le papier reste vivant. Je crois que c'est le bon qualificatif. Et puis, à côté de ça, il y a tout le digital qui se développe et qui le complète. Après, ce qui va nous intéresser particulièrement avec Parésia, c'est justement de pouvoir s'intégrer dans un cadre rédactionnel. Parce que faire de la pub pour de la pub, très bien. mais si ça donne du sens, si ça complète, si ça s'associe au mieux, je dirais aux propos rédactionnels, qui est quand même l'objectif, le cœur de métier, c'est beaucoup mieux. Alors on peut y contribuer en partageant de l'information, et on peut y contribuer aussi tout en faisant de la publicité, parce qu'il y a quand même un côté évidemment commercial pour nous, mais qui soit directement lié avec le sujet traité, la thématique.

  • Speaker #2

    et ça je dois dire qu'avec Parésia il y a toujours cette recherche justement de six un peu de brain content d'apport de certitude qui peut être en termes de com très fort parce que c'est pas juste voilà regarder qui on est acheter notre produit c'est on est un acteur et en tant qu'acteur on vous apporte une information on est là dessus c'est ça Vincent par rapport à justement cette hybridation digitale donc on a compris que la partie papier avait un coût qui était plus difficile d'accès par rapport à un laboratoire de qui n'est pas un laboratoire national, parce que vous travaillez à Lyon, dans une région définie, etc. Mais le site Internet, j'imagine, Mathieu, peut-être que je me trompe, que Vincent aurait intérêt ou pas à communiquer et que ça serait peut-être moins cher, plus approprié, peut-être ciblé. Est-ce que vous avez la possibilité d'avoir à un moment donné une communication qui est faite sur Internet uniquement dans une région donnée ? C'est des choses qui se font ou pas ?

  • Speaker #1

    Oui, en fait, effectivement, le digital serait déjà beaucoup plus approprié à une communication un petit peu plus restreinte. Par contre, il y a la partie print, presse, qui existent, mais il ne faut pas oublier aussi la partie, ce qu'on appelle le service. C'est-à-dire, comme toute société, on ne passe pas uniquement par la presse, parce qu'en fait... Là, ce qui est important de savoir, c'est qu'en fait, il ne faut pas considérer la presse comme 90% d'un budget. On sait très bien que la presse aujourd'hui, par rapport à avant, ce n'est pas un canal d'acquisition où on attend immédiatement un retour sur investissement.

  • Speaker #2

    D'ailleurs, le ROI, le fameux ROI, l'élément qui nous permet de savoir si c'est rentable ou pas dans la presse, il reste quand même un peu flou,

  • Speaker #1

    non ? C'est exactement l'une des objections commerciales majeures qu'on a aujourd'hui. Et on leur dit tout simplement, aujourd'hui, faire une communication print n'a aucune valeur. c'est comme si demain on nous donne 4000 euros, on dit vous perdez 4000 euros. C'est-à-dire qu'il faut avoir une récurrence sur le print, à l'instar du digital ou sur une campagne d'emailing par exemple, une seule campagne, un seul envoi peut justement générer, ne serait-ce que des contacts. Et on l'a vu à l'ADF, on a des sociétés d'usinage qui nous ont fait confiance, ils ont fait, ils ont testé avec nous, et les retours ont été, on a calculé, après bien que ça reste bien spécifique, on a des... sur des retours sur investissement de 11 fois 11 fois 12. Donc, c'est relativement important.

  • Speaker #2

    Vincent, vous aviez fait aussi une opération, un test avec le magazine Capital à un moment donné. Je me souviens, il y a deux, trois ans, sur un public rédactionnel.

  • Speaker #3

    Exactement, oui, c'est du public rédactionnel. Alors après, je pense que pour la communication, il y a plusieurs éléments. La cible, l'objectif, le message et quel média choisir. En l'occurrence, je pense qu'on s'était trompé de média. On s'était trompé de cible. Enfin bref, on testait.

  • Speaker #2

    C'était pas à conclure.

  • Speaker #3

    Exactement, on testait la communication. Et au fil du temps, on a appris finalement par nous-mêmes ce qui est difficile pour les prothésistes. C'est pas leur métier, c'est comme le management. Il y a énormément de choses que finalement le prothésiste apprend par lui-même. Et avoir un support d'une agence de communication, c'est aussi bénéficier de cette expérience et éviter certains écueils. Capital, c'était une erreur.

  • Speaker #2

    C'était une expérience, mais intéressante du coup.

  • Speaker #3

    Une expérience, comme tu le dis, effectivement.

  • Speaker #2

    Christian, comment vous organisez en termes de communication sur la dualité qui existe aujourd'hui en termes de marques avec Zerlux, qui est la marque d'Henry Schein. On communique sur quoi ? Plus sur Zerlux, plus sur Henry Schein, la marque mère, c'est quoi ?

  • Speaker #0

    On a plein de sujets, effectivement. Le fond, en tout cas l'objectif de communication pour nous, c'est de... au-delà de partager de l'information, de la relayer et contribuer finalement à l'information tout simplement du marché et des clients, nous ce qui va nous intéresser c'est de mettre en avant notre différence. et je dirais même nos différences. Et ces différences-là, elles portent sur l'ensemble des services qu'on peut apporter autour d'un produit ou d'un prix. Et c'est vrai que... Sur ce marché d'Enterme et comme tous les autres marchés, il est difficile de faire la part des choses entre des acteurs qui sont sur le web et qui sont des dispenteurs et qui offrent un prix, et ils ont leur raison d'être, et puis d'autres qui cherchent à apporter beaucoup plus parce que les clients ont besoin de plus, de conseils, d'accompagnement, de support technique. de financement. Voilà, c'est toute la palette de services que l'on apporte.

  • Speaker #2

    Vous communiquez beaucoup avec des cas cliniques aussi.

  • Speaker #0

    Effectivement, ça peut être des cas cliniques parce que, encore une fois, le patient est toujours au bout de la chaîne. Mais autour de ça, c'est aussi le besoin propre du client dentiste ou prothésiste sur ce que l'on peut lui apporter, encore une fois, en plus. Et donc, on va construire notre plan média, évidemment, et comme disait Vincent, les cibles, elles sont assez simples pour nous à définir, les médias, et on essaye d'être très diversifiés avec des partenaires comme Parisia et d'autres médias, et puis surtout le message. Et le message, il est concentré sur quels sont les points de différence qui ont le plus de sens et de valeur pour nos clients, comment le communiquer, comment le faire passer très simplement. Et c'est ce sur quoi on travaille tous les jours. Et comme dit Vincent, on se trompe, mais il faut se tromper. c'est en se trompant que justement on peut avancer et avoir les bons messages et le bon feedback de l'audit du marché exactement

  • Speaker #2

    Mathieu est-ce qu'il y a quelque chose de plus intéressant pour un groupe comme Parisien par exemple avec l'ensemble des support prints et du site internet toi en tant qu'expert vous en tant qu'expert de la communication santé est-ce que c'est un laboratoire où il va falloir se creuser la tête justement pour trouver le bon moyen la bonne cible et la façon avec l'adaptation du coup on peut par rapport aux résultats sur des grosses machines comme Parisien ou est-ce que c'est plutôt les grosses entreprises comme E-Shine où là, c'est un peu du velours, on sait, il y a une stratégie aussi qui est réfléchie en amont dans l'entreprise. On voit qu'il y a du contenu et c'est intéressant. Est-ce que c'est vraiment deux sujets complètement séparés ? Est-ce que les deux sont importants ? C'est quoi ?

  • Speaker #1

    En fait, il y a des synergies communes. C'est de servir in fine le patient en bout de chaîne, comme on le disait. Par contre, effectivement, plus on est dans une entreprise restreinte, forcément, plus on est multitâche. Ça, je pense que tout chef d'entreprise, et moins qu'aujourd'hui, on le vit au quotidien. Donc effectivement, on est obligé d'adapter sa structure à sa communication. J'imagine bien que Vincent ne pourra pas communiquer de la même manière qu'Henri Schein. Au-delà de la partie financière, c'est sur une partie stratégique, sur une bande passante mentale aussi qui est importante. Et aussi, on parle de publicité, c'est bien, mais je rejoins effectivement Christian Debus qui parle de cas cliniques. Aujourd'hui, c'est vrai que tous les prothésistes, tous les chirurgiens dentistes pourront le dire, ils sont matraqués de pubs. même en B2C. C'est le cas, là encore, je regardais ce matin.

  • Speaker #2

    B2C, c'est-à-dire de l'entreprise au client.

