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LE MORNING RADIO MONACO

Un nouvel étiquetage pourrait faire son apparition dans les rayons des supermarchés.

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02min |07/05/2024|

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Description

Oui, vous connaissez le nutri-score, ces lettres A, B, C, D, et E qui classent les produits alimentaires en fonction de leur qualité nutritionnelle, on s’y est tous habitués … Eh bien, un nouvel indicateur pourrait bientôt nous informer, sur un modèle similaire, de la qualité de vie des animaux ayant servi à la production des œufs, de la viande et des produits laitiers : une sorte de nutri-score du bien-être animal. C’est en tout cas une recommandation officielle de l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail. 


Alors que l’Union Européenne envisage d’adopter un étiquetage harmonisé sur les produits alimentaires, l’Anses a rendu, il y a quelques jours, les résultats de trois ans de travail d’une quarantaine d’experts pour obtenir une classification claire basée sur des critères scientifiques et transposable d’un pays à un autre. Elle recommande, comme pour le nutri-score, une classification à cinq niveaux allant du meilleur (A) au plus faible (E), ce dernier niveau correspondant au strict respect de la législation européenne existante sur la vie en élevage, le transport et l’abattage. 


L’agence propose de s’intéresser non seulement aux conditions d’élevage sur le papier, mais d’étudier les bêtes elles-mêmes


Oui, l’expertise recommande de se pencher sur toutes les étapes de leur existence à la ferme mais aussi dans les transports où à l’abattoir. Aujourd’hui, la plupart des labels existants ne mesurent le bien-être des animaux qu’en se basant sur les modes d’élevage. L’ANSES, elle, invite à prendre des mesures directement sur les animaux eux-mêmes pour évaluer leur état physique et mental. Elle préconise également de prendre en compte la qualité de vie des ascendants des animaux. 


Une proposition qui s'inscrit dans un impératif de transparence, face à des consommateurs exigeants et une demande croissante de la société pour une meilleure prise en compte du bien-être des animaux mais qui n’est pas, pour l’instant, en passe, d’être rendue obligatoire.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Oui, vous connaissez le nutri-score, ces lettres A, B, C, D, et E qui classent les produits alimentaires en fonction de leur qualité nutritionnelle, on s’y est tous habitués … Eh bien, un nouvel indicateur pourrait bientôt nous informer, sur un modèle similaire, de la qualité de vie des animaux ayant servi à la production des œufs, de la viande et des produits laitiers : une sorte de nutri-score du bien-être animal. C’est en tout cas une recommandation officielle de l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail. 


Alors que l’Union Européenne envisage d’adopter un étiquetage harmonisé sur les produits alimentaires, l’Anses a rendu, il y a quelques jours, les résultats de trois ans de travail d’une quarantaine d’experts pour obtenir une classification claire basée sur des critères scientifiques et transposable d’un pays à un autre. Elle recommande, comme pour le nutri-score, une classification à cinq niveaux allant du meilleur (A) au plus faible (E), ce dernier niveau correspondant au strict respect de la législation européenne existante sur la vie en élevage, le transport et l’abattage. 


L’agence propose de s’intéresser non seulement aux conditions d’élevage sur le papier, mais d’étudier les bêtes elles-mêmes


Oui, l’expertise recommande de se pencher sur toutes les étapes de leur existence à la ferme mais aussi dans les transports où à l’abattoir. Aujourd’hui, la plupart des labels existants ne mesurent le bien-être des animaux qu’en se basant sur les modes d’élevage. L’ANSES, elle, invite à prendre des mesures directement sur les animaux eux-mêmes pour évaluer leur état physique et mental. Elle préconise également de prendre en compte la qualité de vie des ascendants des animaux. 


Une proposition qui s'inscrit dans un impératif de transparence, face à des consommateurs exigeants et une demande croissante de la société pour une meilleure prise en compte du bien-être des animaux mais qui n’est pas, pour l’instant, en passe, d’être rendue obligatoire.


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Alors que l’Union Européenne envisage d’adopter un étiquetage harmonisé sur les produits alimentaires, l’Anses a rendu, il y a quelques jours, les résultats de trois ans de travail d’une quarantaine d’experts pour obtenir une classification claire basée sur des critères scientifiques et transposable d’un pays à un autre. Elle recommande, comme pour le nutri-score, une classification à cinq niveaux allant du meilleur (A) au plus faible (E), ce dernier niveau correspondant au strict respect de la législation européenne existante sur la vie en élevage, le transport et l’abattage. 


L’agence propose de s’intéresser non seulement aux conditions d’élevage sur le papier, mais d’étudier les bêtes elles-mêmes


Oui, l’expertise recommande de se pencher sur toutes les étapes de leur existence à la ferme mais aussi dans les transports où à l’abattoir. Aujourd’hui, la plupart des labels existants ne mesurent le bien-être des animaux qu’en se basant sur les modes d’élevage. L’ANSES, elle, invite à prendre des mesures directement sur les animaux eux-mêmes pour évaluer leur état physique et mental. Elle préconise également de prendre en compte la qualité de vie des ascendants des animaux. 


Une proposition qui s'inscrit dans un impératif de transparence, face à des consommateurs exigeants et une demande croissante de la société pour une meilleure prise en compte du bien-être des animaux mais qui n’est pas, pour l’instant, en passe, d’être rendue obligatoire.


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Oui, vous connaissez le nutri-score, ces lettres A, B, C, D, et E qui classent les produits alimentaires en fonction de leur qualité nutritionnelle, on s’y est tous habitués … Eh bien, un nouvel indicateur pourrait bientôt nous informer, sur un modèle similaire, de la qualité de vie des animaux ayant servi à la production des œufs, de la viande et des produits laitiers : une sorte de nutri-score du bien-être animal. C’est en tout cas une recommandation officielle de l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail. 


Alors que l’Union Européenne envisage d’adopter un étiquetage harmonisé sur les produits alimentaires, l’Anses a rendu, il y a quelques jours, les résultats de trois ans de travail d’une quarantaine d’experts pour obtenir une classification claire basée sur des critères scientifiques et transposable d’un pays à un autre. Elle recommande, comme pour le nutri-score, une classification à cinq niveaux allant du meilleur (A) au plus faible (E), ce dernier niveau correspondant au strict respect de la législation européenne existante sur la vie en élevage, le transport et l’abattage. 


L’agence propose de s’intéresser non seulement aux conditions d’élevage sur le papier, mais d’étudier les bêtes elles-mêmes


Oui, l’expertise recommande de se pencher sur toutes les étapes de leur existence à la ferme mais aussi dans les transports où à l’abattoir. Aujourd’hui, la plupart des labels existants ne mesurent le bien-être des animaux qu’en se basant sur les modes d’élevage. L’ANSES, elle, invite à prendre des mesures directement sur les animaux eux-mêmes pour évaluer leur état physique et mental. Elle préconise également de prendre en compte la qualité de vie des ascendants des animaux. 


Une proposition qui s'inscrit dans un impératif de transparence, face à des consommateurs exigeants et une demande croissante de la société pour une meilleure prise en compte du bien-être des animaux mais qui n’est pas, pour l’instant, en passe, d’être rendue obligatoire.


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