Speaker #0Le son du désir ? Allô ma chérie ? Je t'appelle depuis ma voiture. Cela fait au moins une heure que je n'avance pas. C'est à croire que tout le monde a décidé de prendre la route en même temps que moi. J'en deviens dingue. Tu n'imagines pas combien ça peut être pénible d'être coincé dans son véhicule, seul. au milieu d'une autoroute complètement saturée. Parce que, bien sûr, les choses seraient totalement différentes si tu étais avec moi, ma chérie. Déjà, parce que j'adore ta compagnie, et ensuite parce que j'ai beaucoup d'idées pour passer le temps à deux, même au milieu du trafic routier. Oui, je t'imagine parfaitement là. assise à côté de moi, à bord de cette vieille voiture qu'on m'a prêtée pour quelques jours. C'est une DS19, un modèle Citroën des années 60. Pourquoi je te précise cela ? Parce que, si j'adore cette voiture, c'est pour son levier de vitesse, qui est situé au niveau du tableau de bord. Il n'y a donc aucun obstacle entre le conducteur et le passager, rien qu'une longue banquette. Aussi, crois-moi, cela peut être très pratique, suivant les situations qu'on rencontre sur la route, comme pendant les embouteillages. Autour de nous, le soir commence à prendre place. Des centaines de voitures, partout, qui avancent à peine. Leur phare s'allume, la nuit qui vient. On se regarde, toi et moi. Je te désire tellement, tu sais. J'ai hâte d'arriver et faire l'amour avec toi. Tu ne dis rien, mais tu souris avec un air mutin. Je te vois te coller contre la portière de la voiture et étaler tes jambes sur la banquette. Tu as enlevé tes chaussures pour être plus à l'aise et tu me pousses gentiment du pied, comme pour m'embêter, alors que je passe une vitesse afin de faire trois mètres, pas un de plus. La circulation est totalement arrêtée. Je pose ma main sur ton genou. J'aime beaucoup la robe que tu portes aujourd'hui. Tu écartes un peu plus les jambes et tu remontes le genou gauche pour prendre appui sur la banquette. Tes mains commencent à prendre le chemin de tes cuisses. Elles soulèvent le tissu de ta robe et la retroussent jusqu'à tes hanches. Tu me montres ta culotte et la désignes en frottant négligemment un doigt au-dessus de celle-ci. Je te connais. Quand tu commences à te faire du bien, tu ne t'arrêtes pas en si bon chemin. Et c'est exactement cela. Tu dégages légèrement sur le côté le tissu de ta culotte pour te caresser où cela t'est plus agréable. Ton doigt semble effleurer ton clitoris. Tu te touches lentement, de façon sensible comme pour préparer ton sexe, avant un déchaînement d'ardeur. J'aime quand tu te prends à côté de moi. Je garde une main sur ta jambe, une main sur le volant. Nous avançons encore une fois de quelques mètres pour doubler un camion et la circulation stop à nouveau. À droite de la voiture, au niveau de la portière, il y a à présent quelques mètres plus haut, la cabine du poids lourd et ce chauffeur routier qui grille une cigarette accoudée à sa fenêtre. Tu laves la tête. tu gardes les jambes écartées je te vois défaire les quatre boutons de ton décolleté ce qui entraîne la chute d'une des bretelles de ta robe je ne crois pas me tromper si je te dis que le chauffeur du camion n'en perd pas une miette de cette scène intrigante Dégage un peu plus un de tes seins, ma chérie, et sois joueuse. Allume un peu notre voisin. Enlève ta culotte, s'il te plaît. Tu ne te fais pas prier. Tu replies les jambes. Tu lèves légèrement les fesses et doucement, tu fais glisser ta culotte le long de tes cuisses. Tu relèves le menton, histoire de vérifier que ton spectateur voyeur a bien profité du moment, et alors que tu commences à plonger les mains un peu plus bas. Je démarre à nouveau, et notre voiture avance. Nous roulons aux pas devant le camion à présent. Le poids lourd nous fait plusieurs appels de phare. Tu l'as bien excité, celui-là. Tu sais, tu m'as bien excité, moi aussi. Tu viens t'allonger sur la banquette en posant ta tête sur ma cuisse. Que de bonheur cette voiture, sans rien qui sépare nos deux sièges. Tu m'as fait sentir tes dents sur la jambe, comme si tu allais me mordre. Avec tes mains, tu commences à parcourir mon pantalon jusqu'à cerner l'endroit le plus sensible de mon corps. Je dois garder mes mains sur le volant parce que la circulation de cet embouteillage se débloque par moments. Nous roulons à 10 km heure. Tu viens poser ta bouche sur mon pantalon juste à l'endroit de mon sexe et je sens que tu souffles de l'air chaud dessus. Tu mimes une fellation. Afin de m'exciter, je t'entends gémir. D'un coup d'œil, je remarque que tu as descendu une main entre tes jambes, tout en agaçant ma queue. Tu te caresses gentiment. Ah, si je pouvais te baiser là maintenant ! Tu déboutonnes mon pantalon. Baisse le zip de ma braguette et tu extrais ma bite, gonflée de désir de mon caleçon. Suce-moi, je t'en prie. Suce-moi comme jamais. Tu mets un son d'acquiescement, très suggestif, et je te sens pomper avec entrain mon sexe. Tu ne perds pas une seconde à faire semblant d'apprivoiser ma queue, non ? Tu la secoues énergiquement de bas en haut tout en maintenant le gland dans le rond de tes lèvres. La suite de cet épisode est réservée au VIP Leçon du Désir. Pour vous abonner, c'est très simple. Rendez-vous sur leçonsdudésir.fr et laissez-vous guider. A tout de suite !