  • Speaker #1

    Exactement. Moi, je regarde encore aujourd'hui. J'ai reçu 46 mails ce matin. Demain, si je ne lis pas, j'en aurai une centaine, très probablement. Et je ne veux pas savoir la boîte mail de Vincent ou de Christian. Je pense qu'on est sur le double, voire le triple. Mais ce qui veut dire qu'il faut trouver des nouveaux moyens. Et je pense qu'aujourd'hui, le Dental Forum, c'est un moyen aussi de rapprocher la profession des industries, des prothésistes. Et je pense qu'aussi... On a ce pivotement progressif qui s'effectue et on a besoin de se voir. Le fait de voir Christian Debus après la nomination récente, ça fait toujours du bien de revoir l'une des personnes de son équipe, Marion Sebastianelli, avec qui on travaille tous les jours. C'est aussi un plaisir, ça permet de se rapprocher, de comprendre ce qui se passe. Il y a peut-être des choses qui nous échappent. qu'on ne peut pas faire par un mail, qu'on ne peut pas faire via la publicité.

  • Speaker #2

    En fait, ce que vous dites, c'est que la création de la campagne de communication, quelle qu'elle soit, ne peut pas juste être unilatérale, il faut qu'elle soit bilatérale et en construction avec l'ensemble des acteurs. C'est-à-dire qu'en fait, vous nourrissez aussi du besoin et des échanges que vous pourriez avoir demain avec Vincent Malenfer, par exemple. Vous avez écrit sur du plus sur Rishine et c'est ensemble que vous construisez une campagne qui finalement est unique en fonction de chaque client.

  • Speaker #1

    En fait, progressivement, on co-brand une campagne. Finalement, avant de poser de la pub, on dit détaché, tout achète pas. C'est de la communication. Il y a 20 ans, aujourd'hui, quand on a une société qui vient nous voir, c'est qu'on leur dit il y a une partie commerciale, certes, mais aussi une partie clinique. Nous aussi, on a besoin d'un support clinique pour asseoir la notoriété de Dantoscope. bien qu'elle est aujourd'hui plus approuvée. Mais on continue à nourrir ce magazine-là par de l'apport clinique et aujourd'hui, tout le monde joue le jeu, donc c'est pour ça qu'on existe encore.

  • Speaker #2

    Donc en fait, ça veut dire, Mathieu, que tout acteur du secteur de l'univers de la prothèse dentaire, qu'il soit grand groupe ou laboratoire de toute taille, n'a rien à perdre à venir vous voir et dire, voilà, discutons, alors que ça soit à l'occasion d'un forum de l'ADF ou autre, mais discutons et voyons si ça peut donner quelque chose. Donc en fait, vous contactez directement via le site internet où on va donner vos coordonnées, évidemment, à la fin de l'émission. pour dire, moi j'ai un laboratoire, j'ai 3 salariés, j'ai 50 salariés, est-ce que j'ai quelque chose à faire ?

  • Speaker #1

    Bien sûr, et bien heureusement qu'on ne laisse pas la place qu'aux grandes entreprises, tout le monde a sa place en communication. Et c'est vrai qu'on a toujours cet esprit très élitiste de la presse, des plus gros médias, mais il y a de la place pour tout le monde. C'est pour ça qu'on est aussi amené à créer des offres. beaucoup plus large qu'auparavant. On n'est pas plus simplement sur de la page simple, on est vraiment sur un panel de services. Et je dis bien services.

  • Speaker #2

    Ça va même au-delà, parce qu'on n'a de limite que l'imagination. Au final, ce que vous avez fait, Mathieu, avec le groupe parisien à l'ADF, par exemple, vous avez créé un studio TV à part entière en proposant à un moment donné aux personnes qui étaient déjà... ou pas cliente de chez Paris Air, de dire, ben voilà, il y a un studio TV, on peut enregistrer une interview, et cette interview sera diffusée à un moment donné sur le site, sur les réseaux, sur YouTube, etc. Et vous avez eu à la fois des grands groupes. Et vous avez eu aussi des toutes petites structures qui vous ont accompagné,

  • Speaker #1

    je pense,

  • Speaker #2

    on peut le citer, parce que c'est un de vos clients, à Jean-Cyx, par exemple, qui est présent d'ailleurs, pas dans Talfora, mais à la JNAD, J'en ai nationalisé un instant en terre aujourd'hui, et qui, à un moment donné, vient et communique par l'intermédiaire de Parisien.

  • Speaker #1

    Parfaitement, mais c'est exactement ça. On a autant les grandes structures qui ont forcément un besoin de plus de notoriété que ces entreprises beaucoup plus petites qui ont besoin vraiment d'un retour sur investissement beaucoup plus direct. Mais voilà, c'est-à-dire qu'aujourd'hui, on est, pour ne pas dire le premier, l'un des plus grands groupes en France, Benelux, de la présentère, et on s'adapte absolument à tout type d'entreprise, et c'est ça qui fait la force d'un groupe aujourd'hui, c'est savoir se réinventer.

  • Speaker #2

    Vincent, en dehors de ces deux expériences, une que vous avez... fait de vous-même et une autre qui vous est arrivée, et on a vu que cette deuxième expérience, qui est le magazine de la santé, était une expérience très positive. Est-ce que vous avez une stratégie de communication média ? Alors, quand je dis média, c'est tout média. Ça peut être le site Internet, le petit site Internet aussi local, je ne sais pas, ou le soutien à un club de sport. Est-ce que vous avez des bonnes pratiques ou des choses ?

  • Speaker #3

    L'engagement, oui. Ça fait partie de la communication. Alors, on ne soutient pas un club de sport, mais on soutient une école. et c'est tout aussi important on peut la citer c'est des partenaires aussi oui effectivement l'académie d'Arventer l'académie d'Arventer effectivement voilà on soutient cette école et on pousse les jeunes aussi vers ce métier et c'est une forme d'engagement mais une forme de communication aussi exact on l'oublie peu en fait on l'oublie trop c'est à dire qu'en fait il faut être malin et c'est ce que vous dites dans

  • Speaker #2

    la communication et à un moment donné ne pas se dire la communication c'est du papier c'est du digital point barre et voilà mais c'est aussi d'autres choses et cet engagement que vous avez auprès de la caméra inventaire est un engagement sincère que vous faites depuis des années mais c'est aussi une forme de visibilité par rapport à des futurs professionnels à un moment donné

  • Speaker #3

    Exactement, c'est un engagement vis-à-vis d'une profession il y a plein de manières de s'engager vis-à-vis d'une profession ici vous avez par exemple le sourire je choisis le sourire made in France dont vous faites partie également ? Alors pas encore mais je pense que je vais en faire partie à l'occasion de ce dental parce que je pense que c'est une cause importante et ça fait partie de l'engagement et de la communication donc en fait quand on est une petite structure ça fait partie des choses qu'on peut faire aussi et au final qui coûte du temps de

  • Speaker #2

    l'investissement de temps mais pas tant d'argent finalement que ça

  • Speaker #3

    non non non juste un engagement sur cette partie

  • Speaker #2

    Christian les prochaines les prochaines grandes communications en reshine en cours c'est quoi on est plus sur du du nouveau qu'on a jamais vu on est sur du média digital on est plus sur du print on est plutôt sur l'hybridation sur l'ensemble dans la continuité est-ce qu'il y a des choses de nouvelles qui vont arriver

  • Speaker #0

    Rien de révolutionnaire. Effectivement, on a au fil du temps des nouvelles solutions qui arrivent. On présente d'ailleurs aujourd'hui... Parce que la notion de solution, ce n'est pas forcément un produit en tant que tel ou un service. C'est vraiment répondre à un besoin. Là, j'en veux pour exemple, aujourd'hui, on présente une solution d'impression 3D par microfusion où on propose avec un partenaire une solution où le client va payer l'usage. et non pas ni l'investissement de la machine ni les consommables. Donc, pour nous, c'est ça l'innovation, en fait. C'est la façon dont on apporte la capacité pour nos clients à produire et, en tout cas, à répondre à leurs clients. Maintenant, pour revenir à votre question, Geoffroy, on a effectivement le plan média, on a parlé de print, on a parlé de digital, et aujourd'hui, c'est encore plus facile de le dire. La base, c'est quand même les relations qu'on a avec... en présentiel, on parle de figital, donc ok du digital. Le figital ? Oui, le figital, bien sûr. Mais j'y tiens absolument. Et dans un groupe comme le nôtre, Henri Schein, il y a toujours cette volonté d'investir beaucoup dans le digital et d'être à la pointe. Et franchement, en toute humilité, je ne pense pas qu'on y soit aujourd'hui. Mais peu importe. Parce que la chance, c'est aussi d'être sur des micro-marchés, mais sur petits, nos marchés. Donc, profitons-en. pour voir au maximum nos clients et nos partenaires. Ça passe par les salons, ça passe par nos équipes sur le terrain avant tout. Et vraiment, ça,

  • Speaker #2

    c'est important de le tenir. Et l'engagement, vous avez aussi, par rapport à ce que disait Vincent, vous avez dit auprès des écoles, parce que vous êtes aussi un partenaire de la camionnette en terre, vous êtes très présent à cette future génération de prothésistes. Et ça, c'est une possibilité importante.

