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Gaell Mainguy nous raconte une expérience de facilitation.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Moi, je m'appelle Gaell Manguy, je suis directeur général adjoint du Learning Planet Institute. La première chose qui me vient à l'esprit, c'est un jour où j'assistais à une démonstration de plongée dans un village de vacances où il y avait des gens qui étaient en scaphandre et qui faisaient des essais. Et je trouvais ça formidable parce que depuis que je suis gamin, je rêve d'aller dans les fonds marins, mais je suis myope au dernier degré et j'ai un problème avec les oreilles, ce qui est en piscine. Je suis allé acheter des lentilles le soir même et j'étais le lendemain au club et j'ai fait mon premier plongeon. Et depuis, j'essaie de plonger chaque année parce que c'est une vraie passion. Donc je m'étais mis une barrière mentale, plusieurs même, que ce n'était absolument pas possible. Et il m'a levé ça en cinq minutes. Mais c'était le ton de la voix, c'était la manière dont il a eu de l'exprimer, l'assurance avec laquelle il disait oui, oui, mais des apprenants comme vous, j'en ai déjà vu plein et en fait, pas du tout. Il y a une autre manière de faire. Outre que j'ai découvert un monde… extraordinaire qui continue de me réjouir chaque fois que j'ai l'occasion de devoir mettre le nez sous l'eau. J'en ai tiré un enseignement magistral à quel point notre cerveau est capable de se créer des barrières absolument sans fin et que grâce à l'autre, on peut les lever parfois très rapidement. Et ça, c'est quand même un peu magique. Pour moi, c'est vraiment ce que je mets derrière le mot de facilitation. C'est cette capacité à baisser les barrières et à donner confiance en l'autre dans sa capacité à faire.
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Moi, je m'appelle Gaell Manguy, je suis directeur général adjoint du Learning Planet Institute. La première chose qui me vient à l'esprit, c'est un jour où j'assistais à une démonstration de plongée dans un village de vacances où il y avait des gens qui étaient en scaphandre et qui faisaient des essais. Et je trouvais ça formidable parce que depuis que je suis gamin, je rêve d'aller dans les fonds marins, mais je suis myope au dernier degré et j'ai un problème avec les oreilles, ce qui est en piscine. Je suis allé acheter des lentilles le soir même et j'étais le lendemain au club et j'ai fait mon premier plongeon. Et depuis, j'essaie de plonger chaque année parce que c'est une vraie passion. Donc je m'étais mis une barrière mentale, plusieurs même, que ce n'était absolument pas possible. Et il m'a levé ça en cinq minutes. Mais c'était le ton de la voix, c'était la manière dont il a eu de l'exprimer, l'assurance avec laquelle il disait oui, oui, mais des apprenants comme vous, j'en ai déjà vu plein et en fait, pas du tout. Il y a une autre manière de faire. Outre que j'ai découvert un monde… extraordinaire qui continue de me réjouir chaque fois que j'ai l'occasion de devoir mettre le nez sous l'eau. J'en ai tiré un enseignement magistral à quel point notre cerveau est capable de se créer des barrières absolument sans fin et que grâce à l'autre, on peut les lever parfois très rapidement. Et ça, c'est quand même un peu magique. Pour moi, c'est vraiment ce que je mets derrière le mot de facilitation. C'est cette capacité à baisser les barrières et à donner confiance en l'autre dans sa capacité à faire.
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Moi, je m'appelle Gaell Manguy, je suis directeur général adjoint du Learning Planet Institute. La première chose qui me vient à l'esprit, c'est un jour où j'assistais à une démonstration de plongée dans un village de vacances où il y avait des gens qui étaient en scaphandre et qui faisaient des essais. Et je trouvais ça formidable parce que depuis que je suis gamin, je rêve d'aller dans les fonds marins, mais je suis myope au dernier degré et j'ai un problème avec les oreilles, ce qui est en piscine. Je suis allé acheter des lentilles le soir même et j'étais le lendemain au club et j'ai fait mon premier plongeon. Et depuis, j'essaie de plonger chaque année parce que c'est une vraie passion. Donc je m'étais mis une barrière mentale, plusieurs même, que ce n'était absolument pas possible. Et il m'a levé ça en cinq minutes. Mais c'était le ton de la voix, c'était la manière dont il a eu de l'exprimer, l'assurance avec laquelle il disait oui, oui, mais des apprenants comme vous, j'en ai déjà vu plein et en fait, pas du tout. Il y a une autre manière de faire. Outre que j'ai découvert un monde… extraordinaire qui continue de me réjouir chaque fois que j'ai l'occasion de devoir mettre le nez sous l'eau. J'en ai tiré un enseignement magistral à quel point notre cerveau est capable de se créer des barrières absolument sans fin et que grâce à l'autre, on peut les lever parfois très rapidement. Et ça, c'est quand même un peu magique. Pour moi, c'est vraiment ce que je mets derrière le mot de facilitation. C'est cette capacité à baisser les barrières et à donner confiance en l'autre dans sa capacité à faire.
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