  • Speaker #0

    Et là, c'est presque aussi de notre rôle et même notre devoir aussi de faire ça. Et puis, c'est très intéressant d'être en contact avec les étudiants futurs prothésistes, bien sûr, ou assistantes dentaires, parce que c'est autant de sources d'informations sur la façon dont nous devons nous adapter et évoluer pour mieux leur répondre. Donc voilà, en tout cas, j'insiste bien là-dessus, même s'il faut communiquer et nous investissons en la matière, qu'on ne perde pas cette relation humaine qui est là. qui est essentiel et qu'on peut avoir au jour le jour avec Vincent, par exemple.

  • Speaker #2

    Justement, Mathieu, nous sommes au Dental Forum. C'est le lieu de rencontre des prothésistes dentaires. Il y a, pendant ces trois jours, énormément de laboratoires présents. Comment un groupe comme Parisien peut parler à ces petites structures, comme celle de Vincent, par exemple, qui sont là aujourd'hui, très nombreuses ? Est-ce qu'il y a une manière de leur parler collectivement ? des solutions pour leur dire, voilà, là, ils nous écoutent. Voilà, vous pouvez venir nous voir en parlant de ça, de ça, de ça. Qu'est-ce que vous diriez ?

  • Speaker #1

    Finalement, sur cet aspect-là, si on revient sur la partie scientifique, la mécanique, elle est la même. elle est la même, c'est-à-dire qu'ils ont un savoir-faire et ils méritent d'avoir un savoir-faire. Les grands groupes ont un savoir-faire plus collectif, forcément, ne serait-ce que par la ressource de l'entité. Mais finalement, la mécanique, elle est la même. C'est-à-dire que nous, on est un tiers de confiance. Donc c'est-à-dire que ce soit un prothésiste de chez Henry Schein France, et un prothésiste de chez Vincent, ce sont des prothésistes. Donc ils font le même métier. ils ne sont peut-être pas des mêmes échos, mais ils font le même métier et ils doivent servir.

  • Speaker #0

    On n'a pas de prothésistes.

  • Speaker #3

    D'anciens prothésistes.

  • Speaker #2

    Il y a des prothésistes, mais ils ne sont plus à la cheville.

  • Speaker #0

    Exactement.

  • Speaker #1

    Mais finalement, la finalité est la même. C'est-à-dire que s'ils ont un message à faire passer... quels qu'ils soient, nos magazines sont ouverts aussi.

  • Speaker #2

    Mais ça fait... Enfin, je pense que ça fait un peu peur. C'est-à-dire que les petits structures ont un peu peur. On se dit, ben non, on ne peut pas y aller. Ce n'est pas pour moi du tout, en fait. Est-ce qu'il y a des logiques aussi ? Est-ce que vous conseilleriez de venir individuellement ou venir avec des logiques de regroupement ? Vincent a parlé du Sourire Made in France. C'est un regroupement de prothèses dentaires, voilà, par exemple.

  • Speaker #1

    Oui, ça peut être une des solutions. En fait, je pense qu'il y a toujours, en fait, une marche à franchir. C'est un peu comme l'investissement. C'est comme dans la vie de tous les jours, il y a toujours cette petite chose qui dit j'ai peur de le faire Parce qu'on se dit souvent...

  • Speaker #2

    C'est l'inconnu aussi.

  • Speaker #1

    C'est l'inconnu qui fait peur, mais c'est humain, c'est psychologique. Donc il faut tout simplement... Maintenant aussi, ces moments-là sont aussi bons à ce que je leur dise clairement. N'hésitez pas, venez nous voir. Vous avez un savoir-faire et vous méritez d'être publié sur un magazine comme Tentoscope.

  • Speaker #2

    Ok, voilà,

  • Speaker #1

    il faut passer le cap.

  • Speaker #2

    Et les regroupements, parce que je pense, en regardant Vincent, je pense à Lyon, il y a une énergie incroyable dans cette ville avec des prothèses dentaires qui se sont regroupées, ils sont un certain nombre sur l'égide de Vincent Malenfer, on pense aussi à Christophe Cosaillan, on pense aussi à Romain Schiafoloni et bien d'autres, et qui se sont rassemblés, qui se retrouvent et qui sont en fait des prothèses dentaires. qui échangent, qui réfléchissent en problématiques communes. Ces regroupements-là, ça peut être intéressant de dire on peut proposer une communication globale sur la prothèse en terre dans une ville.

  • Speaker #1

    Le sourire made in France est l'exemple parfait. Et ça serait complètement opportun pour tous, effectivement, de discuter, de voir comment collectivement, on peut faire porter un message, porter un apport, enfin pousser un apport scientifique.

  • Speaker #2

    donc oui parfaitement en fait quand je vous écoute en fait tout est possible en fait tout est possible et ça fait pas un peu père noël quand même parce que ça veut dire là vous êtes en train de nous dire bah oui si j'ai deux salariés je peux venir voir Mathieu Lemoyne il va me trouver une solution c'est vraiment ça alors en fait c'est que la problématique chez les prothésistes et comme on disait tout

  • Speaker #1

    à l'heure avec Vincent et Christian il y a encore tout à faire aujourd'hui notamment dans la prothèse tout est à faire chez les orthodontistes chez les chirurgiens orthodontistes on y est déjà depuis longtemps donc aujourd'hui, on est au début de quelque chose. Et donc, nous, on vient aussi, comme je le disais, comme un tiers de confiance.

  • Speaker #2

    Pour les accompagner, pour les conseiller.

  • Speaker #1

    Exactement.

  • Speaker #2

    Eh bien, formidable. Mathieu, si on veut vous contacter, si on a envie de venir vous voir, je suis prothésiste dentaire, j'ai un labo, j'ai trois salariés, j'en ai 40 salariés. Je n'ai pas encore communiqué dans les médias et je ne pensais pas que je pouvais le faire. Comment je fais ?

  • Speaker #1

    Il suffit de faire quelques mètres, venir à la...

  • Speaker #2

    Alors, pour ceux qui nous écoutent là, mais ceux qui nous écoutent sur Modulus en rediffusion. Eh bien,

  • Speaker #1

    écoutez... Je suis extrêmement présent sur les réseaux sociaux, notamment LinkedIn. Je sais qu'il y a beaucoup de personnes qui me suivent dessus. Donc sur LinkedIn, Mathieu Lemoyne, vous pouvez me suivre.

  • Speaker #2

    Comment vous écrivez Lemoyne ?

  • Speaker #1

    Lemoyne, c'est breton, c'est L-E plus loin M-O-I-N-E-G. Ou tout simplement, contactez le groupe de presse Parisia. vous me demandez, bien évidemment, je vous répondrai avec grand plaisir.

  • Speaker #2

    Donc, ne serait-ce que pour avoir conseil, il faut discuter et échanger.

  • Speaker #1

    Exactement.

  • Speaker #2

    Et tout simplement, sans engagement outre mesure, mais de voir ce qui peut être fait.

  • Speaker #1

    Je suis assez ouvert à la discussion. Je pense que les gens qui me connaissent le savent, donc venez, je ne mords pas.

  • Speaker #2

    Vincent, mot de la fin ?

  • Speaker #1

    Difficile Difficile

  • Speaker #3

    Difficile Mais je pense que Mathieu a raison En termes de communication en prothèse dentaire Tout est à faire Autant côté industriel Je pense que c'est déjà quelque chose qui est déjà mis en place Et déjà rodé Pour les prothèses dentaires C'est une nouvelle voie peut-être Peut-être avec Mathieu Peut-être avec d'autres Mais en tout cas il commence à y avoir une prise de conscience Et là on est dans une période Qui est une période un petit peu Atonique Le marché de la prothèse dentaire est un petit peu mou, tout le monde cherche des solutions, et peut-être que c'est la communication.

  • Speaker #2

    Peut-être que c'en est une.

  • Speaker #0

    formidable Christian un petit mot de la fin une deuxième fin ben profitons de l'instant de ces deux jours pour qu'est-ce que vous avez dit le fi la fi ah le figitol le figitol ah j'ai appris un mot j'adore profitons justement du fi et de ces deux jours de salon pour communiquer et échanger mais aussi pour être source d'inspiration sur les futures communications Parce que c'est en écoutant les attentes, les perceptions, qu'on définit mieux tout le plan média que l'on peut construire derrière.

  • Speaker #2

    Mathieu, le mot de la fin.

  • Speaker #1

    Vous me croyez, Geoffroy, si je vous dis que je n'en ai pas. Non, merci à tous, en tout cas, d'avoir suivi cette émission. Merci, Geoffroy. Merci, Christian. Et encore, félicitations pour cette fabuleuse nomination. Vincent, merci infiniment. Je pense qu'il y a des solutions à tout. Sans être un père Noël, il faut tout simplement être ouvert à la discussion.

  • Speaker #2

    Et venir vous voir, Mathieu Lemoyne, sur LinkedIn, sur les réseaux sociaux et le groupe Parisia sur Internet.

  • Speaker #1

    Exactement.

  • Speaker #2

    Dans Terre 365 et dans Toscope. formidable et bien super vous allez retrouver cette émission dans les jours qui viennent sur Modulus alors est-ce qu'il y a ma directrice des programmes qui est là ah bah oui Laura là-bas voilà Laura est-ce que tu peux nous dire quand est-ce que diffuser l'émission s'il te plaît c'est quel jour on peut réécouter l'émission tous les lundis à 18h tous les mercredis à 8h30 et puis tous les samedis à 10h et bien c'est formidable merci Laura et Modulus c'est une équipe c'est aussi Julien Ferru notre producteur exécutif Lucas qui est notre ingénieur magnifique et puis ils avaient promis d'être bons ils ont été excellents nos deux invités monsieur Christian Dobus directeur général de Enriching France félicitations encore Christian pour cette belle nomination évidemment méritée et puis Vincent Vincent Malenfer du laboratoire Malenfer prothésiste de qualité on peut les appeler très fort merci merci à tous et bon Dantel Forum merci à tous

Transcription

  • Speaker #0

    Le Grand Sourire,

  • Speaker #1

    une émission présentée par Geoffroy Regouby.

  • Speaker #2

    Bienvenue à tous et à toutes dans cette nouvelle émission du Grand Sourire sur Modulus Radio en direct du Dental Forum 2024. Nous sommes au cœur du Parc Floral de Paris, parc floral inauguré en 1969 pour accueillir les Floralises Internationales de Paris. Ce jardin botanique est aménagé sur l'ancien terrain militaire de l'époque napoléonienne, ça date quand même. L'influence des Jeux Olympiques de Tokyo en 1964, 60 ans pile poil, est perceptible dans l'architecture des toitures, des pavillons et des allées couvertes. A la fois plus grand parc horticole de Paris et plus grand terrain de jeu de la capitale, le Parc Floral de Paris c'est quand même. 35 hectares, 7000 variétés de végétaux et 1,5 million de visiteurs par an. On est bien quand même, non ? Pas mal. C'est quand même pas mal. Et c'est dans ce merveilleux lieu que nous accueillons aujourd'hui deux invités dont le talent n'a des calques que leur passion pour leur profession respective. Vincent Malenfer, fondateur du laboratoire Malenfer à Lyon. Salut Vincent. Bonjour. Merci d'être avec nous. Et également Christian Dobus, directeur général France de la société Henri Schein. Bonjour Christian.

  • Speaker #0

    Bonjour Geoffroy.

  • Speaker #2

    Christian, directeur général France. C'est tout nouveau, parce que moi, je vous ai connu quand même, directeur commercial et marketing.

  • Speaker #0

    Ce n'est pas si nouveau que ça, ça ne peut pas y aller à 15 jours.

  • Speaker #2

    Ah, 15 jours. Eh bien, toutes nos félicitations. Bravo, je pense que ça peut s'applaudir quand même. Merci Bravo. On est ravis de vous avoir, Christian, pour cette émission sur la communication. On va parler communication. Et je serai pour ça accompagné de l'expert français, que dis-je, mondial des médias du dentaire, membre de la direction du groupe Parésia, le groupe média essentiellement. dentaire avec des titres tels que Solutions Camille Dentaire, Orthophile, Dentoscope qu'on peut voir aujourd'hui au Dental Forum et puis le site internet Dentaire365 et professionnel de la ComSanté également j'ai noté Mathieu

  • Speaker #1

    Lemoyne Bonjour Geoffroy, bonjour à tous

  • Speaker #2

    Bonjour Mathieu, alors parle-nous un petit peu de Parésia

  • Speaker #1

    Merci à tous d'assister à cette fabuleuse émission bien entourée Parésia, pour ceux qui ne connaissent pas, c'est un groupe de presse historique qui a bientôt 30 ans d'existence qui est Connu en France notamment par Dantoscope que vous pouvez retrouver dans les sacoches qui a édité spécialement pour le Dental Format Nord série.

  • Speaker #2

    Mais Dantoscope, c'est un magazine ? Exactement. C'est un gratuit ?

  • Speaker #1

    Un gratuit, exactement.

  • Speaker #2

    Et sur abonnement ?

  • Speaker #1

    Non, c'est sur abonnement mais il est gratuit.

  • Speaker #2

    Il n'y a pas moins cher que gratuit, c'est parfait. Pourquoi tout le monde n'est pas abonné ?

  • Speaker #1

    Je me pose toujours la question.

  • Speaker #2

    Et tu as aussi le site internet dentaire365.

  • Speaker #1

    Exactement.

  • Speaker #2

    On retrouve quoi sur ce site ?

  • Speaker #1

    Sur ce site, on retrouve toute l'actualité clinique de la profession, que ce soit de la prothèse dentaire, que ce soit des chirurgiens dentistes, mais également des orthodontistes. Donc en fait, on englobe totalement toute la profession de la dentisterie sur un site www.dentaire365.fr.

  • Speaker #2

    Et au-delà de faire partie du comité de direction de cette très belle entreprise média, en quoi tu es professionnel de la ComSanté, toi Mathieu ?

  • Speaker #1

    Sacrée question. Non, sacrée question. Alors en fait, tout simplement, parce qu'aujourd'hui, on voit un mouvement drastique de la communication santé, que ce soit de la part des prothésistes, que ce soit sur les grandes entreprises, comme on le citait tout à l'heure Henri Schein, mais également des laboratoires de prothèses à taille humaine, comme représente aujourd'hui très justement Vincent. Donc, on a un même objectif, c'est d'apporter un soin in fine au patient, mais en passant par les chirurgiens dentistes. Donc, il y a des mécaniques en communication marketing qu'il faut faire, mais qui se différencient par la structure et aussi par ce qu'on peut retrouver, les réseaux sociaux, les campagnes du mailing, la data. Oui,

  • Speaker #2

    c'est ça, on parle très large. Exactement. Du réseau social jusqu'à la com, même pourquoi pas télé d'ailleurs. Exactement. Toi, en tant que professionnel de la com santé, tu peux apporter une discussion sur l'ensemble de ce domaine. Parfaitement. Alors, nous sommes ensemble pour 30 à 40 minutes à cette occasion pour une émission toute particulière, puisqu'il s'agit d'un épisode hors série du Grand Sourire. dont le thème, vous l'avez compris, est la communication médiatique print et digitale pour les laboratoires de prothèses dentaires et pour les industriels du secteur. Comment faire et pourquoi c'est important ? Alors, je vais commencer par une première question pour vous, Vincent. On vous a vu récemment, si vous dites je le connais, je connais sa tête c'est parce qu'en fait, vous l'avez vu à la télé, car de son laboratoire lyonnais que vous avez depuis combien de temps, le laboratoire Malenfer ?

  • Speaker #3

    Oui. Presque 20 ans, oui, effectivement.

  • Speaker #2

    Mais vous ne les faites pas, Vincent ?

  • Speaker #3

    C'est gentil, merci.

  • Speaker #2

    Magnifique émission, le magazine de la santé. Comment vous vous êtes retrouvé à un moment donné à faire ces reportages, le magazine de la santé ? Est-ce que c'est quelque chose qui est payant ? Alors payant financièrement, est-ce que c'est payant dans le sens où ça vous rapporte des choses ? Comment vous vous êtes retrouvé, vous, à Lyon, dans ce magazine de la santé vu par des millions de personnes à la télé ?

  • Speaker #3

    C'est très, très simple. Tout simplement, j'ai été contacté par Laurent Munro, président de l'UNPPD, qui m'a proposé cet exercice, un petit peu délicat, puisqu'on ne maîtrise pas cette communication. C'est vraiment un journaliste qui vient vous rencontrer, qui vient filmer pendant... toute la journée. Et vous vous retrouvez avec une petite séquence de 2 minutes 30. Alors vous avez beau...

  • Speaker #2

    Une journée d'enregistrement.

  • Speaker #3

    Exactement. Extrêmement, forcément, pour mes collaboratrices aussi qui ont été filmées pendant presque une heure et ne pas avoir d'image à la télé, c'était un petit peu dur. On ne maîtrise pas. Effectivement, on ne maîtrise pas du tout la communication, mais on peut quand même orienter le journaliste et lui expliquer toutes les belles valeurs de notre métier.

  • Speaker #2

    Est-ce que c'était intéressant ? Qu'est-ce que vous avez senti à la suite de ce reportage ? Est-ce que c'était intéressant à Lyon, dans votre laboratoire, d'avoir fait cette émission ?

  • Speaker #3

    Déjà, c'est une expérience. Toute expérience est intéressante.

  • Speaker #2

    Ensuite... Il y a eu un retour ? Il y a eu des contacts ? Des gens qui vous ont appelés ?

  • Speaker #3

    Forcément, oui.

  • Speaker #2

    Des clients qui vous ont dit on vous a vu,

  • Speaker #3

    c'est super Bien sûr, bien sûr. Les retours sont considérables quand on pense qu'il y a... à peu près 450 000 téléspectateurs qui ont vu cette émission.

  • Speaker #2

    Plus les replays.

  • Speaker #3

    Exactement, les replays, sans parler de la communication ensuite sur les réseaux sociaux. On a eu beaucoup de patients qu'on a appelés le lendemain au laboratoire. On a voulu savoir où est-ce qu'on pourrait trouver une prothèse de cette qualité. Exactement, où est-ce qu'on pourrait trouver des artisans. Donc, c'est difficile de conseiller, effectivement. On peut dire qu'il y a des artisans de partout en France. qui sont capables de faire ce qu'on fait aujourd'hui.

  • Speaker #2

    Alors, ça s'apparente aux relations presse que fait l'UNPPD. Et donc, effectivement, UNPPD et relations presse, les rédactions appellent l'UNPPD par l'intermédiaire des agences de l'ARP. Et l'UNPPD, à un moment donné, peut dire, oui, à Lyon, on a quelqu'un, c'est un tel, un tel, parce qu'en fonction des cibles. Christian, les relations presse, donc plus logique pour un groupe de la taille d'Henri Schein, j'imagine que vous avez une démarche de relations presse ?

  • Speaker #0

    Oui, nous avons une démarche. Alors de communication plus globalement et pas que et pas spécialement en relation presse. Oui, de communication bien sûr pour être en contact avec nos clients. Mais au-delà de ça, l'ensemble des acteurs qui nous entourent. On est aujourd'hui en plus sur un marché qui bouge beaucoup. Donc c'est important de garder ce fameux contact qui va dans les deux sens d'ailleurs. En tout cas, nous, on essaye de communiquer au maximum.

  • Speaker #2

    Votre cible, Christian, c'est les prothèses dentaires, ça ne va pas être le grand public, donc c'est une communication spécialisée ?

  • Speaker #0

    Alors non, ça ne va pas être le grand public, effectivement. En premier lieu, nos clients, donc prothèses dentaires, nos dentistes, assistantes dentaires, mais au-delà de ça, les médias, les centres de formation et tous les acteurs qui œuvrent avec nous, finalement, pour le développement du marché. et finalement de la filière de soins, parce qu'il ne faut jamais oublier qu'il y a quand même un patient...

  • Speaker #2

    Exactement, un patient au bout de la chaîne. Mathieu, quand on a comme ça des profils complètement différents, vous l'avez dit tout à l'heure, un prothésiste dentaire qui est à un moment donné une petite structure, avec une énorme structure qui est un riche châne, comment à un moment donné la communication peut être pertinente ? Qu'est-ce qu'on peut proposer par l'intermédiaire d'un groupe comme Parisia avec des supports presse, avec des supports internet ? Et plus globalement, en tant qu'expert de la comsanté, qu'est-ce qu'on peut proposer comme type de communication ?

  • Speaker #1

    Ce qui est sûr déjà, c'est que la communication qui a été effectuée pour l'un et pour l'autre ne peut pas être identique. Tout simplement, si on parle de presse, justement, la presse, on le sait, c'est un cours relativement élevé parce que ça reste de la presse.

  • Speaker #0

    C'est vrai.

  • Speaker #1

    Voilà. Et pareil.

  • Speaker #2

    On sent l'expérience. Mais quand vous dites que c'est élevé, c'est-à-dire que là, on est sur de la pub classique, la page de pub.

  • Speaker #1

    Exactement. C'est-à-dire qu'en fait, on est en pleine transition aussi de communication. C'est-à-dire qu'aujourd'hui, on a des dentistes. comme des prothésistes qui sont dans une tranche d'âge qui consomment encore de la publicité papier. Ce qui fait qu'aujourd'hui, pour qu'on existe, pour qu'on ait tiré à 27 000 exemplaires, parce qu'on a encore cette audience qui nous suit et on a aussi des industriels qui nous suivent avec. Donc, ce que je veux dire, c'est que...

  • Speaker #2

    Donc, le papier n'est pas mort, en fait ?

  • Speaker #1

    Non, loin de là. Ça se voit tout simplement par les chiffres. Mais au-delà de ça, c'est les retours qu'on a de nos lecteurs. Et ce que je veux dire, c'est que si, à Vincent, je lui proposerais une communication... presse, ça serait une mauvaise solution en communication parce que ça ne serait ni adapté à sa structure. Oui,

  • Speaker #2

    on n'est plus sur de l'opportunité à un moment donné, comme ça a été fait, mais pas sur une campagne à faire pour un laboratoire comme le laboratoire dans l'enfer.

  • Speaker #1

    C'est ça, les objectifs d'un laboratoire de prothèse local ou départemental ne vont bien évidemment pas être celles d'Henry Schein France, par exemple. Donc c'est pour ça qu'on va adapter une communication. Après, rien n'empêche de faire aussi travailler avec les laboratoires à taille humaine pour effectivement répondre un petit peu à leurs messages, leurs... leur zone de chalandise finalement. Donc il y a aussi un cumul print, print, digital, qui nous aujourd'hui, auprès d'Henri Chahine France, ou comme autre laboratoire professionnel. d'industrie dentaire, à justement faire un cumul print et digital pour justement...

  • Speaker #2

    Sorgue de package. Exactement. Mais alors du coup, Henri Schein, quand vous avez un groupe comme Parisien en face de vous, qu'est-ce qui est intéressant pour vous en termes de communication ? Comment vous utilisez à un moment donné cette hybridation des médias, que ce soit à la fois l'hybridation du papier où on peut intervenir en rédactionnel, en communicationnel pur avec la pub, et après derrière aussi le média digital, le

  • Speaker #0

    Le côté hybride, évidemment, nous intéresse, parce que je suis tout à fait d'accord, Mathieu, qu'aujourd'hui, le papier reste vivant. Je crois que c'est le bon qualificatif. Et puis, à côté de ça, il y a tout le digital qui se développe et qui le complète. Après, ce qui va nous intéresser particulièrement avec Parésia, c'est justement de pouvoir s'intégrer dans un cadre rédactionnel. Parce que faire de la pub pour de la pub, très bien. mais si ça donne du sens, si ça complète, si ça s'associe au mieux, je dirais aux propos rédactionnels, qui est quand même l'objectif, le cœur de métier, c'est beaucoup mieux. Alors on peut y contribuer en partageant de l'information, et on peut y contribuer aussi tout en faisant de la publicité, parce qu'il y a quand même un côté évidemment commercial pour nous, mais qui soit directement lié avec le sujet traité, la thématique.

  • Speaker #2

    et ça je dois dire qu'avec Parésia il y a toujours cette recherche justement de six un peu de brain content d'apport de certitude qui peut être en termes de com très fort parce que c'est pas juste voilà regarder qui on est acheter notre produit c'est on est un acteur et en tant qu'acteur on vous apporte une information on est là dessus c'est ça Vincent par rapport à justement cette hybridation digitale donc on a compris que la partie papier avait un coût qui était plus difficile d'accès par rapport à un laboratoire de qui n'est pas un laboratoire national, parce que vous travaillez à Lyon, dans une région définie, etc. Mais le site Internet, j'imagine, Mathieu, peut-être que je me trompe, que Vincent aurait intérêt ou pas à communiquer et que ça serait peut-être moins cher, plus approprié, peut-être ciblé. Est-ce que vous avez la possibilité d'avoir à un moment donné une communication qui est faite sur Internet uniquement dans une région donnée ? C'est des choses qui se font ou pas ?

  • Speaker #1

    Oui, en fait, effectivement, le digital serait déjà beaucoup plus approprié à une communication un petit peu plus restreinte. Par contre, il y a la partie print, presse, qui existent, mais il ne faut pas oublier aussi la partie, ce qu'on appelle le service. C'est-à-dire, comme toute société, on ne passe pas uniquement par la presse, parce qu'en fait... Là, ce qui est important de savoir, c'est qu'en fait, il ne faut pas considérer la presse comme 90% d'un budget. On sait très bien que la presse aujourd'hui, par rapport à avant, ce n'est pas un canal d'acquisition où on attend immédiatement un retour sur investissement.

  • Speaker #2

    D'ailleurs, le ROI, le fameux ROI, l'élément qui nous permet de savoir si c'est rentable ou pas dans la presse, il reste quand même un peu flou,

  • Speaker #1

    non ? C'est exactement l'une des objections commerciales majeures qu'on a aujourd'hui. Et on leur dit tout simplement, aujourd'hui, faire une communication print n'a aucune valeur. c'est comme si demain on nous donne 4000 euros, on dit vous perdez 4000 euros. C'est-à-dire qu'il faut avoir une récurrence sur le print, à l'instar du digital ou sur une campagne d'emailing par exemple, une seule campagne, un seul envoi peut justement générer, ne serait-ce que des contacts. Et on l'a vu à l'ADF, on a des sociétés d'usinage qui nous ont fait confiance, ils ont fait, ils ont testé avec nous, et les retours ont été, on a calculé, après bien que ça reste bien spécifique, on a des... sur des retours sur investissement de 11 fois 11 fois 12. Donc, c'est relativement important.

  • Speaker #2

    Vincent, vous aviez fait aussi une opération, un test avec le magazine Capital à un moment donné. Je me souviens, il y a deux, trois ans, sur un public rédactionnel.

  • Speaker #3

    Exactement, oui, c'est du public rédactionnel. Alors après, je pense que pour la communication, il y a plusieurs éléments. La cible, l'objectif, le message et quel média choisir. En l'occurrence, je pense qu'on s'était trompé de média. On s'était trompé de cible. Enfin bref, on testait.

  • Speaker #2

    C'était pas à conclure.

  • Speaker #3

    Exactement, on testait la communication. Et au fil du temps, on a appris finalement par nous-mêmes ce qui est difficile pour les prothésistes. C'est pas leur métier, c'est comme le management. Il y a énormément de choses que finalement le prothésiste apprend par lui-même. Et avoir un support d'une agence de communication, c'est aussi bénéficier de cette expérience et éviter certains écueils. Capital, c'était une erreur.

  • Speaker #2

    C'était une expérience, mais intéressante du coup.

  • Speaker #3

    Une expérience, comme tu le dis, effectivement.

  • Speaker #2

    Christian, comment vous organisez en termes de communication sur la dualité qui existe aujourd'hui en termes de marques avec Zerlux, qui est la marque d'Henry Schein. On communique sur quoi ? Plus sur Zerlux, plus sur Henry Schein, la marque mère, c'est quoi ?

  • Speaker #0

    On a plein de sujets, effectivement. Le fond, en tout cas l'objectif de communication pour nous, c'est de... au-delà de partager de l'information, de la relayer et contribuer finalement à l'information tout simplement du marché et des clients, nous ce qui va nous intéresser c'est de mettre en avant notre différence. et je dirais même nos différences. Et ces différences-là, elles portent sur l'ensemble des services qu'on peut apporter autour d'un produit ou d'un prix. Et c'est vrai que... Sur ce marché d'Enterme et comme tous les autres marchés, il est difficile de faire la part des choses entre des acteurs qui sont sur le web et qui sont des dispenteurs et qui offrent un prix, et ils ont leur raison d'être, et puis d'autres qui cherchent à apporter beaucoup plus parce que les clients ont besoin de plus, de conseils, d'accompagnement, de support technique. de financement. Voilà, c'est toute la palette de services que l'on apporte.

  • Speaker #2

    Vous communiquez beaucoup avec des cas cliniques aussi.

  • Speaker #0

    Effectivement, ça peut être des cas cliniques parce que, encore une fois, le patient est toujours au bout de la chaîne. Mais autour de ça, c'est aussi le besoin propre du client dentiste ou prothésiste sur ce que l'on peut lui apporter, encore une fois, en plus. Et donc, on va construire notre plan média, évidemment, et comme disait Vincent, les cibles, elles sont assez simples pour nous à définir, les médias, et on essaye d'être très diversifiés avec des partenaires comme Parisia et d'autres médias, et puis surtout le message. Et le message, il est concentré sur quels sont les points de différence qui ont le plus de sens et de valeur pour nos clients, comment le communiquer, comment le faire passer très simplement. Et c'est ce sur quoi on travaille tous les jours. Et comme dit Vincent, on se trompe, mais il faut se tromper. c'est en se trompant que justement on peut avancer et avoir les bons messages et le bon feedback de l'audit du marché exactement

  • Speaker #2

    Mathieu est-ce qu'il y a quelque chose de plus intéressant pour un groupe comme Parisien par exemple avec l'ensemble des support prints et du site internet toi en tant qu'expert vous en tant qu'expert de la communication santé est-ce que c'est un laboratoire où il va falloir se creuser la tête justement pour trouver le bon moyen la bonne cible et la façon avec l'adaptation du coup on peut par rapport aux résultats sur des grosses machines comme Parisien ou est-ce que c'est plutôt les grosses entreprises comme E-Shine où là, c'est un peu du velours, on sait, il y a une stratégie aussi qui est réfléchie en amont dans l'entreprise. On voit qu'il y a du contenu et c'est intéressant. Est-ce que c'est vraiment deux sujets complètement séparés ? Est-ce que les deux sont importants ? C'est quoi ?

  • Speaker #1

    En fait, il y a des synergies communes. C'est de servir in fine le patient en bout de chaîne, comme on le disait. Par contre, effectivement, plus on est dans une entreprise restreinte, forcément, plus on est multitâche. Ça, je pense que tout chef d'entreprise, et moins qu'aujourd'hui, on le vit au quotidien. Donc effectivement, on est obligé d'adapter sa structure à sa communication. J'imagine bien que Vincent ne pourra pas communiquer de la même manière qu'Henri Schein. Au-delà de la partie financière, c'est sur une partie stratégique, sur une bande passante mentale aussi qui est importante. Et aussi, on parle de publicité, c'est bien, mais je rejoins effectivement Christian Debus qui parle de cas cliniques. Aujourd'hui, c'est vrai que tous les prothésistes, tous les chirurgiens dentistes pourront le dire, ils sont matraqués de pubs. même en B2C. C'est le cas, là encore, je regardais ce matin.

  • Speaker #2

    B2C, c'est-à-dire de l'entreprise au client.

  • Speaker #1

    Exactement. Moi, je regarde encore aujourd'hui. J'ai reçu 46 mails ce matin. Demain, si je ne lis pas, j'en aurai une centaine, très probablement. Et je ne veux pas savoir la boîte mail de Vincent ou de Christian. Je pense qu'on est sur le double, voire le triple. Mais ce qui veut dire qu'il faut trouver des nouveaux moyens. Et je pense qu'aujourd'hui, le Dental Forum, c'est un moyen aussi de rapprocher la profession des industries, des prothésistes. Et je pense qu'aussi... On a ce pivotement progressif qui s'effectue et on a besoin de se voir. Le fait de voir Christian Debus après la nomination récente, ça fait toujours du bien de revoir l'une des personnes de son équipe, Marion Sebastianelli, avec qui on travaille tous les jours. C'est aussi un plaisir, ça permet de se rapprocher, de comprendre ce qui se passe. Il y a peut-être des choses qui nous échappent. qu'on ne peut pas faire par un mail, qu'on ne peut pas faire via la publicité.

  • Speaker #2

    En fait, ce que vous dites, c'est que la création de la campagne de communication, quelle qu'elle soit, ne peut pas juste être unilatérale, il faut qu'elle soit bilatérale et en construction avec l'ensemble des acteurs. C'est-à-dire qu'en fait, vous nourrissez aussi du besoin et des échanges que vous pourriez avoir demain avec Vincent Malenfer, par exemple. Vous avez écrit sur du plus sur Rishine et c'est ensemble que vous construisez une campagne qui finalement est unique en fonction de chaque client.

  • Speaker #1

    En fait, progressivement, on co-brand une campagne. Finalement, avant de poser de la pub, on dit détaché, tout achète pas. C'est de la communication. Il y a 20 ans, aujourd'hui, quand on a une société qui vient nous voir, c'est qu'on leur dit il y a une partie commerciale, certes, mais aussi une partie clinique. Nous aussi, on a besoin d'un support clinique pour asseoir la notoriété de Dantoscope. bien qu'elle est aujourd'hui plus approuvée. Mais on continue à nourrir ce magazine-là par de l'apport clinique et aujourd'hui, tout le monde joue le jeu, donc c'est pour ça qu'on existe encore.

  • Speaker #2

    Donc en fait, ça veut dire, Mathieu, que tout acteur du secteur de l'univers de la prothèse dentaire, qu'il soit grand groupe ou laboratoire de toute taille, n'a rien à perdre à venir vous voir et dire, voilà, discutons, alors que ça soit à l'occasion d'un forum de l'ADF ou autre, mais discutons et voyons si ça peut donner quelque chose. Donc en fait, vous contactez directement via le site internet où on va donner vos coordonnées, évidemment, à la fin de l'émission. pour dire, moi j'ai un laboratoire, j'ai 3 salariés, j'ai 50 salariés, est-ce que j'ai quelque chose à faire ?

  • Speaker #1

    Bien sûr, et bien heureusement qu'on ne laisse pas la place qu'aux grandes entreprises, tout le monde a sa place en communication. Et c'est vrai qu'on a toujours cet esprit très élitiste de la presse, des plus gros médias, mais il y a de la place pour tout le monde. C'est pour ça qu'on est aussi amené à créer des offres. beaucoup plus large qu'auparavant. On n'est pas plus simplement sur de la page simple, on est vraiment sur un panel de services. Et je dis bien services.

  • Speaker #2

    Ça va même au-delà, parce qu'on n'a de limite que l'imagination. Au final, ce que vous avez fait, Mathieu, avec le groupe parisien à l'ADF, par exemple, vous avez créé un studio TV à part entière en proposant à un moment donné aux personnes qui étaient déjà... ou pas cliente de chez Paris Air, de dire, ben voilà, il y a un studio TV, on peut enregistrer une interview, et cette interview sera diffusée à un moment donné sur le site, sur les réseaux, sur YouTube, etc. Et vous avez eu à la fois des grands groupes. Et vous avez eu aussi des toutes petites structures qui vous ont accompagné,

  • Speaker #1

    je pense,

  • Speaker #2

    on peut le citer, parce que c'est un de vos clients, à Jean-Cyx, par exemple, qui est présent d'ailleurs, pas dans Talfora, mais à la JNAD, J'en ai nationalisé un instant en terre aujourd'hui, et qui, à un moment donné, vient et communique par l'intermédiaire de Parisien.

  • Speaker #1

    Parfaitement, mais c'est exactement ça. On a autant les grandes structures qui ont forcément un besoin de plus de notoriété que ces entreprises beaucoup plus petites qui ont besoin vraiment d'un retour sur investissement beaucoup plus direct. Mais voilà, c'est-à-dire qu'aujourd'hui, on est, pour ne pas dire le premier, l'un des plus grands groupes en France, Benelux, de la présentère, et on s'adapte absolument à tout type d'entreprise, et c'est ça qui fait la force d'un groupe aujourd'hui, c'est savoir se réinventer.

  • Speaker #2

    Vincent, en dehors de ces deux expériences, une que vous avez... fait de vous-même et une autre qui vous est arrivée, et on a vu que cette deuxième expérience, qui est le magazine de la santé, était une expérience très positive. Est-ce que vous avez une stratégie de communication média ? Alors, quand je dis média, c'est tout média. Ça peut être le site Internet, le petit site Internet aussi local, je ne sais pas, ou le soutien à un club de sport. Est-ce que vous avez des bonnes pratiques ou des choses ?

  • Speaker #3

    L'engagement, oui. Ça fait partie de la communication. Alors, on ne soutient pas un club de sport, mais on soutient une école. et c'est tout aussi important on peut la citer c'est des partenaires aussi oui effectivement l'académie d'Arventer l'académie d'Arventer effectivement voilà on soutient cette école et on pousse les jeunes aussi vers ce métier et c'est une forme d'engagement mais une forme de communication aussi exact on l'oublie peu en fait on l'oublie trop c'est à dire qu'en fait il faut être malin et c'est ce que vous dites dans

  • Speaker #2

    la communication et à un moment donné ne pas se dire la communication c'est du papier c'est du digital point barre et voilà mais c'est aussi d'autres choses et cet engagement que vous avez auprès de la caméra inventaire est un engagement sincère que vous faites depuis des années mais c'est aussi une forme de visibilité par rapport à des futurs professionnels à un moment donné

  • Speaker #3

    Exactement, c'est un engagement vis-à-vis d'une profession il y a plein de manières de s'engager vis-à-vis d'une profession ici vous avez par exemple le sourire je choisis le sourire made in France dont vous faites partie également ? Alors pas encore mais je pense que je vais en faire partie à l'occasion de ce dental parce que je pense que c'est une cause importante et ça fait partie de l'engagement et de la communication donc en fait quand on est une petite structure ça fait partie des choses qu'on peut faire aussi et au final qui coûte du temps de

  • Speaker #2

    l'investissement de temps mais pas tant d'argent finalement que ça

  • Speaker #3

    non non non juste un engagement sur cette partie

  • Speaker #2

    Christian les prochaines les prochaines grandes communications en reshine en cours c'est quoi on est plus sur du du nouveau qu'on a jamais vu on est sur du média digital on est plus sur du print on est plutôt sur l'hybridation sur l'ensemble dans la continuité est-ce qu'il y a des choses de nouvelles qui vont arriver

  • Speaker #0

    Rien de révolutionnaire. Effectivement, on a au fil du temps des nouvelles solutions qui arrivent. On présente d'ailleurs aujourd'hui... Parce que la notion de solution, ce n'est pas forcément un produit en tant que tel ou un service. C'est vraiment répondre à un besoin. Là, j'en veux pour exemple, aujourd'hui, on présente une solution d'impression 3D par microfusion où on propose avec un partenaire une solution où le client va payer l'usage. et non pas ni l'investissement de la machine ni les consommables. Donc, pour nous, c'est ça l'innovation, en fait. C'est la façon dont on apporte la capacité pour nos clients à produire et, en tout cas, à répondre à leurs clients. Maintenant, pour revenir à votre question, Geoffroy, on a effectivement le plan média, on a parlé de print, on a parlé de digital, et aujourd'hui, c'est encore plus facile de le dire. La base, c'est quand même les relations qu'on a avec... en présentiel, on parle de figital, donc ok du digital. Le figital ? Oui, le figital, bien sûr. Mais j'y tiens absolument. Et dans un groupe comme le nôtre, Henri Schein, il y a toujours cette volonté d'investir beaucoup dans le digital et d'être à la pointe. Et franchement, en toute humilité, je ne pense pas qu'on y soit aujourd'hui. Mais peu importe. Parce que la chance, c'est aussi d'être sur des micro-marchés, mais sur petits, nos marchés. Donc, profitons-en. pour voir au maximum nos clients et nos partenaires. Ça passe par les salons, ça passe par nos équipes sur le terrain avant tout. Et vraiment, ça,

  • Speaker #2

    c'est important de le tenir. Et l'engagement, vous avez aussi, par rapport à ce que disait Vincent, vous avez dit auprès des écoles, parce que vous êtes aussi un partenaire de la camionnette en terre, vous êtes très présent à cette future génération de prothésistes. Et ça, c'est une possibilité importante.

  • Speaker #0

    Et là, c'est presque aussi de notre rôle et même notre devoir aussi de faire ça. Et puis, c'est très intéressant d'être en contact avec les étudiants futurs prothésistes, bien sûr, ou assistantes dentaires, parce que c'est autant de sources d'informations sur la façon dont nous devons nous adapter et évoluer pour mieux leur répondre. Donc voilà, en tout cas, j'insiste bien là-dessus, même s'il faut communiquer et nous investissons en la matière, qu'on ne perde pas cette relation humaine qui est là. qui est essentiel et qu'on peut avoir au jour le jour avec Vincent, par exemple.

  • Speaker #2

    Justement, Mathieu, nous sommes au Dental Forum. C'est le lieu de rencontre des prothésistes dentaires. Il y a, pendant ces trois jours, énormément de laboratoires présents. Comment un groupe comme Parisien peut parler à ces petites structures, comme celle de Vincent, par exemple, qui sont là aujourd'hui, très nombreuses ? Est-ce qu'il y a une manière de leur parler collectivement ? des solutions pour leur dire, voilà, là, ils nous écoutent. Voilà, vous pouvez venir nous voir en parlant de ça, de ça, de ça. Qu'est-ce que vous diriez ?

  • Speaker #1

    Finalement, sur cet aspect-là, si on revient sur la partie scientifique, la mécanique, elle est la même. elle est la même, c'est-à-dire qu'ils ont un savoir-faire et ils méritent d'avoir un savoir-faire. Les grands groupes ont un savoir-faire plus collectif, forcément, ne serait-ce que par la ressource de l'entité. Mais finalement, la mécanique, elle est la même. C'est-à-dire que nous, on est un tiers de confiance. Donc c'est-à-dire que ce soit un prothésiste de chez Henry Schein France, et un prothésiste de chez Vincent, ce sont des prothésistes. Donc ils font le même métier. ils ne sont peut-être pas des mêmes échos, mais ils font le même métier et ils doivent servir.

  • Speaker #0

    On n'a pas de prothésistes.

  • Speaker #3

    D'anciens prothésistes.

  • Speaker #2

    Il y a des prothésistes, mais ils ne sont plus à la cheville.

  • Speaker #0

    Exactement.

  • Speaker #1

    Mais finalement, la finalité est la même. C'est-à-dire que s'ils ont un message à faire passer... quels qu'ils soient, nos magazines sont ouverts aussi.

  • Speaker #2

    Mais ça fait... Enfin, je pense que ça fait un peu peur. C'est-à-dire que les petits structures ont un peu peur. On se dit, ben non, on ne peut pas y aller. Ce n'est pas pour moi du tout, en fait. Est-ce qu'il y a des logiques aussi ? Est-ce que vous conseilleriez de venir individuellement ou venir avec des logiques de regroupement ? Vincent a parlé du Sourire Made in France. C'est un regroupement de prothèses dentaires, voilà, par exemple.

  • Speaker #1

    Oui, ça peut être une des solutions. En fait, je pense qu'il y a toujours, en fait, une marche à franchir. C'est un peu comme l'investissement. C'est comme dans la vie de tous les jours, il y a toujours cette petite chose qui dit j'ai peur de le faire Parce qu'on se dit souvent...

  • Speaker #2

    C'est l'inconnu aussi.

  • Speaker #1

    C'est l'inconnu qui fait peur, mais c'est humain, c'est psychologique. Donc il faut tout simplement... Maintenant aussi, ces moments-là sont aussi bons à ce que je leur dise clairement. N'hésitez pas, venez nous voir. Vous avez un savoir-faire et vous méritez d'être publié sur un magazine comme Tentoscope.

  • Speaker #2

    Ok, voilà,

  • Speaker #1

    il faut passer le cap.

  • Speaker #2

    Et les regroupements, parce que je pense, en regardant Vincent, je pense à Lyon, il y a une énergie incroyable dans cette ville avec des prothèses dentaires qui se sont regroupées, ils sont un certain nombre sur l'égide de Vincent Malenfer, on pense aussi à Christophe Cosaillan, on pense aussi à Romain Schiafoloni et bien d'autres, et qui se sont rassemblés, qui se retrouvent et qui sont en fait des prothèses dentaires. qui échangent, qui réfléchissent en problématiques communes. Ces regroupements-là, ça peut être intéressant de dire on peut proposer une communication globale sur la prothèse en terre dans une ville.

  • Speaker #1

    Le sourire made in France est l'exemple parfait. Et ça serait complètement opportun pour tous, effectivement, de discuter, de voir comment collectivement, on peut faire porter un message, porter un apport, enfin pousser un apport scientifique.

  • Speaker #2

    donc oui parfaitement en fait quand je vous écoute en fait tout est possible en fait tout est possible et ça fait pas un peu père noël quand même parce que ça veut dire là vous êtes en train de nous dire bah oui si j'ai deux salariés je peux venir voir Mathieu Lemoyne il va me trouver une solution c'est vraiment ça alors en fait c'est que la problématique chez les prothésistes et comme on disait tout

  • Speaker #1

    à l'heure avec Vincent et Christian il y a encore tout à faire aujourd'hui notamment dans la prothèse tout est à faire chez les orthodontistes chez les chirurgiens orthodontistes on y est déjà depuis longtemps donc aujourd'hui, on est au début de quelque chose. Et donc, nous, on vient aussi, comme je le disais, comme un tiers de confiance.

  • Speaker #2

    Pour les accompagner, pour les conseiller.

  • Speaker #1

    Exactement.

  • Speaker #2

    Eh bien, formidable. Mathieu, si on veut vous contacter, si on a envie de venir vous voir, je suis prothésiste dentaire, j'ai un labo, j'ai trois salariés, j'en ai 40 salariés. Je n'ai pas encore communiqué dans les médias et je ne pensais pas que je pouvais le faire. Comment je fais ?

  • Speaker #1

    Il suffit de faire quelques mètres, venir à la...

  • Speaker #2

    Alors, pour ceux qui nous écoutent là, mais ceux qui nous écoutent sur Modulus en rediffusion. Eh bien,

  • Speaker #1

    écoutez... Je suis extrêmement présent sur les réseaux sociaux, notamment LinkedIn. Je sais qu'il y a beaucoup de personnes qui me suivent dessus. Donc sur LinkedIn, Mathieu Lemoyne, vous pouvez me suivre.

  • Speaker #2

    Comment vous écrivez Lemoyne ?

  • Speaker #1

    Lemoyne, c'est breton, c'est L-E plus loin M-O-I-N-E-G. Ou tout simplement, contactez le groupe de presse Parisia. vous me demandez, bien évidemment, je vous répondrai avec grand plaisir.

  • Speaker #2

    Donc, ne serait-ce que pour avoir conseil, il faut discuter et échanger.

  • Speaker #1

    Exactement.

  • Speaker #2

    Et tout simplement, sans engagement outre mesure, mais de voir ce qui peut être fait.

  • Speaker #1

    Je suis assez ouvert à la discussion. Je pense que les gens qui me connaissent le savent, donc venez, je ne mords pas.

  • Speaker #2

    Vincent, mot de la fin ?

  • Speaker #1

    Difficile Difficile

  • Speaker #3

    Difficile Mais je pense que Mathieu a raison En termes de communication en prothèse dentaire Tout est à faire Autant côté industriel Je pense que c'est déjà quelque chose qui est déjà mis en place Et déjà rodé Pour les prothèses dentaires C'est une nouvelle voie peut-être Peut-être avec Mathieu Peut-être avec d'autres Mais en tout cas il commence à y avoir une prise de conscience Et là on est dans une période Qui est une période un petit peu Atonique Le marché de la prothèse dentaire est un petit peu mou, tout le monde cherche des solutions, et peut-être que c'est la communication.

  • Speaker #2

    Peut-être que c'en est une.

  • Speaker #0

    formidable Christian un petit mot de la fin une deuxième fin ben profitons de l'instant de ces deux jours pour qu'est-ce que vous avez dit le fi la fi ah le figitol le figitol ah j'ai appris un mot j'adore profitons justement du fi et de ces deux jours de salon pour communiquer et échanger mais aussi pour être source d'inspiration sur les futures communications Parce que c'est en écoutant les attentes, les perceptions, qu'on définit mieux tout le plan média que l'on peut construire derrière.

  • Speaker #2

    Mathieu, le mot de la fin.

  • Speaker #1

    Vous me croyez, Geoffroy, si je vous dis que je n'en ai pas. Non, merci à tous, en tout cas, d'avoir suivi cette émission. Merci, Geoffroy. Merci, Christian. Et encore, félicitations pour cette fabuleuse nomination. Vincent, merci infiniment. Je pense qu'il y a des solutions à tout. Sans être un père Noël, il faut tout simplement être ouvert à la discussion.

  • Speaker #2

    Et venir vous voir, Mathieu Lemoyne, sur LinkedIn, sur les réseaux sociaux et le groupe Parisia sur Internet.

  • Speaker #1

    Exactement.

  • Speaker #2

    Dans Terre 365 et dans Toscope. formidable et bien super vous allez retrouver cette émission dans les jours qui viennent sur Modulus alors est-ce qu'il y a ma directrice des programmes qui est là ah bah oui Laura là-bas voilà Laura est-ce que tu peux nous dire quand est-ce que diffuser l'émission s'il te plaît c'est quel jour on peut réécouter l'émission tous les lundis à 18h tous les mercredis à 8h30 et puis tous les samedis à 10h et bien c'est formidable merci Laura et Modulus c'est une équipe c'est aussi Julien Ferru notre producteur exécutif Lucas qui est notre ingénieur magnifique et puis ils avaient promis d'être bons ils ont été excellents nos deux invités monsieur Christian Dobus directeur général de Enriching France félicitations encore Christian pour cette belle nomination évidemment méritée et puis Vincent Vincent Malenfer du laboratoire Malenfer prothésiste de qualité on peut les appeler très fort merci merci à tous et bon Dantel Forum merci à tous

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